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  1. Un paddock rénové à Montréal Charles Rooke Journal de Montréal 13/02/2008 10h29 Le paddock du circuit Gilles- Villeneuve ne devrait plus être la risée du circuit de la formule 1 car, selon ce qu'a appris le Journal de Montréal, une subvention de 1,25 million de dollars du gouver nement fédéral serait accordée afin qu'on procède à sa réfection. L'an der nier, Ber nie Ecclestone, le grand manitou du cirque de la formule 1, avait critiqué les installations du Grand Prix de Montréal. Durant la semaine du Grand Prix, des employés de l'écurie Honda avaient été jusqu'à affirmer que les installations montréalaises étaient «une honte». Les écuries avaient même dû faire la vaisselle avec l'eau provenant du bassin olympique. Les organisateurs du Grand Prix ont donc fait une demande de subvention de deux millions de dollars au gouver nement fédéral en novembre afin de remédier à la situation. La somme de 1,25 million serait débloquée prochainement, et l'annonce de l'octroi de la subvention pourrait être faite au cours des prochaines semaines. Quelques détails à régler L'entente ne serait pas encore finalisée, mais il resterait quelques détails à fignoler afin d'officialiser le tout. Le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, aurait fait une priorité de ce dossier. On n'a toutefois pas voulu confirmer la nouvelle du côté de son bureau. Il a été impossible de joindre un membre de l'organisation du Grand Prix hier. Cette nouvelle tombe sans doute à point pour le Grand Prix de Montréal car, la semaine dernière, Bernie Ecclestone, un Britannique, a menacé de retirer le Grand Prix d'Angleterre en raison de la désuétude des installations. Le Grand Prix des États-Unis a, quant à lui, déjà été rayé du calendrier de la formule 1 en 2008. Le gouvernement provincial pourrait également annoncer sa participation à ce projet. Cette année, le Grand Prix du Canada aura lieu du 6 au 8 juin. http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2008/02/20080213-102902.html
  2. Le gouvernement fédéral vient à la rescousse du chantier maritime situé à Lévis avec des prêts et des garanties de prêt totalisant 380 M$ afin de permettre à l'entreprise de poursuivre la construction de cinq navires. Pour en lire plus...
  3. With a goal to make John Abbott College a leader in health-related fields, a symbolic groundbreaking ceremony took place Tuesday for the CEGEP's new science and technology building. The new five-storey, $30-million project will house facilities to train nurses, ambulance technicians and pharmaceutical technicians. "This will train students in English in areas where we have a shortage of qualified workers," said Education Minister Line Beauchamps. To be completed in 2012, the building, equipped with geothermic heating, will benefit from $8 million in financing from federal and provincial governments. http://montreal.ctv.ca/servlet/an/local/CTVNews/20100831/mtl_JAC_100831/20100831?hub=Montreal
  4. Incroyable, c'est une première de mon vécu. *** Transferts fédéraux: l'Ontario recevra plus que le Québec 15-12-2014 | 10h38 Dernière mise à jour: 15-12-2014 | 12h12 AGENCE QMI OTTAWA - C'est la province de l'Ontario qui bénéficiera le plus des largesses du gouvernement fédéral dans la prochaine année fiscale. Le ministère fédéral des Finances, Joe Oliver, a rendu publics les chiffres des transferts fédéraux aux provinces et aux territoires qui sont prévus en 2015-2016 en matière de santé et de programmes sociaux, ainsi que pour la péréquation. Le soutien financier du gouvernement fédéral au Québec atteindra 20,36 milliards $ en 2015-2016, mais l'Ontario recevra la part du lion avec 20,44 milliards $. Au total, en 2015-2016, Ottawa versera aux 10 provinces et aux trois territoires canadiens un montant de 67,9 milliards $, ce qui représente une somme de 1890 $ par habitant. Selon le ministre des Finances fédéral, Joe Oliver, ces transferts du gouvernement fédéral donnent aux provinces et aux territoires la capacité de fournir des services publics de «grande qualité». Le ministre Oliver a par ailleurs fortement suggéré aux provinces de s'inspirer de son gouvernement est de faire les efforts nécessaires pour diminuer les impôts et les dépenses. Le ministre Leitao en veut davantage Même si la province recevra du fédéral une somme record de 9,5 milliards $ en paiement de péréquation pour 2015-2016, Québec estime qu'Ottawa peut en faire plus en matière de santé et d'infrastructure. C'est ce qu'a indiqué le ministre des Finances du Québec, Carlos Leitão, à l'entrée d'une rencontre réunissant ses homologues provinciaux et fédéral à Ottawa lundi. «Pour la péréquation c'est un montant record, mais il y en a d'autres transferts fédéraux et en infrastructure, par exemple, nous pensons qu'il y a de la place pour augmenter ces transferts-là. Et il y a toute la question des transferts en santé», a mentionné le ministre Leitao. Le dossier des infrastructures constitue une des priorités que M. Leitão souhaite amener à la table des discussions. Il a indiqué que le Québec dépensera 90 milliards $ sur dix ans dans ses infrastructures, alors que le fédéral prévoit investir 70 milliards $ à l'échelle du pays au cours de cette période. Il invite Ottawa à délier davantage les cordons de la bourse dans ce domaine, faisant valoir que dans le cycle économique actuel, les dépenses en infrastructure constituent «le meilleur moyen d'accélérer la croissance». -Avec Dominique La Haye
  5. http://www.bbc.com/news/world-us-canada-29724907 Ottawa 3 tireurs impliqués, dont 2 au Parlement. (on avait rehaussé la sécurité à mon bureau - Gvt fédéral) Plus de détails à la radio/télévision.
  6. Train à haute vitesse Montréal-Boston: Tout le monde à bord? http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/200911/13/01-921553-train-a-haute-vitesse-montreal-boston-tout-le-monde-a-bord.php Yves Schaëffner (Boston) Le projet de train à haute vitesse entre Montréal et Boston est bel et bien sur les rails, si l'on en croit le gouverneur du Massachusetts, Deval Patrick, et le premier ministre Jean Charest. Les deux hommes, qui ont eu un entretien d'une demi-heure vendredi midi, ont dit vouloir tabler sur l'intérêt de l'administration Obama pour le transport ferroviaire afin de faire avancer le projet. «Il y a beaucoup d'intérêt, a assuré le gouverneur américain. Nous avons des échanges commerciaux très importants, nous avons des liens sociaux très forts et, durant certaines périodes de l'année, c'est intéressant d'aller et de venir entre les deux places pour les matchs de hockey», a plaisanté le gouverneur. Entouré de ses deux chiens dans son bureau, il a poursuivi en expliquant qu'un lien Montréal-Boston pourrait s'inscrire dans le cadre du projet de train régional à haute vitesse sur lequel planche plusieurs États du nord-est des États-Unis. Montréal pourrait un jour devenir le dernier arrêt sur cette ligne. Les gouverneurs de la Nouvelle-Angleterre qui ont soumis différents tracés espèrent recevoir l'appui de l'administration Obama pour développer leur projet. Si le projet d'un train à haute vitesse reliant Boston à Montréal fait l'objet de spéculations depuis des années, Jean Charest pense que le projet est davantage sur les rails aujourd'hui qu'il ne l'était par le passé. «D'abord, ce qu'il faut noter, c'est que les États de la Nouvelle-Angleterre se sont mis ensembles pour présenter des tracés conjoints. Cela ne s'était jamais fait auparavant, a-t-il précisé après sa rencontre. Le contexte est évidemment unique parce que le gouvernement fédéral (américain) a annoncé sa volonté d'investir massivement dans le transport ferroviaire, ce qui n'était pas le cas jusqu'à l'élection du gouvernement Obama.» Abondant dans le même sens, le gouverneur du Massachusett a renchéri: «Nous sommes plus avancés dans le sens qu'il y a des sommes qui sont mises de côté dans le plan de relance économique. Il y a des crédits budgétaires tangibles.» Alors, à quand la première pelletée de terre? «Vous devez demander ça au gouvernement fédéral (américain), a répondu M. Patrick. Je lui pose également la question. Espérons que cela soit bientôt.» À travers son plan de relance économique, l'administration Obama compte investir 8 milliards de dollars US pour moderniser le système ferroviaire du pays. Mais, évidemment, la compétition est rude entre les différents États pour obtenir ne serait-ce qu'une portion de cette somme. En juillet, le gouvernement fédéral avait déjà reçu des demandes totalisant plus de 100 milliards dans le cadre de ce programme, selon le Boston Globe. Ça me semble bien intéressant comme projet...mais disons que je ne suis pas convaincu que nous allons voir un nouveua lien à haute vitesse entre MTL et BOS d,ici 2015!!!
  7. Tel que promis, voici quelques-uns des projets dont je vous parlais. La suite est à venir! Voici un projet de centre administratif imaginé par Jean-*Omer Marchand, en 1913. Ce dernier imaginait un hôtel de ville (au centre), un palais de justice (à gauche) et un bâtiment administratif fédéral et provincial (à droite). L'emplacement n'était pas encore définitif, mais Marchand l'imaginait au centre du quadrilatère formé par les rues Bleury, Craig (Saint-Antoine), Dorchester (René-Lévesque) et Saint-Denis.
  8. J'ai lu ça dans le Globe ce matin, mais rien nulle part ailleurs?? Si c'est vrai, ce serait alors un des plus gros projet d'infrastructure au Québec dans les prochaines années. OTTAWA — Atomic Energy of Canada Ltd. is fighting for its survival, as industry supporters say the federal government is preparing to pull the plug on the heavily subsidized Crown corporation if it loses a bid to build two nuclear reactors in Ontario. If the nuclear agency loses the multi-billion-dollar contract to one of two global players, Ottawa would blame the McGuinty government for the nuclear agency's demise, according to sources. The two governments - which have battled on several fronts - are engaged in a quiet game of chicken over Canada's flagship nuclear vendor and its network of Candu suppliers. The Ontario government wants to be assured that Ottawa has a long-term commitment to the nuclear supplier before selecting its ACR1000 reactor, which is still under development. Ottawa, meanwhile, is considering selling the company, and the result of the highly competitive Ontario bid will be an important factor in its decision. "The [Ontario] competition has accelerated for the feds the whole question of what they are going to do with AECL and the ACR1000 reactor," said Bryne Purchase, a former deputy energy minister in Ontario and now director of the energy and environment program at Queen's University. "This is not just about selling a reactor in Canada, it's critical to AECL's plans to compete in the world." AECL is competing with two much-larger foreign vendors, France's Areva Group, and U.S.-based Westinghouse Electric Co. LLC. Both those companies have access to commercial-type financing from their export credit agencies, and both have more prospects for sales than AECL, meaning they can spread development costs among more projects. As a result, AECL and its partners, led by SNC-Lavalin Group Inc., have asked Ottawa to provide financing and risk-sharing in order to keep its costs competitive. Last week, Natural Resources Minister Gary Lunn said the federal government stands behind AECL. In its most recent budget, the Harper government allocated $300-million to the Crown corporation to continue work on the ACR, and to refurbish its Chalk River research site. But some of AECL's Team Candu industry backers, which include Babcock & Wilcox Canada and GE Hitachi Nuclear Energy Canada, along with SNC-Lavalin Nuclear, worry that the Harper government is injecting just enough money into the company to prepare it for a sale, and to make a plausible - but not necessarily successful - run at the Ontario bid. They fear Ottawa will balk at providing the required billions of dollars in loan guarantees, nor will it wish, as AECL's lone shareholder, to assume the financial risk for potential cost overruns the province will almost certainly demand. AECL and its partners have acknowledged the critical nature of the Ontario decision for Team Candu. In a letter to Mr. Lunn obtained by The Globe and Mail, SNC-Lavalin Nuclear president Patrick Lamarre said an Ontario deal would be a "springboard to support our futures sales worldwide." Based on AECL's past share of the global nuclear market, Mr. Lamarre said the consortium could generate $100-billion for the Canadian economy. However, few people expect AECL to maintain its past market success, or match the heady prediction contained in its recently approved, five-year business plan that it will sell 25 reactors during the next 25 years, and four (including two in Ontario) during the next five years. In 1996, AECL forecast that it would sell 10 reactors over 10 years. It sold three - two to China and one to Romania, in a deal that was resuscitated from one that had begun under former dictator NicolaeCeausescu, and then was halted when his government collapsed. AECL got some good news yesterday for its booming business of refurbishing aged Candus. Hydro-Québec announced a $1.5-billion rebuild of its Gentilly-2 nuclear reactor, which will be completed by the federal corporation. Shawn-Patrick Stensil, an anti-nuclear campaigner for Greenpeace, said both levels of government appear to be looking to "outsource the blame" if AECL fails in Ontario and Ottawa decides to get out of the nuclear business. "The feds will blame the province and the province will say, 'We heeded the advice of outside experts,' " he said. (Ontario has set up an evaluation committee that includes its two nuclear operators, Ontario Power Generation and privately owned Bruce Power.) Since the Chinese and Romanian deals, AECL has been shut out of most promising markets, including the United States, which is itself heavily subsidizing the first few new reactors to be built in that country. Both Areva and General Electric Co. have expressed interest in buying AECL, which is prized for its existing reactor technology for smaller markets, its highly skilled work force, and its lucrative work in servicing Candu reactors around the world. Despite its challenges, however, AECL isn't out of the game in Ontario. While the province has said cost and on-time deliverability are key factors, a third one is the promise of industrial benefits for the province, and the Crown corporation has a deep supplier base in the province to give it an advantage on that score. At the same time, the province and the federal nuclear regulator have invested heavily in Candu know-how, and it will be costly to operate and regulate two
  9. Hypothèques: des règles plus strictes Première publication 20 juin 2012 à 21h41 Mise à jour : 20 juin 2012 à 23h52 Crédit photo : archives, Journal de Québec TVA Nouvelles Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, annoncera jeudi un resserrement des règles qui touchent les emprunts hypothécaires. Ottawa compte réduire la période d'amortissement d'un prêt hypothécaire de 30 à 25 ans. De plus, les propriétaires ne pourront plus ré-hypothéquer leur maison à hauteur de 85%. Le pourcentage sera ramené à 80% de la valeur de la résidence. En janvier 2011, le fédéral avait fait passer la période d'amortissement maximum de 35 à 30 ans. La Banque du Canada a maintes fois dit s'inquiéter de l'endettement des ménages canadiens. http://tvanouvelles.ca/lcn/economie/archives/2012/06/20120620-214114.html
  10. (Courtesy of The Montreal Gazette) I guess that is a step in the right direction
  11. Interesting article, Gazette, Jul 25, 1962: http://news.google.com/newspapers?id=H4Y1AAAAIBAJ&sjid=eJ4FAAAAIBAJ&pg=1948,3612930&dq=quebec+metropolitan+boulevard&hl=en I remember looking on the BANQ website and seeing strange pictures of cars around the Metropolitan, I think one was a '62 Chevrolet or so, with some equipment, and the like. Ah now I think I understand what was going on! Cars flying off the top of the Met, hilarious if one ignores the probable injuries... Note also the 55 mph (88 km/h) speed limit... 10 mph reduction, 45 mph = 72 km/h and why today we are stuck with 70. Comment, Aug 22: http://news.google.com/newspapers?id=VoU0AAAAIBAJ&sjid=jJ4FAAAAIBAJ&pg=5024,3387255&dq=montreal+metropolitan+speed+limit&hl=en "many people mistake this roadway with one like the Auto-Route" One interesting thing is that the road was apprarently planned and mostly built by the Montreal Metropolitan Corporation, which was its only project, and financed via tax levies on the municipalities, some which were collected, but then, transferred to the province (MVQ?) who paid the cost in conjunction with some federal assistance under the TCH program, and then the municipalities had to pay back their citizens, while the old MTC had no jurisdiction and was prohibited by law (!) to build a subway... Aug 1960: http://news.google.com/newspapers?id=Go0tAAAAIBAJ&sjid=GZ0FAAAAIBAJ&pg=6874,879561&dq=quebec+metropolitan+boulevard&hl=en 1960, Transit plan! http://news.google.com/newspapers?id=vIwtAAAAIBAJ&sjid=HJ0FAAAAIBAJ&pg=6747,3452991&dq=quebec+metropolitan+boulevard&hl=en 1955, congested Decarie - Cote de Liesse circle needs solution: http://news.google.com/newspapers?id=zYMtAAAAIBAJ&sjid=iJkFAAAAIBAJ&pg=5178,4054845&dq=montreal+metropolitan+boulevard&hl=en Ha the stupid thing is still there they just added some flyovers And random tractor vs streetcar accident. Planning article, suggest 17 mile central section to cost 20 MM $, Financial Post, 1952: http://news.google.com/newspapers?id=OWo_AAAAIBAJ&sjid=ClQMAAAAIBAJ&pg=5048,5229372&dq=montreal+traffic+plan&hl=en It suggests a 12-lane artery. There isn't really anything like that there, it is basically 6 lane with Cremazie and Cote de Liesse on the sides but that hardly counts...
  12. MtlMan

    Le Roi est nu

    Me semble que je radote. Mais je ne suis pas le seul. Et puis, c'est pas faux. http://www.cyberpresse.ca/opinions/201101/12/01-4359508-le-roi-est-nu.php
  13. Toronto, le 19 novembre 2010 2010-109 Le ministre des Finances tient des consultations à Toronto sur la prochaine phase du Plan d’action économique du Canada L’honorable Jim Flaherty, ministre des Finances, a tenu aujourd’hui à Toronto une séance de consultations auprès de dirigeants d’entreprises, dans le cadre d’une série de discussions avec les Canadiennes et les Canadiens visant à déterminer comment le Plan d’action économique du Canada continuera à façonner l’avenir économique du pays par l’entremise du budget de 2011. « Les gens ont des préoccupations au sujet de l’économie, de l’emploi et du budget de leur ménage, a déclaré le ministre Flaherty. Nous désirons entendre les points de vue des Canadiens sur la prochaine phase de notre plan d’action économique, qui sera axée sur la consolidation de la reprise et le retour à l’équilibre budgétaire. » Ces consultations sur le Plan d’action économique serviront de complément aux plus vastes consultations économiques que le premier ministre et les députés mènent à la grandeur du pays pour entendre la population canadienne. Les consultations du ministre prévoient une série de tables rondes avec des Canadiens émérites, des discussions continues avec les membres du Conseil consultatif sur l’économie, et des rencontres de discussion ouverte. Dans le cadre des efforts déployés pour recueillir une large gamme d’opinions, le gouvernement entreprend également aujourd’hui des consultations en ligne. Les personnes intéressées peuvent soumettre leurs observations à l’adresse Internet suivante : http://www.fin.gc.ca/prebudget-prebudgetaire/1-fra.asp. Le gouvernement désire que les Canadiens répondent à quelques questions, dont les suivantes : * L’économie du Canada est dans la bonne voie – nous sommes bien partis pour assurer la reprise économique et l’équilibre budgétaire. Mais l’économie mondiale est fragile et beaucoup trop de Canadiens sont encore à la recherche d’un emploi. Quelles sont les mesures n’entraînant pas de coûts supplémentaires ou n’ayant aucune incidence financière que le gouvernement fédéral devrait prendre dans le prochain budget pour créer des emplois et promouvoir la croissance économique, et ce, sans mettre de côté son objectif d’atteindre l’équilibre budgétaire? * Le Canada est sur la bonne voie pour atteindre l’équilibre budgétaire en 2015‑2016. Ce délai est-il approprié? Le gouvernement fédéral devrait-il essayer de parvenir plus tôt à l’équilibre? Le délai devrait-il être reporté? * Le gouvernement devrait toujours gérer judicieusement l’argent des contribuables afin d’en assurer l’optimisation. Le gouvernement veille toujours à contenir les dépenses. Il veille aussi à ce que celles-ci soient effectuées de la manière la plus efficiente et la plus efficace possible. Selon vous, quels sont les secteurs où le gouvernement fédéral peut accroître son efficience et son efficacité? * Quelles devraient être les priorités du Canada à court et à long terme en vue de favoriser la croissance du secteur privé et le leadership dans le domaine de l’économie? Le gouvernement demande aussi aux Canadiens de lui faire part de toutes les idées qu’ils jugent dignes d’être mentionnées. « Les commentaires que nous recevrons nous seront d’une grande utilité pour préparer le prochain budget fédéral ainsi que notre programme économique et financier », a ajouté le ministre Flaherty.
  14. C'est tout de même la preuve de la résilience de notre ville, quand elle réussit à s'organiser malgré le mépris des gouvernements supérieurs (fédéral ou provincial, tout dépendant du dossier.....)! http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201011/08/01-4340321-grappe-financiere-montreal-devra-se-passer-du-federal.php
  15. St. Lawrence River to become a power plant? Tue Jul 27, 2:03 PM By The Canadian Press MONTREAL - The mighty St. Lawrence River will soon be home to a power-generating pilot project that could one day churn in rivers across Canada. The company that builds the underwater river turbines says the test phase will start off small, producing enough energy to power 750 homes. But RSW Inc. president Georges Dick says the technology has huge potential in Canada's biggest waterways, including the Mackenzie, Peace and Fraser rivers. The federal and provincial governments are funding one-third of the $18 million project. Federal Natural Resources Minister Christian Paradis says it's a low-cost, renewable energy source that will create hundreds of jobs. Paradis insists the spinning blades inside the three-metre-high turbines will not have an impact on underwater wildlife. The pilot project will see two turbines plunked into water off the shores of Montreal in the coming weeks. Quebec hopes to eventually use the technology to power its northern communities, which rely heavily on polluting diesel-fuelled generators.
  16. Quebec vows to fight national securities plan RHEAL SEGUIN Globe and Mail Update September 18, 2008 at 4:11 PM EDT For the second consecutive day, the Quebec government waded into the federal election campaign against Conservative policies, lashing-out today at the Harper government's proposal to create a national securities commission. Quebec Finance Minister Monique Jérôme-Forget warned that in the event of a majority Conservative government in Ottawa bent on creating a national securities commission, all provinces and territories except Ontario will fight the decision right-up to the Supreme Court of Canada. The confrontation, she predicted, would disrupt markets and create havoc for investors. “The protection of investors is a provincial jurisdiction,” she said. “I suspect they (a Harper government) are going to come-up with legislation. They are going to implement such a securities commission. We are going to appeal. We're going to go as high as the Supreme Court. There's going to be disruption in the market.” The Minister added that Canada's financial leaders underestimate the impact if Ottawa moves to unilaterally impose changes without provincial consent. Ontario remained the only province to support the federal initiative. All the others propose to harmonize regulations through what they call a “passport” system, where companies can file a prospectus for approval in one province or territory and have it automatically accepted by all the others. There are currently 13 provincial and territorial securities commission. She predicts that a national securities commission will only create another layer of bureaucracy by adding a 14th commission, creating confusion for investors. “People won't know where to go. The market will want to know who's in charge. There will be a court challenge right up to the Supreme Court because the provinces argue is their jurisdiction,” Ms. Jérôme-Forget said. “Quebec isn't alone. You have British Columbia, Alberta, Manitoba, the Atlantic provinces. They are all on side.” Improvements to the current system are needed, she added, such as finding ways to accommodate restrictions imposed by the Charter of Rights and Freedoms. In the past, that has created obstacles for prosecutors who want to use confidential information held by regulator bodies in pursuing criminal cases such as fraud. “We don't want to change the Charter but we have to find ways to share the information,” she said. Backed by two international studies, the Minister argued that Canada's current securities regulations are among the best in the world and that there was no need to change the system. The comments came at the conclusion of a federal-provincial meeting of ministers responsible for their respective securities commissions. Her charge against the Harper government's intrusion in a provincial jurisdiction comes on the heels of severe criticism by Quebec this week against other Conservative policies. On Wednesday, Cultural and Communications Minister Christine St-Pierre scoffed at federal Heritage Minister Josée Verner's suggestion that if Quebec wanted more funding for culture it should use its own money. “We've increased budgets (for culture) by 25 per cent. We're already doing our share,” Ms. St-Pierre said in referring to the $45-million in federal cutback in programs including those aimed at promoting Canadian and Quebec culture abroad. The cutbacks sparked widespread criticism from Quebec's cultural community including world renowned theatre artist Robert Lepage, who said the Harper government was discouraging home grown artists from seeking prominence abroad by locking them into a “cultural prison.” Ms. Jérôme-Forget also challenged the Conservative party's claim that it has fixed the fiscal imbalance between Ottawa and the provinces, especially after signing a multi-billion agreement for infrastructure projects. “Obviously for me it's not enough. Post-education (money) for all provinces has not been settled. ” Ms Jérôme-Forget said. “There was a great move done by Mr. Harper….but for post secondary education there is still room to manoeuvre.” Despite mounting tensions over a growing number of issues, the Quebec government stopped short of calling Mr. Harper's vision of open federalism a failure. “The objective of federalism isn't to say: ‘If I don't get everything, I'll slam the door.' You have to build alliances and on occasion force your position and try to influence others. It's normal to have differences,” she said.
  17. Broccolini wins two tenders for LEED Gold office towers from the federal government Canada NewsWire MONTREAL, May 7 MONTREAL, May 7 /CNW Telbec/ - Broccolini, a recognized leader in the Canadian construction industry for over sixty years, has recently won two major tenders from the federal government to construct two LEED® Gold office towers, with work slated to begin in late summer. The firm has been awarded the contract to design, develop and build these towers totalling more than 900,000 rentable sq. ft. of Class A office space for the Department of Public Works and Government Services Canada (PWGSC) in Gatineau, Quebec. Having successfully developed TELUS House, a 9-storey, Class A, 160,000 sq. ft. LEED® Silver certified office building in Ottawa, and with Export Development Canada's (EDC) 575,000 sq. ft. headquarters under construction, the new mandates confirm Broccolini's significant position in development and construction in the National Capital area. The new buildings will provide space for federal government departments and organizations and will attain LEED® Gold certification. This represents the tenth time that Broccolini will have delivered a LEED® certified project to the marketplace. "We are very proud to have won the mandate for these groundbreaking projects," said Anthony Broccolini, Managing Director at Broccolini. "We believe it reflects our reputation for strong development and construction capabilities, as well as the quality of the work we've previously undertaken in the Ottawa market." The 12-storey, 484,000 sq. ft. office tower, located on Carrière Boulevard in Gatineau, features architecture promoting a healthy balance between efficient planning and the preservation and restoration of natural green space. It will enhance the site's attractions, taking advantage of the extensive mature tree coverage and superb view overlooking Lac Leamy. The building's timeless architecture and cutting-edge technology will be an eye-catching reflection of Broccolini's environmental commitment, as well as its ongoing concern for the quality of its developments. The second building, a 15-storey, 690,000 sq. ft office tower, will overlook Promenade du Portage Street in the heart of downtown Gatineau, adjacent to the PWGSC's existing premises. With architecture combining heritage features and high-tech efficiency, its design will allow the building to optimize the usage of space while restoring and improving a significant element of the city's urban fabric, at the same time incorporating PWGSC's existing facilities. The know-how, experience and passion for development and construction, cornerstones of the company's success, were no doubt major factors in the decision to award the mandate to the firm. With a pristine litigation record and an enviable reputation for integrity, quality of work and flexibility, Broccolini has demonstrated its ability to deliver similar signature properties to the market. "We have major experience in a wide range of projects from office buildings and manufacturing facilities to big box stores and industrial complexes," explained Mr. Broccolini. "Our team is enthusiastic and welcomes the challenges of delivering these exciting and demanding projects on time and on budget."
  18. CGI ANNONCE UNE OFFRE D’ACQUISITION DE STANLEY Expansion aux États-Unis alignée à ses priorités stratégiques Note : Les montants sont exprimés en dollars US, convertis au pair avec le dollar canadien. Fairfax et Arlington, Virginie - Le 7 mai 2010 – Groupe CGI inc. (Bourse de New York : GIB; Bourse de Toronto : GIB.A), un leader des services en technologies de l’information et en gestion des processus d’affaires, et Stanley Inc. (Bourse de New York : SXE), l’un des principaux fournisseurs de services et solutions en technologies de l’information auprès d’agences fédérales du gouvernement des États-Unis oeuvrant dans les domaines de la défense, du renseignement et des activités civiles, ont annoncé aujourd’hui la conclusion d’une convention de fusion définitive en vue de l’acquisition par CGI de Stanley au moyen d’une offre publique d’achat au comptant, à un prix de 37,50 $ par action, ce qui représente une valeur d’entreprise d’environ 1,07 G$. Le prix d’achat par action représente une prime de 23,3 % par rapport au cours moyen pondéré en fonction du volume sur 30 jours des actions de Stanley, et une prime de 38,3 % par rapport au même cours moyen sur 60 jours. L’opération sera financée au moyen des liquidités et des facilités de crédit existantes de CGI. La transaction proposée a été approuvée à l’unanimité par le conseil d’administration de chacune des deux sociétés. De plus, certains des membres du conseil et certains dirigeants de Stanley ont signé une convention de vote afin de soutenir l’offre. Cette acquisition stratégique accroît de façon significative les activités de CGI aux États-Unis qui représenteront désormais près de la moitié de ses produits. Le regroupement de Stanley et de CGI Federal qui fournit des services au gouvernement des États-Unis permettra à CGI de disposer de ressources et de compétences fortement accrues sur le marché des services gouvernementaux américains. Ce regroupement marque aussi l’expansion de CGI Federal sur les marchés américains de la défense et du renseignement. Avec cette acquisition, CGI Federal entre dans le groupe sélect des fournisseurs en TI dont les revenus en provenance du gouvernement des États-Unis dépassent 1 G$. « L’acquisition de Stanley s’aligne sur notre stratégie d'expansion rentable axée sur la croissance interne et les acquisitions. Elle est aussi conforme à notre engagement de poursuivre notre pénétration du marché américain, qui est un marché stratégique, et plus particulièrement du marché des services au gouvernement des États-Unis. Cette acquisition confirme également notre engagement d’accroître la valeur pour nos clients et nos employés. Du point de vue des investisseurs, cette transaction permettra d’accroître le bénéfice par action au cours des 12 premiers mois, a déclaré Michael E. Roach, président et chef de la direction de CGI. Grâce à sa solide culture d'entreprise, CGI est bien établie sur ce marché et y connaît une croissance dynamique. Cette transaction permettra de fournir des occasions supplémentaires de développement et d’épanouissement professionnel à tous nos employés, de même qu'aux professionnels de Stanley à qui nous souhaitons la bienvenue au sein de CGI », a ajouté M. Roach. Philip O. Nolan, président du conseil, président et chef de la direction de Stanley a déclaré : « Il s’agit d’une opération des plus bénéfiques pour tous les intervenants : pour les employés de Stanley, parce qu’elle leur fournira des occasions additionnelles de croissance professionnelle, faisant désormais partie d’une entreprise de services de TI d’envergure mondiale; pour nos clients, parce qu’ils bénéficieront ainsi de la combinaison d’employés des plus compétents et d’une taille accrue permettant d'accroitre la valeur des services rendus; et pour nos actionnaires, parce que cette transaction procure un rendement attrayant. C’est pour ces raisons que notre conseil d’administration a l’intention de recommander aux actionnaires de Stanley d’accepter l’offre de CGI. » « Le regroupement de nos forces avec celles de Stanley est un élément essentiel de notre stratégie de croissance aux États-Unis. La combinaison des services de Stanley dans le domaine des TI et de l’impartition des processus d’affaires pour les secteurs de la défense et des activités civiles avec l'éventail complet des services de CGI, ses solutions spécialisées et ses relations bien établies avec ses clients, nous permettront de devenir un joueur de premier plan auprès de l’ensemble du gouvernement fédéral américain, a déclaré Donna Morea, présidente, États-Unis, Europe et Asie, chez CGI. Les cultures d’entreprise de CGI et de Stanley se complètent très bien. Les deux entreprises ont en commun une grande connaissance du secteur, un fort engagement envers leurs employés et une réputation d’excellence en matière d’exploitation. » Faits saillants de la transaction : § D’après les résultats pour l’année civile 2009, les sociétés regroupées auraient des revenus totalisant 4,5 G$ et compteraient 31 000 employés. Leur carnet de commandes dépasserait 13,5 G$, ce qui correspond approximativement à trois fois leurs revenus annuels. § Stanley fera partie de CGI Federal Inc., une filiale en propriété exclusive qui fournit actuellement des services à des entités du gouvernement des États-Unis tant dans les activités civiles que dans les domaines de la défense et du renseignement. § Après la transaction, CGI Federal aura à son service environ 7 000 professionnels et ses revenus annuels s’établiront à environ 1,2 G$. Sa clientèle sera diversifiée, 55 % de celle-ci étant composée de clients du secteur de la défense et du renseignement, et 45 % d’agences civiles du gouvernement fédéral américain. CGI Federal continuera d’être dirigée par son président actuel, George Schindler. § La société issue du regroupement continuera de servir les trois branches du gouvernement, douze agences fédérales représentées au cabinet, les quatre branches des forces armées et un large éventail d’agences oeuvrant dans les secteurs du renseignement et de la sécurité nationale.
  19. In case some of you haven,t heard just yet, apparently, a man named Joe Stack flew a small plane into an IRS building in Austin Texas. The man was desperate, and had a few "issues" with the federal gov't. He left behind a suicide letter that is well written and well thought out. Not what you'd expect from someone who's on the verge of killing themselves! Here's a link to that letter! It's a bit long, but well worth it! http://www.prisonplanet.com/alleged-letter-written-by-austin-plane-crash-pilot.html
  20. Le Québec lave-t-il plus blanc que blanc ? Pierre Duhamel La guéguerre entre Québec et Ottawa sur l’environnement devient polluante. Selon le National Post, le gouvernement fédéral, qui a semoncé celui du Québec parce qu’il veut imposer aux constructeurs automobiles des normes plus sévères d’émissions de gaz à effets de serre, serait en train d’imposer les mêmes règles. Le ministre fédéral Jim Prentice trouvait le Québec ridicule d’agir sur cette question, mais on dirait qu’il était plutôt déçu de s’être fait devancer dans l’annonce de cette politique. Ceci dit, je comprends l’exaspération d’Ottawa car le gouvernement québécois est devenu un insupportable donneur de leçons sur les enjeux environnementaux. Le Québec est-il devenu à ce point vert et irréprochable en matière d’environnement ? On apprenait cette semaine que les émissions de CO2 en 2007 ont bondi de 3,7 % au Québec après avoir subi une baisse les années précédentes. Jean Charest s’était pourtant fait le preux chevalier de la lutte aux changements climatiques et s’est commis pour une baisse de 20 % des émissions d’ici 2020. Prenons note qu’il faudra dorénavant diminuer les émissions de 23,7 % pour atteindre la cible. À Copenhague, Jean Charest s’était également permis une charge audacieuse contre les répercussions de l’exploitation des sables bitumineux en Alberta. Ce point de vue est peu entendu au Québec, mais je crois sincèrement que nous profitons largement des retombées de cette exploitation. À preuve, les citoyens de l’Alberta versent par habitant plus du double en taxes et impôts au gouvernement fédéral que ceux du Québec et ils reçoivent- toujours per capita - 25 % de moins que nous en dépenses de programmes et en achats de biens d’Ottawa. Manifestement, il y en a qui paient pour les autres… et ce ne sont pas les Québécois. Présumons que les intentions de Jean Charest sont nobles et qu’il est vraiment catastrophé par l’exploitation des sables bitumineux. Pourquoi alors ce même Premier ministre ne s’offusque pas quand on exploite une mine d’uranium aux portes de Sept-Îles ? Pire, Jean Charest a même défendu en Inde l’exploitation et l’exportation de l’amiante, un produit dont le caractère extrêmement nocif est universellement reconnu. Le gouvernement du Québec défend l’existence d’une vieille mine qui emploie 150 personnes à Asbestos, mais joue les vierges offensées devant une industrie qui emploie 372 000 personnes et où on prévoit des investissements de 100 milliards de dollars d’ici 2020. Le Québec n’a pas de sables bitumineux, mais on cherche activement du pétrole en Gaspésie et du gaz naturel dans la vallée du Saint-Laurent. Je pense que certains de mes concitoyens seront beaucoup moins «verts» quand ils verront les retombées des découvertes potentielles.
  21. Renewable energy dominates this year's Top 100 Projects list - with little help from the Stimulus Fund
  22. De l'exode en douce? Publié le 31 décembre 2009 à 06h08 | Mis à jour le 31 décembre 2009 à 06h10 Michel Girard La Presse (Montréal) Avez-vous une idée du nombre de hauts salariés qui déménagent en Ontario afin de réduire l'impact fiscal de la voracité de Revenu Québec? me demande Jean-Claude. «Un de mes amis vient tout juste de voter avec ses pieds et demeure maintenant à Ottawa. Lui et son épouse gagnent ensemble environ 300 000$ par année. Juste en impôt économisé, ils remboursent leur hypothèque.» Avis aux contribuables mécontents de la lourdeur fiscale québécoise. Avant de passer à l'acte et d'appeler le déménageur, je vous invite à bien peser le pour et le contre d'un tel déménagement. Oui, la facture fiscale ontarienne est moins élevée. Et l'écart se creuse dès le palier d'un revenu imposable d'à peine 18 000$. Pour comparer des pommes avec des pommes, mieux vaut se baser sur la note totale des impôts fédéral et provincial à payer. Comme l'impôt fédéral est identique d'une province à l'autre, l'écart ci-après vous permettra d'évaluer à sa juste mesure le poids de la facture de l'impôt québécois. Les données fiscales proviennent de la firme Raymond Chabot Grant Thornton. Elles tiennent compte des crédits personnels de base, du taux d'indexation, de l'abattement provincial de l'impôt fédéral. Pour divers paliers de revenu imposable, voici les écarts constatés pour l'année fiscale 2009. À la lumière du tableau, on constate que le Québécois paye un onéreux supplément d'impôt par rapport à l'Ontarien. Mince consolation: la situation était nettement pire avant l'arrivée au pouvoir de Jean Charest. Depuis son entrée à l'Assemblée nationale en 2003, le gouvernement Charest a allégé la fiscalité des Québécois de quelque 5,4 milliards. Les grandes initiatives fiscales se résument comme suit: réduction générale des impôts de 950 millions, indexation des tables d'impôt et des mesures fiscales (1,9 milliard), déduction pour les travailleurs (588 millions), soutien aux enfants (547 millions), prime au travail (304 millions), et autres mesures fiscales pour personnes âgées. Malgré cet allègement global de 5,4 milliards, les contribuables québécois payent collectivement encore quelque 2,7 milliards de plus d'impôt provincial que les Ontariens. C'est ce qu'affirmait le gouvernement Charest lors de la présentation de son dernier budget. En plus d'appliquer une structure de taxation comparable, l'évaluation du fardeau fiscale entre le Québec et l'Ontario tenait compte des «contributions-santé» et des mesures d'aide aux familles, de l'abattement fédéral, etc. Maintenant, lorsqu'on gagne un revenu élevé, est-ce une raison suffisante de déménager ses pénates en Ontario pour une simple question de fardeau fiscal? Tiens, revenons à notre couple de Québécois qui a déménagé à Ottawa. Il gagne un revenu de 300 000$. Supposons que ce revenu est divisé en parts égales de 150 000$, cela signifie qu'ils économiseront en 2009 quelque 11 230$ d'impôt provincial par rapport au Québec. Le prix moyen des propriétés étant plus élevé à Ottawa, il en coûte plus cher de s'y loger. Ce qui grugera le portefeuille de 1500$ à 4000$, selon le type d'habitation choisi. Habiter Toronto coûte encore plus cher... Et c'est pire à Vancouver. Quoi qu'il en soit, si on a de l'attachement pour le Québec et sa culture unique en Amérique du Nord, il me semble que ça vaut bien les quelques milliers de dollars de plus d'impôt! BONNE ANNÉE 2010!
  23. Publié le 16 juillet 2009 à 06h35 | Mis à jour à 06h37 Montréal serait affaibli La Presse Doris Juergens Que faut-il penser de la création d'une commission fédérale des valeurs mobilières? Jusqu'ici, le débat a surtout porté sur la bataille juridique que Québec s'apprête à livrer à Ottawa afin de contester la compétence de l'État central en matière de valeurs mobilières. Or, ce dossier comporte aussi un enjeu important pour Montréal, et c'est celui de l'avenir de son industrie des services professionnels reliés à ce secteur. Au cours des derniers mois, nous avons consulté un groupe de 25 gens d'affaires montréalais provenant de cabinets d'avocats, de firmes de comptables, de grandes entreprises et de regroupements d'affaires. Les répondants ont accepté de nous parler avec l'assurance que leur identité et leurs propos demeureraient confidentiels. Le sujet nous intéressait parce que nous offrons nous-mêmes des services-conseils en communication aux entreprises et organismes dans le secteur financier, y compris l'Autorité des marchés financiers. Informée de notre projet, cette dernière nous a exprimé son intérêt pour notre initiative et nous a procuré un soutien financier pour élargir la portée de cette recherche, que nous avons complétée en toute objectivité. Les résultats de cette recherche qualitative démontrent que la création d'une commission fédérale des valeurs mobilières affaiblirait encore davantage la place de Montréal comme centre financier. Pour Montréal, cela se traduirait par une diminution d'influence, une perte d'expertise, en plus de ternir son image. La majorité des personnes interrogées, surtout les avocats, se disent peu ou pas du tout favorables à la création d'une commission fédérale et craignent un affaiblissement des compétences professionnelles dans le secteur des valeurs mobilières à Montréal. On appréhende particulièrement une perte d'influence et un exode de cerveaux au bénéfice de Toronto, où l'on s'attend que sera établie la Commission fédérale. Nécessité non démontrée À peu près tous les intervenants, peu importe leur secteur, estiment que cette commission ne contribuera pas à mieux protéger les investisseurs. À ce sujet, tous déplorent le peu de succès du gouvernement fédéral en matière d'enquêtes criminelles liées aux valeurs mobilières. Les leaders interrogés sont très majoritairement d'avis que le système de passeport est suffisamment efficace et ne voient pas la nécessité de créer une commission fédérale. Ils croient même que cette question ne se poserait plus si l'Ontario acceptait d'adhérer au système de passeport. De plus, ils ne sont pas convaincus que les bénéfices annoncés se réaliseront et ils estiment que le gouvernement fédéral n'a pas fait la preuve de la nécessité d'un tel organisme. Parmi les répondants, les grands émetteurs sont presque les seuls à être plus favorables à la création d'une commission fédérale, dans l'espoir d'une plus grande efficacité. Beaucoup appréhendent aussi la disparition de la proximité avec l'organisme et le fait de ne plus voir les expertises et les spécificités locales reflétées au sein d'une commission fédérale. Ces expertises - et donc des professionnels hautement qualifiés - migreraient vers la commission fédérale, privant ainsi les régions de leur savoir-faire. Les répondants estiment également que les PME québécoises seraient affectées. On voit difficilement comment les petits émetteurs trouveraient leur compte avec une commission fédérale à Toronto. La question de la langue a été soulevée par plusieurs intervenants qui s'inquiètent du glissement vers l'anglais et de la perte éventuelle d'une expertise chez les professionnels capables de travailler dans les deux langues. Mais certains font valoir qu'un organisme fédéral aura des obligations liées à la Loi sur les langues officielles que n'ont pas les organismes provinciaux. Actuellement, seuls les « prospectus « d'un émetteur qui vise le marché du Québec doivent être traduits en français. Il nous intéressait de savoir comment les autres firmes de services et les entreprises voyaient l'instauration d'une commission fédérale des valeurs mobilières. Nous savons maintenant que certains pensent que c'est une bataille que Montréal devrait livrer, car il en va de l'avenir de l'industrie des services reliés aux valeurs mobilières au Québec. Plusieurs avocats croient qu'il s'agit d'une juridiction partagée entre les deux paliers de gouvernement et, étant donné l'issue incertaine d'une démarche en Cour suprême, ils pensent que Québec devrait négocier avec le fédéral pour préserver le maximum d'acquis pour Montréal. L'auteure est associée et directrice de la recherche au Cabinet de relations publiques NATIONAL
  24. Publié le 16 décembre 2009 à 20h00 | Mis à jour à 20h00 Sans réforme de la Santé, les États-Unis risquent la «faillite» Agence France-Presse Washington Le président Barack Obama a une nouvelle fois plaidé mercredi pour l'adoption d'une réforme de la couverture maladie, affirmant que l'alternative était une «faillite» à terme du gouvernement fédéral, dans un entretien à une télévision américaine. Mesure phare du début du mandat de M. Obama, la réforme de la couverture maladie peine à passer au Sénat, où les élus sont divisés sur le contenu du texte, y compris parmi les alliés démocrates du président. «Si nous ne la votons pas, voici ce qui est garanti: vos primes vont augmenter, vos employeurs vont faire peser davantage de coûts sur vous», a expliqué M. Obama au micro de la chaîne ABC, qui doit diffuser l'entretien en intégralité mercredi soir et en a publié des extraits sur son site internet. Le président a aussi affirmé que les coûts des programmes fédéraux d'assurance maladie suivaient une tendance à la hausse «intenable», et que si rien n'était fait, «le gouvernement fédéral fera faillite». A terme, «personne ne conteste que les coûts de la santé vont utiliser le budget fédéral tout entier», a-t-il insisté. Mardi, M. Obama s'était dit «prudemment optimiste» sur le devenir de la réforme, affirmant que les démocrates étaient sur le point de parvenir à un accord au Sénat. Conformément à la feuille de route rédigée par la Maison Blanche, le projet de loi doit être adopté au Sénat avant la fin de 2009. Le chef de la majorité démocrate au Sénat, Harry Reid, a besoin des voix de 60 sénateurs sur 100 pour faire approuver le projet de loi en évitant une obstruction de la minorité républicaine. Le texte du Sénat vise à fournir une couverture à 31 des 36 millions d'Américains qui en sont dépourvus et à faire baisser les coûts de la santé, tout en améliorant la qualité des soins. Une fois adoptée par le Sénat, la loi devra être fusionnée avec une autre version déjà adoptée par la Chambre des représentants, avant d'être promulguée par M. Obama.
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