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  1. Un nouveau projet de Construction Quorum. Très peu de détail sur leur site web autre que cette image et le fait que ce sera dans Griffintown. Illustrations fournies par le Groupe Quorum http://www.constructionsquorum.com/9-condos-griffintown-projet-william.html http://www.mongriffintown.com/
  2. Transformation en une artère à une échelle plus humaine. Le projet en détail : http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_RDP_FR/MEDIA/DOCUMENTS/12.02_CORBEIL_SJB_RAPPORT.PDF L'état des travaux : Envoyé de mon iPad en utilisant Tapatalk
  3. On a déjà parlé de ce projet en 2009, mais je crois que ce projet mérite son propre fil! Dans un document de 2013 : Est-ce qu'il y a de l'activité sur le terrain?
  4. Détail à venir Samcon Pré-ventes le 25 aout 2012
  5. Un projet Accès Condos dans Montréal-Nord. Première phase proposant 87 unités, une deuxième phase suivra, pour un total de 150 unités. On y retrouvera de tout, du condo à une chambre jusqu'à la maisonnette sur deux étages au rez-de-chaussée. Le projet se trouve au coin des boulevards Maurice-Duplessis et Langelier, le bureau des ventes ouvrira samedi. Il y a longtemps que ce quartier n'avait pas eu un projet digne de mention. Voici un article de La Presse parlant plus en détail du projet. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201109/29/01-4452679-condos-accessibles-dans-montreal-nord.php Je suis désolé si ce projet est déjà répertorié ici, je ne l'ai pas trouvé avec une recherche. ÉDITION: Arrrg, j'ai fait une erreur dans le titre, c'est "Le MN", si un mod pouvait corriger, ce serait chouette.
  6. Le détaillant Costco veut agrandir son unique centre de distribution au Québec, a appris La Presse Affaires auprès de nombreuses sources de l'industrie immobilière. Le géant américain de la vente au détail recherche activement un terrain de 3 à 4 millions de pieds carrés sur la Rive-Sud, en banlieue de Montréal, une rareté dans le marché par les temps qui courent. L'investissement total est de l'ordre de 60 à 75 millions, selon nos sources. «Pas de commentaires», s'est contenté de répondre Ron Damiani, porte-parole de Costco Canada, à ce sujet. Le déménagement serait rendu nécessaire en raison de l'expansion prochaine de son réseau de magasins-entrepôts dans la province, ont dit à La Presse Affaires des gens au fait du projet qui ne veulent pas être identifiés. L'entreprise américaine aux revenus annuels de 105 milliards US compte sur un réseau de 19 magasins-entrepôts dans la province pour le moment. Costco a ouvert une nouvelle succursale à Drummondville en décembre 2012. Une ouverture est prévue à Saint-Romuald en 2014, bien que la société ne veuille rien confirmer. La population de Vaudreuil réclame à grands cris un Costco depuis longtemps. Actuellement situé à Saint-Bruno, en retrait du boulevard des Promenades, l'unique centre de distribution de la chaîne au Québec - de 380 000 pieds carrés sur un terrain d'un peu plus de 1 million de pieds carrés - ne suffira bientôt plus à la tâche. Cette ville de l'agglomération de Longueuil ne semble guère vouloir le conserver sur son territoire. Plus tôt cette année, elle a levé le nez sur un investissement de 190 millions du Groupe Jean Coutu parce que le projet incorporait un centre de distribution. Le directeur du développement urbain de la Ville, Jean Larose, avait confié à l'agence QMI en février 2013 que des centres de distribution comme celui de Costco ne sont pas la meilleure solution pour développer une ville en raison du trop grand nombre de camions qui rend la circulation difficile. «Les centres de distribution sont exclus comme usage autorisé dans les deux parcs industriels de la Ville», nous a par ailleurs écrit dans un courriel Suzanne Le Blanc, directrice des communications à la Ville. Costco cherche dans un rayon autour de Saint-Bruno pour mieux accommoder ses quelque 200 employés qui y travaillent. C'est le courtier Norman Laff, de Colliers, qui a obtenu le mandat. Le détaillant a regardé attentivement un terrain de 4 millions de pieds carrés à Châteauguay, près de l'autoroute 30, mais s'en est désintéressé quand il s'est rendu compte qu'un ruisseau actif coupait le lot en deux. Au moins deux personnes ont indiqué à La Presse Affaires que le détaillant regarde maintenant du côté de Varennes, là où Jean Coutu a décidé de construire son siège social. L'entreprise a acheté de la Ville un terrain de 3 millions de pieds carrés dans le Novoparc en mai dernier. On y trouve encore de grands terrains, comme celui au 3360, chemin de la Baronnie, lieu de l'ancienne usine de plastique Basell Canada, fermée en 2007. Selon un courtier, spécialisé dans le marché de la Rive-Sud, des terrains de 3 millions de pieds carrés prêts demain matin, il en reste probablement à Beauharnois, à l'extrémité ouest de l'autoroute 30, et peut-être à l'aéroport de Saint-Hubert. Mais notre expert craint que, dans ce dernier cas, le terrain s'avère peu propice à l'implantation d'un centre de distribution en raison des caractéristiques du sol. Il est en effet devenu difficile pour les centres de distribution de se loger dans la région de Montréal, surtout dans les portions sud et ouest du territoire, à proximité des marchés ontarien et américain. Le nouveau venu dans le marché du détail au Canada, Target, a construit le sien à Cornwall, après avoir tenté sans succès de l'implanter dans la région de Vaudreuil-Dorion qui n'avait pas de terrain d'envergure de disponible. Le modèle d'affaires de Costco Quatrième détaillant en importance au pays, Costco se démarque du reste de l'industrie à plus d'un titre. Elle oblige sa clientèle à payer de 55 à 110 $ par année pour avoir le privilège de magasiner chez elle. En retour, elle s'engage à prendre une marge maximale de 15 % sur les 3500 produits qu'elle propose à son 1,2 million de membres au Québec. De plus, l'entreprise est reconnue pour bien traiter ses employés. Une caissière gagne près de 55 000 $ par année après 5 ans, a soutenu la vice-présidente principale et directrice générale du marchandisage de Costco Canada, Andrée Brien, lors de sa comparution en commission parlementaire sur le prix unique des livres, le 17 septembre dernier. Le club-entrepôt connaît d'ailleurs l'un des taux de roulement les plus faibles du secteur de la vente au détail. Source: http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201312/06/01-4718488-costco-planifie-dinvestir-plus-de-60-millions.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS6
  7. Après avoir été à la traîne de l’économie canadienne durant la majeure partie de 2012, l’économie du Québec a amorcé 2013 du bon pied. La croissance s’est accélérée à un rythme nettement plus élevé que dans le reste du pays en janvier. Au cours du premier mois de 2013, le PIB du Québec a progressé de 0,9%, par rapport à une hausse de 0,2% dans l’ensemble du Canada, révèle mardi l’Institut de la Statistique du Québec. Ce bond de la croissance fait oublier le recul prononcé de 0,6% observé au cours du dernier mois de 2012. Sur une base annuelle, le PIB de la province a augmenté de 1,9% en janvier par rapport au même mois de 2012. Au Canada, la progression a été de 1%. Gains chez les manufacturiers Bonne nouvelle pour le secteur manufacturier, les fabricants ont enregistré une hausse de la production de 1,8% en janvier. Ce résultat fait suite à un repli de 0,3% observé en décembre. Les services publics ont pour leur part affiché une hausse de 1,5%. L’agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse ont noté une observation de 1,6%. En revanche, le secteur de la construction a accusé une baisse de 0,2%. Les ressources naturelles, l’extraction minière, l’exploitation de carrières et l’extraction de pétrole et gaz ont aussi enregistré une baisse de production, de 1,6%. Les ventes au détail progressent Le commerce de détail prend également du mieux dans la province. Statistique Canada a annoncé mardi que les ventes au détail ont augmenté de 0,7% au Québec entre janvier et février. Lisez notre texte pour les résultats de février. Cela fait suite à une hausse de 2,1% observée en janvier dans la province. La performance du secteur du détail au cours des deux premiers mois de 2013 est rassurante, car les commerçants de la province avaient connu un dur mois en décembre. Les recettes des détaillaints avaient en effet fléchi de 2,5% au cours du dernier mois de 2012. La santé du secteur du détail est d'autant plus importante, car d'autres secteurs clés de l'économie, la construction et les exportations, notamment, montrent des signes de faiblesse. Vendredi, l'économiste Hélène Bégin, de Desjardins, a signalé que faute d’une embellie des exportations avant l’an prochain, l’économie du Québec doit compter sur les consommateurs et les entreprises pour maintenir sa croissance. «Les dépenses de consommation et les investissements des entreprises joueront un rôle important afin de maintenir l’économie du Québec en territoire positif», écrit-elle dans une note. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/l-economie-du-quebec-a-amorce-2013-en-lion/556660#.UXaRs0qWW3N Etonnant pour le secteur de la construction,vu le nombre de grues à Montréal..mais bon ce n'est pas Montréal partout au Québec non plus...ce chiffre va surement s'améliorer avec le début des gros projets au printemps.
  8. À l’orée du chic et convoité quartier Fontainebleau se dressera bientôt le projet résidentiel Élysée. Conciliant à merveille les commodités de la vie citadine et la splendeur de la nature bienfaisante, l’Élysée Fontainebleau est synonyme de raffinement et de modernité, de confort et de distinction. Grâce à l’esthétique à la fois classique et contemporaine de son architecture, l’Élysée Fontainebleau possède le charme bucolique des grandes demeures européennes. La présence d’un joli ruisseau bordé d’arbres matures apporte la touche distinctive à l’endroit. La piste cyclable passant à proximité et les nombreux parcs environnants lui donnent un air champêtre empreint de sérénité. Cette oasis de tranquillité est néanmoins fort bien desservie par le réseau de transport en commun et profite de la proximité de nombreux commerces de détail et de services ainsi que de grands axes routiers. Ce projet résidentiel, luxueux mais abordable, se caractérise, en outre, par sa conception soignée résolument moderne mettant à l’honneur des matériaux nobles dans chacune des unités. L’Élysée Fontainebleau, une adresse de prestige à découvrir. http://www.elysee.qc.com/le-projet.html
  9. Source : https://www.dropbox.com/gallery/8423960/1//2012-Mix?h=ca1864&p=6#gallery:138 Aucun détail, sauf un méga rendu qui montre la tour de 13 étages près du métro Longueuil. C'est Alexcaban qui m'a amené à le voir en mettant ce lien sur le fil du Victoire!
  10. Français sur les électroménagers: détaillants et fabricants dénoncent Québec Les détaillants et les fabricants montent au créneau pour dénoncer l'intention de Québec de rendre obligatoires les inscriptions en français sur six types d'électroménagers. À l'heure actuelle, le Règlement sur la langue du commerce et des affaires de la Charte de la langue française prévoit une dérogation pour les inscriptions gravées, incrustées, rivetées ou soudées que l'on trouve sur les cuisinières, fours à micro-ondes, laveuses, lave-vaisselles, réfrigérateurs et sécheuses. Or, en avril, le gouvernement a publié un projet de règlement visant à mettre fin à cette dérogation. Dans une lettre envoyée en mai à la ministre de la Culture, Christine St-Pierre, le président du Conseil québécois du commerce de détail, Gaston Lafleur, soutient que le changement aura des impacts "très significatifs" pour les détaillants, pour les consommateurs et même pour l'économie québécoise. Nathalie St-Pierre, vice-présidente du Conseil canadien du commerce de détail, a également écrit à la ministre. Selon elle, "l'adaptation des chaînes de montage pour accommoder les modifications réglementaires coûterait quelque 165 millions $". Le changement proposé "n'ajoute aucune protection réelle de la langue française au Québec", soutient Nathalie St-Pierre. Les détaillants calculent qu'entre 85 et 90 pour cent des électroménagers actuellement en vente au Québec ne pourraient plus être offerts si le règlement devait entrer en vigueur. De son côté, l'Association of Home Appliance Manufacturers, dont le siège social est situé à Washington, prévient que le nouveau règlement "pourrait engendrer une diminution de l'éventail d'appareils disponibles à la clientèle et, potentiellement, des prix plus élevés au Québec". En 2009, l'Office québécois de la langue français estimait qu'à peine 25 pour cent des électroménagers vendus au Québec portaient des inscriptions en français, contre plus de 75 pour cent au moment de l'adoption de la Charte de la langue française, en 1977. Sur son site Web, l'Office précise avoir "entrepris des démarches qui touchent tous les intervenants du domaine des électroménagers". Les détaillants se plaignent toutefois de ne pas avoir été consultés avant la publication du projet de règlement. Dans sa missive, M. Lafleur a demandé une rencontre avec Christine St-Pierre. Marie-Hélène Paradis, attachée politique au cabinet de la ministre, a toutefois indiqué mardi, au cours d'un entretien téléphonique, qu'aucune réunion n'était prévue pour le moment. Rappelons qu'Electrolux et Mabe ont annoncé la fermeture de leurs usines québécoises pour 2013 et 2014, ce qui mettra fin aux activités de fabrication d'électroménagers dans la province. Dans un autre dossier, le Conseil canadien du commerce de détail conteste l'interprétation que fait le gouvernement de la Charte de la langue française en matière d'affichage. À ses yeux, la loi n'oblige pas les commerçants à ajouter un descriptif français devant leur nom. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/francais-sur-les-electromenagers-detaillants-et-fabricants-denoncent-quebec/546614
  11. Ventes au détail : les Québécois achètent * Lesaffaires.com * 22 mai 2009 La hausse des ventes a été menée par le Québec (+2%). Photo : Bloomberg Le Québec domine les ventes au détail au Canada avec une augmentation de 2% en mars par rapport à février. À l'échelle nationale, les ventes au détail ont augmenté pour un troisième mois consécutif, ayant progressé de 0,3%, pour s'établir à 33,9 milliards $. Cette hausse, a souligné Statistique Canada vendredi en publiant ces données, est principalement attribuable aux ventes plus élevées chez les concessionnaires d'automobiles neuves. La progression des ventes chez les concessionnaires d'automobiles neuves a été de 3,6 pour cent durant la période. Parmi les quatre secteurs qui ont affiché une diminution des ventes, la plus importante a été une diminution de 0,7 pour cent chez les détaillants divers (qui comprennent, entre autres, les magasins d'articles de sports et les magasins de fournitures de bureau). Les ventes se sont accrues dans sept provinces en mars, menées par une hausse des ventes pour un troisième mois d'affilée au Québec (+2,0 pour cent) et en Ontario (+0,6 pour cent). Le Québec est la seule province qui est essentiellement retournée à son niveau de ventes inscrit en novembre 2008. La plus forte baisse des ventes en mars a été une diminution de 1,8 pour cent en Alberta. Les ventes au détail dans la province ont atteint leur plus faible niveau depuis mars 2006. Statistique Canada a expliqué vendredi que les trois mois consécutifs de hausses des ventes au détail, soit janvier, février et mars, n'ont pas complètement annulé les fortes diminutions enregistrées en novembre et en décembre. Les ventes au détail en mars étaient inférieures de 6,3 pour cent à celles affichées lors du sommet atteint en septembre 2008.
  12. En février Les ventes au détail sont meilleures que prévu 23 avril 2009 - 09h08 Louis-Pierre Côté Argent Les ventes au détail au Canada ont été en hausse en février, contrairement à que les économistes prévoyaient. Et le Québec a fortement contribué à cette hausse. Statistique Canada rapporte jeudi que les Canadiens ont acquis pour 33,7G$ de biens dans les magasins de détail en février, ce qui représente une hausse de 0,2% par rapport à janvier. En excluant le secteur automobile, les ventes ont progressé de 0,6%. Les données sont bien meilleures qu’attendu, alors que les économistes sondés par l’agence Bloomberg tablaient sur un recul total des ventes de 0,3% et une progression de 0,2% excluant l’automobile. La hausse de février contraste avec les importantes baisses observées en novembre et en décembre ainsi qu'à un redressement partiel en janvier. La modeste augmentation notée en février a été attribuable aux prix, a souligné l'agence fédérale, ajoutant qu'en volume, les ventes ont reculé de 0,3% en février. Les ventes se sont accrues dans cinq des huit secteurs du commerce de détail. La hausse observée en février a été principalement attribuable aux magasins de matériaux de construction et de produits extérieurs pour la maison qui ont affiché un gain de 3,0%, ainsi qu'aux magasins d'alimentation et de boissons, où la progression a été de 0,7%. Du côté des baisses, avec un recul de 1,9%, les magasins de meubles, d'accessoires de maison et d'appareils électroniques ont affiché la plus forte diminution enregistrée en février. Dans le secteur de l'automobile, les ventes ont reculé de 0,3%, principalement en raison d'une baisse de 1,6% de la valeur des ventes des concessionnaires d'automobiles neuves. Cette diminution a été partiellement compensée par la hausse des ventes dans les stations-service, qui ont progressé pour un deuxième mois d'affilée principalement en raison des prix plus élevés à la pompe. Les ventes ont augmenté dans cinq provinces, la hausse étant principalement attribuable aux augmentations observées au Québec et en Ontario, qui ont été, respectivement, de 1,1% et de 1,0%. Celles-ci ont été atténuées par des baisses en Alberta et en Colombie-Britannique, où les ventes ont reculé de 1,3%. Dans les provinces de l'Atlantique, les ventes étaient essentiellement stables, les ventes plus élevées observées à Terre-Neuve-et-Labrador ayant été atténuées par les baisses des ventes de 1,2% et de 1,4% affichées au Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard, respectivement. avec La Presse Canadienne
  13. Commerce de détail - Les Québécois perdent confiance La Presse canadienne Édition du mardi 07 avril 2009 Pour traverser la crise, les détaillants réduisent leurs marges La récession a un impact clair sur la confiance et le comportement des consommateurs québécois, et le secteur du commerce de détail doit sacrifier une portion de ses marges de profit pour se maintenir. Le Conseil québécois du commerce de détail a présenté hier les résultats d'un vaste sondage qui démontre que la confiance des consommateurs québécois est à son plus bas niveau depuis 2004, soit depuis que le Conseil mesure cet indice. Celui-ci a chuté de 23 points depuis le sommet de l'automne 2007 pour se situer à 81,4, glissant en deçà de son creux précédent de 86,6, atteint au lendemain de l'ouragan Katrina à l'automne 2005, alors que les prix du pétrole étaient en forte hausse. De plus, près des deux tiers des répondants (62 %) croient que la situation économique du Québec se détériorera au cours des 12 prochains mois, comparativement à 37 % il y a un an. Quant à leur propre situation financière, 63 % des ménages affirment qu'elle n'a pas changé, une proportion identique à l'année précédente, mais seulement un sur dix (11 %) dit constater une amélioration, comparativement à un sur cinq (21 %) l'an dernier, alors que 26 % affirment que leur situation s'est détériorée, soit 10 % de plus qu'en 2008. Fait à noter, parmi les ménages dont la situation s'est détériorée, une proportion de 18 % imputent cette situation à la diminution de la valeur de leurs placements, ce qui reflète directement la crise financière. «Dans le sondage précédent, l'année dernière, seulement 3 % identifiaient cette cause comme un des éléments principaux ayant causé la détérioration de leur situation financière», a précisé en conférence de presse le président du Conseil québécois du commerce de détail, Gaston Lafleur. Conséquemment, les consommateurs québécois ajustent leurs habitudes. Alors que 18 % disent n'avoir aucunement modifié leur comportement, d'importantes majorités disent rechercher davantage les rabais (69 %), fréquenter les mêmes magasins, mais acheter moins (62 %) ou encore fréquenter davantage les magasins moins chers (59 %). Deux consommateurs sur cinq (39 %) adoptent ces trois comportements. M. Lafleur a souligné que les détaillants parviennent à tirer leur épingle du jeu en se tournant notamment vers les soldes, réduisant de ce fait leur marge bénéficiaire. «Si on regarde par exemple le secteur du vêtement, plusieurs de nos détaillants ont quand même connu des ventes intéressantes, mais c'était au détriment des marges, parce qu'on a dû solder davantage. [...] Les ventes sont toujours présentes, mais par contre la marge bénéficiaire en prend pour son rhume», a-t-il dit. Les intentions d'achat des Québécois sont d'ailleurs révélatrices: ils anticipent réduire leurs dépenses dans toutes les catégories de biens courants, les baisses les plus fortes étant prévues dans les appareils audio et vidéo (-40 %), les meubles et électroménagers (-36 %), le matériel informatique (-31 %), les restaurants (-29 %) et les articles de sport (-28 %). Curieusement, toutefois, un ménage sur quatre prévoit malgré tout réaliser un achat important au cours de l'année, qu'il s'agisse d'une maison, d'un véhicule ou d'appareils électroménagers, une proportion qui se maintient d'une année à l'autre. «Je ne pense pas que les consommateurs québécois soient en situation de panique, mais ils seront probablement plus judicieux dans leurs sélections et leurs choix», a dit M. Lafleur. Le sondage a été réalisé par la firme AltusGéocom entre le 25 février et le 12 mars auprès de 1007 répondants. Sa marge d'erreur est de plus ou moins 3,2 %, 19 fois sur 20.
  14. Le début de l'ère de la postconsommation? Publié le 31 mars 2009 à 06h42 | Mis à jour le 31 mars 2009 à 06h44 La Presse (Montréal) Avis aux détaillants qui attendent la fin de la récession pour voir les consommateurs se ruer à nouveau dans leurs magasins: ceux-ci risquent de bouder les centres commerciaux beaucoup plus longtemps que prévu. Et la crise économique n'est que la pointe de l'iceberg qui s'apprête à frapper de plein fouet le commerce de détail. C'est en tout cas ce que prédit Dan Stanek, vice-président exécutif de la firme de recherche en commerce de détail TNS Retail Forward. Cet homme, qui possède 25 ans d'expérience en marketing et qui a conseillé des clients de la trempe de Wal-Mart et Toys-R-Us, va même jusqu'à prédire que la crise économique ne fera qu'accélérer notre entrée dans «l'ère de la postconsommation». «Les consommateurs ne font pas que réagir à la crise, a expliqué hier M. Stanek devant une assemblée de commerçants qui voient les clients délaisser leurs magasins. Ils sont en train de renforcer un nouveau modèle de consommation qui s'installe depuis quelques années.» Son allocution, prononcée dans le cadre du Congrès annuel du commerce de détail québécois, visait à démontrer que l'époque où les Occidentaux étalaient leur richesse en consommant tout et n'importe quoi est en train de prendre fin. «La surconsommation n'est plus un signe de succès. Les gens rient de la surconsommation», a dit le conférencier en montrant quelques sites web qui se moquent du consumérisme. Et cette idée de «dépenser moins et vivre mieux» dépasse largement le cercle des anticapitalistes purs et durs. M. Stanek observe que même les plus fortunés sont en train de changer leurs habitudes. «L'idée n'est plus d'en mettre plein la vue avec le luxe et les marques connues», dit-il. Selon lui, la volonté de réduire sa consommation s'allie aujourd'hui aux préoccupations environnementales pour former un «alliage très fort». «On fait rimer économie et écologie. On n'est pas seulement en train de sauver la planète. On sauve aussi de l'argent en même temps.» Mouvement accéléré Nul doute que la crise économique est en train d'accélérer le mouvement. Les consommateurs qui ont vu la valeur de leur maison dégringoler au même rythme que leurs placements n'oublieront pas de sitôt leurs mésaventures, croit M. Stanek. Mais pour lui, «les facteurs économiques ne sont que la pointe de l'iceberg». Et il est faux de croire que la tendance s'inversera aussitôt la crise passée. «Ce n'est pas quelque chose qui va disparaître, dit M. Stanek. Et ce n'est pas une bonne nouvelle pour les détaillants.» En marge de son allocution, M. Stanek a affirmé à La Presse Affaires que les détaillants canadiens pourraient être particulièrement touchés par cette nouvelle mouvance. «Chez vous, près des deux tiers du commerce de détail se fait par des détaillants indépendants. Ces gens n'ont peut-être pas les ressources pour faire face à la tempête. D'un autre côté, la récession a retardé les plans de bon nombre de détaillants américains qui voulaient étendre leurs opérations au Canada. Ça donne la chance aux détaillants canadiens de se repositionner.» Et comment, justement, se repositionner? Tout conférencier qui se respecte donne ses trucs en temps de crise pour «transformer les difficultés en opportunités». Ceux de M. Stanek: d'abord comprendre ce changement de valeurs des consommateurs, puis répondre à leur désir d'économiser et de sauver la planète. Autre filon: si les consommateurs délaissent les marques, ils recherchent aujourd'hui des produits uniques, personnalisés, qui leur ressemblent. M. Stanek a donné plusieurs exemples hier, dont Keds, un fabricant de chaussures qui permet aux clients de faire eux-mêmes le design de leurs chaussures sur internet, où la chaîne de magasins Macy's, qui adapte maintenant chaque magasin aux besoins locaux des consommateurs.
  15. Les ventes au détail ont reculé de 5,4% en décembre au Canada, une baisse record essentiellement attribuable à l'effondrement des ventes liées au secteur automobile. Pour en lire plus...
  16. Publié le 22 février 2009 à 07h39 | Mis à jour à 07h43 L'inquiétude ronge les commerçants Un magasin de vêtements fermé, rue Mont-Royal à Montréal. Photo: Robert Skinner, La Presse Mathieu Perreault La Presse Dany Roseman est inquiet. Le président de l'Association des commerçants de la rue Monkland a vu quelques magasins fermer leurs portes dans les derniers mois et sait que d'autres propriétaires songent à les imiter. Pour lui, c'est une évidence: la crise fait déjà mal au commerce de détail à Montréal. «Il faut agir, affirme M. Roseman. Les gens dépensent moins. Il faut les encourager. Les tarifs des parcomètres, par exemple, sont beaucoup trop élevés.» La demi-douzaine de pâtés de maison que compte la portion commerçante de la rue Monkland ne ressemble toutefois pas à la rue Sainte-Catherine au pire de la crise des années 90. Un restaurant français a fermé ses portes récemment - ses vitres sont encore propres devant le papier beige qui les bouche, et les lumières de la plate-bande sont encore allumées. Un local de sous-sol, occupé jusqu'à récemment par un boucher qui a déménagé en face dans un local plus grand, est inoccupé depuis l'automne. Le propriétaire de l'immeuble, Larry, confirme qu'il a plus de difficulté que prévu à le louer. Mais les dizaines d'autres commerces sont encore pimpants. «Il est encore trop tôt pour sauter aux conclusions», estime de son côté le président de la Société de développement de l'avenue du Mont-Royal, Michel Despatie. «Janvier et février sont toujours des mois plus tranquilles, où il y a des changements de locataires commerciaux. Et c'est difficile de faire des comparaisons avec l'année dernière, qui avait été difficile à cause des tempêtes. Ce que je vois pour le moment, c'est que les commerces qui ont une stratégie moins à jour sont plus vulnérables. Un Van Houtte a par exemple fermé: c'est un peu compréhensible face à des concurrents comme Starbucks ou Café Dépôt.» Une inspection de l'avenue du Mont-Royal, du boulevard de Lorimier jusqu'à la rue Saint-Denis, puis de cette rue vers le sud jusqu'à la rue Roy, a permis de relever une quinzaine de magasins fermés. Dans deux cas, il s'agit de magasins de vêtements bas de gamme dont l'enseigne date d'avant la loi 101. Un restaurant à l'est de Papineau est fermé temporairement, le propriétaire ayant dû vendre son commerce pour cause de maladie. L'Entrepôt du cuir, coin Papineau, annonce son remplacement imminent par une boutique Geox. Le propriétaire d'un local récemment déserté par une boutique de vêtements en liquidation, avenue du Mont-Royal, affirme avoir déjà un autre locataire. Le propriétaire de la boutique Verriers Saint-Denis, qui n'est désormais ouverte que sur rendez-vous, affirme que sa décision n'est pas basée sur des ventes en baisse. Seul le propriétaire d'un petit local en sous-sol, rue Saint-Denis, rapporte que les locations commerciales sont plus difficiles qu'au cours des dernières années. Le local est fermé depuis septembre, car le commerçant qui s'y était installé a fait une crise cardiaque. Rien d'inhabituel à signaler La Presse a consulté une demi-douzaine d'autres sociétés de développement de l'île, qui ont confirmé que leurs membres sont inquiets mais qui n'ont pas signalé un nombre inhabituel de fermetures. «Chez nous, il y a toujours une douzaine de magasins qui ferment après les Fêtes parce que c'était des centres de liquidation qui profitaient du magasinage d'avant Noël», dit Mike Parente, de la Société de développement de la plaza Saint-Hubert. M. Despatie mentionne que les baux commerciaux ont énormément grimpé ces dernières années; comme ils ne sont renouvelés qu'aux cinq ou 10 ans, certaines stratégies d'affaires deviennent du jour au lendemain déficitaires. À la chambre de commerce du Montréal métropolitain, le président Michel Leblanc rapporte des «anecdotes» de commerces qui vivent des temps plus durs: l'alimentation et les restaurants haut de gamme, les biens durables comme l'électronique ou les meubles. Mais lui aussi estime qu'il est trop tôt pour sauter aux conclusions. Néanmoins, il s'attend à ce que la croissance des ventes au détail pour le dernier trimestre, qui devait être de 0,4% selon le Conference Board, soit nulle ou carrément négative. M. Leblanc remet toutefois les choses en perspective: au troisième trimestre de 2007, les ventes au détail ont chuté de 2,7%, mais elles ont par la suite rebondi. La chambre de commerce de Laval confirme que les magasins de biens durables sont plus touchés que les autres et signale des fermetures de magasins de meubles. Les centres commerciaux affirment être bien portants. Ni Cadillac Fairview ni Ivanhoé ne rapportent d'augmentation des demandes de réduction de bail. Une brève visite aux Galeries d'Anjou permet de voir que seulement cinq locaux sur 175 sont inoccupés. Jean-François Breton, coprésident du groupe Devimco, note que la croissance des revenus des magasins du Dix30 a été plus lente en janvier par rapport à janvier 2008, mais que Devimco a toujours une liste d'attente de commerces désireux de s'y implanter. «Notre prochaine phase est déjà louée à 55%.»
  17. Les ventes de détail ont augmenté de 1 % en janvier, une première hausse depuis plusieurs mois. Cet indicateur s'inscrit malgré tout en baisse de près de 10 % par rapport au même mois, un an plus tôt. Pour en lire plus...
  18. La valeur des ventes au détail s'est repliée de 2,4% au Canada en novembre dernier sous l'effet d'une baisse combinée des ventes de voiture et des prix du carburant, selon Statistique Canada. Pour en lire plus...
  19. Les Bourses nord-américaines ont connu de nouvelles turbulences mercredi après les annonces d'une baisse plus forte que prévu des ventes de détail aux États-Unis. Pour en lire plus...
  20. Il s'agit de la plus forte baisse des ventes de détail depuis le début de la publication de cette statistique en janvier 1992. Pour en lire plus...
  21. À l'exception notable des produits de pharmacie, de soins personnels et d'alimentation, les ventes au détail au Canada se sont repliées de près de 1% en octobre par rapport à septembre. Pour en lire plus...
  22. Plombées par les baisses de prix en magasin, les ventes au détail ont reculé de 0,9% à 35,9 G$ en octobre. Pour en lire plus...
  23. La valeur des ventes au détail a poursuivi sa chute pour un cinquième mois consécutif en novembre aux États-Unis, où la crise économique poursuit ses ravages. Pour en lire plus...
  24. Les ventes de détail ont baissé de 1,6% en un mois en octobre en Allemagne, ce qui est nettement plus mauvais que prévu. Pour en lire plus...
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