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  1. depuis mon hotel a phildelphie, j'ai decider de jetter un oeil sur espn360.com, ce service qui permet d'ecouter en direct ou "on demand", en hd, a peu pres n'importe quel evenement sportif sur la planete. donc, je suis aller sur le site, et j'ai cliquer "categories". voici me choix: euh .. trouvez l'erreur ?
  2. Le maire de Laval caresse de grands projets Sara Champagne La Presse Le maire de Laval rivalise d'audace avec le maire de Québec, Régis Labeaume, qui veut amener les Jeux olympiques dans sa ville. Dans la foulée des élections provinciales, Gilles Vaillancourt a révélé à La Presse, vendredi, que lui et son équipe sont en train de ficeler les derniers détails d'un projet de centre de foires capable d'accueillir des expositions équivalentes à celles que reçoit le Stade olympique de Montréal. «Il s'agit d'un projet d'environ 80 millions, a dit le maire de Laval, lors d'un entretien exclusif. On n'en a pas encore déterminé l'emplacement exact, mais ce n'est pas l'espace qui manque à Laval. C'est en tout cas du sérieux. Même que notre plan fonctionnel et technique (PFT) est déjà terminé.» Mais le maire de Laval ne s'arrête pas là. Il demande aussi la collaboration des gouvernements provincial et fédéral pour financer la construction d'un complexe aquatique et d'un complexe de glace qui compterait une ou deux patinoires. Les deux projets sont évalués à au moins 45 millions. M. Vaillancourt explique qu'il est tout à fait réaliste de penser que le privé financera un quart du projet et la Ville un autre quart. Le reste, donc 50% des coûts, serait fourni par Québec et Ottawa. Il demande donc un financement total de plus ou moins 60 millions. «On a réalisé de nombreuses études et le potentiel est là, ajoute le maire de Laval. La demande est là. Et notre ville a le potentiel de réaliser ces projets.» Outre ces projets d'expansion, l'administration Vaillancourt demande toujours au gouvernement de Jean Charest de financer le prolongement de la ligne orange du métro, à partir de la station Côte-Vertu, jusque dans l'ouest de Laval. Il souhaite aussi obtenir de l'argent pour la mise à niveau des usines de transformation d'eau potable, projet évalué à 125 millions. courriel Pour joindre notre journaliste: sara.champagne@lapresse.ca
  3. Bonjour à tous ! Je suis allé aux vergers du belvédère à Saint-joseph-du-lac un petit village de 5000 habitants au nord-ouest de Montréal. Ce qui est intéressant c'est que dans ce verger qui monte à environs 300m il ya un belvédère assez peu connu de la population en général mais qui offre une vue magnifique à 360 degrés de la région... de plus , l'admission est de 2,50$ alors autant en profiter pour y enmener son appareil photo ! :tup: Malheureusement j'ai pu y faire que quelques photos parce que j'ai manqué de piles ! , mais j'ouvre ce topic pour y mettre mes prochaines photos lorsque j'y retournerai. Habituellement un tracteur fait la navette , mais pas aujourdhui , donc à pied il faut tout de même 30 minutes pour y parvenir. Les voici donc. 1) 2) 3) 4) 5) 6) 7) 8) 9) 10) Pano-Petit : Déroulez ==> 11) Pano-Gros/détails : Déroulez ==> ...Finalement je suis surpris de voir qu'il y a autant de «buildings» dans la région de Montréal qui dépassent. À l'oeil nu c'était plus difficile de s'en rendre compte. ps : regardez bien dans le gros pano , je crois qu'on vois les pointes du pont-jacques-cartier !! ---------------------------- Voilà! ... j'y retournerai bientôt , et cette fois avec de bonnes piles ! Franks.
  4. Saturn Canada n'est plus Publié le 28 août 2009 à 15h24 | Mis à jour à 15h38 Saturn Canada n'est plus. Le nouvel acheteur de la marque, Penske, n'est pas intéressé à la division canadienne et les 60 concessionnaires du réseau se retrouvent le bec à l'eau. Les concessionnaires canadiens, dont 15 sont situés au Québec, ont appris la nouvelle par lettre il y a quelques jours. Ils devront cesser de vendre des véhicules Saturn au plus tard le 31 décembre. «Au Canada, il y a un très grand territoire à couvrir pour le peu de volume de ventes, explique Jean-Claude Gravel, dont le groupe exploite entre autres une concession Saturn sur la Rive-Sud et à l'Île-des-Soeurs. Penske a donc préféré continuer à exploiter le produit Saturn strictement aux États-Unis.» Les propriétaires de voitures Saturn pourront néanmoins obtenir le service et faire honorer leur garantie dans le réseau de concessionnaires GM. Penske Automotive, basée en Illinois, a indiqué à La Presse Affaires que l'entreprise ne pouvait faire aucun commentaire sur Saturn, la transaction n'étant pas encore officiellement complétée. Penske continuera de vendre des véhicules GM dans son réseau de 350 concessionnaires américains. Selon l'entente entre les deux entreprises, GM continuera de fabriquer les Saturn pour le compte de Penske.
  5. Macadam - Toi et moi sur le toit Le Devoir Fabien Deglise Édition du jeudi 16 juillet 2009 Mots clés : Toit, Plante, Fleur, Flore, Habitation, Québec (province), Montréal Timidement, Montréal commence à apprivoiser ses toitures pour améliorer son cadre de vie Dès le retour des beaux jours, Marie-Ève Provencher, Andrée Lalonde et Patrice Deslauriers, de la firme d'architectes Ron Rayside, viennent régulièrement prendre le pouls de la ville depuis leur jardin en hauteur. Photo: Jacques Nadeau C'est la magie de la nature en hauteur. Perché au quatrième étage d'un immeuble de la rue Ontario, à Montréal, au milieu d'une orgie de fines herbes, de fleurs multicolores et de meubles de jardin en fer forgé, le temps, soudainement, semble vouloir s'arrêter. Au loin, des centaines de mètres plus bas, la ville expose bruyamment, et sous un ciel gris, son agitation matinale, avec ici une sirène en panique, là un crissement de pneu. Mais, tout en contemplant la vue imprenable sur le centre-ville, depuis son Centre-Sud, l'architecte Ron Rayside y est étrangement imperméable. «À cette époque de l'année, c'est l'un des endroits les plus agréables du bâtiment», lance ce bâtisseur qui, en 2005, a décidé d'expérimenter le concept de toit vert sur l'immeuble qui abrite les bureaux de sa firme ainsi que quelques logements. «Nous étions dans les premiers à nous lancer dans ce type de construction. Pour voir ce qu'il était possible de faire à Montréal. Pour le moment, le résultat est concluant. Ce toit, en plus de nous aider à réduire notre consommation d'énergie, est beaucoup utilisé par les habitants de l'immeuble.» Le contraire serait étonnant. Ainsi élevé, les pieds dans la verdure, le panorama qui s'offre au citadin en quête d'ascension est fascinant, avec son enfilade de toits en tout genre et toutes conditions persillées ici et là par des terrasses habitées -- généralement au sommet de constructions récentes -- et surtout avec son horizon bloqué, au sud-ouest, par les imposants gratte-ciel montréalais. Mais il y a plus. La perspective permet aussi de prendre la mesure d'un paradoxe comme Montréal aime bien les alimenter: oui, avec l'arrivée des beaux jours, les toits de la métropole prennent doucement vie, mais dans une timidité qui tranche avec notre époque écologisante. Une époque qui aime, sur papier glacé et dans les tubes cathodiques, vanter à outrance le vert sur toiture et les jardins urbains suspendus. Pour respirer l'air du temps. Espaces vacants En 2008, à l'occasion du 5e concours Génération développement durable, orchestré par la revue scientifique française La Recherche, les trois étudiants de l'UQAM qui ont décroché le 3e prix (Mariannick Houegbonou, Jonathan Gariepy-Roy et Cyrus Mokry) avec leur projet intitulé «Urmanité: des toits et des hommes» ont d'ailleurs résumé ce vide en deux phrases: «Les toits de Montréal ressemblent à d'immenses terrains vacants vus du ciel... Considérant que la ville est un objet en trois dimensions, pourquoi les surfaces extérieures de cet objet ne sont-elles pas réellement exploitées?» Sur un toit du Centre-Sud, comme sur celui de l'hôtel de la Montagne et sa terrasse Magnétic, ou même au sommet de la place Ville-Marie (deux rares terrasses en hauteur de la ville), la sous-exploitation est effectivement palpable. Elle a aussi été quantifiée par la chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal. «Actuellement, il y a une cinquantaine de toits verts à Montréal, principalement sur les toits d'institutions», lance Caroline Gagnon qui, dans les trois prochaines années, souhaite étudier le phénomène avec Danielle Dagenais. Les deux scientifiques veulent en effet mesurer l'impact psychologique des terrasses vertes sur les citadins. En présupposant que l'effet est bien sûr positif. Une cinquantaine de toits verts. Le chiffre est ridiculement bas: cela représente en effet 0,01 % des toits des quelque 435 000 immeubles en tout genre, selon le rôle d'évaluation, que compte l'île de Montréal. Pas plus. «Ce n'est pas étonnant, lance l'architecte Ron Rayside. Le problème, c'est que la plupart des toits de Montréal n'ont pas été conçus pour ça.» C'est un triste constat et aussi une question de pression: en effet, les traditionnels duplex et triplex des quartiers historiques de la métropole n'ont généralement pas la stature qu'il faut pour supporter le poids d'un jardin sur leur toit, à moins de travaux de renforcement de structure dont la facture va très vite rebuter les aspirants à l'élévation. «C'est donc sur les constructions récentes ou sur les bâtiments institutionnels [écoles, universités et compagnie] que l'on commence le plus à en voir apparaître», poursuit-il. Tant pis donc pour les rêveurs, les écolos, les traqueurs d'espaces en suspension ou les amateurs de grand air qui vont donc devoir se contenter de ce peu... sans doute de leur vivant. «On sent un engouement pour les toits et terrasses verts», dit l'architecte. Mais, en raison de toutes ces contraintes, pas question pour lui d'imaginer d'ici 50 ans des arbres, des buissons, des jardins de fines herbes monter en grande quantité du couvercle de la ville. «Peut-être dans un siècle, avec un peu de chance. Ce genre de chose, malgré nos bonnes intentions, va prendre du temps à arriver.» http://www.ledevoir.com/2009/07/16/259175.html
  6. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  7. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  8. Ingénierie - À la traque des défaillances catastrophiques Le Devoir Claude Lafleur Édition du samedi 02 et du dimanche 03 mai 2009 Mots clés : Acfas, Sofiene Tahar, Ingénierie, Science, Université, Canada (Pays) Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la « Formal Probabilistic Analysis Using Theorem Proving » La fusée Ariane 501 photographiée peu avant d'être installée sur son aire de lancement en juin 1996. Ariane 501 a explosé 40 secondes après son décollage, victime d'une panne de son système de navigation, ce qui a entraîné la perte des quatre satellites Cluster, d'une valeur de 370 millions de dollars. Photo: Agence France-Presse Toute machine complexe, tel un avion ou un réacteur nucléaire, est susceptible de connaître une défaillance catastrophique. Or, malgré toutes les études, analyses, vérifications et simulations, il est impossible de repérer toutes les possibilités de scénarios catastrophiques. C'est pourtant le défi que relève un chercheur de l'Université Concordia, qui imagine diverses méthodes pour y parvenir. «Ce que nous faisons dans notre laboratoire, c'est essayer de repérer tous les scénarios possibles pour ne pas en échapper un qui soit catastrophique», indique Sofiene Tahar, ingénieur en électronique et en informatique, qui dirige l'équipe de 25 chercheurs du Hardware Verification Group de l'Université Concordia. Son domaine de recherche touche tous les systèmes présents dans notre vie, des réseaux de communication sans fil aux avions, en passant par les logiciels et les puces électroniques. «Je me passionne pour le fonctionnement des systèmes, qu'il s'agisse de logiciels ou de matériels», dit-il avec enthousiasme. D'origine tunisienne, Sofiene Tahar a entrepris ses études universitaires en Allemagne avant de venir les compléter ici. «J'ai passé dix ans en Allemagne et je voulais acquérir une expérience nord-américaine, dit-il. En 1995, je suis donc venu réaliser un postdoc à l'Université de Montréal puis, l'année suivante, j'ai décroché un poste de professeur à l'Université Concordia. Je suis donc demeuré à Montréal..., ce que je ne regrette surtout pas!» Pour sauver Ariane Aurait-on pu sauver Ariane 501? M. Tahar s'émerveille devant la complexité des systèmes que l'industrie développe de nos jours. «Prenez par exemple le microprocesseur Pentium d'Intel, dit-il. Celui-ci contient plus d'un milliard de transistors! On a donc la technologie pour fabriquer ce genre de "monstres", mais comment s'assurer qu'il fonctionne correctement?» Or, justement, l'industrie de la microélectronique et du logiciel consacre environ 70 % de ses ressources à vérifier la fiabilité de ses produits (et 30 % à leur conception). «Pour l'essentiel, on a recours à des techniques de simulation, remarque-t-il. On essaie de simuler les principaux scénarios de fonctionnement, mais il est impossible de reproduire tous les cas imaginables, puisque cela prendrait des milliards d'années.» Son équipe cherche par conséquent à concevoir diverses autres techniques de repérage systématique des failles en recourant notamment à des méthodes de raisonnement mathématiques. Elle conçoit entre autres des logiciels qui appliquent systématiquement cette démarche de raisonnement mathématique. «On obtient de la sorte une couverture exhaustive de tout ce qui est possible», indique le chercheur. Pour illustrer son approche, il évoque le grave accident survenu lors du premier tir d'une fusée Ariane V, en juin 1996. Cette Ariane 501 a explosé 40 secondes après son décollage, victime d'une panne de son système de navigation, ce qui a entraîné la perte des quatre satellites Cluster, d'une valeur de 370 millions de dollars. Les enquêteurs ont par la suite découvert que, parmi les milliers de lignes de code des logiciels contrôlant les ordinateurs de bord, une petite série avait été mal conçue. Selon un rapport de la NASA, le genre de méthode préconisée par Sofiene Tahar aurait probablement pu détecter la faille avant le tir de la fusée. Collaborations De fait, les travaux de l'équipe Tahar intéressent tellement les entreprises que, «chaque fois que nous obtenons des résultats intéressants, cela donne lieu à des collaborations avec des firmes à travers le monde», rapporte M. Tahar. C'est ainsi que son groupe travaille actuellement dans le cadre de trois partenariats, l'un avec la firme Erikson, de Montréal, un autre avec STMicroelectronics (le plus grand fabricant microélectronique en Europe) et un troisième avec Huway (le numéro un chinois des systèmes électroniques). «On essaie d'appliquer diverses techniques pour aider les industriels à vérifier leurs systèmes.» C'est ainsi que, il y a quelques années, l'équipe a scruté une composante électronique fabriquée par la société PMC-Sierra, l'un des grands fournisseurs de semi-conducteurs utilisés dans une foule d'équipements de communication. «Grâce à l'une de nos nouvelles techniques, basée sur des méthodes formelles, nous avons découvert une défaillance dans l'un des modes de fonctionnement du circuit électronique, raconte M. Tahar. Sur le coup, l'entreprise ne nous a pas crus, elle a donc refusé nos conclusions... mais elle a par la suite compris que nous avions raison.» De la probabilité à la certitude Prévoir les aléas de l'environnement? À l'occasion de sa présentation au congrès de l'ACFAS (lundi midi), M. Tahar traitera de l'application de la théorie des probabilités à l'identification des failles dans les systèmes. «C'est un domaine de recherche que nous avons commencé à explorer il y a quatre ans, précise-t-il. On a fait l'observation que beaucoup de systèmes ont un comportement probabiliste... Pensons simplement à la variation des conditions météorologiques; lorsqu'on place un système quelconque dans un environnement physique, il y a beaucoup de comportements qui dépendent de probabilités. Nous nous intéressons à la vérification des systèmes probabilistes, c'est-à-dire que ce n'est pas seulement le fonctionnement du système qu'il faut vérifier, mais son comportement probabiliste.» Cette démarche intéresse au plus haut point plusieurs autres chercheurs autant que des industriels. C'est ainsi que deux professeurs émérites de l'Université de Cambridge, en Grande-Bretagne, ont l'intention d'appliquer les méthodes mises au point par l'équipe de Concordia à un ensemble de domaines, notamment les télécommunications, la conception de logiciels, l'aviation et l'automobile. Par ailleurs, un gestionnaire de Rockwell Collins (un géant de l'avionique) a été si impressionné, lors de sa visite des laboratoires de M. Tahar l'été dernier, qu'il désire absolument collaborer avec lui. «Les choses vont vraiment très vite pour nous!», remarque Sofiene Tahar avec enthousiasme. *** Collaborateur du Devoir *** - «Formal Probabilistic Analysis Using Theorem Proving», le lundi 11 mai à 15 heures. http://www.ledevoir.com/2009/05/02/248474.html (2/5/2009 9H07)
  9. Avec la crise économique, les travailleurs licenciés deviennent des proies faciles pour les fraudeurs. L'Autorité des marchés financiers lance donc un appel à la prudence. Pour en lire plus...
  10. Montréal - «Nous avons choisi Montréal en raison de votre charme européen» Claude Lafleur Édition du samedi 21 et du dimanche 22 février 2009 Le palais se trouve désavantagé par sa taille relativement modeste En plus de ses charmes culturels indéniables, sa gastronomie et ses festivals sont autant d'avantages en faveur de Montréal. Quiconque organise un congrès a une grande préoccupation: ceux à qui s'adresse ce congrès viendront-ils y assister? C'est en effet en rassemblant un nombre suffisant de participants que l'organisateur fera ses frais. C'est aussi en promettant une belle assistance qu'il convaincra des commanditaires d'y contribuer. Du nombre de participants dépend donc le succès (financier) de l'entreprise. Or l'un des grands avantages de tenir un congrès à Montréal serait que l'organisateur est pratiquement assuré que les participants viendront en nombre. La «qualité première de Montréal», indique Robert Cazelais, directeur des ventes du Palais des congrès, est qu'un congrès qui y est tenu connaîtra affluence. «Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les gens organisent un congrès à Montréal, dit-il, mais je dirais que la raison principale, c'est qu'ils savent dès le départ que l'affluence y sera.» Il est même très fréquent, ajoute-t-il, que les organisateurs «battent leur record». C'est ainsi que, lorsque les représentants de la Meeting Professionals International -- l'association des organisateurs de réunions et de congrès -- se sont rencontrés à Montréal en juillet 2007, ils ont brisé tous leurs records d'assistance. «Et pourtant, ce sont des gens habitués à voyager, des gens qui en ont vu d'autres!», de lancer fièrement M. Cazelais. Charme et efficacité Pourquoi vient-on en si grand nombre à Montréal? «Encore là, il y a plusieurs bonnes raisons, dont la sécurité, l'hospitalité et la propreté de la ville, d'indiquer Robert Cazelais, mais je dirais que la première raison est le fait que nous combinons à la fois le charme d'une ville européenne et l'efficacité de l'organisation à l'américaine.» C'est d'ailleurs ce que confirme Sherry Pagoto, responsable du programme du 30e congrès de la Société de médecine comportementale, qui aura lieu à la fin d'avril. «Nous avons choisi Montréal en raison de votre charme européen», dit-elle. Comme c'est la première fois que cette société américaine se réunit au Canada, pourquoi nous avoir préférés à Toronto ou à Vancouver? «Ce sont nos membres qui ont voté en faveur de Montréal, dit-elle. Ils nous ont dit qu'ils viendront à Montréal. Nous avons donc choisi Montréal et j'en suis ravie!» Résidante de Boston, Mme Pagoto raconte qu'elle nous a récemment visités et qu'elle a trouvé la ville «vraiment charmante». Montréal est perçue comme une ville européenne en raison de sa culture française, confirme-t-elle, «ce qui a beaucoup d'attrait pour nous. D'un point de vue américain, cela nous donne l'impression d'être un peu comme en Europe, ce qui nous semble être moins le cas pour les autres villes canadiennes.» Montréal, une ville propre «On retrouve à Montréal cette fameuse "joie de vivre" ou, je dirais plutôt, ce charme européen qui attire tant les Américains», d'enchaîner Robert Cazelais. Montréal est aussi une ville propre -- cleanliness, disent les anglophones. «"Propreté" dans notre façon de faire, dans notre accueil chaleureux et sincère envers tout le monde, dit-il. Nous sommes en fait considérés comme très ouverts envers les autres, quels qu'ils soient.» Même l'hiver et la neige seraient un attrait faisant partie de notre exotisme. «Nous faisons remarquer aux organisateurs de congrès que ce n'est pas parce qu'il y a de la neige en février que les participants ne viennent pas ici, relate le directeur des ventes du Palais des congrès. Ils viennent, je ne dirais pas "en dépit de la neige", mais grâce à la neige. En raison du froid, ils vivent quelque chose de différent, d'exotique...» Montréal est en outre une ville très sécuritaire qui, aux dires de M. Cazelais, «rassemble tous les avantages d'une grande ville et presque aucun inconvénient». Parmi les autres raisons de venir y tenir un congrès, il y a le fait que Montréal est une capitale du savoir. «Les participants ne viennent pas juste pour le plaisir, ils viennent ici parce qu'ils savent qu'ils y ont des collègues et donc qu'ils seront en mesure de développer leur domaine d'affaires ou de science.» En perte de vitesse Enfin, l'un des grands avantages qu'offre Montréal est la localisation de son Palais des congrès en plein centre-ville, au coeur de la vie culturelle et nocturne. Or, rapporte Robert Cazelais, nombre de centres de congrès sont situés en périphérie de leur ville, souvent en bordure d'un aéroport. Montréal offre donc un avantage significatif, d'autant plus que, chose unique, il s'agit d'une ville extrêmement sécuritaire (l'une des plus sécuritaires au monde). Et, bien entendu, Montréal se distingue aussi au chapitre de ses restaurants, renommé pour sa gastronomie et ses festivals. Le Palais des congrès se trouve cependant désavantagé par sa taille relativement modeste. «Il y a deux ans, si je me rappelle bien, nous nous situions aux environs du 65e rang en matière de taille parmi les deux cents centres de congrès en Amérique du Nord, rapporte M. Cazelais. Et comme, chaque semaine, il se construit de nouveaux centres de congrès et que les centres existants s'agrandissent, notre situation, elle, ne s'améliore pas.» Il cite même un fait inusité: à la fin des années 1990, le Palais des congrès a entrepris de doubler sa taille. «Or, lorsque nous avons commencé les travaux, nous nous classions à peu près au vingtième rang pour la taille des centres de congrès en Amérique du Nord. Mais, une fois les travaux terminés, nous étions... au 65e rang! Nous sommes comme un coureur qui participe à une compétition... mais nous ne sommes pas les seuls à courir vite! On peut donc être assuré que, si nous disposions d'un palais plus grand, nous aurions la chance d'aller chercher de plus grands congrès.» Le plus difficile pour les dirigeants du palais est d'évaluer ce que feront leurs concurrents. Entre autres, Robert Cazelais souligne que beaucoup de pays émergents se rendent compte à quel point il est important d'accueillir des congrès, et ce, pour plusieurs raisons. «Le Mexique est un bel exemple, dit-il, comme les Émirats arabes unis ainsi que l'Inde. Et ces gens-là mettent le paquet et l'argent pour aller chercher des congrès.» «Je pense que nous, à Montréal, sommes un peu trop habitués à recevoir des congrès et qu'on oublie par conséquent jusqu'à quel point cela nous rapporte gros, dit-il, non seulement en matière de retombées économiques mais également beaucoup plus que cela, entre autres en matière de retombées intellectuelles et de prestige pour la ville et pour le Québec.»
  11. Voici une thread qui m'a captivé par son style très particulier pour capturer la belle ville donc je lui ai demandé du permis pour mettre sa thread ici. Enjoy!!
  12. À force de cohabiter avec ce trou à rat qu'est l'espace entre l'ÉTS et les nouvelles résidences, j'ai décider de me lancer dans un projet de revitalisation. Donc, dans les 15 dernières minutes, j'ai pris une photo aérienne et je l'ai modifié afin de donner une idée d'un espace plus convivial, tant pour les résidents des alentours que pour les étudiants de l'ÉTS qui n'ont aucun espace vert à squatter pour écouler le temps entre deux cours. Donc, voici une ébauche très sommaire de mon idée! (J'ai fais ça avec paint, j'ai pas de talent en dessin, il faut me pardonner ) Avant: Et après: Pourquoi les stationnements? Parce que ce square est le stationnement extérieur pour ceux qui habitent aux résidences de l'ÉTS. Il serait farfelu de faire disparaitre complètement ces places, donc la relocalisation au pourtour du lot m'apparait comme un compromis acceptable. Il y a aussi un espace, à l'est du lot, qui est hachuré jaune. Cet emplacement est requis par l'épicerie Métro pour permettre aux camions de reculer dans le quai de déchargement.
  13. Bonjour à tous, Il y a un mois ou deux, j'ai regardé et "étudié" la carte sur les limitations de la hauteur des bâtiments au centre-ville. Cette carte a beau dire qu’elle a été mise à jour en mars 2007, je ne crois pas vraiment qu'elle a été sujet à de gros changements au cours de la dernière décennie. J'ai donc fait une vraie mise à jour de la carte, de façon à respecter la tendance actuelle du développement : 1 - Vers l'est, avec le quartier des spectacles; 2 - Vers le sud, avec Griffintown et l'autoroute Bonaventure transformée. À cette proposition, où la limite de hauteur globale est maintenue (232,5 mètres), une nouvelle catégorie (couleur) a été ajoutée dans la légende : - La rouge foncée, qui limite à 232,5 mètres la hauteur des constructions, mais qui limite aussi les constructions basses, avec une hauteur minimale de 120 mètres. Une construction dans cette zone doit donc être plus basse que 232,5 mètres, mais plus haut que 120 mètres. Une telle catégorie permettrait de s'assurer d'un développement en hauteur dans les zones clés du centre-ville. Comme toujours, si un promoteur veut faire fi de ces règlementations, il devra passer par l'OCPM. Vous en pensez quoi? ------------------------------------------------------------------------- L'autoroute Bonaventure - Est ----------- Avant --------------------- Après ----------- L'autoroute Bonaventure - Ouest ----------- Avant --------------------- Après ----------- Griffintown - Bassin Peel ------------------------- Avant ------------------------------------------------- Après ------------------------- Boulevard René-Lévesque Ouest ------------------------- Avant ------------------------------------------------- Après ------------------------- Centre-Ville - Sud ------------------------- Avant ------------------------------------------------- Après ------------------------- Quartier des Spectacles ------------------------- Avant ------------------------------------------------- Après -------------------------
  14. JO-2012 à Londres : le fond d’urgence est entamé mercredi 10.12.2008, 21:38 Le Comité international olympique (CIO) a confirmé que le fonds d’urgence constitué par le comité d’organisation des Jeux de Londres-2012 avait été entamé afin de financer le village des athlètes et que certains sites étaient menacés de délocalisation (cyclisme, basket, gymnastique, badminton). « Le financement du Village olympique est problématique. Les investisseurs ont réduit les constructions immobilières prévues. Les partenaires privés font défaut. Nous avons donc donné notre accord pour qu’une partie du fond d’urgence créé par Londres-2012 (environ 100 millions de livres) soit utilisée » a déclaré Gilbert Felli à l’issue de la commission exécutive du CIO à Lausanne.
  15. Au Québec, le producteur américain annonce la mise hors service permanente de la série A des cuves Soderberg. L'entreprise va donc amorcer dès maintenant la première phase des travaux de modernisation à Baie-Comeau. Pour en lire plus...
  16. Les ventes automobiles au Québec vont bien 21 octobre 2008 - 15h25 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Voilà qui risque de chambouler les idées reçues: l’année 2008 risque d’être excellente au chapitre des ventes des véhicules neufs au Québec. C’est ce qu’affirme la Corporation des concessionnaires d’automobiles au Québec qui souhaite rectifier le tir alors que les médias font grand cas des malheurs de l’industrie automobile américaine. «La situation économique dans le secteur automobile est bien meilleure au Québec et au Canada qu’aux États-Unis», souligne Jacques Béchard, président de la Corporation. Et les chiffres le prouvent. À la fin septembre de cette année, les concessionnaires de la province, toute marque confondue, avaient vendu 351 421 véhicules neufs, par rapport à 327 422 en 2007 pour la même période. Il s’agit d’une augmentation de 7,3 %. «De plus, comme nous avions considéré 2007 comme une bonne année avec 413 000 véhicules neufs vendus, 2008 s'annonce encore meilleure», poursuit le PDG. C'est donc dire que «les Québécois continuent donc d’acheter ou louer à long terme des véhicules chez les concessionnaires du Québec», précise la Corporation. La crise financière, le ralentissement économique et la hausse des prix du carburant ont plombé l’industrie automobile – surtout aux États-Unis - dans les derniers mois. Des géants comme General Motors ont connu des déconvenues quasiment impensables il y a seulement quelques mois. La situation est à ce point critique que GM et Chrysler auraient pour objectif de boucler une fusion dans les 15 prochains jours, avant l'élection présidentielle du 4 novembre afin de faire face à cette situation périlleuse. Le titre de GM se situait à 6,57 $ à la Bourse de New York mardi alors qu’il était aux environs de 40 $ lors de son sommet des 52 dernières semaines.
  17. L'entreprise investit donc dans un centre de données Internet en banlieue nord de Montréal. Telus gère actuellement huit centres de données au Canada. Pour en lire plus...
  18. La section est maintenant ouverte, les règlements sont écrits, et le tout premier concours est déjà commencé. Par contre, des modifications au règles du concours et sur le fonctionnement de celui-ci ne sont pas impossible. Je vous invite donc à écrire ici vos commentaires et suggestions sur la toute nouvelle section du forum. J'espère bien que vous y participerez en grand nombre!
  19. L'avantage de l'hydroélectricité nous coule-t-il entre les mains? 22 septembre 2008 - 06h00 Collaboration spéciale La Presse Pierre-Olivier Pineau La puissance de l'eau est la source de l'une des plus grandes richesses renouvelables du Québec: l'hydroélectricité. C'est le gouvernement du Québec qui est propriétaire de cette "force hydraulique", qu'elle loue aux producteur d'hydroélectricité - principalement Hydro-Québec - au tarif de 0,27¢ le kilowattheure (kWh). C'est donc dire qu'environ 5% du prix déboursé pour un kWh (5,40¢ pour les premiers 30 premiers kWh) sert à payer la source énergétique qui permet de produire de l'électricité. N'était cette énergie hydraulique, il faudrait faire comme en Ontario: avoir des centrales nucléaires, brûler du charbon et du gaz naturel. Dans ces filières, respectivement 10%, 16% et 80% du prix rembourse le coût de l'énergie primaire utilisée pour produire cette électricité: l'uranium, le charbon et le gaz naturel. Le prix final, en bout ligne, est plus élevé qu'au Québec, soit environ 10¢ par kWh: c'est ce que payent les Ontariens. Si les consommateurs québécois sont bienheureux de payer 5,40¢/kWh quand leur voisins payent le double, ils devraient être bien malheureux à l'idée que le propriétaire de l'énergie hydraulique (l'État québécois!) ne vend pas à sa pleine valeur une énergie que d'autres achètent au double du prix. Un bon gestionnaire ferait payer à tous le même prix, quitte à aider ceux qui en ont besoin - comme les ménages à faible revenu. Mais on préfère brader l'électricité, et ridiculiser ceux qui investissent dans la géothermie, le solaire passif et les électroménagers efficaces, tout simplement parce qu'ils font des choix économiquement "irrationnels": ces gens là perdent leur argent à économiser l'électricité! Cette gestion irresponsable du patrimoine hydrique québécois ne se limite pas à l'énergie. Consommation québécoise Chaque Québécois consomme en effet 424 litres d'eau par jour pour sa consommation personnelle, tandis qu'un Ontarien en consomme 260! Pourquoi? En grande partie parce que 92% des foyers ont des compteurs d'eau en Ontario, mais seulement 16% au Québec (et 20% de l'eau se perd dans les fuites du réseau, contre 12% en Ontario). Il y a pire encore - ou plutôt, il va bientôt y avoir pire encore. L'hydroélectricité est une source marginale de gaz à effet de serre. Elle bénéficie donc d'un avantage important, parce qu'elle est "propre". Lorsque les émissions de gaz à effet de serre seront limitées, soit à travers des réductions sectorielles dictées par le gouvernement (comme le propose le plan conservateur), soit à travers une taxe uniforme sur les toutes les émissions (comme le propose le plan libéral), les producteurs d'électricité qui utilisent le charbon ou le gaz naturel auront un coût de plus à payer: à 10$ la tonne de CO2, un cent s'ajoute au prix du kWh produit avec du charbon. À 40$ la tonne de CO2, c'est donc 4¢ de plus pour cette électricité, et 2¢ pour celle produite avec du gaz naturel. Les consommateurs ontariens verront donc leur facture d'électricité augmenter... alors que les Québécois seront "protégés" contre de telles augmentations, parce que leur électricité n'émet pas de CO2. Mais que va donner cette protection? Tandis que les Ontariens feront des efforts additionnels d'efficacité énergétique pour réduire leur facture d'électricité, les Québécois n'évolueront pas, insensibles à la valeur de l'électricité, comme sous une anesthésie générale. Encore plus que jamais, l'avantage concurrentiel de l'hydroélectricité - son faible coût et sa propreté - sera dilapidé par notre tarification basée sur les coûts de production, qui ne tient pas compte de la valeur relative (et bien plus grande) de l'une de nos plus grandes ressources renouvelables. Une simple réforme de la tarification - sans privatisation, et avec prise en compte des besoins des ménages à faible revenu - pourrait générer d'importants gains d'efficacité énergétique, tout en faisant d'Hydro-Québec une société d'État encore plus rentable. Tous les Québécois y gagneraient et, pour une rare fois, le développement durable serait autre chose qu'un discours creux, déconnecté de la réalité des choix concrets. L'auteur est professeur à HEC Montréal. Il organise, le lundi 20 octobre prochain, le colloque l'Énergie et le développement durable (http://blogues.hec.ca/gridd). Chaque Québécois consomme en effet 424 litres d'eau par jour pour sa consommation personnelle, tandis qu'un Ontarien en consomme 260! Pourquoi? En grande partie parce que 92% des foyers ont des compteurs d'eau en Ontario, mais seulement 16% au Québec (et 20% de l'eau se perd dans les fuites du réseau, contre 12% en Ontario). Il y a pire encore - ou plutôt, il va bientôt y avoir pire encore. L'hydroélectricité est une source marginale de gaz à effet de serre. Elle bénéficie donc d'un avantage important, parce qu'elle est "propre". Lorsque les émissions de gaz à effet de serre seront limitées, soit à travers des réductions sectorielles dictées par le gouvernement (comme le propose le plan conservateur), soit à travers une taxe uniforme sur les toutes les émissions (comme le propose le plan libéral), les producteurs d'électricité qui utilisent le charbon ou le gaz naturel auront un coût de plus à payer: à 10$ la tonne de CO2, un cent s'ajoute au prix du kWh produit avec du charbon. À 40$ la tonne de CO2, c'est donc 4¢ de plus pour cette électricité, et 2¢ pour celle produite avec du gaz naturel. Les consommateurs ontariens verront donc leur facture d'électricité augmenter... alors que les Québécois seront "protégés" contre de telles augmentations, parce que leur électricité n'émet pas de CO2. Mais que va donner cette protection? Tandis que les Ontariens feront des efforts additionnels d'efficacité énergétique pour réduire leur facture d'électricité, les Québécois n'évolueront pas, insensibles à la valeur de l'électricité, comme sous une anesthésie générale. Encore plus que jamais, l'avantage concurrentiel de l'hydroélectricité - son faible coût et sa propreté - sera dilapidé par notre tarification basée sur les coûts de production, qui ne tient pas compte de la valeur relative (et bien plus grande) de l'une de nos plus grandes ressources renouvelables. Une simple réforme de la tarification - sans privatisation, et avec prise en compte des besoins des ménages à faible revenu - pourrait générer d'importants gains d'efficacité énergétique, tout en faisant d'Hydro-Québec une société d'État encore plus rentable. Tous les Québécois y gagneraient et, pour une rare fois, le développement durable serait autre chose qu'un discours creux, déconnecté de la réalité des choix concrets.
  20. La croissance des importations a dépassé celle des exportations en juillet au Canada. L'excédent commercial du Canada a donc diminué à 4,9 milliards de dollars. Pour en lire plus...
  21. L'entreprise a rompu le dernier lien qui le liait au transporteur canadien. Elle a donc adopté le nom Aveos et un nouveau logo. Pour en lire plus...
  22. Le géant des télécoms enregistre donc des profits de 361 M$ ou 45 cents par action au deuxième trimestre, avec des revenus en hausse de 1,7%. Pour en lire plus...
  23. Montréal lorgne la série Sprint Pierre-Marc Durivage - La Presse 30 juillet 2008 | 07 h 12 Le vice-président opérations de Stock-Car Montréal, François Dumontier, souhaite attirer les bolides de la série Sprint dans la métropole. François Dumontier ne s'en cache pas: il souhaite attirer la série Sprint à Montréal. «On veut être les premiers à organiser une course de série Sprint en dehors des États-Unis, a affirmé hier à La Presse le vice-président opérations de Stock-Car Montréal. L'épreuve Nationwide revient au programme en 2009, mais on ne sait pas ce que nous réservent 2010 et 2011.» Mais avant d'arriver à inscrire une date montréalaise au programme de la série reine du stock-car, Dumontier serait sur le point d'obtenir l'assurance que son épreuve n'entrerait plus en conflit avec une course de série Sprint, comme c'est le cas encore une fois cette année avec la course de Pocono. Cela laisse donc présager que la course montréalaise changerait de date en 2009 et pourrait, par le fait même, être plus attirante pour les gros noms du NASCAR, qui n'auraient plus à faire la navette entre le Québec et la Pennsylvanie. Pour Dumontier, ce scénario se veut une première étape vers l'obtention d'une course de série Sprint. Mais cela pourrait toutefois être plus complexe que prévu, de l'aveu même du copromoteur de l'épreuve montréalaise, la société International Speedway Corporation. «Montréal a un riche héritage en course automobile, mais le problème avec la venue d'une course de série Sprint est que la saison est déjà très longue, a expliqué Lenny Santiago, directeur du marketing de ISC. C'est donc très difficile de réarranger le calendrier.» D'autant plus que faire une place pour Montréal voudrait dire retirer celle d'une autre épreuve déjà sous la houlette de ISC. «On a déjà choisi d'éliminer certaines courses se déroulant dans des marchés saturés au profit d'événements au meilleur potentiel, a soutenu Santiago. NASCAR est donc ouverte à ce genre de changement. Elle permet aux promoteurs de jongler avec les événements qu'ils organisent déjà.» Savoir-faire montréalais Le hic, c'est que ISC convoite aussi les marchés de Denver, Seattle et New York, où elle envisage construire de nouveaux circuits. Il est donc clair que Montréal devra jouer du coude pour trouver sa place dans le calendrier de la série Sprint. Dumontier compte sur le savoir-faire montréalais pour obtenir sa place au soleil. «Avec la série Nationwide, on a déjà prouvé ce qu'on peut faire auprès de NASCAR, a-t-il plaidé. Notre relation avec NASCAR est déjà très différente cette année. L'an passé, ils étaient inquiets en raison de problèmes douaniers et linguistiques expérimentés au Mexique - qui a d'ailleurs perdu sa course pour 2009. Cette année, tout va comme sur des roulettes.» Ambiance confirmée par le directeur de la série Nationwide, Joe Balash, lors du passage de La Presse au New Hampshire, le mois dernier. «On se sent très à l'aises avec le promoteur de la course montréalaise, nos relations de travail sont excellentes, a-t-il affirmé. L'endroit a quelque chose d'unique qui fait que c'est différent de partout ailleurs.» Ce qui ne veut toutefois pas dire que ce soit suffisant pour que Montréal fasse le saut en série Sprint. «Je ne crois pas que NASCAR ait sérieusement considéré un tel changement, a ajouté Lenny Santiago. Leur priorité est de faire de l'épreuve Nationwide un succès, ce qui est déjà le cas car elle attire autant d'amateurs que certaines courses de série Sprint. «On est jusqu'à maintenant très satisfaits avec la course Nationwide et la série affiche une belle croissance, a enchaîné le directeur du marketing de ISC. Je ne peux pas dire ce que l'avenir nous réserve, car le sport a beaucoup changé au cours des dernières années, mais à l'heure actuelle, il est assez prudent de dire que les voitures de série Sprint ne viendront pas à Montréal à court terme.» Mais d'ici là, François Dumontier ne veut surtout que le public considère la course de Nationwide comme un pis-aller. «Je ne vois pas le Nationwide comme une sous-catégorie, a-t-il affirmé. C'est la plus grosse série de stock-car à rouler au Canada et plusieurs bons pilotes sont parmi nous. C'est comme si Sidney Crosby venait jouer le vendredi soir dans une autre ligue. Ça reste que c'est Sidney Crosby. Cela dit, c'est sûr que j'aimerais voir Jeff Gordon et Tony Stewart à Montréal. Bref, on va continuer avec la série Nationwide, mais on veut toujours atteindre le plus haut échelon.»
  24. L'Union des producteurs agricoles fait valoir qu'un échec permet le maintien du statu quo et, donc, du système de gestion de l'offre. Pour en lire plus...
  25. C'est donc dire que l'action de la société va quitter la Bourse de croissance et intégrer le TSX, l'indice vedette de la Bay Street. Pour en lire plus...
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