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  1. Presse Canadienne 18 avril 2007 Les inquiétudes relatives à un recul du marché immobilier en raison d'un déclin démographique auraient été nettement exagérées. Un rapport de Marchés mondiaux CIBC (CM) prédit que le prix des maisons au Canada doublera au cours des 20 prochaines années. Dans ce rapport, on estime que le marché canadien de l'habitation enregistrera une offre supplémentaire de quelque 250 000 maisons. Cela représente 12 500 maisons offertes de plus par année pendant cette période. Pour Benjamin Tal, économiste pour les Marchés mondiaux CIBC, même si l'activité sur le marché de l'habitation fluctuera au cours des 20 prochaines années, le prix réel moyen des maisons reflétera le rendement des deux dernières décennies. Dans l'hypothèse d'un taux d'inflation annuel de 2%, il affirme que le prix des maisons au Canada devrait doubler d'ici 2026. Il précise que cette hausse ne sera pas symétrique, ajoutant que dans les grandes villes, l'évaluation des maisons augmentera encore davantage. Selon lui, les inquiétudes relatives à une baisse des prix attribuable à l'aménagement de plus petites maisons et à l'accroissement des liquidations de maisons par les personnes âgées, ainsi que le recul du nombre d'acheteurs d'une première maison, sont largement exagérées. Le rapport de la Banque CIBC compare la croissance de la population entre deux cycles de prix du logement, soit de 1987 à 2006 et de 2007 à 2026, en se fondant sur les perspectives de croissance et d'immigration moyennes de Statistique Canada. Entre 2007 et 2026, la baisse nette prévue de 167 000 acheteurs d'une première maison (Canadiens âgés de 25 à 44 ans) est marginale, sans plus, a déclaré Tal. Puisque ce groupe de consommateurs est celui qui contribue le plus à la demande globale en matière de logements, représentant près de 68% de toutes les ventes de maisons, ce ralentissement relativement modeste ne devrait pas avoir d'incidence appréciable sur la demande de logements. Le recul le plus important (2,5 millions) est prévu pour le groupe des personnes âgées de 45 à 54 ans, de nombreux membres de la génération du baby-boom passant au groupe d'âge suivant. L'incidence de ce changement devrait aussi être limitée, étant donné que le groupe des personnes âgées de 45 à 54 ans ne représente que 12% de la demande totale de logements. En fait, ce recul modéré sera contrebalancé en partie par la solide augmentation dans le groupe des consommateurs de 55 à 74 ans et par son activité intense sur le marché de l'habitation, en grande partie attribuable à des achats de propriétés de vacances et à des placements immobiliers.
  2. (30 mars 2007)Le fléchissement de l'économie canadienne observé l'an dernier devrait lentement s'inverser en 2007, ce qui conduira, selon la RBC, à une croissance annuelle de 2,5 %. Selon les plus récentes prévisions économiques de la RBC, publiées vendredi, les bonnes performances du marché du travail et les fortes liquidités dans les portefeuilles de placement devraient soutenir la consommation. Sans grande surprise, les provinces axées sur les ressources naturelles, notamment Terre-Neuve-et-Labrador (4 %) et l'Alberta (3,6 %), resteront en tête du classement de la croissance économique, alors que l'Île-du-Prince-Edouard et l'Ontario fermeront la marche avec respectivement une croissance de 1,9 % et 2 %. Au Québec, l'économie devrait bénéficier, toujours selon la RBC, des transferts fédéraux et d'une conjoncture positive pour l'aéronautique et les alumineries, permettant ainsi une croissance modérée de 2,1 % en 2007.
  3. Le déficit commercial s'est aggravé en 2006 au Québec, frôlant la somme de 10G $, du jamais vu. Il faut remonter à la récession économique de 1991 pour constater un déficit presque aussi grave; il était alors de 8,6G$. L'Institut de la statistique du Québec fait état d'exportations internationales de 70,5G$ sur une base douanière pour 2006, soit une mince amélioration de 0,5% par rapport à l'année précédente. Cependant, les importations ont bondi de 4,7% pour atteindre 80,4G$, rapporte la Presse Canadienne. Ce déficit s'est manifesté pendant que l'économie américaine a progressé de 3,3%. De plus, l'économie mondiale était en plein essor contrairement à 1991. Et voilà que l'économie américaine devrait ralentir en 2007, ce qui laisse craindre un déficit futur grandissant. Or, la semaine dernière, le budget du ministre québécois des Finances, Michel Audet, reposait sur des prévisions plus optimistes que ce qu'indiquent les prévisions du Mouvement Desjardins. Cependant, Statistique Canada apporte une note encourageante: la croissance des investissements privés au Québec devrait atteindre 6,8% comparativement à 2,1% pour la moyenne canadienne, en excluant le secteur du logement. Plus récemment, c'est depuis 2004 que le surplus commercial a cédé le pas au déficit au Québec.
  4. Le Conference Board prédit la plus forte croissance provinciale à Terre-Neuve 23 février 2007 | Presse Canadienne, OTTAWA (PC) - L'économie de Terre-Neuve-et-Labrador devrait connaître la meilleure performance au pays cette année, avec une croissance de 5 pour cent, estime le Conference Board du Canada. "Cette vigueur, Terre-Neuve-et-Labrador la doit à l'augmentation de la production minière, a expliqué vendredi dans un communiqué Marie-Christine Bernard, directrice associée aux prévisions provinciales. La mine de Voisey's Bay et le champ pétrolier en mer Terra Nova sont à présent opérationnels, et la production pétrolière de White Rose devrait croître." Toutefois, prévoit le Conference Board, l'essoufflement de la production pétrolière en 2008 portera un dur coup à la croissance économique. Terre-Neuve et l'Ouest canadien continueront de dépasser les autres provinces cette année, mais l'année prochaine, la vague de prospérité atteindra les provinces du centre du pays, a indiqué le Conference Board. Au Québec, une hausse du revenu net d'impôt est prévue en raison des augmentations salariales et des dispositions législatives sur l'équité salariale qui entrent en vigueur cette année, amenant de meilleures ventes au détail. Le groupe de recherche prévoit que la croissance du PIB réel québécois sera de 2,4 pour cent en 2007. Selon le Conference Board, l'économie de l'Ontario demeure parmi les plus faibles du pays cette année, avec une croissance du PIB réel d'à peine 1,9 pour cent. La province passe par une restructuration de l'industrie de l'automobile, et les ventes au détail y sont modestes en comparaison avec la moyenne nationale. Après une croissance de 6,3 pour cent l'an dernier, le produit intérieur brut réel de l'Alberta devrait augmenter d'un peu plus de 4 pour cent au cours de chacune des deux prochaines années, notamment en raison des prix élevés du pétrole, estime le groupe de recherche. A l'exception de l'Ile-du-Prince-Edouard, les perspectives pour les provinces de l'Atlantique sont plus encourageantes cette année. Au Nouveau-Brunswick, d'importants projets d'immobilisations entraîneront une croissance de 2,7 pour cent du PIB réel. En Nouvelle-Ecosse, le Conference Board s'attend à ce que la production minière affiche des gains supérieurs à 10 pour cent, ce qui se soldera par une croissance de 2,3 pour cent de l'économie globale de la province.
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