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  1. Une idée intéressante d'Énergir annoncée il y a quelques jours. Je n'ai pas vu de fil à ce sujet. Ça semble être une bonne idée. Évidement, si on consomme notre propre gaz plutôt que d'importer celui de l'Alberta, on nous aimera encore moins et on nous accusera de ne penser qu'à nous... Mais dans les faits, ça pourrait rapporter gros au Québec tout en nous permettant de revaloriser nos déchets et de diminuer nos importations en gaz naturel. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/energie-et-ressources/201902/06/01-5213711-gaz-naturel-renouvelable-une-solution-a-20-milliards.php
  2. http://journalmetro.com/actualites/montreal/1868454/montreal-se-dote-dun-droit-de-preemption-dans-neuf-secteurs/ 18/10/2018 Mise à jour : 18 octobre 2018 | 13:28 Montréal se dote d’un droit de préemption dans neuf secteurs Par Dominique Cambron-Goulet MétroLa Ville de Montréal a décidé de se doter d’un droit de préemption sur les terrains en vente dans neuf secteurs où du développement est anticipé. Nouveau pouvoir permis par la Loi sur le statut de métropole, Montréal identifiera des lots pour lesquels elle pourra égaler une offre d’achat et mettre la main en priorité sur des terrains. Les neuf secteurs où se situent ces lots sont Anjou-Langelier, Lachine-Est, Louvain Est, la partie nord de l’Île-des-Soeurs, Namur-De la Savane, Assomption Nord, Bellechasse, Havre-Bridge-Wellington et aux abords de la voie ferrée entre le Plateau et Rosemont. «C’est un outil de plus. Il existe déjà la négociation de gré à gré, l’avis de réserve foncière et l’avis d’expropriation. Mais le droit de préemption, contrairement à un avis de réserve ou d’expropriation, n’a aucun impact sur le propriétaire et ne le force à rien», a expliqué jeudi le responsable de l’urbanisme au sein du comité exécutif, Éric Alan Caldwell. La Ville avisera les propriétaires de son droit de préemption pour dix ans. Si le propriétaire du lot met son terrain en vente et qu’il accepte une offre d’achat, la Ville aura 60 jours pour égaler cette offre et ainsi acheter le terrain. La Ville souhaite acquérir des terrains dans ces secteurs pour y construire des bibliothèques, des parcs et des infrastructures sportives. «Quand on développe des quartiers, on est capable de savoir les besoins pour le secteur en équipements collectifs. Le droit de préemption permet une meilleure planification», a ajouté M. Caldwell. En gros, la Ville souhaite éviter un second Griffintown, quartier développé par les promoteurs immobiliers et dans lequel il manque plusieurs infrastructures publiques, notamment des écoles. Réagissant au fait que Griffintown, le centre-ville ou l’Est de Ville-Marie (où se situent notamment la brasserie Molson et Radio-Canada) ne sont pas dans la liste de lots identifiés, l’élu d’Hochelaga a indiqué que la Ville a «la capacité d’ajuster la liste des secteurs ou des lots à tout moment». «Cette liste sera en évolution à mesure qu’on fait notre planification», a-t-il dit. Les parcs-nature Alors que le règlement sur les neuf secteurs de développement devrait être voté au conseil municipal de novembre, un autre règlement sur des droits de préemption entrera en vigueur dès la semaine prochaine, cette fois pour les parcs-nature. Les lots privés de la douzaine des parcs-nature de l’île seront visés par cette mesure, dont ceux de l’Anse-à-l’Orme et du Bois-d’Anjou. Tandis que des promoteurs immobiliers souhaitent développer certains de ces terrains, l’administration municipale veut agrandir les parcs et en faire des aires protégées.
  3. Stéphane Champagne Collaboration spéciale La Presse Laval s'offre un centre-ville. L'administration municipale et le secteur privé multiplient les initiatives afin de*doter la troisième ville en importance du Québec d'un endroit digne de ce nom. Au cours des prochaines années, les investissements à cet égard y dépasseront le*milliard. Le quadrilatère, en forme de « L », qui accueillera ce qu'il sera convenu d'appeler « le centre-ville de Laval »*va du Carrefour Laval jusqu'au collège Montmorency, c'est-à-dire de part et d'autre de l'autoroute 15, à la jonction des*quartiers Chomedey et Pont-Viau. « Ce sera un prolongement du centre-ville de Montréal. On a d'ailleurs d'importants joueurs, déjà présents à*Montréal, qui ont choisi de venir s'établir dans notre*nouveau centre-ville », explique Marc Tremblay, directeur adjoint au Service du développement économique de Laval. Le nouveau territoire compte déjà notamment le Cosmodôme, le complexe récréo-touristico-commercial Centropolis, de même que la station de métro Montmorency et bientôt la Place Bell, un amphithéâtre de 200 millions dont l'ouverture est prévue ce printemps. S'y grefferont un nouveau complexe aquatique de 60*millions, un nouveau complexe immobilier à usage mixte de 420 millions, le nouveau BioCentre Armand-Frappier, de même que quelques projets résidentiels, dont*le plus important est Urbania, un îlot de copropriétés situé en face du métro Montmorency. DES TRANSPORTS EN COMMUN La station Montmorency joue d'ailleurs un rôle de*premier plan dans la volonté de Laval de créer un*centre-ville tout en mettant en place des pôles de*TOD (Transport Oriented Developement), un terme en aménagement urbain où les transports en commun et*le*covoiturage sont au coeur de la vie de quartier. Les deux sections du nouveau centre-ville lavallois devraient être reliées, d'ici 2020, par un système d'autobus électriques en boucle qui empruntera les viaducs surplombant l'autoroute 15. Ce réseau de transports collectifs, qui est actuellement en étude de préfaisabilité, devrait être gratuit, espère Marc Tremblay. « Par son design et son effet "wow", on veut que ce circuit électrique devienne un attrait », dit-il. Ensemble, les trois stations de métro de l'île Jésus (Cartier, Concorde et Montmorency) généreront près de*2*milliards d'investissements d'ici cinq ans, ajoute M.*Tremblay. Préférant de ne pas parler d'une renaissance après le long règne du controversé maire Gilles Vaillancourt, le directeur adjoint affirme plutôt que Laval est désormais une ville beaucoup mieux organisée. « La ville est complètement transformée. On s'est dotés de tous les processus de gestion qu'une ville doit avoir*:*bureau des grands projets, politique d'équité et de bonne gouvernance, etc. On est train de devenir une*sorte de "sociétés les mieux gérées". » -*Marc Tremblay, directeur adjoint au Service du développement économique de Laval UNE ÉCONOMIE BIEN DIVERSIFIÉE Outre le développement de ses infrastructures, Laval tire son épingle du jeu à plusieurs égards, croit Jean Philippe Brassard, directeur régional du bureau d'affaires Grand Montréal à Développement économique Canada (DEC). « Même si le secteur tertiaire représente 81*% de son PIB, Laval est la deuxième économie la plus diversifiée au*Québec, explique M. Brassard. Et en 10 ans, elle a connu une croissance démographique de 14,7*%. » Les pôles industriels, des biotechnologies, des technologies, de l'agriculture et du tourisme, lesquels représentent plus de 1200 entreprises dans 14*parcs industriels, sont d'importants moteurs économiques sur le territoire de Laval. Pendant que le secteur pharmaceutique et des sciences de*la vie se transforme et va mieux après des jours difficiles, le secteur touristique, lui, est toutefois sur une*lancée. « En 2015, on a atteint 201 millions*de recettes touristiques (soit le double d'il y a 10 ans) et on a attiré plus de 1,1 million de touristes », explique Geneviève Roy, directrice générale de Tourisme Laval.* « Selon nos projections, nos recettes pourraient atteindre*316 millions d'ici 2035. Mais on veut provoquer une croissance accélérée pour atteindre des recettes de*402*millions et 2,2 millions de visiteurs. Le*développement du centre-ville va nous aider. » http://affaires.lapresse.ca/portfolio/developpement-economique-regional/portrait-2017-laval/201703/30/01-5083759-plus-de-1-milliard-pour-creer-un-centre-ville-a-laval.php
  4. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/techno/2016/06/17/001-montreal-ville-intelligente.shtml Montréal domine le palmarès mondial des villes intelligentes Publié le vendredi 17 juin 2016 à 11 h 51 Vue sur le centre-ville depuis le Vieux-Montréal Photo : Radio-Canada/Coralie Mensa La nouvelle est tombée au sommet annuel de l'Intelligent Community Forum (ICF) qui se tenait à Columbus, en Ohio. Chaque année, une cérémonie couronne la ville qui démontre la meilleure utilisation des technologies de l'information et des communications à des fins de prospérité économique, de résolution de problèmes sociaux et d'amélioration de la qualité de vie. Un texte de Catherine Mathys Cette reconnaissance internationale vient récompenser les efforts de la ville, qui a entrepris son virage de ville intelligente en 2011. Pour la première fois, Montréal a su se hisser parmi les 7 finalistes, et ce n'était que la deuxième fois qu'on la retenait dans la courte liste des 21 candidatures au concours de l'ICF. ICF est un organisme à but non lucratif, situé à New York, qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Centré essentiellement sur la recherche, les conférences, les services-conseils, les services éducatifs et un concours annuel, il détermine quelles sont les meilleures pratiques en développement des villes intelligentes. Montréal devient ainsi la quatrième ville canadienne à remporter les honneurs, après Calgary en 2002, Waterloo en Ontario en 2007 et Toronto en 2014. D'ailleurs, le cofondateur de l'ICF confiait à Triplex, en novembre 2014, que les succès de la Ville Reine avaient tendance à fouetter les troupes montréalaises. Il semble avoir eu raison. Dans un communiqué émis par l'ICF, Zacharilla mentionne la vigueur de l'innovation montréalaise qui se manifeste dans des réalisations comme le Quartier des spectacles, où la technologie et la bande passante sont un vecteur important de développement économique et d'expression culturelle. Un long processus de sélection C'est un processus long d'une année qui vient de prendre fin. Les villes retenues pour le concours sont évaluées selon six indicateurs, et selon un septième critère qui découle de la thématique annuelle. Cette année, la thématique était « De la révolution à la renaissance ». Zacharilla a dit de Montréal qu'elle était la meilleure illustration de l'évolution que pouvait connaître une ville pour arriver à une véritable renaissance en s'appuyant sur la technologie. Tous ces critères sont évalués selon une analyse quantitative des données, des inspections physiques des lieux et le vote d'un jury international composé d'experts d'un peu partout dans le monde. Les qualités de Montréal Selon l'ICF, le virage vers la ville intelligente entrepris en 2011 est un des principaux catalyseurs des changements observés. Aujourd'hui, plus de 6250 entreprises, constituant environ 10 % de la main-d'œuvre, sont actives dans les technologies de l'information et de la communication, le secteur aérospatial, les sciences de la vie ainsi que les technologies reliées à la santé et à l'environnement. Une ville intelligente, c'est bien sûr une ville branchée qui mise sur les infrastructures de communication, mais aussi sur l'efficacité de ses systèmes et services dans le but de créer un écosystème collaboratif entre citoyens, entreprises et institutions. Le taux de pénétration d'Internet de 81 % est important, mais ce sont aussi les efforts d'étendre le wifi aux 17 kilomètres de la ville centrale, ses initiatives qui favorisent la participation citoyenne (pensons à Je fais Montréal), ainsi que les moyens déployés pour favoriser la littératie numérique qui ont retenu l'attention. Montréal produit aussi plus de diplômés universitaires que toute autre ville canadienne. Ce sont 415 000 étudiants qui ont obtenu un diplôme universitaire entre 1998 et 2008. Cette force nourrit l'économie de l'information, qui se manifeste par l'éclosion d'espaces d'apprentissage (LearningLab Network), d'accélérateurs d'innovation et d'espaces collaboratifs de travail qui favorisent à leur tour une culture de l'entreprise en démarrage. Toutes ces initiatives forment un cocktail unique qui fait de Montréal l'un des modèles à suivre en tant que ville intelligente.
  5. http://www.lesaffaires.com/strategie-d-entreprise/pme/derniere-heure-vers-un-nouveau-mile-end-a-montreal/588201 La Cité de la mode, qui a déjà été l’épicentre de l’industrie jadis florissante du vêtement à Montréal, est devenue triste à voir. Gris, bétonné, morose, le secteur Chabanel a besoin d’une sérieuse injection d’amour. Et c’est justement ce que s’apprêtent à faire une dizaine de propriétaires d’immeubles du quartier. Unis sous le nom DCMTL Développement, le consortium va d’abord investir 20 millions de dollars sur une période de quatre à cinq ans afin de revitaliser le secteur. DCMTL Développement, pour «District Central Montréal», vise la réhabilitation de plus de 1 500 000 pieds carrés à terme. C’est l’équivalent de presque 2,5 Stades olympiques. Pour la première phase, quatre immeubles sont dans la mire du consortium. Les 9500 Meilleur, 1401 Legendre et les 55 et 350 Louvain Ouest. «Nous voulons donner un nouvel élan au quartier, traditionnellement manufacturier, explique Frédérick Lizotte, vice-président développement commercial du projet. En redéveloppement les édifices du secteur, nous voulons insuffler de l’oxygène au quartier. Qu’il y ait une vie professionnelle, communautaire et commerciale». Et outre, les restaurants, commerces et entreprises qu’il souhaite attirer, «nous voudrions que du résidentiel s’y installe après coup», espère M. Lizotte. Une offre alléchante L’idée derrière ce vaste coup de balai, c’est de recréer les conditions gagnantes qui ont mené certains secteurs à se réinventer, le Mile End ou le Mile Ex, par exemple. Du coup, le prix des loyers affichés par les propriétaires qui sont derrière DCMTL Développement est très, très bas. Non seulement le pi2 sera offert à 10$ (brut) électricité et chauffage inclus, mais chaque locataire aura droit à des améliorations locatives équivalentes à 30$ du pied carré. Les baux seront disponibles pour une période minimale de cinq ans. Et puisque l’espace ne manque pas, les PME ou start-ups pourront y croître physiquement. Dans le grand Montréal, le pied carré se loue en moyenne 18,97$ (net) le pi2 au premier trimestre de 2016, selon CBRE, une firme de service-conseil en immobilier. «Ça me semble assez alléchant cette offre-là, observe Jean Laurin, président et chef de la direction de NKF Devencore Montréal, une autre firme de service-conseil en immobilier. Je peux très bien les comprendre [les propriétaires] de prendre une position aussi agressive. Ils doivent louer leurs locaux. Il n’y a rien de plus cher qu’un local vide». Pour un nouveau Mile End Quand Marc-André Lanciault cherche des bureaux pour sa PME, Karelab, en 2012, il commence par regarder du côté du Vieux-Montréal. «Mais c’était environ 30$ du pi2 carré. Puis, j’ai un ami qui s’était installé dans la Cité de la mode qui m’a parlé du coin. Maintenant que j’y suis installé, au 55 Louvain Ouest, je loue environ 6 400 pi2 pour 10$ le pied carré. Je préfère investir dans mes employés et mon entreprise (spécialisée en programmes de récompenses pour employés) que dans un loyer. En plus, je n’ai pas besoin d’épater des clients. Je ne suis pas un bureau d’avocats du centre-ville. D’ici quelques années, croit l’entrepreneur, ce ne sera plus aussi abordable, on verra la naissance d’un nouveau Mile End». M. Lizotte ne s’en cache pas, si les prix sont si bas, c’est pour attirer les start-ups et PME créatives dans le quartier. «Ça permet à de jeunes entreprises d’obtenir des locaux à un prix très abordable. Nous recherchons des entreprises à haute valeur ajoutée, que ce soit en TI, en services financiers, etc. C’est à travers ces entreprises-là qu’un secteur se redynamise». Si l’on en croit le vice-président développement commercial du projet, l’initiative DCMTL Développement est déjà sur la bonne voie. Plusieurs ententes de location seraient à annoncer prochainement.
  6. Les terrains de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est sont officiellement en vente Huit millions de pieds carrés sont désormais disponibles pour le développement dans L’Est de Montréal. La pétrolière Shell Canada, propriétaire de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est, a annoncé, ce mardi, la mise en vente d’une partie de ses terrains à usage industriel ou commercial. Une manne d’investissement et de développement, selon les acteurs économiques du secteur. Exploitables dès 2017, ces terrains d’une superficie équivalente à 105 terrains de soccer sont situés au 10501 de la rue Sherbrooke sur les territoires de la Ville de Montréal-Est et de l’arrondissement d’Anjou. Répartie en 4 zones, dont trois au nord, le long de l’Autoroute 40 et une au sud, la vaste étendue sera accessible à partir de la rue Sherbrooke. Des démarches sont entamées avec le courtier immobilier Cushman & Wakefield afin de trouver un acquéreur, qui en tant que promoteur ou développeur immobilier, pourra donner une deuxième vocation au site. « Un terrain de cette ampleur ne se voit pas tous les jours, explique Erik Langburt, vice-président de Cushman & Wakefield. Ces 8 millions de pieds carrés, près du centre-ville et des infrastructures de transport vont répondre au grand besoin d’espaces pour le développement commercial ou industriel majeur sur l’île de Montréal », ajoute-t-il. Shell et Cushman & Wakefield n’ont pas souhaité révéler l’estimation du prix du terrain, laissant ainsi au marché le soin de faire leur propre évaluation des terrains. Depuis la mise en marché des terrains ce mardi, Erik Langburt semble déjà crouler sous les propositions. Plusieurs critères ― que ce dernier n’a pas voulu révéler ― permettront de sélectionner les promoteurs. Il a toutefois affirmé qu’ils étaient « ouverts à tous types de développement; même à un centre d’achats ». Un élan pour l’économique durable dans l’Est « On se dit qu’il y a des opportunités qui s’offrent à nous, commente Dimitri Tsingakis, directeur général de l’Association industrielle de l’Est de Montréal (AIEM). Nous souhaitons qu’il y ait une synergie industrielle pour établir des perspectives durables et respectueuses de l’environnement dans notre secteur », soutient-il. Une optique partagée par le maire de Montréal-Est, Robert Coutu, qui déclare : « Il ne faut pas oublier que le processus de décontamination [des terrains] s’est effectué sur le site, évitant ainsi beaucoup de transport et de GES. Shell dépasse les plus hauts standards exigés dans l’industrie et c’est à leur honneur de respecter leurs engagements envers la communauté. Nous sommes en relation constante depuis le début de mon premier mandat et nous sommes fiers du travail effectué jusqu’à présent. » Le maire de Montréal-Est a également souligné que de « nouvelles entreprises émergentes de calibre mondial » pourront s’implanter générant ainsi de nouveaux emplois et revenus assurant ainsi une « prospérité et une sécurité financière à long terme pour le secteur. » Du côté de la Chambre de Commerce de l’Est de Montréal, Isabelle Foisy, présidente-directrice générale de l’institution, se réjouit également de « cette grande opportunité ». Des plans et des projets pour les futurs promoteurs sont d’ores et déjà envisagés par la Chambre, selon cette dernière. « Quand la raffinerie a fermé ses portes, c’était un moment difficile, car Shell représentait un employeur de choix. Nous sommes très heureux que Shell ait pu réagir aussi rapidement pour décontaminer ses sols et rendre disponibles ses terrains », s’enthousiasme la présidente. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/980376/les-terrains-de-lancienne-raffinerie-de-montreal-est-sont-officiellement-en-vente/
  7. http://journalmetro.com/culture/955808/clap-de-fin-a-lexcentris/ Cinq mois après la fermeture temporaire de l’Excentris, le groupe français MK2, qui souhaitait reprendre le cinéma du boulevard Saint-Laurent et l’agrandir, s’est finalement retiré du projet. Cela a forcé l’organisme à but non lucratif Cinéma Parallèle, propriétaire de l’Excentris, à se placer officiellement sous la loi sur les arrangements avec les créanciers le 5 mai prochain. La Société de développement des entreprises culturelles, actionnaire principal de l’Excentris, devrait reprendre l’immeuble pour le revendre. Quant à l’exploitant de salles français MK2, qui envisageait d’étendre son réseau, il flirte plutôt avec l’idée de construire un complexe au centre-ville de Montréale sent via Tapatalk
  8. Voici une initiative de Google, qui montre la terre en timelapse entre 1984-2012... le développement dans le grand Montréal est incroyable (Laval!!, Ville Saint-Laurent, etc etc) À voir: https://earthengine.google.com/timelapse/
  9. Je ne crois pas qu'on a un sujet sur le projet de transformation de ce tronçon de route. Le large boulevard Papineau à ce niveau changera beaucoup d'apparence dans les prochaines années. La ville de Montréal profite de la réfection du sous-sol pour transformer cette rue "en boulevard verdoyant et durable". Voici un article du Courrier d'Ahuntsic/Bordeaux-Cartierville parlant des éléments écologiques de l'intervention: http://journalmetro.com/local/ahuntsic-cartierville/actualites/939557/les-trottoirs-sur-papineau-avaleront-les-eaux-de-pluie/ Voici quelques images du projet, tirés de l'article: Avec le développement de l'ancien dépotoir, le Taz, le nouveau centre d'entraînement de soccer, l'immense parc... Il était devenu nécessaire d'intégrer cette rue à la trame urbaine, et surtout de sécuriser un endroit qui sera de plus en plus fréquenté par des familles et des enfants. En prime, ce sera pas mal plus joli.
  10. MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwired - 9 fév. 2016) - La société KanAm Grund et Canderel annonçaient aujourd'hui la signature d'un bail au 1360 René-Lévesque Ouest avec Vigilant Global, une firme de TI novatrice nommée parmi les meilleurs petits et moyens employeurs au Canada. L'entreprise montréalaise occupera des locaux de 76 500 pi2 dans cette prestigieuse tour située en plein cœur du Quartier Windsor, la zone connaissant la croissance la plus rapide au centre-ville de Montréal. Ces tout nouveaux bureaux feront désormais office de siège social de Vigilant Global. « Nous nous réjouissons qu'une entreprise en pleine expansion comme Vigilant Global ait choisi de s'établir au 1360 René-Lévesque Ouest, » déclarait Robert Vineberg de Canderel. « Ce déménagement marque de façon positive l'engagement de cette compagnie envers la communauté montréalaise. Les propriétaires des lieux sont, quant à eux, fiers d'accueillir un nouveau locataire d'envergure dans leur immeuble. » « En tant qu'entreprise ayant ses racines à Montréal, nous sommes très heureux de pouvoir prendre part au développement continu de son centre-ville, » affirmait Arvind Ramanathan, directeur et cofondateur de Vigilant Global. « Au 1360 René-Lévesque Ouest, nous pourrons donner à nos employés un espace de travail dynamique à quelques pas de tout ce que la ville offre de meilleur. » Les partenaires de Vigilant Global dans la création de ce nouvel espace sont P & R Desjardins Construction Inc., Provencher Roy Inc. - design intérieur, BPA et Applied Électronique Limitée. Le 1350-1360 René-Lévesque Ouest continue de consolider son positionnement parmi les adresses les plus convoitées à Montréal par les sociétés cherchant un lieu idéal pour établir leur siège social. Vigilant Global se joint ainsi à une liste de locataires impressionnants, dont CGI, IBM et Ciment McInnis. Le 1360 René-Lévesque Ouest est situé à l'intersection sud-ouest de la rue Lucien-L'Allier et du boulevard René-Lévesque Ouest. Desservie par tous les réseaux de transport public, la propriété est située à environ 100 mètres de nombreux arrêts d'autobus, stations de métro et gares de train. L'immeuble détient la certification LEEDMD argent pour les bâtiments existants (BE). À PROPOS DE LA SOCIÉTÉ KANAM GRUND Fondée en octobre 2000, la société KanAm Grund a généré des transactions immobilières totalisant 25 milliards de dollars américains depuis sa création. Tant à son siège social de Francfort que dans ses bureaux internationaux de Paris et d'Atlanta, l'ensemble de son personnel réunit de nombreuses années d'expérience dans le domaine des investissements immobiliers. Au cours 15 dernières années, la société a concentré ses investissements dans des propriétés de qualité situées au cœur de métropoles internationales telles que Paris, Londres, Washington D.C. et Toronto. KanAm Grund bénéficie ainsi de son propre réseau mondial réunissant plusieurs sites stratégiques importants. Par ailleurs, par son indépendance, la société occupe une position particulière qui lui permet de se concentrer sur une stratégie d'investissement visant le meilleur intérêt des investisseurs. Profitant plus que jamais de cet avantage, les investisseurs institutionnels internationaux se tournent vers KanAm Grund en tant que gestionnaire de fonds, de portefeuilles et d'actifs pour investir et administrer leurs actifs au sein de propriétés allemandes, européennes ou américaines. À PROPOS DE CANDEREL Célébrant cette année son 40e anniversaire, Canderel est une société nationale de développement, de gestion et d'investissement immobilier, avec des projets phares à Montréal, Toronto, Ottawa et Vancouver. Elle a récemment pénétré le marché de l'Alberta par l'entremise de sa société affiliée Humford Management. http://www.canderel.com À PROPOS DE VIGILANT GLOBAL La firme montréalaise Vigilant Global est un chef de fil dans les secteurs de la recherche et du développement (R-D) et des TI. L'entreprise conçoit et met en œuvre des systèmes à haute performance et des solutions logicielles novatrices dans le domaine des finances. Vigilant Global favorise un engagement actif au sein de sa communauté, convaincue qu'une véritable implication sociale enrichit l'expérience que l'on peut tirer de vivre et de travailler à Montréal tout en forgeant un environnement professionnel collaboratif valorisant. Pour en savoir plus, veuillez consulter http://www.vigilantglobal.com. http://www.marketwired.com/press-release/la-societe-kanam-grund-et-canderel-annoncent-larrivee-de-vigilant-global-au-1360-rene-2095121.htm
  11. RDP-PAT veut une rue Sherbrooke Est «digne d’une métropole» Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles (RDP-PAT) s’est doté d’un plan d’urbanisme afin de donner une vision d’avenir pour la rue Sherbrooke, artère que l’arrondissement veut plus verte, moderne et urbaine. Le plan de développement urbain, économique et social (PDUES) adopté lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement établit les lignes directrices de l’aménagement du territoire aux abords de la rue Sherbrooke. Selon Yann Lessnick, conseiller en planification à la direction du développement du territoire, l’arrondissement misera sur le développement résidentiel et commercial lors de l’élaboration d’éventuels projets dans cette artère du quartier. «Nous voulons que la rue Sherbrooke devienne un corridor urbain contemporain digne d’une ville comme Montréal, dit-il. Nous voulons que les citoyens sentent déjà, lorsqu’ils arrivent de Repentigny par la rue Sherbrooke, qu’on arrive dans une métropole.» Des efforts seront donc consacrés afin de mettre en valeur la portion de rue entre le carrefour giratoire à l’extrémité est de la rue Sherbrooke et la gare de Pointe-aux-Trembles à la hauteur de la 57e Avenue, tronçon où circulent quotidiennement 24 000 véhicules. Une meilleure image Les promoteurs qui souhaitent développer des projets dans le secteur devront se plier à certaines normes établies par l’arrondissement. «Nous souhaitons avoir un cadre bâti particulier à l’entrée de la ville. Travailler avec des matériaux nobles, avoir une architecture relevée qui sera durable, mais qui offrira une conception visuelle intéressante afin de bonifier l’image de cette partie de la rue», indique M. Lessnick. Les espaces verts qui longent la rue Sherbrooke, dont le Parc de la Coulée Grou et le Parc-nature de la Pointe-aux-Prairies seront également mis en valeur. «L’arrondissement est vu comme un lieu urbain dans un milieu naturel, c’est une image que nous aimons et que nous voulons conserver», souligne le conseiller en planification. Commerces et résidences Rappelons que ce plan a été adopté à la suite de plusieurs consultations auprès des citoyens et organismes du secteur. «Les gens veulent avoir des commerces de proximité. Des restaurants, des lieux pour se réunir, des petites boutiques spécialisées, et c’est sur ça que nous allons mettre l’accent dans ce plan.» Plusieurs intersections pourraient devenir de nouveaux pôles commerciaux, notamment le coin des rues de la Rousselière et de la Famille Dubreuil. «Cette partie de la rue Sherbrooke est considérée comme un désert alimentaire. Il est difficile de se procurer des aliments frais, alors nous allons essayer de trouver une façon de changer cette situation, signale M. Lessnick. Nous voulons offrir des services complémentaires afin que les gens ne soient pas obligés de se déplacer à Anjou ou Repentigny afin de se procurer certains produits.» Finalement, on indique qu’en ce qui concerne le développement résidentiel, l’arrondissement favorisera une densification du secteur. «On parle de projets de six étages et plus. Les gens sont tout à fait d’accord avec cette approche et nous pensons que c’est également une façon de moderniser cette artère», conclut le conseiller. Selon l’arrondissement, près de 35 hectares de terrains vacants sont disponibles pour le développement résidentiel et commercial dans ce secteur du quartier. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/915674/rdp-pat-veut-une-rue-sherbrooke-est-digne-dune-metropole/
  12. Peut être de bonnes nouvelles à venir pour YUL en 2017? Croissance du réseau long-courrier de 2 à 3% dès 2017. Frédéric Gagey, président-directeur général d'Air France, a présenté ce jour devant le Comité Central d'Entreprise les orientations stratégiques 2017 - 2020, dans le cadre du plan Perform 2020. Ce projet propose la croissance du réseau long-courrier en moyens propres de 2 à 3% par an de 2017 à 2020. Ce développement permettra l'ajout de sept avions dans la flotte long-courrier, l'ouverture d'une à deux nouvelles destinations et une croissance de l'ordre de 10% en capacités et en heures de vol entre 2016 et 2020, indique un communiqué. http://www.tourmag.com/Air-France-vise-la-croissance-sur-long-courrier-des-2017_a78163.html
  13. Une institution internationale déménage son siège social de Paris à Montréal L'organisation internationale New Cities Foundation (NCF) déménagera son siège social de Paris à Montréal le printemps prochain, une implantation qui devrait créer 25 emplois dans la métropole. John Rossant, président et fondateur de NCF, est dans la métropole ce vendredi en vue de signer l'entente de principe avec Montréal International, qui a contribué à attirer cet investissement. « Notre décision de miser sur Montréal constitue un jalon majeur dans le développement de notre organisation à travers le monde ainsi que dans l'élaboration et la mise en place de solutions concrètes aux problématiques de développement urbain », a déclaré M. Rossant. L'organisme sans but lucratif, fondé à Genève en 2010, vise à soutenir le développement des villes partout dans le monde, alors que le mouvement d'urbanisation s'accélère. NCF compte plusieurs institutions universitaires parmi ses membres, comme le Massachusetts Institue of Technology (MIT), ainsi que des entreprises comme Ericsson, Bombardier et Google. Les trois niveaux de gouvernement - municipal, provincial et fédéral - ont contribué financièrement pour attirer l'organisme au Québec. Montréal International a toutefois refusé de dévoiler l'ampleur des subventions consenties par l'État. Les dirigeants de NCF cherchent présentement des locaux à Montréal pour accueillir leur nouveau bureau principal. « Grosse prise » Pour Montréal International, l'attraction d'une institution internationale comme NCF constitue « une grosse prise », puisqu'elle devrait contribuer au rayonnement de la métropole à l'étranger. Les organisations du genre - Montréal en compte une soixantaine - génèrent des retombées économiques annuelles de 300 millions de dollars et contribuent à maintenir 1500 emplois dans la métropole, soutient Montréal International. La métropole compte entre autres quatre sièges d'organismes des Nations Unies, dont l'Organisation de l'aviation civile internationale, ainsi que l'Agence mondiale antidopage et l'Agence universitaire de la francophonie. Selon Montréal International, la métropole québécoise affiche la troisième plus importante concentration d'organisations internationales en Amérique du Nord, derrière Washington et New York. Outre son nouveau siège social montréalais, NCF conservera des bureaux à Paris, New York et Genève. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201512/18/01-4932560-une-institution-internationale-demenage-son-siege-social-de-paris-a-montreal.php
  14. Création de 500 emplois sur cinq ans dans le secteur de l’environnement au Québec. Montréal, le 2 décembre 2015 – Afin de satisfaire les besoins du marché québécois de la collecte, du transport et du traitement des matières résiduelles, Derichebourg Environnement annonce l’implantation de son siège social nord-américain à Montréal. L’entreprise prévoit créer 500 emplois au Québec, et ce, au cours des cinq prochaines années. Le leader européen de la collecte des déchets ménagers rassemblera notamment au sein de sa nouvelle filiale les ressources matérielles et humaines dédiées à la collecte des déchets ménagers sur deux arrondissements de la Ville de Montréal, soit Rosemont–La Petite-Patrie et Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. L’annonce a été faite par le maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal, M. Denis Coderre, en mission en France dans le cadre de la tenue de la 21e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP21), qui se tient du 30 novembre au 11 décembre à Paris. « Les collectivités doivent faire face à une réduction de budget pour la collecte de déchets, tout en améliorant leurs services aux usagers. C’est pourquoi les municipalités doivent trouver des prestataires capables d’innover et de présenter des offres concurrentielles », a déclaré M. Thomas Derichebourg, président de Derichebourg Canada Environnement. « C’est dans cette optique que Derichebourg Environnement désire accélérer son développement à l’international et plus particulièrement au Canada, en faisant de sa filiale montréalaise la plus importante en Amérique du Nord au sein du Groupe. » Derichebourg s’est engagé dans une politique de recherche et développement à long terme visant à mettre en place des filières pérennes de traitement des biens en fin de vie, respectant et même dépassant les objectifs de valorisation fixés par les directives européennes. « Avec l’arrivée d’un nouveau joueur comme Derichebourg, la métropole québécoise renforce sa position dans la valorisation des matières résiduelles et le développement des compétences dans la collecte et le traitement des déchets », a déclaré M. Denis Coderre, maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal. « La Ville de Montréal priorise toujours des services publics efficaces et efficients, essentiels pour assurer la croissance économique, générer le plus de bénéfices possible pour la collectivité et optimiser le bien-être de tous les citoyens », a-t-il ajouté. Montréal International, en collaboration avec Investissement Québec, a soutenu la société française Derichebourg dans son implantation dans la région. « Le marché de la collecte et du traitement des déchets est en pleine croissance dans le monde. Le Grand Montréal pourra dorénavant compter sur l’expertise ciblée et à l’avant-garde d’un nouvel acteur reconnu en Europe, qui pourra partager son savoir-faire avec des partenaires académiques, institutionnels et industriels au Québec », a déclaré M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal, Montréal International. « Cette implantation vient renforcer l’économie du Québec et de la grande région montréalaise. De concert avec nos partenaires en prospection, nous avons eu l’occasion d’entretenir des échanges fructueux avec Derichebourg, qui ont permis de mettre en valeur avec succès nos avantages concurrentiels. Cette relation est appelée à se développer et nous comptons bien accompagner l’entreprise dans son développement au Québec », a conclu M. Pierre Gabriel Côté, président-directeur général d’Investissement Québec. Mentionnons que Derichebourg Environnement dispose d’opérations dans toute la France (Paris, Ile de France, Marseille, Caen), en Italie (Turin, Milan, Florence, Sardaigne), au Maroc (Rabat, Marrakech), et à l’Ile de la Réunion dans l’Océan Indien. À propos de Derichebourg (http://www.derichebourg.com) Le Groupe Derichebourg est un acteur majeur, au plan international, des services aux entreprises et aux collectivités. Avec un chiffre d’affaires 2014 de 2,56 milliards d’euros, l’entreprise compte aujourd’hui 28 000 collaborateurs dans le monde, répartis dans 14 pays et sur 3 continents. Derichebourg propose une gamme complète et intégrée de prestations dans deux secteurs d’activités complémentaires et à travers deux entités distinctes : Derichebourg Environnement. Services à l’environnement : recyclage et valorisation des biens en fin de vie, collecte & gestion des déchets industriels et ménagers, propreté urbaine. Derichebourg Multiservices. Services aux entreprises (multiservices) : propreté, énergie, aéronautique, intérim, accueil, manutention, milieux sensibles. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/derichebourg-implantation-siege-social-nord-americain-dans-le-grand-montreal/
  15. http://journalmetro.com/actualites/montreal/841294/ une-cooperative-pour-un-projet-de-monorail/vitesse Par Marie-Eve Shaffer Métro Coop MGV Un groupe de citoyens a mis sur pied une coopérative dans l’espoir de concrétiser le fameux projet de réseau de monorail à grande vitesse au Québec. «Pour que le projet se réalise, on croit que ça doit passer dans une coopérative. On veut que la population soit impliquée dans ce projet», a affirmé mardi le président de la nouvelle coopérative de recherche et de développement Coop MGV, Patrick Leclaire. La nouvelle organisation veut démontrer l’acceptabilité sociale du projet de réseau de monorail afin de trouver le financement nécessaire à la poursuite des études et à sa réalisation, tant auprès des gouvernements que des entreprises privées. Une somme de 250M$ est à prévoir pour la recherche et le développement et un montant oscillant entre 9M$ et 12M$ doit être budgété pour chaque kilomètre que parcourrait le monorail. Le projet que caresse la Coop MGV vise à créer un réseau de lignes de monorail entre plusieurs villes du Québec. Les navettes seraient suspendues à dix mètres du sol à des rails aériens supportés par des poteaux installés dans l’emprise des autoroutes. Elles pourraient accueillir jusqu’à 70 passagers et elles se déplaceraient à 250 km/h grâce à la technologie du moteur-roue, qui a été inventée par l’ingénieur Pierre Couture et qui fonctionne à l’électricité. 3G$ Pour la Coop MGV, l’une des premières lignes de monorail qui devrait voir le jour est celle qui relierait Montréal à Québec. Sa construction coûterait près de 3G$. Les Montréalais pourraient se rendre dans la capitale en une heure environ. «On sait que le projet est rentable. Il coûterait trois fois moins cher qu’un TGV», a dit le vice-président de Coop MGV, Michel Laforest. Ce dernier a vanté l’efficacité du monorail et son impact minime sur l’environnement. D’après la Coop MGV, les études préliminaires, qui serviront à peaufiner et éprouver la technologie du monorail dans le climat du Québec, prendront de trois à cinq ans. Ensuite, la construction de lignes de monorail pourront commencer, tant au Québec qu’à l’étranger. D’autres organisations militent aussi en faveur de la création d’un réseau de monorail à grande vitesse au Québec. L’organisme à but non lucratif MGV Québec, dont le conseil d’administration est notamment formé par l’ancien président du Mouvement Desjardins, Claude Béland, et de l’ex-premier ministre du Québec, Bernard Landry, tente de son côté de sensibiliser les autorités publiques et les industries à la pertinence du projet. «On a les mêmes objectifs [que Coop MGV], mais on n’a pas les mêmes moyens, a expliqué le coordonnateur de MGV Québec, Nicklaus Davey. Ce dernier souhaite que le projet de monorail à grande vitesse soit inclus dans la nouvelle Stratégie d’électrification des transports que doit dévoiler sous peu le gouvernement du Québec. «Quand les études de faisabilité seront déclenchées, [Coop MGV] est une partie prenant avec laquelle on va vouloir travailler parce que ce sera la voix des citoyens, a dit M. Davey, C’est un projet de développement durable. Alors, le volet d’acceptabilité sociale est important. La Coop MGV s’assure qu’en amont, l’enjeu d’acceptabilité sociale est abordé.» L’organisme TrensQuébec essaie pour sa part de convaincre des groupes étrangers puisque selon son directeur, Jean-Paul Marchand, le gouvernement du Québec ne semble pas ouvert au projet de monorail à grande vitesse. «Les choses avancent, mais elles risquent de prendre encore un peu de temps, a écrit M. Marchand dans un courriel adressé à Métro. Chose certaine, nous allons réussir à mettre sur le rail ce système, parce que les retombées pour le Québec sont immenses.» sent via Tapatalk
  16. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/838728/au-diable-le-developpement-durable/ Le gouvernement du Québec se targue à l’international d’être un leader en matière de développement durable et de lutte aux changements climatiques, mais les bottines ne suivent pas toujours les babines. Parlez-en à la Commission scolaire de Montréal (CSDM), qui a récemment dû expliquer aux parents et aux enfants de l’école Saint-Gérard, dans Villeray, que la reconstruction de leur établissement scolaire devrait attendre… encore. Pourquoi? Parce qu’après une saga de trois ans marquée par le stress des élèves déménagés et les négociations avec le ministère de l’Éducation, les plans proposés par les architectes de la nouvelle école ne convenaient pas au Conseil du Trésor. «Trop dispendieux», a-t-on répondu à la CSDM. On a ainsi exigé de retrancher 3,1 M$ au projet, ce qui a forcé les architectes à retourner à la table à dessin et à retirer tout ce qui n’était pas «indispensable» à la nouvelle école. Ce qui a écopé : la majeure partie des mesures de développement durable pour réduire l’empreinte écologique du bâtiment. Québec a même permis que les exigences de son Plan d’action sur les changements climatiques 2013-2022 ne soient pas respectées. La toiture verte sera donc remplacée par le minimum exigé par l’arrondissement, un toit blanc. Elle aurait pourtant permis de réduire significativement les îlots de chaleur, d’améliorer la qualité de l’air dans le voisinage et d’absorber les eaux de pluie afin d’éviter la surcharge des aqueducs municipaux. La géothermie, qui aurait engendré des économies importantes de chauffage et de climatisation de l’édifice tout au long de l’année grâce à l’utilisation de la chaleur du sol, a été écartée. L’éclairage DEL, devenu une norme dans plusieurs projets nord-américains, sera remplacé par de simples tubes fluorescents, moins performants et beaucoup plus énergivores. La fenestration sera également réduite à quelques endroits, diminuant l’entrée de lumière naturelle dans le bâtiment. Les équipements mécaniques [peu agréables à contempler dans le paysage urbain] seront finalement installés sur le toit plutôt que d’être camouflés dans l’édifice. Une situation qui risque de provoquer une détérioration plus rapide des systèmes et une augmentation des frais d’entretien pour la CSDM. Bref, je pourrais poursuivre encore longtemps la liste des aberrations. Tout ça pour quoi? Sauver À TRÈS COURT TERME 3,1M$. Ça peut paraître beaucoup d’un point de vue comptable, je vous l’accorde. Mais pour en avoir discuté avec des architectes spécialisés dans le milieu scolaire, l’ensemble des mesures environnementales envisagées dans les plans initiaux aurait probablement été absorbé sur à peine 10 ou 15 ans… pour un édifice qui restera en place au moins 70 ans! Sans compter les bénéfices environnementaux. Mais bon, le développement durable est une priorité du gouvernement du Québec, aime-t-on nous rappeler…
  17. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5997,102503571&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=25474&ret=/pls/portal/url/page/bur_du_maire_fr/rep_bur_du_maire/rep_communiques/coll_communiques Création du Bureau du centre-ville de Montréal - Vers une première stratégie centre-ville pour Montréal 27 août 2015 Montréal, le 27 août 2015 – Le responsable de la stratégie pour le centre-ville au comité exécutif, M. Richard Bergeron, est heureux d'annoncer la création du Bureau du centre-ville de Montréal. L'objectif de ce Bureau est de préparer une stratégie pour le centre-ville en élaborant une vision d'avenir qui contribuera à optimiser son potentiel de développement, en plus de proposer des mesures concrètes et ciblées qui guideront sa croissance. « Le Bureau du centre-ville vise avant tout à créer un centre-ville encore plus attrayant, animé et dynamique. Issue de la volonté du maire de mettre en valeur les formidables attraits de notre centre-ville, cette stratégie, dotée d'objectifs mesurables, tracera la voie vers un futur résolument urbain où il fera bon vivre, travailler, étudier et se divertir », a déclaré M. Bergeron. Lors de la séance du mercredi 26 août, le comité exécutif a autorisé le lancement d'appels d'offres pour la fourniture de services professionnels afin de dresser un portrait des conditions actuelles et identifier les opportunités qu'offre le territoire du centre-ville. Dans un second temps, s'appuyant sur ces études et ces analyses, les professionnels de la Ville et de l'arrondissement Ville-Marie élaboreront la stratégie à déployer pour le centre-ville. Les études en question porteront sur : le milieu de vie (aménagement et patrimoine, habitation, services, sécurité); l'accessibilité et la mobilité au centre-ville (transports et circulation); la vitalité économique du centre-ville (économie urbaine). Depuis 15 ans, les quartiers centraux ont fait l'objet de plusieurs initiatives de planification particulière. L'arrondissement de Ville-Marie compte, à lui seul, plusieurs projets d'envergure issus de démarches de planification. La stratégie du centre-ville s'appuiera sur ces plans et les intégrera en une seule et même vision cohérente du centre-ville. Elle ciblera des initiatives structurantes en lien avec les divers champs de compétence de l'administration municipale. La stratégie établira les bases du Plan directeur de l'aménagement et du développement du centre-ville dont l'élaboration est un des objectifs du Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal adopté en 2015. « Avec des initiatives concrètes, des outils de planification et une vision concertée du développement du centre-ville, nous améliorerons son développement, aurons un impact positif sur la qualité de vie des Montréalais et renforcerons l'attractivité économique et touristique de ce secteur névralgique », a conclu M. Bergeron. sent via Tapatalk
  18. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
  19. http://www.ecologieurbaine.net/fr/ https://m.facebook.com/centre.ecologie.urbaine.mtl Comprendre l'écologie urbaine Plus qu’un vague concept, l’écologie urbaine est une façon d’agir individuellement et collectivement pour transformer sa ville. Laissez-vous raconter, chapitre par chapitre, comment nait, pousse et s’enracine l’écologie urbaine dans une ville, un quartier à la fois. En savoir plus Nos réalisations Verdissement Projets de verdissement participatifs qui changent la vie Aménagement & transport actif Quartiers verts actifs et en santé Agriculture urbaine Toits verts Participation citoyenne Transforme ta ville Historique En 1996, Lucia Kowaluk, Dimitri Roussopoulos et d'autres citoyens constituent la Société de développement communautaire de Montréal (SodecM). Plus d’une décennie après, elle prendra le nom de Centre d’écologie urbaine de Montréal. Les luttes menées localement poussent la SodecM à organiser des Sommets citoyens pour éveiller les citoyens et la ville de Montréal aux enjeux urbains. Les questions d’aménagement du territoire, de logement social, de revitalisation des quartiers, de développement social, communautaire et économique seront débattues sur la place publique. Après 2004, l’organisation met en branle plusieurs chantiers, élargit son territoire d’expérimentation, mais demeure toujours active à l’échelle du quartier, bien connectée à la réalité des citoyens. Elle se transforme en espace de rencontre, d’expérimentation et de partage. Les projets Quartiers verts, actifs et en santé et Ville en vert naissent. L’expertise prend forme dans les secteurs du verdissement, de l’agriculture urbaine, de l’aménagement, du transport actif et de la démocratie participative. Aujourd’hui, le CEUM a élargi son territoire d’intervention à d’autres municipalités du Québec, de l’Ontario et de l’Alberta. Cependant, il reste collé à son mode et son échelle d’intervention : le citoyen, son milieu de vie, le quartier. Dates marquantes: 2001 La SodecM organise le premier Sommet citoyen et débat de questions comme l’aménagement du territoire, le logement social, la revitalisation des quartiers, le développement social, communautaire et économique. 2006 Le Chantier sur la démocratie, piloté par le CEUM, se termine par la rédaction de la Charte montréalaise des droits et responsabilités – une première nord-américaine 2008 Début du premier projet d’urbanisme participatif Quartiers verts, actifs et en santé. Quatre quartiers montréalais et leurs communautés locales transforment leur milieu de vie avec l’aide du CEUM. 2011 Le Sommet Écocité marque un tournant. Des participants du monde entier y assistent pour discuter de la ville viable. 2012 L’année du verdissement! Le CEUM verdit le toit du Palais des congrès et entreprend un vaste projet de verdissement participatif en milieu HLM. 2013 Naissance du Réseau Quartiers verts. Mission Le CEUM développe et propose des pratiques et des politiques urbaines pour contribuer à créer des villes écologiques, démocratiques et en santé. Approche L’approche s’inspire de l’écologie sociale qui allie les questions sociales, économiques, environnementales et de santé publique. Approche du CEUM Cela se traduit par des actions qui : Encouragent la pratique de l’agriculture urbaine et le verdissement dans les villes; Favorisent le partage de la rue entre tous ses usagers; Permettent l’émergence et le maintien de quartiers à échelle humaine; Impliquent les citoyens dans les décisions qui touchent leur milieu de vie. sent via Tapatalk
  20. Très bonne nouvelle pour le secteur des sciences de la vie de la capitale!! En gros: Superficie de 44 000 m2 Création de 200 emplois très bien rémunérés Retombées économiques de 461 M$ d’ici cinq ans Production de 40 à 50 millions de doses de vaccin contre la grippe par année.
  21. Afin de maximiser l'offre commerciale du centre-ville et la vitalité des quartiers - La Ville de Montréal lance le Plan commerce avec l'appui financier du gouvernement du Québec MONTRÉAL, le 8 mai 2015 /CNW Telbec/ - Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le ministre des Transports et ministre responsable de la région de Montréal, M. Robert Poëti, annoncent la mise sur pied du Plan commerce. Ce plan directeur définit le cadre dans lequel les stratégies du Service de développement économique de la Ville seront élaborées au cours des prochaines années en matière de mise en valeur et de développement de l'activité commerciale montréalaise. Ce plan dispose d'un budget de 40,5 M$ de la Ville de Montréal, qui comprend une somme de 9,5 M$ provenant d'une aide financière du gouvernement du Québec accordée dans le cadre de l'Entente Montréal 2025, administrée par le Secrétariat à la région métropolitaine. « Le Plan commerce que nous dévoilons aujourd'hui, et qui est appuyé par un budget de 40,5 M$, se veut un engagement ferme de la Ville envers sa diversité commerciale, son centre-ville, les sociétés de développement commercial et le commerce de proximité. Il résulte de notre collaboration avec les arrondissements, les villes liées et l'Association des sociétés de développement commercial (ASDC) de Montréal que je tiens à remercier. Je remercie aussi le gouvernement du Québec pour son soutien financier à ce projet essentiel au développement économique de Montréal. Ensemble, nous avons l'ambition de miser sur une offre commerciale dynamique, afin d'asseoir le rayonnement de notre centre-ville et la vitalité de nos quartiers », a affirmé M. Denis Coderre. « Le gouvernement du Québec est fier de soutenir la mise en œuvre du Plan commerce. Miser sur le dynamisme et la valorisation de l'offre commerciale montréalaise, en faisant appel à la concertation et à la collaboration de tous les acteurs en cause, est une approche stratégique et nécessairement gagnante. Nous adhérons à cette démarche qui permettra de consolider des actions déjà entreprises et d'améliorer le visage et la notoriété de notre métropole. Voilà une vision qui rejoint tout à fait la volonté gouvernementale quant au développement et à la prospérité de Montréal », a ajouté le ministre Robert Poëti. Une forte compétition, qui se joue à l'échelle internationale et qui se répercute chez les commerçants, combinée à la popularité croissante du magasinage en ligne, figurent parmi les enjeux qui exigent de revoir l'approche du commerce de détail, en tenant compte des nouvelles habitudes de vie et de consommation de la population. Malgré de nombreux changements opérés au cours des dernières années, les rues commerciales montréalaises, avec leur ambiance conviviale, leur créativité et une programmation festive, conservent généralement leur attrait pour les consommateurs. Ces commerces innovateurs, créatifs et uniques se retrouvent aujourd'hui bien au-delà du centre-ville. Toutefois, la compétition est bien réelle et il y a lieu de continuer à déployer des efforts soutenus afin de maintenir Montréal et son territoire parmi les destinations commerciales de premier plan. Le Plan commerce, qui couvre dans son ensemble la période de 2015 à 2026, propose quatre axes d'intervention, appuyés par des programmes de financement pour assurer pleinement l'atteinte de ses objectifs : gérer de manière dynamique la fonction commerciale ; dynamiser le centre-ville pour accroître sa contribution au rayonnement de Montréal ; accompagner les commerces lors de travaux d'infrastructures d'envergure sur les grandes artères commerciales ; maintenir l'engagement municipal en soutien à la rénovation commerciale de qualité. Quatre mesures importantes prendront effet dès 2015 et 2016 : La relance du programme PR@M Commerce pour la période 2016-2020, qui passe de 12,7 M$ dans la version précédente (2007-2014) à 15,4 M$, et ce, pour stimuler et aider la rénovation des bâtiments commerciaux sur 20 rues et artères de l'agglomération. À chaque année, quatre rues commerçantes ou grandes artères commerciales seront admissibles au programme ; L'investissement de 1,5 M$ dans la promotion de la diversité commerciale et du commerce de proximité pour l'ensemble de l'agglomération montréalaise ; L'injection, pendant 4 ans, de 4,7 M$ dans les Sociétés de développement commercial (SDC) du territoire de la Ville de Montréal pour les aider à mieux contribuer à l'amélioration des affaires de leur secteur et encourager la création de nouvelles SDC ; La création du programme PR@M Artères en chantier pour un montant 13,9 millions $ afin de tourner une situation négative en une situation d'opportunité lors de la tenue de chantiers d'infrastructures majeurs sur sept artères commerciales montréalaises entre 2015 et 2024. Le secteur commercial montréalais en quelques chiffres Le commerce à Montréal, c'est : 14 000 entreprises de biens et services de consommation, dont 8 331 sont des commerces de vente au détail ; une structure commerciale composée majoritairement de propriétaires indépendants, représentant 30 % des commerçants de l'ensemble du Québec ; une offre commerciale répartie en trois formats, soit le magasin sur rue, le centre commercial et le regroupement de magasins ne partageant pas d'aires intérieures communes ; une abondance de magasins ayant pignon sur rue, composée autant de grandes chaînes, de bannières de franchises que de commerces indépendants ; près de 120 000 emplois contribuant à près de 4,5 % du PIB de l'agglomération ; un chiffre d'affaires global estimé à près de 40 milliards de dollars. SOURCE Communiqués Montréal sent via Tapatalk
  22. Moins d’un million de dollars par mine par Michel Pepin publié le 1 mai 2015 à 17 h 24 Il y a parfois des chiffres qui parlent plus que les mots et plus que toutes les promesses. Par exemple, il y a CE chiffre, 23 650 000, qui en dit plus long que tous les Plan Nord de ce monde. Ce chiffre représente le nombre de dollars que les propriétaires des 24 mines en exploitation au Québec ont versés en redevances en 2013-2014 selon les comptes publics du Québec. C’est moins d’un million de dollars par mine, en moyenne. Oui, c’était une mauvaise année, les prix des minerais étaient bas et les minières ont donc réalisé très peu de profits. Néanmoins, cela n’a pas empêché ces entreprises de retirer pour au moins 7 milliards de dollars en minerais du sous-sol québécois. De ces 23 millions de dollars, il pourrait être déduit les coûts d’administration au ministère pour le secteur des mines (plus de 15 millions de dollars). Il pourrait être aussi pris en compte le coût des 723 sites miniers abandonnés qui devront être réhabilités par l’État. Une facture de 800 millions de dollars est évoquée sur le site du ministère. Les crédits d’impôt relatifs aux ressources et les avantages fiscaux reliés aux actions accréditives ne sont pas pris en compte dans ce calcul. Dans son rapport de 2009, le vérificateur général révélait que ces dépenses fiscales représentaient une somme plus importante que l’ensemble des redevances minières. Rien n’indique, au contraire, que la situation était différente en 2013-2014. En revanche, il est vrai qu’il y a eu une année (2011) où 300 millions de dollars ont été recueillis en redevances minières, alors que la pelletée de minerai de fer valait trois fois celle d’aujourd’hui. Toutes ces données n’ont pas refroidi l’enthousiasme du premier ministre Couillard qui a évoqué, sans la moindre gêne, la priorité que représente le développement durable dans le cadre du dévoilement de sa version du Plan Nord. Il n’est pas facile d’imaginer le caractère durable du développement minier, une activité qui consiste à extraire une ressource qui ne peut se renouveler. Tout cela confirme que la vision de Québec pour le développement des ressources minières repose surtout sur la création d’emplois et l’activité économique que cela peut générer en région. Toutefois, la Caisse de dépôt et placement et Investissement Québec possèdent des participations dans certains projets (la mine d’or Osisko à Malartic et le projet de mine de diamants Renard de Stornoway) qui pourraient se révéler profitables. Car, si en apparence, Québec a reçu moins d’un million de dollars par mine, en réalité, il n’a même pas reçu « une cenne la tonne », comme on disait du temps de Duplessis. En fait, en 2013-2014, le gouvernement du Québec a payé les compagnies minières pour exploiter son sous-sol, qui elles, malgré la baisse des prix par rapport à 2011, ont accéléré la cadence de production et ont extrait davantage de fer, de nickel, de cuivre et d’or en 2013-2014. Si tout va bien, ce sont 65 millions de dollars que les Québécois recevront en 2014-2015 en redevances minières. En échange de 7 milliards de dollars de ressources. Si tout va bien. http://blogues.radio-canada.ca/politique/2015/05/01/moins-dun-million-de-dollars-par-mine/
  23. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=24781&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques L'encadrement du Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal approuvé 17 avril 2015 Montréal, le 17 avril 2015 - M. Russell Copeman, membre du comité exécutif, responsable de l'habitation, de l'urbanisme, de la gestion et de la planification immobilière et de l'Office de consultation publique de Montréal et maire de l'arrondissement de Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, est fier d'annoncer l'entrée en vigueur du Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal, suite à la réception d'un avis favorable du ministre des Affaires municipales et de l' Occupation du territoire, M. Pierre Moreau. « L'entrée en vigueur du Schéma d'aménagement et de développement du l'agglomération de Montréal marque le début d'une nouvelle ère dans le développement harmonieux de notre île. En effet, le Schéma permet d'établir les orientations pour les 10 prochaines années en matière d'aménagement. Le document d'accompagnement, que le comité exécutif vient d'adopter, permet d'en entamer la mise en œuvre en facilitant l'exercice de concordance des plans et règlements d'urbanisme des arrondissements de la Ville et des municipalités reconstituées », a déclaré Russell Copeman. Rappelons que les orientations du Schéma portent notamment sur la qualité du cadre de vie, le dynamisme de l'agglomération et des pôles d'activité, la mise en valeur des territoires d'intérêt, l'affectation du sol et la densité de son occupation ainsi que sur le transport. Le document d'accompagnement du Schéma indique la nature des modifications que chaque municipalité et arrondissement de l'agglomération montréalaise devra apporter à ses plans et règlements d'urbanisme. La Loi sur l'aménagement et l'urbanisme prévoit que cet exercice doit être complété à l'intérieur d'un délai de six mois de l'entrée en vigueur du nouveau schéma. Le Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal est intégralement disponible sur le site internet de la Ville, voir : ville.montréal.qc.ca/schéma. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=9517,133997570&_dad=portal&_schema=PORTAL sent via Tapatalk
  24. http://www.nouvelles.umontreal.ca/campus/environnement/20150216-amenager-un-corridor-vert-entre-le-mont-royal-et-outremont.html Accueil Campus Environnement Aménager un corridor vert entre le mont Royal et Outremont LUNDI, 16 FÉVRIER 2015 11:50 JOURNAL FORUM ENVIRONNEMENT Cette vue aérienne de Montréal permet de voir le ruban vert qui partirait de l’Université, près du parc du Mont-Royal, et se déploierait vers le nord. Cette vue aérienne de Montréal permet de voir le ruban vert qui partirait de l’Université, près du parc du Mont-Royal, et se déploierait vers le nord. Créer un corridor vert reliant le mont Royal au futur campus d'Outremont, voilà l'essentiel du projet Darlington. «Nous voulons mettre en contact ce puits de biodiversité extraordinaire que constitue le mont Royal avec l'autoroute verte représentée par les abords des chemins de fer», dit Alexandre Beaudoin, conseiller à la biodiversité au Vice-rectorat aux finances et aux infrastructures, secteur du développement durable, de l'Université de Montréal. Sous nos pieds, dans le quartier Côte-des-Neiges, coulent les vestiges des ruisseaux Rimbault et Darlington, qui drainaient les eaux de surface vers la rivière des Prairies. Observés par les cartographes militaires du 19e siècle dans le quartier agricole, ces ruisseaux ont été canalisés puis enfouis; ils coulent dans les aqueducs de la ville. C'est sur l'axe de cette voie naturelle qu'on veut ériger ce ruban de nature. Le projet a fait l'objet d'une présentation officielle à la Ville de Montréal à l'occasion de la consultation «Je vois Mtl», en novembre dernier, par le recteur de l'UdeM, Guy Breton. Dans un premier temps, l'objectif est de favoriser l'agriculture urbaine dans Côte-des-Neiges en proposant aux résidants de mettre en terre et d'entretenir des plantes dans une cinquantaine de bacs disposés au coin des rues, le long du corridor écologique. Par la suite, on aimerait amener les propriétaires à renoncer à la pelouse pour semer plutôt du couvre-sol et des plantes indigènes. Dans une perspective à plus long terme, tout un système de gestion écologique de l'eau sera mis en œuvre. «On veut proposer de défaire le raccordement des gouttières aux égouts collecteurs pour que les eaux de pluie se déversent vers la rue. L'eau recyclée pourrait servir à diminuer les îlots de chaleur plutôt que d'encombrer les égouts collecteurs», explique M. Beaudoin. Portland, ville modèle Mettant à profit la phytoremédiation, cette technologie consistant à dépolluer les sols par l'action des végétaux, le projet Darlington prévoit une importante phase de décontamination des lieux consacrés au corridor vert. Tous les 200 m, le long du corridor projeté, on aménagera des «noyaux secondaires de biodiversité», soit des zones où la faune pourra trouver refuge. Mises bout à bout, ces aires formeront quelque 5000 m2 de verdure. «Le quartier a la particularité de compter plusieurs écoles, bâtiments universitaires et hôpitaux, mentionne le biologiste. La collaboration du personnel de ces entreprises est essentielle pour réaménager leur espace (stationnements et cours de récréation par exemple) dans une perspective de développement durable.» Pour que le projet évolue, la population devra toutefois mettre la main à la pâte. Là se situe d'ailleurs le principal obstacle, selon lui. «Notre plus grand défi est de faire comprendre ce projet à la population, qui devra changer ses habitudes. Planter quelques arbres de plus sur son terrain, ça ne posera peut-être pas de problème, mais renoncer aux pelouses, ça ne fera pas l'affaire de tout le monde.» Au cours d'un voyage à Portland, en Oregon, Alexandre Beaudoin a constaté de ses yeux qu'une conversion est possible. «Tout, dans cette ville, est repensé en fonction du développement durable et de la participation citoyenne. Les murs et toits végétalisés sont nombreux; les rues sont parsemées de fleurs et d'arbustes; les eaux de pluie sont recyclées...» Avec une population 10 fois supérieure, la région montréalaise est loin de pouvoir se comparer avec Portland, où l'on dénombre environ 300 000 habitants. Mais ce n'est pas pour décourager le biologiste apiculteur, qui rêve à ce corridor vert depuis son arrivée au secteur du développement durable de l'UdeM il y a quatre ans. Mathieu-Robert Sauvé Rapport complet Le renard comme symbole On imagine aisément des papillons ou des oiseaux passer d'un arbre à l'autre le long du corridor vert que veut mettre en place l'Université de Montréal entre le mont Royal et Outremont. Mais le symbole qui plaît le plus à son promoteur, c'est le renard roux. Naguère nombreux dans les environs du mont Royal et du cimetière Notre-Dame-des-Neiges, les renards ont été décimés par une maladie transmise par le chien domestique. «On sait que, après avoir complètement disparu, les renards sont revenus récemment habiter le territoire laissé vacant», relate Alexandre Beaudoin. Pour lui, cette renaissance d'une espèce emblématique de la nature québécoise est un signe d'espoir. sent via Tapatalk
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