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  1. Tom Perlmutter rêve de déménager l'ONF dans le Quartier des spectacles. Inspiré par les bureaux de Google dans le monde et par l'édifice de l'Art Gallery of Ontario, Tom Perlmutter voit le futur de l'Office national du film dans un espace accessible aux créateurs comme au grand public. «J'aimerais un site plus accessible aux créateurs et au grand public, créer un espace vivant, explique Tom Perlmutter, rencontré la semaine dernière. On parle avec la Ville de Montréal: ce serait beaucoup plus intéressant, par exemple, d'être dans le Quartier des spectacles, avec les Montréalais, de créer un espace créatif.» Construit sur le modèle des studios américains, le bâtiment qui héberge les bureaux de l'Office depuis 1956 n'est plus adapté aux besoins de l'ONF, croit M. Perlmutter. Longs couloirs menant à une multitude de petits bureaux, ou studios délaissés par l'Office: «On n'a pas besoin de tout ça», dit-il. Le gouvernement fédéral étudie les besoins de l'ONF, et le ministère des Travaux publics, propriétaire de l'actuel siège de l'ONF, émettra des recommandations dès l'été 2011. Situés au 3155 chemin de la Côte-de-Liesse, les bureaux de l'ONF ne correspondent plus aux exigences de l'époque. «J'ai préparé il y a quelques semaines un document de discussion et j'ai cherché ailleurs ce qu'il est possible de faire, dit Tom Perlmutter. On pense qu'à Toronto, par exemple, dans les grands projets comme le ROM et l'AGO de Frank Gehry, il y a vraiment une architecture intéressante et vivante.» L'espace dont rêve Tom Perlmutter abriterait tant les créateurs travaillant pour l'Office qu'un café ou un cinéma accessible au grand public comme aux réalisateurs ne tournant pas pour l'ONF. Parmi les images que Tom Perlmutter a intégré à son document de discussion, on retrouve les espaces ouverts, ludiques et conviviaux qui sont devenus la marque des bureaux de Google dans le monde. Ce déménagement, insiste Tom Perlmutter, ne répondrait pas seulement à des considérations esthétiques. «Fondamentalement on veut revenir à un espace créatif et d'échange avec les créateurs et le grand public, dit-il. On veut devenir une source de fierté pour les Montréalais et créer un centre mondial d'innovation, un espace d'expérimentation du numérique.» Discussions Concrètement, Tom Perlmutter dit avoir entamé des discussions avec la Ville de Montréal et Travaux publics Canada. Hier, l'arrondissement de Ville-Marie disait n'avoir reçu «aucune demande en ce sens-là». Quant à Travaux publics, nous n'avions pas obtenu des réponses au moment d'écrire ces lignes. Mais le déménagement n'est pas le seul projet que Tom Perlmutter a en tête pour l'ONF. Une annonce concernant de nouveaux projets pour l'internet sera faite en juin. On a également appris que l'ONF négocie actuellement avec la chaîne franco-allemande Arte un partenariat concernant le numérique. Enfin, du côté du documentaire traditionnel, l'ONF produira le prochain film de Richard Desjardins et Robert Monderie. Après Le peuple invisible, le duo s'intéressera à l'histoire des mines au Québec et en Ontario. Sarah Polley (Away from Her) réalisera aussi pour l'ONF son premier long métrage documentaire. On ignore encore le sujet de ce film. http://moncinema.cyberpresse.ca/nouvelles-et-critiques/nouvelles/nouvelle-cinema/11461-lonf-reve-de-grands-espaces.html
  2. BLADES OF GLORY Le STADE COMME DÉCOR. Qui eût cru qu'en 2007 le Stade olympique de Montréal serait en vedette dans un film hollywoodien! C'est le cas dans Blades of Glory, une nouvelle comédie avec Will Ferrell où Montréal est à l'honneur. «On a eu tellement de plaisir à tourner à Montréal qu'on aurait aimé y tourner tout le film», dit le plus sérieusement du monde Will Ferrell, en entrevue à Los Angeles la semaine dernière. Blades of Glory est une satire du milieu du patinage artistique dans laquelle Will Ferrell campe un champion déchu. Ceux qui iront au cinéma à partir du 30 mars n'auront pas qu'un air de déjà-vu, le film est une vraie carte postale touristique de la ville ! Tournées l'hiver dernier pendant deux semaines, les scènes du film ont comme décors le Vieux-Montréal, le canal de Lachine, l'Usine Five Roses, l'intérieur et l'extérieur du Palais des congrès et, bien sûr, le Stade olympique où se déroule la finale de patinage artistique. «C'est assez rare que Montréal fasse partie du scénario. Ça ne s'est fait qu'à deux ou trois reprises, comme dans The Score, avec De Niro (2001), et Taking Lives, avec Angelina Jolie (2003)», précise Adrian Knight, directeur montréalais des lieux de tournage. Mis à part le facteur économique, ce qui a séduit les deux réalisateurs du film est l'architecture des années 70. «On aime Montréal, on est fans de l'architecture de la période olympique avec le Stade et Habitat 67, même s'il y en a plusieurs là-bas qui détestent ça !» ont déclaré Josh Gordon et Will Speck, également en entrevue la semaine dernière à Los Angeles. Ces derniers ont aussi été attirés par les canaux fluviaux de la ville où ils ont pu tourner une course en patins. Ils ont toutefois eu des petits pépins avec le bassin Bonsecours qui n'était pas tout à fait gelé en mars, ce qui a eu pour effet de repousser les délais de tournage de deux semaines. Non seulement ils ont tourné une partie du film dans la métropole, mais les spectateurs seront surpris d'entendre quelques figurants s'exprimer en «québécois». Rémy Girard Il y a même Rémy Girard qui fait une courte apparition en homme d'Église au début du film. «Normalement, les équipes qui tournent dans une ville font semblant que ça se déroule ailleurs. Nous, on a mis Montréal partout: sur les sacs, les chaussures, les manteaux», ajoute un des réalisateurs. De fait, sur les objets promotionnels et affiches du film, le nom de Montréal est bien en évidence. À Montréal, on se réjouit d'une telle visibilité. «Ce film sera vu par des millions de personnes dans une soixantaine de pays. Aucune campagne de pub ne peut acheter ce niveau d'exposure», dit Hans Fraikin, du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec. «Les retombées économiques d'un tel tournage sont importantes», affirme Adrian Knight, directeur des lieux de tournage, précisant que chaque lieu de tournage bénéficie par le fait même d'un cachet. Blades of Glory (Les Rois du patin) sort en salle le 30 mars. Le film 300, qui bat des records au box-office en ce moment, a été entièrement tourné à Montréal dans les studios Mel's, et ce sont trois sociétés montréalaises qui ont produit les effets visuels.
  3. http://www.lapresse.ca/arts/television/201402/20/01-4740668-un-documentaire-sur-jean-drapeau-en-preparation.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_hotTopics_sujets-a-la-une_1664122_accueil_POS2 Publié le 20 février 2014 à 08h40 | Mis à jour à 08h40 Un documentaire sur Jean Drapeau en préparation Jean Drapeau en novembre 1982. PHOTO: ARCHIVES LA PRESSE =author%3AAndr%C3%A9+Duchesne&sort=recent"]ANDRÉ DUCHESNE La Presse Le réalisateur Bruno Boulianne prépare actuellement un documentaire sur l'ancien maire de Montréal Jean Drapeau. Le projet est une initiative de Marc Laurendeau, a appris La Presse. «Marc Laurendeau a toujours été fasciné par Jean Drapeau. Journaliste, il l'a interviewé quelques fois; dans Les Cyniques, il s'est moqué de lui et il voulait faire un film sur lui. De fil en aiguille, j'ai été approché comme réalisateur», explique M. Boulianne. Le film est construit à partir d'entrevues avec des gens qui ont connu Jean Drapeau et d'archives visuelles. Lise Bissonnette, Lise Payette, Jean-Claude Germain, Richard Bergeron ainsi que deux journalistes de La Presse, Guy Pinard (à la retraite) et l'éditorialiste François Cardinal, font partie de ceux qui livrent un témoignage devant la caméra. «C'est la première fois que Guy Pinard acceptait de parler de ce sujet parce qu'il avait été commissaire à la commission Malouf (sur le scandale des coûts associés aux Jeux olympiques d'été de 1976)», indique Bruno Boulianne. À La Presse, M. Pinard a talonné l'administration Drapeau durant de longues années. «Marc Laurendeau a voulu faire ce film pour mieux faire connaître Jean Drapeau aux jeunes générations, enchaîne M. Boulianne. Et c'est avec François Cardinal qu'on amorce l'histoire lorsqu'il raconte avoir couvert les funérailles du maire (en 1999) alors qu'il commençait sa carrière au Devoir. Il est le seul regard plus extérieur au personnage. Les autres qui témoignent ont travaillé avec Drapeau, l'ont critiqué ou l'ont couvert parce qu'ils étaient journalistes.» Un personnage fort Avocat de formation, Jean Drapeau s'est fait connaître des Montréalais dans les années 1940 par son opposition à la conscription, et au début des années 1950 par les enquêtes qu'il a menées avec Pacifique Plante sur la corruption et la moralité à Montréal. Il est élu maire de la ville en 1954, mais est défait par Sarto Fournier en 1957. Il reprend la mairie en 1960 et se fait réélire sans interruption jusqu'en 1986, année où il tire sa révérence. Le film se concentre sur les années de vie politique du maire et son influence sur Montréal. «Ce qui est fascinant avec Jean Drapeau, c'est que son discours est particulier dans chaque décennie, dit Boulianne. Il s'est construit politiquement dans les années 1940 avec la crise de la conscription, puis il a fait son premier mandat de maire dans les années 1950. Il est bâtisseur dans les années 1960 (la Place Ville Marie, la Place des Arts, Expo 67). Dans les années 1970, il est plus contesté parce qu'il devient plus autocrate. Arrivent enfin les Jeux olympiques et un long déclin jusqu'à son départ. Dramatiquement parlant, on a un personnage fort.» Marc Laurendeau n'apparaît pas à la caméra, mais sa présence est constante. Il mène les entrevues et fait la narration hors champ. Le tournage du film a eu lieu l'été dernier. Bruno Boulianne et son équipe en sont maintenant à la postproduction. Le documentaire devrait être diffusé en 2016 sur les ondes de Radio-Canada.
  4. Hey everyone, Last summer I came across some videos on YouTube of tourists filming their experiences in the city - some were really great, and it was nice seeing the city from someone elses perspective, especially people who had never been here before. I started saving the ones I really liked. A few weeks ago Tourisme Montreal started releasing their ads for the 375th celebrations. Here are the first two: Une ville qu'on aime, ca se fete. - YouTube Honestly, what the fuck? Lequipe de hockey le plus titree? Des ruelles pleines de vie? Im so tired of them painting the city with such a shallow brush. Theyve never properly captured the spirit of Montreal. And the Toronto one? Cringe. So, I've been working on this for a little while. Below is a link to a short film I made and posted to YouTube today. Nearly all of the footage is from Tourists/YouTubers/Vloggers. If Tourisme Montreal can't explain our city to the world, maybe outsiders can. I used the music from Tourisme Montreal's first ad.* This one features only English-speaking tourists. Ive saved a bunch of French vlogs as well; when I get time Ill make one in French. I have some truly incredible footage for that one. Let me know what you think - share it, send it wherever and to whoever you like. Maybe we can get it to go viral, and get some attention from people who are wondering what city to check out next. Because it is mostly amateur footage, Ive added subtitles in case you can't understand some of the lines.
  5. Read more: http://www.montrealgazette.com/Empress+Theatre+will+house+movie+theatre+commercial+offices/7199253/story.html#ixzz25hrcSoJI Nice to see that this landmark will be saved. I will for sure go check it out, when it is all renovated.
  6. Here is the second short film in a series I'm planning to make this year. All the footage came from YouTube. It took me awhile to complete this. I was able to find some truly special footage, so please give it a look and share it if you like it. I'm not making a penny off this project, just trying to spread the word about this special city we all love. Montreal vue par les touristes francophones:* Here is the first one I released last month, featuring English-speaking tourists:
  7. Montreal’s cash-strapped universities have a wealth of notable and famous alumni who got their start at one of our local universities before leaving their mark on this province and beyond. Across the fields of business, science, politics and the arts, there are countless examples of notable alumni who earned a degree at a Montreal university before making it big. The list from Université de Montréal reads like a veritable Who’s Who of Quebec leaders, while McGill University has an embarrassment of riches, with bragging rights to the longest list of notables across all fields and by far the most prestigious prize winners. Here are some examples of those famous alumni (with apologies to the many accomplished graduates we didn’t have space to include). We have also included Nobel Prize winners and the number of Rhodes Scholars to round out the list of distinguished alumni. Montreal universities have bragging rights to many famous alumni | Montreal Gazette
  8. Une entreprise de plus pour le Mile-End: http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/922937/hybride-sinstalle-sur-le-plateau/
  9. Petite trouvaille "Rare Vintage 8mm Film: A Trip to Montreal, 1939"
  10. Anatomie d'un double crime or Marshland La isla minima c'est le titre en espagnol Tres bon film qui a sorti la semaine passée a Montréal. Je l'ai vue l'an passé en Espagne. Film policier qui se situe dans les année 80 juste après les années Franco. L'action se déroule sur une ile dans une region marécageuse du sud de l'Espagne en andalousie dans le parc naturel de la Doñana. Ce qui caracterise ce film surtout c'est sa photographie avec des images incroyables. Ce film a gagner 10 prix Goya en 2015 (Les oscars espagnol) A voir si vous aimer le cinéma en général. En version original espagnol avec sous titres français Anatomie d'un double crime Cinema Beaubien, Cinema quartier Latina , Cinema Pont Viau En version original espagnol avec sous titres anglais. Marshland Cinema du Parc et Cinema Forum http://www.cinemamontreal.com/films/marshland-2014/videos/201694
  11. Interesting video about the new London skyscrapers http://www.archdaily.com/770542/london-is-becoming-a-bad-version-of-dubai "London is on the verge of being ruined for all future generations," says Alain de Botton – a Swiss philosopher, notable author and founder of The School of Life and Living Architecture. "With a whopping 260 towers in the pipeline no area is safe, as planners, property developers and the mayor's office commit crimes against beauty to create fun buildings." In a film for The Guardian De Botton explains why he believes we're right to be nervous – and how we can stop this "clear desecration" of the UK's capital city. sent via Tapatalk
  12. http://blogue.onf.ca/blogue/2015/05/21/montreal-dhier-aujourdhui-films-onf/ Montréal de 1940 à aujourd’hui à travers les films de l’ONF Films Documentaire | 21 mai 2015 par Emilie Nguyen Des années 1940 à aujourd’hui, la ville de Montréal a fait l’objet de nombreux films de l’ONF. En fouillant dans la collection, force est de constater que la cité aux cent clochers a été la muse de plusieurs cinéastes, tels que Jacques Giraldeau, Jacques Leduc, Hubert Aquin, Luc Bourdon et Michel Brault. Chacun à leur manière, ils nous ont donné à voir la ville dans un style cinématographique propre à leur démarche et à leur époque. Objectif-Expo-67-tv-big Image tirée du film Objectif 67 En raison de mon obsession pour l’ordre et la chronologie, j’ai rassemblé quelques-uns de ces titres de manière à pouvoir suivre l’évolution de la ville à travers les décennies. Une occasion de replonger dans le Montréal des années 1940 et d’entreprendre une balade au parc Lafontaine sur une musique bucolique; d’être aux premières loges pour admirer les chars allégoriques du défilé de la Saint-Jean-Baptiste en 1959; de prendre le mini-rail pour revivre en couleur les heures merveilleuses de l’Expo 67; de revisiter le quartier Griffintown et les commerces du boulevard Saint-Laurent dans les années 1970; de contempler Montréal sous toutes ses coutures dans les années 1990, et de terminer le voyage par une flânerie interactive sur le Mont-Royal en compagnie de l’écrivain Dany Laferrière. Bon voyage temporel! 1940 La cité de Notre-Dame (1942) Avec ce documentaire passionnant, redécouvrez la ville de Montréal en 1942…et en couleur! Entrez dans le quotidien fourmillant de la métropole avant les gratte-ciel et les autoroutes. Déambulez parmi ses églises, ses vieux marchés, ses galeries d’art, ses universités, son aéroport, ses gares de triage et son port, guidé par une charmante narration. La Cité de Notre-Dame par Vincent Paquette, Office national du film du Canada Au parc Lafontaine (1947) Dans ce court métrage, voyez comment les Montréalais profitaient des beautés du Parc Lafontaine dans les années 1940. À l’époque où les ours noirs, les renards, les chats sauvages et les oiseaux de proie cohabitaient gaiement; où les enfants s’amusaient sous l’oeil attendri des parents, des amoureux, des promeneurs. On y rencontre des gens de tous les âges, tous les types, tous les genres, car chaque jour le tout Montréal se donne rendez-vous au parc Lafontaine… Au parc Lafontaine par Pierre Petel, Office national du film du Canada 1950 Au bout de ma rue (1958) Filmé par Michel Brault, ce charmant petit film raconte l’histoire d’un gamin vivant dans le centre-sud de Montréal qui profite d’un jour de congé pour prendre la poudre d’escampette. Suivez-le alors qu’il découvre le bord de l’eau, l’horizon élargi du grand fleuve Saint-Laurent et l’activité bouillonnante du port de Montréal, tel qu’il était en 1958. Au bout de ma rue par Louis-Georges Carrier, Office national du film du Canada Jour de juin (1959) Revivez les festivités de la Saint-Jean-Baptiste à Montréal en 1959. Soyez aux premières loges d’une foule de 700 000 à 800 000 personnes pour voir passer les chars allégoriques, les fanfares d’un événement annuel qui rappelle à tout un peuple ses racines profondes. Jour de juin par ONFB, Office national du film du Canada 1960 À Saint-Henri le cinq septembre (1962) Réalisé par Hubert Aquin en 1962, ce grand classique impérissable du cinéma québécois nous fait visiter en 24 heures le quartier populaire de Saint-Henri à travers les images tournées par un collectif des plus grands cinéastes de l’époque. Le film a été inspiré par le roman Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy. À Saint-Henri le cinq septembre par Hubert Aquin, Office national du film du Canada Objectif 67 (1967) Évoquant les heures merveilleuses de l’Expo 67, ce film en couleur nous replonge au coeur de cet événement marquant dans la vie des montréalais. Dans sa course, la caméra prend le minirail, visite les îles, la Ronde, la Cité du Havre, envahit les pavillons, les restaurants, suit les clowns et capte la joie de la foule. Objectif : Expo 67 par William Brind, Office national du film du Canada 1970 Griffintown (1972) Le quartier Griffintown n’a pas toujours été le berceau de condominiums argentés et des jeunes gens branchés. Ce court métrage documentaire nous montre le quartier tel qu’il était dans les années 1970, ignoré et dévasté. Une population réduite mais opiniâtre s’acharne à y vivre et à lutter contre la tyrannie de l’industrie qui cherche à les exproprier. Griffintown par Michel Régnier, Office national du film du Canada Une rue de lait et de miel (1973) Tourné dans les années 1970, ce court métrage documentaire rend hommage au boulevard Saint-Laurent, artère principale de Montréal. Une rue qui demeure, pour nombre d’immigrants, l’endroit où s’est amorcée leur vie nouvelle. Dans cet excellent film, le cinéaste revisite la rue et les commerçants qui l’ont accueilli à l’âge de huit ans, lorsqu’il arriva au Canada avec ses parents. Une rue de lait et de miel par Albert Kish, Office national du film du Canada 1980 Albédo (1982) Mélangeant fiction et documentaire, ce long métrage établit un parallèle entre la vie du photographe David Marvin et l’histoire de Griffintown, un quartier de Montréal auquel il a consacré une partie de son œuvre. Albédo par Jacques Leducet par Renée Roy, Office national du film du Canada 1990 Les amoureux de Montréal (1992) Le cinéaste Jacques Giraldeau nous présente Montréal sous toutes ses coutures et dans tous ses replis… Montréal baignée dans toutes ses lumières, été comme hiver, revisitée par un cinéaste amoureux de ses rues, de ses ruelles, de ses quartiers, de ses parcs, de son fleuve, de ses églises, de ses édifices… Visages d’hier et d’aujourd’hui. Une ville disparate, de verre et de béton, façonnée par des architectes qui lui ont donné un corps et… une âme! Les amoureux de Montréal par Jacques Giraldeau, Office national du film du Canada 2000 La mémoire des anges (2008) À la fois documentaire, poème et essai, La mémoire des anges est une expérience unique permettant de revisiter la ville de Montréal des années 1950 et 1960, avec ses grandes figures, ses lieux emblématiques et ses citoyens ordinaires. Pour ce faire, le cinéaste Luc Bourdon a procédé à un assemblage d’archives et d’extraits tirés de 120 films produits par l’ONF. Un tour de force magistral! La mémoire des anges par Luc Bourdon, Office national du film du Canada 2010 Sacrée montagne (2010) Revisitez un des lieux les plus emblématiques de Montréal avec ce documentaire Web qui explore notre relation au sacré à travers le Mont-Royal. Dans cette courte vidéo tirée du projet, l’écrivain Dany Laferrière livre une réflexion sur la place du sacré dans l’histoire et l’imaginaire québécois, revivant pour l’occasion ses premiers pas dans ce Montréal que sa mère, depuis Port-au-Prince, appelait « la ville de Dieu ». Sacrée montagne – La métaphore de Montréal par Hélène de Billyet par Gilbert Duclos, Office national du film du Canada À Saint-Henri, le 26 août (2011) Tourné en 24 heures, À St-Henri, le 26 août rassemble quelques-uns des plus brillants cinéastes documentaires québécois d’aujourd’hui autour de cet ancien quartier ouvrier de Montréal. Dans un style cinéma direct, à l’affût des histoires qui font l’épaisseur d’une journée dans la vie quotidienne du quartier, ce film parcourt des trajectoires qui se côtoient ou se traversent tout en restant opaques les unes aux autres. Réalisé en 2010, ce film est un hommage à l’oeuvre collective d’Hubert Aquin, À Saint-Henri le cinq septembre. Il témoigne de la transformations d’un espace urbain resté profondément enraciné dans son passé industriel vibrant. La musique a été composée par le talentueux Patrick Watson. Le film est maintenant disponible en location. Pour le visionner, cliquez ici. À St-Henri, le 26 août – (Bande-annonce) par Shannon Walsh, Office national du film du Canada D’où je viens (2013) Dans ce superbe documentaire, le cinéaste Claude Demers (Les dames en bleu) revisite le quartier populaire de Verdun où il a grandi pour y interroger le mystère de ses origines. La ville et le fleuve Saint-Laurent constituent la toile de fond de cette ode à la vie et à la beauté du monde. Une œuvre libre et humaine, qui nous montre un visage de Verdun que vous n’avez jamais vu. Pour en savoir plus, lisez notre entretien avec le réalisateur. Le film est maintenant disponible en location. Pour le visionner, cliquez ici. D'où je viens – (Bande-annonce) par Claude Demers, Office national du film du Canada Et vous, quels sont vos films préférés de notre collection sur Montréal? À Saint-Henri le cinq septembre, Au parc Lafontaine, cité, Claude Demers, D'où je viens, Documentaire, film, Griffintown, Histoire, Hubert Aquin, Jacques Giraldeau, Jacques Leduc, La cité de Notre-Dame, La mémoire des anges, Luc Bourdon, Métropole, Michel Brault, mont Royal, Montréal, Saint-Henri, Saint-Jean-Baptiste, Saint-Laurent, Urbanisme, Ville, ville-marie, webdocumentaire sent via Tapatalk
  13. http://www.slate.fr/story/99971/premier-film-hyperlapse-1995 Le premier film hyperlapse date de 1995 et il est génial Lily Hay Newman Traduit par Charlotte Pudlowski Culture Tech & internet 05.04.2015 - 11 h 28 mis à jour le 05.04.2015 à 11 h 29 Des hyperlapses en très haute résolution de villes comme Paris, Amsterdam, et Singapour ne sont jamais loin sur Internet (Instagram a même une application entièrement consacrée à l'Hyperlapse), et c'est assez dingue. Les hyperlapses —c'est-à-dire des timelapses dans lesquels l'appareil photo bouge entre chaque temps d'exposition— donne une perspective inhabituelle sur le monde, une perspective que nos yeux seuls ne peuvent pas vraiment atteindre. Mais avant l'émergence de la photographie numérique, ces hyperlapses étaient très difficiles à faire. A la fin des années 1980 et au début des années 1990, le réalisateur Guy Roland fut un pionnier de la technique, sur de la pellicule Super 8, et réalisa en 1991 un court-métrage intitulé Pace, à Montreal, au Québec. Mais le film qui suivit Pace en 1995, Pacer (la vidéo ci-dessus) est considéré comme le premier vrai film en hyperlapse –même si le terme n'a été inventé qu'en 2012. Roland a tourné le film avec une caméra Bolex 16mm, mais le négatif original a disparu. La seule copie de Pacer qui a résisté est une version de basse qualité, qui était inclue dans une édition de 1996 d'un magazine de cassettes vidéos, appellé Channel Zero. (Des magazines de vidéo! Mais bon, c'était les années 90.) En 2014 cette copie de Pacer a reproduite en résolution 2K et remasterisée cette année. Roland a ensuite réalisée Spacer en 2004, par la suite renommé Kino Citius. Pacer a l'aspect d'un film des années 90, le grain de l'image très prononcé, mais il contient aussi des morceaux d'hyperlapse qui ont un impact visuel comparable aux hyperlapses les mieux produits que l'on trouve aujourd'hui. Cette technique est une manière fascinante de découvrir n'importe quelle ville, mais voir ainsi la ville sidérante de Montréal, en 1995, ça a vraiment de la gueule.
  14. Un festival de niche qui tire son épingle du jeu. http://www.montreal.tv/portail/blog/2011/02/marche-international-du-film-sur-lart-a-montreal/
  15. Le dernier film de Paul Walker a été tourne pour certaines scènes a Montreal. On peut y voir la Biosphère comme.......prison! Egalement le pont Champlain, la skyline de Montreal et aussi les grands silos du Port. Tout ces endroits sont supposes être a Detroit!
  16. https://www.onf.ca/film/helicopter_canada Il y a quelques belles vues de Montréal (29:10) Quelques captures:
  17. http://www.lapresse.ca/cinema/201411...a-montreal.php Le petit prince: une production de 80 millions à Montréal Publié le 11 novembre 2014 à 05h00 | Mis à jour à 06h14 MARIO CLOUTIER La Presse La production du film d'animation Le petit prince, actuellement en tournage dans les studios de Mikros Image dans le Vieux-Montréal, bénéficie d'un budget à la hauteur de ses ambitions: 80 millions. Ce projet indépendant réunit des créateurs français, américains et québécois. Le petit prince d'Antoine de Saint-Exupéry n'a rien d'un petit succès. Il s'agit du livre le plus traduit - 200 langues - dans le monde après la Bible. Écrit il y a sept décennies, il est encore lu aujourd'hui, autant à l'école qu'à la maison, en Amérique comme en Allemagne et au Japon. L'adapter au cinéma représente un défi. Orson Welles s'y est cassé les dents il y a une éternité avec Disney. Il y a 10 ans, la maison Onyx Films de Paris a entrepris des pourparlers avec la succession Saint-Exupéry. Résultat, une série télé et un superprojet de 80 millions de dollars canadiens. «On est parmi les plus gros films indépendants du moment. L'idée, c'est de rejoindre un très grand public, ceux qui connaissent le livre ou non», lance le producteur Alexis Vonarb. Ni Paramount ni Sony ne sont derrière ce projet, mais tous les grands distributeurs de la planète prennent part à l'aventure, dont Warner aux États-Unis. Le réalisateur, Mark Osborne, a déjà été nommé deux fois aux Oscars. Son film de 2008, Kung Fu Panda, est l'un des 10 plus grands succès de l'histoire du cinéma d'animation avec des recettes dépassant les 650 millions. «Mais l'important, dès le début, a été de protéger le livre», de souligner le réalisateur de 44 ans, qui a quitté les studios DreamWorks de Steven Spielberg pour venir s'installer à Montréal il y a un an par amour du livre. «C'est ma petite amie, devenue mon épouse, qui m'a fait lire Le petit prince à l'université, dit-il. Je connais son pouvoir.» Si bien qu'il a déjà prévendu le film, en tournée avec le producteur Alexis Vonarb, aux distributeurs internationaux. Montréal «C'est un projet très international, mais le tournage à Montréal est déjà couronné de succès», a ajouté le réalisateur devant les journalistes qui ont pu voir hier, dans les studios de la société Mikros Image, quelques images préliminaires du film qui sortira l'an prochain. «Il y a une qualité de recrutement à Montréal qui est géniale. C'est francophone, mais c'est l'Amérique du Nord tout de même», de renchérir Alexis Vonarb. Autre rareté, le long métrage d'animation fait appel à deux techniques différentes maîtrisées par les équipes montréalaises, soit l'animation 3D par ordinateur et le stop-motion (ou animation image par image) à l'ancienne. Les voix des personnages dans la version anglaise comprennent celles de Jeff Bridges, James Franco, Rachel McAdams, Ricky Gervais et Benicio del Toro. Marion Cotillard, quant à elle, jouera la rose, en anglais et en français. Et le petit prince? C'est le fils du cinéaste, Riley Osborne, qui interprète le personnage aimé des petits et des grands depuis 70 ans. Prochaine étape, la bande-annonce sortira le 17 décembre.
  18. Publié le 22 septembre 2014 à 10h26 | Mis à jour le 22 septembre 2014 à 10h26 Une résidence étudiante qui détonne Marie-Eve Morasse La Presse L'idée que l'on se fait des résidences étudiantes est peu reluisante. On les imagine ternes, défraîchies et meublées sans éclat. À deux pas de l'Université McGill, une nouvelle résidence universitaire vient renverser les idées préconçues. Ce sont les architectes de l'agence Kanva qui ont imaginé cette résidence de 30 chambres qui détonne. Le terrain, à un jet de pierre de l'entrée de l'université, a dicté le projet. «C'était un terrain vacant en face du campus, directement rue University. La résidence étudiante est venue naturellement. Si on avait été un kilomètre plus loin, ça aurait probablement été autre chose», dit Tudor Radulescu, cofondateur de Kanva. Là où se trouvait un stationnement s'élève aujourd'hui la Résidence Edison. En ébauchant leurs plans, les architectes ont d'abord tenu compte de leur clientèle. Comme bien des jeunes y éliront domicile au cours des prochaines années, il fallait un bâtiment durable. «C'est un bâtiment entièrement en béton. Il faut vraiment se lever tôt pour y faire des dommages! Ce n'est pas une prison, mais la construction est en fonction des besoins de solidité, des besoins acoustiques, des besoins d'intimité», explique Tudor Radulescu. Les chambres, privées ou doubles, sont petites mais on ne s'y sent pas coincé. «On arrive à donner un certain confort, un certain volume. Les plafonds sont hauts, la fenestration est généreuse. On veut offrir une qualité qui ne se limite pas à dire «j'ai une chambre de 150 pi2».» Pour l'instant, la majorité des étudiants qui y ont établi domicile ne sont pas de la province. Ils auront l'occasion de fraterniser dans les espaces publics pensés par les architectes. «Les lieux communs sont essentiels, c'est une place de choix, dit Tudor Radulescu. Nous voulions quelques chose de convivial, qui encourage les échanges.» Un clin d'oeil architectural au passé La référence à Thomas Edison dans le nom de la résidence n'est pas fortuite. Pour souligner qu'elle a été construite là où un bâtiment a brûlé dans les années 60, on a eu recours à des images tirées du film Montreal Fire Department on Runners, tourné à Montréal par Thomas Edison en 1901. Grâce à une technique appelée photogravure, les images ont été insérées sur les panneaux de béton et peuvent être vues en façade et dans la porte cochère. «Il n'y a pas de couleurs ni de différences de ton dans le béton. Ce sont des coupures de profondeur et de largeur différentes qui créent des ombrages avec la lumière et c'est ce qui crée des images. C'est subtil. Selon l'angle, il est possible qu'on ne voie rien de spécial, mais tout d'un coup, on arrive dans un autre angle et les ombrages prennent vie», explique Tudor Radulescu. Dans son très court film, Thomas Edison a immortalisé les pompiers de Montréal tandis qu'ils défilaient avec leurs nouveaux équipements pourvus de la plus récente technologie. Le choix du film n'est pas un hasard pour un bâtiment situé tout près de l'Université McGill. «C'est également pour le côté développement de nouvelles technologies qui va avec des études universitaires», explique l'architecte. Trois types de chambres sont proposées. Les prix spéciaux, au départ offerts pour des réservations pendant le mois d'août, étaient toujours en cours au moment d'écrire ces lignes (de 595$ à 895$ par mois par étudiant). edisonresidence.com SOURCES : http://www.lapresse.ca/maison/architecture/201409/22/01-4802417-une-residence-etudiante-qui-detonne.php http://www.edisonresidence.com http://www.worldarchitecturenews.com/interiors/index.php?fuseaction=project.projectview&ctid=25&prid=24643 http://www.e-architect.co.uk/montreal/edison-residence-in-montreal http://www.archello.com/en/project/edison-residence# http://www.citylab.com/design/2014/08/montreals-newest-concrete-slab-building-is-brightened-with-film-stills-by-thomas-edison/375996/ http://www.dezeen.com/2014/08/11/edison-residence-by-kanva-concrete-panel/ Photography is by Marc Cramer.
  19. Huge news! Days of Future Past that was shot here in 2013 grossed $745 million worldwide and cost over $200 million to shoot. The new film's budget could be $250 million + Starring Jennifer Lawrence, Hugh Jackman, Michael Fassbender, James McAvoy, Nicholas Hoult, Channing Tatum. Rumours of the original cast of Ian McKellen, Anna Paquin, Patrick Stewart, Halle Berry returning are also in the air. http://www.cjad.com/cjad-news/2014/09/04/x-men-returning-to-montreal
  20. For the best food, festivals and fun, head to Montreal, Canada Just like the United States postal service’s motto, “Neither rain, nor snow, nor sleet, nor hail” shall prevent Montrealers from throwing a fabulous festival. Be it musical, comedy, fashion, dance, circus, film or food & wine based, they’ve got it covered, and leave it to those crazy/generous Canadians to throw many a bash for free-particularly in the summer when you can virtually channel surf for festivals. when I was there a few weeks ago, there was almost an embarrassment of riches to choose from including the 35th annual Festival International de Jazz de Montreal, the 30th L’International des Feux Loto-Quebec and the Montreal Cirque Festival. If you’re planning a visit this year here are some upcoming festivals for you check out: 1. Festival Mode & Design Festival-allows you to get an inside look at the world of fashion. Choose from over 50 fashion shows (some of the finest Canadian designers will be represented) live creative sessions, designer showcases and musical performances. A MUST for the fashionista! 2. Montreal World Film Festival-is the only competitive Film Festival in North America recognized by the FIAPF (International Federation of Film Producers Associations) which is a pretty big deal. Now in its 38th year, you can view films from over 70 countries, as well as hear from some well-known filmmakers. 3. Pop Montreal- features Francophone, Canadian, and international pop musicians. , This dynamic five-day festival in September will present more than 600 artists to audiences of over 50 000. 4. La Biennale de Montreal- is a slightly more highbrow international event focusing on film, sculpture, photography, painting and installation art that respond to current conditions by considering “what is to come”. 5. Taste MTL- pack your stretchiest pants if you’re coming to this 10-day fall event with more than 100 restaurants participating. It’s sure to be a winner since Montreal often claims it has more restaurants per capita than any other metropolitan area in North America. To see a year’s worth of events check out Go Montreal Living Festivals and Events link. Where to feast between festivals For a respite from all the noise and commotion try Maison Boulud, one of the newest restaurants from acclaimed chef, Daniel Boulud, in the newly refurbished Ritz-Carlton Montreal, provides an elegant, yet non-stuffy option (including al fresco tables overlooking their peaceful pocket-park). Boulud’s magic touch combined with ingredients sourced from the finest local purveyors ensures a gastronomic dining experience, whether you stopping in for brunch, lunch or dinner. The sparkling arugula, cherry and Parmesan salad was the perfect opener to a succulent, Moroccan spiced chicken dish. Double down by dining at both of Chef Normand Laprise’s restaurants for guaranteed culinary winnings. The cheeky, casual, and much more affordable, Brasserie T , is located right in the heart of all the excitement at Place-des-Arts, Montreal’s cultural hub. If you reserve a seat on the bustling outdoor terrace, you can enjoy the jazz concert while nibbling on luscious little temptations such as pan seared fois gras, glistening salmon or beef tartar, betcha-can’t-eat-just-one farm-fresh deviled eggs or just an absolutely perfect cheeseburger and fries. Don’t forget to make reservations well in advance for a dinner at Laprise’s celebrated restaurant Toqué!, a landmark in Quebec’s gastronomical scene offering haute cuisine without the ‘tude. Toqué! has won more kudos and awards than Meryl Streep, including Relais & Châteaux, AA/AAA Five Diamond, James Beard Foundation, and the Gourmand World Cookbook Award for 2014 cookbook of the year. He was even appointed Knight in 2009 yet you’ll never meet a more down-to earth chef, who is passionate about showing respect for the multitude of cooks, farmers, foragers and fishermen responsible for bringing him the finest seasonal bounty– right down to the humblest root vegetable. This is one night that I recommend you skip all the festival offerings and instead indulge your senses in their unforgettable 7-course dinner with optional wine pairing, although the sommelier’s pairings were so innovative it should be mandatory. Where to stay Le St-Martin Hotel Particulier Montreal, a 17-floor boutique property, is a pleasing blend of luxury, warmth and contemporary styling (think faux-leopard blankets and colorful throw pillows, homey fireplaces, peek-a-boo glass showers offer views all the way through the big bay windows) also offers the perfect festival location: close enough to walk to most of the festivities, yet far enough away to enjoy a peaceful night’s sleep. After navigating the mini-jungle entrance, where the helpful doormen are wearing safari outfits (don’t ask me why) you check in with the unbelievably friendly staff at the front desk. I spent a full hour the next morning with Virginia, who answered dozens of my itievenerary questions and then marked each of my stops on the map in a different color. When she saw that I still looked a little lost, she went to the computer and printed out metro directions for each stop and never stopped smiling the whole time. The hotel recently won a Certificate of Excellence from TripAdvisor which I’m sure is partly based on their exemplary service as well as the fact that their signature Bistro L’Aromate serves an utterly fabulous breakfast, that could easily power you through the whole day. For a quick relaxation break simply step outside to their mini-heated pool, nestled alongside a waterfall, teak bridge and tropical plants for a little private Shangri-La. Within minutes you’ll be recharged for the next round of festivals. http://www.aluxurytravelblog.com/2014/08/01/for-the-best-food-festivals-and-fun-head-to-montreal-canada/
  21. Quelqu'un peux me dire s'il reconnait ces buildings ? Ils peuvent être vu à 2:36 de ce film sur youtube et le 2e autour de 2:46 dans le même film.
  22. Bravo à M. Dolan! Xavier Dolan, coup de coeur du 67e Festival de Cannes Cannes — Non, il n'y a pas que la Palme au palmarès. C'est un honneur important qu'a remporté Xavier Dolan avec le Prix du jury samedi soir (heure locale) pour son cinquième long métrage Mommy, qui fut l'immense coup de cœur de ce festival. Un laurier récolté ex aequo avec Godard pour Adieu au langage, l'aîné et le cadet des cinéastes en compétition logés à la même enseigne. La présidente du jury Jane Campion a dit aux médias avoir aimé beaucoup Mommy : «film merveilleux d'un brillant jeune cinéaste. Chez lui comme chez Godard, on sentait la passion et la liberté.» La cérémonie du palmarès s'est déroulée in abstentia de Godard, bien entendu. «Ce prix ne devrait pas révolutionner sa vie», a souligné, lucide, son producteur Alain Sarde, ajoutant : «Xavier Dolan 25 ans, Jean-Luc, 83, c'est magnifique!» Au moment de recevoir son laurier au grand amphithéâtre Lumière, Xavier Dolan ému, la voix brisée, a remercié Jane Campion dont La Leçon de piano l'avait jadis ébloui. Il a encouragé sa génération à croire à ses rêves. «Je pense que tout est possible à qui rêve, ose et travaille.» L'étreinte de Jane Campion à Xavier Dolan venait du fond du cœur. Plus tard, le jeune cinéaste québécois a commenté devant nous cette association avec Godard : «Je reconnais le gouffre de temps qui nous sépare. Nos recherches respectives de liberté au cinéma se sont faites à des époques différentes. En son temps, il a tenté de réinventer le cinéma. J'aime avoir l'impression que le cinéma prend un virage et que j'y participe. Le cinéma s'exprime à travers toutes les générations. Je viens du Québec. Toute mon enfance j'ai entendu : “Redescends sur terre! Pour qui tu te prends?” Je venais d'un endroit plutôt grand où les gens rêvaient petit. Les gens de ma génération ont une plus grande propension à rêver.» Il avait fantasmé sur la Palme, que tant de voix lui prédisaient. «On avait rêvé à tout. Il faut voir grand, rêver grand. Ce Prix du jury, nous dit que ses membres ont reconnu ce film, voulu le célébrer. Cette récompense me flatte de matière incompatible avec la mesure de mes rêves. On a un prix formidable que l'on ramène avec une grande fierté.» La Palme d'or à un grand film Le Turc Nuri Bilge Ceylan, plusieurs fois primé à Cannes, était un des favoris de la Palme d'or, qu'il a remporté pour son remarquable Winter Sleep — en plus du laurier de la critique internationale (Fipresci) — œuvre pleine de maturité et de maîtrise, très dialoguée, en quête de vérité profonde, son meilleur film. Il a souligné que cette année était la centième de l'histoire du cinéma turc, pays qui récolte sa première palme. Jane Campion a jugé le film brillamment tchékhovien, sophistiqué, avouant qu'elle craignait d'abord sa durée : 3 h 15, mais en aurait ensuite bien pris deux de plus. «Il durait 4 h 30 au début du montage», avouait le cinéaste aux journalistes. Nuri Bilge Ceylan déclare s'intéresser à la part sombre de son âme, donc de la nature humaine. La jeune cinéaste italienne Alice Rohrwacher, dont le film tendre, fragile et poétique Les Merveilles avait été reçu tièdement, prend sa revanche, surclassée pour ainsi dire, en recevant le Grand Prix du jury. C'est la note incongrue d'un palmarès par ailleurs équilibré. L'Américain Bennett Miller, avec un laurier de la mise en scène pour son Foxcatcher, a de quoi soupirer de soulagement. Le tournage de l'adaptation d'un fait divers tragique, en présence de plusieurs protagonistes de l'époque, avait été éprouvant et Miller avoua qu'il n'aurait jamais pu faire le film sans ses trois grands acteurs. Le Russe Andrey Zvyagintsev a récolté le prix du scénario pour le beau, tragique et ironique Leviathan, brillamment mis en scène, une satire du régime russe, de ses abus et de ses corruptions. «Plus biblique de politique», estime pour sa part Jane Campion. Certains souhaitaient une troisième palme aux belges frères Dardenne pour Deux jours, une nuit, donnant la vedette à Marion Cotillard. Pour la première fois en six sélections, les voici repartis, bredouille. Il est vrai que leur excellent cinéma social piétine. Timbuktu d'Abderrahmanse Sissako, pressenti haut au palmarès, n'a rien reçu non plus. Les prix d'interprétation étaient mérités. Julianne Moore, folle de charisme dans l'excellent Maps to the Stars du Torontois David Cronenberg, satire féroce d'Hollywood, n'était pas à Cannes pour récolter son laurier. Timothy Spall, acteur britannique d'immense talent, récolte enfin la reconnaissance internationale .Le voici primé pour son extraordinaire performance du peintre paysagiste J.M.W. Turner (Angleterre du XIXe siècle) dans le film éblouissant de Mike Leigh Mr. Turner. Confus à l'heure de remercier le jury, empêtré dans son cellulaire et son incohérence, l'émotion, lui coupait le souffle. Le truculent et vibrant Party Girl de Marie Amachoukeli, Claire Burger et Samuel Theis a remporté la Caméra d'or du meilleur premier long métrage, avec l'histoire vraie d'une femme de province, kitsch, entraîneuse de cabaret, allergique à la vie ordinaire. Son fils est un des cinéastes. Party Girl avait remporté la veille le prix d'ensemble d'Un certain regard. Un autre premier long métrage, Les Conbattants du Français Thomas Cailley s'est fait remarqué : trois prix à la Quinzaine des réalisateurs en plus du laurier de la FIPRESCI hors compétition. Les astres sont bien enlignés bien pour lui aussi. Mais c'est Xavier Dolan qui aura remporté lors de ces derniers jours enfiévrés, la palme du cœur. Et l'immense vitrine internationale offerte à son Mommy en multiples porte-voix des médias du monde se traduit aussi par une distribution à l'échelle planétaire. Près de 1,5 M$ de ventes, sont déjà assurées, un chiffre énorme. Entre autres marché, l'Allemagne l'a acquis samedi en prévision d'une sortie importante. Les États-Unis en négocient les droits. Avec un tel buzz et le prix du jury, le film commence à peine sa trajectoire. http://www.ledevoir.com/culture/cinema/409164/67e-festival-de-cannes-la-palme-d-or-a-nuri-bilge-ceylan-le-prix-du-jury-a-xavier-dolan
  23. http://www.montrealgazette.com/health/Montrealers+need+heated+sidewalks/4387020/story.html
  24. Premier épisode d’une série de quatre courts métrages documentaires sur les gratte-ciel, Terre retrace les origines de la tour d’habitation, depuis la tour de Babel de la Bible jusqu’aux immeubles locatifs de piètre qualité de la ville de New York. Narré par la chanteuse Feist, ce film a été réalisé par Katerina Cizek à partir des archives du New York Times. http://www.onf.ca/film/la_vie_a_la_verticale_partie1
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