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  1. C'est 1534 qui recommence, en version numérique. Assaillie par les bateaux français au début du 16e siècle, celle qu'on appelle désormais Montréal est aujourd'hui le tremplin des sociétés technologiques françaises de toute taille, avec à la clé, un accès à l'eldorado infonuagique américain... Caractérisée par une interface web d'où on peut tout gérer et commander, l'informatique en nuage est une technologie qui dépasse les frontières, mais elle n'échappe pas aux contraintes géographiques les plus élémentaires : plus on est loin de ses clients, plus le délai de transmission des données est long. C'est pourquoi les hébergeurs et les fournisseurs de services infonuagiques ayant des visées internationales doivent déployer des centres de données dans chacune des grandes régions desservies. Amazon a des serveurs à Amsterdam, Francfort, Hong Kong et Tokyo. Google en Belgique, en Finlande et à Taïwan. Microsoft en Irlande et à Singapour. iWeb au Québec, au Brésil et bientôt en Inde et en Europe. Deux sociétés françaises À ce jeu, Montréal pourrait gagner gros. En un an et demi, deux sociétés françaises ont ouvert une première succursale dans la métropole québécoise, dans l'espoir de percer le marché internet nord-américain. L'hiver dernier, OVH, le plus important hébergeur européen a annoncé l'installation à Beauharnois de ce qui pourrait devenir, à terme, son plus gros centre d'hébergement de données, à 360 000 serveurs. OVH suivait ainsi la même démarche que son rival Linkbynet, un hébergeur de plus modeste taille qui se spécialise exclusivement dans des services liés à l'informatique en nuage. Au-delà de l'hébergement sur mesure, Linkbynet tente de séduire les PME canadiennes en leur fournissant un service simplifié de gestion des applications web qu'elles comptent utiliser. La formule fait mouche : l'entreprise a doublé de taille depuis son arrivée à Montréal, en 2010, et compte le faire à nouveau d'ici l'an prochain, faisant passer son nombre d'employés de trente à soixante. «En France, nous avons fait notre marque avec des clients de la trempe de Michelin et Sodexo. À Montréal, nous ciblons les PME québécoises, mais c'est aussi notre base pour l'ensemble de l'Amérique du Nord», explique Julien Trassard, PDG de Linkbynet Canada. L'Oncle Sam M. Trassard n'est pas seul à voir Montréal comme un tremplin vers le marché nord-américain. Outre Linkbynet et OVH, des entreprises québécoises lorgnent aussi du côté de l'Oncle Sam. Sa douzaine d'entreprises spécialisées, ses coûts d'affaires peu élevés et sa géographie avantagent la métropole québécoise. Pas pour rien si, en juillet dernier, la firme d'analyse 451 Group classait Montréal au sixième rang des villes nord-américaines les plus attrayantes pour les hébergeurs de données. Tout le monde en profite, pas seulement les hébergeurs français, conclut Julien Trassard. «Ça démocratise le cloud, ça génère de l'emploi et ça fait du Québec une plaque tournante des TI en Amérique du Nord.» http://affaires.lapresse.ca/portfolio/infonuagique/201204/24/01-4518514-montreal-capitale-de-la-france-en-amerique-du-nord.php Aujourd'hui, Beauharnois, demain l'Amérique. Après avoir lorgné du côté de Boston, Philadelphie et Washington, le premier hébergeur internet européen a choisi de s'installer à Beauharnois, au Québec. C'est le site qui a séduit Octave Kalba, fondateur de OVH.com, une entreprise familiale basée à Roubaix, en France. L'ancienne aluminerie d'Alcan, fermée en 2008, lui a semblé faite sur mesure pour accueillir leur type d'entreprise, qui fabrique et exploite des serveurs informatiques dédiés ou mutualisés (cloud). Et les tarifs d'électricité? Ç'a fait partie de la décision. C'est surtout la stabilité de l'approvisionnement en électricité qui est appréciée. Côté prix, il y a des économies comparativement à la France, «mais c'est pas délirant comme différence», dit M. Klaba. Les Klaba passent actuellement plus de temps de ce côté-ci de l'Atlantique, où ils s'affairent à mettre en route un gros datacenter, comme on dit en France, un des plus gros en Amérique du Nord. En échange de l'ancienne usine d'Alcan, OVH s'est engagée à investir 127 millions et à créer 120 emplois au cours des trois prochaines années. Concrètement, l'entreprise veut se doter d'un quartier général pour percer le marché américain. «D'abord la côte Est, New York et Washington et plus tard, l'Ouest, Vancouver et la Californie», précise Octave Klaba. Gros programme pour l'entreprise fondée en 1999, qui exploite 100 000 serveurs en Europe. Son objectif est de doubler ce nombre et de multiplier aussi par deux son chiffre d'affaires de 120 millions. À plus long terme, l'entreprise veut se doter de 360 000 serveurs et générer 85% de son chiffre d'affaires en terre d'Amérique. Les premières étapes prévues sur ce long parcours sont New York, Washington, Atlanta et Dallas d'un côté. De l'autre, Ottawa, Toronto, Detroit, Chicago et Dallas. OVH arrive à Beauharnois avec sa technologie et son savoir-faire. L'entreprise construit ses propres serveurs, plutôt que de les acheter à Dell ou autres. Sa technique de refroidissement à l'eau plutôt qu'à l'air, par exemple, lui permet de réduire considérablement sa facture énergétique. «Notre avantage, c'est qu'on peut faire profiter nos clients de ces économies», dit Octave Klaba. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/25/01-4528726-aujourdhui-beauharnois-demain-lamerique.php http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/25/01-4528706-un-interet-commence-a-poindre-au-quebec.php
  2. Bonjour à tous, je suis nouveau sur ce forums. Je lis depuis quelques temps mais voici mon premier post. J'ai habité à Vancouver quelques années et me voici à Montréal depuis quelques mois. J'aime Montréal mais je dois avouer que la côte ouest me manque. Je m'intéresse beaucoup aux villes, sociétés et l'urbanisme. Je me suis mis à m'y intéressé depuis que j'ai déménagé à l'extérieure du Québec. Voici un reportage intéressant sur cette ville. Le seul mauvais côté est le prix de l'immobilier et c'est pour cette raison que ma conjointe (originaire de Vancouver) et moi avons quitté Vancouver. J'espère un jour que Montréal sera plus vert car elle à beaucoup de potentiel. Suffit que tout le monde s'implique. Bon visionnement! http://video.tv5.ca/ports-d-attache-2/vancouver
  3. Les Français du Canada et des Etats-Unis ont commencé à voter pour le premier tour de la présidentielle. En métropole, ce sera dimanche à 8 heures. Les Français du Canada et des Etats-Unis ont commencé à voter samedi pour l'élection à la présidence de la République française, avec une journée d’avance sur la métropole. Une file d’attente de plusieurs dizaines de personnes s’est formée à Montréal devant le Collège Stanislas, une des écoles françaises de la grande ville québécoise, bien avant l’ouverture des 20 bureaux de vote dans ses deux gymnases à 8 heures locales (12 heures GMT). Montréal représente le plus grand nombre d'électeurs français en Amérique du Nord, avec 44 000 inscrits. C’est aussi la quatrième ville française à l'étranger, après Genève, Londres et Bruxelles. Au même moment, le vote a débuté dans les grandes villes de la côte est des Etats-Unis, dont New York, avec 23.000 inscrits. Il devait commencer trois heures plus tard sur la côte pacifique du continent, pour se terminer partout à 20 heures locales. http://www.liberation.fr/politiques/2012/04/21/le-scrutin-a-commence-a-saint-pierre-et-miquelon_813337 http://www.lalibre.be/toutelinfo/afp/369559/elysee-2012-outre-mer-et-ameriques-ouvrent-le-bal-du-premier-tour.html
  4. Saisie de drogue évaluée à 860 millions au Port de Montréal. Après la French Connection voici la Québec Connection.... La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a indiqué mercredi avoir mis la main sur 43,3 tonnes métriques de haschich devant transiter par les ports de Montréal et de Halifax, une saisie dont la valeur est estimée à 860 millions $. L'enquête baptisée «Celsius» a débuté à la suite de la découverte de drogue dans des conteneurs aux ports de Montréal et Halifax en 2009 et en 2010. Huit personnes originaires de Montréal, de la Montérégie et des Laurentides ont été appréhendées et une neuvième personne originaire de Gatineau est recherchée. Plusieurs des suspects ont comparu mercredi. Tous font face à des accusations de complot, importation et possession de stupéfiants en vue d'en faire le trafic. Trois des accusés étaient des employés de la compagnie oeuvrant au terminal Cast au Port de Montréal, soit deux inspecteurs et un gardien de sécurité, a expliqué le sergent d'état-major André Potvin, de la GRC. «Lorsqu'un conteneur suspect arrivait à Montréal, une transmission était envoyée au télécopieur d'un hôtel local. L'un des suspects récupérait alors celle-ci et mettait en marche les mesures pour faire sortir le conteneur auprès de la compagnie maritime et prendre possession de façon légale de la marchandise illicite», a-t-il précisé. Les enquêteurs ont rapidement découvert que quelque chose ne tournait pas rond. «Plusieurs irrégularités aux procédures et aux contrôles obligatoires avaient été observées», a raconté le sergent Potvin, qui a décrit un stratagème somme toute assez simple pour des criminels ayant infiltré des postes clés. «Le dernier point avant que les conteneurs puissent sortir et être distribués - on ne parle pas seulement des conteneurs de drogue, mais aussi des conteneurs de marchandises qui sont légitimes - c'est la guérite sécuritaire. Donc, si on a un ou deux vérificateurs sur le côté interne, côté Port, qui disent «celui-là, c'est beau, c'est vérifié» - alors qu'il n'a pas été vérifié - ou quelqu'un dit «celui-là tu le laisses passer', c'est comme ça que ça se passait.» Les conteneurs transportant la drogue pouvaient ainsi être recueillis sans être soumis à aucun contrôle. Le réseau était relié au Gang de l'Ouest mais les policiers ne croient pas que l'ensemble de la drogue était destinée au marché montréalais. La grande quantité saisie laisse plutôt croire que l'ensemble de l'Amérique du Nord et même d'autres marchés internationaux étaient visés par les trafiquants, ce qui inquiète le surintendant principal de la GRC, Gaétan Courchesne. «Je me réjouis du succès de cette opération mais, d'un autre côté, je me questionne sur l'état de la situation que je considère préoccupante, a-t-il déclaré. Si ces organisations tentent d'importer de la drogue en si grande quantité, nous pouvons conclure que la demande existe et que les consommateurs sont nombreux.» Il a d'ailleurs ainsi illustré l'ampleur de la rafle: «La quantité de drogue que nous avons saisie aurait pu générer plus de 43 millions de doses vendues dans la rue. Cela représente plus de sept doses par habitant du Québec, toutes catégories confondues.» L'organisation criminelle impliquée s'approvisionnait principalement au Pakistan. Certains conteneurs ciblés ont été saisis au Pakistan tandis que d'autres ont été interceptés en cours de route, notamment en Italie et en Belgique. Toutes les saisies ont eu lieu entre l'automne 2009 et octobre 2010 mais les arrestations n'ont eu lieu que cette semaine en raison de la durée de l'enquête qui a permis de démanteler le réseau et accumuler les preuves suffisantes. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/201204/18/01-4516674-saisie-de-drogue-evaluee-a-860-millions-au-port-de-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS4
  5. Projet de maisons en rangée sur le terrain des anciens garages municipaux Sandrine Béjanin Informés par la Ville d'un nouveau projet majeur de construction résidentielle dans leur environnement immédiat, les Brossardois du secteur des anciens garages municipaux, situé dans le quartier B, se sont mobilisés contre un développement qu'ils estiment préjudiciable à leur qualité de vie. Le promoteur immobilier A.H. Inc. projette d'acheter à la Ville de Brossard le terrain des anciens «ateliers municipaux» afin d'y construire un ensemble à vocation résidentielle de 70 maisons en rangée, desservi par une nouvelle rue qui traversera le parc Baudelaire. Situé entre l'avenue Baudelaire et l'avenue Béliveau, et entre l'avenue Bienvenue et le croissant Balmoral, ce terrain, appartenant à la Ville, lui servait autrefois de garage pour ses véhicules. Clos, mais inutilisé depuis environ une quinzaine d'années, le terrain nécessite d'être décontaminé, ce que le promoteur propose de faire à ses frais. «Pour la Ville, c'est une belle occasion de se débarrasser de la patate chaude que constitue la contamination du terrain», invoquent Jules Béliveau et Frédéric Côté, deux résidents à l'origine de la pétition de 108 personnes se déclarant contre le projet. Outrés devant l'ampleur du projet, les signataires contestent surtout la hauteur des bâtiments de trois étages, qui risquent de priver les habitants de l'avenue Bienvenue et de la place Benoît de toute luminosité et toute intimité dans leur cour arrière. Leur souci s'étend aussi à l'augmentation connexe de la circulation automobile, de la surpopulation dans les écoles, et des îlots de chaleur dans le secteur, ainsi qu'à la suppression du terrain de basketball du parc Baudelaire. Devant l'opposition massive des citoyens, qui s'est manifestée lors d'une réunion d'information, le 22 juin dernier, la Ville a demandé au promoteur de revoir son projet et s'est engagée à présenter le nouveau projet aux citoyens lors d'une prochaine rencontre dont la date n'a pas encore été fixée. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Anciens ateliers municipaux : vive opposition à un projet immobilier. Texte Paul-André Gilbert Un nouveau projet immobilier sur le terrain des anciens ateliers municipaux de Brossard provoque de vives réactions chez des résidents du secteur B. Le groupe immobilier A.H. inc. prévoit construire sur ce terrain, situé à l’intersection des rues Baudelaire et Bienvenue, un projet de maisons unifamiliales en rangées, composé de 70 résidences. Jules Béliveau et Frédéric Côté, deux résidents du voisinage, s’opposent vivement à ce projet, qu’ils considèrent inapproprié pour plusieurs raisons. Premièrement, l’ajout de nouvelles résidences amènerait selon eux une multiplication du nombre de voitures dans les rues du secteur, qui sont déjà très achalandées. «La rue Baudelaire est devenue la décharge de l’autoroute 30. Ce n’est plus une rue, c’est un boulevard», explique M. Côté. Avec l’augmentation de la circulation, ce dernier, dont la résidence est adossée à l’ancien garage municipal, craint pour la sécurité de ses enfants et de ceux du voisinage, trois écoles primaires étant présentes dans le secteur. «J’essaie de voir le puzzle en terme de sécurité», s’inquiète-t-il. Hauteur des maisons MM. Béliveau et Côté sont également préoccupés par la hauteur des maisons du projet d’Immobilier A.H. Les résidences seraient en effet composées de bâtiments de trois à six unités de trois étages. Les deux résidents craignent pour l’harmonie architecturale du quartier, qui est composé en majorité de bungalows. Ils croient aussi que les résidences entraineront une diminution importante de l’intimité et de la luminosité pour les résidences qui jouxte le terrain. «Ça fait une muraille de Chine et ça coupe passablement l’horizon et la lumière», précise M. Béliveau. Il ajoute que toutes ces résidences vont créer un îlot de chaleur dans le secteur, qui était rafraîchi par le terrain vague. D’ailleurs, M. Béliveau propose que la Ville construise un parc sur ce terrain plutôt que des résidences. Terrain contaminé Un autre élément important cause une forte inquiétude chez MM. Côté et Béliveau : le terrain des ateliers municipaux serait selon eux fortement contaminé. Puisque le terrain était occupé par les ateliers municipaux de la Ville, on retrouverait dans le sol des hydrocarbures et d’autres substances toxiques qui proviennent de matériel qu’on retrouve généralement dans un garage municipal, comme de la peinture et des batteries. L’Administration municipale affirme être consciente de la présence de contaminants dans le sol. Cependant, le promoteur s’engage à décontaminer le terrain avant de construire les résidences. Le directeur des communications de la Ville de Brossard, Alain Gauthier, affirme que le promoteur a déjà effectué une décontamination par le passé et que cette décontamination sera validée par le ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs. De son côté, le promoteur Bernard Armand explique qu’il est conscient des réticences des résidents et que c’est pourquoi il essaie de moduler le projet dans le but qu’il soit fait de la manière la plus harmonieuse possible. Par exemple, la hauteur des bâtiments causant un problème, la compagnie Immobilier A.H. serait en train de revoir l’aspect architectural du projet. Il rappelle toutefois que le terrain est hautement contaminé. «On est prêt à regarder où on pourrait modifier le projet pour le rendre plus acceptable pour tous et chacun, mais il y a des limites», a-t-il conclu.
  6. Bonjour, bonjour. Je suis passé à côté de Farine Five Rose il y a deux semaines et un belle surprise m'attendait ! Wow ! Comme neuve !
  7. Situé sur la rue De Castelneau à un coin de rue de St-Laurent et à coté du Métro De Castelneau tout près de la Petite-Italie et à l'embouchure sud-ouest du quartier Villeray, ce tout petit projet discret commence sa construction. On parle de condo de luxe d'après l'affiche mais je n'en sais pas plus.
  8. Projets neufs / LE PIVOT,LIVRAISON SEPTEMBRE 2010 DE 21 UNITÉS Le site du projet est une tête d'ilot.Il est à la jonction des trois arthères;Papineau,des Carrières et Marquette.Un site``PIVOT``entouré de paysages urbains variés et de la piste cyclable. Vers le sud,la rue Marquette est définie pas des immeubles résidentiels de trois étages d' un coté et ouverte sur le grand espace vert de Parc Marquette de l'autre coté.La forme,ainsi que le traitement de l'enveloppe du projet reflètent la diversité du caractère urbain environnant.Du coté de la rue Papineau,l'enveloppe du projet se superpose à la ligne de la propriété.En traversant la rue De Carrière,elle se déploie en trois segments de cercle,qui s'emboîtent et se succèdent sur leurs parcours vers la rue Marquette.Face à cette dernière,la facade du batîment en retrait,par rapport à la ligne de propriété,s'ouvre sur l'ensemble du Parc à travers de larges baies vitrées qui assurent aux résidents une vue panoramique sur le Parc et sur le Mont-Royal de l'intérieur de leurs logements. http://www.jutrascourtage.com/7-projet-condominium/LE_PIVOTLIVRAISON_SEPTEMBRE_2010__DE_21_UNITES.html
  9. Tourisme Montréal a la cote Agence QMI Mélanie Colleu 17/11/2011 18h18 MONTRÉAL – Les touristes semblent ravis de leur escale à Montréal, si bien que la plupart d’entre eux ramènent dans leurs valises l’intention d’inciter leurs proches à suivre leur exemple. Une enquête de satisfaction effectuée à la demande de Tourisme Montréal indique en effet que plus de 80 % des répondants accordent une note d’au moins 8 sur 10 à leur séjour dans la métropole. Environ 99 % affirment même vouloir recommander la destination à leur famille et leurs amis. L’ambiance générale de la ville, l’art, la culture, la courtoisie des habitants et l’offre de divertissement de la métropole font, entre autres, pencher la balance du côté positif. «Les visiteurs apprécient l’accueil qu’ils reçoivent à Montréal ainsi que la convivialité des Montréalais», a dit Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal, en soulignant également les nombreux évènements culturels et sportifs que propose la ville tout au long de l’année. Plus de 7 millions de touristes en 2010 La fréquentation touristique montréalaise en 2010 a enregistré une augmentation de 4,5 % par rapport à 2009. Tout au long de l’année, 7,4 millions de visiteurs ont traversé le St-Laurent pour venir flâner quelques jours dans les rues pavées du Vieux-Port, l’un des lieux les plus prisés de l’île. Près de 55 % d’entre eux provenaient du Québec, environ 21 % d’une autre province canadienne et autour de 24 % des États-Unis ou d’ailleurs dans le monde. Le sondage a été réalisé auprès des visiteurs ayant séjourné au moins deux nuits à Montréal durant l’année 2010.
  10. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/10/20111004-173935.html
  11. En passant à coté des tours Angrignon, j'ai remarqué une grande affiche annonçant la construction imminante de la phase 3. Information confirmée par le site internet du projet où on voit un rendu de la phase 3 qui semble avoir 12 étages. http://www.toursangrignon.ca/
  12. Deux projets face à face, boulevard Saint-Laurent Quartier St-Laurent, à l'intersection du boulevard Saint-Laurent et de la rue Beaubien Est (du côté nord), comptera 30 appartements en copropriété. Illustration fournie par le Groupe Cholette Danielle Bonneau La Presse Le boulevard Saint-Laurent, à l'intersection de la rue Beaubien Est, changera complètement de mine avec la construction de deux immeubles en copropriété: Quartier St-Laurent et Le Santini sur St-Laurent. Adieu ancien commerce de voitures usagées et magasin de meubles abandonné. Ils seront remplacés par de nouveaux bâtiments à l'architecture contemporaine, qui auront tous deux des espaces commerciaux au rez-de-chaussée. Pour le plus grand bien des deux artères commerciales. «C'est intéressant que les deux projets se fassent presque en même temps, estime Sophie Charlebois, architecte à l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie. Ce sera structurant pour le secteur, car les deux bâtiments auront de bons gabarits. Les commerces au rez-de-chaussée créeront une nouvelle animation sur les deux rues et contribueront à donner une nouvelle image à cette partie du boulevard Saint-Laurent, qui est un peu enclavée et n'est pas suffisamment peuplée.» Les deux projets, situés de part et d'autre de la rue Beaubien Est, à deux pas de La Petite Italie, se font face. En construction depuis la fin de l'hiver, Le Santini sur St-Laurent, du Groupe Cartierville, se trouve du côté sud de la rue Beaubien. L'immeuble de cinq étages comptera 20 logements, qui sont presque tous vendus. Seulement deux d'entre eux n'ont pas encore trouvé preneur... et ce ne sont pas les plus chers! Situés au deuxième et troisième étages, ils coûtent 280 000$ et 290 000$ (taxes incluses) pour des superficies d'environ 930 pieds carrés. Le Santini sur St-Laurent, à l'intersection du boulevard Saint-Laurent et de la rue Beaubien Est (du côté sud), est en construction. Le bâtiment de cinq étages comprendra 20 appartements. Illustration fournie par Geiger Huot Architectes «Les quatre appartements dotés d'une mezzanine et d'une terrasse privée sur le toit se sont envolés les premiers», révèle Sam Scalia, président du Groupe Cartierville. «Avec les mezzanines, en retrait, les futurs copropriétaires auront une vue superbe sur le mont Royal et pourront profiter du coucher du soleil», précise l'architecte Éric Huot, de la firme Geiger Huot Architectes. La construction du projet va bon train. Les premiers copropriétaires devraient emménager en novembre. Quartier Saint-Laurent Quartier St-Laurent, le premier projet vraiment urbain du Groupe Cholette, qui est très actif en banlieue, se trouve quant à lui du côté nord de la rue Beaubien. Le bureau des ventes vient tout juste d'ouvrir ses portes, cette semaine. L'immeuble de quatre étages comptera 30 appartements en copropriété, aménagés aux trois étages supérieurs. L'entrée des futurs copropriétaires donnera sur le boulevard Saint-Laurent. «Ils auront ainsi une adresse prestigieuse», fait remarquer Louis-Paul Lemieux, architecte à l'Atelier VAP. L'édifice, doté de larges fenêtres, sera construit en bordure du trottoir. Comme les appartements ne peuvent avoir des balcons qui se projetteraient vers l'avant, ils seront plutôt dotés de vastes terrasses en alcôve. «D'une superficie moyenne de 9 mètres carrés, soit presque 100 pieds carrés, les loggias seront presque aussi grandes qu'une chambre, précise M. Lemieux. C'est intéressant pour des personnes qui aiment vivre en milieu urbain et profiter de l'animation tout autour.» Les appartements, dont les cuisines comprendront des plans de travail en quartz et une hotte en inox, se vendent entre 238 000$ et 360 000$. Les superficies, quant à elles, varient de 760 à 1085 pieds carrés. La construction devrait débuter à l'automne.
  13. SECOND PROJET DE RÉSOLUTION CA07 090117 ADOPTÉ EN VERTU DU RÈGLEMENT SUR LES PROJETS PARTICULIERS DE CONSTRUCTION, DE MODIFICATION OU D’OCCUPATION D’UN IMMEUBLE (RCA02 09007) VISANT À AUTORISER LA CONSTRUCTION D’UN BÂTIMENT COMMERCIAL DE HUIT ÉTAGES DU CÔTÉ NORD DU BOULEVARD CRÉMAZIE, ENTRE LES RUES CLARK ET SAINT-URBAIN – ZONE 0547 (dossier 1031123024) pdfav4671.pdf
  14. Michel Munger Argent Les Québécois sont gâtés et ils doivent cesser de résister aux projets de développement économique qui leur sont proposés. C'est ainsi qu'Alain Lemaire, PDG de Cascades (CAS), répond aux inquiétudes qui découlent d'une panoplie de dossiers, tels que le renouvellement de routes ou l'exploitation des gaz de schiste. Il a pris la parole mardi dans le cadre de la Série Enjeux, des Manufacturiers et exportateurs du Québec. «Nous nous faisons mener par le bout du nez par des minorités qui nous empêchent, comme entrepreneurs, de créer de la richesse, dénonce M. Lemaire. Je ne sais pas ce que nous allons faire pour changer cette mentalité-là. Il faut en créer, de la richesse, et l'exploiter. Nous ne pouvons pas passer à côté. Si nous devenons une province de services, nous sommes cloués au pilori. Nous ne pouvons faire concurrence aux Indes et à l'Angleterre dans les services.» Les Québécois vivent dans une zone de confort, renchérit le cadet de la famille Lemaire. «Nous sommes habitués d'être gâtés, dit-il. Nous sommes habitués d'avoir la gratuité [des services]. Nous devons nous détacher de cela, sinon nous ne pourrons pas survivre. Nous pouvons aussi constater que les gens qui vivent au Sud n'ont pas les mêmes avantages que nous. Notre coût de main d'oeuvre est 50% plus cher qu'aux États-Unis.» Le patron de Cascades affirme qu'afin de créer de la richesse, il faut lancer des projets comme les gaz de schiste, mais «de façon respectueuse». «Ça s'applique à beaucoup de choses, précise-t-il, que ce soit la pollution de l'air, d'utilisation de territoires, de mines, de lignes électriques et de barrages. Regardez tous les projets créateurs. J'aimerais que l'on me dise qu'ils ne seront pas contestés. On veut refaire l'échangeur Turcot : tout le monde se plaint et on a peur de passer dessus. Mais les gens disent: pas dans ma cour.» «Au Québec, on ne veut pas qu'il se fasse de barrages parce que l'on va tuer trois ou quatre saumons», avance M. Lemaire. Il pose une série de questions qui peuvent susciter le débat : «Pourquoi une analyse environnementale prend quelques mois aux États-Unis, alors qu'elle prend deux ou trois ans à faire ici ? Pourquoi un projet, comme l'exploitation d'une mine, est-il bienvenu ailleurs alors qu'il est mal perçu au Québec ? Met-on trop en évidence le côté potentiellement dangereux ? Peut-être. Fait-on de la démagogie ? Sûrement.» La réputation de la province doit demeurer positive pour ne pas ruiner son économie, soutient le PDG de Cascades. «Soyons pro-actifs et non alarmistes», conclut-il. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/04/20110419-163859.html
  15. Wow. Je pars une semaine et en revenant, je tombe là-dessus. Quelqu'un peut activer ses contacts pour en apprendre plus? http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/01/20110131-141311.html#texte
  16. Interesting article, Gazette, Jul 25, 1962: http://news.google.com/newspapers?id=H4Y1AAAAIBAJ&sjid=eJ4FAAAAIBAJ&pg=1948,3612930&dq=quebec+metropolitan+boulevard&hl=en I remember looking on the BANQ website and seeing strange pictures of cars around the Metropolitan, I think one was a '62 Chevrolet or so, with some equipment, and the like. Ah now I think I understand what was going on! Cars flying off the top of the Met, hilarious if one ignores the probable injuries... Note also the 55 mph (88 km/h) speed limit... 10 mph reduction, 45 mph = 72 km/h and why today we are stuck with 70. Comment, Aug 22: http://news.google.com/newspapers?id=VoU0AAAAIBAJ&sjid=jJ4FAAAAIBAJ&pg=5024,3387255&dq=montreal+metropolitan+speed+limit&hl=en "many people mistake this roadway with one like the Auto-Route" One interesting thing is that the road was apprarently planned and mostly built by the Montreal Metropolitan Corporation, which was its only project, and financed via tax levies on the municipalities, some which were collected, but then, transferred to the province (MVQ?) who paid the cost in conjunction with some federal assistance under the TCH program, and then the municipalities had to pay back their citizens, while the old MTC had no jurisdiction and was prohibited by law (!) to build a subway... Aug 1960: http://news.google.com/newspapers?id=Go0tAAAAIBAJ&sjid=GZ0FAAAAIBAJ&pg=6874,879561&dq=quebec+metropolitan+boulevard&hl=en 1960, Transit plan! http://news.google.com/newspapers?id=vIwtAAAAIBAJ&sjid=HJ0FAAAAIBAJ&pg=6747,3452991&dq=quebec+metropolitan+boulevard&hl=en 1955, congested Decarie - Cote de Liesse circle needs solution: http://news.google.com/newspapers?id=zYMtAAAAIBAJ&sjid=iJkFAAAAIBAJ&pg=5178,4054845&dq=montreal+metropolitan+boulevard&hl=en Ha the stupid thing is still there they just added some flyovers And random tractor vs streetcar accident. Planning article, suggest 17 mile central section to cost 20 MM $, Financial Post, 1952: http://news.google.com/newspapers?id=OWo_AAAAIBAJ&sjid=ClQMAAAAIBAJ&pg=5048,5229372&dq=montreal+traffic+plan&hl=en It suggests a 12-lane artery. There isn't really anything like that there, it is basically 6 lane with Cremazie and Cote de Liesse on the sides but that hardly counts...
  17. Construction de (12) unités de condos. Bâtisse de 8 unités avec livraison pour le 15 septembre 2010 et une de 4 unités avec fenestration sur 3 côtés avec livraison pour décembre 2010. Les bâtisses sont situées aux 6860 et 6870, 25e Avenue au sud de Bélanger, côté Ouest de la 25e Avenue. http://lesconstructionsdla.com/projet_le_25e_avenue.asp
  18. Encore une fois, j'ai fait une petite recherche, mais je ne l'ai pas vu sur le forum... Le projet est juste à côté du Pivot.
  19. Les arts de la scène ont la cote au Québec Mise à jour le jeudi 14 octobre 2010 à 17 h 13 Les Québécois sont toujours friands de spectacles. En 2009, un nouveau sommet a été atteint avec 17 000 représentations dans la province, en augmentation de 3 % par rapport à 2008, selon les plus récents chiffres publiés par l'Observatoire de la culture et des communications du Québec. Les spectacles au Québec ont attiré 7,4 millions de personnes, soit 6 % de plus qu'en 2008. Ils ont généré des revenus de billetterie de 274,6 millions de dollars, en hausse de 16 % par rapport à l'année précédente. Les 10 spectacles les plus populaires sont des productions québécoises : •Cirque du Soleil - Ovo •Martin Matte - Condamné à l'excellence •André Sauvé - André Sauvé •Louis-José Houde - Suivre la parade •Cavalia - Cavalia •Véronic Dicaire - Véronic Dicaire •Rachid Badouri - Arrête ton cinéma •Cirque du Soleil - Allegria •Céline Dion - Taking Chances •Grande gueules - Complices . Ces 10 spectacles concentrent 18 % de l'assistance et 32 % des revenus de billetterie des spectacles présentés en 2009. Le cirque et l'humour ont la cote La fréquentation des spectacles de cirque et de magie atteint de nouveaux sommets avec une hausse de 58 % de l'assistance et de 244 % des revenus de billetterie par rapport à 2008. Le succès populaire des spectacles d'humour ne se dément pas, avec une croissance de 36 % de l'assistance et de 83 % des revenus de billetterie entre 2007 et 2009. En 2009, l'humour a généré 45,5 millions de dollars de revenus de billetterie grâce à 1,3 million de spectateurs, soit plus que les revenus du théâtre (33,6 millions) et de la danse réunis (8,5 millions). Ces deux catégories d'évènements ont attiré 1,9 million de spectateurs. Après deux ans en baisse, les spectacles de chansons francophones connaissent une croissance de l'assistance de 12 % et une hausse des revenus de billetterie de 26 % par rapport à 2008. Montréal, Québec et les régions Depuis 2006, les spectacles payants tenus dans les régions de Montréal et de la Capitale-Nationale ont connu un taux de croissance annuel moyen de 5 % de l'assistance et de 16 % des revenus de billetterie. Au cours de la même période, les autres régions du Québec ont vu leur assistance diminuer de 3 %, et leur revenu stagner. http://www.radio-canada.ca/nouvelles...chiffres.shtml Bonne Nouvelle pour le Quartier Des Spectacles!
  20. Par cette belle journée, je devais faire effectuer une petite révision sur mon rutilant bolide dans un garage dans l'est de la ville. Le tout prenant une heure, et vu que le voyage en transport en commun jusque dans un endroit intéressant serait plus long que cela, j'en ai profité pour visiter le quartier au pied de notre industrie pétrochimique. Voici mes quelques photos et commentaires: Aux alentours de la rue René-Levesque, nous retrouvons beaucoup de bungalows, le plus souvent mal entretenus. Un décors industriel en toile de fond est omniprésent: Quelques petites industries se mêlent aux habitations sur les rues résidentielles: En se dirigeant vers Sherbrooke, une voie ferrée et des panneaux d'avertissements bordent le côté gauche de la rue: Jolie vue de sa cours: À cet endroit, l'odeur n'est pas loin d'être insupportable, la gorge commence à piquer. On se demande pourquoi des gens voudraient vivre avec une telle puanteur en permanence, rongeant peu à peu leurs poumons. La pauvreté est assez marquée: Juste au de coin cette rue résidentielle, nous arrivons sur Sherbrooke, et ce sera l'heure du retour vers le garage: Et voilà, c'était ma petite visite dans ce quartier pas très touristique!
  21. http://www.samcon.ca/main.cfm?p=04_120&l=fr
  22. Atze

    Loft Hotel

    Juste devant le 333 Sherbrooke Est, j'ai remarqué ces affiches sur un édifice assez long ayant sa façade sur Sherbrooke. Les affiches me semblaient assez récentes et l'immeuble ne semble pas êter déjà converti en lofts. (Pour les amateurs de roller blade, la côte n'est pas aussi raide que celle sur Hôtel-de-Ville, mais elle est tout de même intéressante à descendre en patin, surtout que la chaussée est toute crevassée.)
  23. peekay

    Ipad?

    Y-t-il des amateurs? Moi je ne vois vraiment pas le besoin. Du côté d'agronomie je trouve que c'est un véritable désastre. Comment-peut-on clavarder en regardant vers le bas? Ca va faire vraiment mal au cou! Et, si on l'appui sur nos genoux plié, il faut garder les jambes collé et cette position n'est pas trop confortable non plus!
  24. Le maire Gérald Tremblay et la ministre de la Culture, Christine St-Pierre, ont inauguré lundi l’œuvre «Give Peace a chance» en l’honneur de la célèbre chanson de John Lennon écrite lors de son bed-in à Montréal avec Yoko Ono en 1969. Située à proximité de l'entrée Peel du parc du Mont-Royal, l’œuvre d’art public est la création de l'artiste Linda Covit et de l'architecte Marie-Claude Séguin et elle «évoque la diversité culturelle de Montréal et symbolise l'intégration de l'être à son milieu et au monde.» L'oeuvre est composée d'environ 180 dalles en pierre calcaire alignées côte à côte sur le sol plat et sur lesquelles est inscrite, en 40 langues, la phrase «Give Peace a Chance». Les deux politiciens étaient enchantés par l’œuvre d’art qui, selon eux, enrichit les espaces publics et permet le rayonnement de la culture des artiste d’ici. «Intégrer une œuvre d'art au paysage d'une ville, c'est en rehausser son cachet, mais c'est aussi améliorer la qualité de vie des citoyens qui, au quotidien, profitent d'un musée à ciel ouvert. [Elle] vient renforcer la valeur artistique et patrimoniale du mont Royal», a expliqué la ministre St-Pierre. Gérald Tremblay a quant à lui fait savoir que «l'inauguration de cette œuvre est également une belle illustration de l'enthousiasme de nos créateurs à mettre leur talent au profit de l'art public. Il s'agit d'un apport inestimable à la renommée de Montréal comme ville de créateurs et métropole culturelle.» Réaménagement Cela aura pris deux ans et 4 365 000 $ à l’entrée Peel pour faire peau neuve. La nouvelle entrée se distingue par une composition de marches et de pavés de granit recyclés et de murets de calcaire. Rappelons que la ville de Montréal a proclamé en 2004 la semaine du 26 mai au 2 juin «Une Chance à la Paix / Give Peace a Chance» en l'honneur de la visite de John Lennon et de Yoko Ono à pareilles dates en 1969. En chiffres Cette création a coûté 125 000 $ et elle s'ajoute à la collection d'art public de la Ville de Montréal. http://www.journalmetro.com/montreal/article/539252--l-uvre-give-peace-a-chance-inauguree-sur-le-mont-royal
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