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Immobilier commercial: forte hausse des transactions à Montréal.
un sujet a posté bxlmontreal dans L'actualité
L'appétit des investisseurs pour l'immobilier commercial montréalais ne se dément pas. Les transactions ont totalisé 3,4 milliards de dollars l'an dernier, en hausse de 13,5 % sur un an, et la firme CBRE s'attend à de nouvelles hausses. « On s'attend à ce que l'activité d'investissement grimpe en 2012 puisque les vendeurs sentent de plus en plus que le moment est opportun pour vendre, a indiqué Brett Miller, vice-président exécutif de CBRE pour l'est du Canada, dans un rapport publié hier. Et plusieurs investisseurs institutionnels sont impatients d'augmenter leur exposition au marché montréalais «, ajoute-t-il. Un bilan exceptionnel à Montréal Selon M. Miller, la performance observée à Montréal est d'autant plus « exceptionnelle « qu'il n'y a pas eu de mégatransaction en 2011. Le climat macroéconomique est aussi demeuré incertain toute l'année, ce qui aurait pu décourager certains investisseurs. De tous les segments, celui des immeubles de bureaux a particulièrement brillé dans la métropole, avec un volume d'investissements en hausse de 89,2 %, à 754 millions. La situation canadienne À l'échelle canadienne, les investissements ont reculé de 5,6 % au quatrième trimestre, mais ils ont grimpé de 20,5 % pour l'ensemble de 2011, à 23,6 milliards. Il s'agit du niveau le plus élevé depuis 2007, a souligné CBRE. « Il serait dangereux d'accorder trop d'attention à la légère baisse du quatrième trimestre, puisque tout laisse croire que la tendance à la hausse des deux dernières années est tout à fait intacte «, a affirmé John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE. Il reste que tous les types de propriétés ont connu une baisse entre le troisième et le quatrième trimestre de 2011, à l'exception des hôtels. Le volume de transactions a reculé pour les immeubles de bureaux (-30,4 %), les magasins (-17,7 %) et les édifices locatifs (-2,3 %). Toronto dépasse le seuil des 9 milliards Sans surprise, Toronto revendique le plus de transactions l'an dernier, avec un volume de 9,6 milliards. Ont suivi Montréal et Vancouver à égalité (3,4 milliards), Calgary (2,5 milliards), Edmonton (2,4 milliards), Ottawa (886,5 millions), London (541 millions) et Halifax (471 millions). Les fonds de placement immobilier ont généré le tiers des transactions l'an dernier, et CBRE s'attend à ce qu'ils demeurent d'importants acheteurs en 2012. Les accords conclus entre Cominar et Canmarc, de même qu'entre Dundee et Whiterock, laissent penser que de nombreux immeubles aboutiront sur le marché cette année. CBRE s'attend à un volume de transactions total variant entre 20 et 25 milliards en 2012 au Canada, soit à peu près le même niveau qu'en 2011. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201202/22/01-4498531-immobilier-commercial-forte-hausse-des-transactions-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS9 -
Tronçon de rue le plus puant de Montréal
un sujet a posté Montréal Fred Metro dans Discussions générales
En un après-midi chaud et humide du mois de juin, je me trouvais à proximité de la Brasserie Molson. Bien évidemment, les odeurs qui émanaient de la Brasserie sont fréquentes et normales. La fermentation du malt entraine bien évidemment des odeurs dans l'air environnante. Cependant, en arrivant à l'intersection Papineau et Notre-Dame Est, une forte odeur nauséabonde émanait du tronçon de la rue Papineau entre Notre-Dame et le Port de Montréal [entre la Brasserie Molson et la Canadian Rubber Co. of Montréal (UHaul Libre-Entreposage)]. Quel genre d'odeur c'est ? Je qualifie du Tronçon de rue le plus puant de Montréal. [sTREETVIEW][/sTREETVIEW] -
Les Québécois moins riches, mais aussi moins pauvres que les Canadiens
un sujet a posté vanatox dans L'actualité
Publié le 03 février 2012 à 06h53 Hélène Baril La Presse Une fois qu'ils ont payé leurs taxes et leurs impôts, les Canadiens sont plus riches que les Québécois, dont le fardeau fiscal est plus lourd. Ça, on le sait. Ce qu'on ignorait, c'est que cet écart de revenus s'est accru chez les hommes les plus riches et est en voie de disparaître chez les femmes et chez les plus pauvres. La situation s'est inversée depuis le début des années 80, a constaté le professeur Daniel Parent, dans une étude réalisée pour le Centre sur la productivité et la prospérité de HEC Montréal. «Dans le passé, c'était chez les plus pauvres que l'écart de revenus entre les Québécois et les Canadiens était le plus marqué.» Après avoir passé les statistiques à la moulinette, le professeur estime que les plus riches Canadiens ont un revenu disponible de 20 à 22% supérieur à celui des hommes les plus riches au Québec. Chez les femmes, l'écart de revenus entre les Québécoises et les Canadiennes s'amenuise. Il est à peine de 8% chez les plus riches et a pratiquement disparu chez les plus pauvres, a calculé Daniel Parent. C'est, selon lui, une autre preuve à l'appui de l'affirmation «qui s'instruit s'enrichit». Les Québécois ont rattrapé une partie du retard qu'ils avaient, ce qui a fait diminuer les écarts de revenus entre les plus pauvres, explique-t-il. Chez les femmes faisant partie de la tranche de revenus les plus élevés, il n'y a plus de différence sur le plan de la scolarité entre les Québécoises et les Canadiennes. Chez les hommes de la même tranche de revenus, par contre, le retard dans le niveau de scolarité demeure. Les Québécois en général sont plus scolarisés qu'avant. Mais le taux de fréquentation des universités est inférieur à la moyenne canadienne. «C'est aussi le cas en Alberta et en Colombie-Britannique, donc dans trois provinces riches en ressources naturelles», souligne-t-il. Parce qu'il offre une abondance d'emplois relativement bien payés, le secteur des ressources naturelles détourne les jeunes, les garçons surtout, des études supérieures. Plus égalitaire Au Québec, les riches sont peut-être encore moins riches qu'ailleurs au Canada, mais les pauvres ne sont plus aussi pauvres comparés aux autres Canadiens, a aussi constaté le professeur Parent. L'écart de revenus entre les plus pauvres n'est plus aussi grand qu'il l'a déjà été, parce que le Québec fait plus d'efforts pour redistribuer les revenus, précise-t-il. Même en ne tenant pas compte des programmes sociaux comme les garderies à 7$ ou les congés parentaux, qui n'existent qu'au Québec, les mécanismes de redistribution sont plus élaborés au Québec que dans le reste du Canada», explique-t-il. Le niveau de vie des plus pauvres est donc équivalent partout au pays. Cette redistribution des revenus fait du Québec une société plus égalitaire, dans un pays qui fait aussi des efforts pour redistribuer les revenus. L'envers de la médaille, c'est que le Québec est moins prospère, vu sous l'angle du Centre sur la productivité et la prospérité de HEC Montréal. «Ça peut être vu comme une mauvaise chose, reconnaît Daniel Parent, qui estime que c'est une question d'interprétation. Ça peut aussi bien être vu comme un choix de société.» Lien: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201202/03/01-4492138-les-quebecois-moins-riches-mais-aussi-moins-pauvres-que-les-canadiens.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS3 -
Bonjour, J'aimerais savoir le nom du parc au sur de la basilique Saint- Patrick sur De La Gauchetière entre Beaver Hall et Saint Alexandre. [sTREETVIEW]http://maps.google.ca/maps?q=montreal&ie=UTF8&ll=45.50267,-73.563849&spn=0.001528,0.002411&hnear=Montr%C3%A9al,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec&gl=ca&t=h&z=19&vpsrc=6&layer=c&cbll=45.50267,-73.563849&panoid=7S4rVf0P1bNw0yMYzMQsQA&cbp=12,326.77,,0,-7.11[/sTREETVIEW] [MAPS]http://maps.google.ca/maps?q=montreal&ie=UTF8&ll=45.503035,-73.564016&spn=0.001528,0.002411&hnear=Montr%C3%A9al,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec&gl=ca&t=h&z=19&vpsrc=6[/MAPS] Merci !
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Les panneaux sont installés sur le terrain, début de la construction de la phase 4 prévue pour cet automne Incluant: le grand magasin Ogilvy, un 2e hotel, des bureaux, des commerces/restaurants, clinique médicale.. C'est sur le terrain entre le wal-mart et le cinéma. Également annoncés, de nouveaux grands magasins (best buy, germain larivière, Avril Supermarché), encore plus de restos (five guys burger, un autre restaurant asiatique entre autres) sur les terrains avoisinants
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Sur le site de l'ancien concessionnaire Clermont Chevrolet sur St-Denis entre les métros Laurier et Rosemont. Les rendus présentent une construction sur le vaste stationnement... je me demande ce qu'ils vont faire avec la batisse comme telle (qu'on voit à la droite de l'image) LE CLERMONT
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Il s'agit de la rénovation et agrandissement d'un petit immeuble sur la rue St-Hubert (entre Ste-Catherine et René-Lévesque) http://lestat.ca/
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- agrandissement
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http://www.journalmetro.com/plus/article/1020439 I still haven't tried out his first restaurant, seeing it is complicated to get a reservation. He has an interesting way to do business that is for sure. I bet this place will be as hard to get a reservation, as his previous place Guess I will just stick to trying out the 3 restaurants that were in Enroute top 10 new restaurants in Canada.
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MONTRÉAL — Une trentaine de militants de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) ont perturbé le forum public qu'a tenu François Legault, cofondateur de la Coalition pour l'avenir du Québec (CAQ), mardi soir à Montréal. Alors que M. Legault exposait les grandes lignes de son programme depuis une trentaine de minutes, les militants se sont levés scandant à tour de rôle «Legault, Charest, même combat», «le privé à la porte» et «contre la hausse des frais de scolarité». Ils ont dénoncé la hausse des frais de scolarité à laquelle M. Legault adhère, de même que son projet d'abolir les cégeps. «Il veut détruire le réseau des universités», a lancé l'un des membres de l’ASSÉ, Maxime Larue. S'en sont suivi de nombreuses altercations entre les membres de l'ASSÉ et les citoyens présents. Plusieurs étaient excédés du comportement des jeunes étudiants. «Il faut être prêt à entendre les points de vue différents du tien», a crié quelqu’un dans le public. Quelques policiers ont fait irruption dans la salle et les militants étudiants se sont dispersés. La consultation a été interrompue pendant près d’une demi-heure. «On est dans une campagne qui vise à perturber l'ensemble des acteurs qui prennent position pour la hausse des frais de scolarité», a assuré le porte-parole de l'organisation, Gabriel Nadeau, une fois sortie de la salle où se tenait la réunion. Le temps n'est plus à la discussion.» Les débats entre les citoyens et l'ancien ministre se sont poursuivis par la suite, surtout sous le thème de l’éducation. Le cofondateur de la CAQ a déploré que les militants aient refusé d'ouvrir le débat avec lui et se soient contentés de faire du tapage. La CAQ avait convié les citoyens à venir discuter au Centre des loisirs communautaires Lajeunesse de Montréal. Environ 200 personnes ont répondu à l'appel. François Legault terminera jeudi sa tournée de consultations publiques à travers le Québec entamée le 12 septembre dernier. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/politiqueprovinciale/archives/2011/10/20111018-221457.html
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... vous vous rendez compte que si une crise se passe demain matin, plus ou moins la moitié des projets seraient annulés ou reportés pour plusieurs années? Pour chaque projet que vous aimeriez se concrétiser, nommez un projet d'importance égale qui ne vous dérange pas d'être annulé. (D'où l'importance d'aléger la réglementation et les délais pour sécuriser le financement et le début des travaux le plus rapidement possible!) On parle bien sûr des projets non débutés évidemment! Pour moi Entre la Place de la Cité Internationale, phase 2 et la Place du centenaire, je choisi la Place de la Cité internationale.
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- centenaire
- choisi
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Je croyais qu'on avait un fil sur ce petit projet mais si c'est le cas excuser moi du dédoublement. Sinon, voilà un autre petit projet de 3 étages tout près du LDV (Leonardo Da Vinci) dans le quartier St-Michel entre Jean-talon et le Métropolitain. Rien de spécial mais les trous se bouchent dans ce coin. http://www.mondev.ca/condo-montreal-entre-139900-et-217700-le-everett-50-pc-vendu-livraison-juillet-2011-_fr.html?ProjetID=103
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Quartier ENTRE STATION DE METRO CRÉMAZIE ET SAUVÉ, PRÈS DE TOUS LES SERVICES, ÉPICERIES, RESTAURANTS ET PARCS, À PROXIMITÉ DU COLLÈGE D`ATHUNSIC ET DU CENTRE CLAUDE ROBILLARD Nombre d'unités 12 http://www.montrealdevelopers.com/condo-montreal/LE-LAJEUNESSE-CHABANEL-montreal.html?ProjetID=97
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Pas de train haute vitesse entre Montréal et New York 12 octobre 2007 - 07h09 Presse Canadienne Au moment où il lance un grand chantier de renouvellement des infrastructures, le gouvernement du Québec renonce au projet de train rapide entre Montréal et New York, un méga-projet d'au moins 4 milliards $. Cliquez pour en savoir plus : Transport ferroviaire | Chef de l'état | Jean Charest | Eliot Spitzer | Québec-New York Le projet, qui flotte dans l'air depuis des années, n'est plus dans les cartons du gouvernement et ne fera pas partie des échanges tenus vendredi, à New York, entre le premier ministre Jean Charest et le gouverneur de l'État de New York, Eliot Spitzer. Pourtant, en octobre 2005, à Albany, lors du dernier sommet Québec-New York, le gouverneur de l'époque, George Pataki, et le premier ministre Charest avaient clairement dit que l'idée d'un lien ferroviaire haute vitesse entre l'État de New York et le Québec était hissée au rang de «projet» à réaliser à court terme. Les deux hommes s'étaient engagés à tout mettre en oeuvre pour que le projet se réalise. Aux yeux de M. Charest, ce projet constituait un «symbole fort et puissant» des liens qui unissent les deux voisins, et un moyen de plus de réduire les émissions de gaz à effet de serre, par la promotion du transport en commun. Or, deux ans plus tard, le dossier n'a pas bougé. Dorénavant, au ministère des Transports, plus modestement, on mise plutôt sur l'amélioration des infrastructures actuelles, ont indiqué plusieurs sources gouvernementales au cours des derniers jours à La Presse Canadienne. Si ce projet était devenu réalité, les passagers auraient pu faire le trajet Montréal-New York en quatre heures à peine, au lieu de 10 actuellement. Certaines évaluations fixaient à 500 000, voire 700 000, le nombre additionnel de voyageurs intéressés à faire la navette entre les deux villes, si un tel train à haute vitesse avait vu le jour. En 2004, une étude de préfaisabilité, menée par le New York State Department of Transportation et Transports Québec, avait fixé à 4 milliards $ US le coût de réalisation du projet, uniquement pour la construction des voies ferrées sur 613 kilomètres, dont seulement 77 au Québec. Les Américains auraient donc dû assumer la plus grande partie de la facture, soit au moins 4 milliards $, sans compter les wagons et locomotives. Le train de passagers, qui aurait roulé à 240 km/h, nécessitait la construction de plusieurs ponts et tunnels dans les Adirondacks, d'où un coût élevé. Pour Québec, la facture des voies ferrées était évaluée à 110 M$. À l'époque, en 2005, le ministre fédéral des Transports, Jean Lapierre, s'était montré prêt à envisager un financement d'Ottawa pour la portion canadienne du trajet. Mais à l'automne 2006, Ottawa avait refroidi les ardeurs de Québec, alors que le ministre Lawrence Cannon jugeait que le projet n'était pas rentable. Électricité à vendre Vendredi, à New York, après avoir prononcé une allocution devant 400 gens d'affaires, le premier ministre Charest rencontrera pour la première fois le nouveau gouverneur de l'État, Eliot Spitzer. Au cours des derniers mois, M. Spitzer a rendu publiques ses priorités en matière de transport, mais le train rapide New York-Montréal n'en fait pas partie. Même si plusieurs sujets sont à l'ordre du jour de la rencontre, il est clair que la vente d'hydroélectricité au voisin du sud arrive au premier rang des priorités du Québec dans ses relations avec New York. «Nous, on peut faire de l'argent et en même temps on aide l'environnement», a résumé le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, lors d'un entretien téléphonique jeudi. Québec plaidera aussi pour assurer la fluidité du corridor de commerce entre les deux États. Les dossiers d'environnement et de sécurité seront aussi à l'agenda, de même que la tenue souhaitée d'un quatrième sommet Québec-New York. Les trois premiers ont eu lieu en 2002, 2004 et 2005. L'État de New York est le principal partenaire commercial du Québec aux États-Unis. En 2006, la valeur totale des échanges commerciaux a atteint 10,2 milliards $. Un sommet avait été atteint en 2000, avec 14,1 milliards $ d'échanges.
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est-ce que je suis le seul a avoir deja vu "popper" malek sur facebook comme personne que je pourrait connaitre ? c'est arriver au moins 4 ou 5 fois dans les dernieres semaines ... ce qui me fatigue c'est que le seul lien qui pourrait exister entre mtlurb et facebook est l'addresse email que j'ai utiliser pour enregistrer mon compte sur l'un et l'autre des site. faut il supposer que facebook scan les profils d'usagers des autres sites et forums a la recherches d'information pour tracer des liens entre les gens ?? c'est spooky desfois ce truc la ...
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SECOND PROJET DE RÉSOLUTION CA07 090117 ADOPTÉ EN VERTU DU RÈGLEMENT SUR LES PROJETS PARTICULIERS DE CONSTRUCTION, DE MODIFICATION OU D’OCCUPATION D’UN IMMEUBLE (RCA02 09007) VISANT À AUTORISER LA CONSTRUCTION D’UN BÂTIMENT COMMERCIAL DE HUIT ÉTAGES DU CÔTÉ NORD DU BOULEVARD CRÉMAZIE, ENTRE LES RUES CLARK ET SAINT-URBAIN – ZONE 0547 (dossier 1031123024) pdfav4671.pdf
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«La compétition entre les villes n’est plus basée sur les infrastructures, elle s’appuie maintenant sur les créateurs, a expliqué lundi le maire de Montréal, Gérald Tremblay, lors du dévoilement de la Stratégie de développement économique 2011-2017 de la métropole. EN CHIFFRES 30G$ La Ville de Montréal estime qu’environ 30G$ seront investis dans la métropole au cours des six prochaines années. Ils proviendront autant d’investisseurs publics et privés, selon elle. MARIE-EVE SHAFFER MÉTRO Publié: 13 juin 2011 16:38 L’administration de Gérald Tremblay injectera 3,5 G$ dans l’économie montréalaise d’ici 2017. Elle veut ainsi que la métropole rivalise davantage avec les grandes villes du monde qui attirent les investisseurs et la main d’œuvre de talent. «La compétition entre les villes n’est plus basée sur les infrastructures, elle s’appuie maintenant sur les créateurs, a expliqué lundi le maire de Montréal, Gérald Tremblay, lors du dévoilement de la Stratégie de développement économique 2011-2017 de la métropole. L’argent dégagé par la Ville servira entre autres à venir en aide aux entrepreneurs qui ont un projet précis pour la métropole et qui pourraient être réalisé en marge des grandes initiatives économiques qui sont déjà connus (Montréal Technopole, le Quartier des spectacles, le Havre de Montréal et l’Espace pour la ville). «Cette stratégie s’inscrit dans la continuité de ce qui a déjà été annoncé, a expliqué le responsable du développement économique à la Ville de Montréal, Richard Deschamps. On a tendance à penser que les projets naissent et n’ont besoin d’aucun accompagnement. En matière de développement économique, c’est faux.» Pour favoriser la réalisation de projets originaux, la Ville veut aussi soutenir davantage le milieu des affaires et encourager les échanges entre tous les intervenants de la métropole. «Montréal doit devenir un laboratoire d’innovation», a dit M. Deschamps. La stratégie de développement économique comprendra deux plans d’action qui seront dévoilés sous peu. L’un visera le centre-ville et l’autre, l’Est de Montréal. Un centre-ville branché sur le Wi-Fi Montréal veut que son centre-ville, entre la rue Amherst et l’avenue Atwater, soit branché à un réseau Wi-Fi de quatrième génération. Un plan d’affaire, qui devrait être déposé cet automne, est en cours d’élaboration, a indiqué la Ville lundi. En octobre 2012, une importante conférence internationale des télécommunications aura lieu dans la métropole. La Ville souhaite que le Quartier des spectacles et le Palais des Congrès soient branchés au moment de la conférence. Réduire la circulation sur la rue Notre-Dame La Ville de Montréal et le ministère des Transports évaluent présentement une proposition qu’a formulé le Port de Montréal afin que les camions des marchandises aient un accès direct à ses installations, a rapporté le maire de Montréal. Le projet serait de relier l’avenue Souligny et le boulevard L’Assomption au port, ce qui éviterait à 2000 camions de marchandises d’emprunter à chaque jour la rue Notre-Dame. «Au lieu d’attendre que le projet de la rue Notre-Dame [soit ficelé], nous cherchons une façon de détourner les camions qui viennent à Montréal de cette rue», a dit M. Tremblay. http://www.journalmetro.com/linfo/article/888306--montreal-injectera-3-5-g-dans-son-economie-d-ici-2017
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Bonjour à tous, Nrithyalaya Classical Art Foundation, va avoir son spectacle annuel à la salle Oscar Peterson située au 7141 Sherbrooke ouest à Montréal. Ça sera une soirée de musique classique du sud de l’Asie. L’Évènement est gratuit et vous êtes les bienvenus pour vous joindre à nous le samedi 28 mai à 19h30 à 22h00. Si vous n’êtes pas familiers avec les chansons classiques Tamil, vous pouvez voir la performance qui a eu lieu à la Maison de la culture Ahunstic – Cartieville. Le groupe a interprété une chanson québécoise « Chanson entre nous » mais dans un style de musique classique Tamil. http://www.youtube.com/watch?v=FlHJhuz6wHo Au plaisir de vous voir à tous ______________________________________________________ Dear all, Nrithyalaya Classical Art Foundation will be hosting its annual Carnartic concert at Oscar Peterson Concert Hall located at 7141 Sherbrooke ouest in Montreal. It will be night of celebrating Classical music from South Asia. The event is free, and you are welcomed to join us On Saturday, May 28, 2011 at 7:30pm to 10:00pm. If you are not familiar with Classical Tamil music, you can take a look at part of the Foundation performing in La Maison de la culture Ahunstic – Cartierville. The group interprets a Quebec songs, ‘Chanson entre nous,’ but sung in the classical Tamil style. http://www.youtube.com/watch?v=FlHJhuz6wHo Good day and hope to see you at our event. Would love to see some of you guys there, I only met two of you guys.
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Bonjour, en repassant près de l'ÉTS cette fin de semaine, je me suis rappelé d'une question que je voulais vous poser, en esperant que quelqu'un a de l'information là-dessus! Je me demandais si vous saviez ce qui se passe avec le gros terrain vague cloturé situé juste au nord de l'ÉTS, entre les rues Peel, Saint-Jacques, Jean d'Estrées et Notre-dame Ouest... C'est un vraiment gros terrain et qui est un ''prime spot'' tant qu'à moi! Quelqu'un aurait quelconque info là-dessus? Merci à l'avance!
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Est-ce que vous consommez de la caféine? Si oui, quels produits? Café? Thé? Red Bull? Boissons Gazeuses? Etc. Are you addicted? How much is too much? Pour vous donner une idée, une tasse de café contient entre 100-150mg de caféine Une boisson énergitique puissante contient en moyenne 200 jusqu'à 500mg de caféine Une boisson énergitique "moyenne" comme Red Bull contient de 80 à 150mg de caféine Du thé d'habitude c'est à peu prêt 50mg Du chocolat aussi en contient, entre 10 et 40mg Les boissons gazeuses varient beaucoup mais d'habitude c'est un peu moins qu'une tasse de café Moi pour ma part je consomme ~ 300-400mg par jour, typiquement 3 tasses de café. Certains jours j'en prend pas du tout, d'autres je fais exception et j'y vais avec 4, mais jamais plus que 4.
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Le Jeanne-Mance Le Jeanne Mance est situé stratégiquement sur le plateau Mt-Royal à l'ouest de la rue St-Laurent dans ce qu'on appelle amoureusement le Ghetto McGill, nous parlons ici du centre ville, là où c'est possible de se rendre à pied sur la montagne, à l'université, dans le nouveau quartier des spectacles et bien sûr dans le quartier des affaires, en fait là où la vie urbaine est à son meilleur. Il s'agit de 6 co-propriétés aménagées pour faire usage du moindre espace disponible. La dimension des condos varient entre 592 pieds carrés et 1032 pieds carrés. Les espaces communs sont minimals tout en étant design, éliminant ainsi les frais de copropriétés onéreux. Les copropriétés sont situées certainement sur le dernier terrain disponible à construire dans ce coin priviligié de la belle ville de Montréal. Visionnez les plans vous serez conquis! http://immeublesbcg.com/lejeanne.php
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Le SO Ste-Marguerite/métro Place Saint-Henri Situé sur la rive nord du canal Lachine, rue Sainte-Marguerite, à 5 minutes du marché Atwater, le SO Ste-Marguerite compte six unités de condos luxueux. 4½ et des 5½ dont les superficies oscillent entre 800 et 1450 pc². L’immeuble accueille aussi des penthouses sur deux niveaux avec la mezzanine et des vues sur le centre-ville. Trois stationnements intérieurs y sont disponibles en option. Prix à partir de 233 500.00$, taxes en sus. http://www.sostemarguerite.com/
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(Courtesy of Cyberpress) Cheap flights anyone or is Quebec just going to annex Vermont, seeing we sell them electricity Plus we can also probably annex Maine.
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- burlington
- cela
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Wow. Je pars une semaine et en revenant, je tombe là-dessus. Quelqu'un peut activer ses contacts pour en apprendre plus? http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/01/20110131-141311.html#texte
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Le trou de beigne Publié le 07 décembre 2010 à 06h18 | Mis à jour le 07 décembre 2010 à 06h18 Claude Piché LA PRESSE (Montréal) À en juger d'après les nombreuses lettres reçues à La Presse, le budget déposé par l'administration du maire Tremblay a mis les Montréalais en colère. Le budget annonce de fortes hausses d'impôt foncier pour la deuxième année consécutive, en plus d'imposer une nouvelle taxe aux automobilistes montréalais. «La grogne est généralisée, c'est presque l'unanimité, constate Jean-Pascal Beaupré, responsable des pages Forum. Les Montréalais n'acceptent pas que ce soient eux, et pas les banlieusards, qui doivent supporter le fardeau.» Dans ce climat de mécontentement populaire, on comprend que plusieurs Montréalais sont tentés de se réfugier en banlieue. Ils ne sont pas les seuls. Depuis des années, Montréal est victime de l'effet de beigne, qui voit la banlieue s'étendre continuellement au détriment de la ville-centre. Dans l'ensemble, on connaît assez bien le phénomène. On sait que ce sont surtout les jeunes ménages à revenus moyens qui désertent la ville pour la banlieue. On sait aussi que les ménages à faibles revenus restent en ville, souvent parce qu'ils n'ont pas le choix: la vie en banlieue est indissociable de l'automobile. Or, tout cela est basé davantage sur des enquêtes sommaires et des observations sur le terrain que sur une recherche rigoureuse. Assez curieusement, même si les migrations entre la ville centre et la banlieue peuvent avoir des conséquences énormes, il n'existe à peu près pas de renseignements détaillés sur les ménages en cause. Cette lacune vient d'être comblée par deux chercheurs de Statistique Canada, Martin Turcotte et Mireille Vézina. Les auteurs ont mesuré avec précision l'effet de beigne dans les trois grandes villes canadiennes, Toronto, Montréal et Vancouver. Ils ont tracé le portrait socio-économique des ménages avec beaucoup de rigueur. Les résultats de leurs travaux viennent de paraître dans Tendances sociales canadiennes (1), une publication spécialisée de l'agence. À ma connaissance, c'est ce qu'il s'est fait de mieux sur le sujet. Et il se trouve que ces résultats sont proprement stupéfiants. Bien sûr, la recherche confirme que Montréal perd surtout des jeunes ménages à revenus moyens et élevés, ce dont tout le monde se doute déjà, mais elle nous montre aussi clairement à quel point la saignée est importante. D'abord, un premier constat. L'effet de beigne ne sévit pas seulement à Montréal. Toronto et Vancouver sont aussi touchés. À Montréal, entre 2001 et 2006 (l'étude est basée sur les résultats du questionnaire long du recensement de 2006, et même si les chiffres datent de quatre ans, ce sont les plus récents), 14% des ménages montréalais ont quitté la ville pour s'installer en banlieue; pendant ce temps, seulement 5% des banlieusards faisaient le trajet en sens inverse. Les proportions sont exactement les mêmes à Toronto, et reflètent aussi la situation à Vancouver à quelques poussières près. C'est en regardant de plus près le profil socio-économique de ceux qui quittent Montréal que l'on peut mieux mesurer l'ampleur de l'exode: En cinq ans, la ville centre a perdu 19% de ses résidents âgées de 30 à 34 ans (une personne sur cinq, tout de même), pendant que seulement 6% des banlieusards de cette tranche d'âge Montréal quittaient la périphérie pour s'installer à Montréal. On compte aussi 14% de départs chez les jeunes de 25 à 29 ans, 15% chez les 35-39 ans, mais la proportion de départs tombe à 3% chez les 65 ans et plus. L'exode des jeunes, c'est vrai. Sur les couples avec enfants, la banlieue agit comme un véritable aimant et Montréal, comme un repoussoir. Ainsi, toujours au cours de la même période, la ville centre a perdu au profit de la banlieue, tenez-vous bien, 34% de ses jeunes ménages ayant au moins un enfant! Pendant ce temps, seulement 2% de ces jeunes ménages ont quitté la banlieue pour Montréal. L'exode des jeunes familles, c'est vrai. Au chapitre des revenus, c'est vraiment la classe moyenne qui est concernée. Ainsi, 25% des ménages ayant un revenu familial (après impôts) entre 70 000$ et 80 000$ ont quitté Montréal. Cette proportion varie de 20 à 23% pour les tranches de revenus situés entre 60 000$ et 150 000$. Pendant ce temps, rares sont les banlieusards à revenus moyens (entre 2 et 3%) qui choisissent de déménager à Montréal. L'exode de la classe moyenne, c'est vrai. Pour les ménages à faibles revenus, c'est le contraire. C'est ainsi que 12% des banlieusards gagnant un revenu familial inférieur à 20 000$ ont quitté leur banlieue pour s'établir à Montréal, qui perdait de son côté 5% de ses ménages à faibles revenus. Enfin, on peut obtenir des résultats ahurissants en combinant plusieurs caractéristiques. Ainsi, pas moins de 42% de tous les nouveaux parents ayant un revenu entre 50 000$ et 100 000$ ont quitté Montréal en cinq ans. C'est une perte énorme pour la ville centre quand on sait à quel point toutes les municipalités font des pieds et des mains pour attirer une population de jeunes ménages à revenus moyens. (1) On peut télécharger gratuitement la revue à partir de la page d'accueil de Statistique Canada: http://www.statcan.gc.ca L'EFFET DE BEIGNE EN QUELQUES CHIFFRES En cinq ans, 14% des Montréalais ont quitté la ville pour s'installer en banlieue, tandis que seulement 5% des banlieusards faisaient le trajet en sens contraire. 34% des jeunes ménages ayant deux enfants ou plus se sont exilés en banlieue. 25% des ménages gagnant entre 70 000$ et 80 000$ ont déménagé en banlieue ; en revanche, 12% des banlieusards à faibles revenus (moins de 20 000$ de revenu familial) sont venus s'établir à Montréal Par tranche d'âge, ce sont les Montréalais âgés de 30 à 34 ans qui sont les plus nombreux à fuir la ville centre.
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Le Québec doit accentuer ses échanges avec la Nouvelle-Angleterre
un sujet a posté Habsfan dans L'actualité
J'ai trouvé cet article sur Cyberpresse.ca Ça vaut la peine! http://www.cyberpresse.ca/opinions/201101/05/01-4357438-le-quebec-doit-accentuer-ses-echanges-avec-la-nouvelle-angleterre.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_place-publique_1242600_accueil_POS4 Pierre Harvey L'auteur est président de Harvey International inc., à Sherbrooke. Le Québec doit accentuer ses échanges avec la Nouvelle-Angleterre Le développement économique du Québec est en train de reprendre vie tranquillement. Malheureusement, certains secteurs souffrent toujours de l'après-crise, notamment l'industrie du bois, le secteur manufacturier de l'usinage des métaux (fabrication mécanique et mécano soudée) et le tourisme. Le 16 septembre 2009, le ministère des Relations internationales du Québec écrivait dans un communiqué de presse: «En 2007, la valeur totale des échanges de biens entre le Québec et (la Nouvelle-Angleterre) s'est élevée à 11,45 milliards de dollars. Le Québec y a exporté pour 7,7 milliards de biens, représentant 11,1% des exportations totales de marchandises du Québec et 14,8% de ses exportations vers les États-Unis.» Dans cet esprit, il serait souhaitable que le Québec se dote d'une vraie politique de développement économique intégrée englobant la Nouvelle-Angleterre comme principale priorité en matière de déploiement des efforts marketing et des relations politiques et économiques du Québec. En ce sens, l'État québécois devrait accentuer sa présence dans cette région et prioriser une politique de développement accélérée des relations commerciales et politiques avec cette région de plus de 15 millions de personnes. Le Québec vend plus en Nouvelle-Angleterre (14,1%) que dans tous les pays européens réunis (9,7%). Le tourisme provenant de la Nouvelle-Angleterre représente aussi une importante part de notre industrie touristique. Doit-on rappeler que plus de 30% des touristes qui viennent au Québec proviennent de la Nouvelle-Angleterre et que 90% d'entre eux utilisent les infrastructures routières? Ce marché est donc trop important pour le Québec pour qu'il ne soit considéré simplement que comme une région de développement parmi tant d'autres. L'effort collectif nécessaire pour peaufiner l'image de l'hydroélectricité du Québec dans cette région est prioritaire tout comme la multiplication des efforts des villes québécoises pour créer des réseaux forts avec les acteurs économiques de la Nouvelle-Angleterre. Il serait aussi souhaitable qu'une priorité d'actions soir entreprise aussi avec les acteurs franco-américains de la Nouvelle-Angleterre qui comptent encore aujourd'hui plus de 1,6 million de personnes. Cet effort, orchestré par le Québec, soutenu par Ottawa et déployé par les acteurs économiques locaux, pourrait grandement servir les intérêts des entrepreneurs québécois tout en favorisant aussi les entrepreneurs de la Nouvelle-Angleterre. Même si la crise économique des derniers mois a fait baisser quelque peu les chiffres mentionnés ci-haut, il n'en demeure pas moins que l'importance économique et touristique primordiale de cette région mériterait que l'État québécois révise complètement le mandat de la délégation du Québec à Boston. En effet, la délégation du Québec à Boston devrait être autant, sinon plus imposante que celle de New York, car elle est seule capable de consacrer la relation de proximité qui existe entre le Québec et la Nouvelle-Angleterre. La délégation du Québec à Boston devrait aussi pouvoir supporter politiquement le travail d'une nouvelle corporation privée de type OSBL strictement orientée sur des intérêts économiques privés, qui serait composée d'entreprises et de représentants d'Hydro-Québec, entre autres, qui aurait pour mandat de prendre en charge l'ensemble des efforts économiques du Québec plutôt que de dépendre des simples gestes de quelques fonctionnaires du ministère des Relations internationales. Dans les faits, c'est bien simple: le délégué général du Québec à Boston doit être l'ouvreur politique de porte et les privés font le reste pour sceller la relation commerciale. Dans cet esprit, une corporation privée de type OSBL pourrait être chargée des mandats suivants en y incluant des pouvoirs décisionnels dévolus à ce bureau: promotion économique et touristique du Québec en Nouvelle-Angleterre; centralisation des efforts de développement des relations commerciales, focus group, missions d'affaires et activités de «match-making»; relations et partenariats institutionnels avec collèges, universités, instituts de recherches, associations professionnelles; relations culturelles et sociales (Association canado-américaine, clubs Rotary, Richelieu, etc.); coordination des efforts de toutes les régions du Québec vers ce marché. New York, Pennsylvanie et New Jersey Dans le même esprit de rapprochement accéléré avec la Nouvelle-Angleterre, il va de soi que la stratégie globale englobe aussi ces trois États limitrophes et qui composent le grand nord-est des États-Unis. D'ailleurs et en fonction des moyens limités dont nous disposons au Québec, le type d'approche proposée avec la Nouvelle-Angleterre devient une priorité qui va forcément déteindre vers ces trois États tous aussi importants pour le Québec. Avec plus de 42 millions d'habitants, cette région, appelée le Tri-State, est l'extension naturelle pour le Québec dans son axe de développement nord-sud. Au final donc, le Québec se positionnerait comme leader incontesté du nord-est de l'Amérique du Nord, car c'est par le Québec, de par notre historique de relations avec la Nouvelle-Angleterre que tout cela devrait s'orchestrer. Imaginons seulement le retour sur investissement si nous pouvions contrôler efficacement le transport des marchandises, des personnes et surtout contrôler les besoins énergétiques de plus de 60 millions de personnes. Comme stratégie de commerce de proximité, il n'y aura jamais rien de plus pertinent ni de plus rentable que de profiter d'une manne à moins de quelques heures de route.- 2 réponses
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