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  1. Le Devoir 1 avril 2017 | Jean-François Nadeau | Montréal http://www.ledevoir.com/politique/montreal/495380/le-patrimoine-de-la-rue-saint-antoine-menace
  2. http://www.lapresse.ca/le-soleil/justice-et-faits-divers/201603/29/01-4965431-un-ecrasement-davion-aux-iles-de-la-madeleine-fait-7-morts-dont-jean-lapierre.php Sent from my SGH-M919V using Tapatalk
  3. Endroit : 8 sites d'entrée dans la ville Ville : Montréal-Est, Québec Date : 2014-2015 Client : Ville de Montréal Est Collaborateurs : Intégral Jean Beaudoin ( Jean Beaudoin, Myriam Leclair, Corinne Deleers, Emmanuelle Beaupère, Enseignes Perfection) SIGNALÉTIQUE TERRITORIALE DE LA VILLE DE MONTRÉAL-EST : LES PORTAILS, LES DIRECTIONNELS ET LA VALORISATION DES ESPACES EXCEPTIONNELS DE LA VILLE Le projet a pour objectif de consolider la présence de la ville de Montréal-Est sur le territoire de l’île de Montréal. Au-delà de marquer les entrées et les sorties de la ville pour les voyageurs en transit sur les 4 axes est-ouest, le concept proposé vise à révéler les lieux et les paysages exceptionnels de la ville et inviter les visiteurs en traversée, et surtout les citoyens, à les visiter, le redécouvrir et les redynamiser. VISION D’ENSEMBLE La ville comporte deux zones distinctives, le secteur résidentiel et le secteur industriel.Il existe une distinction importante entre les paysages sur la rive du fleuve et ceux du secteur industriel dont les univers étonnant des carrières, des « champs de réservoirs », des raffineries et des hangars de la Seconde Guerre.Afin d’irriguer le territoire, nous proposant de superposer aux traversantes ( A40, Sherbrooke, Notre-Dame ) une GRANDE BOUCLE qui sera le trait d’union entre les paysages exceptionnels de la ville. En déploiement progressif vers l’ouest, au rythme de la revitalisation, la boucle s’appuiera sur les axes Est-Ouest de la rue Broadway et du futur boulevard Versailles. Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  4. Je pense pas avoir vu ce projet mentionné ici encore. COLO-D va se porter acquéreur d'une partie (150,000 pieds carrés) de l'ancien siège social de Jean Coutu à Longueuil. Il s'agit d'un investissement de 100 millions de dollars, incluant 15 millions investis par le Groupe Jean Coutu lui-même: Voir aussi les communiqués suivants sur le site de COLO-D: http://colo-d.ca/en/jean-coutu-group-announces-investment-in-colo-d/#.VlCfZaK3v3A http://colo-d.ca/en/colo-d-continues-strong-growth-and-announces-the-opening-of-a-second-mega-data-center-in-quebec-in-2016/#.VlCgA6K3v3A
  5. http://plus.lapresse.ca/screens/a34a7529-de16-463b-9e37-a7992b141ff7%7CAtgiPrQOnG7o.html MONTRÉAL VOTE « DU BON BORD »… FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE Montréal pouvait difficilement sortir perdant de la soirée d’hier. Il suffisait que Stephen Harper soit renversé, et voilà ! La métropole était aussitôt en meilleure posture qu’elle ne l’avait été ces neuf dernières années. Mais de là à penser qu’elle serait aussi bien placée, ce matin ? Pas grand-monde ne l’espérait, il y a quelques semaines encore. Quelques jours, peut-être même. Carrément absent du Conseil des ministres pendant les deux derniers mandats conservateurs, Montréal a vu l’un des siens, Justin Trudeau, accéder au poste le plus puissant du pays hier soir. Et avec lui, un grand nombre de députés rouges qui ont le potentiel d’être nommés au Saint des Saints, autant dans l’île que tout autour dans le Grand Montréal. Après avoir voté du « mauvais bord » au cours des trois dernières élections, la métropole se retrouve à nouveau du « bon bord » ce matin. Du bord du parti au pouvoir. N’ayons pas peur de reprendre les mots du maire Coderre : « Montréal is back ! » Et ce n’est pas de l’enflure. Ayant vu la bête de l’intérieur, l’ancien ministre libéral Jean Lapierre m’a dit il y a quelques semaines à quel point l’origine des députés qui siègent au cabinet était cruciale, mais aussi celle de leur chef. « Quand le premier ministre vient de chez vous, m’a-t-il confié, là, t’es vraiment en affaires ! » Tous les députés et ministres redoublent d’attention et de prudence quand ils abordent un dossier qui touche la ville du PM. Tous évitent de tirer le tapis sous les pieds de cette ville. Et tous opinent du bonnet quand le gouvernement dépense pour cette même ville. « T’as juste à aller faire un tour à Shawinigan pour t’en rendre compte, m’a dit Jean Lapierre. Penses-tu qu’il y aurait tout ce qu’il y a là bas sans Jean Chrétien ? Ben voilà… » Le retour fort probable de Montréal au Conseil des ministres est, lui aussi, une très bonne nouvelle. Il faut se rappeler que les conservateurs n’ont élu aucun député montréalais lors de leurs trois victoires électorales. Aucun. En 2006, l’île était rouge, avec un peu de bleu pâle à l’est. Mais le gouvernement était bleu. En 2008, sensiblement la même chose. Et en 2011, la vague orange a lessivé l’île, pendant que les bleus s’accrochaient au pouvoir à Ottawa. Résultat : aucun Montréalais n’a pu défendre les dossiers montréalais au Conseil des ministres pendant toutes ces années conservatrices. Sinon pendant un court intermède de deux ans, de 2006 à 2008, alors que le sénateur Michael Fortier avait été nommé ministre. Or « c’est toujours une plus-value d’avoir quelqu’un de la place pour s’occuper des enjeux de la place », m’a confié le maire Coderre il y a quelques semaines. Toujours mieux d’avoir un interlocuteur qui connaît la ville, qui maîtrise ses codes, qui possède un vaste réseau… que d’avoir un ministre qui ne fait que passer en chemin vers le Saguenay. Rappelons-nous la force de Montréal au sein du cabinet Mulroney dans les années 80 alors que se sont décidés les importants investissements fédéraux du 350e anni-versaire, comme le Vieux-Port. Rappelons-nous l’impact qu’a eu pour la ville de Québec un ministre influent comme Jean Marchand, cette « colombe » de Pierre Elliott Trudeau sans qui la capitale n’aurait probablement pas profité de tous ces investissements en infrastructures. Quand on sait l’influence politique qu’ont les régions, au Québec comme au Canada, on comprend l’importance pour les grandes villes d’être représentées par des députés des grandes villes. Des députés qui ont la sensibilité et les connaissances nécessaires pour expliquer la complexité et l’importance des dossiers urbains à la grande table. Habituée d’être bien représentée au cabinet avant l’élection des conservateurs, la métropole reprend enfin la place laissée vacante depuis trop longtemps. Elle en a bien besoin. sent via Tapatalk
  6. RIP Monsieur le maire via LaPresse Publié le 15 juin 2015 à 15h09 | Mis à jour à 15h15 L'ancien maire de Montréal Jean Doré est décédé Jean Doré Photo d'archives, La Presse =author%3ADaphn%C3%A9+Cameron&sort=recent"]Daphné Cameron La Presse L'ancien maire de Montréal Jean Doré s'est éteint lundi à l'âge de 70 ans, emporté par le cancer du pancréas. Il était entouré de ses proches. À l'hôtel de ville, le maire de Montréal Denis Coderre a demandé aux conseillers municipaux d'observer une minute de silence. «Salut Jean, on se retrouvera», a-t-il déclaré après le moment de recueillement. Jean Doré a été maire de Montréal pour deux mandats, de 1986 à 1994. Avocat de formation, il est arrivé au pouvoir à l'âge de 41 ans. Il est le père de l'Office de consultation publique de Montréal, du premier plan d'urbanisme de Montréal et de la période des questions à l'hôtel de ville. C'est sous son règne que les portes de l'hôtel de ville ont été débarrées pour permettre aux citoyens d'y entrer et que la Ville s'est procuré ses premiers ordinateurs. Après une brève carrière comme attaché de presse de René Lévesque et à la Fédération des associations d'économie familiale, il participe en 1974, à la fondation d'un nouveau parti politique : le Rassemblement des citoyens de Montréal (RCM). Plus de détails suivront.
  7. Alléluia! Publié le 15 avril 2015 à 09h51 | Mis à jour à 10h40 Prière: défaite de Jean Tremblay en Cour suprême HUGO DE GRANDPRÉ La Presse (Ottawa) Le maire Jean Tremblay perd sa longue bataille judiciaire: la Cour suprême du Canada a ordonné mercredi de cesser la récitation de la prière lors des conseils municipaux de la Ville de Saguenay. Selon le plus haut tribunal du pays, la récitation de cette prière contrevient au principe de neutralité de l'État en matière religieuse et porte atteinte de manière discriminatoire à la liberté de religion du plaignant, Alain Simoneau, un ancien résidant de la ville et militant du Mouvement laïque québécois. « La récitation de la prière aux séances du conseil constitue avant tout une utilisation des pouvoirs publics par le conseil dans le but de manifester et de professer une religion à l'exclusion des autres », a écrit le juge Clément Gascon au nom de ces collègues. Or, « l'État ne peut se livrer sciemment à une profession de foi ou agir de façon à adopter ou favoriser une perspective religieuse au détriment des autres », a ajouté le juge québécois dont il s'agissait du premier jugement depuis la nomination dans la foulée de la controverse entourant celle du juge Marc Nadon. Le jugement unanime qui infirme celui rendu par la Cour d'appel du Québec pourrait avoir des répercussions partout au Canada, où plusieurs dossiers semblables avaient été mis sur la glace en attendant l'issue du litige québécois, dont en Ontario. [...] http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/actualites-judiciaires/201504/15/01-4861283-priere-defaite-de-jean-tremblay-en-cour-supreme.php
  8. MONTRÉAL - En l'honneur de Jean Béliveau, décédé le 2 décembre, la Banque CIBC a allumé les lumières de certains étages de son siège social de Montréal de façon à former le chiffre 4, soit le numéro porté par l'ancien célèbre capitaine des Canadiens de Montréal. Les quatre côtés du gratte-ciel situé sur le boulevard René-Lévesque, visible d'un peu partout au centre-ville, étaient illuminés de cette façon, samedi soir. «M. Béliveau était l'un des meilleurs joueurs de tous les temps, mais aussi un homme exceptionnel qui a embelli la vie de bien des gens dans la province et au Canada, a déclaré Victor Dodig, président et chef de la direction de la Banque CIBC, dans un communiqué. Nos employés cherchaient une façon appropriée de lui rendre hommage.» L'homme derrière cette idée est Luc Grenier, un conseiller en placement. http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/canadiens/archives/2014/12/20141206-220113.html
  9. Un autre exemple des créations de Montréal qui s'exporte L'exposition du MBAM sur Jean Paul Gaultier sera à Paris en 2015 22 janvier 2014 11h53 | La Presse canadienne | Actualités culturelles Photo : Pedro Ruiz - Archives Le Devoir La directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts, Nathalie Bondil, qui avait initié le projet, parle d'une tournée «historique». L'exposition La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles, initiée, produite et mise en tournée par le Musée des beaux-arts de Montréal avec la collaboration de la Maison Jean Paul Gaultier, sera présentée à Paris du 1er avril au 3 août 2015. Il s'agira d'une dixième étape pour l'exposition, après Montréal, Dallas, San Francisco, Madrid, Rotterdam, Stockholm, Brooklyn, Londres et l'Australie. La directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts, Nathalie Bondil, qui avait initié le projet, parle d'une tournée « historique » et a indiqué, par communiqué, vivre « une joie sans précédent de partager le message profondément humaniste et tolérant de ce fils prodigue de retour dans sa Ville lumière ». L'exposition propose des pièces inédites de haute couture et de prêt-à-porter créées entre 1970 et 2013. La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles a par ailleurs accueilli son millionième visiteur lors de son passage au Brooklyn Museum, à New York. En 2014, elle voyagera au Barbican Art Centre de Londres du 9 avril au 25 août et poursuivra sa route vers d'autres destinations qui seront annoncées prochainement.
  10. Le détaillant Costco veut agrandir son unique centre de distribution au Québec, a appris La Presse Affaires auprès de nombreuses sources de l'industrie immobilière. Le géant américain de la vente au détail recherche activement un terrain de 3 à 4 millions de pieds carrés sur la Rive-Sud, en banlieue de Montréal, une rareté dans le marché par les temps qui courent. L'investissement total est de l'ordre de 60 à 75 millions, selon nos sources. «Pas de commentaires», s'est contenté de répondre Ron Damiani, porte-parole de Costco Canada, à ce sujet. Le déménagement serait rendu nécessaire en raison de l'expansion prochaine de son réseau de magasins-entrepôts dans la province, ont dit à La Presse Affaires des gens au fait du projet qui ne veulent pas être identifiés. L'entreprise américaine aux revenus annuels de 105 milliards US compte sur un réseau de 19 magasins-entrepôts dans la province pour le moment. Costco a ouvert une nouvelle succursale à Drummondville en décembre 2012. Une ouverture est prévue à Saint-Romuald en 2014, bien que la société ne veuille rien confirmer. La population de Vaudreuil réclame à grands cris un Costco depuis longtemps. Actuellement situé à Saint-Bruno, en retrait du boulevard des Promenades, l'unique centre de distribution de la chaîne au Québec - de 380 000 pieds carrés sur un terrain d'un peu plus de 1 million de pieds carrés - ne suffira bientôt plus à la tâche. Cette ville de l'agglomération de Longueuil ne semble guère vouloir le conserver sur son territoire. Plus tôt cette année, elle a levé le nez sur un investissement de 190 millions du Groupe Jean Coutu parce que le projet incorporait un centre de distribution. Le directeur du développement urbain de la Ville, Jean Larose, avait confié à l'agence QMI en février 2013 que des centres de distribution comme celui de Costco ne sont pas la meilleure solution pour développer une ville en raison du trop grand nombre de camions qui rend la circulation difficile. «Les centres de distribution sont exclus comme usage autorisé dans les deux parcs industriels de la Ville», nous a par ailleurs écrit dans un courriel Suzanne Le Blanc, directrice des communications à la Ville. Costco cherche dans un rayon autour de Saint-Bruno pour mieux accommoder ses quelque 200 employés qui y travaillent. C'est le courtier Norman Laff, de Colliers, qui a obtenu le mandat. Le détaillant a regardé attentivement un terrain de 4 millions de pieds carrés à Châteauguay, près de l'autoroute 30, mais s'en est désintéressé quand il s'est rendu compte qu'un ruisseau actif coupait le lot en deux. Au moins deux personnes ont indiqué à La Presse Affaires que le détaillant regarde maintenant du côté de Varennes, là où Jean Coutu a décidé de construire son siège social. L'entreprise a acheté de la Ville un terrain de 3 millions de pieds carrés dans le Novoparc en mai dernier. On y trouve encore de grands terrains, comme celui au 3360, chemin de la Baronnie, lieu de l'ancienne usine de plastique Basell Canada, fermée en 2007. Selon un courtier, spécialisé dans le marché de la Rive-Sud, des terrains de 3 millions de pieds carrés prêts demain matin, il en reste probablement à Beauharnois, à l'extrémité ouest de l'autoroute 30, et peut-être à l'aéroport de Saint-Hubert. Mais notre expert craint que, dans ce dernier cas, le terrain s'avère peu propice à l'implantation d'un centre de distribution en raison des caractéristiques du sol. Il est en effet devenu difficile pour les centres de distribution de se loger dans la région de Montréal, surtout dans les portions sud et ouest du territoire, à proximité des marchés ontarien et américain. Le nouveau venu dans le marché du détail au Canada, Target, a construit le sien à Cornwall, après avoir tenté sans succès de l'implanter dans la région de Vaudreuil-Dorion qui n'avait pas de terrain d'envergure de disponible. Le modèle d'affaires de Costco Quatrième détaillant en importance au pays, Costco se démarque du reste de l'industrie à plus d'un titre. Elle oblige sa clientèle à payer de 55 à 110 $ par année pour avoir le privilège de magasiner chez elle. En retour, elle s'engage à prendre une marge maximale de 15 % sur les 3500 produits qu'elle propose à son 1,2 million de membres au Québec. De plus, l'entreprise est reconnue pour bien traiter ses employés. Une caissière gagne près de 55 000 $ par année après 5 ans, a soutenu la vice-présidente principale et directrice générale du marchandisage de Costco Canada, Andrée Brien, lors de sa comparution en commission parlementaire sur le prix unique des livres, le 17 septembre dernier. Le club-entrepôt connaît d'ailleurs l'un des taux de roulement les plus faibles du secteur de la vente au détail. Source: http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201312/06/01-4718488-costco-planifie-dinvestir-plus-de-60-millions.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS6
  11. Petit projet sur Salaberry qui remplace un terrain vague, je crois que le Jean Coutu à côté y déménagera. http://www.carrepoutrincourt.com/plans-condos-ahuntsic.ws https://maps.google.com/maps?q=montreal&hl=en&ll=45.537604,-73.700212&spn=0.00638,0.013937&sll=37.0625,-95.677068&sspn=58.206849,114.169922&hnear=Montreal,+Quebec,+Canada&t=m&z=17&layer=c&cbll=45.537604,-73.700212&panoid=XHs0yTAnu--DkkIVJT-E8A&cbp=12,29.45,,0,5.75
  12. Description Situé en plein cœur de Montréal, ce projet résidentiel à l’architecture moderne comprend 24 unités de type 3 ½, 4½ et 5½, d’une superficie variant de 580 à 1 112 pi2, offertes à un prix abordable. Alliant le modernisme à un style de vie urbain, le projet Blü Condos permet un raffinement sans compromis au coin de Jean Talon et d'Iberville devant la station de métro et à proximité de plusieurs services. Plafond de 9 pieds, Ascenseur, Terrasse privée et commune (avec végétation) sur le toit... Ouverture prochaine du pavillon des ventes au coin de la rue Bélanger et de la 1ère Avenue. Inscrivez-vous sur notre liste VIP et profitez des prix de lancement de projet Plus d'information à la page: http://www.blucondos.ca
  13. Jean Coutu déménage à Varennes Publié le 29 mai 2013 à 07h47 Le Groupe Jean Coutu (T.PJC.A) consolidera toutes ses activités corporatives sur un terrain de 3 millions de pieds carrés localisé en bordure de l'autoroute 30 à Varennes, en Montérégie. La construction du nouveau siège social débutera l'an prochain. L'investissement de 190 millions de dollars offrira une superficie totale de 800 000 pieds carrés. François J. Coutu, président et chef de la direction, soutient que les actuelles installations de Longueuil sont désormais trop petites. Il s'attend à ce que celles de Varennes soient à la fine pointe de la technologie et garantissent des standards élevés de productivité et une performance accrue. Le transfert des opérations est prévu pour le début de 2016 pour les plus de 1000 employés du Groupe Jean Coutu et de sa filiale Centre d'information Rx. François J. Coutu en dira davantage ce mercredi matin lors d'une conférence de presse qui aura lieu à l'hôtel de ville de Varennes. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201305/29/01-4655415-jean-coutu-demenage-a-varennes.php
  14. À l'étroit dans ses installations de Longueuil, le Groupe Jean Coutu (T.PJC.A) prépare un agrandissement ou un déménagement ailleurs sur la Rive-Sud de Montréal, un projet de 70 millions de dollars. La célèbre entreprise québécoise songeait à acquérir un terrain dans le parc industriel de Saint-Bruno-de-Montarville pour y déménager son siège social et son centre de distribution, mais l'administration municipale a refusé d'autoriser la transaction. La Ville voyait d'un mauvais oeil l'augmentation du trafic de camions qu'aurait entraîné la présence d'un gros entrepôt sur son territoire. Jean Coutu scrute donc les autres terrains disponibles sur la Rive-Sud. L'entreprise pourrait aussi décider d'agrandir ses installations actuelles de Longueuil, où elle est établie depuis 1976. Elle est déjà propriétaire des terrains nécessaires pour le faire. Pour l'instant, Jean Coutu ne privilégie aucune des deux options, a affirmé mardi la vice-présidente aux communications du groupe, Hélène Bisson, au cours d'un entretien téléphonique. Les critères de sélection les plus importants sont les coûts et la proximité des autoroutes. Le détaillant souhaite réaliser les travaux à «moyen terme», soit d'ici deux ou trois ans. Les installations actuelles suffisent encore à la tâche, mais plus pour longtemps, a indiqué Mme Bisson. La filiale de fabrication de médicaments génériques de Jean Coutu, Pro Doc, qui est établie à Laval, ne devrait pas déménager, a précisé la porte-parole. Le réseau Jean Coutu compte actuellement 405 pharmacies au Québec, en Ontario et au Nouveau-Brunswick. L'entreprise prévoit avoir ouvert 14 nouveaux établissements cette année. L'action de Jean Coutu a clôturé à 15,69 $ mardi, en hausse de 1,3 %, à la Bourse de Toronto. La valeur boursière de l'entreprise frise les 3,4 milliards de dollars. http://affaires.lapresse.ca/economie/sante/201302/19/01-4623324-jean-coutu-veut-agrandir-ou-demenager-son-siege-social.php
  15. 7 tours de 4 étages sur Jean Béraud à côté du centropolis. http://www.guidehabitation.ca/f1nd/metrocite/ca/qc/condominium/laval/nouveu-projet-de-condominiums-a-vendre-a-laval/fr/x1x1x1x2x/2/
  16. Condo development proposed for site of former Kentucky Fried Chicken outlet Cheryl Cornacchia The Gazette Monday, September 19, 2011 A public consultation will be held Monday night in Dorval on a zoning change that would pave the way for the construction of a three-storey, 30-unit condominium development across the street from the Pine Beach AMT commuter train station. The zoning change would couple two vacant lots into one property measuring close to 16,000 square metres. One of the properties is the empty lot on the corner of Cardinal Ave. and Pine Beach Blvd. where a Kentucky Fried Chicken outlet stood until it was demolished about five years ag. The other lot is 505 Clement Ave., a private home until it was torn down two years ago. The middle-density housing development is just one of many going up in the West Island along the transportation corridor. "It’s one of the trends," said Mario St. Jean, Dorval’s director of urban planning. Building along the train line "makes sense. You wake up, take your breakfast and, after a quick walk, you are at the train station." St. Jean said a private developer has already submitted plans to Dorval for the project. A similar although larger middle density project is Dorval Espace MV, St. Jean said. Located on Bouchard Blvd., it includes condos, townhouses on property formerly owned by Novartis Canada, the pharmaceutical company. That project is well on its way to completion. The public consultation is scheduled for 7:50 p.m. in the municipal council chamber at Dorval city hall, 60 Martin Ave. http://westislandgazette.com/news/25286
  17. Read more: http://www.montrealgazette.com/technology/Municipal+noise+limits+imposed+Parc+Jean+Drapeau/4839778/story.html#ixzz1NPXKEnKy :eek:
  18. Let's organize a protest against hooligans! Am I the only person in this city who cares enough to propose something like that?
  19. Une forêt australienne nommée Jean Charest Mise à jour 07/12/2010 21h18 Mal aimé au Québec, le premier ministre du Québec a vu son « leadership » en matière de lutte contre le réchauffement climatique reconnu sur la scène internationale. L'Australie-Méridionale a même choisi de donner le nom de Jean Charest à une de ses forêts. « Je n'ai jamais pensé qu'une forêt portera un jour mon nom. J'ai hâte de la visiter […] J’aime bien l’idée et je suis flatté qu’on puisse reconnaître le travail que j’ai fait avec beaucoup de conviction », a dit Jean Charest, amusé et radieux, mardi, après avoir appris la nouvelle. La forêt est située dans les environs de la ville d'Adélaïde, en Australie. Elle s’inscrit dans un vaste projet australien de plantation de trois millions d’arbres. Mike Rann, premier ministre de l'Australie-Méridionale, n'a eu que de bons mots pour féliciter M. Charest de son action environnementale. « On a jugé à l’unanimité que Jean Charest a eu un leadership extraordinaire en ce qui a trait aux changements climatiques. Il est une inspiration pour plein de décideurs à travers le monde. En 25 ans de vie publique, je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi impressionnant que Jean Charest dans son engagement », a fait savoir M. Rann. Le gouverneur démocrate de l’État du Wisconsin, Jim Doyle, ne tarissait pas d’éloges à l’endroit de M. Charest. « Il mérite complètement ce prix. Il a inscrit le Québec comme un des leaders mondiaux pour les énergies renouvelables », a dit M. Doyle. L'Australie-Méridionale a accordé son prix de l'année à Jean Charest, un an après l'avoir décerné à l'ancien gouverneur de la Californie Arnold Schwarzenegger. Interrogé à la blague à savoir si ce prix n’allait pas ressusciter la chanson de Pierre Lapointe, « La forêt des mal-aimés », Jean Charest a répondu sur le même ton badin. « N’écoutez pas la chanson, c’est tout », a-t-il plaisanté. Pas un message au Canada Ni M. Rann ni M. Doyle n’ont voulu dire si cette récompense octroyée au Québec était, à leurs yeux, une façon indirecte d’envoyer un message de désapprobation aux politiques canadiennes. « Ce n’est pas notre job », a répondu M. Rann, prudent. « Je ne ferai pas de commentaires à propos de la politique canadienne », a enchainé M. Doyle. Le premier ministre Charest a quitté Cancun, mardi après-midi, sans croiser le ministre fédéral de l’Environnement, John Baird, qui venait d’y atterrir. Il le mérite, admet le PQ. Visiblement surprise de la distinction accordée au premier ministre Charest, la porte-parole péquiste en environnement, Martine Ouellet, a admis du bout des lèvres que Jean Charest méritait son prix. « Pour ses actions au niveau international, il le mérite et c’est à ce titre-là que ça a été remis. Il a fait des démarches et a été proactif, a-t-elle analysé. Toutefois, ses actions au Québec ne suivent pas ses paroles au niveau international. Et c’est ça le problème. » http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2010/12/20101207-210937.html
  20. Publié le 15 novembre 2010 à 12h15 | Mis à jour à 13h04 Pétition pour la démission de Charest http://www.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fwww.assnat.qc.ca%2Ffr%2Fexprimez-votre-opinion%2Fpetition%2FPetition-1123%2Findex.html&h=c901bFQYY_IMOqF8wQewUSTBOnQ Le site de l'Assemblée nationale héberge depuis ce matin une pétition demandant que Jean Charest démissionne de son poste de premier ministre. La pétition (cliquer ici pour y accéder) est une initiative du Mouvement citoyen national du Québec (MCNQ), un groupe formé en mai dernier en réaction au budget Bachand. Elle a été parrainée par le seul député de Québec solidaire, Amir Khadir. Elle restera jusqu'au 15 février 2011 sur le site de l'Assemblée. Plus de 1082 individus l'avaient signée au moment d'écrire ces lignes. La démission de M. Charest est demandée pour trois raisons: son refus de déclencher une commission d'enquête sur l'industrie de la construction, son refus d'imposer un moratoire sur l'exploration et l'exploitation des gaz de schiste et son «refus de négocier (...) les mesures prévues dans le budget 2010». Le groupe prétend que la majorité de la population s'oppose au budget du gouvernement Charest, et que le premier ministre «refuse de collaborer avec la population». Le MCNQ a été fondé le printemps dernier par Steve Brosseau, un préposé aux bénéficiaires d'un hôpital, âgé dans la trentenaire. Le groupe se dit non-partisan. Il est coadministré par Anthony Leclerc, un étudiant de secondaire 5 de la région de Québec qui avait réalisé un lipdub contre la réforme pédagogique. Le site de leur mouvement est http://www.unissonslequebec.org. Pour entrer dans le site ce matin, il fallait cliquer sur une fleur de lys. Pour en sortir, il fallait cliquer sur une feuille d'érable. Questionné à ce sujet, M. Leclerc a insisté que le groupe «n'était pas souverainiste». Cette page d'accueil a été enlevée quelques minutes après notre interview pour «enlever ces doutes» et pour «effacer une faute d'orthographe», a confirmé un peu plus tard Steve Brosseau. M. Brosseau avoue avoir déjà été un partisan du PQ, mais il dit préférer aujourd'hui Québec solidaire. «Mais mon groupe n'est pas associé à eux. On veut rallier des partisans de tous les partis», précise-t-il. Sur son site, le MCNQ trafique une photo de Jean Charest. Le premier ministre est affublé d'une perruque et d'un nez de clown. Le MCNQ se définit comme étant le «plus gros groupe anti-PLQ et anti-Charest à ce jour!!!». Leur groupe Facebook «1 000 000 de Québecois pour sortir le PLQ et Jean Charest du pouvoir!!!» compte 41 640 membres. Le MCNQ a contacté M. Khadir, le député indépendant et ex-adéquiste Éric Caire et quelques députés péquistes, indique M. Brosseau. «Amir Khadir a été le seul à daigner nous répondre. On n'est pas les premiers à vouloir déposer une telle pétition. Mais on a peut être été les plus tenaces. C'est vraiment compliqué, il a fallu communiquer une trentaine de fois avec le bureau de M. Khadir et modifier notre texte quatre ou cinq fois pour répondre aux exigences de l'Assemblée nationale.» L'Assemblée nationale a accepté la pétition vendredi dernier.
  21. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2010/08/27/004-montreal-fragment-urbanite.shtml
  22. Read more: http://www.montrealgazette.com/entertainment/Lambert+shouts+enough/3317503/story.html#ixzz0uhaLT8LV
  23. Le Québec lave-t-il plus blanc que blanc ? Pierre Duhamel La guéguerre entre Québec et Ottawa sur l’environnement devient polluante. Selon le National Post, le gouvernement fédéral, qui a semoncé celui du Québec parce qu’il veut imposer aux constructeurs automobiles des normes plus sévères d’émissions de gaz à effets de serre, serait en train d’imposer les mêmes règles. Le ministre fédéral Jim Prentice trouvait le Québec ridicule d’agir sur cette question, mais on dirait qu’il était plutôt déçu de s’être fait devancer dans l’annonce de cette politique. Ceci dit, je comprends l’exaspération d’Ottawa car le gouvernement québécois est devenu un insupportable donneur de leçons sur les enjeux environnementaux. Le Québec est-il devenu à ce point vert et irréprochable en matière d’environnement ? On apprenait cette semaine que les émissions de CO2 en 2007 ont bondi de 3,7 % au Québec après avoir subi une baisse les années précédentes. Jean Charest s’était pourtant fait le preux chevalier de la lutte aux changements climatiques et s’est commis pour une baisse de 20 % des émissions d’ici 2020. Prenons note qu’il faudra dorénavant diminuer les émissions de 23,7 % pour atteindre la cible. À Copenhague, Jean Charest s’était également permis une charge audacieuse contre les répercussions de l’exploitation des sables bitumineux en Alberta. Ce point de vue est peu entendu au Québec, mais je crois sincèrement que nous profitons largement des retombées de cette exploitation. À preuve, les citoyens de l’Alberta versent par habitant plus du double en taxes et impôts au gouvernement fédéral que ceux du Québec et ils reçoivent- toujours per capita - 25 % de moins que nous en dépenses de programmes et en achats de biens d’Ottawa. Manifestement, il y en a qui paient pour les autres… et ce ne sont pas les Québécois. Présumons que les intentions de Jean Charest sont nobles et qu’il est vraiment catastrophé par l’exploitation des sables bitumineux. Pourquoi alors ce même Premier ministre ne s’offusque pas quand on exploite une mine d’uranium aux portes de Sept-Îles ? Pire, Jean Charest a même défendu en Inde l’exploitation et l’exportation de l’amiante, un produit dont le caractère extrêmement nocif est universellement reconnu. Le gouvernement du Québec défend l’existence d’une vieille mine qui emploie 150 personnes à Asbestos, mais joue les vierges offensées devant une industrie qui emploie 372 000 personnes et où on prévoit des investissements de 100 milliards de dollars d’ici 2020. Le Québec n’a pas de sables bitumineux, mais on cherche activement du pétrole en Gaspésie et du gaz naturel dans la vallée du Saint-Laurent. Je pense que certains de mes concitoyens seront beaucoup moins «verts» quand ils verront les retombées des découvertes potentielles.
  24. Le Québec fait la leçon à Ottawa Agence QMI Michel Hébert 13/12/2009 16h13 Même s'il pollue autant qu'en 1990 - Le Québec fait la leçon à Ottawa Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. © Photo Archives Même si le Québec pollue lui-même autant qu’il y a vingt ans, Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. «On a va continuer à faire preuve de leadership», a déclaré M. Charest alors qu’il s’envolait hier pour la capitale danoise au terme de sa mission économique en Russie. Insatisfait des cibles choisies par Stephen Harper, M. Charest soutient qu’en s’appuyant sur l’année 2006, le gouvernement fédéral aura un effet minime sur la production de GES au pays. Ottawa devrait plutôt aligner ses efforts sur l’année 1990, la référence de plusieurs pays européens. «Ottawa devrait viser 1990, on devrait tous avoir un language commun sur le plan technique», estime Jean Charest. Le gouvernement fédéral n’apprécie évidemment pas ces pressions et Stephen Harper compte sur son ministre de l’Environnement, James Prentice, pour remettre les pendules à l’heure. Jean Charest court effectivement un risque. Car même s’il se donne une cible spectaculaire et embarrassante pour Ottawa, le Québec pollue lui-même autant qu’en 1990. Et bien qu’il ait toujours publiquement appuyé l’Accord de Kyoto, il n’a globalement pas avancé dans sa guerre contre les GES, indique le relevé national des GES d’Environnement Canada de 2009 consulté par le Journal. Qu’il appuie sa performance sur l’année de référence de 2006 ou sur celle de 1990, le Québec émet autant de GES, voire un peu plus: 82 600 tonnes en 1990 contre 85 664 tonnes en 2007, en hausse de 3,7%, indique le rapport de l’agence fédérale. Le Québec n’est toutefois pas un grand pollueur; il produit 0,2% des GES au monde. À cause de sa grande capacité hydro-électrique, il ne produit que 11,1 tonnes de GES par personne. Le ratio est de 70 tonnes en Alberta et de 72 tonnes en Saskatchewan. L’Ontario se compare au Québec avec une production de GES de 15 tonnes per capita. Arrivé dans la capitale danoise hier le premier ministre Jean Charest fera connaître la cible du Québec dans les cercles d’influence. Il multipliera les interventions pour que le gouvernement fédéral vise plus qu’une réduction des GES de 3% par rapport à 1990. «On peut faire mieux», dit-il. Pour forcer la main de Stephen Harper, M. Charest fera savoir à un auditoire le plus large possible qu’il vise, lui, une réduction des GES de 20% par rapport à 1990 alors qu’Ottawa appuie son objectif de -20% sur l’année 2006. «On va donner l’exemple en choisissant nous-même une cible très contraignante, ambitieuse. Et nous allons travailler avec d’autres gouvernements pour s’engager dans des systèmes de réduction des GES, incluant une bourse du carbone», a expliqué M. Charest. Mardi, il coprésidera le Forum des leaders, une organisation regroupant des états fédérés ou «sous-nationaux» tels la Californie, la principauté de Monaco, le Poitou-Charente et l’Australie du Sud. Devraient y être l’influent gouvernement californien Arnold Schwaznagger, le prince Albert de Monaco, Ségolène Royal et Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU. M. Charest affirme que les 192 pays participant à la conférence de Copenhague parviendront probablement à une entente de principe qui débouchera sur un accord-cadre, une sorte de Kyoto II. Le Canada n’aura pas le choix d’y souscrire, estime Jean Charest. «Le défaut de s’obliger à des objectifs contraignants pourrait nous rendre vulnérables à des sanctions commerciales», dit-il. Les produits canadiens, y compris évidemment ceux du Québec, pourraient être soumis à une nouvelle taxe sur le carbone, ce qui serait nuisible sur les marchés extérieurs.
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