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  1. Si on doit constamment être bombarder d'opinions apocalyptiques sur Montréal, je crois que la diffusion des bonnes nouvelles devraient aussi être partager. L'article tient à y aller du titre "Toronto a les frais de garde les plus élevés au Canada", mais je trouve encore plus pertinent que Montréal a en fait les frais les plus bas. On parle d'une différence annuelle de 17,820$ par enfant. Comme l'article le mentionne c'est plus cher que d'envoyer ses enfants à l'université (on ne comparera pas les données des frais universitaires entre les deux ville en plus, même si...) ou c'est l'équivalent d'un deuxième hypothèque. Quel frein énorme au développement économique d'une ville. Si tu as deux ou trois enfants, ça ne vaut pratiquement pas le peine pour un des parents d'aller retourner travailler. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1005326/cout-garderie-toronto-montreal-winnipeg
  2. Bonjour à tous. Plus je me renseigne sur l'art de l'investissement immobilier plus je trouves quelques petits details que je comprend plus ou moins,Je me demandais alors si vous pourriez m'aider à les saisir. les voila les questions ): 1-que signifie *l'amortissement sur le prix d'achat d'un immeuble? 2-Quelle est la difference entre une maison qui a pris le plus de valeur et une maison qui a la plus d'équité? et lequel est plus préférable de vendre ou garde et pourquoi? 3-réhypothéqué une propriété signifie la vendre? 4- que signifie refinancer son immeuble? 5-comment reconnaitre un cycle dans l'immobilier? 6-Que signifie faire un achat sans comptant? C'est tout pour le moment un grand merci à ceux qui ont pris le temps de lire mes questions.
  3. Je propose un fil sur le thème des immeubles montréalais coup de coeur que chacun pourrait proposer en photos. Pas besoin qu'ils soient connus ou imposants, anciens ou modernes, ce peut être un simple duplex digne de mention notamment, ou tout autre type de construction. L'important serait qu'ils se distinguent par leur facture particulière et qu'ils soient pour vous un bel exemple de réussite, un secret bien gardé ou un exemple inspirant à suivre. Ce pourrait même être une découverte dans votre quartier ou ville ou région montréalaise, que vous souhaitez partager sur le forum.
  4. Une dépense de 1,5 milliard Après avoir clamé «un enfant, une place» en campagne électorale, le PQ de Pauline Marois a réitéré hier que tous les parents du Québec devraient disposer d'une place en garderie pour leurs enfants. Après avoir réclamé des compressions budgétaires mardi, l'opposition péquiste a ainsi demandé une augmentation des dépenses pouvant atteindre 1,5 milliard, selon une estimation sommaire faite par le ministère de la Famille et de l'enfance, à la demande du Journal. Reprenant là où il avait laissé en décembre, le député de Gouin, Nicolas Girard, a déploré l'apparent favoritisme du ministre de la Famille, Tony Tomassi, dans l'attribution des places en services de garde, avant de présenter une motion qui consacrerait le «paradis des familles» qu'est devenu le Québec. Cette motion se lit ainsi : «Que l'Assemblée nationale suggère à la Commission des relations avec les citoyens de se saisir rapidement de la pétition signée par plus de 17 800 personnes et déposée en cette Chambre le 17 novembre 2009 réclamant que le gouvernement libéral complète le réseau des services de garde afin que chaque parent qui le désire ait accès à une place à 7 $ pour son enfant.» Le député Girard a évidemment été chaudement applaudi par ses collègues. Campagne électorale Durant la dernière campagne électorale, la chef péquiste, Pauline Marois, avait fait de son slogan «Un enfant, une place» la pièce maîtresse de sa politique familiale. Elle avait proposé une première tranche de 38 000 places en garderie, nécessitant des dépenses additionnelles de 500 millions. Toutefois, proposer une place pour chaque enfant salerait davantage la facture. Selon les statistiques du ministère, il y a actuellement 206 000 places en garderie, dont les coûts totalisent 1,8 milliard. Comme il y a 375 000 enfants de zéro à quatre ans, il faudrait ajouter 169 000 places pour qu'ils en aient chacun une. La facture annuelle passerait à 3,3 milliards. Le PQ ne s'est pas préoccupé de cette addition hier, concentrant ses attaques sur Tony Tomassi, toujours accusé d'ingérence politique dans l'attribution des permis de services de garde. Pour l'essentiel, le député Girard continue de prétendre que le ministre est intervenu pour que «des administrateurs ou des donateurs à la caisse du Parti libéral obtiennent des places dans les services de garde, malgré une évaluation négative» de leurs projets. Le ministre Tomassi continue de se défendre en soutenant que le PQ nage dans la fiction. «Notre seule et unique préoccupation, c'est que le Québec soit le paradis des familles», a-t-il répété. -------- On peut bien avoir une dette astronomique, on gratte les fonds de tirroir pour trouver 5milliards pour ne serait-ce qu'effacer le déficit, que le PQ va proposer d'autre dépenses en plus
  5. Le président du Conseil mondial de l'eau fait une mise en garde contre le gaspillage dans le contexte du réchauffement climatique et de la crise économique. Une vingtaine de personnes sont arrêtées. Pour en lire plus...
  6. Avec la crise économique, les travailleurs licenciés deviennent des proies faciles pour les fraudeurs. L'Autorité des marchés financiers lance donc un appel à la prudence. Pour en lire plus...
  7. Option consommateurs met en garde les personnes détentrices de cartes de crédit contre les congés de paiement minimal offerts en janvier par des institutions financières. Pour en lire plus...
  8. Ben Bernanke a lancé une mise en garde hier, soulignant que les stimulants fiscaux ne seront peut-être pas suffisants pour susciter un redressement. Pour en lire plus...
  9. La SCHL aurait ignoré des mises en garde d'Ottawa Mise à jour le jeudi 18 décembre 2008 à 11 h 30 La décision du gouvernement Harper d'autoriser, en 2006, l'arrivée d'entreprises américaines sur le marché canadien de l'assurance hypothécaire aurait conduit la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) à prendre des risques. Selon ce qu'explique le Globe and Mail, jeudi, les gestionnaires de la SCHL auraient sciemment ignoré, ces deux dernières années, les mises en garde du gouvernement fédéral quant à leur décision d'assurer des prêts hypothécaires à haut risque. Des sources anonymes proches du dossier ont affirmé que la SCHL serait en désaccord avec Ottawa sur le risque posé par les hypothèques amorties sur 40 ans et celles accordées sans une mise de fonds minimale. En fait, la SCHL, selon un responsable du gouvernement fédéral, serait même l'assureuse de près des deux tiers des prêts hypothécaires amortis sur 40 ans qui ont été accordés au pays lors des six premiers mois de l'année. Et si la SCHL ne semblait guère prendre au sérieux les mises en garde quant à la dangerosité potentielle de tels produits, en juillet dernier, le ministre canadien des Finances Jim Flaherty a décidé de prendre le taureau par les cornes et a mis fin, en octobre dernier, aux garanties de prêts sur 40 ans. Selon ce qu'a appris le quotidien torontois, il semblerait que la SCHL, une société de la Couronne créée en 1954, a commencé à adopter le style des assureurs américains lorsque ces derniers ont été autorisés, en 2006, à entrer sur le marché canadien. Les gestionnaires de la SCHL étaient d'autant plus inquiets, toujours selon des sources citées par le Globe, qu'une étude gouvernementale interne qui circulait à l'époque faisait état de la possible privatisation de plusieurs agences fédérales, dont la SCHL. Et c'est la crainte d'être privatisée qui, selon des observateurs anonymes proches de la SCHL, a convaincu l'agence qu'elle se devait d'être perçue somme tout aussi efficace que la compétition.
  10. Alors que l'économie nord-américaine traverse une zone de turbulences intenses, l'industrie québécoise garde le cap et entend toujours embaucher des centaines d'ingénieurs. Pour en lire plus...
  11. «Quand on regarde le Baltic Dry Index.... C'est hallucinant.» Pour en lire plus...
  12. Le «Big 3», ces trois grands fabricants américains, mettent en garde contre leur faillite ce qui serait une menace contre l'économie américaine. Pour en lire plus...
  13. Le premier ministre du Canada salue le plan d'action élaboré par les dirigeants réunis à Washington, tout en mettant en garde contre toute tentation de choisir le protectionnisme au détriment du libre marché. Pour en lire plus...
  14. Le président américain George W. Bush a mis en garde samedi matin contre un regain de protectionnisme dans le monde, à la reprise des travaux du sommet du G20 à Washington sur la crise financière. Pour en lire plus...
  15. À la veille de la rencontre du G20, des grandes entreprises mettent en garde les leaders mondiaux contre la tentation d'entraver la liberté de marché, «un remède qui serait pire que la maladie», selon elles. Pour en lire plus...
  16. L'habitation garde le cap sur la croissance au Québec, contrairement à celle des États-Unis et de l'Ouest canadien, mais sa vigueur s'atténue et une petite baisse devient possible, dans la foulée de la crise financière et de la récession mondiale. Pour en lire plus...
  17. Les Québécoises travaillent davantage 6 novembre 2008 - 06h00 La Presse Francis Vailles Les politiques familiales au Québec ont incité un grand nombre de femmes à intégrer le marché du travail ou à y demeurer. C'est ce que constatent Luc Godbout et Suzie St-Cerny, coauteurs de l'étude sur la famille et la fiscalité. Selon l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), les frais de garde d'enfants élevés «ont un impact négatif sur l'incitation à travailler, les comportements en matière de procréation et les perspectives de carrière à long terme, en particulier pour les femmes». Or, le Québec s'est doté de services de garde à contribution réduite «qui a donc levé un important obstacle à l'emploi», font valoir les auteurs de l'étude. Les garderies à 5$ par jour, puis à 7$, semblent avoir eu un effet très net. Ainsi, le taux d'emploi des femmes de 25 à 44 ans est passé de 70,3% en 1998 à 79,3% en 2007, un bond de 9 points en 10 ans. Cette hausse est deux fois supérieure à celle des Ontariennes. Le taux d'emploi des Québécoises dépasse maintenant celui des principaux pays du G7, notamment la France (75,7%), le Royaume-Uni (73,7%), les États-Unis (71,9%) et l'Italie (60,8%). Les pays nordiques comme la Norvège et la Suède dépassent encore le Québec à cet égard, avec des taux respectifs de 82,5% et 82,3%, mais l'écart se rétrécit.
  18. Le Québec, paradis des jeunes familles 6 novembre 2008 - 06h36 La Presse Francis Vailles La campagne électorale commence au Québec et si la tendance des dernières campagnes se maintient, il sera question des familles. Or, une vaste étude conclut que le Québec est devenu, au fil des ans, un véritable paradis pour les jeunes familles. Les auteurs affirment que nulle part ailleurs dans le monde il est plus facile d'avoir de jeunes enfants, du point de vue financier. Crédit de soutien aux enfants, prestations fiscales et frais de garde réduits font en sorte que les jeunes familles du Québec disposent de plus d'argent pour élever leurs enfants qu'en Ontario, en Alberta, aux États-Unis ou en France. Même la Suède, pourtant réputée pour ses mesures sociales, n'est pas plus avantageuse. Cette vaste étude est le fruit des travaux du professeur de politiques fiscales Luc Godbout et de la chercheuse Suzie St-Cerny, de l'Université de Sherbrooke. L'étude fait l'objet d'un livre, Le Québec, un paradis pour les familles?, qui sera lancé aujourd'hui dans un colloque sur le sujet à l'hôtel Delta, à Montréal. Le colloque réunit une brochette d'économistes et autres experts, dont certains ont collaboré au livre. Chaque chapitre du livre se termine d'ailleurs par le texte d'un économiste, démographe ou sociologue, parmi lesquels on retrouve Jacques Henripin, Pierre Fortin, Sarah Fortin, Alain Noël et Jean-Yves Duclos. «Pour les familles, le Québec n'est pas l'enfer fiscal dont on parle tant, au contraire. Une jeune famille de l'Alberta qui revient vivre au Québec ne baissera pas son niveau de vie», affirme M. Godbout Pour faire leur comparaison, les auteurs ont notamment calculé le revenu net dont dispose une famille après avoir reçu les versements gouvernementaux et payé ses impôts et ses charges sociales (RRQ, assurance-emploi, etc.). Le calcul prend également en compte le paiement des frais de garde, qui sont très faible au Québec avec les CPE. Ainsi, un couple du Québec avec deux jeunes enfants en garderie et un revenu de 75 000$ dispose en fait d'un montant net de 58 330$ pour voir à ses besoins. En comparaison, ce revenu net est de 51 841$ au Nouveau-Brunswick, de 52 854$ en Ontario et de 53 253$ en Alberta. La moyenne canadienne est de 52 267$, ce qui donne aux familles types du Québec 6063$ de plus dans leurs poches. L'écart avec le Canada anglais est réduit significativement lorsque les enfants quittent la garderie, mais demeure favorable au Québec par 156$, en moyenne. De leur côté, les couples sans enfants du Québec ont un désavantage de quelque 1500$. Les auteurs constatent que l'avantage demeure même lorsque les jeunes enfants fréquentent une garderie à 25$ au Québec plutôt qu'un CPE à 7$, en raison du généreux crédit d'impôt québécois dans un tel cas. Ainsi, cette même famille aurait un revenu net de 55 512$, soit environ 3250$ de plus qu'une famille de même type dans les autres provinces, en moyenne. «Le soutien financier des gouvernements dans les autres provinces est inférieur aux frais de garde, ce qui n'est pas le cas au Québec», explique M. Godbout. L'étude fait également la comparaison avec les principaux pays du G7 et les pays avec des filets sociaux généreux comme la Suède, le Danemark ou la Finlande. Pour ne pas s'empêtrer avec les problèmes de conversion de devises, les auteurs ont retenu une méthode de l'OCDE en basant toutes les comparaisons sur un multiple du salaire moyen de chaque pays. Essentiellement, donc, l'étude compare l'impact des mesures familiales pour une famille qui gagnerait 167% du salaire individuel moyen. Au Québec, ce salaire équivaut à un revenu familial de 70 135$. Ainsi, pour une famille de deux enfants, le coût net de garde équivaut à 2,1% du revenu familial disponible au Québec. Cette charge est trois fois supérieure en Suède (6,2%), cinq fois supérieure en France (11,3%) et 10 fois supérieure aux États-Unis (20,1%). Une autre façon d'aborder la comparaison est de mesurer la part du revenu brut dont disposent les familles après impôts, charges sociales et frais de garde. Ce calcul comprend également les prestations reçus par les familles des gouvernements. Résultat: avec une jeune famille, les Québécois conservent 79% de leurs revenus bruts, comparativement à 73% en Suède, 72% au Japon et 66% aux États-Unis. «Le Québec n'est pas immobile. Il y a eu le manifeste sur le Québec lucide et une réplique des solidaires. Ces manifestes ont été de bonnes choses, mais ils ont cristallisé le débat. Notre étude démontre que le Québec a réussi à instaurer une bonne politique familiale, qui augmente la prospérité économique et sociale. Il faut le dire», dit-il.
  19. L'industrie du plastique garde un fort potentiel et fait preuve de créativité, mais le secteur au Canada accuse tout à coup de la surcapacité et fait face à une consolidation douloureuse. Pour en lire plus...
  20. Le président des États-Unis, George W. Bush, déclare qu'il a l'intention de poursuivre sa lutte contre la crise financière. Pour en lire plus...
  21. «On a déjà connu ça à Windsor, des mauvais cycles dans l'automobile. Nous sommes les premiers touchés mais aussi les premiers à rebondir quand le marché reprend.» Pour en lire plus...
  22. Les deux candidats à la présidentielle ont mis en garde le Congrès face à un rejet du plan Paulson. Pour en lire plus...
  23. Prenez garde aux chiens: ces francos qui font rire les anglos Richard Therrien La Presse Le Soleil Leur décapante parodie du message bilingue complètement surréaliste de Justin Trudeau a eu des échos jusqu'au Canada anglais la semaine dernière. Pas pour s'en offusquer ou crier au scandale, mais pour en rire! Même la station de CBC à Toronto, et les sites internet du Globe and Mail et du magazine Macleans ont vanté cette parodie made in Quebec. L'équipe de l'émission satirique Prenez garde aux chiens prend du galon. À sa deuxième saison à Vox, qui a commencé mardi dernier à 22h, le collectif de Québec montre une nette évolution, autant dans le produit fini à l'antenne que dans l'efficacité de ses gags. «L'an dernier, on essayait des choses. Maintenant, on fait mieux, on corrige nos défauts, même si on peut se casser la gueule des fois», reconnaît l'auteur principal de l'émission, David Lemelin, le Justin Trudeau de la parodie. Le sketch de mardi montrant une Jolie Couillon ultravulgaire, piégeant Maximum Berné avec ses micros cachés, était une pièce d'anthologie. Pour la parodie de Justin Trudeau, David Lemelin avoue avoir été pris de court par la réaction des médias canadiens-anglais. «J'étais certain que des partisans nous enverraient promener. Pas du tout. Même les anglophones se paient la tête de Justin.» Le retour de Prenez garde aux chiens arrive à point, en pleine campagne électorale. L'équipe de David Lemelin compte bien passer à la moulinette tous les grands partis. «L'an dernier, le fait qu'on se moque des politiciens durant la campagne avait dérangé le directeur général des élections. S'il réagit encore cette année, ça nous fera une belle pub gratis! Moi, je suis à l'aise avec ça, on n'est financés par personne. Si on vit dans un pays où on ne peut même pas se payer la tête des politiciens, on est vraiment mal pris.» Ainsi, les bloquistes, les néo-démocrates et les conservateurs y passeront. L'équipe profitera d'une parodie d'un discours de Stephen Harper pour évoquer le fameux mystère Québec et l'engouement pour les conservateurs dans la Vieille Capitale. «Je vais me payer la tête de mes compatriotes. S'ils ne comprennent pas nos jokes, tant pis!» David Lemelin annonce aussi un sketch sur Georges Brassens interprétant La femme de Sarko, et d'autres sur la bataille des plaines d'Abraham, sur l'environnement, le prix de l'essence, le pistolet électrique, Vladimir Poutine et des parodies publicitaires. L'humoriste reprend aussi son imitation particulièrement réussie de Lucien Bouchard dans un sketch où il est question cette fois l'Orchestre symphonique de Montréal. Dix émissions sont prévues cette saison, le mardi à 22h. «Et à Vox, on n'a aucun bâton dans les roues. C'est un terrain d'essai idéal.» Voilà qui a de quoi tenir occupé David Lemelin, qu'on a cru un moment devenir le nouvel homme des matins de TQS l'automne prochain. L'aventure n'a jamais abouti, le diffuseur n'ayant pu s'entendre avec les producteurs pour des raisons budgétaires. «Ce que j'ai trouvé difficile, c'est qu'on s'est donné beaucoup de mal à essayer de trouver ce dont ils avaient envie. Aujourd'hui, quand on les regarde aller, on n'est plus sûrs qu'on regrette», admet David Lemelin. TQS n'a toujours aucune émission du matin pour l'automne, à moins qu'elle n'en sorte une de sa boîte à surprises lors du lancement de programmation, mercredi prochain.
  24. Tout en se disant «très préoccupé» par la situation économique mondiale, le Premier ministre a mis en garde contre les scénarios apocalyptiques. Pour en lire plus...
  25. La tension monte entre les représentants régionaux de la FTQ et les membres du groupe écologiste Greenpeace concernant l'exploitation forestière et la protection de la forêt boréale. Pour en lire plus...
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