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  1. L’exploration gazière des shales de l’Utica a déjà des impacts sur l’économie du Québec. Et ils seront multipliés advenant une exploitation à grande échelle. Le gouvernement sera l’un des premiers à en tirer des bénéfices. Pour en lire plus...
  2. Ils ont dû régler une procédure ouverte par des actionnaires protestant contre la pratique du groupe informatique d'accorder à ses dirigeants des stocks-options antidatées. Pour en lire plus...
  3. La Bourse plante, le pays vogue vers une récession et les Américains, nos principaux clients, sont quasiment en faillite. Alors que font les employeurs canadiens, pensez-vous? Ils engagent! Pour en lire plus...
  4. Pour ceux qui ne veulent pas lire l'article : C'est Half-Life 1 (le jeux) en vrai. Et il y a aussi un article qui parle de ça dans La Presse ou l'on mentionne que les chances que des dragons ou des cyclopes sortent de ça ne sont pas de zéro. Bref, pour ceux qui s'intéressent à la physique et au monde scientifique, cette expérience est à la fois inquiétante et excitante. -------------------------------- http://www.24heures.ch/actu/suisse/2008/09/09/grand-collisionneur-particules-pret-traquer-secrets-univers Le grand collisionneur de particules prêt à traquer les secrets de l'univers CERN | Le "Grand collisionneur de Hadrons" (LHC), plus grand accélérateur de particules au monde au CERN, à la frontière franco-genevoise, va être mis en route ce mercredi pour traquer les ultimes briques de la matière et récréer les conditions du début de l'univers, il y a 13,7 milliards d'années. Le "Grand collisionneur de Hadrons" (LHC), plus grand accélérateur de particules au monde au CERN, à la frontière franco-genevoise, va être mis en route ce mercredi pour traquer les ultimes briques de la matière et récréer les conditions du début de l'univers, il y a 13,7 milliards d'années. Après le démarrage du deuxième faisceau, qui tourne en sens inverse du premier, des collisions seront provoquées à des énergies de plus en plus élevées, jusqu'à atteindre sept fois la puissance du Fermilab américain, qui était jusqu'à présent l'accélérateur le plus puissant. Le projet, auquel ont contribué les pays européens, mais aussi notamment les Etats-Unis, l'Inde, la Russie et le Japon, a coûté 3,76 milliards d'euros. "Cette machine donnera vraisemblablement des résultats inattendus. Ces données risquent de bouleverser la physique des particules élémentaires", a expliqué mardi le physicien français Hubert Reeves. "C'est vraiment un outil impressionnant. Les puits pour descendre le matériel ont une taille par laquelle il serait possible de faire passer une cathédrale", insiste-t-il. Le physicien britannique Stephen Hawking a pour sa part indiqué mardi avoir parié 100 dollars que le LHC ne trouverait pas le boson de Higgs. Ne pas le découvrir ne serait pas un échec, selon le scientifique britannique. "Ce que le LHC trouve, ou n'arrive pas à trouver, nous en dira long sur la structure de l'univers", a-t-il dit. Quant à Kate McAlpine, une thésarde de la Michigan State University détachée au Cern, elle a eu l'idée d'un clip vidéo qui fait un tabac sur YouTube : le "Large Hadron Rap" ( ). En vers et en anglais, des physiciens dansant le rap expliquent comment des protons vont entrer en collision dans le gigantesque anneau du LHC. Seule plainte de ses collègues: ils trouvent que "je sous-entends que le boson de Higgs va être trouvé très vite", a-t-elle avoué ------------------- Pour tout apprendre sur le projet : http://public.web.cern.ch/Public/fr/LHC/LHC-fr.html Le Grand collisionneur de hadrons (LHC) Notre compréhension de l’Univers est sur le point de changer… Le Grand collisionneur de hadrons (LHC) est un gigantesque instrument scientifique situé près de Genève, à cheval sur la frontière franco-suisse, à environ 100 mètres sous terre. C’est un accélérateur de particules, avec lequel les physiciens vont étudier les plus petites particules connues : les composants fondamentaux de la matière. Le LHC va révolutionner notre compréhension du monde, de l’infiniment petit, à l'intérieur des atomes, à l’infiniment grand de l’Univers. (...) ----------------- Les supposés risques : http://fr.wikipedia.org/wiki/Large_Hadron_Collider Médiatisation de craintes autour des conséquences de la mise en opération [modifier] Si la presse scientifique a surtout souligné les enjeux scientifiques de l'expérience, un des aspects les plus traités par la presse généraliste est la possibilité éventuelle de créer de micro trous noirs au LHC. En astrophysique, un trou noir est décrit comme un objet engloutissant tout sur son passage, mais les trous noirs microscopiques susceptibles d'être créés au LHC ne partageraient pas cette propriété. Dans le cas où ils seraient néanmoins produits, ils seraient, du fait de leur masse, soumis au phénomène d'évaporation des trous noirs prédit par Stephen Hawking en 1975 et disparaîtraient avant d'avoir eu le temps d'absorber la matière environnante. Le phénomène d'évaporation des trous noirs étant très peu connu du grand public, les risques de l'expérience sont devenus un sujet populaire. Le 21 mars 2008, deux personnes, Walter L. Wagner et Luis Sancho ont cependant intenté un procès au CERN devant la cour d'Honolulu à Hawaï au motif que le collisionneur pourrait se révéler dommageable d'une manière ou d'une autre, par exemple en créant un trou noir. Leur plainte a été jugée recevable[6]. Une autre plainte a été déposée, fin août 2008, en Europe, devant la cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg pour les mêmes raisons[7]. La plainte a finalement été rejetée quelques jours plus tard[8]. À la suite de ces affaires, plusieurs chercheurs, puis le CERN, ont publié divers documents[9],[10],[11] sur la sécurité du LHC, concluant que l'accélérateur est sûr[12]. Le principal argument mis en avant est que la haute atmosphère terrestre, et en fait tous les corps célestes, sont continuellement bombardés de particules très énergétiques, les rayons cosmiques. L'énergie dégagée par ces collisions peut parfois être bien supérieure à celle mise en jeu dans un accélérateur de particules sur Terre comme le LHC, aussi sont-ils certains que quels que soient les effets secondaires de ces réactions, ils ne seront pas dangereux pour la biosphère, sans quoi elle n'aurait pu se développer pendant plusieurs milliards d'années. La crainte que des collisions de particules élémentaire donne lieu à un événement catastrophique n'est pas nouvelle, elle remonte à près de dix ans. Lors de la mise en service du collisionneur d'ions lourds Relativistic Heavy Ion Collider (RHIC) du Laboratoire national de Brookhaven (État de New York), le physicien Alvaro de Rujula et deux collaborateurs avaient imaginé un scénario catastrophe susceptible, en principe, de provoquer la destruction de la Terre[13]. L'affaire avait à l'époque également suscité suffisamment d'intérêt pour nécessiter une analyse détaillée expliquant l'innocuité d'une telle expérience[14].
  5. Sondage - Classe moyenne Classe moyenne : Serrés, stressés et oubliés Fabrice de Pierrebourg et Louis-Mathieu Gagné Le Journal de Montréal 09/09/2008 04h53 Les explications de Christian Bourque, de Léger Marketing Elles se disent étranglées financièrement, stressées par les fins de mois et pire encore, elles se sentent abandonnées par les politiciens. Les familles de la classe moyenne n'ont pas le coeur à la fête. Elles se trouvent à ce point serrées dans leurs finances que 75% d'entre elles ont l'impression d'être à sec en fin de mois, révèle un sondage réalisé pour Le Journal de Montréal, TVA et 98,5 FM par Léger Marketing. C'est un véritable cri du coeur que lancent les familles de la classe moyenne aux politiciens qui pourraient risquer gros en pleine campagne électorale en ignorant leur malheur. «Elles nous disent qu'elles en arrachent et que la classe politique ne fait rien pour les aider», explique Christian Bourque, de Léger Marketing. «Le sondage montre donc que le sort financier des familles de la classe moyenne devrait être le principal enjeu de la campagne électorale», ajoute-t-il. Les hausses de tarifs de services publics, du prix de l'essence et de l'épicerie des derniers mois ont trop réduit leur pouvoir d'achat, dit le sondage. L'indice des prix à la consommation a en effet crû de 3,4% entre juillet 2007 et juillet 2008, selon Statistique Canada. L'inflation a d'ailleurs atteint cette année son plus haut niveau en cinq ans. Les dernières années ont pourtant donné lieu à des baisses de taxes et d'impôts. Les Québécois ont profité de cet argent neuf pour dépenser davantage et accroître leur train de vie. Accès facile au crédit aidant, ils ont multiplié les bagnoles neuves, ordinateurs, iPod et autres luxes. Cette hausse de l'inflation est donc dure à encaisser chez ceux vivant au-dessus de leurs moyens. «Les gens vivent souvent à la limite de leur revenu en surconsommant. S'il y a des imprévus, ils ont peu de marge de manoeuvre et se sentent vite coincés», dit Charles Tanguay, de l'Union des consommateurs. «Avant, l'élément central des gens était l'église. Là, c'est les magasins. Ils ont de la difficulté à trouver le bonheur et prouver leur valeur autrement qu'en consommant», déplore Jean-Marc Fontan, sociologue à l'UQAM. La situation financière des familles a pourtant progressé depuis les 10 dernières années. Leur fardeau fiscal s'est allégé de plusieurs milliers de dollars depuis 2000, même en considérant l'inflation et la hausse des tarifs d'Hydro-Québec, dit Luc Godbout, professeur en fiscalité à l'Université de Sherbrooke. «Il est faux de dire que l'État ne fait rien. Mais les gens semblent consommer tout ce qu'ils ont dans leurs poches», dit-il. Quant au revenu médian, il a augmenté de 22% de plus que l'inflation, selon Pierre Fortin, professeur à l'UQAM. # Près de la moitié des ménages (44 %) ont vécu des tensions dans leur famille causées par l'argent # 68 % des gens appartenant à la classe moyenne se trouvent serrés financièrement (dont 74 % qui ont un revenu entre 40 000 $ et 60 000 $) # 41 % pensent que les choses n'iront pas en s'améliorant au cours de la prochaine année # 75% trouvent qu'il ne reste plus rien à la fin du mois # 59% disent que l'argent est une source de stress ! # 94% estiment que les gouvernements n'en font pas assez pour la classe moyenne # 80 % trouvent maintenant difficile d'assumer la hausse des tarifs gouvernementaux, surtout que seulement 65% estiment que les allègements fiscaux et autres programmes sociaux axés sur la famille n'ont pas eu un impact positif sur leurs finances. # 81% ont dû renoncer à un achat récemment faute de moyens # 69% ont reporté des projets importants ________________________________________________________________________________ Le mur porteur Richard Martineau 09/09/2008 05h14 Vous souvenez-vous du film Falling Down, sorti il y a 15 ans ? Michael Douglas interprétait un ingénieur divorcé qui en avait ras le bol. Ras le bol des taxes, ras le bol de la récession, ras le bol des criminels qui brandissent la Charte des droits, ras le bol du prix de l'essence, ras le bol de l'inflation... Pris dans un étau, écoeuré de vivre sous pression, le bonhomme finissait par péter les plombs. Eh bien, si ça continue, les membres de la classe moyenne québécoise risquent d'imiter le héros de Falling Down. Parce qu'eux aussi en ont jusque-là. CITRON PRESSÉ La classe moyenne est le coeur et les poumons de nos sociétés. Vous voulez savoir comment se porte un pays ? Regardez sa classe moyenne. Si elle va bien, le pays va bien. Si elle va mal, le pays va mal. C'est aussi simple que ça. Qui «casque» pour les pauvres qui n'ont pas les moyens de payer leurs impôts ? La classe moyenne. Qui paie pour les riches qui ont les moyens d'échapper à l'impôt ? La classe moyenne. La classe moyenne est la forêt amazonienne de notre économie, c'est elle qui permet au système de respirer. Or, actuellement, la classe moyenne québécoise traverse une période de grande sécheresse. Elle étouffe, elle suffoque. Elle s'assèche. LA CLASSE SOUFFRE-DOULEUR Et le pire, c'est que tout le monde semble s'en foutre. Regardez ce qu'on dit à la télé et à la radio. Chaque fois qu'on parle de la classe moyenne, c'est pour la ridiculiser. Les membres de la classe moyenne sont conformistes, ennuyants, ignorants. Ils ne pensent qu'à leur tondeuse ou au PH de leur piscine. Ils n'ont pas de goût ni de conversation. Ils courent les buffets et les marchés aux puces. Ils passent leur week-end à vernir leur patio et croient que passer un après-midi dans un centre commercial est une sortie culturelle. Bref, ce sont des twits finis. La classe moyenne est en train de couler, et on est là, sur le quai, à s'esclaffer comme des dingues à ses dépens. Vous ne trouvez pas ça inconscient, vous ? LA MAJORITÉ «SILENCIEUSE» C'est quand même incroyable, ce mépris que nous avons pour la classe moyenne. Comme si seuls les pauvres ou les riches étaient intéressants ! Comme si les membres de la classe moyenne n'avaient rien à dire ! Comme s'ils n'étaient rien d'autre que des consommateurs ou des contribuables ! Qui entendez-vous quand vous ouvrez la télé ? Des porte-parole d'organismes communautaires, ou des magnats de la culture et de la finance. Entre les deux, rien. On a l'impression que seuls les pauvres ou les riches ont accès au micro. On dit de la classe moyenne qu'elle est la «majorité silencieuse». Faux : elle n'est pas silencieuse. C'est juste qu'on ne lui demande jamais de parler. On veut qu'elle paie et qu'elle ferme sa gueule, c'est tout. On ne lui demande jamais comment elle va, ce qu'elle pense, comment elle se sent. ÇA CRAQUE DE PARTOUT La classe moyenne est le mur porteur de notre société. Celui qui tient toute la structure. Or, le mur porteur du Québec est en train de s'effriter. Il s'enfonce, il craque de partout. Le temps est venu de le solidifier. Sinon, toute la baraque va s'effondrer.
  6. Les cambistes commencent à prendre le gouvernement britannique au mot et ils font en sorte que la livre anglaise, déjà malmenée, s'oriente vers sa pire année depuis 1992. Pour en lire plus...
  7. Les initiés dans les banques et les sociétés de prêts et d'épargne ont dépensé plus d'argent à acheter des actions de leurs entreprises. Ils ont fait le pari que les institutions financières sont en train de rebondir. Pour en lire plus...
  8. Vents favorables au port de Montréal 28 août 2008 - 06h45 La Presse Hugo Fontaine La vision de développement durable du nouveau PDG du port de Montréal, Patrice Pelletier, intéresserait le port de Rotterdam. Alors que le port de Montréal a connu un premier semestre qui surpasse les résultats de l'année record 2007, le port de Rotterdam s'intéresse à la vision de développement durable du président-directeur général, Patrice Pelletier. Une collaboration pourrait naître entre le plus grand port d'Europe et l'un des ports à la plus forte croissance de la côte est américaine. Dans une période où l'économie vacille, le trafic cumulatif de conteneurs a augmenté de 7,9% au port de Montréal durant le premier semestre. Le port ne prévoyait qu'une croissance de 4 à 5%, selon ce qu'a indiqué Patrice Pelletier à l'occasion d'une entrevue avec La Presse Affaires. Le trafic total, quant à lui, a augmenté de 7%. «Cela nous place en excellente position en Amérique du Nord», précise le dirigeant. Pour expliquer cette forte croissance, M. Pelletier évoque l'augmentation de la cadence de la nouvelle liaison Valence-Montréal exploitée par MSC. Le trafic depuis les Caraïbes, notamment en provenance du port de transbordement de Freeport (Bahamas) est aussi en augmentation. La croissance est telle que l'administration portuaire, Patrice Pelletier en tête, ne peut que maintenir le rythme dans le plan de développement du port, qui s'échelonne sur 12 ans et devrait permettre de tripler la capacité du port. Déjà, le réaménagement des terminaux va bon train en 2008. L'Administration portuaire explique aussi son plan d'action à ses partenaires commerciaux et aux gouvernements, en espérant que cela se transforme en 2009 en expression d'intérêt pour investir. Une vision qui séduit Si l'expansion de la capacité du port est un défi, il en existe un autre qui compte beaucoup aux yeux de Patrice Pelletier. «Il faut gérer le port avec une stratégie de développement durable, explique-t-il. C'est d'une complexité certaine, mais pour moi ça veut dire de pouvoir développer le plan de croissance du port en atteignant un équilibre entre les impacts économiques, sociaux et environnementaux.» «J'essaie d'influencer le mode de gestion même de l'organisation, poursuit M. Pelletier. Ça va au-delà de l'écologie.» Ainsi, M. Pelletier associe à son concept de développement durable les solutions à la pénurie main-d'oeuvre à venir, ou encore l'engagement des communautés et des différents partenaires. Sans oublier la croissance du port et la protection de l'environnement. Patrice Pelletier a présenté sa vision sur différentes tribunes, dont au World Ports Climate Conference de Rotterdam, le 10 mai dernier. L'idée a été bien reçue, soutient-il. «La direction de la stratégie de Rotterdam nous a dit qu'elle a entendu notre message et qu'elle aimerait collaborer avec nous.» Il est encore trop tôt pour savoir quelle exacte forme prendra cette collaboration, mais elle aurait un objectif relié à l'implantation d'un mode de gestion de développement durable. «J'ai pensé à un jumelage de personnel comme façon effective de le faire, dit M. Pelletier. J'ai demandé à ma division environnement de réfléchir à une mission pour établir les jalons de la collaboration.» Selon M. Pelletier, Rotterdam peut donner à Montréal les exemples de choses à faire et à ne pas faire. «À Rotterdam, on peut presque voir une projection de ce qui pourrait arriver chez nous, même si c'est un plus gros port. La collaboration nous permettrait de voir concrètement où ils sont rendus, les problématiques qu'ils ont, comment les éviter.» «Dans le sens positif, on peut aussi voir ce qui peut être fait sur le plan du développement durable, ajoute-t-il. Et c'est vrai aussi dans l'autre sens. Je crois que c'est ce qui les a intéressés.» «Vulgariser» le port À la fin de l'automne 2007, après une réflexion de la haute direction sur la mission et la stratégie, le Port de Montréal prenait la résolution de se rapprocher de la communauté citoyenne. «Les gens n'ont jamais vu le port, dit Patrice Pelletier. Les gens ne savent pas ce qu'il y a derrière cette fameuse clôture qui sépare la ville du port.» C'est là qu'est née l'idée de Port en ville, une journée portes ouvertes qui aura lieu dimanche le 31 août (http://www.portenville.ca). Pour M. Pelletier, la journée est une première étape d'une stratégie pour «vulgariser» le port. «Les gens ne savent pas que quand ils vont chez Ikea, chez Wal-Mart, quand ils prennent une bouteille de vin italien, ce qu'ils achètent passe par le port. Il faut aussi expliquer les bénéfices économiques et environnementaux. Mais la première étape, c'est que les gens voient ce qu'est le port.
  9. Une fois mis en oeuvre, l'accord éliminera les droits de douane sur la majorité des marchandises. Les échanges entre les deux pays sont actuellement limités. Ils ont atteint 76 M$ l'an dernier. Pour en lire plus...
  10. Lorsque Gilles Champagne et sa fille Marilyne ont démarré leur PME dans un garage de Grand-Mère il y a 11 ans, ils étaient loin de se douter que leur idée ferait des vagues jusqu'aux îles Turks-et-Caïcos. Pour en lire plus...
  11. Les travailleurs manifestent car ils veulent obtenir une part équitable des profits engrangés par le plus important producteur d'engrais de la planète. Pour en lire plus...
  12. http://www.cyberpresse.ca/article/20080822/CPACTUEL/808221014/6685/CPACTUEL Le vendredi 22 août 2008 La fierté olympique souffle à Brossard Agent immobilier originaire de Hong Kong, Raymond Tsim vend des maisons à Brossard depuis près de 20 ans. Photo Martin Chamberland, La Presse Laura-Julie Perreault La Presse Au début des années 90, si on avait demandé à un immigrant de Hong-Kong, fraîchement installé à Brossard, s'il était fier de la Chine, on aurait eu droit à un froid haussement d'épaules. Mais les Olympiques ont changé la donne. Un vent de fierté souffle dans les voiles de la diaspora. Dans la petite salle de réunion de Brossard, campée dans un centre commercial asiatique du boulevard Taschereau, l'atmosphère est à la fête. Sur le mur, les effigies des cinq mascottes des Jeux olympiques semblent partager l'enthousiasme des hommes d'affaires d'origine chinoise. Ils ne tarissent pas d'éloges à l'égard de Pékin. «C'est la première fois qu'une cérémonie d'ouverture atteint ce niveau. Je suis canadien, mais je suis vraiment fier d'être originaire de Chine», dit Michel Wong Kee Song, le président d'une agence de voyages. «En tant que Sino-Canadien, je suis très fier de voir la Chine tenir les Jeux avec un tel professionnalisme. C'est incroyable de voir comment ce pays s'est ouvert rapidement», renchérit Raymond Tsim, patron d'une agence immobilière affiliée à Royal Lepage. «Beaucoup de gens ne veulent voir que le négatif dans les Jeux. Nous, nous voyons le positif. La Chine a démontré qu'elle est sur un pied d'égalité avec l'Occident», ajoute à son tour Warren See, coordonnateur au Québec du World Journal, un quotidien chinois distribué à la grandeur du Canada. Amour retrouvé L'épicerie Kim Phat Photo Martin Chamberland, La Presse Il y a 10 ans, les trois hommes étaient loin de donner autant de crédit au régime communiste. Raymond Tsim a quitté Hong-Kong dans les années 80 pour échapper aux turbulences politiques qui entouraient son île. Warren See l'a suivi en 1994, trois ans avant que Hong-Kong ne soit rétrocédé à la Chine. Michel Wong Kee Song, lui, a immigré de l'île Maurice. Tous trois ont été parmi les premiers à s'établir à Brossard pour faire leur vie. «Brossard m'a toujours rappelé ma vie à Hong-Kong. Prendre le pont Champlain pour aller au centre-ville de Montréal me ramène à l'époque où je devais prendre le traversier pour me rendre au travail le matin à Hong-Kong», se remémore Raymond Tsim. Ils n'ont pas été les seuls à être séduits par cette banlieue de la Rive-Sud. Beaucoup d'hommes d'affaires de Hong-Kong se sont joints à eux en débarquant au Canada. Récemment, des immigrants de la Chine continentale - choisis pour leurs compétences professionnelles - ont jeté leur dévolu sur Brossard. Aujourd'hui, forte de plus de 8000 âmes, la communauté chinoise compte pour 12% de la population de Brossard. Et sa présence ne passe pas inaperçue dans le paysage. Sur le boulevard Taschereau, une vingtaine de boutiques asiatiques s'entassent dans deux centres commerciaux. «On ne le recommande à personne, mais quelqu'un pourrait vivre à Brossard en ne parlant que mandarin ou cantonais», sourit Raymond Tsim. Les banques du secteur ont des employés et des gérants qui parlent chinois, les restaurants sont bondés de membres de la communauté chinoise à l'heure du lunch comme en soirée. Plusieurs épiceries, spécialisées en produits asiatiques, desservent aussi cette population aisée. Bientôt, les propriétaires des épiceries Kim Phat ouvriront le plus grand complexe commercial asiatique au Québec sur le boulevard Taschereau. Un restaurant de 600 places, qui pourra accueillir de grands événements, s'y établira. «Parmi les Chinois, la notoriété de Brossard est telle que beaucoup de gens m'appellent de Hong-Kong ou de Chine continentale et me demandent de leur trouver une maison. Quand ils arrivent, ils ramassent leurs clés», témoigne Raymond Tsim, qui vend des maisons sur la Rive-Sud depuis près de 20 ans. Il connaît bien les goûts de sa clientèle chinoise nantie. «Il y a certaines maisons que j'ai vendues trois ou quatre fois à des familles chinoises», donne-t-il en guise d'exemple. Les trois hommes d'affaires croient que la population chinoise de Brossard grandira vite au cours des prochaines années alors que les Sino-Montréalais, qui travaillent d'arrache-pied pour accéder à un petit bout du rêve américain, continueront de s'enrichir. «Je ne connais personne dans la communauté, surtout parmi les immigés de la première génération, qui travaille moins de 60 ou 70 heures par semaine», remarque Warren See. Mais dans la même phrase, il avoue que les Olympiques le font peut-être mentir. Nombreux sont les membres de la diaspora chinoise qui ont mis quelque peu leur travail de côté pour regarder les prouesses des athlètes chinois à la télévision. Plusieurs passent des soirées entières sur la place Sun Yat-Sen dans le Chinatown ou dans le restaurant Ruby Rouge adjacent. «Quand un Chinois gagne une médaille, le restaurant en entier se soulève», se réjouit Michel Wong Kee Song. Cette fierté retrouvée, croient les hommes d'affaires, pourrait transformer à long terme la diaspora chinoise. Cette force vive, évaluée à plus de 36 millions de personnes, semble plus soudée que jamais. En Afrique. En Asie. Et à Brossard. Carnet d'adresses Le restaurant Foo Wor se remplit tous les midis. On vient s'y délecter de dumplings et autres spécialités cantonaises. Photo Martin Chamberland, La Presse - Restaurant Foo Wor, 8080, boulevard Taschereau. La Mecque des dim sums. - Restaurant Xin Jing Hua, 8050, boulevard Taschereau. Une autre adresse prisée par la communauté chinoise de Brossard. - Restaurant Jardin du Sud. Un café typique de Hong-Kong, dans le centre commercial du 8080, boulevard Taschereau.x - Centre Sino-Québec de la Rive-Sud, principale organisation de la communauté chinoise. http://www.sinoquebec.ca. Présentement au 45, Place Charles-Lemoyne à Longueuil, il déménagera bientôt à la nouvelle Place Kim Phat. - Épicerie Kim Phat. Il y a présentement deux épiceries Kim Phat à Brossard - la première au 8080, boulevard Taschereau et la seconde au 1875, avenue Panama. À l'automne, elles seront toutes deux remplacées par une méga-épicerie au 7209, boulevard Taschereau. Propriété d'une famille chinoise du Cambodge, les épiceries Kim Phat se spécialisent dans les aliments asiatiques.
  13. Les Canadiens étaient toujours prêts à dépenser davantage dans les magasins au début de l'été, mais ils en avaient moins pour leur argent. Pour en lire plus...
  14. Certains d'entre vous ont surement déjà surfé sur ce site qui n'en demeure pas moins intéressant. C'est le genre de site que moi personellement ,passionné d'urbanisme a longtemps cherché : La carte des espaces vacants de la Communauté métropolitaine de Montréal ainsi que des Comtés de la région. Le site : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/enjeux6.html **Communauté Métropolitaine de Montréal** http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_complet_CMM.pdf **Pour la Couronne nord** L'Assomption : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Assomption.pdf Mirabel : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Mirabel.pdf Thérèse-de-Blainville : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_ThereseDeBlainville.pdf Les Moulins : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_LesMoulins.pdf **Pour la Couronne Sud** Beauharnois-Salaberry : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Beauharnois-salaberry.pdf Lajemmerais : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Lajemmerais.pdf La Vallée du Richelieu : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_valleedurichelieu.pdf Longueuil : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Longueuil.pdf Rousillon : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Roussillon.pdf Rouville : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Rouville.pdf Vaudreuil-Soulanges : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Vaudreuil-Soulanges.pdf **Pour Laval** http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Laval.pdf Amusez-vous ! Ps: étrange ils ont oublié mon comté ! Deux-montagnes ! Frank
  15. Le lundi 11 août 2008 Montréal-Nord s’embrase Philippe Orfali, Hugo Meunier, Patrick Lagacé et Martin Croteau La Presse Montréal-Nord s'est embrasé hier soir après avoir passé 24 heures sous tension. Samedi soir, Fredy Villanueva, 18 ans, a été tué par la police, et deux autres jeunes ont été blessés. Hier soir, le ressentiment d'une partie de la population a éclaté sous forme de brasiers, de voitures saccagées et de commerces pillés. Au plus fort des affrontements, peu avant minuit, des émeutiers ont échangé des coups de feu avec des policiers retranchés derrière leurs voitures de patrouille, sur le boulevard Maurice-Duplessis. Tous les abribus du secteur ont été fracassés. Des commerces ont été pillés et la marchandise volée a servi à allumer une quinzaine d'incendies un peu partout dans le secteur. À mesure que la soirée avançait, les émeutiers se sont déplacés vers l'est. Au coin du boulevard Langelier, ils ont mis le feu à des bonbonnes de propane, provoquant de violentes explosions. Des casseurs ont utilisé des scooters pour transporter du carburant et alimenter les dizaines de feux qui flambaient dans le secteur. Pendant ce temps, des curieux approchaient par centaines, prenaient des photos, filmaient la scène avec leurs téléphones cellulaires. «C'est bien fait, la police le méritait», a déclaré une spectatrice, croisée près du théâtre des affrontements. Boulevard Rolland, là où tout a commencé, des éclats de verre couvraient la chaussée, restes des bouteilles lancées vers les agents. Les policiers de l'escouade antiémeute, équipés de casques, de boucliers et de matraques, sillonnaient le quartier par groupes pour contenir les débordements. Et des dizaines de feux illuminaient les rues autour du parc Henri-Bourassa, au coin du boulevard Rolland et de la rue Pascal. Peu avant 22h, des voitures ont pris feu devant la caserne de pompiers située à cette intersection. C'est derrière ce bâtiment que, la veille, un policier du SPVM a abattu le jeune Fredy Villanueva. Les pompiers qui ont voulu éteindre le brasier se sont fait lancer des bouteilles, des pierres et des projectiles en tous genres. Lorsqu'ils ont battu en retraite, les feux allumés un peu partout dans le secteur ont brûlé librement. Et des pillards ont saccagé la caserne. Les voitures, poubelles, tables de pique-nique et bonbonnes de propane incendiées se sont multipliées dans les minutes suivantes. Peu après 23h, une fourgonnette garée devant un immeuble commercial au coin des rues Arthur-Chevrier et Rolland a pris feu à son tour. Les flammes ont effleuré l'immeuble, qui abrite un club vidéo, un restaurant, un magasin à 1$ et une douzaine d'appartements. Comme les pompiers étaient hors-jeu, les policiers se sont adressés aux citoyens. Ils ont demandé à quiconque possédait des boyaux d'arrosage de participer aux efforts pour combattre les flammes. Pendant quelques minutes, un policier de l'escouade antiémeute a été seul à tenter d'éteindre le feu. Ce n'est qu'à 23h45 qu'un camion de pompiers, escorté par des policiers, a pu se frayer un chemin jusqu'à l'immeuble. Au moment de mettre sous presse, vers 1h30, les policiers tentaient toujours de disperser les casseurs retranchés à l'intersection des boulevards Maurice-Duplessis et Langelier, le dernier foyer de résistance. Policiers blessés Deux policiers ont été blessés pendant les émeutes, a indiqué le porte-parole du SPVM, Raphaël Bergeron. Une agente a dû être évacuée de toute urgence après avoir reçu une balle dans la cuisse, mais sa vie ne serait pas en danger. Un autre agent a reçu un objet dans le pied. Un ambulancier qui travaillait sur les lieux a aussi été blessé lorsqu'il a reçu un projectile sur la tête. Les membres des médias n'ont pas été épargnés. Un caméraman de TVA a été pris à partie par des émeutiers. Et un photographe de La Presse, Robert Skinner, a été attaqué par des pillards. Trois jeunes hommes lui ont fracassé une bouteille sur la tête pour ensuite lui voler ses appareils photo. Une casse annoncée Samedi soir, un policier et une policière ont abordé un groupe de jeunes qui jouaient aux dés dans le stationnement du parc Henri-Bourassa. Ils ont interpellé Dany Villanueva, 22 ans, qui a refusé de coopérer. Selon des témoins, un membre de sa bande a sauté au cou d'un des agents. Dans la mêlée, celui-ci a dégainé son arme et a tiré quatre coups de feu. Le frère de Dany, Fredy Villanueva, est mort. Deux de ses amis ont été blessés. La nouvelle du drame s'est répandue comme une traînée de poudre à Montréal-Nord, un quartier notoirement fréquenté par les gangs de rue. Dans la journée d'hier, plusieurs habitants du secteur ont clamé leur ras-le-bol face à la «brutalité policière» dans leur quartier. D'autres promettaient déjà de venger la jeune victime. «J'ai entendu un jeune parler à des flics, raconte Mathieu, 28 ans, rencontré au plus fort des émeutes. Il leur disait que si ça avait été quatre Blancs, ils n'auraient jamais fait ça.» À la fin de l'après-midi, des dizaines de personnes sont spontanément descendues dans la rue, certaines brandissant des photos du jeune homme de 18 ans. «C'est une manifestation pacifique qui a mal tourné», a résumé une dame qui a refusé de dévoiler son identité. Les casseurs n'étaient pas les seuls à en vouloir au SPVM. Des centaines de voisins, femmes, vieillards, enfants, ont voulu manifester leur colère. «Ce n'est pas un conflit entre Blancs et Noirs, a affirmé un manifestant. C'est un conflit entre les jeunes de Montréal-Nord et la police.» Vers 22h30, des policiers ont remonté la rue Rolland vers le nord en frappant leur bouclier de leur matraque. Ils ont pris position au coin des rues Arthur-Chevrier et Rolland, à quelques mètres d'un groupe de spectateurs qui ne participaient pas à la casse. Lorsque cinq policiers ont foncé vers la foule, une femme haute comme trois pommes n'a pu fuir. Elle a été matraquée et violemment projetée au sol. Un homme s'est alors avancé vers le cordon policier. «On est nés ici, on ne vient pas d'ailleurs! leur a-t-il scandé. Cette journée-ci, on va s'en rappeler. Nous sommes les otages de notre quartier.» Pour plusieurs habitants de Montréal-Nord, les événements d'hier sont le point culminant d'une série d'affrontements entre policiers et jeunes. Et plusieurs s'inquiètent de l'escalade qui échauffe leur quartier. «Ce n'est que le début», a prévenu une femme d'une quarantaine d'années qui observait la scène. Le secteur des émeutes Les rues situées dans ce secteur de Montréal-Nord ont été au coeur des émeutes d'hier soir. Ces événements sont survenus après la mort d'un jeune homme tué par la police samedi. Plusieurs incendies ont été allumés dans les rues et une caserne de pompiers a notamment été saccagée hier soir. http://www.cyberpresse.ca/article/20080811/CPACTUALITES/80810133/6488/CPACTUALITES
  16. mtlurb

    Réunion 101

    Une mer de travailleurs roulent des yeux ou soupirent chaque fois qu'ils sont convoqués à une nouvelle réunion. Quand ils ne grognent pas. Pour en lire plus...
  17. André et Monique, tous deux dans la cinquantaine, se marient cet été. Ils tiennent à planifier le juste partage de leur patrimoine respectif. Pour en lire plus...
  18. Haro sur le fleurdelisé à Pékin Jean-François Bégin La Presse Envoyé spécial Pékin Une chance que Jennifer Carroll ne participe pas aux Jeux olympiques de Pékin. La nageuse, qui avait suscité l'ire de Natation Canada en montant sur le podium avec un drapeau du Québec lors des Jeux du Commonwealth, en 2002, n'aurait même pas le droit de se présenter au Cube d'eau de Pékin avec un étendard fleurdelisé dans son sac. En fait, même les parents présents à Pékin, qui souhaiteraient agiter le drapeau du Québec pour encourager leur enfant lors d'une compétition au cours de la quinzaine olympique, ne pourront le faire. Les organisateurs des Jeux, soucieux d'éviter toute forme de propagande politique - à commencer, selon toute vraisemblance, par les gestes pro-tibétains -, l'ont formellement interdit. Seuls les drapeaux des 205 pays membres du mouvement olympique seront admis sur les sites de compétition. «Ça a été discuté et nos athlètes et leurs parents et amis sont au courant, a indiqué hier la chef de mission du Canada, Sylvie Bernier. Ça fait partie des lois chinoises. Ils ne peuvent pas connaître les drapeaux de partout dans le monde entier. Ils connaissent les drapeaux de chaque pays, ils ne peuvent pas savoir de quoi il s'agit quand quelqu'un sort un drapeau du Québec ou de la Colombie-Britannique. Pour eux, ça peut être une forme de manifestation, de propagande. Alors la consigne est de limiter uniquement au drapeau du pays représenté.» «L'équipe canadienne» Règlement ou non, la chef de mission doute que des athlètes québécois auraient sorti leur drapeau de la province. «On est une équipe, l'équipe canadienne, et on est tous fiers de ça. On est ici pour trois semaines ou un mois et des liens se créent. Je suis fière Québécoise, mais ici, dans le contexte des Jeux olympiques, on est représentant de l'équipe canadienne.» L'interdit a été critiqué au Royaume-Uni, où il n'est pas rare que les fans d'athlètes originaires d'Angleterre, du Pays de Galles ou de l'Écosse (comme ceux du tennisman Andy Murray, par exemple) agitent des drapeaux de ces régions du pays plutôt que l'Union Jack. «Le droit d'agiter votre drapeau national a toujours été un aspect essentiel de l'expérience d'être un spectateur aux Jeux olympiques. Que ce droit soit bafoué maintenant pour des raisons de politique interne va à l'encontre () de la liberté d'expression», a dit au Daily Telegraph de Londres le critique conservateur en matière de sports, Hugh Robertson.
  19. Autant les fonds ont profité de l'envol des ressources ces dernières années, autant ils ont été écorchés par leur dégringolade depuis un mois. Pour en lire plus...
  20. Voyager à partir des États-Unis Mise à jour le mercredi 23 juillet 2008, 12 h 11 . De plus en plus de voyageurs canadiens se rendent dans des aéroports américains pour profiter des prix moins élevés des billets d'avion. L'aéroport de Syracuse, dans l'État de New York, note une augmentation du nombre de voyageurs canadiens, au cours des derniers mois. Plusieurs consommateurs estiment que faire quelques heures de route pour se rendre à l'aéroport en vaut la peine, et ce, même avec le prix plus élevé de l'essence. C'est le cas de Geneviève Préseault et de son conjoint, qui partent pour Las Vegas cet été. Pour réserver leurs billets d'avion, ils ont d'abord regardé les prix au départ de l'aéroport d'Ottawa, qu'ils ont jugé élevés. Une amie leur a suggéré de vérifier les prix des vols en partance de Syracuse. « Elle, elle part cet hiver, puis elle sauve environ 1000 $ sur ses billets d'avion. Donc, j'ai fait pareil, j'ai regardé à partir d'Internet les prix à partir de Syracuse puis, en tout et partout, je sauve environ, pour deux billets d'avion, je sauve 315 $ à peu près », explique Mme Préseault. Le couple a donc choisi de se rendre à trois heures de route d'Ottawa, à Syracuse, pour partir en vacances. Ils ne sont pas les seuls. De plus en plus de Canadiens traversent la frontière pour profiter des prix moins élevés. La force du dollar canadien et le nombre plus grand de transporteurs à rabais représentent des avantages pour les consommateurs. Il y a quatre ans, l'agence de développement économique de Syracuse a lancé une campagne de publicité ciblant les États voisins. Au cours des derniers mois, l'agence a étendu sa campagne, notamment à Kingston, à Cornwall et à Ottawa. Des publicités ont été achetées dans des stations radiophoniques de l'Est ontarien. L'aéroport estime que 2 % de ses 2 millions de voyageurs en 2007 provenaient du Canada. L'aéroport de Syracuse n'est pas le seul aux États-Unis à voir une progression des voyageurs canadiens. Les aéroports de Plattsburgh, de Burlington et de Buffalo attirent de plus en plus de voyageurs de Toronto et de Montréal. Les aéroports canadiens disent qu'ils ne peuvent rien faire pour arrêter cette progression. RDI.ca
  21. Hochelaga-Maisonneuve - Le retour du mal aimé Alexandre Shields Édition du mercredi 23 juillet 2008 Pauvreté, violence, ruelles sales et immeubles délabrés... les qualificatifs les plus utilisés pour décrire le quartier Hochelaga-Maisonneuve n'ont rien de réjouissant. La réalité est pourtant nettement plus nuancée, soutiennent ceux qui croient au renouveau de ce secteur de l'est de Montréal, qui fête cette année son 125e anniversaire. Dernier de deux articles. «Hochelaga-Maisonneuve, c'est un village, lance la cofondatrice du bistro In Vivo, Annie Martel. Je reconnais les gens et je connais les autres commerçants. Je n'ai jamais vécu cela avant et, pourtant, j'habite à Montréal depuis une douzaine d'années. Il y a ici une grande mixité sociale, des plus pauvres aux plus aisés, mais il y a de la place pour tout le monde.» L'équipe fondatrice de cette coopérative de travail n'a pas hésité un instant à venir s'établir dans le quartier lorsqu'elle a ouvert le bistro, il y a près de trois ans. «On serait peut-être plus riches si on était ailleurs, mais pour nous, c'était important de le faire dans notre quartier», insiste Mme Martel, résidante d'Hochelaga-Maisonneuve depuis cinq ans. L'entreprise s'inscrit d'ailleurs parfaitement dans le renouveau souhaité depuis des années pour ce coin de la ville passablement défavorisé. Les clients peuvent y déguster un menu santé composé de produits d'ici, mais aussi y entendre les artistes de la relève qui s'y produisent sur scène tout en jetant un oeil aux oeuvres d'artistes en arts visuels. Bref, on est loin des éternels «snacks à patates» qui constituaient auparavant l'unique option pour les résidants du quartier. Si la formule a pris du temps à faire sa place, elle fonctionne désormais très bien, selon Mme Martel. L'entreprise a pourtant choisi de s'installer rue Sainte-Catherine, entre Pie-IX et Viau, un secteur en apparence repoussant. «C'est une rue difficile dans un quartier difficile, admet Mme Martel. Mais en même temps, si on ne fait rien, rien ne va changer.» Cette volonté bien concrète de faire bouger les choses est partagée par plusieurs, affirme-t-elle. «Tous les nouveaux commerçants se tiennent, s'entraident. On a tous un intérêt à développer la rue, à se donner des trucs et non pas à se piler dessus. Samedi dernier, par exemple, je suis allée donner un coup de main aux gens du restaurant Les Cabotins, situé tout près.» C'est justement cet esprit de solidarité qui a attiré Gabrielle Moffett il y a quatre ans, lorsqu'elle a ouvert la boutique Coccinelle jaune, spécialisée dans l'artisanat québécois, quelques rues plus à l'ouest. «On me donnerait un local sur l'avenue du Mont-Royal que je ne déménagerais pas, lance-t-elle sans hésiter. Pourtant, j'y ferais sans doute plus d'argent, mais je ne retrouverais pas une vie de quartier aussi riche. Il y a toutes sortes de personnes et les gens se connaissent, se parlent.» Avenir prometteur Directeur de la Société de développement commercial Promenade Ontario depuis 20 ans, Roger Gallagher se réjouit d'un tel vent de fraîcheur, lui qui est convaincu de la possibilité de revigorer Hochelaga-Maisonneuve sans en chasser la population qui y est déjà. «J'ai toujours cru que le quartier n'était pas né pour un petit pain, mais qu'il peut évoluer en gardant une diversité de population. Il faut que les gens peu nantis puissent demeurer dans le quartier. C'est pas comme sur le Plateau Mont-Royal, où on transforme à peu près tout en condos.» Il croit que l'émergence de nouveaux types de commerce, par exemple dans le voisinage de la place Valois, riveraine de la rue Ontario, illustre bien cette diversité. Cette place publique, toute récente, est entre autres bordée d'un restaurant de fine cuisine française, Le Valois, mais aussi d'une chocolaterie et d'une charcuterie. Plusieurs unités résidentielles destinées à de jeunes professionnels «au revenu élevé» ont aussi été bâties dans le secteur. Si les poutines, pizzas et autres déclinaisons typiques du fast food demeurent légion, une plus grande diversité culinaire prend par ailleurs racine. «À l'épicerie, avant, sur les étagères, on voyait des sacs de chips et du Coca-Cola jusqu'au plafond, rappelle M. Gallagher. Aujourd'hui, dans le quartier, il y a des boulangeries, des poissonneries, des fromageries, etc. Si les gens recherchent ce genre de produits, ils peuvent les trouver facilement, par exemple au marché Maisonneuve.» Il espère d'ailleurs un jour voir ce marché, avec son magnifique immeuble central achevé en 1915, devenir «aussi gros que le marché Jean-Talon». L'activité culturelle s'enrichit elle aussi. Des galeries d'art ont désormais pignon sur rue, tandis que la Maison de la culture Maisonneuve a subi une impressionnante cure de jouvence au cours des dernières années. Des artisans de la scène, ceux du Théâtre sans fil, logent dans un immeuble datant de l'époque de la Cité de Maisonneuve, rue Letourneux. Tout près de la place Valois, on trouve en outre, depuis longtemps, un club vidéo de répertoire, Le Septième, doté d'une riche vidéothèque. Un incontournable du quartier, au même titre que le théâtre Denise-Pelletier. «Les millions qui ont été investis au cours des dernières années, que ce soit dans les commerces ou dans le domaine de l'habitation, je n'ai pas vu ça depuis 40 ans», soutient Roger Gallagher, natif du quartier. Responsable du comité développement économique et habitation pour l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, Claire St-Arnaud se dit quant à elle convaincue que l'élan est là pour de bon. «Il y a de plus en plus de jeunes, entre 25 et 40 ans, qui viennent s'y installer et transforment le visage du quartier. On le voit à travers la multiplication des cafés et des bistrots dans les rues Sainte-Catherine et Ontario.» De grands pans du parc locatif ont effectivement été rénovés et les projets immobiliers, qu'ils soient constitués de condos ou de logements, sont nombreux. Il faut dire que les promoteurs peuvent compter sur un important patrimoine de bâtiments industriels, et ce, à meilleur prix que dans bien d'autres quartiers de Montréal. Plusieurs locaux commerciaux auraient toutefois eux aussi besoin d'une cure de rajeunissement, ou même de simplement trouver preneur. Nombre de démarches ont d'ailleurs été entreprises auprès de la Ville afin d'obtenir une part des subventions dédiées à la rénovation des immeubles. On espère ainsi attirer davantage d'investisseurs dans le secteur. Il faut dire qu'Hochelaga-Maisonneuve a passé des années à vivoter à la suite du départ des biscuiteries, usines de chaussures et autres Loco shop Angus, qui ont constitué l'essentiel des employeurs pendant des décennies. La fin de cet âge d'or industriel a fait mal. Outre les nombreux bâtiments laissés à l'abandon, la population du quartier a connu une chute importante. Résultat? Aujourd'hui encore, les indicateurs de pauvreté, mais aussi de décrochage scolaire, sont le plus souvent très élevés, même si le portrait socioéconomique change progressivement. Préjugés bien ancrés Or, si le quartier tend à se reprendre en main, les préjugés pèsent encore très lourds. «Le quartier a changé, mais les gens ne viennent pas voir Hochelaga-Maisonneuve, affirme Roger Gallagher. Ils n'osent pas. Quand ils constatent qu'il s'y passe des choses, ils sont surpris. C'est au point où des jeunes qui vivent sur le Plateau Mont-Royal déménagent dans le quartier, mais quand ils invitent leurs amis, ils ne leur disent pas qu'ils vivent dans ce quartier-là. Ils leur disent: "Vous êtes à HOMA", un peu comme s'ils avaient honte.» L'expression «HOMA» est apparue il y a un peu plus de deux ans, dans le but de désigner le quartier sous un vocable plus séduisant, notamment pour promouvoir la vente des nouveaux lofts et condos. L'idée est de le définir comme le prochain secteur en vogue. Bref, le nouveau Plateau. Les difficultés de ce quartier de l'est de Montréal résident en effet beaucoup dans la perception que les gens en ont, explique le directeur général de la Société de développement commercial de Sainte-Catherine Est, Jimmy Vigneux. Ce dernier tente justement de mettre en place un «plan vert» afin d'embellir cette artère, par exemple en redorant les espaces vacants mais aussi les vitrines des commerces. Un employé sera également chargé bientôt de nettoyer les environs de la rue Sainte-Catherine à temps plein. Malgré les efforts déployés sur le terrain, le discours médiatique tend toutefois toujours à enfermer le quartier dans une image péjorative. «Chaque fois qu'on parle du quartier, on dirait que c'est d'un côté négatif, estime Annie Martel. Il faut aussi cesser de dire que c'est le bout du monde. Quand une chroniqueuse de Radio-Canada a fini par parler du bistro In Vivo, c'était pour dire: "C'est tellement loin dans l'Est." On avait l'impression qu'on avait dépasser Pointe-aux-Trembles quand elle parlait.» http://www.ledevoir.com/2008/07/23/198869.html
  22. Aucune entente n'est intervenue depuis le début de l'exécution des mandats de grève le 4 juillet dernier, et les employés de 15 établissements de la région montréalaise pourraient se servir des mandats de grève de 72 heures dont ils se sont dotés. Pour en lire plus...
  23. Leur long exil sous les Tropiques leur a donné la piqûre des hivers doux, et ils espèrent bien y passer en partie leur retraite. Pour en lire plus...
  24. À Saint-Jérôme comme ailleurs au Québec, les prix de l'essence n'ont jamais été aussi élevés. Mais ils sont trop bas, selon la Régie de l'énergie. Pour en lire plus...
  25. Ils ne voient pas d'un bon oeil l'annonce par l'employeur du transfert d'une partie de la production de ses sécheuses vers le Mexique. Pour en lire plus...
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