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  1. Ce projet est situé dans le quartier Mercier-Ouest au 5655 rue Pierre-de-Coubertin, Montréal. Photos : Construction Vergo
  2. https://www.onf.ca/film/helicopter_canada Il y a quelques belles vues de Montréal (29:10) Quelques captures:
  3. Le détaillant Costco veut agrandir son unique centre de distribution au Québec, a appris La Presse Affaires auprès de nombreuses sources de l'industrie immobilière. Le géant américain de la vente au détail recherche activement un terrain de 3 à 4 millions de pieds carrés sur la Rive-Sud, en banlieue de Montréal, une rareté dans le marché par les temps qui courent. L'investissement total est de l'ordre de 60 à 75 millions, selon nos sources. «Pas de commentaires», s'est contenté de répondre Ron Damiani, porte-parole de Costco Canada, à ce sujet. Le déménagement serait rendu nécessaire en raison de l'expansion prochaine de son réseau de magasins-entrepôts dans la province, ont dit à La Presse Affaires des gens au fait du projet qui ne veulent pas être identifiés. L'entreprise américaine aux revenus annuels de 105 milliards US compte sur un réseau de 19 magasins-entrepôts dans la province pour le moment. Costco a ouvert une nouvelle succursale à Drummondville en décembre 2012. Une ouverture est prévue à Saint-Romuald en 2014, bien que la société ne veuille rien confirmer. La population de Vaudreuil réclame à grands cris un Costco depuis longtemps. Actuellement situé à Saint-Bruno, en retrait du boulevard des Promenades, l'unique centre de distribution de la chaîne au Québec - de 380 000 pieds carrés sur un terrain d'un peu plus de 1 million de pieds carrés - ne suffira bientôt plus à la tâche. Cette ville de l'agglomération de Longueuil ne semble guère vouloir le conserver sur son territoire. Plus tôt cette année, elle a levé le nez sur un investissement de 190 millions du Groupe Jean Coutu parce que le projet incorporait un centre de distribution. Le directeur du développement urbain de la Ville, Jean Larose, avait confié à l'agence QMI en février 2013 que des centres de distribution comme celui de Costco ne sont pas la meilleure solution pour développer une ville en raison du trop grand nombre de camions qui rend la circulation difficile. «Les centres de distribution sont exclus comme usage autorisé dans les deux parcs industriels de la Ville», nous a par ailleurs écrit dans un courriel Suzanne Le Blanc, directrice des communications à la Ville. Costco cherche dans un rayon autour de Saint-Bruno pour mieux accommoder ses quelque 200 employés qui y travaillent. C'est le courtier Norman Laff, de Colliers, qui a obtenu le mandat. Le détaillant a regardé attentivement un terrain de 4 millions de pieds carrés à Châteauguay, près de l'autoroute 30, mais s'en est désintéressé quand il s'est rendu compte qu'un ruisseau actif coupait le lot en deux. Au moins deux personnes ont indiqué à La Presse Affaires que le détaillant regarde maintenant du côté de Varennes, là où Jean Coutu a décidé de construire son siège social. L'entreprise a acheté de la Ville un terrain de 3 millions de pieds carrés dans le Novoparc en mai dernier. On y trouve encore de grands terrains, comme celui au 3360, chemin de la Baronnie, lieu de l'ancienne usine de plastique Basell Canada, fermée en 2007. Selon un courtier, spécialisé dans le marché de la Rive-Sud, des terrains de 3 millions de pieds carrés prêts demain matin, il en reste probablement à Beauharnois, à l'extrémité ouest de l'autoroute 30, et peut-être à l'aéroport de Saint-Hubert. Mais notre expert craint que, dans ce dernier cas, le terrain s'avère peu propice à l'implantation d'un centre de distribution en raison des caractéristiques du sol. Il est en effet devenu difficile pour les centres de distribution de se loger dans la région de Montréal, surtout dans les portions sud et ouest du territoire, à proximité des marchés ontarien et américain. Le nouveau venu dans le marché du détail au Canada, Target, a construit le sien à Cornwall, après avoir tenté sans succès de l'implanter dans la région de Vaudreuil-Dorion qui n'avait pas de terrain d'envergure de disponible. Le modèle d'affaires de Costco Quatrième détaillant en importance au pays, Costco se démarque du reste de l'industrie à plus d'un titre. Elle oblige sa clientèle à payer de 55 à 110 $ par année pour avoir le privilège de magasiner chez elle. En retour, elle s'engage à prendre une marge maximale de 15 % sur les 3500 produits qu'elle propose à son 1,2 million de membres au Québec. De plus, l'entreprise est reconnue pour bien traiter ses employés. Une caissière gagne près de 55 000 $ par année après 5 ans, a soutenu la vice-présidente principale et directrice générale du marchandisage de Costco Canada, Andrée Brien, lors de sa comparution en commission parlementaire sur le prix unique des livres, le 17 septembre dernier. Le club-entrepôt connaît d'ailleurs l'un des taux de roulement les plus faibles du secteur de la vente au détail. Source: http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201312/06/01-4718488-costco-planifie-dinvestir-plus-de-60-millions.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS6
  4. Un nouveau marché public à Montréal Jean-Louis Fortin 11/01/2011 17h46 En plus de pouvoir fréquenter les marchés Atwater et Jean-Talon, les Montréalais seront en mesure d’acheter des aliments frais dans un nouveau marché public qui pourrait voir le jour à proximité des autoroutes 15 et 40, dans l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, a appris 24H. Le projet d’entre 3 et 4 millions $, encore à l’étape des approbations, pourrait obtenir le feu vert dans les prochaines semaines, selon nos informations, d’autant plus que les autorités politiques et administratives de l’arrondissement souhaitent qu’il voie le jour. C’est l’Association des jardiniers maraîchers du Québec (AJMQ) qui a présenté une demande en ce sens à la Ville. Une centaine producteurs membres de l’AJMQ, qui occupent un centre de distribution agroalimentaire pour les commerces et restaurants, situé à côté du Marché Central, pourront ainsi vendre leurs produits directement grand public. Achalandage élevé Sur le site, au moins un des immenses quais de chargement pour camions serait converti en un « grand marché public », explique André Plante, directeur général de l’AJMQ. Un endroit un peu à l’image du marché Jean-Talon, mais de moindre ampleur, illustre-t-il. Selon, lui, la proximité du Marché Central, un grand centre commercial, est susceptible d’attirer un nombre important de visiteurs. « On s’attend à ce que ça soit extrêmement achalandé. On pense que les gens voudront venir acheter des produits frais », prévoit André Plante. Ronald Cyr, directeur de l’arrondissement, précise que les fonctionnaires municipaux accompagnent actuellement l’AJMQ, mais que le permis de construction n’a pas encore été émis. « La construction d’un marché est certainement un point d’intérêt pour les marchands et les citoyens », assure-t-il toutefois. Sur place pour longtemps André Plante attend un feu vert de l’arrondissement « d’ici un mois ». L’AJMQ, décrit-il, devra d’abord transformer l’un des autres quais sur le site en un entrepôt fermé, pour y transférer une partie des activités de distribution. Dans une deuxième phase de construction, 10 000 pieds carrés de superficie à l’intérieur d’un bâtiment adjacent pourraient aussi accueillir des commerces à l’abri des caprices de Dame Nature. Ce projet d’expansion survient moins de six mois après que les maraîchers aient refusé de déménager du site de 800 000 pieds carrés qu’ils occupent actuellement pour le centre de distribution. La firme Bentall, le gestionnaire du Marché Central, leur avait proposé de se relocaliser dans l’Est de la Ville pour pouvoir compléter le développement du centre commercial, mais les maraîchers ont rejeté l’idée à 75%, de peut de perdre leur clientèle. jeanlouis.fortin@24-heures.ca http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/01/20110111-174642.html
  5. HBC sort le couperet à Lachine 12 novembre 2009 | 14h55 Mise à jour: 12 novembre 2009 | 18h17 Mathieu Lavallée et Olivier Bourque Argent Le détaillant HBC, maison mère des magasins La Baie et Zellers, décide de fermer boutique à Lachine. Argent a appris que l’entreprise va fermer son centre de distribution du Sud-Ouest de l’île de Montréal le 5 février prochain. L’entreprise élimine du même coup au moins 150 emplois de manutentionnaires et employés de bureau. Le syndicat a confirmé cette information à Argent en après-midi. Ce centre de Lachine est celui qui assure la distribution des articles vendus aux magasins La Baie, Zellers et Déco Découverte du Québec et des Maritimes. C’est maintenant de Toronto que seront acheminés les produits. Le syndicat va se rendre à Toronto d’ici peu de temps afin «de sauver les emplois du Québec». «Nous ne demandons pas d'indemnités à l'heure actuelle à la direction, mais bien de garder le centre de Lachine ouvert», a souligné Stéphane Lacroix, porte-parole de Teamster Canada. Selon lui, l'annonce de la direction aux employés a été une surprise totale. «Les employés sont sous le choc car il n'y a pas eu de signes avant-coureurs. Juste avant Noël, inutile de vous dire qu'il s'agit d'une très mauvaise nouvelle», déplore M. Lacroix. Le syndicat et la direction allaient même amorcer la négociation du contrat de travail des employés qui tombe à échéance en 2010. Le syndicat rappelle qu'à la même époque l'an dernier, HBC avait éliminé des postes de téléphonistes - environ une trentaine. HBC veut rationnaliser ses activités Dans une communication écrite, HBC souligne que cette décision «permet à la compagnie de consolider et de rationaliser ses activités». L'entreprise souligne qu'elle va aider à la transition des employés en vue d'explorer les diverses options possibles «notamment les indemnités de cessation d'emploi et l'aide à la recherche d'emploi». La Compagnie de la Baie d'Hudson affirme qu'elle continue toutefois d'exploiter un entrepôt/centre de distribution à Pointe-Claire. Avec la disparition du centre de Montréal, HBC a maintenant seulement deux grandes centres de distribution, un à Toronto et l'autre à Vancouver.
  6. Shell songe à quitter le Québec Publié le 08 juillet 2009 à 15h42 | Mis à jour à 15h44 Le géant pétrolier Royal Dutch Shell songe à fermer sa raffinerie de Montréal et à se départir de son réseau de stations-service au Québec et dans les Maritimes. Une révision stratégique de ces activités est en cours actuellement chez Shell, dont l'issue pourrait être la fermeture de la raffinerie, ont appris avec stupéfaction aujourd'hui les employés de la raffinerie de Montréal-Est. Parmi les options examinées figurent la vente de la raffinerie en tout ou en partie, sa transformation en terminal pétrolier ou la fermeture pure et simple. La raffinerie de Shell emploie 550 personnes à Montréal. L'entreprise possède deux autres raffineries, à Sarnia en Ontario et à Fort Saskatchewan Alberta. Shell songe aussi à de départir de son réseau de distribution d'essence au Québec et dans les Maritimes.
  7. On avait déjà discuté de cela il y a longtemps et il y avait de l'opposition et Cdn Tire menaçait d'aller construire en Ontario et puis plus rien... jusqu'à aujourd'hui où l'on a cette bonne nouvelle : ----------- 900 emplois créés Canadian Tire inaugure son nouveau centre de distribution 16 juin 2009 - 11h35 LA PRESSE CANADIENNE Une rare bonne nouvelle en ces temps de crise économique: Canadian Tire (CTC) et Systèmes de distribution Genco ont officiellement inauguré mardi un centre de distribution de 1,5 million de pieds carrés qui emploiera 600 personnes à temps plein et 300 autres à temps partiel, à Coteau-du-Lac, en Montérégie. Le premier ministre Jean Charest participait à l'annonce. Ce centre de distribution représente un investissement de 240 millions $ dont la construction a fourni du travail à 900 ouvriers. L'installation pourra traiter jusqu'à 55 millions de pieds cubes de marchandise par année et desservira les magasins Canadian Tire situés au Québec, en Ontario et dans les provinces de l'Atlantique. Le Québec à lui seul compte 94 magasins Canadian Tire employant plus de 10 000 personnes.
  8. La fusion des activités de distribution de produits financiers des deux banques d'affaires américaines pourrait être annoncée dès ce mardi. Pour en lire plus...
  9. Les groupes américains de distribution ont révélé jeudi l'étendue du désastre pour leurs ventes cruciales de la période des fêtes de fin d'année. Pour en lire plus...
  10. Le géant américain de la fabrication et de la distribution de produits chimiques supprime 5000 emplois et annonce la fermeture de 20 usines dans le monde. Pour en lire plus...
  11. Le président d'Hydro-Québec Distribution, André Boulanger, soutient que la province ne se dirige pas vers une «récession profonde». Pour en lire plus...
  12. La chaîne de distribution de produits de rénovation a annoncé un profit de 488 M$ en baisse de 24% alors que son bénéfice par action diluée a pointé à 33 cents en baisse de 23%. Pour en lire plus...
  13. Les groupes de distribution ont annoncé jeudi un effondrement de leurs ventes en octobre aux États-Unis, attestant que la crise frappe maintenant les Américains au portefeuille. Pour en lire plus...
  14. Le fabricant de produits de plastique a annoncé avoir obtenu de la ville de Kelowna, en Colombie-Britannique, ce contrat portant sur la fabrication et la distribution de 157 000 bacs roulants. Pour en lire plus...
  15. Des jus Lassonde partout au pays 15 septembre 2008 - 07h20 La Presse Réjean Bourdeau Lassonde est en pleine expansion au pays. Bientôt, ses ventes de jus et de boissons hors Québec seront plus importantes que celles réalisées dans la province. «Nous voulons continuer à conquérir le marché canadien, dit Jean Gattuso, président de A. Lassonde. Et il y a de belles occasions pour prendre une meilleure position.» Sa gamme Oasis est maintenant offerte dans les grandes chaînes en Ontario et dans l'Ouest canadien. «Depuis un an, on est en train d'en faire une marque nationale», précise le dirigeant. Sans compter que ses produits Rougemont, Allen's, Fairlee et Everfresh sont aussi très populaires au Canada. «On garde plusieurs marques parce qu'il y a un attachement des consommateurs, explique M. Gattuso. De cette façon, on répond aux goûts régionaux.» Par exemple, le jus de pomme Graves est très apprécié dans les provinces maritimes. Au fil des acquisitions, le réseau de distribution de Lassonde a pris de l'ampleur. Il lui a permis au fabricant de s'enraciner dans toutes les régions du pays. «Maintenant, nous pouvons y intégrer toute la famille de nos produits, souligne le gestionnaire. La réponse est très bonne.» Pour le moment, les revenus proviennent à 51% du Québec. Le reste du Canada et les États-Unis comptent respectivement pour plus de 45% et moins de 5%. «Il y a de grandes occasions de croissance dans le Canada, constate Jean Gattuso. Dans l'Ouest il y a beaucoup de familles et, en Ontario, la ville de Toronto accueille pas loin de 100 000 immigrants par année.» Les revenus En moyenne, les revenus de Lassonde ont augmenté d'environ 10% au cours des dernières années. «La croissance se fait autant de façon organique (nouveaux produits et distribution) que par acquisition», souligne le président. En plus de créer des produits innovateurs et distincts (mélange de fruits, vitamines, antioxydants, etc.) elle a fait de nombreux achats d'entreprises. Sa dernière acquisition, réalisée l'an dernier, est celle des jus et des boissons prêts à boire de McCain Foods. Elle lui a notamment permis d'ajouter des marques, comme Old South et Niagara, une usine de production à Calgary, en Alberta. «Pour l'instant, il n'y a pas d'achats en vue, affirme le dirigeant. Notre priorité est d'intégrer l'usine de Calgary et d'ajouter des capacités de production.» Cela dit, Lassonde est toujours à l'affût d'entreprises possédant de bonnes marques de commerce, ajoute-t-il. Défi croissance L'ENTREPRISE : A. Lassonde est la principale filiale d'Industries Lassonde. Spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de jus de fruits et de légumes au pays, elle emploie plus de 750 personnes. Ses principales marques sont Oasis, Rougemont, Fruité, Fairlee, Allen's et McCain (jus prêts à boire). DÉFIS : évoluer avec les goûts des consommateurs; garder son caractère entrepreneurial et conquérir le marché canadien. STRATÉGIES: offrir des produits innovateurs et distinctifs; faire grandir son réseau de distribution et faire des acquisitions.
  16. Selon la proposition faite récemment aux créanciers, seulement 860 000$ dollars sont disponibles pour distribution, tandis que le passif dépasse les 87 millions de dollars. Pour en lire plus...
  17. Grâce un bénéfice net en hausse à 1,6 M$, le Fonds de revenu Benvest New Look va augmenter le montant annualisé de sa distribution de 2,5 cents par part. Pour en lire plus...
  18. La direction d'Hydro-Québec Distribution a déposé une demande auprès de la Régie de l'énergie pour hausser une nouvelle fois ses tarifs à compter du printemps 2009. Pour en lire plus...
  19. Les emplois de qualité en progression 16 juillet 2008 - 12h49 LaPresseAffaires.com Agrandir Plusieurs secteurs sont en croissance de 6% dont l’industrie des mines et la distribution de produits agricoles. Travailleurs, réjouissez-vous. Le nombre d’employés à temps plein dans des secteurs bien rémunérés est en progression partout au pays. Enfin, c’est ce qu’indique Marchés mondiaux CIBC dans son rapport sur l’indice de qualité de l’emploi, qui remarque toutefois un «recul très marqué du nombre global de nouveaux emplois». Plusieurs secteurs sont en croissance de 6% dont l’industrie des mines, la distribution de produits agricoles, les services Internet et la fabrication de boissons, de produits du tabac, ainsi que de produits électroniques et d'impression. Cette progression permet de dresser une tendance générale à la hausse au chapitre des emplois et des revenus personnels. Toutefois, souligne Benjamin Tal, économiste principal chez Marchés mondiaux CIBC, on constate une dégradation des conditions ailleurs sur le marché du travail. Le nombre d'emplois dans les secteurs mal rémunérés comme ceux de la réparation et de l'entretien, du vêtement et des accessoires vestimentaires, a également augmenté, mais de moins de 1 % pendant la dernière année.
  20. Sont visés par ce recours de l'AMF, Vincent Lacroix, les cabinets en épargne collective Groupe Futur et Norbourg Capital et 13 de leurs représentants impliqués dans la distribution des fonds Norbourg. Pour en lire plus...
  21. Le fabricant de produits de plastique a obtenu un contrat de plus de 15 M$ avec la Ville de Calgary pour la fourniture et la distribution de bacs roulants. Pour en lire plus...
  22. jeudi 8 fév, 17 h 32 Hydro-Québec prend la pleine mesure du réchauffement climatique: la société d'État a vu ses besoins diminuer d'un térawattheure et demi, de quoi alimenter une ville comme Laval pendant un an. PUBLICITÉ Sa division Distribution a acheté trop d'électricité sur le marché et se retrouve cette année avec près de 5 milliards de kilowattheures de surplus. Hydro-Québec Distribution, qui aurait pu revendre à profit ces kilowattheures sur le marché, tente plutôt de s'entendre avec ses fournisseurs, TransCanada Energy et Hydro-Québec Production. Elle veut reporter d'un an les livraisons prévues à leurs contrats, sans payer de pénalités. TransCanada Energy a refusé de rouvrir son contrat, qui prévoit la livraison à Hydro de 4,1 milliards de kilowattheures par année à 10,5 ¢ le kilowattheure. Hydro-Québec Production a pour sa part accepté de régler le problème et de ne pas livrer à Hydro-Québec Distribution l'électricité prévue cette année, soit 5 milliards de kilowattheures à près de 5 ¢ le kilowattheure. Cette décision lui occasionnera un manque à gagner de 220 millions. De plus, elle a renoncé à encaisser les pénalités prévues au contrat en cas de désistement de l'acheteur, et se prive ainsi de 82 millions supplémentaires, pour un total de 302 millions. « Ce n'est pas de l'argent qui disparaît, l'eau reste dans les réservoirs, a justifié le grand patron d'Hydro-Québec, Thierry Vandal. C'est de l'électricité qui pourra être revendue cette année ou plus tard », a-t-il affirmé mercredi, au moment où les dirigeants d'Hydro-Québec Distribution comparaissaient devant la Régie de l'énergie, à qui ils demandent d'approuver d'urgence l'entente conclue avec la division Production. Le temps presse, les livraisons d'électricité devant commencer dans deux semaines. L'opposition critique la façon de faire L'an dernier déjà, Hydro-Québec prévoyait avoir trop d'électricité pour les besoins de 2007. Selon Hydro, la température anormalement douce du mois de janvier, la fermeture de Norsk Hydro et de plusieurs usines du secteur des pâtes et papiers, de même que la réduction des besoins d'Alcan, ont aggravé la situation et porté les surplus à 5 milliards de kilowattheures. Hydro-Québec Distribution aurait pu vendre ces surplus sur les marchés à profit et faire bénéficier ses clients d'une réduction de tarifs. Elle a refusé de prendre cette voie puisque son mandat n'est pas de revendre de l'énergie et qu'elle n'aurait pas pu en tirer un prix assez intéressant, ont affirmé ses représentants devant la Régie. Ces derniers estiment que les quantités à remettre sur le marché étaient telles que la vente de celles-ci aurait fait baisser le prix de vente. La porte-parole de l'opposition officielle en matière d'énergie, Rita Dionne-Marsolais, estime que ce genre d'entente mine la crédibilité d'Hydro-Québec sur les marchés financiers. « Le message que ça envoie, c'est qu'Hydro joue selon les règles du marché seulement quand ça fait son affaire », a-t-elle déploré.
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