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  1. PwC fait l'acquisition du cabinet Lehoux Boivin, situé à Brossard. Une transaction qui concrétise la volonté de l'entreprise de s'étendre dans les régions québécoises et de se rapprocher des PME. «Ce n'est qu'un début dans la réalisation de notre plan stratégique, dit Nicolas Marcoux, associé directeur national, bureau de Montréal et grandes villes chez PwC. Nous étudions d'autres possibilités d'acquisition sur la Rive-Nord de Montréal, et même sur l'île.» En vigueur depuis le 1er août, la transaction accroît de 40 personnes les effectifs de PwC au Québec. Ils grimpent donc à 1 035, dont 790 à Montréal, 190 à Québec et 15 à Gatineau. Les deux cofondateurs du cabinet de Brossard, Mario Boivin et Gilles Lehoux, passeront chez PwC. Martin Fontaine et Louis-Alexandre Lehoux, fils du cofondateur du cabinet, y deviennent quant à eux associés. Les deux parties ont refusé de divulguer le montant de la transaction. Ce dernier qualifie de «coup de foudre d'affaires» la rencontre entre les deux cabinets. «Nous sommes très près de nos clients et très engagés envers la communauté locale, dit-il. PwC, qui a une forte clientèle parmi les grandes entreprises, souhaite justement se rapprocher des PME. Nous partageons la même vision et les mêmes objectifs.» Le nouvel associé de PwC croit que les clients de Lehoux Boivin bénéficieront grandement de ce ralliement à un géant des services financiers. «Ils auront le meilleur des deux mondes, juge-t-il. Ils continueront de bénéficier du même service de proximité, tout en ayant accès à des services très spécialisés et à un réseau international que nous ne pouvions leur offrir.» Le cabinet Lehoux Boivin a été fondé en 1998. Il présente un chiffre d'affaires annuel d'environ 4 millions de dollars, que PwC croit pouvoir faire doubler ou même tripler assez rapidement grâce à l'acquisition de nouveaux clients. «Ce cabinet multidisciplinaire de premier plan se spécialise dans les services offerts aux PME détenues par des propriétaires dirigeants, explique Nicolas Marcoux. En ce sens, cette acquisition constitue une preuve tangible de notre engagement envers les sociétés privées et les entrepreneurs québécois.» Depuis qu'il est revenu au Québec - il a été leader national, transactions, pour tout le Canada chez PwC, de 2012 à 2015, un poste situé à Toronto -, Nicolas Marcoux n'a cessé de marteler l'intention de PwC de s'implanter dans les régions du Québec et d'offrir ses services aux PME. Il parle même de «changer le visage de PwC au Québec». Choix de modèle d'entreprise au départ, bien sûr. Après tout, le nombre très élevé de PME dans la province rend ce marché attractif pour un cabinet qui compte déjà son lot de très grands clients. Mais cet objectif peut aussi se confondre avec certains intérêts stratégiques de l'économie québécoise, croit Nicolas Marcoux. «On déplore régulièrement que des sièges sociaux quittent le Québec par voie d'acquisitions, note-t-il. Chez PwC, nous croyons que nous pouvons aider les entreprises d'ici à grandir et à devenir elles-mêmes acheteuses et consolidatrices. Grâce à nos services spécialisés, à notre expertise et à notre réseau international, nous souhaitons contribuer à créer les futurs CGI, Couche-Tard et autres WSP québécois.» Soutenir les entrepreneurs C'est par l'internationalisation que les entreprises québécoises deviendront de futures CGI. Or, les PME québécoises manquent de ressources pour se lancer à l'international. En 2012, une étude de Développement économique Canada pour les régions du Québec démontrait que l'un des principaux obstacles à l'internationalisation de nos PME était le manque de connaissances des marchés étrangers, de leurs lois et règlements et des occasions d'acquisitions qu'on peut y trouver. En ce sens, la présence de services professionnels et financiers de haute qualité en région est devenue incontournable. Même si elles n'arrivent pas encore assez à s'installer à l'étranger, peu de PME de nos jours n'ont pas de volet international dans leurs opérations. Plusieurs importent de l'Asie, exportent aux États-Unis ou ratifient des ententes commerciales avec des partenaires étrangers, notamment. Cela fait du réseau international de PwC un atout important pour ces entreprises. Mais en plus de cela, c'est aussi un certain isolement des entrepreneurs qu'il faut briser, selon Nicolas Marcoux. «Les entrepreneurs se sentent souvent seuls face aux importantes décisions qu'ils ont à prendre, déplore-t-il. Ils se heurtent à des dilemmes. Est-ce le moment de faire une acquisition ? De vendre ? De préparer le transfert de l'entreprise ? Ils ont besoin de conseils spécialisés et d'accès à des données de haute qualité concernant la dynamique d'affaires dans leur créneau ici et à l'étranger, de manière à faire des choix stratégiques judicieux.»
  2. Provenant de La Presse+. http://plus.lapresse.ca/screens/a45ecad0-51d0-4577-b836-0de86525e75d%7C_0.html [h=1]MONTRÉAL EN 91 JOURS[/h]Passer trois mois dans une ville, puis passer à une autre destination. Voilà le mode de vie des deux hommes derrière le blogue For 91 Days, qui ont choisi la métropole pour leur 16e escapade. Nous les avons rencontrés dans un quartier souvent ignoré par les touristes : Saint-Henri. MARIE-EVE MORASSELA PRESSE Mike Powell et Jürgen Horn ne parlent pas français, mais s’ils restaient au Québec assez longtemps, ils diraient probablement d’eux-mêmes qu’ils ont la bougeotte. Le couple s’est rencontré à Boston en 1999, puis s’est installé en Allemagne, en Irlande et en Espagne, où il a habité trois appartements différents dans la seule ville de Valence.« On s’est rendu compte assez rapidement qu’on a une maladie commune qui fait qu’on ne peut rester au même endroit, dit Jürgen. Un jour, on dinait et on a parlé de changer encore d’appartement. On s’est rendu compte qu’il fallait faire quelque chose d’autre. »Les déménagements successifs sont devenus le nouveau mode de vie des deux hommes. En séparant l’année en quatre, il leur est apparu que passer 91 jours dans chaque ville serait l’idéal. Ils ont tout vendu ce qu’ils avaient et leur vie de nomade a commencé, consignée sur leur blogue For 91 Days.Ils choisissent leurs destinations au gré de leurs envies et non selon les invitations des offices de tourisme. « On ne veut pas être en dette, avoir la pression de tout aimer », précise Jürgen. La publicité sur leur blogue leur permet de faire un peu d’argent, mais tous deux sont des travailleurs autonomes en informatique. « Le blogue, on le voit comme un passe-temps. Si c’était une entreprise, ça changerait la manière dont on le fait », croit Mike.Montréal est leur 16e destination, après Tokyo, Istanbul, Buenos Aires et Savannah, notamment. « On décide où on va selon l’argent qu’on a et la météo. Pour Montréal, la météo est un pari qu’on a perdu ! », dit Mike en riant. Arrivés dans la métropole en avril, ils ont découvert avec effarement que la neige pouvait tomber à la mi-mai. « On a visité beaucoup de musées, mais on commençait à avoir hâte de découvrir la ville de l’extérieur », disent-ils.LA COHUE PRINTANIÈRE Déjà, ils constatent que, contrairement à certains endroits où l’on se réfugie à l’air climatisé dès que la chaleur se fait trop sentir, les Québécois se ruent dehors dès que le mercure grimpe.« Lundi, on a loué une voiture pour aller au mont Saint-Hilaire et on s’attendait à une journée tranquille. Nous ne savions pas que c’était une journée de congé… On a été pris dans le bouchon pour y aller, puis il y a eu de la congestion une fois sur la montagne tellement il y avait de gens ! »En plus de la congestion routière, Montréal leur a fait d’autres surprises. La ville est plus étalée que ce qu’ils avaient imaginé, le festival Chromatic – découvert au hasard d’une promenade – les a charmés et s’ils avaient à choisir un quartier où habiter, ce serait dans la Petite Italie.Mais ils quitteront Montréal à la fin du mois de juin. Le couple est aujourd’hui propriétaire d’un appartement à Valence et se repose à la maison entre deux voyages. Le nomadisme, c’est bien, tant qu’on peut en revenir de temps en temps.Les coups de cœur des blogueursJÜRGEN« J’ai beaucoup aimé aller à la cabane à sucre. La bouffe était super bonne, la météo était parfaite ! »MIKE« Nous sommes allés voir un match du Canadien. Nous étions dans la dernière rangée en haut, ils ont perdu 4 à 1, mais j’ai beaucoup aimé ça ! » Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Consultez-le gratuitement en version interactive dans l’application La Presse+.
  3. La société Daly et Morin est fondée en 1896 par William Joseph Daly et Albert Morin. Ils reprennent le fonds de commerce d'un quincaillier et d'un fabricant de peintures résistantes au feu. L'entreprise se situe à Montréal, sur la place Jacques-Cartier. Les associés réorientent les affaires de la société et se concentrent sur le commerce de gros et la manufacture de stores, de draperies, de pôles, de tringles et de la quincaillerie nécessaire à l'installation de ces produits. En 1902, ils déménagent leurs locaux sur la rue Saint-Sulpice et installent leur manufacture à Lachine (Montréal) quatre ans plus tard. En 1910, les bureaux de vente sont relogés dans les magasins de l'Hôtel-Dieu et en 1927, les entrepôts se situent tous à Lachine. À la veille de la crise de 1929, la compagnie affiche un chiffre d'affaires d'un million de dollars. Elle fournit plusieurs magasins, dont Morgan's, et est présente dans plusieurs régions du Canada. Son principal concurrent est une entreprise de la région de Chicago, aux États-Unis. Les bureaux de vente demeurent dans le Vieux-Montréal jusqu'en 1930, ils sont ensuite déménagés à Lachine. L'usine cesse ses activités en 1975. http://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=13134&type=pge#.Vwp2gnrApDQ
  4. Ça doit être le prix trop élevé des vignettes, ou le parco trop cher, ou la trop faible place laissée aux automobiles dans l'aménagement des lieux. Blague à part, dommage qu'on ne parle plus aussi clairement d'unité résidentielle comme il y a quelques années. Ceux qui ont LP+ : d'autres petits textes sont publiés.
  5. Il y en avait plusieurs autres dans La Presse+. Sur le web, il y a celui-là. http://plus.lapresse.ca/screens/6790bc58-4291-491e-9f73-8a5ca1f3dd04%7CgAnPmVt3Ehav.html
  6. http://auto.lapresse.ca/technologies/201507/29/01-4888911-la-route-de-demain-prefabriquee-en-plastique-recycle.php Publié le 29 juillet 2015 à 09h46 | Mis à jour à 09h46 La route de demain: préfabriquée en plastique recyclé? Denis Arcand La Presse La route de demain sera faite de plastique recyclé et l'âge d'or de l'asphalte achève, prédit la société néerlandaise VolkerWessels, qui vient de rendre publique sa technologie PlasticRoad. VolkerWessels affirme que ses routes de plastique recyclé se construiraient et s'entretiendraient bien plus rapidement que les routes d'aujourd'hui. Les travaux routiers seraient plus courts: ils se mesureraient en semaines, pas en mois. Et ils seraient moins fréquents. La clef? La préfabrication en usine de segments modulaires et leur installation sur un simple lit de sable. Les routes de plastique dureront trois fois plus longtemps que nos voies asphaltées d'aujourd'hui, et ce, avec un entretien minime, affirme la compagnie. Comme une piste Scalextrix «L'idée est de mouler les segments pour qu'ils s'imbriquent les uns dans les autres. La largeur idéale est d'environ 3,5 m, soit la largeur d'une voie routière», a indiqué à La Presse Simon Jorritsma, conseiller développements nouveaux et techniques spéciales chez InfraLinq, la filiale asphalte de VolkerWessels. «On pourrait aussi faire des pistes cyclables», ajoute-t-il. Autre avantage, le concept PlasticRoad prévoit un espace creux toujours accessible où on pourrait faire passer le câble, les fils électriques alimentant les lampadaires et les feux de circulation, l'aqueduc, les tuyaux d'égout et d'eau de pluie et, un jour, l'infrastructure électronique permettant la conduite autonome des voitures de demain. L'asphalte est un excellent revêtement routier, mais les problèmes liés au pétrole et les besoins nouveaux auxquels font face les entrepreneurs exigent de nouvelles solutions, estime Simon Jorritsma. «Le plastique est une alternative durable très supérieure et ouvre la porte à toutes sortes d'autres innovations, comme la production d'électricité, le chauffage des routes, des surfaces de roulement moins bruyantes et la construction modulaire», écrit-il. Plastique recyclé à 100% «Notre intention est d'utiliser seulement du plastique recyclé», sans adjuvant d'hydrocarbures, a indiqué à La Presse M. Jorritsma, qui fait remarquer que 55% du plastique produit dans le monde est brûlé dans des incinérateurs. «C'est du gaspillage d'incinérer le plastique si on peut le réutiliser et lui donner un usage nouveau de haute qualité [...] pour faire des routes.» Dans une région comme le Québec, avec ses températures extrêmes, une route de plastique tiendrait-elle le coup? «La structure routière PlasticRoad n'est pas affectée par la température ni la corrosion; elle résiste facilement à des températures allant de -40 à 80 degrés Celsius», écrit M. Jorritsma. Épandage de sel Pour ce qui est du sel et du gel, VolkerWessels n'a pas encore de certitude: «Nous voulons développer un prototype avec les bons partenaires et faire des expériences et des tests», a-t-il indiqué à La Presse. Il ajoute que la société travaille sur un système de tuyaux permettant de stocker la chaleur solaire absorbée par la route, et de chauffer la route assez pour éviter le gel (et le sel) aux températures modérées. La PlasticRoad a un autre argument intéressant, compte tenu des scandales récents dans la construction au Québec: ce sera «beaucoup plus facile de vérifier la qualité de la route (rigidité, écoulement des eaux, etc.)». La question de l'adhérence, surtout au froid, est un élément majeur: «Premièrement, on va voir si on peut rendre antidérapant le plastique lui-même. Si ça ne marche pas, on pourrait intégrer du sable ou du gravier dans la surface de roulement», a indiqué M. Jorritsma. Et combien coûterait la Plastic Road? «À ce stade-ci, on ne peut pas encore parler du coût par kilomètre», a répondu M. Jorritsma. La ville de Rotterdam, aux Pays-Bas, a déjà signalé son intérêt à faire un projet-pilote sur ses rues urbaines. M. Jorritsma ajoute que plusieurs villes sont intéressées à participer à des projets-pilotes, dans plusieurs pays du monde.
  7. http://ici.radio-canada.ca/sports/sports_motorises/2015/05/26/001-formulee-montreal-2016-coderre.shtml
  8. http://gcaimmobilier.com/metro [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/maps?ll=45.462699,-73.564558&spn=0.001676,0.004128&cbll=45.4627,-73.564687&layer=c&panoid=K2IMMBF2mQkifMmHM9cuDg&cbp=12,10.47,,0,-2.98&t=m&z=19[/sTREETVIEW]
  9. Philippe

    Le 600 Fullum

    Ils sont en train faire la réfection complète de l'enveloppe du bâtiment du 600 Fullum. L'édifice a fait les manchettes en 2010 pour sa décrépitude. Il était plus que temps. L'édifice en question: https://www.google.ca/maps/@45.526297,-73.54627,3a,75y,205.97h,86.89t/data=!3m4!1e1!3m2!1sDHdBTtTNIkZj1ewMJsHZPw!2e0
  10. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201407/08/01-4782077-operation-centralisation-inedite-a-la-ville-de-montreal.php
  11. Voici un projet passé inaperçu, ils ont déja 8 étages de complété. http://www.quadrax.com/61-projets/secteur-residentiel-logements/habitations-les-trinitaires.html
  12. Tombée sur cet article via le blogue de Gary Lawrence du journal L'actualité Appel à la jeunesse de France désireuse de s’installer au Canada Cette année, ils sont près de 50 000 français grincheux à oser se présenter sur la ligne de départ. 50 000 maudits français, âgés entre 18 et 35 ans, qui n’aspirent qu’à une seule chose : décrocher leur fichu PVT (Permis Vacances Travail) pour découvrir les charmes surcotés de ce Canada de pacotille, poser les premières pierres de ce qui constituera pour nombre d’entre eux la grande aventure d’une émigration qui s’achèvera quelques mois plus tard dans les larmes et le sang. L’adieu à la France, la fin du cauchemar, l’au-revoir parfois définitif à cette terre nourricière dont, confis d’ingratitude, repus d’égoïsme anti-patriotique, ils ne veulent plus entendre parler, pauvre petits pioupious fatigués de vivre dans la désespérance d’une nation qui, pétrie d’immobilisme, figée dans de vieux schémas séculaires, creuse sa tombe et n’attend plus que le coup de grâce pour basculer dedans. 50 000 enfants gâtés qui ne calculent pas leur chance de vivre dans un pays où le Doliprane est presque gratuit, où un état providence les chouchoute et les câline avec la même attention qu’une mère nourricière vis-à-vis de sa tripotée de moutards, où ils ont la possibilité de se loger dans un vingt mètres carrés somptuaire en déboursant à peine moins d’un millier d’euros par mois. Sauf qu’au final, ils ne seront que 6750 à décrocher ce précieux sésame. Les autres seront obligés de retourner à la mine. Franchement, je ne comprends pas bien cet engouement pour le Canada. Ces jeunes gens prétendument las de vivre dans un pays à l’horizon embouché ont-ils seulement conscience qu’ils s’apprêtent à poser le pied dans une contrée où les gens sont heureux de vivre ? Comprennent-ils réellement le sens de cette horrible assertion ? Se rendent-ils compte ce que cela peut signifier de se retrouver ainsi parachuté au sein d’une population versée dans un optimisme béat, perdu au milieu d’une faune d’énergumènes qui ne savent que sourire et passent leur temps à se dire bonjour ou à s’échanger des sourires complaisants ? De vrais culs-terreux qui prennent la peine de remercier le chauffeur de bus d’avoir stoppé leur engin à l’arrêt prévu, qui ne cessent d’afficher en toutes circonstances une affabilité extrême, toujours prompts à défendre la veuve et l’orphelin, jamais fichus de grommeler leur insatisfaction atavique ou de montrer le début d’un soupçon de mécontentement en éructant une palanquée d’injures ? Imagine-t-on un seul instant le choc culturel que cela peut représenter ? Sans oublier l’implacable flexibilité du monde du travail, la retorse capacité des employeurs à vous juger non pas sur la liste de vos prétendues qualités affichées sur votre CV mais bien plus sur vos réelles aptitudes à accomplir le travail demandé, cette outrecuidance insupportable à vous accepter tels que vous êtes, noirs, arabes, auvergnats sans jamais se soucier de vos origines. Le Canada n’est pas le paradis qu’il prétend être. Il faut débourser des sommes folles pour déguster un ersatz de fromage, être prêt à se farcir des baguettes de pain aussi appétissantes que des sushis polonais, déguster des vins aussi gouleyants à boire que des citronnades norvégiennes, s’empiffrer de burgers indigestes ou de poutines écœurantes. Etre dérangé au restaurant toutes les deux minutes par l’intervention inopinée d’une serveuse vous harcelant de demandes intempestives et incongrues ” Ca vous plaît ? “, “ La cuisson vous convient ? ”, ” Besoin de rien d’autre ? “ quand elle ne vient pas vous remplir à ras bord votre verre d’eau tout en vous adressant un grand sourire enjôleur. Etre confronté à une administration des plus sadiques qui écoute vos récriminations sans jamais s’emporter ou élever la voix, devoir se frotter à des entreprises de service public qui comprennent vos attentes et se mettent en quatre pour les satisfaire, être contraint de marmonner un “ très bien, merci ” à votre caissière de supermarché qui ne manque jamais une occasion de vous demander ”comment se passe votre journée jusqu’à présent” ? Un véritable voyage au bout d’un enfer climatisé placé sous le sceau de la tranquillité de vivre. Une plongée radicale au cœur d’une société émolliente à souhait où les enfants sont heureux d’aller à l’école, où l’on pratique le bénévolat animé de la seule volonté de contribuer à rendre la vie meilleure, où l’on ne cesse de promouvoir le respect de chacun, de ses traditions, de ses coutumes, de son mode de vie, afin de vivre ensemble dans la concorde et l’harmonie. Vouloir émigrer de France au Canada, c’est comme désirer d’échanger son valeureux pitbull contre un indolent Saint-Bernard. C’est renoncer à exister en s’opposant. C’est consentir à penser que finalement l’homme est bon par essence. Une horreur existentielle. Jeunesse de France, ne pensez pas que l’herbe est plus verte au Canada que dans l’hexagone. Elle est juste mieux entretenue.
  13. Comme urbania à récemment fait un manifeste d'idées pour Montréal. J'ajoute ici mes propres idées. Certaines sont originales. Certaines sont des idées qui proviennent d'ailleurs, que j'ai repris et modifier. Certaines sont peut-être farfelue, mais on a bien le droit de rêver. Un musée dans la ville sousterraine. Comme le festival Art-Sousterrain, mais à l’année longue. On pourrait faire contribuer tous les musées montréalais qui ont plein d’oeuvres d’art qui dorment dans leur entrepôt car ils n’ont pas assez d’espace d’exposition. Faisons aussi participer les universités, les organismes gouvernementaux, les entreprises privées, et les citoyens qui veulent prêter une partie de leur collection. Ce ne serait pas juste pour les œuvres d’art, mai aussi des artéfacts archeologiques, des antiquités, objets de colletction, des vieilles voitures, un vieux tramway, n’importe quoi d’intéressant à exposer. Reconstruire la pyramide inversée du pavillion du Canada sur l’ile Notre-Dame. La pyramide inversée, le Katimavik, était un des éléments les plus marquants d’Expo 67. Pourquoi ne pas le reconstruire ? Une tour sur le Mont-Royal. Je ne voudrais pas d’une tour sur le Mont-Royal, cela le dénaturerait. Mais le Mont-Royal est déjà dénaturé par l’horrible antenne de Radio-Canada, plus haute et plus visible que la croix. Alors si on est obligé de l’avoir on pourrait au moins la transformer en quelque chose de moins laid, une tour ou une sculpture. Le musée du Louvre à Montréal. Le Louvre a des antennes à Lens en France et à Dubai. Pourquoi pas une à Montréal. On a peut-être pas les milliards que Dubai a payé pour l’avoir, mais justement ils ont été critiqués pour avoir ainsi ‘vendu’ les oeuvres et le prestige du musée. Ce serait l’occasion de montrer qu’ils ne font pas ça juste pour l’argent. Et puis on a une relation spéciale avec la France. Ils ont donné la statue de la liberté aux Etats-Unis, nous on a rien eu de semblable. Et puis le silo #5 serait l’endroit idéal pour mettre le musée. Une equipe de football de la NFL a Montréal. Oubliez le baseball, ça ne fonctionnera jamais à Montréal, il y a trop de match pour soutenir l’interêt pendant une saison. Montréal est une ville de hockey, mais 16 jours par année ça pourrait devenir une ville complètement football. Dans un stade olympique avec un toit ouvrant, imaginer les tailgates sur l’esplanade du parc olympique, l’ambiance, la fébrilité serait incroyable. Un parc aquatique intérieur avec une plage intérieure. Nous sommes chanceux d’avoir ce vaste territoire qu’est le Québec, relativement à l’abri des catastrophes naturelles (séisme, ouragan, tsunami), qui n’a pas eu de guerre depuis très très longtemps. Malgré ça, les québecois rêvent tous ou presque d’une seule chose, aller dans le sud en hiver. Je trouve ça pathétique, mais on pourrait facilement offrir la sensation d’être en été pour une journée avec une plage intérieure et des glissades d’eau. Un parc sur le toit du palais des congres. Les toits des édifices sont en général sous-utilisés à mon avis. Celui du palais des congrès est immense. Voir ce projet de BIG pour savoir à quoi ça pourrait ressembler.
  14. http://journalmetro.com/actualites/montreal/422575/guide-pour-eviter-detre-un-maudit-francais/ <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">Guide pour éviter d’être un «maudit Français» Selon le consulat de France à Montréal, environ 120 000 Français se sont installés au Québec. De ce nombre, plus des deux tiers ont choisi Montréal. </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;">S’ils sont nombreux à être attirés par la Belle Province, plusieurs vivent une intégration plus ou moins facile. Au quotidien, les Québécois leur reprochent parfois leur arrogance, leur côté hautain et donneur de leçons. L’expression «maudit Français» illustre bien cette réalité. Mais comment éviter de devenir ce «maudit Français»? C’est une question à laquelle tente de répondre le journaliste Philippe Renault dans le nouveau guide antitouristique S’installer à Montréal. Métro s’est entretenu avec l’auteur, un Montréalais d’adoption, qui signale quatre faux pas à éviter. Saisir les règles du jeu au bureau «Les différences entre les milieux de travail nord-américain et européen sont énormes!» s’exclame Philippe Renault. Au Québec, un Français sera frappé par le peu de semaines de vacances, par la pause lunch très courte et, surtout, par le rapport aux autres. Les Français ont l’habitude de saluer tous leurs collègues matin et soir, alors qu’ici, on ne le fait qu’à la première journée de travail. «Ça peut être très frustrant, affirme M. Renault, mais il faut s’y faire.» En France, poursuit-il, le modèle de travail très hiérarchique fait en sorte qu’on parle rarement aux supérieurs, et qu’«on ne les tutoie jamais». Ici, le tutoiement est répandu, et la communication avec les patrons se fait plus facilement. «La majorité des Français finiront par l’apprécier, car ça diminue les insatisfactions», soutient-il. Aussi, la drague entre collègues est fréquente en France, ajoute-t-il, alors qu’ici, «c’est vu comme un geste très déplacé». Éviter les comparaisons Les immigrants sont ceux qui décident de venir s’installer ici; c’est donc à eux de faire plus d’efforts pour s’adapter, tranche M. Renault. À ses yeux, trop de Français négligent de bien préparer leur arrivée. Il faut, selon lui, lire et écouter les médias québécois, s’intéresser à la politique et à l’histoire d’ici, comprendre les règles de base du hockey… «Ça semble anodin, mais ces efforts feront toute la différence. Au cours d’une conversation, les Québécois sentiront que les nouveaux venus sont intéressés à leur culture», croit-il. Les Français ont aussi tendance à comparer tout avec la France, de la nourriture aux façons de parler. «Concentrons-nous sur les similitudes et évitons les comparaisons», conclut-il. «Même si les Français ont la fâcheuse habitude d’insérer des mots anglais, comme shopping et parking, dans leurs phrases, leur niveau de français est excellent. Ils vont certainement contribuer à la préservation de la langue.» – Philippe Renault Aller au-delà du Plateau Sans aucun doute, les Français ont fait du Plateau-Mont-Royal leur arrondissement de prédilection. Environ 28 % d’entre eux choisissent ce quartier, où l’accent pointu de l’Hexagone se fait de plus en plus entendre. «Le Plateau, c’est un village; parfois les gens qui y demeurent reste dans cette bulle et connaissent mal le reste de la ville», observe M. Renault. Ceux qui choisissent ce quartier regrettent parfois de ne pas rencontrer suffisamment de Québécois, concède-t-il. «S’ils veulent s’intégrer à long terme, ils sont peut-être mieux d’éviter de vivre au Plateau.» En revanche, les jeunes Français qui viennent pour étudier ou pour travailler quelques années trouvent leur compte dans ce quartier, où ils retrouvent un mode de vie européen tout en restant au cœur de Montréal. Ne pas (trop) se plaindre de l’hiver Les Français venus des régions plus neigeuses de la France, comme celle de Rhône-Alpes, apprécient souvent l’hiver québécois, car ils pratiquent des sports extérieurs. Mais pour les Parisiens et ceux venus du sud de l’Hexagone… l’hiver est pénible. «Beaucoup de Français ne raffolent pas du froid, mais en général, ils seront capables de s’acclimater après quelques années», estime M. Renault. L’important, selon lui, c’est de ne pas passer trop de temps à se plaindre de l’hiver, car cela alimente l’image hautaine des Français. «Il n’est pas interdit de se plaindre un peu, nuance-t-il, car même les Montréalais n’aiment pas vraiment l’hiver et le subissent en chialant!» Il suffit donc selon lui «d’apprendre à se plaindre de façon modérée». </article>
  15. <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">http://journalmetro.com/actualites/montreal/416662/montreal-a-travers-les-tombes/ Mise à jour: 11 décembre 2013 | 10:36 L’histoire de Montréal à travers les tombeso </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Yves Provencher/Métro«On n'apprend pas l'histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments,» explique Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse.</figcaption></figure>Au milieu des dénivelées de la montagne et dans le silence des sépultures du cimetière Mont-Royal, le Montréal d’antan est toujours bien présent. Bien loin des bouquins et des façades du centre-ville se cache une tout autre manière de découvrir la vie des familles qui ont fait le passé de la métropole québécoise. Armelle Wolff, conférencière pour Archimuse, fait connaître ce secret de la ville lors de ses visites guidées du cimetière. «On n’apprend pas l’histoire de Montréal en se promenant dans le cimetière, mais on observe plutôt une projection de la vie urbaine du passé parmi les différents monuments», explique-t-elle. Dominant, même dans la mort À quelques mètres de l’entrée du cimetière, perché sur une petite colline, se dresse l’îlot de la famille Allen. Entouré d’un luxueux grillage en fer forgé, impossible de le manquer. «Cet aménagement correspond tout à fait à l’importance de la famille dans l’univers montréalais. Les frères Allen étaient les princes de Montréal», affirme d’emblée Armelle Wolff. Situé sur l’un des sommets de la partie la plus ancienne du cimetière, cet îlot familial a une vue impressionnante sur les sépultures autour. La tombe de Hugh Allen, détenteur de la plus grande fortune du Canada au 19e siècle, grâce à un monopole dans le commerce maritime, est donc placée aussi avantageusement dans le cimetière que la villa qu’il possédait près du mont Royal. «Il a le même rôle stratégique dans le cimetière que celui qu’il avait dans la ville, car, depuis sa résidence, il voyait arriver leurs bateaux dans le port. Même mort, il reste en terrain dominant», note la conférencière. Rencontre entre amis John Samuel McCord, premier président du cimetière Mont-Royal jusqu’en 1865, repose à l’endroit culminant du cimetière primitif. «Une place de choix», affirme Mme Wolff. Mais ses voisins de tombe révèlent un phénomène encore plus intéressant. À ses côtés se trouvent les sépultures de Peter McGill, ancien maire de Montréal, du révérend Francis Fulford et de la famille Ross. «C’était tous des amis, raconte Mme Wolff. Leurs villas à Montréal étaient voisines, tout comme leur tombe. Plusieurs de ces familles étaient même liées par des mariages.» Cette disposition des tombes regroupées entre famille et amis proches expose un phénomène courant de l’époque, selon la conférencière. «Les Montréalais avaient l’habitude de venir au cimetière le dimanche pour rendre visite à leurs proches décédés. Mais ils venaient entre amis et entre voisins. Avec cette disposition des tombes, ils se retrouvaient également entre amis et voisins au cimetière. Ils ne sortaient jamais de leur monde», explique la conférencière. La vie collective dans la ville ne faisait donc pas exception au cimetière. Des catholiques chez les protestants Le cimetière Mont-Royal ouvre en 1852 sous une administration anglophone protestante. Les protestants n’étant pas admis dans les cimetières catholiques, ils devaient reposer dans un espace distinct. Le cimetière Notre-Dame-des-Neiges, qui ouvre en 1855, est quant à lui réservé aux catholiques pratiquants en règle. Tous ceux qui ne peuvent pas prouver qu’ils sont de confession catholique, ou qui sont rejetés par le clergé, ne pouvaient pas, jusque dans les années 1960, être enterrés en terrain consacré. Ils étaient alors automatiquement dirigés vers le cimetière protestant Mont-Royal. «Vous voyez, ici, c’est la loge des francs-maçons francophones…catholiques», lance Mme Wolff. Étonnant pour un cimetière protestant… «Chez les francophones catholiques, la franc-maçonnerie était une hérésie. C’était des anticléricaux, qui se battaient pour l’éducation laïque», rappelle la conférencière. Les francs-maçons étant donc bannis de l’Église, ceux de confession catholique devaient eux-aussi être enterrés dans le cimetière protestant Mont-Royal. «Souvent, les gens ont tendance à fonctionner par polarisation: c’est blanc ou noir. Il y a les catholiques et les protestants. Ici on peut voir que, dès le départ, c’était beaucoup plus compliqué que ça», affirme Armelle Wolff. Les Molson s’imposent «L’imposante structure du mausolée de la famille Molson et la place qu’il occupe au cimetière témoignent, comme aucun autre pareil, de l’importance de cette famille à Montréal», affirme Armelle Wolff. Une revue touristique de 1868 parlait même de ce mausolée comme étant le plus prestigieux et le plus monumental du continent Nord-Américain, selon la conférencière. «Ici, ils dominent la ville comme ils dominaient dans le paysage socioculturel montréalais», résume-t-elle.</article>
  16. A L'approche du 375e anniversaire de Montréal et du 50e anniversaire de l'expo67, auquel on pourrait ajouter le 150e anniversaire du Canada, histoire de plaire a tout le monde et de se procurer tout le financement possible, pourquoi ne pourrions nous pas: construire sur l'une des iles, puisque cela ne peut se construire sur l'ile de Montréal meme, ce que l'on voudrait la plus belle tour au monde (cela pourrait donner lieu a un concours international d'architecture) et peut-être meme, pourquoi pas, la plus haute tour de la planete, ce qui pourrait peut etre en faire un symbole architectural emblematique de MONTREAL. Deuxièmement puisque l'on ne sait pas encore quoi faire du silo #5 serait-il possible d'en faire un carrefour, offrant des salles d'expositions pour les evenements speciaux, mais aussi, une place destinee a nos grands musees montrealais,ou ils pourraient se côtoyer, mais aussi ou ils pourraient exposer le trop plein de leurs collections, en plus de representer une invitation a visiter leur adresse en ville, ca pourrait etre une tres grande attraction pour les touristes et peut-être une invitation de prolonger leur sejour. Quelqu'un pourrait-t-il me dire si quoi que ce soit a été fait sur la suggestion d'Alain Simard de créer sur le site de l'expo et avec la participation des pays et (compagnies) ayant participe a EXPO67 d'un grand symposium de sculptures monumentales et architecturales, si rien n'a été fait, pourquoi M, Simard ne prendrait-t-il pas le baton du pelerin.
  17. Suite au déménagement d'Encadrex, il y a une dizaine de jours, il y a eu plusieurs forages sur le terrain de stationnement arrière ainsi qu'autour de la bâtisse actuelle. J'ai demandé aux ouvriers et ils m'ont mentionné que le bâtiment allait être démoli prochainement pour un projet résidentiel, mais ils n'avaient aucune idée de quel type de projet il s'agissait. Street view: https://www.google.ca/maps/preview#!data=!1m8!1m3!1d3!2d-73.557651!3d45.499722!2m2!1f132.53!2f93.03!4f90!2m7!1e1!2m2!1sqTXe1_00O-t7-bCG-I1e4w!2e0!5m2!1sqTXe1_00O-t7-bCG-I1e4w!2e0&fid=5
  18. http://www.lapresse.ca/arts/201309/25/01-4693027-peur-depot-effrayant-conteneur-signe-patrick-senecal.php
  19. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/marie-claude-lortie/201308/03/01-4676686-incontournable-osheaga.php
  20. Photos prises le 16 mars 2013. 6 bâtiments de 4 et 6 étages pour un total de 440 unités.Le projet est situé sur le Boul. Curé-Labelle entre les Boulevards Ducharme et du Séminaire à Ste-Thérèse. Ils doivent décontaminer le terrain ce qui cause beaucoup de problèmes et de frais. La construction débutera très bientôt. Yvon L'Aîné
  21. Après l'article du JdeM en novembre dernier, voici un nouvel article du Figaro sur le phénomène: *** http://www.lefigaro.fr/international/2013/01/01/01003-20130101ARTFIG00150-les-francais-s-exilent-de-plus-en-plus-au-quebec.php Les Français s'exilent de plus en plus au Québec Mots clés : Québec, Expatriés, Émigration, Canada, France, Montréal Par Ludovic Hirtzmann Mis à jour le 02/01/2013 à 18:50 | publié le 01/01/2013 à 20:09 Réactions (201) Les maisons historiques de la place de Paris et le château Frontenac en arrière-plan, dans le quartier du Petit-Champlain, à Québec. Crédits photo : Philippe Roy/Philippe Roy / Epicureans inShare Recommander6 La «Nouvelle-France» attire pour la facilité d'y trouver un emploi ou la qualité de ses universités. Montréal «Au Québec, il n'y a pas de stress. En France, l'ambiance est lourde, l'actualité pesante. Ici, les nouvelles sont positives.» Cédric Marty, boulanger de 29 ans originaire de l'Aveyron, savoure son nouveau bonheur. Il vit à Montréal depuis six mois. Il travaille dans une chaîne de boulangeries où l'ambiance et les conditions de travail sont meilleures qu'en France. «J'ai un visa de travail de deux ans. Je ferai un bilan à la fin, mais je pense rester au Québec», lance-t-il, l'accent chantant. Un avis que partage Gaëlle Mazé, une jeune Bretonne de Quimper, licenciée en biologie. «J'aime le pays. Le climat est chaleureux. Je me sens chez moi. J'ai envie de travailler au Musée d'histoire naturelle de Toronto», explique-t-elle. À l'instar de cette jeune femme de 23 ans, les Français sont «dingues du Québec», comme l'a titré récemment le Journal de Montréal. Ils partent pour la Nouvelle-France dans un exode sans précédent. Chaque année, l'ambassade du Canada à Paris met 6750 permis vacances-travail (PVT, des visas temporaires d'un an) à la disposition des Français de 18 à 35 ans. À la mi-novembre 2012, ils se sont envolés en 48 heures. Du jamais-vu! En 2010, il avait fallu un mois et en 2006 près d'un semestre. «On note une forte augmentation du nombre d'immigrants du continent européen. Cette progression s'explique par un volume plus élevé de nouveaux arrivants (…) de France», souligne une toute récente note du ministère de l'Immigration du Québec. Des «clandestins français» Près de 4000 Français ont officiellement immigré au Québec pour les neuf premiers mois de 2012. Ils étaient 2400 pour la même période en 2011. S'y ajoutent les 6750 «PVTistes» et au moins autant d'expatriés avec d'autres types de visas temporaires, ainsi que 10.000 étudiants dans les universités québécoises (un chiffre en forte hausse). «Et c'est compter sans les clandestins français. J'en connais énormément», chuchote Gaëlle. «Mon visa est expiré, mais je ne veux pas retourner en France. Tout est plus simple ici pour trouver du travail», dit Romain, serveur sans papiers dans un restaurant montréalais. Environ 150.000 de nos compatriotes vivent dans le pays. Le président de l'association Accueil français de Québec, Georges Mosser, confie: «Depuis un semestre, le nombre de demandes de renseignements de Français par courriel a doublé, avec une augmentation sensible des artisans ou des petits entrepreneurs, qui font un voyage d'étude avant de faire le grand saut.» «Ah la french invasion! C'est une immigration audible», dit en riant le député néodémocrate Alexandre Boulerice. Les autorités québécoises veulent des Français jeunes et diplômés. Les Québécois, eux, n'apprécient pas forcément ces cousins à la grammaire «parfaite», qui agace. L'immigration française est rarement fiscale; moins de 2% sont des investisseurs. Les raisons n'en sont pas moins essentiellement économiques, liées à l'emploi, même si une majorité, sans doute par fierté, s'en défend. Si le Canada attire, c'est parce que le taux de chômage n'y est que de 7,2%, un taux réel, sans traitement administratif. Les procédures d'embauche sont simples et dénicher une «jobine», un «petit boulot», est facile. Pour les immigrants à la recherche d'un travail qualifié, et malgré un déficit de main-d'œuvre, l'ultraprotectionnisme des employeurs québécois impose vite des limites. Si «le Canada offre beaucoup d'opportunités professionnelles», relève Julie Meunier, administratrice du site pvtistes.net, elle met en garde contre l'eldorado présenté par certains médias. Les «oubliés de Buffalo» «J'ai parfois l'impression qu'on ne dit pas la vérité», ajoute-t-elle. Les autorités veulent plus d'immigrants pour combler un déficit de main-d'œuvre, mais elles ont diminué les moyens des agents de l'immigration et fermé des consulats. Ce qui indigne Alexandre Boulerice, venu soutenir un groupe d'immigrants «oubliés» par Ottawa. «Je reçois des appels désespérés de nombreux Français», dit le député. Le gouvernement fédéral a demandé à ces immigrants de déposer leur demande de résidence permanente au consulat du Canada à Buffalo, aux États-Unis. Le consulat a fermé au début 2012. Les dossiers sont bloqués. «Je n'ai pas de visa et plus de nouvelles de l'administration canadienne depuis un an. Je ne peux pas travailler», raconte Loïc Kerbrat, un jeune infirmier. Avec une centaine «d'oubliés de Buffalo», comme ils se désignent eux-mêmes, Loïc a organisé une soirée dans un cabaret montréalais. L'un d'eux monte sur scène. Il se lance dans une longue déclamation, avant de conclure: «Notre but est légitime, immigrer. Nous voulons payer nos taxes, nos factures»… au Canada.
  22. nouvel emplacement pour la caisse pop de Lasalle, l'Ancien édifice en question étais en vente il y quelques mois pour 3m, il a été agrandit, ils sont maintenant rendu au briquelage. Il sera sur le boulevard Newman, beaucoup mieux placé que sur la rue Dollard. http://www.messagerlasalle.com/Actualites/Vos-nouvelles/2012-11-26/article-3127769/Le-siege-social-de-Desjardins-sur-lavenue-Dollard-demenagera/1
  23. Lorsque j'ai déménagé dans le coin il y a deux ans, l'immeuble à cet endroit avait brûlé peu avant. Il y avait une terrible carcasse qui rendait ce coin de Mont-Royal, entre St-Denis et St-Laurent, très peu attrayant. Ils l'ont ensuite démoli, et pendant deux ans, ce terrain ressemblait à pas grand chose. Un autre terrain sous-utilisé du secteur. https://maps.google.com/maps?q=55+Avenue+du+Mont-Royal+Est,+Montr%C3%A9al,+QC,+Canada&hl=en&ie=UTF8&ll=45.520293,-73.585289&spn=0.004082,0.010568&sll=45.520651,-73.585934&layer=c&cbp=13,344.57,,0,-5.12&cbll=45.520627,-73.585956&hnear=55+Avenue+du+Mont-Royal+Est,+Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H2T+1N4,+Canada&t=h&z=17&panoid=HmSVeRgzW0mIqi2KysbQ6A Finalement : un projet conventionnel de 4 étages et un rdc commercial! On aime quand même! Le local est loué. On ignore par quoi. Perso, je mets un 10 sur un Starbucks. Ils recherchent ce type d'espace commercial neuf vitré. De plus, il n'y en a pas dans le coin (St-Laurent/Mt-Royal), et la compagnie en ouvre partout sur le Plateau depuis 1-2 ans (Brebeuf/Mt-Royal, St-Hubert/Mt-Royal, Laurier/Lanaudière, Laurier/Parc). Je prie pour que ça soit un café, je vais vous avouer. 22 octobre 2012 :
  24. Oxford Properties vient de signer la plus importante acquisition immobilière depuis 2007 au Québec. Pour 231,8 millions de dollars, la filiale immobilière du Régime de retraite des employés municipaux de l’Ontario (OMERS) met la main sur l’énorme complexe des Appartements La Cité, trois tours de logements sur les rues du Parc, Jeanne-Mance et Prince-Arthur, à Montréal. Les immeubles font 28 à 31 étages. L’ensemble comprend pas moins de 1 351 unités en location. Le 3550, rue Jeanne-Mance comprend également une galerie commerciale. Le courtier responsable de la transaction est RBC Marché des capitaux, qui n’a pas voulu faire de commentaires. Chez son concurrent CB Richard Ellis, Benoît Poulin a vendu un autre immeuble d’appartements à Oxford en juillet 2010, rue Bleury à Montréal. Il n’est pas étonné de voir son ancien client faire cette autre acquisition. «Oxford aime acheter de bonnes propriétés, bien situées, dit-il. Les fonds de pension sont à la recherche de rendements. En Bourse, ils n’en ont plus… Les obligations n’offrent pas beaucoup de potentiel non plus…» Ils cherchent donc à engranger des revenus réguliers en investissant le marché de la location résidentielle. Les vendeurs des Appartements La Cité sont Jean Sylvère et Antoine Chawky. Le complexe a été construit en 1976. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/oxford-achete-les-appartements-la-cite-pour-230-m/548174
  25. À quelques mètres de là, ils ont commencé à creuser sur le terrain de l'ancienne station-service. Quand je suis passé ce matin, ils enlevaient une immense citerne qui devait faire office de réservoir! Le terrain sera-t-il bientôt pour la vente? On est en droit de le penser!
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