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  1. TransCanada et ConocoPhillips ont annoncé qu'elles augmenteraient de près du double la capacité du projet Keystone ce qui va permettre de transporter le pétrole de l'Alberta jusqu'à la côte du golfe du Mexique. Pour en lire plus...
  2. Des investissements de 70 millions créeront 200 emplois au Québec La Presse canadienne Édition du mercredi 16 juillet 2008 Farnbourough -- Les compagnies RTI Claro, LISI Aéronautique Canada et un consortium comprenant Bombardier, Bell Helicopter et Composites Atlantic ont profité de la vitrine qu'est le Salon de Farnborough pour annoncer des investissements de plus 70 millions et la création d'environ 200 emplois au Québec. Au stand du Québec, le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, a de son côté annoncé que son gouvernement allait fournir un appui financier à tous «ces projets structurants». Expansion RTI Claro recevra ainsi 1 million pour soutenir son projet d'expansion de 13,5 millions. La firme de Laval qui fabrique des pièces en alliage de titane compte acquérir de nouveaux équipements afin d'augmenter sa capacité de production. Une cinquantaine de nouveaux emplois devraient être créés avec cette expansion. «On espère être en place avec le nouvel équipement et la nouvelle structure d'ici la fin de l'année», a précisé Francisco Vega, directeur du développement d'affaires de la compagnie. La filiale québécoise de l'entreprise LISI Aerospace a quant à elle obtenu un prêt de 1,9 million du gouvernement dans le cadre d'un investissement total de 10 millions. Elle souhaite elle aussi augmenter sa capacité de production. La compagnie qui fabrique des pièces pour l'aéronautique compte créer 150 emplois sur quatre ans. Recherche De leur côté, Bombardier, Bell Helicopter et Composites Atlantic se sont réjouis d'avoir obtenu neuf millions en crédits d'impôt pour un projet de recherche de pointe en partenariat avec le Centre national de recherche canadien (CNRC). «Cette aide nous permet d'accélérer la recherche», a précisé Jacques Saint-Laurent, président de Bell Helicopter. Aussi, ce type de collaboration permet de «combler la distance qui existait entre les recherches universitaires et le développement industriel», a-t-il poursuivi. «Pour des questions stratégiques», il s'est toutefois fait discret sur le contenu exacte de ces recherches dont la valeur totale s'élève à 47 millions. Il s'agit, en gros, de recherches sur les pièces qui servent à former la structure des avions et des hélicoptères. «Il peut s'agir d'études sur de nouveaux matériaux, par exemple», a précisé un proche du dossier. Cinquante chercheurs provenant des trois entreprises et de l'Institut de recherche aérospatiale du CNRC participent à ce projet actuellement. «Ils sont tous basés dans la région de Montréal. C'est très facile pour eux de communiquer ou de se rencontrer», a souligné Jacques Saint-Laurent.
  3. C'est donc dire que l'action de la société va quitter la Bourse de croissance et intégrer le TSX, l'indice vedette de la Bay Street. Pour en lire plus...
  4. Pour l’année 2008, l’analyste Fadi Chamoun prévoit une perte de 72 cents par action. UBS conserve tout de même la cote du transporteur à «neutre». Pour en lire plus...
  5. Les syndicats perçus comme les gardiens des paresseux Cinquante-neuf pourcent de la population croit que les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux, selon un sondage mené par Pierre Côté, fondateur de l'Indice relatif de bonheur (IRB). Les syndiqués eux-mêmes sont loin d'être en désaccord avec cette affirmation : 52% d'entre eux répondent oui lorsqu'on leur demande si, dans la société d'aujourd'hui, les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux. Le camp du non rallie un maigre 9 % de l'ensemble des sondés et 11 % de la population syndiquée. Le sondage dans son ensemble ne révèle ni amour ni haine envers les syndicats. Bien qu'on ne les érige pas en leaders de la société, on reconnaît leur utilité : 40 % des sondés les jugent essentiels dans la démocratie et l'équilibre social. Toutefois, 55 % croient que les syndicats incarnent des instruments politiques au service de leurs intérêts. Au-delà du sondage, la question de la paresse et de l'incompétence au travail soulevée par Pierre Côté illustre une réalité des organisations. Selon un sondage CROP commandé en 2007 par l'Ordre des conseillers en ressources humaines et en relations industrielles (ORHI), 69 % de la population affirme côtoyer au travail des employés dont le rendement est médiocre et qui sont maintenus en poste. Mais, dans les faits, quel rôle les syndicats jouent-ils lorsqu'un patron est confronté à une situation d'incompétence ou de paresse flagrante d'un employé? «En bout de ligne, le résultat est le même, syndicat ou non», affirme Laurent Francoeur, président et directeur général de l'ORHI. «Gérer l'incompétence relève de la responsabilité de l'employeur puisque celui-ci détient un droit de gérance. Le syndicat va encadrer le processus menant au congédiement, et il contestera la décision si les procédures n'ont pas été suivies correctement», ajoute-t-il. Cependant, cette opinion de l'expert est loin d'être partagée par les sondés de l'IRB. Alors que Laurent Francoeur positionne les syndicats comme les gardiens de procédures établies, l'opinion publique estime que les syndicats encouragent la paresse et l'incompétence, entravant la productivité des organisations. Crise de perception ou signal d'alarme lancé aux syndicats? «Les syndicats doivent faire une introspection et redéfinir leurs objectifs, déclare Pierre Côté. Ils ne se battent plus pour une cause, mais pour conserver leurs acquis et renforcer leur pouvoir.» Observatoire social L'Indice relatif de bonheur s'affiche comme un observatoire social indépendant. Pierre Côté, l'homme derrière l'indice, est consultant en communication marketing. Depuis qu'il a fondé l'IRB en novembre 2006, il a posé plus de 350 questions aux internautes naviguant sur indicedebonheur.com. Quelque 1257 personnes ont répondu en ligne au sondage de l'IRB portant sur la perception des syndicats, la marge d'erreur étant de 2,8%. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080617/LAINFORMER/806170546/5891/LAINFORMER01
  6. Les syndicats perçus comme les gardiens des paresseux 17 juin 2008 - 07h27 Le Soleil Anne-Sophie Pratte Cinquante-neuf pourcent de la population croit que les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux, selon un sondage mené par Pierre Côté, fondateur de l'Indice relatif de bonheur (IRB). Les syndiqués eux-mêmes sont loin d'être en désaccord avec cette affirmation : 52% d'entre eux répondent oui lorsqu'on leur demande si, dans la société d'aujourd'hui, les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux. Le camp du non rallie un maigre 9 % de l'ensemble des sondés et 11 % de la population syndiquée. Le sondage dans son ensemble ne révèle ni amour ni haine envers les syndicats. Bien qu'on ne les érige pas en leaders de la société, on reconnaît leur utilité : 40 % des sondés les jugent essentiels dans la démocratie et l'équilibre social. Toutefois, 55 % croient que les syndicats incarnent des instruments politiques au service de leurs intérêts. Au-delà du sondage, la question de la paresse et de l'incompétence au travail soulevée par Pierre Côté illustre une réalité des organisations. Click here to find out more! Selon un sondage CROP commandé en 2007 par l'Ordre des conseillers en ressources humaines et en relations industrielles (ORHI), 69 % de la population affirme côtoyer au travail des employés dont le rendement est médiocre et qui sont maintenus en poste. Mais, dans les faits, quel rôle les syndicats jouent-ils lorsqu'un patron est confronté à une situation d'incompétence ou de paresse flagrante d'un employé? «En bout de ligne, le résultat est le même, syndicat ou non», affirme Laurent Francoeur, président et directeur général de l'ORHI. «Gérer l'incompétence relève de la responsabilité de l'employeur puisque celui-ci détient un droit de gérance. Le syndicat va encadrer le processus menant au congédiement, et il contestera la décision si les procédures n'ont pas été suivies correctement», ajoute-t-il. Cependant, cette opinion de l'expert est loin d'être partagée par les sondés de l'IRB. Alors que Laurent Francoeur positionne les syndicats comme les gardiens de procédures établies, l'opinion publique estime que les syndicats encouragent la paresse et l'incompétence, entravant la productivité des organisations. Crise de perception ou signal d'alarme lancé aux syndicats? «Les syndicats doivent faire une introspection et redéfinir leurs objectifs, déclare Pierre Côté. Ils ne se battent plus pour une cause, mais pour conserver leurs acquis et renforcer leur pouvoir.» Observatoire social L'Indice relatif de bonheur s'affiche comme un observatoire social indépendant. Pierre Côté, l'homme derrière l'indice, est consultant en communication marketing. Depuis qu'il a fondé l'IRB en novembre 2006, il a posé plus de 350 questions aux internautes naviguant sur indicedebonheur.com. Quelque 1257 personnes ont répondu en ligne au sondage de l'IRB portant sur la perception des syndicats, la marge d'erreur étant de 2,8%. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080617/LAINFORMER/806170546/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  7. Chez les résidents de la région de Coaticook, la tentation est grande de traverser du côté du Vermont. Pour le plein, le consommateur sauve de 10 à 15 $. Pour en lire plus...
  8. Immeuble d'une dizaine d'étages en rénovation sur Bleury au sud de Ste-Catherine, côté est, just au sud du Spectrum. Savez-vous de quoi il s'agit? Merci!
  9. Quant les biotechs reluquent du côté de l'étranger, elles ont à la fois raison et tort de le faire. Pour en lire plus...
  10. Côte revenus, ils ont été en forte hausse en raison de l'acquisition de Putnam par une filiale du holding, la Great-West. Pour en lire plus...
  11. Bonjour à tous, Voila suis nouveau sur mtlurb (mon 1er thread ) et vu que je vais bientot enfin démenager pour Montréal je passe mon temps à admirer les projets qui se construisent. Étant un fan de hockey je voulais faire un post dessus, malheureusement je n'ai jamais assisté à un match de NHL sauf devant la télé. Ici aussi le hockey est le sport national (devant le soccer) et je trouve pas mal de petite différence avec le championnat nord américain. - le championnat est assez relevé (2 ligues professionnels Ligue national A et B avec des promotions et des relégations entre les 2 ligues). - Patinoire plus grande mais nombre de place bien plus faible (7'000 en moyenne) - Ici les kops suivent toujours leurs équipes (la distance la plus loin est de 4h de voiture pour suivre son équipe) avec drapeaux et tambours - Nombre d'étranger est limité (possibilité d'aligner seulement 4 étranger sur la feuille de match, généralement des canadiens ou russes) Je voulais vous montrer quelque photos de ma sortie à Berne (je suis l'équipe du Genève Servette) En 2 mots Berne c'est la plus grosse Arena de Suisse et 2eme d'Europe. 17'000 places dont 14'000 debout (hé oui ici la moitié des places des patinoires sont des places assises et le reste c'est pas méga confort). Le meilleur public de Suisse ambiance de folie avec des chants tous le long et le mauvais coté de l'Europe beaucoup d'insulte et provocation entres les kops. A l'entrée des joueurs toujours aussi beau Présentation des équipes (vous pouvez constater les vitres en contrebas pour séparant les supporters de l'équipe adverse avec les locaux (car sinon risque de jet de papier ou verre, encore un mauvais coté) depuis notre Kop (400 personnes environ) Photo prise sur un site de supporter de Servette (http://www.hellseagles.com) ou on voit bien "le mur" avec une pente de malade, je comprend pas comment les gens se tombent pas dessus Pour finir une vue qui représente bien la patinoire (prise sur wikipedia.org) Bilan de la soirée: Après avoir mené 2-0 les 2 premiers tiers-temps on perd 3-2 . Berne reste premier et nous 2ème (sachant que sur les 12 équipe du championnat on à que le 10ème budget c'est bien), il reste plus que 5match les playoffs nous attendent dans 2 semaines . J'espère pouvoir poster bientôt des photos de Genève et que ce post n'était pas trop nul
  12. Résidence pour semi-retraités à Outremont à côté du nouveau campus de l'U de M. 179 unités. En construction.
  13. Le Journal de Montréal 13/12/2007 Un nouveau concept de SAQ Express 22 h, aménagé au coût de 730 000 $, ouvre ses portes aujourd’hui au centre-ville, rue Sainte-Catherine Ouest. Un an après avoir commencé à tester ses SAQ Sélection nouveau genre, la société d’État entreprend la transformation de ses 34 succursales Express, a appris Le Journal de Montréal. Un processus qui devrait s’étendre sur près de dix ans. La nouvelle image de ces petits points de vente se veut plus jeune, plus urbaine, plus épurée. La SAQ souhaite aussi y rendre le magasinage plus facile. Car 81 % des clients de la bannière Express font leurs achats en seulement cinq minutes. Côté look, la nouvelle succursale du centre-ville étonne avec ses murs blancs décorés de grandes toiles modernes; son plancher, très pâle, qui imite le bambou; son plafond de 48 pieds; et la lumière provenant de puits. Pour le côté pratique des choses, tous les vins rouges ont été placés à droite, les blancs et les coolers, à gauche, les spiritueux, au centre. Et comme on le voit dans les quatre SAQ Sélection nouvelle génération qui existent à ce jour, des pastilles de couleur précisent le «goût» des vins aux consommateurs. Abolition des Classique Toutes les autres succursales Express adopteront ce concept qui met en évidence les heures d’ouverture prolongées (jusqu’à 22 h). En moyenne, les transformations coûteront 130 000 $. La succursale près de la rue Stanley est donc exceptionnelle. Simultanément, les Sélection continueront de changer de look, et la bannière Classique sera rebaptisée SAQ. «Nous avons réalisé que cette désignation ne voulait rien dire pour les gens», explique Lyne Rodrigue, directrice du développement immobilier de la SAQ. Tous ces changements devraient coûter autour de 60 M$, ce qui n’est pas «beaucoup plus», affirme-t-on, que le budget habituel de la SAQ pour l’amélioration de son réseau de succursales.
  14. 24 novembre 2007 Développement Griffintown Fiche - Projet particulier Dévoilement au plublic des plans préliminaires d'un projet particulier Près de deux mois après le communiqué annonçant la mise en service de Développement Griffintown, la division immobilière de la Ville de Montréal est fière de vous présenter le tout premier projet issu de sa création. Ces plans sont prémilinaires et sujet à des modifications. D'autres projets vous seront communiqués dans les prochaines semaines. La Ville de Montréal et Développement Griffintown vous remercie. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Metropolitan Montréal (Rue Notre-Dame/Rue Duke/Rue St-Maurice) Promoteur: Hotel Metropolitan Directeur du projet : M. Sylvain Desmarais Architectes : PCR Architectes & associés Adresse : 770 Notre-Dame Ouest Statut : Finissions des plans et préparation aux consultations publiques Début des travaux : Avril 2008 Fin des travaux *: Juin 2010 Type de construction : Résidences de luxe/Hôtel Nombre de chambres : À définir Nombre de d'unités : À définir Nombre d’étages : 32 étages Hauteur totale: 135 mètres Description: La première partie (basse) sera destinée à des chambres d'hôtel. La deuxième partie (haute) sera destinée à des résidences de luxe. L'aménagement paysagé en arrière de la tour comprant de nombreux arbres, un sentier publique, et une entrée pour automobiles. Le projet comprant 4 étages de stationnements sous-terrains. La tour est faite toute de verre, de deux teintes différentes. La partie sud de la tour est de la même hauteur que son voisin, le 740 Notre-Dame O. Premiers rendus : (Haut) (Côté sud) (Côté est) (Côté nord) (Côté nord-est) (Cours - nord-est) (Cours - haut de l'édifice) (Côté sud - cour arrière) (Facade sud-est) (Côté est - haut) (Cours arrière) (Rue Notre-Dame) (Cours arrière - St-Maurice) (Entrée arrière - est) (Cours arrière - Notre-Dame) (Coin Duke/St-Maurice) (Entrée sur Duke) (Entrée sur Duke - coin Notre-Dame) (Impact sur le centre-ville) -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
  15. Montreal's vital signs improving PETER HADEKEL, The Gazette Published: 7 hours ago When consulting economist Marcel Cote put together a statistical picture of the Montreal area, he found several signs of improvement. The region's unemployment rate, long among the worst in urban Canada, is now closer to the national average than it's been in two decades. The workforce is getting smarter. Over the last 10 years, the proportion of Montrealers who've completed post-secondary studies has shot up from 43 per cent to 55 per cent and is now above the Canadian average. Innovation is thriving. Between 1990 and 2005, the share of scientific and technical jobs in the labour force has grown at a faster rate than in Toronto and Vancouver. Cote collected the data for the Foundation of Greater Montreal, which yesterday published its annual checkup on the metropolitan area, titled Vital Signs. The report is intended to raise awareness on the challenges and opportunities facing the community. It also serves as a good gauge of the quality of life in Montreal. But for all of Montreal's improvements, there are plenty of problems to address. Nearly a quarter of families earn low incomes and a disproportionate number of seniors live in poverty. Chronic homelessness remains an issue, especially among First Nations and Inuit. And Montreal still hasn't figured out how to integrate immigrants into its economic fabric. Relative to Canadian-born workers, the jobless rate among immigrants is far higher than it is for Canada as a whole. Asked to sum up his findings, Cote noted that in areas where change happens quickly, Montreal has done quite well. For example, changes in public policy like government mandated pay equity have helped put money into consumers' pockets and improved Quebec's economic performance. But on longer term issues like poverty and personal health, progress is much slower. On the island of Montreal, 25 per cent of women and 40 per cent of men did not have a family physician. In secondary schools, only 39 per cent of students exercised enough to be in good physical condition. It's worth remembering that economic health is closely linked to social health. Prosperity and growth help to pay for improvements in health and social services. As well, the link between educational attainment and a strong economy is clear, Cote noted. The high dropout rate in Montreal-area schools is closely linked to the incidence of poverty. To ensure that growth continues, Montreal will have to address tough challenges, including: the aging of its population, the impact of globalization and the competitive threat from such emerging economies as China, India, Russia and Brazil. The city also needs huge infrastructure repairs. And a way must be found to reorganize municipal finances so that it can meet the needs of citizens. If Montreal can do a better job in these areas, it should be well-positioned to compete, because its economy is diversified and increasingly driven by knowledge industries. "Montreal's fundamental comparative advantage is in advanced manufacturing," Cote says. The city has a skilled and stable work force that attracts investment. "Our advanced manufacturing industries are not too threatened by the developing countries." Of all the challenges ahead, Cote says the biggest one may be remaining an open and international city while retaining the French character of Montreal. "We have to stay open," he said. "We have to accommodate more immigrants. But we have to get them to accept French. Otherwise, they don't have jobs, they're not happy and they leave." Montreal has done a fairly good job of retaining new immigrants but must get them into the workforce faster. "The fact that Montreal is French in North America is our fundamental challenge. We want to keep it this way, we like it this way, it makes a very interesting city. But it has its problems." Cote added, however, that if cities like Brussels, Amsterdam and London can retain an international quality, Montreal can too. Immigration is key to both arresting the city's demographic decline and positioning it to prosper in the global economy. phadekel@videotron.ca
  16. Le goût d'un nouveau monde Par Dorane Vignando Au coeur de Montréal, design, gastronomie, mode, développement durable témoignent d'une autre façon de vivre l'Amérique Du dehors, c'est une tour de centaines de verres montés en un colossal lustre de cristal que l'on remarque. A l'intérieur, une foule bigarrée grignote des tapas en sirotant du vin chilien ou australien. Le bar Pullman semble rescapé d'une guerre de chantier. En apparence. Car devant les murs troués et les lampes bricolées, étudiants bohèmes et costumes- cravates se mélangent dans le raffinement des dégustations. Ce temple branché, primé pour son look par le magazine «Créativité Montréal», illustre l'engouement actuel de la ville pour la création d'avant-garde. Justement. Après Buenos Aires et Berlin, Montréal vient de rejoindre le club fermé des «Villes Unesco de design». Bouillonnante, épicurienne, elle s'est débarrassée de ses habits de Vieux Continent et s'offre une cure de jouvence. Boutiques branchées, restaurants créatifs, anciennes usines ou bâtiments métamorphosés en ateliers ou en lofts, quartiers à l'abandon redynamisés... Selon le quotidien «la Presse», Montréal ferait même partie du top 10 des capitales du «nightlife», après New York, Londres ou Miami. Du Village (le quartier gay) au plateau Mont Royal, les nuits peuvent en effet être très chaudes, même en hiver. Côté musique, critiques et journalistes s'accordent à dire que la «nouvelle scène québécoise» swingue à tout va et bouscule rites et clichés sans se soucier ni des modèles locaux, et encore moins des cousins anglo-saxons. Ou plutôt en les mélangeant pour offrir un cocktail plutôt détonnant. Côté mode et design, «jamais nous n'avons autant parlé de création à Montréal qu'aujourd'hui», remarque Sylvie Berkowicz, rédactrice en chef de «Créativité Montréal». Une chose est sûre: si Montréal n'a pas la mentalité «américaine» de Toronto, ni ses coups d'éclat architecturaux, les rives du Saint- Laurent ne sont pas un bout de France perdu en Amérique, mais un bout d'Amérique qui se trouve bien être francophone. Sans chichis ni tape-à-l'oeil. La ville cultive ses contrastes, voire ses anachronismes, dans un mélange de vieilles pierres et de hautes silhouettes de béton et de verre. Depuis 2004, les vénérables rues pavées du quartier historique et de la basilique Notre- Dame filent vers le tout nouveau «quartier international», no man's land qui a vu sortir de terre des immeubles contemporains comme le spectaculaire Palais des Congrès avec sa façade en kaléidoscope de couleurs. Des brumisateurs intégrés au sol rafraîchissent les passants de la rue Saint-Antoine et les horodateurs fonctionnent à l'énergie solaire. Des hôtels design ont fleuri un peu partout dans le secteur ainsi que des tables très en vue tenues par des chefs inventifs, comme le «Toqué!», très sélect, où l'on vient de loin pour goûter du tar- tare de cerf au soja bio. Du centre-ville au quartier Latin, du boulevard Saint- Laurent au Plateau Mont-Royal, le design a la vedette. Les créateurs locaux ont carte blanche pour créer une succession d'ambiances diverses. Dans le «Mile End» autour de la rue Saint- Viateur, boutiques de mode et de déco, agences d'événementiel et cabinets d'architectes ont investi les bâtiments de brique rouge, les entrepôts, les anciennes boulangeries et les demeures bourgeoises XIXe. Dans sa boutique-galerie, la styliste- peintre mexicaine Renata Morales séduit par sa mode décalée et ses imprimés pop qui habillent déjà Charlize Theron, Milla Jovovich ou Alanis Morisette. Sans oublier les modèles japonisants de Marie Saint-Pierre ou le style vintage revisité du prometteur Denis Gagnon. Et que dire de la galerie de design ultra pointue Commissaires, qui s'est fait un nom par ses choix d'avant-garde: un théâtre d'objets où l'on déniche les oeuvres inédites du Néerlandais Maar- ten Baas, les céramiques rares de Hella Jongerius, les lampes de Michel Parent ou les drôles de toutous de William Wilson. De l'autre côté de la ville, vers le vieux port, une ancienne usine de textile transformée en coopérative d'habitation d'artistes accueille peintres, sculpteurs, photographes. De la céramique chez Marie Anne Marchand, de la vidéo chez Claudette Lemay, des portraits de SDF chez le photographe Jean Pierre Lacroix... Quant à Suzanne Bellefeuille, elle expose ses toiles et marionnettes géantes dans le nouveau centre de la Tohu, la nouvelle Cité des Arts du Cirque. Implantée dans un des quartiers les plus défavorisés, le quartier Saint-Michel, cet édifice - comprenant le « Pavillon », vaste chapiteau en béton qui a reçu plusieurs prix de la part de l'Institut du Design de Montréal - symbolise aussi le nouveau visage de la ville. Construit sur l'un des plus grands sites d'enfouissement des déchets en milieu urbain d'Amérique du Nord, ce complexe, à deux pas du Cirque du Soleil, a été pensé de manière entièrement écologique: matériaux bruts recyclés, énergie renouvelable, bassins de récupération des eaux, ventilation naturelle... La Tohu reste un bel exemple culturel et architectural au service du développement économique et de l'environnement. D'ici à 2020, sur l'ancienne carrière des déchets, est ainsi prévu l'aménagement d'un parc de 192 hectares pour faire du vélo l'été et du ski de fond l'hiver. Design, gastronomie, mode, développement durable... La modernité se vit décidément fort bien sous le soleil de Montréal. http://voyages.nouvelobs.com/articles/article_433.html
  17. I am living in a very crowded part of Europe , in the triangle Paris-London-Amsterdam so from time to time I'll go to this part of northern France where there is space and a lot of free nature to stroll through: Let me show you some pictures of Cote d'Opale: unspoiled beauty
  18. Le quadrilatere forme de Wellington, Peel, de la commune, et l'actuelle autoroute bonaventure Un complexe composé de condos, bureaux, commerces ramener l'autoroute bonaveture au niveau du sol, tunnel sous le bassin peel qui sortirait au coeur de ce complexe une rue principale au centre, entourée de buildings entre 10 et 20 étages, avec podium au niveau de la rue d'un maximum de 5 étages, afin que la lumiere puisse se rendre Sur la rue de la commune, trottoir large afin d'attirer cafés et restaurants et de l'espace pour des terrasses. 2 rues secondaires qui serviraient d'acces au parkings des tours ainsi que pour les livraisons, avec un code d'entretien strict afin que ca ne tourne pas en ruelles insalubres Les bureaux seraient plus du coté nord du chemin de fer (en brun et rouge) afin de faire le lien avec ce qui se trouve actuellement dans griffintown. *Je sais pas si ca devait venir dans cette section, alors malek soit libre de le deplacer si ca devrait aller ailleurs
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