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  1. Le Cirque Éloize a imaginé des projets d’animation du parc Jean-Drapeau en vue du 50e de l’Exposition universelle 25 février 2014 | Frédérique Doyon | Actualités culturelles Le Devoir La Biosphère pourrait faire l’objet d’une mise en lumière permanente à l’instar de la tour Eiffel. L’idée fait partie d’un bouquet de propositions pour animer le parc Jean-Drapeau, à l’occasion du 50e anniversaire de l’Exposition universelle en 2017, a appris Le Devoir. La Société du parc Jean- Drapeau (SPJD) a mandaté le Cirque Éloize pour mettre sur pied une table de concertation afin d’imaginer des programmations spécifiques pour le site des îles Notre-Dame et Sainte-Hélène, en vue du 50e de l’Expo, mais qui se déploieront dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. L’exercice s’articule autour de sept grandes orientations pour dynamiser le site à long terme. Chaque orientation a donné lieu à des idées bien concrètes, inspirées de ce qui se fait ailleurs dans le monde. L’illumination du fameux dôme géodésique de l’architecte Richard Buckminster Fuller, icône de l’Expo, est l’une des idées proposées pour remettre en valeurs les icônes architecturales de l’Expo, un des axes de développement abordés dans le rapport qui n’a pas encore été rendu public, mais dont Le Devoir a eu un aperçu. Une autre proposition consiste à doter le parc de bateaux-péniches de services (hôtellerie, restauration, etc.) sur les bords du fleuve. Un concept similaire, qui existe à Amsterdam et à Paris, est l’une des idées soumises au chapitre de la réappropriation du fleuve. Il faudra attendre avant de savoir quelles recommandations seront retenues. La direction de la SPJD doit d’abord déposer le rapport à son conseil d’administration, puis à la Ville et à la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal. Car ces propositions se joindront à l’ensemble du programme du double anniversaire — voire triple, puisqu’il coïncide aussi avec le 150e de la Confédération canadienne. Et le budget de ce programme d’animation n’est pas encore attaché. Il s’articulera à l’ambitieux programme d’aménagement du parc déjà connu, qui vise à revitaliser quatre secteurs clés au coût de 55 millions de dollars : la Place des Nations, la construction d’une promenade riveraine panoramique de trois kilomètres le long du Saint-Laurent, la création d’un espace d’accueil autour du métro et l’aménagement du Parterre de l’île Sainte-Hélène — où se déroule le festival Osheaga — pour accueillir confortablement 45 000 personnes. Le parc Jean-Drapeau est le premier grand parc public montréalais (constitué en 1874, avant le mont Royal), et jouit depuis 2007 du statut de site patrimonial. Le projet de valorisation et de développement Horizon 2017 totalise 159,7 millions de dollars étalés depuis 2012, jusqu’en 2017.
  2. http://www.newswire.ca/en/story/1096251/de-la-peche-sur-glace-dans-le-vieux-port-de-montreal MONTRÉAL, le 8 janv. 2013 /CNW Telbec/ - C'est avec beaucoup d'enthousiasme que Pêche Blanche Vieux-Montréal annonce l'ouverture prochaine du tout premier village de pêche blanche urbain au Québec dans le bassin du Quai de l'Horloge dans le Vieux-Port de Montréal. L'ouverture officielle aura lieu le 12 janvier 2013. Le Village, qui pourra accueillir plus de 500 personnes à la fois, pourra même être loué en totalité à ceux qui désireraient y tenir des événements spéciaux. De la pêche sur glace... à quelques pas du centre-ville Avec ses abris chauffés et aménagées pour la pêche, le Village de Pêche Blanche sera situé à un emplacement idéal au Vieux-Port de Montréal. Souvent réservée aux propriétaires de voiture, la pêche sur glace deviendra, dès l'hiver 2012-2013, accessible aux Montréalais et aux touristes en quête d'activités hivernales différentes. Facilement accessible par transport en commun et en voiture, le site sera aménagé pour le confort des pêcheurs de tout calibre et deviendra le tout premier port de mer urbain au Québec. La pêche blanche, une activité pour tous Que ce soit pour une sortie en famille ou entre amis, pour des visiteurs étrangers désirant découvrir une activité de plein-air en plein cœur de Montréal, pour des groupes scolaires ou comme activité corporative, l'équipe du Village de Pêche Blanche s'assurera de créer le forfait idéal. De plus, les visiteurs pourront même déguster leurs plus belles prises sur place grâce à la collaboration du chef Darren Bergeron qui opérera le restaurant installé sur le site et qui pourra les faire cuire pour eux. « La pêche étant un loisir très important pratiqué par un très grand nombre de Québécois, nous sommes persuadés que les Montréalais adopteront d'emblée ce service unique qui ajoutera une note de nature additionnelle en milieu urbain. Il va sans dire que ce projet recevra un accueil tout aussi favorable de la part des touristes qui se voient rarement offrir de participer à de telles activités au cœur d'une métropole », affirme Yves Paquette, directeur général de l'Association Maritime du Québec. Le Saint-Laurent, riche en poissons comestibles Trop longtemps, le fleuve Saint-Laurent a eu mauvaise presse quant à la qualité de son eau. Depuis plus d'une décennie, les efforts ont été accomplis afin de rendre le fleuve accessible aux activités récréatives, notamment la pêche et la baignade. Pendant l'année 2011, la dernière à avoir été recensée, les indices COURDO et QUALO indiquaient une qualité excellente de l'eau entre le canal de Lachine et la station d'épuration Jean-R. Marcotte, à l'extrémité est de Montréal. Le Saint-Laurent est donc propre et, qui plus est, généreux en poissons. Au moins 53 espèces de poissons sont présentes dans le fleuve, dans le tronçon Montréal - Sorel, dont plusieurs sont comestibles, notamment le doré, la lotte, l'achigan, le brochet et la perchaude. Pour obtenir des renseignements ou pour réserver vos places, veuillez téléphoner au 514-284-3456, visiter le site Web du Village de Pêche Blanche au http://www.VillagePecheBlanche.com ou visiter la page Facebook au http://www.facebook.com/pechevieuxmontreal. SOURCE : Pêche Blanche Vieux-Montréal Renseignements : Mme Natalie Émond natalie@pechevm.com 514 804-6445
  3. Bonjour à tous, je ne sais pas si il y a déjà un fil pour ce sujet, mais la nouvelle est assez récente puisque dévoilée dans le cadre de la Campagne électorale. C'est un méga projet d'aménagement urbain, incluant un volet public et privé. On y parle d'installations récréatives tel qu'un parc, une longue promenade et une plage dans le fleuve, et de construction immobilière. On y prévoit générer des investissements privés à hauteur de 350 M$ et on parle d'un échéancier jusqu'à 2025. http://mediasud.ca/nouvelle6426-longue-rive-le-prochain-projet-de-caroline-st-hilaire.html "« Longueuil est collée sur le Saint-Laurent et pourtant les citoyens n’y ont pas accès et ne peuvent en profiter. Avec Longue Rive, nous voulons permettre aux citoyens de se réapproprier les berges et de remettre le fleuve à la population pour leur permettre de profiter de l’une des plus belles vitrines sur le fleuve Saint-Laurent », a déclaré Caroline St-Hilaire. La mise en place d'une telle devanture longueuilloise impliquerait des promoteurs, qui devront cependant défrayer les coûts des infrastructures, ainsi que les deux paliers de gouvernement." "Caroline St-Hilaire estime qu'un tel projet est réalisable dans le cadre du Plan métropolitain d'aménagement et de développement durable (PMAD). C'est une sorte de PPP de l'aménagement urbain qui s'inscrit dans la volonté de la Communauté métropolitaine de Montréal de prescrire une continuité à la bande verte et bleue et qui nécessairement passera par la rive du Saint-Laurent au pied du territoire longueuillois. Longueuil a réservé 8.4 M$ pour l'aménagement paysager, les parcs et la piste cyclable. Pour le reste, l'entreprise privée sera sollicitée et il leur reviendra d'assumer les coûts des infrastructures liés au développement immobilier. L'espace convoité par Longueuil est déjà zoné «parc», ce qui représente un obstacle de moins à franchir dans la réalisation du projet Vert de Caroline St-Hilaire. Un premier élément de ce vaste chantier sera réalisable dans un échéancier à court terme. Sitôt la campagne électorale terminée et le conseil de ville de retour en novembre prochain, le marathon du financement auprès de Québec ne saurait attendre en raison du besoin d'aménagement d'une plage pour la Finale des jeux du Québec 2014. Quant au pourcentage de logements sociaux par rapport aux condos, quel sera-t-il : « Il est prématuré pour savoir ce que feront les promoteurs immobiliers et les trois paliers de gouvernement dans ce dossier. Longueuil n'acceptera qu'une architecture qui marquera la Ville », a dit la candidate à la mairie. « Même si on est loin de la coupe aux lèvres, c'est une promesse électorale certes, de dire Caroline St-Hilaire, donnez-nous un autre quatre ans, vous allez voir ce qu'on va faire». "
  4. Petit complexe de 11 condominums de coin dans un bâtiment patrimonial de trois étages de onze pieds de hauteur, avec ascenseur et garage. Il y a 3 penthouses avec mezzanine, toit-terrasse, et vue sur le fleuve, et 8 unités à 2 chambres, avec balcons. Maintenant en PRÉVENTE! Promoteur : E2 Immobilier Site Web : http://www.condosvesta.com
  5. Il y a deux nouvelles grues à Brossard sur le Bord du FLeuve. Savons nous c'est pour quel projet?
  6. http://tdpconstruction.ca/notredame.php Pas très intéressant pour nous mais quand meme !!!
  7. Publié le 09 août 2009 à 05h00 | Mis à jour à 10h38 La décontamination de l'ex-Technoparc retardée de deux ans Depuis qu'elle a acquis le terrain de l'ex-Technoparc à la fin des années 80, la Ville de Montréal a dépensé 5 millions pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, sans jamais réussir à décontaminer les sols une fois pour toutes. Martin Croteau Cyberpresse La restauration du Parc d'entreprises de la Pointe-Saint-Charles est retardée d'au moins deux ans. La Ville de Montréal souhaitait amorcer le nettoyage de ce vaste terrain contaminé situé au bord du Saint-Laurent cette année, mais les travaux ne commerceront pas avant 2011 ou 2012, a appris La Presse. La décontamination de l\'ex-Technoparc retardée de deux ans Daniel Green, co-président de la société pour vaincre la pollution, prend un échantillon d'eau polluée par les résidus de pétrole sur les berges du fleuve St-Laurent, tout près du pont Victoria. «Il y a déjà eu des études préliminaires et des essais faits au printemps, explique le directeur du ministère de l'Environnement pour la région de Montréal, Pierre Robert. Ça a mis en évidence une problématique environnementale plus complexe que celle qui était anticipée.»Aux abords du fleuve, à quelques mètres à peine du pont Victoria, un muret de plastique orange est tenu en place par des flotteurs noirs. Un fort débit coule d'un côté. De l'autre, à l'abri du courant, des boudins beiges flottent dans une eau stagnante. Ce sont des capteurs qui absorbent les hydrocarbures. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. On peut voir l'auréole des taches d'huile flottant sur l'eau. Ce dispositif de captage de la pollution est une «solution temporaire». En juin 2008, la Ville avait annoncé son intention de lancer dans l'année des travaux de nettoyage permanents, mais elle doit attendre encore. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. «Les travaux visant à implanter la solution permanente pourraient avoir lieu autour de 2011 ou 2012», affirme Pierre Robert. Autrefois appelé le Technoparc, le site a été une gare de triage ferroviaire, un stationnement pour Expo 67, un aéroport et un dépotoir. Il recèle entre 4 et 8 millions de litres de diesel, ainsi qu'une à deux tonnes de biphényles polychlorés (BPC). Ces substances s'écoulent dans le fleuve depuis le début des années 90, et leurs traces ont été retrouvées à plusieurs kilomètres en aval. En 2005, la Ville a bâti un mur de béton souterrain d'une longueur de 160 mètres afin d'empêcher les polluants de s'écouler dans le fleuve. Un système de flotteurs déployé à deux endroits sur la rive permet de capter des matières toxiques qui coulent dans le fleuve et de les éliminer. Mais cette méthode n'empêche pas les substances toxiques de se retrouver dans le fleuve, affirme l'écologiste Daniel Green. D'autant plus que les flotteurs sont retirés de l'eau en hiver pour éviter qu'ils soient broyés par la glace. «Tous les efforts que déploient la Ville de Montréal pour l'environnement - le Bixi, le transport en commun - sont annulés par cette pollution causée au fleuve», a indiqué le directeur de la Société pour vaincre la pollution. Pierre Robert, lui, prêche la patience. «Ce n'est pas comme mettre de l'asphalte sur une route, lorsque le risque de se tromper est faible, fait-il valoir. Dans ce cas-ci, on ne voit pas en-dessous de la terre. Alors il est très important de faire une analyse fine avant de procéder.» Montréal a acquis ce terrain lourdement pollué des gouvernements fédéral et provincial, dans les années 80. Depuis, elle a déjà dépensé entre 5 et 6 millions pour étudier le problème et contrôler les déversements toxiques. Et à maintes reprises, elle a indiqué qu'elle n'avait pas été avertie de l'ampleur des travaux de décontamination. Une étude de la Commission de coopération environnementale, l'organisme nord-américain de surveillance de l'environnement, a d'ailleurs souligné qu'Ottawa savait dès le début des années 80 que les terrains recelaient des substances toxiques. Mais Montréal a renoncé à toute réclamation auprès des vendeurs en les acquérant. Les autorités municipales ignorent toujours comment s'y prendre pour nettoyer le terrain une fois pour toutes. La Ville a commandé une étude de 1,5 million au Centre d'excellence de Montréal en réhabilitation des sites (CEMRS) pour qu'il lui propose des technologies. Mais elle n'a toujours pas reçu le rapport, qui devait pourtant lui être rendu en février. Le responsable du dossier à la Ville de Montréal, Alan Desousa, a refusé de commenter le dossier, hier.
  8. Voila quelque photos de mon périple en Australie, cette fois ci la ville de Perth. Le centre ville piéton (vraiment semblable à toute les villes australienne) Gare centrale Perth la nuit depuis le jardin botanique Perth depuis l'autre rive du fleuve Swan The bell Tower Transport en commun très agréable à Perth (bus moderne avec air conditionné, et gratuit sur le centre ville)
  9. Publié le 16 février 2009 à 05h00 | Mis à jour à 10h37 Ex-Technoparc: la facture de la Ville continue d'augmenter Martin Croteau La Presse Depuis qu'elle a acquis le terrain de l'ex-Technoparc à la fin des années 80, la Ville de Montréal a dépensé 5 millions pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, sans jamais réussir à décontaminer les sols une fois pour toutes. Le parc d'entreprises de Pointe-Saint-Charles continue de coûter une fortune à Montréal, et la Ville ne sait toujours pas comment décontaminer ce vaste terrain une fois pour toutes. La semaine dernière, le comité exécutif a débloqué 107 000 $ supplémentaires pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, portant ses dépenses à plus de 5 millions depuis que la Ville a acquis le terrain à la fin des années 80. Ce dernier investissement servira à redéployer un système de flotteurs sur la rive du Saint-Laurent pendant la fonte des glaces. Le dispositif permettra de récupérer des matières toxiques qui coulent dans le fleuve et de les éliminer. «La Ville de Montréal, par souci de protéger l'environnement, encourra des frais additionnels pour maintenir les estacades et les boudins, de manière à capter au maximum les hydrocarbures, pour minimiser la perturbation», a expliqué le responsable de l'environnement au comité exécutif, Alan DeSousa. L'emplacement, autrefois appelé Technoparc, a déjà été une vaste gare de triage ferroviaire et il a aussi servi de dépotoir. Il contient entre 4 et 8 millions de litres de diesel, ainsi qu'une à deux tonnes de biphényles polychlorés (BPC). Des traces de ce produit hautement toxique ont été trouvées dans le fleuve à plusieurs kilomètres en aval. Alan DeSousa estime que Montréal a dépensé entre 5 et 6 millions pour étudier le problème et contrôler les déversements toxiques depuis qu'elle a acquis ces terrains des gouvernements fédéral et provincial. «On n'a réglé aucun problème, admet-il. On a seulement acquitté nos obligations environnementales avec ce terrain qu'on avait pris de bonne foi, mais qui venait avec de lourdes responsabilités dont la Ville n'avait pas été avertie.» Une étude de la Commission de coopération environnementale, l'organisme nord-américain de surveillance de l'environnement, a souligné l'an dernier qu'Ottawa savait depuis le début des années 80 que les terrains recelaient des substances toxiques. Montréal a renoncé à toute réclamation auprès des vendeurs lorsqu'elle les a acquis. La Ville a récemment investi 400 000$ dans un projet pilote pour décontaminer le sol en y plantant des arbres. Elle a commandé l'an dernier une étude de 1,5 million au Centre d'excellence de Montréal en réhabilitation de sites (CEMRS) pour qu'il lui propose des technologies pour restaurer le parc industriel une fois pour toutes. L'organisme doit lui rendre son rapport d'ici la fin du mois. Alan DeSousa espère que les résultats lui permettront de mettre en branle le projet de 70 millions le plus vite possible afin de profiter des programmes d'infrastructures annoncés dans le budget du gouvernement Harper. «Mais même avec ce rapport, ne vous attendez pas à ce que, du jour au lendemain, on puisse corriger la situation avec une baguette magique, a-t-il indiqué. Ce n'est pas réaliste. Mais au moins, si on a cette solution, ça nous donne espoir qu'on peut adopter des mesures concrètes.» La Ville accusée d'inaction Pourtant, le temps presse, dénoncent les écologistes. Le toxicologue Daniel Green, de la Société pour vaincre la pollution, estime que la Ville, par son inaction au fil des ans, est devenue l'un des principaux pollueurs aux BPC du Canada. Il affirme qu'elle s'est traîné les pieds pendant si longtemps qu'il envisage de la traîner en cour. «On est en train de ramasser notre preuve pour être capables d'intervenir, a-t-il expliqué. On parle à des avocats pour voir quelle pourrait être l'avenue juridique. Parce qu'il est clair que ni le fédéral ni la province ne vont poursuivre la Ville de Montréal.» Peu importe le résultat de l'étude du CEMRS, la Ville sait déjà comment réhabiliter le sol de l'ex-Technoparc, poursuit M. Green. Selon lui, il faut drainer l'eau souterraine qui coule vers le fleuve, poser un mur souterrain afin d'encercler le site contaminé et empêcher les matériaux toxiques de s'écouler dans le fleuve à l'aide d'un autre mur. Ce n'est qu'une fois ces étapes terminées que la décontamination du site comme telle pourra débuter. Ce long processus a fait ses preuves ailleurs, soutient Daniel Green, mais la facture sera salée : au moins 100 millions de dollars.
  10. Hydro-électricité Les éoliennes de la mer Mise à jour le samedi 26 juillet 2008, 17 h 24 . Une entreprise américaine souhaite installer des turbines au fond du fleuve Saint-Laurent, à la hauteur de Cornwall, pour produire de l'électricité. L'Ontario investit près de 2 millions de dollars dans ce projet de centrale sous-marine. L'efficacité de ces turbines, qui ont des allures d'éoliennes, a déjà été testée dans les environs de New York par l'entreprise américaine Verdant Power. Les marées les avaient cependant endommagés. L'absence de mouvements des eaux dans le fleuve devrait permettre d'éviter ce problème. Par ailleurs, les turbines ne seront pas fixées au fond du cours d'eau, comme ce fut le cas dans le projet américain. Le promoteur estime que la manoeuvre aurait été trop coûteuse. Les mécanismes seront plutôt insérés dans un long tube. Le directeur de l'Institut des sciences environnementales du fleuve Saint-Laurent, Jeff Ridal, estime que le promoteur a tiré des leçons de ses erreurs passées. L'entreprise Verdant Power précise d'ailleurs qu'elle s'assurera que ses installations ne nuiront ni à la navigation, ni à la flore et à la faune. De son côté, le maire de Cornwall, Bob Kilger, croit qu'il s'agit d'une source d'énergie très attrayante. « Le fleuve Saint-Laurent a toujours été au coeur de notre économie », indique-t-il. À terme, le projet devrait produire 15 mégawatts ce qui permettrait d'alimenter plus de 11 000 maisons. Si les autorisations sont accordées, la première turbine pourrait être installée dans le fleuve, près de Cornwall, dès l'an prochain. http://www.radio-canada.ca/regions/ottawa/2008/07/26/003-eoliennes-mer.shtml?ref=rss
  11. L'Ontario injecte près de 2millions de dollars dans un projet de centrale dans le fond du fleuve Saint-Laurent, à la hauteur de Cornwall. Pour en lire plus...
  12. Jalouse de Québec Rima Elkouri La Presse Québec est devenue une vraie ville, m’a avertie un ami avant de partir. Il faut maintenant des réservations pour aller au resto. Et les gens y portent des jeans...» J’ai cru qu’il exagérait, lui, l’ex-gars de Québec qui tentait de convaincre la fille de Montréal que Québec n’était plus la carte postale lisse et ennuyeuse d’autrefois. À l’entendre, Québec était devenue la capitale culturelle la plus extraordinaire au monde, à peine une coche en dessous de Londres… J’avais déjà visité Québec à quelques reprises, le plus souvent en coup de vent. Mais je n’y avais jamais rien vu de plus qu’une jolie petite ville, monochrome et proprette. Québec veut dire «là où le fleuve se rétrécit». Et le plus souvent, j’avais l’impression que ce n’était pas seulement le fleuve qui s’y rétrécissait. Moi qui me sens parfois à l’étroit à Montréal, ce grand village obsédé par son nombril, j’ai du mal à apprécier plus petit encore. Mais Québec a changé. Pendant que Montréal stagne, la capitale, déjà belle, s’est refait une beauté à 500 millions de dollars pour son 400e anniversaire. Là où le fleuve se rétrécit, il s’élargit aussi. Tout dépend de la direction dans laquelle on regarde. Vas-y, tu verras, m’a-t-on dit. J’y suis allée, j’ai vu. Et s’il n’est toujours pas question pour moi de déménager à Québec, j’avoue que j’en suis revenue plus jalouse que je ne l’aurais cru. Vendredi après-midi, quand j’ai quitté Montréal, il faisait 30°. Trois heures plus tard, à Québec, il faisait à peu près 12°, avec un vent à écorner les bœufs. «Apportez une petite laine», a averti le gars de l’hôtel. Québec, là où le fleuve se rétrécit, là où on gèle aussi… Jusqu’ici, pas de jalousie. Il était 19h30. J’avais une faim de loup. Rue du Sault-au-Matelot, l’une des plus anciennes rues d’Amérique du Nord, impeccablement restaurée, j’ai tenté ma chance au restaurant Toast!, dont on dit beaucoup de bien. Des gens en jean se pressaient vers la jolie terrasse. «Désolé, c’est complet.» On me suggère d’aller au Café du Monde, un bistro dit «parisien» avec vue sur le fleuve. Mais c’était complet aussi. Tant pis. Une bière et un hot-dog feront bien l’affaire, me suis-je dit en me dirigeant vers le bar L’Inox, rue Saint-Paul. «Désolée, on ne peut pas accepter les enfants», a tout de suite dit la serveuse en apercevant fiston dans sa poussette... C’était donc vrai. Québec est devenu une vraie ville, cruelle pour le pauvre touriste sans réservation. Finalement, je dois remercier cette serveuse d’avoir appliqué à la lettre le règlement visant à prévenir l’alcoolisme chez les enfants de 2 ans. J’ai ainsi pu me réfugier sous un des chapiteaux du Vieux-Port, en face des silos Bunge, où on présente tous les soirs à 22h le fabuleux Moulin à images de Robert Lepage. Le meilleur endroit pour voir ce spectacle, qui vaut à lui seul trois heures d’ennui sur l’autoroute 20. On a pris des sandwichs et une bouteille de vin. «Combien ça vous a coûté, votre bouteille?» a demandé notre voisine en lorgnant notre cabernet sauvignon sans prétention de la Maison Nicolas. Vingt dollars, pourquoi? «Ah, c’est pas si pire! En 1984, les restaurants du Vieux-Port ont voulu en profiter…» a-t-elle dit, en faisant référence aux festivités de Québec 84 boudées par le public. Le vin faisait oublier le vent. Des gens prévoyants avaient apporté de grosses couvertures. Et les magnifiques images de Lepage racontant l’histoire de Québec me rappelaient que j’avais tort de tourner le dos à cette ville. Il y a à peine 10 ans, le quartier Saint-Roch était un trou caché sous son «mail». Aujourd’hui, la rue Saint-Joseph Est peut envoyer se rhabiller l’avenue du Mont-Royal. Le lendemain matin, j’ai redécouvert Québec en marchant. Du Vieux-Port, j’ai longé la rue Saint-Paul. Devant la gare, il y a un joli parc, soigneusement aménagé, comme on en voit rarement à Montréal. Dans le parc, 40 chaises de l’artiste Michel Goulet, sur lesquelles sont inscrits les mots de 40 poètes. L’œuvre, qui s’appelle Rêver le Nouveau Monde, est un cadeau de Montréal. Un très beau cadeau. Je me suis arrêtée devant ces mots de Louise Dupré: «Dans les yeux s’allume une ville, qu’on n’a jamais pris la peine de visiter.» Et j’ai repris mon chemin. J’ai marché jusqu’à la rue Saint-Joseph Est, dans le quartier Saint-Roch, ancien quartier ouvrier, pauvre, délabré et placardé que le maire Jean-Paul L’Allier a eu l’audace de revitaliser avec intelligence. Il y a à peine 10 ans, le quartier Saint-Roch était un trou caché sous son «mail», à l’abri des regards. Aujourd’hui, la rue Saint-Joseph Est peut envoyer se rhabiller l’avenue du Mont-Royal. Et on se prend à rêver d’avoir un maire avec autant de vision que L’Allier pour diriger Montréal. À la tabagie de la Place, un monsieur feuilletait le Paris Match soi-disant consacré au 400e de Québec. «C’est tout sur Montréal!» a-t-il lancé à son ami. En effet, Paris Match pensait que c’était le 400e DU Québec et non DE Québec. On y parle de Garou, de Luc Plamondon, de Denise Bombardier, des meilleures adresses à Montréal, bref de tout et de n’importe quoi, sauf de Québec. Il fallait le faire. Rue Saint-Joseph, à côté de la tabagie, je suis entrée dans la superbe librairie-galerie Le Vaisseau d’or. Puis défilent des cafés, des boulangeries, un théâtre, des pâtisseries, des restaurants branchés à côté de restos de hot-dogs à 89 cents, un magasin Hugo Boss tout près d’une boutique où on vend des t-shirts de Bérurier Noir et des Doc Martens. La Basse-Ville n’a plus rien à envier à la Haute-Ville. Remontant vers la Haute-Ville, je suis passée par le parc des Esplanades. Là, des cochers alignés sous un élégant auvent attendent les touristes. Rien à voir avec les calèches du Vieux-Montréal et leurs cochers débraillés qui font parfois peur aux passants. J’ai ainsi arpenté la ville pendant deux jours, sous le soleil et sous la pluie. Au pied de la côte d’Abraham, j’ai apprivoisé l’édifice de la Falaise apprivoisée, avec son audacieux manteau de rouille. J’ai vu la magnifique promenade Samuel-de-Champlain le long du fleuve, avec son mobilier de bois design et ses jolies dunes de gazon. Partout, j’ai été séduite par l’aménagement soigneux, la mise en valeur du patrimoine, la créativité. Je suis rentrée hier avec un calepin plein de questions pour Montréal. Comment se fait-il que, en matière d’aménagement urbain, Québec réussit là où Montréal échoue? Comment se fait-il que le Vieux-Québec soit aussi bien mis en valeur alors que le Vieux-Montréal est toujours tout croche? Pourquoi la rue Saint-Paul n’est-elle pas encore piétonne? Pourquoi Montréal n’est-il toujours pas foutu de trouver une vocation à son bon vieux Silo no 5? Qu’attend-on pour mettre nos berges en valeur? Quelle est la dernière fois que Montréal a posé un geste fort en matière d’urbanisme? Quelle est la dernière fois que la Ville a réalisé un grand projet? Est-ce après une «enquête» du Paris Match qu’on a donné à Montréal son titre de ville de design? Où ça, le design? Avez-vous vu ces pots de fleurs beiges qui ressemblent à s’y méprendre à des poubelles bon marché placées un peu n’importe comment dans le Vieux-Montréal? Vous appelez ça du design? Monsieur Gérald Tremblay, vous qui serez à Québec cette semaine pour le 400e, ouvrez les yeux. Regardez comme c’est beau. Regardez comment cette ville prend soin de son patrimoine. Regardez comment elle a su redonner vie à ses coins les plus délabrés. Monsieur le maire, cette ville a quelque chose à vous dire. Montréal ne peut pas continuer comme ça. http://www.cyberpresse.ca/article/20080630/CPOPINIONS05/80629126/-1/CPOPINIONS05
  13. Complété il y a moins d'un an, mais posté ici car il n'y avait pas de fil sur ce projet. Quand même un beau projet pour Longueuil. En plein centre du secteur vieux-Longueuil, sur le bord du fleuve, etc. Personnellement, j'aime. 6 étages, condos. Emplacement: Construction automne 2006: 2008:
  14. Le vendredi 23 mai 2008 Un projet menace le Saint-Laurent Charles Côté La Presse Le fleuve Saint-Laurent risque de vivre des épisodes dévastateurs de sécheresse, au point de voir le lac Saint-Pierre disparaître, si les autorités canado-américaines adoptent le nouveau régime de gestion du débit actuellement à l'étude, selon Nature Québec. Ce nouveau régime est appelé à remplacer l'actuel, en place depuis 1958. Le débit du fleuve est contrôlé par un barrage international, Moses-Saunders, entre Cornwall en Ontario et Massena, New York. «Il y a énormément de monde qui s'intéresse à cette question en Ontario et aux États-Unis, dit Christian Simard, de Nature Québec. L'Ontario et l'État de New York se sont déjà prononcés en faveur du projet.» Joint par La Presse, le porte-parole de la ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP), Line Beauchamp, a indiqué que la position du gouvernement du Québec à cet égard n'était pas encore déterminée. Urgence Pourtant, il y a urgence, affirme Marc Hudon, responsable de ce dossier à Nature Québec. «On tient pour acquis que l'eau va toujours être là, dit M. Hudon. Mais aujourd'hui, il y a l'incertitude des changements climatiques.» Le projet prévoit de plus grands extrêmes entre crues et étiages. Cela aurait pour effet d'imiter un régime plus naturel en amont du barrage, mais il y a des risques importants pour l'aval, dit M. Hudon. «Une diminution de débit sur le fleuve a beaucoup plus d'impact que sur un lac, dit-il. Ce n'est pas long que l'eau se retrouve dans le chenal de navigation.» Une réduction du volume d'eau dans le fleuve aurait toutes sortes d'impacts négatifs, selon M. Hudon. «C'est le volume d'eau qui permet de diluer la pollution des systèmes d'épuration municipaux ou de la pollution agricole, dit-il. S'il coule moins d'eau, on aura plus de difficulté à la traiter pour les aqueducs. Les contaminants seront plus concentrés. Il y aura même des sections du fleuve qui seront à sec où des sédiments contaminés seront exposés à l'érosion.» La proposition de nouveau régime doit être présentée en audience publique à Montréal le 17 juin et le 18 à Sorel.
  15. TVA pas rapport mais je la trouvais belle Cour arrière très laides près du pont Pont Radio Canada 2 Églises Rue Ste-Catherine Boul. René Lévesque Molson :cheers: Traffic sur le pont Porc Autoroute Ville-Marie 1000 Port Train Fleuve St-Laurent Plus belle vue possible sur le skyline :banana: La ville avec son fleuve Bateau de plaisance Passerelle ... ça shake en sale ça avec le traffic pis les van :sly: Twins !
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