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  1. Le retour du tramway à Montréal est une idée qui tient à coeur au chef du parti Projet Montréal. Richard Bergeron a dévoilé hier les grandes lignes de son projet de tramway. Selon lui, le tramway pourrait redorer l'image de la métropole tout en lui donnant un atout écologique. Dans un premier temps, le tramway couvrirait 25 kilomètres et serait implanté dans le centre-ville, au coût d'un milliard de dollars. M. Bergeron assure que cette somme est justifiée et comparable au coût du métro, construit dans les années 1960. Au total, le réseau couvrirait 250 kilomètres et coûterait après 20 ans, 10 milliards de dollars. Richard Bergeron a tenu à présenter son projet avant le dépôt du plan de transport par le maire Gérald Tremblay.
  2. Pavillon John-Molson Architectes: KPMB Architects – FSA Architectes Fin de la construction:2008 Utilisation: Nouveau pavillon de l'université Concordia Emplacement: Quartier Concordia (Centre-ville), Montréal 76 mètres (253 pieds) - 17 étages Lien: http://www.johnmolson.concordia.ca/building/index.html Description: - Le projet coûtera 60 millions de dollars.
  3. http://www.montrealgazette.com/business/independent+Quebec+might+benefit+from+currency+report/9637904/story.html An independent Quebec might benefit from its own currency: report Parti Québécois leader Pauline Marois said an independent Quebec would accept the loonie, along with Canadian monetary policy, and consider asking for a seat at the Bank of Canada. Photograph by: Jonathan Hayward , THE CANADIAN PRESS An independent Quebec might be better off with its own currency rather than following Parti Québécois leader Pauline Marois’s suggestion that it keep the Canadian dollar, a report says. A Quebec currency and separate monetary policy could bring “potential benefits” in the long term to Quebec, Paul Ashworth and David Madani of Capital Economics said in a research report. “The basic problem Quebec faces is that it is a manufacturing-orientated province tied to the resource-rich provinces in the west. The energy boom has boosted the economic performance of those western provinces, saddling Quebec’s manufacturers with a high exchange rate and higher than needed interest rates.” A Quebec currency would presumably depreciate against the Canadian and U.S. dollars, particularly if interest rates were lower than the rest of Canada. The resulting boost to Quebec competitiveness should trigger a rise in exports and a reduction in imports, the report said. But a referendum on separation would have negative consequences — including on investments in Quebec and higher yields on Quebec provincial debt — while a new Quebec currency would bring additional challenges, the economists noted. “If the Quebec currency depreciated in value against the Canadian dollar, then it would make it harder for the new government to repay any debt still denominated in Canadian dollars. The same goes for Quebec households and businesses that had borrowed Canadian dollars.” Separation would bring the loss of equalization payments — $9.3 billion this year, equivalent to about 2.5 per cent of Quebec GDP — while contending with higher debt servicing costs. “The bigger problem is the legacy of provincial debt, equivalent to 49 per cent of Quebec GDP. Assuming that an independent Quebec assumed responsibility for a per capita share of federal debt, too, we estimate that its overall debt burden would rise to 89 per cent of GDP. Under those circumstances, Quebec might find its borrowing costs rising, which would only add to the budget deficit and, in conjunction with the loss of equalization payments, force the new government into a sizable fiscal consolidation. “The risk of default would also be greater if an independent Quebec allowed the Bank of Canada to control monetary policy, since it couldn’t resort to printing more currency.” On the campaign trail last week, Marois said an independent Quebec would accept the loonie, along with Canadian monetary policy, and consider asking for a seat at the Bank of Canada. Her comments sparked discussion over the economic costs of sovereignty even though polls show support for independence running well below 50 per cent. Capital Economics, known for its bearish views of the Canadian housing market, weighed in on Wednesday. “Politicians who are striving for independence, whether it is in Scotland or Quebec, know that talk of adopting a new currency makes the electorate very nervous, so they have a tendency to argue that the new sovereign state would be able to keep its existing monetary arrangements,” the economists wrote. In any event, Quebec should be looking to adopt a looser monetary policy than the rest of Canada, the report’s authors said. “The evidence is overwhelming that interest rates should be set lower in Quebec, to provide more support to the depressed economy.”
  4. via Radio-Canada Près de 200 arbres touchés par l'agrile du frêne à Montréal Mise à jour le samedi 1 mars 2014 à 3 h 10 HNE L'agrile du frêne poursuit sa progression à Montréal. Le dernier bilan de la Ville fait état de 197 arbres infestés par l'insecte ravageur dans la métropole, dont 58 dans l'arrondissement de Merchier-Hochelaga-Maisonneuve. Rosemont-La-Petite-Patrie, Ahuntsic-Cartierville, Notre-Dame-de-Grâce-Côte-des-Neiges et Saint-Laurent sont aussi touchées par l'agrile du frêne. Les maires d'arrondissements et des villes situées sur l'île de Montréal doivent se rencontrer le 10 mars prochain afin de coordonner les efforts de lutte contre l'insecte et discuter de plans d'intervention sur les terrains privés. Comme ailleurs en Amérique du Nord, Montréal doit s'attaquer à l'agrile du frêne, qui menace une partie importante de la canopée montréalaise depuis son apparition en 2011. À Rosemont-La-Petite-Patrie, l'arrondissement procède à l'abattage de 300 frênes infestés ou menacés de l'être qui se retrouvent sur des terrains publics. L'opération devrait être terminée d'ici la mi-mars, selon le maire d'arrondissement, François Croteau. Le parti dont fait partie M. Croteau, Projet Montréal, réclame un fonds d'urgence de 10 millions de dollars de la part de l'administration municipale afin de lutter plus efficacement contre l'agrile du frêne. L'été dernier, Montréal avait investi un million de dollars pour combattre l'insecte. Avec les informations de Benoît Chapdelaine
  5. Très bonne nouvelle! Rendement de 13,1 % pour la Caisse de dépôt La forte progression des marchés boursiers américains et la vigueur du secteur immobilier aux États-Unis ont permis à la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CDPQ) de générer un rendement moyen de 13,1 % en 2013, une preuve que la stratégie d'investissement de la Caisse « porte fruit », selon le président et chef de la direction, Michel Sabia. Il s'agit d'un rendement supérieur à celui de 9,6 % enregistré en 2012. L'actif net des déposants a atteint 200,1 milliards de dollars au 31 décembre 2013, une hausse de près de 25 millions de dollars en un an. Le rendement annualisé sur quatre ans atteint 10 %. « Dans un environnement économique marqué par d'importants ajustements dans les marchés émergents, une longue période de récession en Europe et des États-Unis en rémission, nous avons gardé le cap sur notre stratégie et continué d'investir dans des actifs de qualité ancrés dans l'économie réelle » — Michel Sabia, président et chef de la direction de la CDPQ M. Sabia a également donné un aperçu de sa stratégie pour les prochains mois. « Nous entrons maintenant dans une période de normalisation qui nous entraînra en terrain inconnu et créera beaucoup d'incertitude. Dans ce contexte, nous allons continuer d'être sélectifs et de miser sur la gestion en absolu et une connaissance en profondeur des entreprises et des marchés dans lesquels nous investissons pour générer des rendements stables, aussi loin que possible des humeurs de marché. » La Caisse souligne qu'elle a poursuivi le déploiement de sa nouvelle stratégie d'investissement en 2013, qui a été guidée par quelques grandes orientations : Augmenter les investissements au Québec (les actifs de la Caisse au Québec ont atteint 53,8 milliards de dollars au 31 décembre 2013) Miser sur la gestion en absolu Investir dans des actifs moins liquides, en infrastructure et en immobilier Renforcer son expertise au sujet des pays émergents http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2014/02/26/004-resultats-caisse-depot-2013.shtml
  6. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/02/21/008-complexe-culturel-longueuil-investissement-quebec.shtml Québec promet 20 M$ pour le nouveau complexe culturel de Longueuil Mise à jour le vendredi 21 février 2014 à 16 h 56 HNE Maquette du projet Photo : Ville de Longueuil Le gouvernement du Québec s'est engagé vendredi à investir 20 millions de dollars pour la construction d'un nouveau complexe culturel à Longueuil. Le bâtiment, qui abritera notamment le Théâtre de la Ville et l'Orchestre symphonique de Longueuil, sera érigé à la Place Charles-Le Moyne, près de l'Université de Sherbrooke. Photo : Radio-Canada Il comprendra une salle de 1200 places, une autre de 500 et une dernière en formule cabaret de 350 places. On y retrouvera également des bureaux administratifs, deux salles d'exposition et des studios. L'ouverture est prévue à la fin de l'année 2017. La valeur totale du projet est estimée à 53 millions de dollars. La Ville s'était déjà engagée à fournir 20 millions de dollars et à réserver le terrain où sera construit le futur complexe. Le milieu régional doit contribuer à hauteur de 10 millions de dollars grâce à une campagne de financement. Le ministère du Patrimoine canadien sera sollicité pour 3 millions.
  7. Québec veut faire du parc des Îles-de-Boucherville un tremplin pour le plein air Mise à jour le vendredi 24 janvier 2014 à 20 h 18 HNE Un texte de Marie-Laure Josselin Le gouvernement du Québec a annoncé vendredi un investissement de 8,2 millions de dollars sur trois ans dans le parc national des Îles-de-Boucherville, géré par la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq). Québec souhaite rendre plus accessible le parc aux citadins afin qu'ils sortent plus de Montréal et fassent l'initiation du plein air, a expliqué Marie Malavoy la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, et ministre responsable de la région de la Montérégie. Québec entend instaurer un transport maritime partant du coeur de Montréal, où un stationnement incitatif serait mis en place. Les navettes actuelles qui mènent au parc seront quant à elles maintenues. En 2011, le gouvernement avait déjà annoncé la construction d'un centre de découverte et l'arrivée du camping dans le parc. Cette fois-ci, ce sont une dizaine de nouvelles haltes découvertes qui vont être aménagées et qui s'ajouteront aux cinq déjà présentes. De plus, le bac à câble reliant l'île Sainte-Marguerite à l'île Pinard sera remplacé par un pont pour piétons et cyclistes. Autre nouveauté : le développement d'une offre originale d'hébergement. Il est en effet prévu d'installer des tentes de type prêt-à-camper, comme les Huttopia, et des EXP, des hébergements d'une pièce, avec beaucoup de fenêtres et entièrement équipés. Le concept de ces logements de la Sépaq est de les personnaliser selon les parcs dans lesquels ils sont implantés. Pour Martin Soucy, vice-président Exploitation à la Sépaq et responsable de Parcs Québec, cette expérience à proximité de Montréal servira de vitrine et permettra d'attirer les clients vers les autres parcs au Québec. La fréquentation du parc national des Îles-de-Boucherville a bondi de 133 % en une douzaine d'années. Chaque année, il attire quelque 320 000 visiteurs. Les retombées économiques sont de 28 millions de dollars. Au total, Québec entend investir 54 millions de dollars dans les parcs de la Sépaq d'ici 2016, ce qui devrait se traduire par l'embauche de 384 personnes et 10 millions de dollars en revenus fiscaux et parafiscaux. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/01/24/002-quebec-investissement-8-millions-parc-iles-de-boucherville.shtml
  8. CAD Industries Ferroviaires créera plus de 270 emplois Publié le 12 décembre 2013 à 13h06 CAD Industries Ferroviaires, de Montréal, annonce un investissement de 13 millions de dollars dans la modernisation et l'agrandissement de ses installations dans l'arrondissement de Lachine, ce qui lui permettra de pratiquement doubler sa main-d'oeuvre. L'investissement repose toutefois grandement sur le soutien financier des pouvoirs publics. La première ministre Pauline Marois était d'ailleurs de passage lors de l'annonce, jeudi matin, pour préciser que son gouvernement fournira un prêt de 5 millions de dollars et une subvention de 1,5 million. De plus, Emploi Québec ajoutera une contribution de près de 1 million pour la formation de la nouvelle main-d'oeuvre, pour un total de 7,5 millions de soutien public. Par ailleurs, la Caisse de dépôt et placement du Québec, qui avait déjà investi 7 millions en 2011 relativement au rachat de l'entreprise par sa direction, allonge un autre 4 millions sous forme de capital-actions dans l'entreprise. CAD Industries Ferroviaires, qui est déjà le plus grand atelier manufacturier de réparation et de réfection de véhicules ferroviaires au Canada, verra à terme le nombre de ses employés passer de 300 à près de 600. http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201312/12/01-4720340-cad-industries-ferroviaires-creera-plus-de-270-emplois.php
  9. L'une des institutions financières les plus puissantes d'Asie, la Banque de Chine, ouvre une succursale d'affaires à Montréal. Son premier objectif: s'introduire comme intermédiaire financier de premier plan dans le marché croissant des affaires, du commerce et des investissements entre des entreprises d'ici et de Chine. Quant au marché des particuliers, dont l'importante communauté d'origine chinoise dans la région de Montréal, le directeur de la nouvelle succursale de la Banque de Chine prévoit attendre «d'ici deux ans» avant de chercher à s'y implanter. «L'un des objectifs globaux de la Banque de Chine est de faciliter l'usage international de la monnaie chinoise [yuan] comme une devise des échanges commerciaux et financiers dans le monde, a indiqué Guillaume Liu, directeur de la nouvelle succursale de Montréal. «Pendant ce temps, il y a de plus en plus d'activités d'affaires qui se font entre des entreprises québécoises et chinoises. Il y a aussi davantage d'entreprises québécoises qui s'implantent en Chine. L'inverse s'accroît aussi, dans les secteurs des ressources et des technologies.» Résidant du Québec depuis une dizaine d'années, M. Liu est diplômé en gestion financière de projets internationaux de l'UQAM et a été consultant à la firme d'analyse Secor. Auparavant, M. Liu dit avoir été conseiller en gestion de projets internationaux auprès d'organismes comme la Banque mondiale. Pour la Banque de Chine, cette nouvelle succursale de Montréal est en fait sa 10e place d'affaires au Canada. Son ouverture survient aussi au 20e anniversaire de sa présence au Canada, depuis son premier bureau ouvert à Toronto en 1993. Avant Montréal, la Banque de Chine avait ouvert des succursales à Vancouver et Calgary. Selon Lijun Wang, chef de la direction de la Banque de Chine au Canada, «le choix du Grand Montréal, un centre financier de calibre mondial, fait partie intégrante d'une stratégie de développement qui nous positionne auprès d'un nouveau marché dynamique, et ce, au sein d'une économie stable et diversifiée». À son 20e anniversaire, la filiale canadienne de la Banque de Chine regroupe quelque 200 employés et cumule environ 1,5 milliard de dollars d'actif. À première vue, ces chiffres semblent minuscules par rapport à la taille mondiale de la Banque de Chine avec un actif équivalant à 2454 milliards de dollars et des revenus annualisés de l'ordre des 74 milliards. De très bon augure Mais pour le milieu d'affaires du Grand Montréal, l'implantation d'une succursale de la Banque de Chine est considérée comme de très bon augure. «Cette arrivée constitue une excellente nouvelle pour l'essor économique de la région puisqu'elle favorisera l'attraction de nouveaux investissements chinois et permettra aux entreprises québécoises d'accéder plus facilement au marché de la Chine», a déclaré Élie Farah, vice-président chez Montréal International. «La Chine est l'une des plus importantes sources d'investissements directs étrangers au Canada; il est donc primordial de soutenir l'accroissement des échanges et des investissements entre nos deux pays.» > Siège social: Pékin, Chine > Actif: 13 256 milliards de yuans (2454 milliards de dollars canadiens) > Revenus d'exploitation annualisés: 397 milliards yuans (74 milliards de dollars canadiens) > Bénéfice net annualisé: 145 milliards yuans (26 milliards de dollars canadiens) > Valeur boursière (Hong Kong): 993 milliards HKD (127 milliards de dollars canadiens) AU CANADA: > Siège administratif: Toronto > Effectif: 200 employés dans 10 succursales/bureaux > Actif: environ 1,5 milliard de dollars canadiens Sources: Bloomberg, Banque de Chine http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201310/09/01-4697960-la-banque-de-chine-sinstalle-a-montreal.php
  10. http://www.bbc.com/travel/feature/20131002-business-trip-montreal As one of Canada's largest cities, Montreal stands out from the pack for its combination of big city ambiance and small-town neighbourhoods, European flair and North American attitude. The confluence of culture and economy has also transformed the city – the second largest French-speaking city in the world – into a business hub for numerous industries, including aviation, banking and insurance. Operating a strong North American and transatlantic hub from Montreal-Trudeau International Airport, Air Canada has been a key driver behind the 1.4 million business travellers that arrived in Montreal in 2012. The airport (a 20km taxi ride from downtown clocks in at a flat 40 Canadian dollars) recently completed the first phase of its C$261 million expansion project named Gate 62, and the second stage will begin construction in 2014, adding six new wide body gates, including two equipped for the Airbus A-380 jumbo jet. ...
  11. La SCHL limite les garanties sur les titres hypothécaires Publié le 06 août 2013 à 13h31 | Mis à jour le 06 août 2013 à 14h04 La Presse Canadienne OTTAWA Les Canadiens pourraient bientôt devoir payer davantage pour de nouveaux prêts immobiliers, alors que la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) a commencé à limiter les garanties offertes aux banques et autres organisations de prêts sur les titres hypothécaires. La SCHL a averti les banques, sociétés de crédit et autres prêteurs hypothécaires qu'ils seront tous restreints à un maximum de 350 millions de dollars en nouvelles garanties ce mois-ci en vertu de son Programme des titres hypothécaires LNH conforme aux dispositions de la Loi nationale sur l'habitation. Des analystes estiment que le plafond rendra l'obtention par les banques de fonds pour prêter à leurs clients plus ardue et plus dispendieuse, ce qui se traduira probablement par un bond des taux hypothécaires. La société de la Couronne a obtenu la latitude pour garantir jusqu'à 85 milliards de dollars cette année en vertu du programme - et environ 66 milliards avaient été engagés à la fin juillet, s'approchant du total de 76 milliards de dollars pour l'ensemble de 2012. La SCHL a fait état de cette augmentation «inattendue» des volumes, et des mesures prises, dans une note aux prêteurs, le 1er août. La conversion de prêts en titres soutenus par la SCHL est un moyen pour les prêteurs d'obtenir des fonds d'un large éventail d'investisseurs et pour les banques d'émettre plus de prêts à de moindres coûts. Mais le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, a déjà exprimé des craintes d'une surchauffe du secteur immobilier qui pourrait contaminer l'économie, et il a pris plusieurs mesures ces dernières années pour contenir le flux de crédits hypothécaires. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201308/06/01-4677490-la-schl-limite-les-garanties-sur-les-titres-hypothecaires.php ----------------- Une immense nouvelle que personne ici n'as rapporté... un excellent "move" pour gérer le risque relié à un éventuel crash immobilier.
  12. Publié le 01 août 2013 à 16h02 | Mis à jour le 01 août 2013 à 16h07 La Banque Nationale du Canada (T.NA) et la Banque TD (T.TD) ont conclu un accord, par l'entremise de filiales, prévoyant l'acquisition par la Banque Nationale des services institutionnels de TD connus sous le nom de Services institutionnels TD Waterhouse. À l'instar du Réseau des correspondants de la Banque Nationale, Services institutionnels TD Waterhouse offre des solutions de post-marché, comprenant la garde de valeurs, la négociation, la compensation, le règlement et la tenue de dossiers, pour des gestionnaires de portefeuille inscrits et des courtiers remisiers indépendants canadiens. La Banque Nationale indique un prix d'achat à 250 millions de dollars, «sous réserve d'un mécanisme de rajustement du prix fondé sur la conservation des actifs». Elle ajoute que la transaction devrait augmenter le résultat par action récurrent de la Banque Nationale en 2014 et en 2015 de 12 cents et de 14 cents respectivement, dans la mesure où les retombées de l'acquisition se «concrétisent pleinement» dès l'exercice financier 2014. La Banque Nationale estime que la transaction réduira son ratio de fonds propres attribuables aux actions ordinaires (CET1) selon Bâle III d'environ 40 points de base. La transaction devrait avoir lieu plus tard cette année, sous réserve des autorisations réglementaires requises et autres conditions. Selon l'institution, son Réseau des correspondants sert actuellement plus de 140 gestionnaires de portefeuille et courtiers, agissant comme intermédiaires de marché indépendants, qui à leur tour servent ensemble plus de 350 000 comptes clients et gèrent des actifs de plus de 50 milliards de dollars. «Par cette acquisition, nous étendrons notre portée avec plus de 260 intermédiaires de marché additionnels, 130 000 comptes clients et environ 34 milliards d'actifs», a fait valoir par communiqué Luc Paiement, coprésident et co-chef de la direction, Financière Banque Nationale, et premier vice-président à la direction - Gestion de patrimoine. «Je suis convaincu que nos clients et nos employés continueront de se développer pleinement avec la Banque Nationale», a indiqué pour sa part Mushtak Najarali, premier vice-président, Services institutionnels TD Waterhouse. http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201308/01/01-4676201-la-banque-nationale-soffre-un-morceau-de-la-td.php
  13. Mon fournisseur de téléphone propose un forfait avec téléphone de type Android qui me semble intéressant mais la différence de prix entre le iPhone et le Motorola est de quelques dollars par mois. Je veux simplement savoir quel téléphone selon vous est le plus avantageux. Vos conseils m'aideront peut-être à prendre ma décision.
  14. A Dubaï, la police roule en Lamborghini Une voiture d'une valeur de 550.000 dollars va patrouiller dans les zones touristiques, pour montrer la prospérité de l'émirat. La Lamborghini Aventador de la police de Dubaï. (Uncredited/AP/SIPA) La police de Dubaï a lancé sur les routes une voiture de patrouille de marque Lamborghini, d'une valeur de 550.000 dollars, pour "renforcer l'image de luxe et de prospérité" de l'émirat-Etat.La voiture va patrouiller sur les zones touristiques de Burj Khalifa, la tour la plus haute du monde, ou Jumeira Beach Residence, a précisé la police de Dubaï dans un communiqué publié jeudi. Un signe de la santé retrouvée de Dubaï Le véhicule surpuissant du constructeur italien Aventador est peint aux couleurs blanc et vert et ne sera apparemment pas destiné à faire la chasse aux fous du volant. Son utilisation par la police est présentée comme un signe de la santé retrouvée de Dubaï qui avait connu fin 2008 une crise économique après la chute brutale de l'immobilier. Le parc de véhicules de la police de Dubaï est composé essentiellement de puissantes voitures de marque allemande et de 4X4 de marque japonaise. Récemment, la police de Dubaï a annoncé l'introduction de voitures de patrouille de marque Camaro, du constructeur américain Chevrolet, sur les grandes autoroutes ceinturant la ville où certains conducteurs fortunés se laissent aller à la griserie de la vitesse. http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20130412.OBS7736/la-police-de-dubai-roulera-en-lamborghini.html
  15. À l'étroit dans ses installations de Longueuil, le Groupe Jean Coutu (T.PJC.A) prépare un agrandissement ou un déménagement ailleurs sur la Rive-Sud de Montréal, un projet de 70 millions de dollars. La célèbre entreprise québécoise songeait à acquérir un terrain dans le parc industriel de Saint-Bruno-de-Montarville pour y déménager son siège social et son centre de distribution, mais l'administration municipale a refusé d'autoriser la transaction. La Ville voyait d'un mauvais oeil l'augmentation du trafic de camions qu'aurait entraîné la présence d'un gros entrepôt sur son territoire. Jean Coutu scrute donc les autres terrains disponibles sur la Rive-Sud. L'entreprise pourrait aussi décider d'agrandir ses installations actuelles de Longueuil, où elle est établie depuis 1976. Elle est déjà propriétaire des terrains nécessaires pour le faire. Pour l'instant, Jean Coutu ne privilégie aucune des deux options, a affirmé mardi la vice-présidente aux communications du groupe, Hélène Bisson, au cours d'un entretien téléphonique. Les critères de sélection les plus importants sont les coûts et la proximité des autoroutes. Le détaillant souhaite réaliser les travaux à «moyen terme», soit d'ici deux ou trois ans. Les installations actuelles suffisent encore à la tâche, mais plus pour longtemps, a indiqué Mme Bisson. La filiale de fabrication de médicaments génériques de Jean Coutu, Pro Doc, qui est établie à Laval, ne devrait pas déménager, a précisé la porte-parole. Le réseau Jean Coutu compte actuellement 405 pharmacies au Québec, en Ontario et au Nouveau-Brunswick. L'entreprise prévoit avoir ouvert 14 nouveaux établissements cette année. L'action de Jean Coutu a clôturé à 15,69 $ mardi, en hausse de 1,3 %, à la Bourse de Toronto. La valeur boursière de l'entreprise frise les 3,4 milliards de dollars. http://affaires.lapresse.ca/economie/sante/201302/19/01-4623324-jean-coutu-veut-agrandir-ou-demenager-son-siege-social.php
  16. De l'argent pour les espaces verts à Montréal Publié le 22 janvier 2013 à 16h04 Québec va accorder une subvention de 50 millions de dollars pour favoriser l'accès aux espaces verts et aux plans d'eau sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal. Les ministres Jean-François Lisée, responsable de Montréal, et Sylvain Gaudreau, des Affaires municipales, confirmeront la décision mercredi en présence du maire de Montréal, Michael Applebaum. Cette subvention avait été annoncée dans le budget de novembre déposé à l'Assemblée nationale par Nicolas Marceau. On prévoyait alors des sommes pour favoriser «les trames vertes et bleues» à Montréal. Une tranche de 10 millions de dollars était prévue pour Québec. Le gouvernement Marois aiguillera aussi des fonds pour réaliser des études sur les TOD, les points de développements associés aux transports, essentiellement l'aménagement des secteurs autour des bouches de métro et des gares d'autobus et de trains de banlieue. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201301/22/01-4613902-de-largent-pour-les-espaces-verts-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1
  17. walker

    L'HOMME de Calder

    La sculpture "L'Homme" d'Alexander Calder, sur le site d'EXPO 67, serait, d'apres la revue MONTREAL centre-ville (printemps 2008), " la plus importante oeuvre d'art de la collection municipale d'art de la ville de Montreal, mais aussi la plus grande oeuvre de valeur au Canada ". Sa valeur serait evaluee a 50 millions de dollars americains (Quoiqu'avec la valeur du dollar americain, on ne sait plus si c'est un " plus value" )
  18. 2012 est marquée par des acquisitions québécoises à l'étranger Mise à jour le mercredi 26 décembre 2012 à 12 h 30 HNE Deux poids, deux mesures? Les entreprises québécoises ont multiplié les acquisitions à l'étranger en 2012, mais quand le géant américain Lowe's a voulu mettre la main sur le quincaillier en difficulté Rona, la levée de boucliers a été immédiate. En 2012, le Québec inc. a connu une année exceptionnelle sur la scène internationale. La pharmaceutique Valeant, qui a déménagé son siège social à Montréal cette année, a effectué plusieurs acquisitions dont la valeur totale a dépassé les 3,5 milliards de dollars américains. CGI a acquis la firme britannique Logica pour 2,8 milliards de dollars avec l'aide de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Alimentation Couche-Tard a acheté le détaillant norvégien Statoil Fuel & Retail pour 2,7 milliards de dollars. Saputo a avalé l'entreprise texane Morningstar Foods pour 1,45 milliard de dollars américains. Et Cogeco s'est porté acquéreur du câblodistributeur américain Atlantic Broadband pour 1,36 milliard de dollars américains. Genivar et Stella-Jones ont aussi réalisé des acquisitions étrangères cette année, alors que la Banque Laurentienne et Fiera Capital, entre autres, ont effectué des transactions importantes au Canada. « Ça a été une année faste et c'est encourageant: les entreprises québécoises relèvent merveilleusement bien le défi de la mondialisation », se réjouit Michel Nadeau, directeur général de l'Institut sur la gouvernance. « On a rarement vu un contexte macroéconomique aussi favorable pour permettre à nos entreprises de faire des transactions qui vont les transformer », constate Luc Bachand, chef de BMO Marchés des capitaux au Québec, en évoquant les faibles taux d'intérêt, la force du dollar canadien et les liquidités abondantes dont disposent actuellement bon nombre de grandes sociétés canadiennes. Les dirigeants ambitieux n'hésitent pas à tirer parti de la faiblesse relative de l'économie en Europe et, dans une moindre mesure, aux États-Unis, pour mettre la main sur des entreprises prometteuses à bon prix. « L'année 2013 pourrait aussi être une grande année parce qu'on va continuer à voir, d'après moi, un bon climat pour faire des transactions », avance M. Bachand. Selon le Fonds de solidarité FTQ, 29 entreprises québécoises d'importance ont procédé à des acquisitions en 2012 alors qu'à peine 11 compagnies d'ici ont été vendues. Il faut seulement espérer que les achats récents des entreprises québécoises produiront les bénéfices espérés. Après tout, notent les experts, la plupart des acquisitions se soldent par des échecs. On n'a qu'à penser à l'aventure américaine de Jean Coutu et à l'incursion ratée de Cogeco au Portugal. Hormis l'acquisition de SFR par Couche-Tard, qui a soulevé des inquiétudes chez les syndiqués scandinaves, aucune des acquisitions étrangères menées par des entreprises québécoises n'a suscité de fort mouvement de contestation. En fait, la plupart des acquisitions d'entreprises ont lieu sans faire de vagues. On se rappelle de la vente de Provigo (acquise par Loblaws en 1998), de Vidéotron (acquise par Québecor en 2000) et d'Alcan (acquise par Rio Tinto en 2007), mais qui se souvient vraiment de la vente de Van Houtte (acquise par des Américains en 2007), de Sico (acquise par AkzoNobel en 2006) et de La Senza (acquise par Limited Brands en 2007)? M. Nadeau fait remarquer que dans certains cas, les acquisitions d'entreprises québécoises par des intérêts étrangers ont eu du bon. Il donne l'exemple de Van Houtte, dont le siège social montréalais a continué à prendre de l'expansion malgré le changement de contrôle. Un Rona L'express (archives) Ce n'est clairement pas ce succès que les politiciens québécois avaient en tête lorsqu'ils se sont empressés, dans une rare unanimité, de condamner l'offre d'achat de 1,76 milliard de dollars présentée par Lowe's pour Rona, cet été. Le ministre des Finances de l'époque, le libéral Raymond Bachand, est allé jusqu'à demander au bras financier du gouvernement, Investissement Québec (IQ), d'acheter des actions du détaillant dans le but de le protéger. Ce n'est qu'en lisant le prochain rapport annuel d'IQ qu'on saura si la société d'État a obéi à cette commande inusitée. De son côté, sans qu'on le lui demande, la Caisse de dépôt a senti le besoin d'allonger 34,4 millions de dollars pour faire passer sa participation dans Rona à près de 15 %. Il faut dire que le déclenchement d'une campagne électorale était imminent. Mais encore aujourd'hui, nombreux sont les observateurs du milieu des affaires à croire qu'il faut empêcher à tout prix la vente de Rona. « Le siège social de Rona (situé à Boucherville), c'est l'un des plus importants de la région de Montréal », relève Michel Magnan, professeur de comptabilité à l'Université Concordia. « Je ne pense pas qu'on réagisse très différemment des gens dans d'autres pays », ajoute-t-il, en rappelant l'hostilité manifestée par le détaillant américain Casey's lorsque Couche-Tard a voulu en faire l'acquisition, en 2010. Les spécialistes soulignent que la présence de sièges sociaux est importante pour assurer la vitalité économique d'une région métropolitaine. En plus de faire travailler des milliers de personnes, ces centres décisionnels confient de lucratifs mandats à plusieurs professionnels: avocats, comptables, ingénieurs, informaticiens, etc. Sans compter les achats faits aux fournisseurs locaux, un aspect particulièrement important dans le cas de Rona. Il reste qu'au Canada anglais, on a mal compris la réaction quasi-épidermique de l'élite québécoise, perçue comme du nationalisme économique mal placé. Le célèbre financier montréalais Stephen Jarislowsky a résumé son malaise en quelques mots: « je ne vois pas pourquoi un détaillant ne pourrait pas appartenir à des étrangers ». Dans le reste du Canada, pourtant, l'opposition a été vive quand MDA, Potash et Nexen ont été visées par des offres d'achat provenant de l'étranger. Le gouvernement fédéral a bloqué le rachat de MDA et de Potash, n'y voyant pas d'« avantage net » pour le Canada. Il a autorisé la vente de Nexen à une société d'État chinoise, mais en promettant de s'opposer à des transactions semblables à l'avenir. Une loi protectrice? Louis Hébert, professeur de management à HEC Montréal, prévient que les entreprises étrangères qui souhaitent réaliser des acquisitions au Canada devront désormais s'attendre à « recevoir beaucoup plus d'attention qu'auparavant de la part des autorités réglementaires ». « Si c'était à refaire, Rio Tinto ne pourrait pas acquérir Alcan, estime-t-il. On trouverait quelque chose pour bloquer cette vente-là. » Réagissant au feuilleton Rona, les principaux partis politiques québécois ont proposé des mesures pour rendre plus difficiles les prises de contrôle étrangères. Il importe toutefois de préciser que plusieurs grandes entreprises québécoises sont déjà protégées parce qu'elles sont contrôlées par des actionnaires détenant des actions multivotantes. Le Parti québécois et le Parti libéral ont notamment promis d'adopter une loi pour permettre aux conseils d'administration, lorsqu'ils étudient une offre d'achat hostile, de ne pas tenir compte seulement des intérêts des actionnaires, mais aussi de ceux des autres parties prenantes: clients, employés, fournisseurs et créanciers, entre autres. Des dizaines d'États américains possèdent déjà une loi semblable, mais aucune province canadienne. Clemens Mayr, avocat spécialisé en fusions et acquisitions chez McCarthy Tétrault, souligne qu'une loi permettrait d'énoncer plus clairement ce principe déjà entériné par deux arrêts de la Cour suprême du Canada. Il avertit toutefois que pour être efficace, cette voie devra aussi être empruntée par Ottawa et les autres provinces. Sinon, la valeur boursière des sociétés québécoises pourrait en pâtir. Me Mayr rappelle que comparativement aux États-Unis et aux pays européens, le Canada a mis en place « relativement peu de barrières » pour protéger ses entreprises des appétits étrangers. Le défi, c'est de trouver le juste équilibre. « Si on accepte le jeu que nos entreprises gagnantes vont acheter des firmes à l'étranger, il va aussi arriver que certaines des nôtres vont se faire acheter des fois, affirme Michel Nadeau. Il s'agit de défendre les quelques entreprises qui sont vraiment stratégiques. » Rona a réussi à s'en tirer jusqu'à maintenant. Mais si l'entreprise ne se remet pas rapidement sur les rails, les prédateurs referont surface. À cet égard, l'année 2013 pourrait être déterminante. « Forcément, quand tu réussis à te défendre, il faut performer après, dit Luc Bachand de BMO. Il faut mettre en oeuvre un plan d'affaires qui donne des résultats. Sinon, les actionnaires vont te dire: " tu as laissé passer une offre et tu n'es pas capable de créer de la valeur ''. » http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2012/12/26/002-2012-acquisitions-entreprises-quebecoises-etranger.shtml
  19. Read more: http://montreal.ctvnews.ca/disturbing-video-of-er-doctor-arrested-by-sq-while-working-1.1012910#ixzz2AT5149cw In all honest. Why is my tax dollars paying for these guys to "protect and serve". I want them fired or give me my money back. We the people of Quebec are the shareholders. The politicians and the people they hire, should be accountable to us and if we want someones head, we should get it.
  20. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/personnalites-la-presse/201207/30/01-4560554-dax-dasilva.php
  21. La deuxième plus importante firme de télécommunications du Canada, Telus (TSX:T), dépensera 840 millions de dollars au Québec au cours des trois prochaines années. Cet investissement appuiera notamment la poursuite du déploiement des infrastructures mobiles 4G LTE dans diverses régions, le prolongement des réseaux sans fil et filaire dans les communautés éloignées du Québec et la construction d'un centre de données Internet intelligent à Rimouski. Les investissements de Telus pendant cette période totaliseront 440 millions de dollars dans la région de Montréal. Ils permettront notamment d'étendre la portée des infrastructures mobiles 4G LTE à un plus vaste territoire de la région métropolitaine. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2012/06/04/004-investissement-telus-quebec.shtml
  22. Le Groupe CGI (T.GIB.A) annonce l'acquisition de Logica, un fournisseur de services en affaires et technologie dont le siège social est établi au Royaume-Uni. La firme montréalaise, qui oeuvre dans le domaine des technologies de l'information, offre d'acquérir toutes les actions ordinaires de Logica pour un prix d'achat total de 1,7 milliard de livres, ou près de 2,8 milliards de dollars CAN. > Sur le blogue des marchés: CGI bondit en Bourse CGI prendra également en charge la dette nette de Logica, évaluée à 322 millions de livres ou 515 millions CAN. L'acquisition devrait être complétée d'ici la fin de septembre 2012. L'entreprise combinée comptera près de 72 000 professionnels répartis dans 43 pays. Le président et de chef de la direction de CGI, Michael E. Roach, a fait valoir que cette consolidation mondiale était à la fois nécessaire et inévitable. Dans la foulée de cette acquisition, la Caisse de dépôt et placement du Québec a annoncé un investissement d'un milliard de dollars dans le Groupe CGI. Le président et chef de la direction de la Caisse, Michael Sabia, a soutenu que cet investissement correspondait en tous points à la stratégie visant à favoriser la croissance internationale des entreprises québécoises, tout en générant des rendements attrayants à long terme pour les déposants. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/31/01-4530268-cgi-achete-logica-pour-28-milliards.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS1
  23. Publié le 02 mai 2012 à 11h11 | Mis à jour le 02 mai 2012 à 11h11 Les micro-algues, une alternative qui prend forme Jean-Louis Santini Agence France-Presse Washington Les micro-algues, source de biocarburant pouvant se substituer au pétrole, devraient bientôt voir leur potentiel se libérer grâce à des investissements et des technologies innovantes d'extraction, jugent des experts aux États-Unis. Selon un rapport du ministère de l'Énergie, les micro-algues pourraient à terme remplacer jusqu'à 17% des importations pétrolières américaines. Ce ministère soutient plus de 30 projets visant à produire du biocarburant avec des micro-algues qui représentent au total 85 millions de dollars d'investissements, dont le plus récent a été annoncé en février par le président Barack Obama. «Nous avons réalisé une étude montrant que le carburant -essence ou gazole- tiré des micro-algues pourrait être produit pour seulement 2,28 dollars le gallon» (3,78 litres), affirme à l'AFP Riggs Eckelberry, PDG de la firme américaine Originoil, soit près de deux fois moins que le prix actuel à la pompe. Originoil est une des sociétés aux États-Unis avec Sapphire Energy, dans laquelle Bill Gates a investi, qui ont mis au point des technologies d'extraction rentables du carburant produit par ces micro-organismes marins. Les compagnies pétrolières Exxon et Shell parient également sur le potentiel prometteur des micro-algues via leur partenariat avec Synthetic Genomics et Cellana respectivement. «Aux États-Unis, les biocarburants tirés des algues seront d'abord produits pour les militaires et le transport aérien. Il faudra de ce fait probablement attendre le début de la prochaine décennie pour une distribution à grande échelle pour les automobilistes», explique le patron d'Originoil. «La Marine américaine seule prévoit de remplacer, dans les huit prochaines années, 50% de sa consommation de carburant avec des biocarburants qui ne sont pas en concurrence avec des cultures pour l'alimentation humaine. Il table sur les micro-algues», rappelle-t-il. Mais avant de pouvoir «mélanger ce biocarburant issu des micro-algues avec des hydrocarbures, il faut les standardiser», précise Riggs Eckelberry. À cette fin, sa firme a conclu un accord de recherche en décembre 2011 avec le ministère de l'Énergie. Comparativement aux autres sources de biocarburant, ces micro-organismes sont beaucoup plus productifs, avec un rendement virtuel à l'hectare allant jusqu'à 25 000 litres contre 6000 litres pour l'huile de palme, la plus productive actuellement en exploitation, selon des experts. Contrairement au maïs, la production de biocarburant par micro-algues «n'a aucun impact sur la production alimentaire ou la disponibilité d'eau fraîche», souligne Riggs Eckelberry. «Hautement productifs, ces micro-organismes unicellulaires se développent si vite qu'ils sont récoltés quotidiennement et se plaisent à se reproduire dans les eaux usées chargées en nitrate, ou salées de l'océan.» Les micro-algues recourent aussi à la photosynthèse et consomment beaucoup de dioxyde de carbone (CO2), principal gaz à effet de serre. Elles produisent de surcroît une grande variété de molécules riches en substances biochimiques qui ont de nombreuses applications dans la production alimentaire et la pharmacie. Originoil met déjà en application sa technologie d'extraction non-chimique du carburant des micro-algues dans un projet en Australie et en France avec la société Ennesys. Il s'agit de la construction de deux immeubles de bureaux dans le quartier de la Défense, près de Paris, capables de produire plus d'énergie qu'ils n'en consomment en utilisant leurs eaux usées chargées en CO2 et en nitrate pour cultiver des micro-algues qui produiront du biocarburant pouvant générer de l'électricité à un coût très faible.
  24. jesseps

    SAQ lawsuit

    CJAD This should be an interesting case to watch. We know that we are being screwed.
  25. SaveOnBrew 2011 NHL Stadium Beer Price Review SaveOnBrew.Com has released their 2011 beer price findings for all 30 NHL stadiums. Not surprisingly, prices edged upward from 2010 but the good news is the average increase is less than two percent. Of course, when prices start at five dollars for a 12 ounce serving, every little penny tacked on hurts. Five dollar beer can still be had while watching a Buffalo Sabres, Pittsburgh Penguins, St. Louis Blues, or Tampa Bay Lightning home game. The lowest price to grab a cup of suds was at a Sabres Game where $5.00 will get you a generous sixteen ounce cup. The most expensive brew belongs to CentreBell, home of the Montreal Canadians, winners of 24 Stanley Cups. A 16 ounce cup will set you back $9.94 – that’s 62 cents per ounce (adjusted to U.S. dollars). To put that in perspective, a six pack would put a hockey fan back almost 45 dollars. Two stadiums actually sell suds for less this year. United Center, home of the Chicago Blackhawks, went from a 16 ounce serving to a 20 ounce serving, but only raised the price for those four additional ounces by 25 cents. The Winnipeg Jets, recently relocated to the MTS Center, sell their for about 30 cents less this year. The good news is that you can always find great deals on beer outside the stadium by checking our beer price search engine - go ahead and give it a whirl now!
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