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  1. Encore une fois pas certain ou afficher -- le gouvernement du Qc propose -- surprise surprise -- de nouveux reglements cette fois dans le domaine des condos. For those familiar with the more granular aspects of condo financing, building and selling any thoughts and comments? I've never bought a condo buy my first reaction is typical Qc government reacation in that more regulation is the answer. How do other jurisdicctions regulate the condo market and is Qc actually in need of updating rules and laws or is this needless meddling?
  2. La "taudisation" du marché locatif Comme à chaque année, lorsque la période du renouvellement des baux arrive, accompagnant la nouvelle année jusqu’à la fin mars, la Régie du logement y va de ses « suggestions » de hausses de loyer. À chaque année, et 2012 ne fera malheureusement pas exception, le même scénario se répète, à savoir des hausses insignifiantes (0,6%,1 dans le cas le plus répandu soit un chauffage électrique assumé par le locataire) et suivit de près pas la parade des organismes de défense des droits des locataires qui crient à l’injustice sociale. Cette année encore, le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) souligne que « … toute hausse additionnelle ne ferait qu’aggraver leur problème (des locataires) d’incapacité de payer ». Rien de moins. Il résulte de cette situation qu’un nombre grandissant de propriétaires sont aux prises avec des immeubles à la rentabilité vacillante ou carrément déficitaire. C’est le cas de cette dame qui, récemment, me racontait avoir acheté un plex en 2007 et devoir y injecter quelque 250$ par mois de sa poche et ce, malgré un taux de location actuellement de 100%, dont les locataires, à ses dires, ont « chacun leur caractère ». Imaginez la situation des investisseurs immobiliers qui désirent acheter un immeuble en 2012 à 15 fois les revenus bruts et parfois plus… Comment réussir à simplement couvrir ses dépenses lorsque les augmentations suggérées sont quatre à cinq fois inférieures à l’inflation? Dans de telles circonstances, comment envisager que ces propriétaires puissent gérer leur immeuble autrement qu’en faisant du « patchage »? Pour sa part, Me Robert Soucy, porte-parole de l’Association des propriétaires du Québec (AQP) mentionnait : « Les propriétaires ne font pas l’entretien parce qu’ils n’ont pas assez d’argent et ils n’investissent pas dans leurs immeubles parce que ce n’est pas rentable. ». Un beau cercle vicieux à l’intérieur d’un cadre règlementé. Le parc immobilier au Québec est vieillissant. Un investissement massif en travaux de réfection et de rénovation, qui plus est pendant plusieurs années, est à la fois nécessaire et urgent. Toutefois, en contraignant les propriétaires à d’infimes hausses des revenus locatifs, à mon avis, la Régie du logement cause plus de tort que de bien. http://www.lesaffaires.com/blogues/martin-provencher/la-taudisation-du-marche-locatif/540261 ----------- Cet article tiré du site de les affaires démontre un réel problème sur l'état du marché locatif au Québec, et sur le pourquoi il se construit presque pas de locatif à montréal comparativement aux condos.
  3. Coolopolis est un blogue tenu par un anglophone qui donne trop souvent son point de vue politique, mais un blogue, ça sert à ça donc, ce n'est pas la raison de mon intervention. J'ai bien ce blogue car il nous tire souvent des photos anciennes qui mérite d'être vues. Cette fois ci, il montre un Square Phillips avec deux escaliers et je me demandais, les dates de ces photos et la raison d'être de ces deux "décentes aux enfers" comme il aime bien le préciser.
  4. Il y a deux phases à ce projet. Deux immeubles similaires. Le rez-de-chaussé est assez haut ce qui me semble inhabituel mais intéressant. Il y a un rendu pour chaque immeuble sur le site mais encore une fois je n'arrive pas à les copiers. Je laisse le site du promoteur car il y a d'autres projets mais la plupart ont été posté ici meme. http://www.chapam.ca/projets.html Phase 1: Phase 2:
  5. c p-e vieux comme le monde, mais moi je viens de voir ca pour la premiere fois: http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=2496,3086590&_dad=portal&_schema=PORTAL en plus ca fait partie du site officiel de la ville ?? lol c'est quoi ca ....
  6. En dépit d'un prix du baril à la baisse, l'essence est reparti à la hausse avec une hausse exagérée d'une douzaine de cents depuis ce matin dans la région de Montréal. Et pourquoi croyez-vous qu'on abuse tant? Parce que nous sommes à l'approche d'un long weekend férié et que les pétrolières veulent fêter avec nous, en s'offrant un cadeau dispendieux à nos propres dépends bien sûr. Cette attitude est des plus scandaleuses et bassement mercantile car elles savent que le consommateur est sans recours et qu'elles peuvent le plumer sans risque d'être embêtées par les gouvernements, qui profitent eux aussi d'une hausse de taxe à la consommation, au passage. L'appétit vorace de ces entreprises est encouragé par nos "amis" réformistes-conservateurs qui couchent avec les pétrolières et qui souhaitent en plus les récompenser avec d'autres allègements fiscaux dans leur prochain budget. Pas de doute, nous sommes revenus aux pratiques sauvages d'avant la récession, avec des spéculateurs qui exagèrent nettement les risques de pénurie (puisque le pétrole libyen est compensé par du pétrole saoudien) et rien d'autre dans le monde qui justifie une telle prédation des prix. C'est une nouvelle crise artificielle de l'énergie qui pointe à l'horizon et qui dépassera certainement les hausses de prix qu'on a vu à l'été 2008, avant l'autre crise, créée elle aussi de toute pièce et que tout le monde connait. Nous sommes entrés dans une ère de grande instabilité causée par l'avidité sans limite des grosses corporations et des hauts dirigeants qui siphonnent littéralement les forces vives de la société. C'est un appauvrissement rapide des classes moyennes qui nous guette par un transfert forcé de la richesse vers le privé, et de la dette nationale vers le public. Et qui s'élève contre ces pratiques anti-sociales? Personne, bien au contraire. Pire encore, Harper veut diminuer la fiscalité des grandes entreprises dont profitera directement l'industrie pétrolière, sous prétexte de créer des emplois. Mais ces emplois seront créés de toute façon car le pétrole est devenu l'eldorado qui garantit des profits faramineux à quiconque s'y intéresse de près ou de loin. Ainsi le petit peuple passera deux fois à la caisse: premièrement à celle de la station service qui l'attend pour l'assommer avec son propre porte-feuille, et ensuite indirectement en subventionnant les compagnies qui exploitent des gisements par des baisses de taxes scandaleuses. Cet allègement fiscal enrichira davantage ces ogres financiers qui profitent une deuxième fois de notre argent, mais là sans rien en retour. Est-ce cela que nous souhaitons pour l'avenir de ce pays? Nous pouvons difficilement nous défendre contre les pétrolières, il faudrait une volonté politique énorme pour contrôler la situation et c'est possible avec le temps. Mais nous pouvons immédiatement réagir en mettant le gouvernement Harper à la porte en l'empêchant de donner nos taxes à des bandits en cravate qui, comme eux, n'ont aucune conscience morale ni sociale. Je suis révolté par ces pratiques moyenâgeuses et cette complicité intolérable des réformistes-conservateurs qui ne représentent pas l'intérêt des payeurs de taxes, donc des électeurs, mais de la grande entreprise. Pour reprendre le slogan de Terreneuve lors de la dernière élection en 2008, je propose moi aussi leur formule toute simple, mais à tout le pays: ABC "anyone but conservatives".
  7. Maxime Bergeron La Presse (Montréal) Moins de deux étages de la Place Ville-Marie. C'est l'équivalent de tous les bureaux en construction au centre-ville de Montréal, une quantité 26 fois plus faible qu'à Calgary et 13 fois moins élevée qu'à Toronto. Selon un rapport publié hier par la firme CB Richard Ellis, les chantiers d'immeubles commerciaux ont totalisé à peine 65 500 pieds carrés au premier trimestre de 2011 dans le coeur de la métropole. Pendant la même période, 1,7 million de pieds carrés étaient en construction au centre-ville de Calgary, presque 2 fois la superficie du 1000, De la Gauchetière! Le marché locatif s'est pourtant amélioré à Montréal depuis un an. Le taux d'inoccupation des immeubles de bureaux a reculé de 1% au centre-ville, à 8%, indiquent les données de CBRE. Mais l'ingrédient essentiel à l'érection de nouveaux gratte-ciels - une hausse substantielle des loyers - fait toujours défaut. «Il faut deux choses pour démarrer un projet: assez de locaux préloués, pour atténuer les risques, et des loyers qui offrent un rendement sur la construction, souligne John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE. Or, les loyers à Montréal demeurent plus bas que la moyenne au pays.» Le loyer net moyen des immeubles de catégorie A a atteint 20,85$ le pied carré au centre-ville de Montréal au premier trimestre, en hausse de 21 cents sur 1 an. Cela se compare à 31,17$ au centre-ville de Vancouver, 29,61$ à Calgary, 24,08$ à Toronto et 23,83$ en moyenne dans le coeur des grandes villes du pays. De nombreux projets d'immeubles de bureaux sont sur les planches à dessin à Montréal, parfois depuis plusieurs années. C'est le cas du 900, boulevard De Maisonneuve Ouest, une tour de 27 étages mise de l'avant par la SITQ, bras immobilier de la Caisse de dépôt. Même si rien ne se passe sur le terrain du futur gratte-ciel, en plein coeur du quartier des affaires, le projet est loin d'être abandonné, assure Guy Brault, vice-président, location, à la SITQ. «On attend les conditions gagnantes avant de lancer la construction. C'est une question d'arrimer nos attentes de rendement avec le marché.» Sans spéculer sur l'avenir du 900, De Maisonneuve Ouest, M. Brault dit avoir bon espoir qu'une nouvelle construction sera annoncée au centre-ville de Montréal cette année. Le marché est dans l'ensemble «très positif», selon lui, comme en témoigne le taux d'inoccupation de 7% du parc immobilier de la SITQ, qui possède 7 immeubles au centre-ville, dont le 1000, de la Gauchetière et la Place Ville-Marie. Parmi les projets potentiels, Canderel souhaite ériger un immeuble de bureaux au square Phillips, tandis que la Magil Laurentienne planifie un vaste complexe mixte comprenant 2 tours de 15 à 20 étages à l'angle des rues University et Saint-Jacques. Les grands immeubles les plus susceptibles de voir le jour à court terme au centre-ville comprendront toutefois peu ou pas de bureaux. Il s'agit de la tour Altoria, au square Victoria (qui inclura 25 étages de condos et 10 étages commerciaux), de l'hôtel Marriott Courtyard, qui s'élèvera sur 40 étages à l'angle De Bleury et René-Lévesque, ainsi que de l'Altitude, un complexe résidentiel de luxe de 33 étages. Dans l'ensemble de la région métropolitaine, le taux d'inoccupation des immeubles de bureaux s'est élevé à 9,6% au premier trimestre, en baisse de 1%. En incluant les banlieues, les chantiers ont totalisé 588 000 pieds carrés pendant les 3 premiers mois de 2011. John O'Bryan, de CBRE, se dit très enthousiaste par rapport à l'ensemble du marché commercial canadien, y compris Montréal. «Nous sommes habitués de voir une partie du pays s'améliorer pendant qu'une autre s'enfonce. Cette fois, la reprise s'observe d'un océan à l'autre.» La vigueur fulgurante de Calgary constitue une exception dans ce contexte de reprise graduelle, selon M. O'Bryan. Il qualifie la ville de «Cendrillon», qui s'est vite relevée de la récession grâce au rebond marqué des ressources naturelles. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201103/29/01-4384119-immeubles-de-bureaux-26-fois-plus-de-projets-a-calgary-qua-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  8. Pour une fois que c'est le cas, soulignons-le....... http://24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/02/20110203-153638.html
  9. LA GUERRE À L’AUTO Une journée, ce n’était pas assez. Cette année, on a droit à une semaine complète d’En ville sans ma voiture. Les écolos en profitent aussi pour lancer la première édition des Quartiers sans voitures. À quand la ville, le pays ou la planète sans voiture, à l’année? Pour les extrémistes de la religion verte, ce n’est qu’une question de temps. Des kiosques de propagande, des conférences subventionnées sans auditoire et des rues fermées inutilement qui font rager. On en a pour la semaine. Amis automobilistes, armez-vous donc de patience et sortez votre portefeuille. Jusqu’à vendredi, le vert n’évoquera peut-être plus la nature mais bien plutôt la couleur de la face de ceux et celles stationnés dans les embouteillages aux quatre coins de la ville. À Montréal, pour l’armée anti-voiture, les champs de bataille sont déjà bien ciblés: réduire les espaces de stationnement tout en augmentant le coût, bloquer la réfection de l’échangeur Turcot pour congestionner encore davantage l’accès au centre-ville, inonder les rues de Bixi et cesser de déneiger en hiver pour empester la vie des automobilistes. Demain, Montréal à vélo organise même au square Phillips le «Die-in 2010» où le fanatisme en amènera certains à mimer la mort, maquillés de «bandages, faux sang, blessures», couchés au sol à une intersection «afin de symboliser la plus grave conséquence de l’omniprésence de la voiture». PROJET MONTRÉAL Dans la métropole québécoise, la haine de l’auto vient de haut. Le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, qui a obtenu plus de 25% des votes lors des dernières élections municipales et qui fait maintenant partie du Comité exécutif, est l’auteur du «Livre noir de l’automobile». Monsieur Bergeron considère l’automobile comme une «arme à tuer», «pas nécessairement un instrument de transport». Selon lui, nous voudrions une machine «mâle par essence» pour succomber à une volonté «de domination, de puissance, de performance et de contrôle.» Il se demande pourquoi on peut interdire les armes à feu et pas les armes à quatre roues. Il propose de légiférer pour limiter la puissance et la vitesse des autos, tout en exigeant «au moins une maîtrise universitaire pour conduire un camion». VÉRITABLE PROGRÈS Pourtant, la réalité est que les autos neuves vendues présentement au Québec sont plus sécuritaires que jamais. Le bilan routier québécois compte de moins en moins de morts, passant de 2209 décès sur les routes en 1973 à 515 en 2009, avec un parc automobile deux fois plus important. Les voitures neuves sont aussi 99 fois moins polluantes que celles vendues en 1970, 37 fois moins polluantes qu’en 1987 et 12 fois moins polluantes qu’en 1993. Qu’on se comprenne bien : je n’ai absolument rien contre ceux qui choisissent de ne pas avoir d’auto et préfèrent utiliser les transports collectifs. J’en suis. Mais à entendre le discours des ayatollahs de l’environnement, j’ai juste le goût de m’acheter un char pis de déménager en banlieue ou en région. Depuis mon retour de Bagdad l’année dernière, je fuis les zones de guerre et l’intégrisme… http://blogues.canoe.ca/ericduhaime/enjeux-de-societe/mouvement-ecologique/la-guerre-a-l%E2%80%99auto/
  10. Encore une fois, j'ai fait une petite recherche, mais je ne l'ai pas vu sur le forum... Le projet est juste à côté du Pivot.
  11. Texte a la fois hilarant mais teinté de vérité... http://truisme-lepamphlet.blogspot.com/2010/10/mineurs-emprisonnes.html
  12. "Avec ses 15 000 artistes, son demi-million de membres de minorités visibles et ses 628 brevets d'invention, Montréal est une ville d'un dynamisme «unique», une métropole «remarquable» reconnue pour sa qualité de vie. Mais c'est en même temps une ville affligée de problèmes sérieux et persistants, révèle le dernier bilan de santé publié hier par la Fondation du Grand Montréal. Ses immigrants sont plus frappés par le chômage que ceux des autres grandes villes canadiennes, sa population est peu diplômée et les inégalités de revenu sont criantes. «Montréal a perdu depuis longtemps son statut de métropole du Canada, mais c'est une ville importante, capable de briller en entrepreneuriat social et dans les arts et la culture», résume Simon Brault, président de Culture Montréal. La ville doit toutefois être «extrêmement consciente» des inégalités sociales sur son territoire, précise-t-il, même si celles-ci ont permis de développer un réseau de solidarité sociale impressionnant. «C'est une ville remarquablement résiliente. Quand on arrive dans une période de déclin de croissance, ce que nous réservent probablement les prochaines années, c'est une qualité immense que d'avoir ce système de solidarité sociale.» Intitulé «Signes vitaux», ce rapport sur la grande région de Montréal, qui inclut Longueuil, Laval, les couronnes nord et sud, en est à sa dixième édition. Il se veut une synthèse de centaines de statistiques des 10 dernières années, surtout extraites des recensements et d'études de Statistique Canada. Culture et Montréalais timides Un des quatre orateurs invités à la présentation d'hier, Simon Brault a notamment relevé que le secteur culturel est en forte croissance dans la région métropolitaine: ses 96 910 emplois directs en 2008 représentent 5,1% des emplois montréalais. Dix ans plus tôt, cette proportion était de 3,9%. La répartition des revenus est cependant «incroyable», note-t-il, 20% des artistes accaparant 80% des revenus. Quant à l'ouverture des Montréalais envers leurs artistes, elle est toujours aussi timide: à peine 25% d'entre eux se sont rendus à un événement théâtral ou musical professionnel dans les 12 derniers mois, selon la dernière enquête de Statistique Canada datant de 2005. Et moins du tiers des Montréalais (29,8% en 2007) sont abonnés à une bibliothèque, presque deux fois moins que les Vancouverois (57,1%) et les Torontois (47,4%). Pour Aida Kamar, présidente fondatrice de Vision Diversité, un organisme qui promeut les échanges entre artistes de toutes origines, c'est l'intégration des nouveaux arrivants qui est le principal défi qui attend Montréal. «Dans notre quotidien, la diversité est là, dans la nourriture, dans les mariages mixtes. Et pourtant, il y a des signes inquiétants, notamment en ce qui concerne le chômage.» De 604 000 en 2006, le nombre de membres de minorités visibles passera à 1,5 million en 2031. Si on le compare à celui des personnes nées au pays le taux de chômage des immigrants récents est 3,5 fois supérieur dans la grande région de Montréal -alors qu'il est de 1,9 fois supérieur au Canada. «Ce qu'il faut, ce n'est pas de la discrimination ou des accommodements raisonnables ou déraisonnables, mais des opportunités, estime Mme Kamar. Nous ne pouvons plus regarder l'immigration avec le même regard.» Créée en 1999, la Fondation du Grand Montréal est un organisme de bienfaisance qui distribue environ 1,5 million de dollars par année, grâce à ses fonds de dotation totalisant plus de 100 millions. Son rapport annuel est notamment utilisé pour établir les secteurs et identifier les organismes qui ont besoin de financement. Points saillants > En 2009, la grande région de Montréal regroupe 3,8 millions de personnes, soit près de la moitié (48,7%) de la population du Québec. > Avec 26,5% de sa population de 25 à 64 ans détentrice d'un diplôme universitaire en 2006, Montréal se classe 29e parmi 31 régions métropolitaines d'Amérique du Nord. > Parmi 215 grandes villes du monde, en 2009, Montréal occupe le 22e rang pour sa qualité de vie et le 15e pour ses infrastructures. > En 2008, 18% de la population de la grande région vit sous le seuil de faible revenu - la plus forte proportion des métropoles canadiennes. > En janvier 2010, dans l'île, le coût d'une saine alimentation est estimé à 6,90$ par jour par personne pour une famille type; il s'agit d'une augmentation de 26% en cinq ans. > En 2009, 16,6% des adultes de la grande région sont obèses. Toronto (13,9%) et Vancouver (11,5%) font mieux à cet égard. > En 1971, l'âge moyen auquel les enfants de l'île commençaient à regarder la télévision était de 4 ans; il a chuté à 5 mois. > Dans l'ensemble, la criminalité attribuable aux gangs de rue représente 1,6% des actes criminels commis sur le territoire montréalais en 2009; les gangs sont cependant responsables de 16% des homicides et de 35% des tentatives de meurtres. > En 2008, chacun des résidants de l'île a nécessité l'élimination de 330 kg d'ordures ménagères. > En 2009, 54,9% de la population de la grande région se reconnaît un fort sentiment d'appartenance à son milieu; la moyenne est de 65,4% pour le Canada et de 56,4% pour le Québec." http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201010/06/01-4329950-montreal-ville-resiliente.php
  13. Publié le 04 octobre 2010 à 06h29 | Mis à jour à 06h29 (Montréal) Ils déposent plus de brevets, lancent plus d'entreprises et attirent plus de capital-risque que quiconque sur la planète. Malgré un territoire pauvre en ressources naturelles et une situation politique instable, les Israéliens se sont hissés au sommet des indicateurs internationaux d'innovation. Le Québec, qui traîne la patte en la matière, peut-il s'inspirer de l'État hébreu? > Suivez Philippe Mercure sur Twitter Lundi dernier, à Québec. Le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac, lance les mises en candidature pour combler un tout nouveau poste: celui de «scientifique en chef». La personne choisie deviendra à la fois le chef d'orchestre, le conseiller du gouvernement et le porte-parole de tout ce qui touche à la recherche québécoise et son financement. Ce rôle, les Israéliens le connaissent bien. Ils comptent sur un scientifique en chef depuis 1984. Le parallèle n'est pas fortuit. «Mon idée de créer le scientifique en chef est venue quand j'ai regardé ce qui se passe en Israël - un petit pays, mais qui a des gains de productivité très élevés», a révélé à La Presse Affaires le ministre Gignac lors du dévoilement de la stratégie québécoise sur l'innovation, au printemps dernier. Cet exemple illustre un fait méconnu, mais facile à vérifier: le milieu de l'innovation québécois a les yeux rivés sur Israël, un territoire qui compte une population et un PIB similaires à ceux de la province, mais qui innove beaucoup plus. «Israël est un monde que je connais particulièrement bien et qui a influencé mes réflexions depuis sept ans», dit Jacques Bernier, associé principal de Teralys - plus important réservoir de capital-risque du Québec et de tout le Canada avec 700 millions sous gestion. M. Bernier dit aller en Israël en moyenne une fois par année. Il y a deux ans, Raymond Bachand, actuel ministre des Finances qui occupait à l'époque le siège de M. Gignac au Développement économique, s'y est aussi rendu avec une importante délégation commerciale. But de la mission: tisser des liens, mais aussi prendre quelques notes. «Israël est similaire au Québec à plusieurs points de vue, observe M. Bachand en entrevue. Il y a la taille, il y a ses secteurs porteurs qui sont très similaires à ceux du Québec - la biotechnologie, la pharmaceutique, les technologies de l'information. Et Israël est un leader mondial à la fois dans les secteurs technologiques et le capital-risque.» «Pour motiver un changement de perspective sur la technologie au Canada ou au Québec, Israël est le pays qui nous offre la plus belle occasion», dit carrément Céline Bak, du Russell Mitchell Group, groupe de consultants en technologie établi à Ottawa. Pourquoi Israël? «Quand on parle de la Chine, les gens nous disent: ils sont un milliard et demi, il n'y a pas de démocratie, ce n'est pas la même chose, répond Mme Bak. Avec Israël, on n'a pas d'excuse. C'est un pays où il n'y avait rien ou si peu il n'y a pas si longtemps, et tout d'un coup il se retrouve chef de créneau dans plein de secteurs.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/international/201010/04/01-4329218-israel-les-lecons-pour-le-quebec.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS2
  14. Le 25 septembre 2010 Opération patrimoine: de découverte en découverte * Carole Thibaudeau La Presse L'Opération patrimoine architectural de Montréal (OPAM) célèbre ses 20 ans d'existence, avec, depuis hier et jusqu'au 10 octobre, son traditionnel concours de la maison coup de coeur du public, ses conférences, ses circuits de découverte à pied, ses activités pour la famille, ses musées et ses journées portes ouvertes, bref, près d'une quarantaine d'activités gratuites. Du nouveau cette année: le circuit pédestre Trésors du Vieux-Montréal. Les personnes intéressées aux immeubles patrimoniaux du Vieux-Montréal organisent leur propre itinéraire, à partir des fiches descriptives (histoire et architecture) qu'on trouve sur http://www.operationpatrimoine.com.'>http://www.operationpatrimoine.com. Deux autres randonnées urbaines, guidées cette fois, promettent de belles découvertes: une visite des lieux mentionnés dans les romans de Mordecai Richler, sur la Main et dans le Mile-End, aujourd'hui, de 10h à 12h (http://www.amisboulevardstlaurent.com ou http://www.mile-end.qc.ca); et une excursion toponymique du Vieux-Montréal au centre-ville, avec des experts expliquant l'origine des noms des rues, une activité réputée riche en anecdotes: le samedi 2 octobre, de 14h à 16h. Réservation obligatoire: 514-872-3953. À noter, deux itinéraires de découverte se feront simultanément en autobus, demain, dimanche, à 10h: l'un pour les cinémas de quartier, et l'autre sur le Montréal disparu (squares anéantis, rivières enfouies, etc.). Renseignements au 514-872-3207 ou sur http://www.autremontreal.com. Comme activité familiale, la Chasse aux trésors à Stewart Hall, le remarquable édifice abritant le centre culturel de Pointe-Claire, vaudra un prix à chaque enfant qui terminera le parcours. Aujourd'hui, de 13h à 16h. Renseignements: 514-630-1220. Maison coup de coeur Les Montréalais sont invités à choisir la maison coup de coeur La Presse-Historia, pour la 14e fois. Chacun vote, avant le 31 octobre à 17h, pour sa maison favorite parmi une sélection de cinq propriétés primées en 2010. Les participants sont admissibles à un tirage avec 12 700$ en prix à gagner: un week-end pour deux à l'hôtel Place d'Armes du Vieux-Montréal (800$), un ventilateur-échangeur d'air LifeBreath (1200$), trois aspirateurs centraux (900$ chacun), un bon d'achat de 3000$ pour Portes&Fenêtres Métropolitain et un bon d'achat de 5000$ applicable chez un fournisseur recommandé par CAA-Québec, services en habitation). Les photographies de ces maisons seront télédiffusées sur Historia et publiées dans La Presse, où elles seront accompagnées de bulletins de vote à découper. On pourra aussi faire son choix directement sur le site http://www.lamaisoncoupdecoeur.com. Portes ouvertes Encore une fois revient la Journée portes ouvertes du patrimoine, demain dimanche, de 13h à 16h. Une cinquantaine de propriétés à vendre, dotées d'un grand cachet patrimonial, seront ouvertes aux amateurs de belles résidences. La Journée est organisée par des membres de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). La Journée portes ouvertes du patrimoine a été imaginée pour offrir aux amateurs de patrimoine la possibilité d'apprécier en un après-midi un bel échantillon de résidences anciennes. La liste de ces résidences se trouve sur le site de l'OPAM ainsi que sur celui de la CIGM (http://www.centris.ca). L'OPAM est organisée par la Ville de Montréal et Héritage Montréal, en partenariat avec la Banque Laurentienne et avec l'appui de plusieurs autres organismes. http://www.operationpatrimoine.com
  15. Un des meilleurs films que j'ai jamais eu la chance de voir, absolument magnifique. Je l'ai regardé deux fois pour saisir tous les petits détails. Ce film est une orgie incroyable d'émotions, d'action et d'introspection. À voir, préférablement en IMAX. 10/10
  16. Vendre Hydro, la SAQ et Loto-Québec? 08/03/2010 L’Ontario étudie sérieusement la possibilité de créer une super entité, d’y transporter ses principales sociétés commerciales, et d’émettre une partie des actions au public. Idée dont devrait s’inspirer le Québec? Le Toronto Star rapportait cette fin de semaine que le gouvernement ontarien pourrait bientôt créer une super société dans laquelle il transporterait Hydro One, l’Ontario Lottery & Gaming Corp, et la LCBO. Cette super entité pourrait valoir entre 50 et 60 G$. Elle serait ensuite en partie vendue à des investisseurs privés ce qui permettrait de faire rentrer entre 18 et 25 G$ dans les coffres de la province. On s’est demandé ce que l’exercice pourrait donner au Québec. La valeur d’Hydro La société d’État a dégagé l’an dernier (2008) un bénéfice avant intérêts, impôt et amortissement (BAIIA) de 8,8 G$. Gaz Métro se négocie à environ 8 fois le BAIIA, mais on va être un peu plus généreux et appliquer un multiple de 10, qui correspond au multiple moyen du secteur des utilités et des producteurs d’énergie des firmes d’investissement Cormark et Desjardins. Cela veut dire 88,8 G$. Il faut retrancher la dette de 36,4 G$. On en arrive à une valeur de 52,4 G$ pour Hydro. La valeur de Loto-Québec On a évalué le BAIIA de la dernière année à environ 1,7 G$. Bien que sa rentabilité soit actuellement sous pression, Loto-Québec a la chance d’évoluer dans un secteur où les investisseurs sont actuellement prêts à payer plus cher pour des actifs que dans d’autres secteurs. L’univers de la maison Oppenheimer se négocie autour de 14-15 fois le BAIIA. On va prendre 14 fois. Moins la dette de un peu plus de 1 G$. C’est une valeur de 22,8 G$ pour Loto-Québec. La valeur de la SAQ Un BAIIA autour de 842 M$. Une dette de 545 M$. Optons pour un multiple de 10, ce qui est à prime sur l’univers des sociétés d’épicerie de Banque Nationale Groupe financier, mais en ligne avec la fiducie Liquor Stores. Valeur : 7,8 G$. Bon pour le Québec? En additionnant la valeur de chacune des société, on en arrive à une super entité qui devrait valoir autour de 83 G$. S’il faut en croire les chiffres du Star, le gouvernement ontarien songerait à céder 35-40% de la super société. Allons-y avec 40%. C’est dire que l’on pourrait retrancher 33,2 G$ à la dette de la province (134 G$). Toute chose étant relativement égale, le service de la dette (actuellement à 6,5 G$) baisserait d’environ 1,6 G$. Il faut cependant aussi retrancher 40% du bénéfice que le gouvernement a actuellement dans ses livres, puisque l’on n’y aurait plus droit. Si l’on retranche 40% de ce que le gouvernement attend de ses sociétés d’état dans le dernier budget, on se retrouve avec un manque à gagner de 1,9 G$. Quoiqu’il rentrerait probablement autour de 600 M$ en impôt (11,9%) que les sociétés se mettraient à payer. Ca fait donc un manque à gagner de 1,3 G$. Au final On se retrouve donc avec un gain de 1,6 G $ et une perte de 1,3 G $, pour un avantage réel de 300 M$. Évidemment, il y a un peu de pommes et d’oranges dans notre calcul, avec des années fiscales qui ne courent pas toujours sur la même période, des écritures qui pourraient parfois être adaptées, des taux d’intérêt qui peuvent grimper et des multiples qui prêtent à discussion. Mais, très sommaire soit-il, l’exercice permet quand même ce constat : il n’y a pas un très fort signal pour une opération du genre. En tenant compte des coûts de transaction, on ne semble pas loin de changer quatre trente sous pour une piastre.
  17. La hausse du PIB de Montréal devrait être de 2,5% en 2010. Olivier Schmouker . les affaires.com . 27-01-2010 Québec devrait être l’une des villes canadiennes a tirer le plus profit de la reprise économique en 2010, selon le Conference Board du Canada. L'an dernier, le produit intérieur brut (PIB) de Québec n'a reculé que de 0,2%, soit une des meilleures performances au Canada. Seules quatre villes avaient affiché une croissance économique en 2009 : Halifax, Saint-John, Winnipeg et Regina. Du coup, elle est mieux positionnée que d’autres pour renouer avec la croissance économique. «Cette année, les villes canadiennes reprendront des forces, mais à un rythme qui variera considérablement. La championne canadienne de la croissance sera Vancouver (+4,5% de son PIB en 2010), et Québec arrivera en tête au Québec», dit Mario Lefebvre, directeur, centre des études municipales, du Conference Board du Canada. Ainsi, le PIB de Québec devrait croître de 2,6% en 2010, et ce en grande partie grâce aux secteurs de la fabrication, du commerce de gros et de détail, de l’immobilier ainsi que des finances et de l'assurance. La récession laisse des traces Pour la première fois depuis 1991, l'économie de Montréal a affiché l’an dernier un repli. Mais, bonne nouvelle, l'activité a commencé à s'intensifier au troisième trimestre de 2009, et le taux de croissance dans la plupart des secteurs devrait s'accélérer en 2010. Du coup, la hausse du PIB de Montréal devrait être de 2,5% en 2010. Idem à Sherbrooke, l'économie s'est repliée l'année dernière pour la première fois depuis 1991. La reprise en cours devrait, là aussi, se traduire par une progression du PIB de 2,5%. 2009 a été une mauvaise année également pour Trois-Rivières, avec le pire recul économique en 13 ans. Les prévisions du Conference Board avancent un retour de la croissance cette année, de l’ordre de 2,1%, grâce notamment aux secteurs manufacturier et de la construction non résidentielle. De son côté, l'économie de Saguenay croîtrait pour la première fois en trois ans, et ce au rythme de 1,4%. Mais attention, la reprise ne pourrait y être que de courte durée, le Conference Board y prévoyant une stagnation de l’emploi pour les deux prochaines année
  18. Publié le 07 décembre 2009 à 20h39 | Mis à jour à 20h42 Sables bitumineux: une étude contredit les chiffres de l'industrie La Presse Canadienne Edmonton Une étude indépendante publiée lundi aux États-Unis laisse sous-entendre que la pollution provenant des sables bitumineux de l'Alberta est cinq fois plus élevée et deux fois plus étendue que ne l'affirment les statistiques produites par les dirigeants de l'industrie. L'étude affirme que les émissions toxiques issues des sables bitumineux se comparent à un déversement majeur de pétrole... chaque année. Les responsables du gouvernement et de l'industrie disent que la contamination notée dans les sols et rivières de la région est naturelle, mais l'étude la lie étroitement à l'extraction des sables bitumineux. Selon David Schindler, co-auteur de l'étude, les chercheurs ont découvert d'importants apports de composés organiques toxiques issus de l'industrie des sables bitumineux dans la rivière Athabasca et ses affluents. M. Schindler a ajouté que l'industrie était la principale source de pollution de la rivière. L'étude critique également le programme de contrôle du gouvernement de l'Alberta. Celui-ci a réagi en mettant en doute les conclusions de l'étude. Selon Preston McEachern, scientifique environnemental de l'Alberta, les sources de contamination sont plus importantes près des installations de sables bitumineux parce que c'est là que les dépôts de bitume sont les plus concentrés. Quant au programme de contrôle, M. McEachern soutient qu'il a d'abord pour objectif de fournir une information à l'échelle régionale. La province de l'Alberta se fie à des informations spécifiques issues de l'industrie, revue par des inspecteurs provinciaux, pour obtenir des données plus détaillées. Ce n'est pas le premier rapport à mettre en doute les données produites par l'industrie et cibler les répercussions environnementales. À l'été de 2008, l'équipe de chercheurs de M. Schindler avait mis en place des stations de contrôle le long de l'Athabasca et de quelques-uns de ses affluents, et découvert des concentrations pétrochimiques une fois que les courants passaient au-delà des installations de sables bitumineux.
  19. [c'est arrivé jeudi] La Métropolitaine encore inondée Bruno Bisson La Presse Publié le 04 décembre 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 C'est la sixième fois en seulement cinq ans que la circulation est perturbée en raison d'une inondation de la chaussée sur la Métropolitaine, sous le rond-point l'Acadie. En 2005 (notre photo), deux incidents majeurs avaient provoqué de nombreux refoulements dans les conduites d'eau. La plus importante autoroute du Québec, la Métropolitaine (A-40), a été une fois de plus partiellement fermée durant trois heures, en période de pointe, hier matin, en raison d'une averse ordinaire et de trois puisards bloqués, à la hauteur du rond-point l'Acadie, dans le nord de Montréal. La mare qui s'est accumulée sur la chaussée de la voie de service de l'autoroute 40 en direction est, peu avant 7h du matin, a atteint une profondeur de 10 à 12 cm, dans la partie la plus profonde de la chaussée. Deux voies de circulation ont dû être fermées jusqu'à 10 h 30, a indiqué hier le directeur de la Direction de l'épuration des eaux usées à la Ville de Montréal, M. Richard Fontaine. C'est la sixième fois, au moins, en seulement cinq ans, que la circulation est perturbée en raison d'une inondation de la chaussée sur la Métropolitaine et ses voies de service depuis la reconstruction du rond-point qui surplombe l'autoroute 40, et qui relie l'autoroute au réseau artériel de la Ville de Montréal. Construit à la fin des années 50 pour relier les secteurs situés de part et d'autre de l'autoroute, le rond-point l'Acadie a été entièrement reconfiguré, au début des années 2000. La facture de ce projet était estimée à 58 millions. Les travaux terminés, à la fin de 2004, en ont coûté le double : 116 millions. Dans les mois qui ont suivi l'inauguration de la structure, l'autoroute Métropolitaine, qui passe sous le rond-point, a été complètement inondée à deux reprises, et ce, à seulement trois semaines d'intervalle, en raison des précipitations d'une rare intensité tombées sur Montréal les 14 juin et 5 juillet 2005. Ces incidents ont été attribués aux précipitations exceptionnelles qui ont surchargé un collecteur principal de conduite d'eau de la Ville de Montréal, qui draine les eaux usées d'une large portion du nord de la ville, englobant tout le secteur du rond-point l'Acadie. À la suite d'une troisième inondation survenue en juillet dernier, le ministère des Transports du Québec (MTQ) et la Ville de Montréal ont entrepris la réalisation d'études hydrauliques pour tenter de comprendre comment et pourquoi se produisent ces surcharges du collecteur, et trouver des solutions pour y remédier, a révélé hier M. Fontaine. Hier matin, l'inondation de la chaussée n'avait toutefois rien à voir avec le collecteur de la Ville, ni avec des pluies intenses. Selon Environnement Canada, les précipitations de mercredi à hier ont laissé environ 10 mm d'eau sur la ville, dans les trois heures qui ont précédé l'inondation de la voie de service de l'autoroute 40. «Ce n'était pas un problème de refoulement, a dit M. Fontaine, mais plutôt un problème d'écoulement. Les équipes d'entretien dépêchées sur les lieux ont constaté qu'il y avait des débris qui obstruaient trois regards d'égout. Le curage des trois regards a été fait, et les eaux se sont écoulées immédiatement.» M. Fontaine a précisé hier qu'on «a convenu avec l'arrondissement qu'on procédera à un nettoyage plus fréquent de ces regards d'égout. Habituellement, on le fait une fois aux six mois. Mais je pense que dans ces conditions, avec ce qu'on a vu aujourd'hui, ça va être fait désormais tous les mois.» En plus des trois inondations de 2005 et 2009, c'est aussi la troisième fois qu'une voie de service de la Métropolitaine, dont l'entretien relève de la Ville de Montréal, doit fermer en raison d'une accumulation d'eau pouvant représenter un risque pour la sécurité des automobilistes. Des incidents de même nature ont été signalés en 2006 et 2007. Pas aussi simple En entrevue à La Presse, le sous-ministre adjoint responsable de la direction territoriale de Montréal au MTQ, Jacques Gagnon, a reconnu qu'«il ne devrait pas y avoir une telle récurrence d'événements» sur une autoroute aussi importante que la Métropolitaine, où circulent quotidiennement près de 200 000 automobiles et camions. «La Ville de Montréal, a dit M. Gagnon, analyse le problème de son réseau collecteur, et on doit nous présenter prochainement, j'espère, des pistes de solution. Nous, au Ministère, on est prêts à collaborer avec la Ville pour régler le problème, mais dans l'intervalle, nous ne pouvons pas nous imposer dans sa juridiction.» M. Gagnon a précisé que même si les études hydrauliques susceptibles de déceler les problèmes de ruissellement et d'écoulement des eaux, dans cette large zone, ont commencé seulement après l'inondation de l'été dernier, «la Ville et le Ministère travaillent de concert depuis les premiers incidents de 2005». «Lors d'un de ces incidents, les regards d'égouts avaient été soulevés par l'eau, qui sortait des égouts comme en geyser, a rappelé M. Gagnon. Cela posait un problème de sécurité évident. Nous avons donc boulonné les regards, et nous avons installé des clapets anti-refoulement dans les conduites d'eau. L'eau ne monte plus sur l'autoroute. Les problèmes sont sur les voies de service.» M. Gagnon a insisté sur le fait qu'il ne veut pas «lancer la pierre» à la Ville de Montréal, et que l'analyse de l'écoulement et du captage des eaux provenant des fortes pluies, dans ce secteur, est «extrêmement complexe». http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200912/03/01-927777-la-metropolitaine-encore-inondee.php
  20. Malek, je sais que tu va me dire que ce n'est pas grave...mais à un certain moment, il faut se poser la question. Avons nous les moyens de se payer tout ces beaux services?? 130 milliards$ la Dette du Québec + 122 milliards$ notre part de la dette Fédérale = 252 milliards$ pour une population de 7.8 millions. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/michel-girard/200911/04/01-918156-la-question-de-12-milliards.php La question de 12 milliards Publié le 04 novembre 2009 à 06h39 Michel Girard La Presse (Montréal) Douze milliards de dollars... c'est la somme totale des frais d'intérêt (service de la dette) que les Québécois vont payer cette année sur les dettes gouvernementales accumulées au fil des décennies par nos deux gouvernements. Une fois les actifs financiers soustraits, on parle d'une dette nette totale de 251 milliards de dollars. Cela comprend la dette provinciale de 129 milliards et la portion de la dette fédérale qui nous revient, soit 122 milliards. Une telle dette nette d'un quart de trillion équivaut à 85% du produit intérieur brut (PIB) du Québec. Quand même! Selon les données transmises à La Presse Affaires par le service économique de Desjardins, de toutes les provinces, c'est au Québec qu'on écope de la plus lourde dette par tête d'habitant. Combien? Du bébé au vieillard, chaque Québécois supporte présentement une dette gouvernementale de 32 341$ (soit 16 635$ du provincial et 15 706$ du fédéral). C'est près de 19% de plus que l'Ontarien et 52% de plus que le Canadien de la Colombie-Britannique. Pire encore. Les frais d'intérêt sur le service de la dette gouvernementale propre aux Québécois devraient dépasser les 15 milliards d'ici à peine deux ans. Pourquoi? Parce que notre endettement gouvernemental va augmenter sensiblement au cours des prochaines années en raison des lourds déficits budgétaires que la récente crise financière nous fait subir. À preuve, Québec prévoit pour l'année en cours un déficit approchant les 5 milliards et le fédéral, un déficit de l'ordre de 56 milliards. Non seulement les revenus d'impôts et de taxes baissent, mais, en plus, les dépenses gouvernementales augmentent. Pour re... stimuler l'économie, les deux ordres de gouvernement ont été contraints de mettre en place un train de programmes et de mesures d'urgence. Et autre facteur majeur: comme les taux d'intérêt vont augmenter, il en coûtera forcément plus cher aux deux ordres de gouvernement pour financer leurs immenses dettes respectives. Revenons à la question de 12 milliards: est-ce grave de devoir payer une telle facture de frais d'intérêt, laquelle va grossir par surcroît au fil des prochaines années? Le chiffre est tellement gros et abstrait... qu'il est difficile d'en saisir l'importance. Voilà pourquoi il m'apparaît intéressant de voir plus concrètement ce que peut représenter la «valeur» de ces 12 milliards de dollars de frais d'intérêt. Jugez par vous-même! Tiens, cette charge de 12 milliards... ça représente les deux tiers de l'impôt sur le revenu des particuliers (18 milliards) perçu l'an dernier par le gouvernement du Québec Cette somme astronomique équivaut à elle seule à 86% du budget (13,9 milliards) du ministère de l'Éducation, Loisir et Sport. Autre comparaison qui fait image: cette facture de 12 milliards de frais d'intérêt sur notre dette équivaut à la somme des dépenses gouvernementales annuelles des ministères suivants: Emploi et solidarité sociale (4,2 milliards); Famille et aînés (1, 9 milliard); Développement économique innovation et exportation (833 millions); Transports (2,3 milliards); Culture, communications, condition féminine (659 millions); Affaires municipales et régions (1,8 milliard); Agriculture, Pêcheries, Alimentation (711 millions). Ces 12 milliards de frais d'intérêt dépassent deux fois la somme totale des revenus de tarification que le gouvernement du Québec tire de l'assurance médicaments, de l'assurance parentale, des droits et permis de conduire et immatriculation des véhicules, de l'assurance automobile (SAAQ), des droits de scolarité universitaire, des services de garde d'enfants, des contributions des adultes hébergés dans le réseau de la santé et des services de police fournis par la Sûreté du Québec . Restons dans les revenus. Un coût d'intérêt de 12 milliards, ça équivaut à 2,4 fois la somme totale des revenus que le gouvernement du Québec a tirés l'an dernier de ses principales vaches à lait... de sociétés d'État: Société des alcools du Québec (797 millions), Loto-Québec (1,3 milliard) et Hydro-Québec (2,8 milliards). Autre comparaison: c'est presque deux fois et demie les baisses d'impôt (5 milliards) consenties par le gouvernement Charest depuis 2003! La population étant vieillissante, comment nos jeunes vont-ils réussir à se sortir de l'endettement gouvernemental dans lequel nous les avons plongés?
  21. Mettez UNE photo de votre bout de rue... SVP une à la fois, le but n'est pas d'inonder le fil de photos, mais de montrer votre bout de rue au gré des saisons! Voilà mon bout de rue hier:
  22. Bonjour tout le monde! J'ai trouvé, sur SSC, ce site internet qui permet de créer une ville et de la développer. Le principe est qu'à chaque visite par une personne différente dans la ville la fait développer de plus en plus. Chaque personnes a droit à une visite par jour. J'ai créé une ville pour mtlurb qui s'appelle Hochelaga (il y avait pas mal de Montréal déjà). Je vous invite à visiter le lien de la ville une fois par jour, pour la faire développer. hochelaga.myminicity.fr On est, mettons, 100 personnes plus actives sur le forum, à coup de 50 visites par jour, la ville va réellement se développer!
  23. L'anémie de la banlieue Publié le 01 septembre 2009 à 07h02 | Mis à jour le 01 septembre 2009 à 07h02 Claude Picher La Presse (Montréal) De Laval à Longueuil, de Repentigny à Châteauguay, les élus locaux auront beau s'efforcer de proclamer le contraire, les quatre régions qui forment la banlieue de Montréal, c'est-à-dire Laval, Lanaudière, les Laurentides et la Montérégie, souffrent toutes intrinsèquement d'anémie économique. Autrement dit, dans les quatre cas, le dynamisme économique local est largement insuffisant pour créer de l'emploi pour tout le monde, et à plus forte raison des emplois de qualité. Dans Lanaudière, la plus mal en point des quatre régions, le produit intérieur brut (PIB) par habitant est même inférieur à celui de la Gaspésie, la région la plus pauvre du Québec! Le découpage administratif du Québec fait que les régions de Lanaudière, des Laurentides et de la Montérégie comprennent de vastes territoires parfois très éloignés de Montréal, mais une écrasante majorité de leurs résidants vivent en périphérie immédiate de Montréal. Quant à Laval, c'est essentiellement une ville de banlieue, même si elle a le statut de région administrative distincte. Toujours est-il que si la banlieue réussit malgré tout à maintenir un niveau de vie comparable à celui du reste du Québec, ce n'est pas à cause de sa vigueur économique, mais à cause de la ville centre et des emplois qui s'y trouvent. Pour mieux comprendre la faiblesse des économies de la banlieue, il faut faire la différence entre le revenu personnel disponible et la valeur de la production, c'est-à-dire le PIB. Les plus récentes séries de chiffres de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ), publiées la semaine dernière, nous apprennent que le revenu personnel disponible par habitant, dans l'ensemble du Québec, se situe à 25 494$ (1). Le revenu personnel disponible comprend les revenus de toutes provenances (salaires, caisses de retraite, prestations sociales, revenus de placement et de location) moins les taxes, impôts et contributions sociales. Ainsi, un Lavallois qui travaille et qui reçoit son salaire à Montréal ajoute ce montant à son revenu personnel, ce qui contribue à faire grimper la richesse de Laval... À Montréal et dans les quatre régions de la périphérie, le revenu personnel disponible oscille entre 26 605$ et 24 222$. Donc, à quelques poussières près, plus ou moins au même niveau que la moyenne québécoise. Le problème ne se situe pas là. Le portrait change radicalement lorsque l'on considère la taille des économies régionales. Le PIB mesure la valeur de l'ensemble des biens et services produits sur un territoire donné. Ainsi, le PIB du Québec est de 283 milliards, ou 36 542$ par habitant. Le PIB donne une idée du niveau de vie d'une société, mais c'est un outil qu'il faut manier avec précaution. Ainsi, dans la région de Lanaudière, le PIB se situe à 10 milliards, ou 22 142$ par habitant, le plus faible niveau au Québec. Est-ce dire que les Lanaudois sont presque deux fois plus pauvres que les autres Québécois? Certainement pas! Comme on vient de le voir, leur revenu personnel soutient parfaitement la comparaison. En revanche, le PIB nous donne une excellente image de l'activité économique d'une région, de son dynamisme entrepreneurial, de sa capacité à créer de l'emploi localement et, dans la mesure du possible, des emplois de qualité. Il saute aux yeux que Lanaudière n'y parvient pas, et que la région doit remercier Montréal pour son niveau de vie relativement élevé. Même chose pour la Montérégie, où le PIB par habitant n'atteint que 30 776$, Laval (30 487$) ou les Laurentides (28 378$). Tous des chiffres bien en deçà de la moyenne québécoise, et qui font clairement ressortir l'atonie économique de la banlieue. À Montréal, par contre, le PIB par habitant bondit à 52 883$, presque deux fois plus qu'en banlieue. Encore ici, cela ne veut pas dire que les Montréalais sont deux fois plus riches. Leur revenu personnel disponible est à peine supérieur à la moyenne provinciale. En revanche, ce chiffre indique clairement que c'est à Montréal même que se trouve le moteur de l'économie québécoise, le plus important réservoir de dynamisme entrepreneurial ainsi que les meilleurs emplois, en nombre et en qualité, qui viennent avec. En fait, la ville centre (et les quelques autres municipalités situées dans l'île de Montréal) compte à elle seule pour 35% du PIB québécois, même si elle n'abrite que 24% de la population. À lui seul, le PIB de Montréal (99 milliards, l'équivalent du PIB de pays comme le Vietnam ou le Maroc) fait facilement deux fois celui de la Montérégie, sept fois les Laurentides, huit fois Laval, dix fois Lanaudière. Quand on parle de la «locomotive Montréal», c'est de cela dont il s'agit. (1) Tous les chiffres, dans cette chronique, proviennent de l'ISQ.
  24. Étude - Les urbains marchent, les banlieusards jardinent Le Devoir Mélissa Guillemette Édition du lundi 03 août 2009 Mots clés : Banlieusards, Étude, Activité, Canada (Pays) Les «450» et autres banlieusards du pays sont aussi actifs que les résidents des grandes villes, selon une étude de Statistique Canada. La plupart des études sur le sujet, surtout américaines, démontraient jusqu'à présent que les banlieues nord-américaines, par leur urbanisme, favorisent la sédentarité et l'utilisation de la voiture pour tous les déplacements, tandis que les villes incitent davantage à se déplacer à pied ou à vélo. Peut-être, admet Martin Turcotte, analyste chez Statistique Canada, mais les banlieusards passent plus de temps que les autres à travailler sur leur terrain, ce qui compense leur tendance moins forte aux déplacements actifs. Les déplacements utilitaires sont effectivement deux fois plus populaires chez les résidents de grands centres, qui vont pédaler ou marcher pour se rendre au travail ou à l'épicerie un peu moins d'une fois sur trois, contre environ une fois sur sept pour les habitants de quartiers résidentiels de faible densité. Toutefois, les banlieusards pellettent, jardinent, tondent le gazon et entretiennent leur terrain dans une proportion de 12 %, contre 5 % en ville. Le temps alloué à la pratique d'un sport pour le plaisir ne change pas selon le lieu de résidence. Une personne sur quatre participe à une activité sportive pendant ses loisirs, en banlieue comme en ville. Qu'est-ce qu'une activité physique? Christian Duval, professeur à la faculté de kinanthropologie de l'Université du Québec à Montréal, se dit «perplexe» devant cette étude. Selon lui, considérer l'entretien extérieur de la maison comme une activité physique est une aberration. «Le jardinage, c'est bon, mais à long terme, ça ne réduit pas les risques d'hypertension, d'obésité ou d'accident cardiaque. Si c'était vrai, personne ne ferait d'accident cardiaque en pelletant! Tant qu'on va flatter le monde dans le sens du poil et leur faire croire que jardiner est une activité physique, on n'aura pas une population en forme.» L'étude ne révèle pas que le taux d'activité est le même en ville comme en banlieue, mais plutôt «que le taux d'inactivité est le même», ironise M. Duval. Il ajoute que même les déplacements actifs ne contribuent pas vraiment à améliorer la santé physique, «à moins qu'une douche soit nécessaire en arrivant au travail», signe d'un effort physique soutenu. «Il faut faire de l'activité dans le but de se dépenser.» Les données de Statistique Canada ont été obtenues grâce à un questionnaire général sur l'emploi du temps des répondants, ce qui a permis d'éviter que des personnes gonflent le temps qu'elles allouent à l'activité physique. «C'est sûr qu'idéalement il aurait fallu équiper tous les répondants d'appareils qui évaluent l'effort physique, mais ça coûterait très cher, explique Martin Turcotte. Mais cette étude a l'avantage de s'intéresser à toutes les formes d'exercice physique. Dans plusieurs études, c'était seulement les déplacements actifs qui étaient comptés.» L'étude a été menée auprès d'habitants de 27 régions métropolitaines canadiennes, dont Montréal, Sherbrooke, Québec, Trois-Rivières, Saguenay et Gatineau. http://www.ledevoir.com/2009/08/03/261444.html
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