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  1. Le gouvernement fédéral doit soutenir l'industrie canadienne de la construction navale au lieu de faire affaire dans des endroits comme la Corée et l'Europe, affirme l'Association de la construction navale du Canada. Pour en lire plus...
  2. Publié le 30 septembre 2008 à 07h55 | Mis à jour à 07h57 Charest allonge sa liste de demandes Denis Lessard La Presse Le gouvernement Harper doit reculer sur son projet de réforme du Sénat et de refonte de la Chambre des communes qui réduirait encore le poids du Québec au fédéral. Le premier ministre Charest a allongé hier la liste des points de frictions entre son gouvernement et celui de Stephen Harper. Avec une longue liste de revendications à l'intention de tous les chefs de parti, M. Charest n'a pas manqué de cibler trois mesures déjà mises en branle par le gouvernement conservateur, des gestes que ne peut cautionner le Québec. Au surplus, M. Charest prévient à l'avance Stephen Harper que son idée de durcir les peines pour les jeunes criminels ne trouvera pas d'appui au gouvernement du Québec. Le Québec «considère que l'intervention auprès de ces clientèles doit viser la réadaptation plutôt que la répression», indique-t-on dans les notes fournies hier par le cabinet de M. Charest pour donner le contexte de chacune des 13 revendications du Québec. On prévient aussi Ottawa: «Si vous modifiez la loi sur la justice pénale pour les adolescents, que celle-ci comprenne des dispositions permettant un traitement asymétrique qui permettrait de tenir compte de la spécificité de l'approche québécoise». Selon Jean Charest, d'autres propositions du gouvernement Harper, «doivent être revues». L'idée, par exemple, de redistribuer les sièges des Communes entre les provinces pour tenir compte davantage des mouvements démographiques. Cette nouvelle donne «diminuerait l'influence du Québec». Comme le projet d'un Sénat «égal», où toutes les provinces auraient le même nombre de sièges, le gouvernement fédéral et M. Harper «doivent absolument revoir ce qu'ils ont déjà proposé». Comme l'avait fait Monique Jérôme-Forget, M. Charest a rappelé que le Québec réprouvait l'intention fédérale d'instituer une Commission canadienne des valeurs mobilières. Québec demande «un engagement de votre part de respecter intégralement la compétence exclusive des provinces en (cette) matière». Autre doigt pointé vers le gouvernement conservateur: Québec préconise que l'année de référence pour la diminution des gaz à effet de serre soit 1990, comme prévu au protocole de Kyoto, et non 2006 comme le propose le gouvernement Harper. M. Charest veut aussi le «renforcement» du contrôle des armes à feu, et un engagement d'Ottawa à «maintenir le registre» que le gouvernement Harper a aboli. Finalement, les coupes conservatrices dans les transferts aux artistes et le développement régional «doivent être également révisées pour qu'on rétablisse le financement», a dit M. Charest. Ce dernier se défend bien de s'en prendre surtout au gouvernement Harper. «On vise tous les partis politiques, je m'exprime au nom de tous les Québécois. Il est sain que tous les partis politiques puissent s'exprimer sur ces enjeux», insiste-t-il. Et M. Charest d'expliquer qu'avec cette prise de position, le nouveau gouvernement à Ottawa, quel qu'il soit, connaîtra ainsi la position du Québec et «agira en conséquence». «Je ne cherche pas à diriger le vote», précise-t-il. M. Charest s'attend «à ce qu'il y ait des réponses» de la part des partis fédéraux, des positions qui seront affichées sur l'internet. En réplique, la chef péquiste Pauline Marois a soutenu que le premier ministre «avait fait une démonstration éloquente de l'échec du fédéralisme». Le nombre de doléances, près d'une quinzaine, en dit long, selon elle sur les retombées du «fédéralisme d'ouverture» préconisé par le gouvernement libéral. Plus tôt M. Charest avait ciblé ses adversaires adéquiste et péquiste Mario Dumont et Pauline Marois qui proposent une réouverture du dossier constitutionnel au moment où l'économie devrait mobiliser tous les efforts des élus. Dans sa lettre aux chefs fédéraux, M. Charest souligne que la reconnaissance de la «nation» québécoise «devra, le temps venu, trouver son expression dans la Constitution canadienne». Le gouvernement du Québec «est fédéraliste» et estime qu'une approche «axée sur des ententes administratives nous permettent d'obtenir des résultats tangibles pour nos citoyens, (plutôt) que la confrontation stérile». Dans la liste des revendications du Québec on retrouve plusieurs demandes traditionnelles. Ainsi, l'encadrement du pouvoir fédéral de dépenser, un engagement qu'avait pourtant pris Stephen Harper, à Québec en 2005, a rappelé M. Charest. Le Québec veut que les partis fédéraux s'engagent à négocier le processus de nomination des juges à la Cour suprême. On veut que le Québec ait «un rôle déterminant dans la nomination des juges québécois». On réclame aussi que le fédéral s'engage à conclure un accord avec le Québec pour l'exploration minière et gazière dans le golfe Saint-Laurent, une demande mainte fois répétée par Mme Marois.
  3. L'assureur AIG envisage de vendre plus de quinze activités, y compris sa filiale de location aéronautique ILFC, pour rembourser au plus vite le prêt fédéral de 85 milliards de dollars, indique lundi le Financial Times. Pour en lire plus...
  4. Publié le 27 septembre 2008 à 20h42 | Mis à jour le 27 septembre 2008 à 20h45 Le PLQ veut faire reconnaître la spécificité du Québec Alexandre Robillard La Presse Canadienne Lévis Le fruit constitutionnel n'est pas mûr, mais les libéraux provinciaux ont adopté, samedi, une résolution qui a tout l'air d'une demande de reconnaissance de la nation québécoise dans la constitution du Canada. Lors de leur conseil général, les militants se sont prononcés en faveur de la reconnaissance constitutionnelle de la spécificité québécoise, qui s'apparente au concept de nation québécoise, a indiqué le ministre des Affaires intergouvernementales canadiennes, Benoit Pelletier. Selon M. Pelletier, la spécificité québécoise est fondée sur la langue, la culture, les institutions, le droit civil ainsi qu'un mode de vie qui est particulier au Québécois. «Plusieurs vont reconnaître dans tout ça les caractéristiques d'une nation au sens sociologique ou politique, a-t-il déclaré lors d'un point de presse. (...) Cette spécificité rejoint pleinement le caractère national du Québec.» M. Pelletier s'est bien défendu de vouloir imposer une terminologie puisque le contexte économique actuel ne se prête pas à des négociations constitutionnelles sur ce sujet. Il a, en d'autres termes, répété sa formule consacrée que «le fruit n'est pas mûr». Il a toutefois affirmé que la reconnaissance de la spécificité était un objectif auquel son gouvernement est attaché, «même si ce n'est pas pour demain». Actuellement, seule une motion du parlement fédéral sanctionne cette reconnaissance. Cette proposition sur la spécificité fait partie d'une résolution-cadre sur l'identité et le fédéralisme qui a été l'objet de discussions, samedi, au conseil général du Parti libéral du Québec, et dont le gouvernement pourra s'inspirer dans l'élaboration de ses politiques. Durant les échanges, les militants libéraux ont rejeté une proposition visant à augmenter les amendes des commerçants qui ne se conforment pas à la Charte de la langue française après un avertissement, préférant réclamer des visites régulières dans les commerces. Après deux séries de reportages ayant démontré, au cours des derniers mois, que la place du français n'était pas toujours respectée dans les commerces du centre-ville Montréal, ils ont refusé, samedi, un amendement visant à limiter ces visites aux établissements dont la taille et les activités le justifient. «Si on veut faire avancer le français, il faut le faire avancer partout, pas seulement dans les grandes entreprises», a dit le militant Kim Leclerc, dans la salle d'un centre de congrès où les résolutions ont été débattues. Toujours dans le dossier de la protection de la langue française, les libéraux ont décidé qu'un critère de qualité de la langue parlée devrait être ajouté par le gouvernement fédéral concernant le renouvellement ou l'octroi des licences de radiodiffusion et de télécommunications pour le Québec. «On veut que nos Québécois parlent un bon français, a dit Jean Beaudoin. Je pense que c'est une bonne orientation de faire en sorte que le gouvernement fédéral, quand il octroie des licences, s'assure que la langue française au Québec soit mieux respectée.» Ces demandes ont été complétées par l'adoption d'une résolution sur diverses mesures pour que la population maîtrise les deux langues, dont un programme d'anglais intensif en sixième année du primaire. Les libéraux ont réclamé des mesures pour imposer le bilinguisme au niveau fédéral, pour les postes d'ambassadeurs et de sous-ministre, et afin que les juges à la Cour suprême maîtrisent le français. Ils ont voté en faveur de mesures d'intégration des immigrants au marché du travail, dont la création d'un poste de commissaire qui veillera à leur garantir un accès équitable de la part des ordres professionnels. Au chapitre de la santé, ils ont voté en faveur du remboursement des traitements de fecondation in vitro pour les couples infertiles, dont le coût annuel devrait se situer entre 15 et 30 millions $. Cette deuxième journée de travaux s'est déroulée dans une atmosphère studieuse. Outre l'identité et le fédéralisme, il a aussi été question d'éducation et d'occupation du territoire. Ce dernier thème devrait d'ailleurs être abordé dimanche par le premier ministre Jean Charest, lors d'un discours de clôture. M. Charest caresse le projet d'ouvrir le nord du Québec au développement.
  5. Des économistes pressent le prochain gouvernement fédéral, peu importe ses couleurs, d'adopter diverses mesures pour maintenir une certaine stabilité économique au Canada. Pour en lire plus...
  6. No surprise here: Harper remains fiscally off balance with Quebec JEFFREY SIMPSON September 24, 2008 at 11:00 PM EDT Right there, in bold type on page 144 of the 2007 budget, the Harper government declared: "Fiscal Balance Has Been Restored." Everywhere Prime Minister Stephen Harper goes in Quebec - the issue being of interest only in that province - he affirms that "we solved the problem of the fiscal imbalance." His Quebec ministers repeat the mantra; his candidates hammer home the message. The inference: Vote for us because we handed over all that money to Quebec (and the other provinces), just as we promised in the 2006 campaign. Case closed. Except that, as anyone with the slightest sense of Quebec could have predicted, the appetite there only grows with the eating. "The fiscal imbalance, according to us, is not yet solved," proclaims Quebec Finance Minister Monique Jérôme-Forget. Things are much better, she acknowledges. But, "is it finished?" she asks. "No." Quebec Premier Jean Charest also insists more money is needed to "solve" the problem. And, by the way, how about handing over all money and federal jurisdiction over "culture and communications," so that Quebec can achieve "cultural sovereignty"? And, while you're at it, Mr. Harper, hurry up with that promise to eliminate Ottawa's power to spend any money in areas of provincial jurisdiction. Mr. Charest has learned the ways of a Quebec premier. Always demand. Never be satisfied. Keep the heat on. Position yourself as the "defender" of Quebec's interests. Insist on more money and power from Ottawa. Mr. Harper ought to have seen this coming. No federal prime minister can ever out-national the nationalists, and none can ever satisfy any premier, at least not for long. As a result, he and Mr. Charest are no longer political allies, because it does not suit Mr. Charest to be other than a demandeur. Instead, the Action Démocratique has become the Conservatives' closest political ally in Quebec, especially in the rural and small-town ridings the Conservatives target. This is the crowd that whipped up alarm over immigration. This is the party that wants a separate constitution for Quebec, talks always of "autonomy" for Quebec, wants Quebec citizenship, demands a massive transfer of power (and money, of course) from Ottawa to Quebec, and sees Canada as a very loose association of two states. Mr. Harper has never repudiated any of these demands/statements from his erstwhile allies. Mr. Harper, as is his wont, plays with slippery language in Quebec, often using the word "autonomy." Of course, he reminds everyone that he got passed the resolution describing the Québécois as a "nation" within Canada. And he brags about having "solved" the "fiscal imbalance." These ADQ/Conservative voters are exactly those for whom artists whining about cuts to their subsidies are figures of scorn. The brouhaha about Mr. Harper's $46-million in cuts to the arts goes right over their heads, or even fires them up more to support the Conservatives. Mr. Harper says his government has increased cultural spending by 8 per cent. Where he gets that number from is unknown. He did increase the Canada Council's budget over two years by $50-million, and he put $60-million into "local arts and festivals" in the 2007 budget. But the biggest increase this year was for the Francophone Summit in Quebec City, which will happen just after the election - $38-million in 2008 and $13-million in 2007. Is that culture? The $46-million cut is a drop in the bucket of the tens of billions transferred to Quebec and the other provinces to "solve" the fiscal imbalance. The attention being paid to it represents a classic example of the urgent but minor driving out the huge and important. The whole fiscal imbalance was an invention that became a mythology in Quebec: Big, bad, fat Ottawa was rolling in dough, while the poor, beleaguered provinces had too little. A commission, established under the separatist government, produced a sum it claimed would resolve the problem. But even after the Paul Martin government transferred a larger sum than the commission had demanded, the mythology held. Still more was required to solve the "problem," claimed Quebec and those provinces that clung to Quebec's coattails. Mr. Harper, fishing for votes in Quebec and desirous of slimming the federal government anyway, obliged with a cool $40-billion in transfers. "We have solved the fiscal imbalance," he proclaimed. Nice try.
  7. Le président et chef de la direction de Transat A.T., Jean-Marc Eustache, reproche au gouvernement fédéral de «saigner» les transporteurs aériens par certaines de ses mesures. Pour en lire plus...
  8. Let us decide its own cultural priorities, Charest says Quebec premier calls for reversal of arts funding cuts KEVIN DOUGHERTY, The Gazette Published: 8 hours ago (The Gazette)
  9. Federal cash could put CFL team in Quebec City RHEAL SEGUIN Globe and Mail Update September 3, 2008 at 3:31 PM EDT The federal government will announce today a multimillion dollar infrastructure program for Quebec that could pave the way for a Canadian Football league franchise in Quebec City. The federal funding includes the expansion and renovation of Quebec City's Laval University sports centre where local investors are offering to expand the football stadium in their bid for a CFL franchise. According to prominent Quebec City lawyer Marc Bellemare, local investors have already set aside half of the $40-million needed to expand the stadium with the other half expected to come from other potential investors once the project is approved. However the head of Laval University Denis Brière has been reluctant in giving his full support to the stadium's expansion for a CFL franchise. “It would be irresponsible to say no to the expansion of the football stadium.,” Mr. Bellemare said on behalf of the anonymous investors in an interview on Tuesday. “The investors need to settle the situation involving the stadium. And then we can move and show the rest of Canada that Quebec City is truly a city capable of attracting a CFL franchise.” According to a marketing conducted on behalf of the investors the marketing firm Impact Recherche, 71 per cent of Quebec City residents support a CFL franchise. The study obtained by the Globe and Mail showed that 43-per cent of the 1001 people polled would be interested in purchasing a season ticket and that 85-per cent believed that Laval University sports centre would be an appropriate location to hold CFL games. The investors worked closely with the Montreal Alouettes in preparing their project for a CFL franchise. Alouette's president Larry Smitth said in a recent local radio interview he embraced Quebec City as a potential CFL franchise location saying it would create a healthy rivalry between the two city that would boost interest for the league throughout Quebec. According to Mr. Bellemare, CFL director general Michael Copeland also indicated to him that Quebec City would be an ideal location for the league's proposed expansion project. Quebec City has one of the most popular university football teams where the Laval University Rouge et Or has attracted as many as 19,000 people to local games in a stadium that only has slightly more than 10,000 seats. The marketing study showed that the attraction of CFL franchise in the city would not have a negative impact on the popularity of local university foot ball games. “The university hold four local games per season. Most of the CFL local games could be scheduled in July and August and would no compete with the university games,” Mr. Bellemare said. “Now it's up to the government to urge the university to change their plans for a new sports centre to allow for the stadium's expansion. Laval University's current $85-million sports centre proposal includes the construction of an indoor soccer field on empty land next to the current football stadium. The city has announced it will inject $10-million in the project with the other $75-million coming from equal contributions from Ottawa and the province. The investors have proposed that the university modify the plan in order to move the soccer stadium further east and use the empty field for the expansion of the football field. Today federal Minister of Transport, Infrastruture and Communities Lawrence cannon will confirm Ottawa's contribution to the university's sport centre proposal. Mr. Cannon as well as Quebec Finance Minister Monique Jérôme-Forget are expected to respond to investors' proposal for changes to the University's plan that could pave the way for a CFL franchise in the city.
  10. La firme de design et de fabrication aéronautique Héroux Devtek, de Longueuil, obtiendra ce matin un appui financier fédéral de près de 30 millions de dollars à son projet de recherche et développement sur les trains d'atterrissage de l'avenir. Pour en lire plus...
  11. C'est ce que pense le Conference Board du Canada qui estime que l'excédent budgétaire du gouvernement fédéral pourrait être supérieur. Pour en lire plus...
  12. Le surplus engrangé en juin est venu compenser pour les déficits rapportés en avril et en mai, ce qui permet de terminer le premier trimestre de l'exercice dans le noir. Pour en lire plus...
  13. Ontario: the Province that thinks it's Canada Amid regional grievances, McGuinty fights for a fair share of taxpayers' dollars MURRAY CAMPBELL From Saturday's Globe and Mail August 2, 2008 at 12:00 AM EDT Dalton McGuinty was doing a favour for reporters afflicted with summer-brain stupor. “Here's the news,” the Ontario Premier said, helpfully, after a speech late last month. “Ontarians are coming together to more effectively assert themselves in the face of an unfairness caused by the financial arrangements between us and Ottawa.” Indeed, it would be news if this coming-together was actually happening, and it would be momentous given the suggestion by the federal government this week that it is prepared to shift some economic powers to the provinces. But the residents of Canada's most populous province do not have an unbroken history of rising up as one to take on the federal government. Ontario is not Alberta, and the philosophy that provincial rights should be paramount has always had to compete with a powerful sense that Canada comes first. Mr. McGuinty embodies this duality. For more than three years, he has wasted few opportunities to make his claim that Ontario is being treated unfairly in Confederation because it receives, by the latest estimate, about $20-billion less in services from federal government than its taxpayers remit to Ottawa. He criticizes the federal equalization program – financed predominantly by Ontario taxpayers – for redistributing money to provinces that are more prosperous than his. He takes issue with health and other transfer payments that are less generous than those given to other provinces. And he asks why an unemployed worker in Ontario is treated more severely than in the rest of the country and why the Harper government wants to leave the province under-represented in the Commons. Ontario Premier Dalton McGuinty gestures during his public lecture 'Ontario's Place in the 21st century' at the London School of Economics and Political Science in London, Monday, May 19, 2008. Hanging over all this is the feeling in Ontario that the 1988 U.S. free-trade pact broke the bargain of Confederation in which Canadians bought their manufactured goods from Ontario in return for a recycling of some of its wealth through programs such as equalization. The Premier is always careful to say that he is a proud Canadian and that he understands his province has been blessed by geography and circumstances that give it a responsibility to share its wealth. But the Premier's sustained effort – reflected in his website fairness.ca – suggests a growing sense of regionalism in Ontario. “My friends, it is time to stand up for our province, time to stand up for Ontario,” he said in his speech last month to the Chamber of Commerce in London, Ont. He suggested that lessons could be learned from other provinces that have gone mano-a-mano with federal administrations although he shied away from emulating Newfoundland Premier Danny Williams, who stormed out of one federal-provincial meeting in protest and then removed Canadian flags from provincial buildings. Ontarians who realize that Newfoundland has a much larger per-capita income than Ontario, thanks in part to $477-million in equalization payments this year may wish their Premier to be as aggressive. But while his tactics may be lower-key, Mr. McGuinty isn't going away. “It's becoming more and more urgent, and there's a continuing need to speak about it, because there hasn't been an appetite at the federal level to really engage in fixing the system,” said an official in the Premier's office. The question is whether Ontarians are likely to respond to his appeal or whether circumstances will transform Ontario into a province with a profound regional grievance. The trend line of estrangement from Ottawa suggests it is possible, but this has to be countered by the strong identification with Canada that Ontario residents have always shown. Mr. McGuinty recognizes other provinces will resent Ontario throwing its weight around. “There is a lazy caricature that is convenient for people, which people can resort to, which is that we're being greedy, we're being uncharitable, we're being un-Canadian,” he told the editorial board of The Globe and Mail in 2006. He also knows that talk of regionalism makes his voters uncomfortable. He is fond of comparing the province's role in Confederation to his own situation growing up as the eldest of 10 children. “My responsibility in the eyes of my parents could be summed up in one word: compliance,” he said in London. “Just be quiet and set a good example. Maybe there is a little bit of that to us here in Ontario.” Neither analysis deals completely with Ontario's complex, shifting history. The province had a very strong sense of identity right from the formation of Canada in 1867 but it also was proud that one of its own, John A. Macdonald, was its first prime minister. And Ontario was conscious that it owed its growing prosperity to the high-tariff walls erected as part of Macdonald's National Policy that sustained its manufacturing industries. But, as historian Randall White notes, long-serving premier Oliver Mowat (1872-1896) battled Macdonald for control of provincial resources (earning the nickname “the little tyrant”) and, later, both Howard Ferguson and Mitch Hepburn fought pitched battles with Ottawa over federal encroachment on provincial jurisdiction. Prevailing attitudes changed during the Second World War, which transformed Canada into a modern industrial state with Ontario at its centre. The postwar province was so diversified economically that it was touched by almost every federal policy. As Queen's University political economist Thomas Courchene has noted, “national policy had frequently had little choice but to be cast in a pro-Ontario light.” Leslie Frost believed that political relations had to reflect these economic ties. When he became Ontario's premier in 1949, he set about building a co-operative relationship with Ottawa. The province surrendered much of its taxing authority and agreed to the equalization scheme that vexes Mr. McGuinty. During Mr. Frost's 12 years in office, the old confrontations died away and the modern notion of Ontario as a helpful saviour of Confederation – exemplified by John Robarts' Confederation of Tomorrow conference in 1967 – took hold. So complete was this subsuming of Ontario's regional identity that historian Arthur Lower concluded in 1968 that the province had little collective will and asked in an article: “Does Ontario exist?” No one laughed and, indeed, historian Peter Oliver questioned seven years later why “anyone would attempt to write the history of a region which isn't.” Ontario was firmly by the federal government's side during the energy battles of the 1970s, supporting Ottawa's move, through the National Energy Program, to gain a larger share of Alberta's oil revenues. And Ontario forsook its old alliances with Quebec to side with the Trudeau government's push to patriate the Constitution and enact the Charter of Rights and Freedoms. The MPs that Ontarians send to Ottawa are still more likely to represent the federal argument to Ontario than vice versa – Mr. McGuinty has found few allies in any federal government caucus – but MPPs at Queen's Park began to fall out of step in the 1980s. The Peterson government was impatient with Brian Mulroney's agenda of fiscal restraint and free trade. In particular, Ontario saw the free-trade pact with the United States – the end of the old National Policy – as evidence that Ottawa was promoting the rest of Canada at its expense. By the early 1990s, Bob Rae concluded that the country seemed to be “based on the premise that everyone else could speak ill of Ontario and that this inherently wealthy place would continue to bankroll Canada.” In a 1993 speech, he described Ontario as “the part of Canada that dare not speak its name.” Mr. McGuinty owes much to Mr. Rae's decision to engage a consulting firm to draft a cost-benefit analysis to buttress his belief that the structure of Confederation in the wake of the free-trade deal and cuts in transfer payments neglected Ontario. Mr. Rae's “fair shares federalism” argument is the precursor of the current premier's “fairness” campaign. Mr. Harris agreed that the structure of Confederation served Ontario ill. He, too, fought the federal government (often along with other premiers) on everything from employment insurance to the Kyoto greenhouse-gas protocol. But the federal government at the time was preoccupied with Quebec, after the wake of the 1995 referendum that narrowly kept that province in the country. The federal Liberals' stranglehold on Ontario gave Mr. Harris's Progressive Conservative government no allies on Parliament Hill and Ontario's fundamental objections remained. Mr. McGuinty has earned some concessions in the past three years but the broad-ranging reform of fiscal relations he is seeking eludes him. His efforts seem to resonate with voters who find the notion of a $20-billion “gap” easy to comprehend. One opinion poll earlier this year gave him two-to-one support over federal Finance Minister Jim Flaherty in their war of words over Ontario's economic strategy. But will 13 million Ontarians find a will to act collectively and heed their Premier's call to arms? Mr. White concedes only that the province “is gradually recovering some sense of a regional identity it lost after the Second World War.” Mr. Courchene, too, is careful about predicting the future. “They're thinking of themselves as meriting better treatment from the federal government,” he said. “Does that make them a region? I don't know.” Certainly not in the way that Quebec is distinctive or the West feels it has been victimized by Bay Street and the NEP. It is also hard to define Ontario: The northwest feels closer to Manitoba and there is little identification with Toronto in the eastern part of the province. In addition, immigrants – and Ontario has been getting 125,000 or more a year – have only to look at their new passports to discern their allegiance. But circumstances may yet push Ontario into regional belligerence as the belief grows that the equalization program is unsustainable. Its taxpayers contribute 40 per cent of the cost of the scheme – $13.6-billion now, and growing by leaps and bounds – and this burden rises every year whether its economy grows or not. Conversely, while Alberta's oil revenues are part of the equation that determines payouts, the revenues themselves are off limits to the federal treasury. Mr. Courchene calculates that, partly as a result of this scheme, Ontario's per-capita revenues trail every other province. The prediction that Ontario will soon become a have-not province and qualify for payments that, absurdly, are largely funded by its own taxpayers casts a harsh light on the scheme's shortcomings. Mr. Courchene calls this prospect “fiscalamity,” and if Ontarians catch his drift Mr. McGuinty will have a blank cheque to throw some weight around. The eldest child may decide he's fed up with setting a good example and looking after the other kids.
  14. Quebec already has power to be an international player: Charest KEVIN DOUGHERTY, The Gazette Published: 9 hours ago Canadian federalism already allows Quebec to negotiate international agreements on its own, Premier Jean Charest said yesterday, commenting on a federal minister's declaration that Ottawa would give provinces more power to act on the international stage. Charest said Quebec needs to play an active international role to thrive in the global economy. "I see it as an occasion for the emancipation of Quebec," he said of the province's international relations. Charest called Transport Minister Lawrence Cannon's declaration, on the eve of a federal Conservative caucus meeting in Quebec this week, "a positive signal." But as things stand, Charest added, Quebec has more powers to make international agreements on its own than France has as a member of the European Union. Quebec's position is that "what is in Quebec's jurisdiction at home is in Quebec's jurisdiction everywhere," he said. The Canadian constitution gives Quebec jurisdiction over education, health, language and culture. The proposed agreement between France and Quebec on mutual recognition of professional qualifications is within Quebec's powers. "We have the powers to do that," he said. "In fact, when I proposed the project to President Sarkozy, I think it was about a year ago when I did it, I didn't call Ottawa to ask them permission to do it. "I proposed it. We did it and we started negotiating." Some consider Cannon's statement a betrayal of a more centralized vision of Canadian federalism. "There will always be these people in English Canada and elsewhere, even in Quebec, who fear the future of the federation if we ever question their way of exercising federalism," Charest said. "The Canadian federal system is a very decentralized system, by choice," he said. "It is not an accident of history that we have a decentralized federal system. It is one of the conditions that permitted the creation of the country."
  15. Cannon enfonce une porte ouverte Antoine Robitaille Le Devoir jeudi 31 juillet 2008 Québec — Le gouvernement Harper enfonce une porte ouverte en faisant savoir haut et fort qu’il « permet » à Québec de négocier une entente sur la main-d’oeuvre avec la France, croit-on au bureau de Jean Charest. « On n’a de toute façon pas de permission à demander au gouvernement fédéral pour faire une chose comme celle-là », a rétorqué hier Hugo D’Amours, l’attaché de presse du premier ministre québécois. « Le principe qui a toujours prévalu est celui-ci : ce qui est de notre compétence chez nous est de notre compétence partout », a-t-il insisté, évoquant une doctrine définie à l’époque de la Révolution tranquille par l’ancien ministre Paul Gérin-Lajoie. D’ailleurs, depuis le lancement des négociations entre le Québec et la France, il y a un an, le gouvernement Charest n’a « à aucun moment eu de discussion avec Ottawa » sur le sujet, a précisé M. D’Amours. En entrevue au Globe and Mail hier, le lieutenant conservateur québécois Lawrence Cannon faisait savoir que le gouvernement Harper ne s’opposerait pas à une éventuelle entente sur la reconnaissance mutuelle des acquis et des compétences entre le Québec et la France, et même qu’il « l’appuyait ». En marge du caucus conservateur qui se tient à Lévis jusqu’à aujourd’hui, il a précisé que le fédéral « ne fera pas d’urticaire » si un tel accord est conclu, faisant l’éloge de « l’autonomie » des provinces et précisant que chacune d’elles pourrait bénéficier du même traitement, du moment que le partage de pouvoirs défini par la Constitution est respecté. Le cabinet de Stephen Harper a cependant nié, contrairement à ce que des médias torontois ont laissé entendre, qu’un accord — « a new deal » — était en négociation avec les provinces pour donner une reconnaissance formelle à ce prolongement international des compétences des provinces. Après plusieurs courriels dans lesquels Le Devoir lui demandait quelle forme pourrait prendre cette « nouvelle entente », l’attaché de presse de M. Harper, Dimitri Soudas, a fait parvenir cette phrase sibylline : « Ce que nous faisons, c’est respecter l’entente originale de la fondation du Canada, comme nous le faisons depuis que nous avons été élus, en pratiquant un fédéralisme d’ouverture et en respectant les compétences des provinces. » Défaite des trudeauistes Hugo D’Amours a tenu à qualifier d’« intéressante » la reconnaissance sans équivoque, par le fédéral, que les provinces pouvaient avoir des relations internationales dans leurs champs de compétence. Ce ne fut pas toujours le cas, a-t-il rappelé, même si l’Ontario, la Colombie-Britannique et l’Alberta, entre autres, sont, à l’instar du Québec, actifs sur la scène internationale depuis longtemps. En matière d’éducation, les premières ententes bilatérales Québec-France remontent au début des années 60. Jean Charest et son homologue français François Fillon ont réitéré, au début du mois, leur volonté de signer l’entente sur la main-d’oeuvre en octobre lors de la visite du président Nicolas Sarkozy. Une source au ministère des Relations internationales a expliqué que, pour plusieurs dans les officines fédérales, notamment chez les « mandarins les plus trudeauistes des Affaires étrangères », la doctrine Gérin-Lajoie est une « hérésie ». La négociation de traités et d’ententes internationales doit être l’apanage exclusif d’Ottawa, croient-ils. La sortie de Lawrence Cannon signifierait, d’une part, que cette thèse bat de l’aile dans l’appareil fédéral et, d’autre part, que les conservateurs reprennent une position défendue depuis longtemps par les premiers ministres des provinces lors de leur rencontre estivale du Conseil de la fédération. L’ADQ se réjouit Dans les rangs de l’opposition officielle adéquiste, on se réjouissait hier de voir que le « discours de l’autonomie semble prendre racine au Canada », selon les mots d’un membre influent de l’entourage de Mario Dumont avec qui Le Devoir s’est entretenu hier. Celui-ci a aussi salué la « reconnaissance sans ambiguïté » de la doctrine Gérin-Lajoie. Peu surprenant, a-t-il souligné, de la part de Lawrence Cannon, ancien ministre libéral qui s’était déclaré favorable au rapport Allaire. Ce document du PLQ, adopté en 1991, réclamait, dans l’après-Meech, le « rapatriement » au Québec d’une vingtaine de pouvoirs détenus par Ottawa. M. Cannon avait qualifié ce rapport — à la source du schisme qui a conduit à la création de l’ADQ — de « proposition extrêmement intéressante et logique ». « Nous allons l’appuyer, du moins dans ma circonscription », avait-il soutenu en janvier 1991. Ainsi, à l’ADQ, on s’explique mal la fermeture de Lawrence Cannon à l’égard d’une réouverture de la Constitution canadienne, modifiée en 1982 sans l’assentiment du Québec, a-t-on rappelé. L’opposition officielle croit que l’on devrait ajouter la reconnaissance de la nation québécoise à l’article 27 (celui portant sur le multiculturalisme). Au reste, le conseiller adéquiste souligne que, pour ce qui est de l’encadrement du pouvoir de dépenser, « on attend toujours » que le fédéral bouge. « On n’a pas vu l’ombre d’un texte encore », a déploré le conseiller. Ancien président de l’ADQ, le politologue Guy Laforest estime que la notion de fédéralisme d’ouverture, qui a permis aux conservateurs de remporter plusieurs sièges au Québec, semble « s’essouffler ». Les promesses remplies jusqu’à maintenant relèvent souvent de l’ordre symbolique (telle la motion sur la nation et l’entente sur la participation du Québec à l’UNESCO). D’où l’intérêt pour le gouvernement Harper de valoriser « l’autonomie » des provinces. Certains observateurs font remarquer que, contrairement à ce qu’il prétend, le gouvernement Harper a enfreint à plusieurs reprises les principes du partage des pouvoirs. Notamment en matière de santé, une compétence exclusive des provinces : le fédéral a créé la Commission canadienne de la santé mentale ; il a mis sur pied une fiducie de 300 millions de dollars pour un programme de vaccination des femmes contre le virus du papillome humain ; il a créé le Conseil national des aînés ; il finance depuis 2006 le Partenariat canadien contre le cancer ; il finance une Stratégie canadienne en matière de santé cardiovasculaire. Pour plusieurs de ces nouvelles structures, le Québec réclame sa part de financement.
  16. Le ministre fédéral de l'Industrie, Jim Prentice, menace de serrer la vis à l'industrie de la téléphonie cellulaire en raison des tarifs des messages textes. Pour en lire plus...
  17. 3,9 milliards $ pour les infrastructures au Québec Le jeudi 24 juillet 2008 Jocelyne Richer La Presse Canadienne Ottawa versera à Québec 3,9 milliards $, au cours des sept prochaines années, pour la mise à niveau des infrastructures. Curieusement, il ne se trouvait personne à Québec, jeudi, dans les cabinets ministériels, pour commenter cette nouvelle ou donner les détails de l'entente. L'information a été confirmée dans la plus récente publication de la Gazette officielle du Québec, qui fait état d'un décret gouvernemental daté du 30 juin. Le décret indique que Québec s'attend à recevoir tout près de 4 milliards $ d'Ottawa, provenant du Plan Chantiers Canada, un programme de 33 milliards $ pour la mise à niveau des infrastructures du pays, d'ici 2014. Pendant ce temps, à London, en Ontario, le ministre fédéral des Transports, Lawrence Cannon, rendait publique la contribution d'Ottawa pour la voisine du Québec, soit 6,2 miliards $ pour moderniser routes, ponts, viaducs, infrastructures culturelles et sportives ou autres. À Québec, au cabinet de la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, l'adjointe de l'attachée de presse a dit qu'il n'y aurait pas d'annonce officielle semblable pour le Québec avant le mois de septembre, et ce, même si le montant du versement fédéral est déjà connu. On invoque un certain nombre de «détails» à régler avant de pouvoir procéder à une annonce officielle. Quelle est la nature de ces détails? Pas de réponse. À Ottawa, au cabinet du ministre Cannon, on assure que rien n'accroche entre les deux capitales et que le seul détail en suspens consiste à déterminer la date de l'annonce. Il a été impossible de savoir dans quelle mesure le délai supplémentaire laisse croire que Québec n'a pas encore réussi à obtenir les garanties souhaitées quant à sa latitude sur le choix des projets à financer. De son côté, en octobre dernier, le gouvernement Charest s'était engagé à mener bien un vaste chantier de mise à niveau des infrastructures, en y injectant 30 milliards $ en cinq ans. Il n'a pas été possible d'obtenir une entrevue pour en savoir davantage sur la position du Québec dans ce dossier, la ministre des Finances, son directeur de cabinet et son attachée de presse étant tous partis en vacances. Les deux capitales négocient depuis des mois et un accord avec le fédéral sur le financement des infrastructures était attendu depuis longtemps par le gouvernement Charest, en vue de réaliser les nombreux projets qui sont sur la table, dont l'agrandissement du pavillon des sports de l'Université Laval (PEPS) à Québec, ou le quartier des spectacles à Montréal.
  18. La Federal Communications Commission s'apprête à dire oui à la fusion des deux seuls acteurs de la radio satellite chez les voisins du Sud. Pour en lire plus...
  19. Le fédéral est-il inéquitable envers l'Ontario? Presse Canadienne, 07:41 Il est temps que les Ontariens unissent leurs efforts pour que leur province obtienne un traitement équitable de la part d'Ottawa, a déclaré hier le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty. C'est un refrain familier de la part de M. McGuinty, comme cela a été le cas pour des générations de ses prédécesseurs, a reconnu le premier ministre. Mais le conflit revêt aujourd'hui un caractère plus urgent, et l'injustice dont sa province est victime est plus prononcée, selon lui, à cause de la croissance économique des autres provinces. Le gouvernement fédéral perçoit chaque année 20 milliards $ en Ontario, somme qu'il redistribue dans le reste du pays, ce qui n'a plus sa raison d'être puisque les autres provinces se débrouillent beaucoup mieux financièrement, a affirmé M. McGuinty dans un discours devant la Chambre de commerce de London. Malgré la prospérité du secteur de l'énergie ailleurs au pays, le gouvernement fédéral prélève davantage de l'Ontario pour le donner aux autres provinces que jamais auparavant dans l'histoire du Canada, a-t-il ajouté. Chaque année, "quoi qu'il arrive, le gouvernement fédéral extrait plus de trois pour cent du PIB ontarien de notre économie pour la redistribuer à travers le pays", a-t-il soutenu. M. McGuinty n'a cependant pas l'intention d'imiter son homologue de Terre-Neuve-et-Labrador, Danny Williams, que son propre conflit avec Ottawa avait amené à abaisser le drapeau canadien et à appeler cavalièrement le premier ministre canadien "Steve". La Chambre de commerce de l'Ontario appuie la revendication de M. McGuinty vis-à-vis d'Ottawa. C'en est rendu "au point où nous finançons d'autres parties du Canada", a commenté le président de l'organisme, Len Crispino. Le leader des conservateurs ontariens, John Tory, a déclaré que l'opposition coopérera aux efforts pour obtenir un traitement plus juste de la part d'Ottawa, mais il a estimé que les libéraux au pouvoir doivent faire plus pour stimuler l'économie ontarienne. Le gouvernement libéral doit faire ses devoirs pour attirer à nouveau les investisseurs en Ontario, et passer à l'action lui-même au lieu de se contenter de blâmer le gouvernement fédéral, a fait valoir M. Tory. http://www.lesaffaires.com/article/0/gouvernement/2008-07-23/480475/le-feteacutedeteacuteral-estil-ineteacutequitable-envers-lontario.fr.html
  20. Quebec Tories swapped ad expenses, Elections Canada alleges TIM NAUMETZ The Canadian Press July 22, 2008 at 9:26 AM EDT OTTAWA — The Conservative Party shifted thousands of dollars in advertising expenses from two of its top Quebec candidates to other Quebec candidates who had more spending room in their 2006 federal election campaigns, the lawyer for Elections Canada has suggested. A former financial officer for the party confirmed last month in a court examination that expenses incurred by Public Works Minister Christian Paradis and former foreign affairs minister Maxime Bernier were assigned to other candidates. But former chief financial officer Ann O'Grady said the expenses were “prorated” to the other candidates because the firm that placed the television and radio ads billed Mr. Paradis and Mr. Bernier for higher amounts than their campaign agents originally committed. Elections Canada lawyer Barbara McIsaac probed Ms. O'Grady over records involving an eventual claim for $20,000 in radio and TV advertising by Mr. Paradis and $5,000 in advertising claimed by Mr. Bernier. The financial statements and invoices – filed in a Federal Court case concerning $1.3-million in questionable Conservative ad expenses – also showed that Mr. Bernier and Mr. Paradis paid a fraction of the ad production costs compared with other Tory candidates. Mr. Bernier and Mr. Paradis are among 67 Conservative candidates whose advertising expenditures are under investigation by the federal elections commissioner. Agents for some of the candidates took Chief Electoral Officer Marc Mayrand to Federal Court after he refused last year to reimburse the expenditures on grounds that they did not qualify as local candidate expenses. The Commons ethics committee is also conducting an inquiry into the bookkeeping, which Elections Canada alleges allowed the Conservative party to exceed its national campaign spending limit by more than $1-million. The Canada Elections Act prohibits candidates from absorbing or sharing the election expenses of other candidates. NDP MP Pat Martin, a member of the ethics committee, said if the party did shift expenses from Mr. Bernier and Mr. Paradis to other candidates it would add an entirely new dimension to the controversy. “I can't get (fellow NDP MP) Judy Wasylycia-Leis to put $5,000 of my expenses into her expenses,” Mr. Martin said. “That's absolutely not allowed.” In a sworn cross-examination last month, the transcript of which was subsequently entered in the Federal Court file, Ms. McIsaac pressed Ms. O'Grady about advertising and ad production costs that were transferred from Mr. Bernier and Mr. Paradis to other candidates. Ms. McIsaac challenged Ms. O'Grady's explanations that the expenditures were reassigned because the candidates had been mistakenly invoiced for more than the amounts their official agents originally committed for the campaign. “I'm going to suggest to you that Mr. Bernier was less than $2,590 from his spending limit and that he couldn't afford to put the additional amount into his return,” Ms. McIsaac said to Ms. O'Grady. “That would be total supposition,” Ms. O'Grady responded. “Who knows what else would have been going on at the time? I can't comment on how Mr. Bernier ran his campaign.” In the case of Mr. Paradis, Ms. O'Grady conceded that the candidate had originally committed his campaign to a media buy totalling $30,000, was eventually invoiced $29,766 and subsequently received a “credit note” of $10,000 that was reallocated to another candidate, Marc Nadeau. “Now, again, the reason for this was that Mr. Paradis had reached his limit with respect to spending as well, is that correct?” Ms. McIsaac asked. “He had to allocate some of his money to Mr. Nadeau, did he not, because he was close to his limit?” “I would not know that,” replied Ms. O'Grady, who replaced former Tory chief financial agent Susan Kehoe several months after the election. Ms. McIsaac also questioned Ms. O'Grady over the fact that Mr. Bernier paid no production costs for his share of the advertising. Mr. Paradis paid only $233.93 for his share, even though Ms. McIsaac said other candidates paid $4,500 each for production costs.
  21. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, a maintenu que le statut de grand propriétaire d'énergies permettraient au Canada de rester en meilleure santé que les États-Unis. Pour en lire plus...
  22. Dumont veut que les provinces parlent de constitution Photo PC Jocelyne Richer La Presse Canadienne Québec Les provinces canadiennes devraient toutes faire pression sur Ottawa pour que le Québec soit reconnu comme une nation dans la constitution canadienne, plaide Mario Dumont. Le chef de l'opposition officielle a profité de la rencontre annuelle du Conseil de la fédération, qui se tient à Québec de mercredi à vendredi, pour proposer que le dossier constitutionnel soit à l'ordre du jour des premiers ministres. En point de presse, mardi, devant le parlement, M. Dumont a jugé que le Conseil de la fédération était un forum approprié pour parler de la place du Québec dans la constitution canadienne, et ce, même si le gouvernement fédéral n'y est pas représenté. Il est revenu à la charge pour remettre en question l'existence même de l'organisme, qui n'a pas donné de résultats tangibles en faveur du Québec, selon lui. À l'initiative du gouvernement de Stephen Harper, la Chambre des communes a reconnu que le Québec formait une nation au sein du Canada. M. Dumont voudrait maintenant que cette reconnaissance soit officiellement enchâssée dans la constitution. Le Conseil de la fédération a été créé en 2003 à l'initiative du premier ministre Jean Charest. Il s'agit d'un forum servant à discuter des dossiers de relations interprovinciales et des positions communes à adopter vis-à-vis le gouvernement fédéral.
  23. Le gouvernement fédéral fixe à 35 ans la durée maximale du remboursement d'un emprunt hypothécaire garanti par le gouvernement, tandis que la mise de départ requise devra être d'au moins 5%. Pour en lire plus...
  24. Pouvoir fédéral de dépenser: Charest ne se formalise pas du peu de progrès Le lundi 16 juin 2008 Sylvain Larocque Presse Canadienne Plus d'un an après avoir promis de mobiliser l'Assemblée nationale dans le but de conclure avec Ottawa une entente pour limiter le pouvoir fédéral de dépenser, le premier ministre Jean Charest ne se formalise pas du cul-de-sac dans lequel le dossier semble être plongé. Interrog é sur le sujet lundi, en marge de la Conférence de l'Alliance entre les Etats du Sud-Est des Etats-Unis et les provinces canadiennes, qui se tient à Savannah, en Géorgie, M. Charest a dit espérer qu'Ottawa «clarifie les responsabilités des uns et des autres». Il s'est toutefois empressé d'ajouter qu'il incombait aux conservateurs de faire avancer le dossier. Au début du mois, le quotidien Le Devoir a révélé que les fonctionnaires fédéraux avaient terminé la rédaction d'un projet de loi sur la question, mais que les conservateurs s'abstenaient de le déposer aux Communes par crainte que le Québec ne le vilipende. Selon le journal, le projet de loi permettrait à une province de se retirer avec «juste» compensation financière de tout nouveau programme fédéral à frais partagés, à la condition que celle-ci mette en place un programme semblable. Or, Québec veut que la mesure s'étende à tous les programmes fédéraux qui tombent dans les champs de compétence provinciaux, que les provinces y contribuent financièrement ou non. Dans son discours d'ouverture, en mai 2007, Jean Charest avait soutenu qu'il ne revenait pas au gouvernement fédéral de dire à Québec «où et comment» dépenser ses fonds. Lundi, M. Charest a assuré qu'Ottawa ne l'avait pas informé de la teneur de son projet de loi. Quant à savoir à quel moment le dossier pourrait débloquer, le chef libéral s'en remet totalement au gouvernement fédéral. http://www.cyberpresse.ca/article/20080616/CPACTUALITES/80616208/1019/CPACTUALITES
  25. Couillard pushed Quebec City project to Tories after firm lost Montreal bid DANIEL LEBLANC AND INGRID PERITZ With reports from Tu Thanh Ha in Toronto and Rhéal Seguin in Quebec City June 13, 2008 OTTAWA AND MONTREAL -- The Kevlar Group was losing out on a major federal contract in Montreal in early 2007 at the same time as Julie Couillard started lobbying two senior Conservative officials in favour of another one of the company's projects in Quebec City, according to government records and sources. Kevlar wanted to spend up to $25-million to develop a large swath of land that belonged to Canada Post on the Montreal harbourfront. However, another Crown corporation, Canada Lands, used its right of first refusal and snagged the 60,000-square-metre property in a deal that was officially announced on May 2, 2007, a spokesman for Canada Lands confirmed. Kevlar was believed to be unhappy in Montreal when its postal-site bid was rejected, according to a real-estate consultant. "They [Kevlar] probably invested a lot of time, money and energy in their building proposal, which they thought was the best," said a source familiar with the project. "Then Canada Lands turned around and said, 'We'll develop the site.' " Print Edition - Section Front Enlarge Image More Front Page Stories Couillard pushed Quebec City project to Tories after firm lost Montreal bid About the same time, Kevlar was bidding on another federal project worth about $30-million for a building in Quebec City to house 750 bureaucrats. In the House yesterday, the Opposition expressed clear concerns that the company used Ms. Couillard to infiltrate the government in an attempt to ensure it would win that contract. Ms. Couillard was finishing her training as a real-estate agent at the time, and had obtained an affiliation with the firm's real-estate branch. In the spring of 2007, she started dating, in succession, two senior Conservative officials: Public Works adviser Bernard Côté and industry minister Maxime Bernier. According to senior federal officials, Ms. Couillard directly discussed Kevlar's bid in Quebec City with Mr. Bernier and Mr. Côté. Mr. Bernier has since resigned after classified documents were left in April at the home of Ms. Couillard, who had lived with two men with ties to the Hells Angels in the 1990s. Mr. Côté resigned this week after telling his superiors about Ms. Couillard's lobbying efforts and acknowledging he should have recused himself from the file to avoid the appearance of a conflict of interest. As The Globe and Mail reported yesterday, Kevlar co-chair Philippe Morin introduced Ms. Couillard and Mr. Bernier to one another in April in a restaurant in Montreal. A source added yesterday that Mr. Bernier and Mr. Morin might have known one another through their respective involvement in a group called the Young Presidents' Organization. Mr. Morin is the son of a well-known book publisher in Quebec. Kevlar officials refused repeated requests for comment yesterday, and did not expand on their previous statement that their link to Ms. Couillard was simply related to her real-estate licence. In the House of Commons, the Liberals accused Ms. Couillard of attempting to "infiltrate the Conservative government." "She tried to influence real-estate contracts at Public Works," said Montreal Liberal MP Marlene Jennings. According to news reports, Kevlar was founded by president René Bellerive in 1996, with Mr. Morin becoming a partner in 1999. The firm has acquired and built a number of commercial buildings and condominiums in Montreal and Quebec City, often with other financial partners. Kevlar and its owners have also donated thousands of dollars to federalist and separatist parties, in Ottawa and Quebec City, with the first recorded pledge to the Conservative Party, for $1,000, coming in the months after the Tories were elected to office. The government did not directly address the opposition's concerns in the House yesterday, except to say there has been no decision on the Quebec City project, on which Kevlar is one of about two dozen bidders. Conservative House Leader Peter Van Loan accused the opposition of wasting time by holding a parliamentary inquiry into the matter. "It is about finding sordid stories that can make for good news for those who are into gossip and that sort of stuff, but it is not about the important questions of public policy," he said. Regarding the Montreal project, Kevlar submitted an initial $25-million bid for the site in 2006. After several extensions to conduct due diligence, the firm submitted a lowered offer for the property on Feb. 28 of last year. Kevlar's deal fell through when Canada Lands matched its $18-million offer. "The company that bid on the site put in an offer, and we matched it," said Gordon McIvor, vice-president of Canada Lands.
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