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  1. Le fabricant d'équipements industriels annonce qu'il a décroché environ 26 M$ de contrats ces dernières semaines. Pour en lire plus...
  2. Le nouveau contrat vise la fourniture de 3600 tonnes d'acier de structure usiné comprenant des râteliers à tubes, un immeuble de traitement et des modules d'équipement. Pour en lire plus...
  3. Le fournisseur de simulateurs de vol et de services de formation CAE (TSX:CAE) a annoncé mercredi qu'il avait décroché des contrats d'une valeur totale de 54 millions $ auprès de compagnies aériennes. Pour en lire plus...
  4. La compagnie de Québec reçoit cinq nouveaux contrats liés au traitement des eaux, faisant monter son carnet de commandes à 21 M$. Pour en lire plus...
  5. Même avec les faramineux contrats des diffuseurs et des commanditaires, rien n'assure la rentabilité pour les villes choisies pour accueillir les Jeux olympiques. Pour en lire plus...
  6. Le chef de la direction Thomas Kloet affirme que les Bourses de Toronto et Montréal, récemment fusionnées, pourraient commencer à transiger des contrats à terme de produits de base. Pour en lire plus...
  7. Un article de devra faire plaisir à bien du onde sur le forum! Sara Champagne La Presse L'administration Tremblay annoncera au cours de son comité exécutif, aujourd'hui, qu'elle réalisera ses promesses en matière de réfection des routes et des conduites d'eau et d'égouts. Des sommes seront aussi affectées pour la mise à niveau de ses usines d'eau potable. Selon des informations obtenues par La Presse, des contrats de plusieurs millions seront accordés pour refaire les rues et les infrastructures autour du futur campus d'Outremont, et des deux futurs centres hospitaliers universitaires, le CHUM au centre-ville et le CUSM. Ces chantiers devraient démarrer dès cet automne. Au total, la Ville de Montréal a prévu dépenser 401 millions, d'ici la fin de 2008, dans ses infrastructures, dont 181 millions à même son Programme de réfection routière (PRR), pour refaire les rues, ponts, tunnels et son réseau de tuyaux souterrains. Dans le cas de la gare de triage d'Outremont, il est prévu de dégager 22 millions cette année. Une somme de 9,5 millions doit revenir au CHUM pour refaire le système d'aqueducs et d'égouts, et permettre éventuellement le passage d'une piste cyclable dans la rue de la Gauchetière. Outre ces contrats, le projet de réaménagement du quadrilatère de la Place des Arts, estimé à 120 millions, et piloté par le maire Tremblay, devrait aussi franchir une étape importante. À ce chapitre, les investissements de la Ville doivent totaliser 18 millions en 2008. Le premier édifice à sortir de terre doit être la Vitrine culturelle, porte d'entrée du futur Quartier des spectacles, rue Sainte-Catherine. Réserve foncière Le projet de transformation de l'autoroute Bonaventure en grand boulevard urbain devrait lui aussi passer à une autre étape, aujourd'hui, avec l'approbation par les élus d'une réserve foncière permettant «d'exproprier ou de céder de gré à gré» des édifices environnants. Le président-directeur général de la Société du Havre de Montréal, Gaétan Rainville, a expliqué à La Presse, hier, que son organisation devrait avoir en main, d'ici le 15 août, les plans et devis. Les appels d'offres devraient être lancés au mois de septembre. Dans son budget 2008, la Ville de Montréal estime que la taxe consacrée au Fonds de la voirie a atteint 20 millions. Une partie de cette somme, tirée des poches des propriétaires montréalais, soit 11,75 millions de dollars, doit servir au «rapiéçage mécanique» du réseau routier. Idéalement, Montréal devrait dépenser 200 millions par an pendant 10 ans pour retaper ses rues, a déjà indiqué le maire de Montréal, en dévoilant les grands chantiers routiers et souterrains de 2008, en mai dernier. Sammy Forcillo, responsable des infrastructures et vice-président au comité exécutif de la Ville de Montréal, n'a pas démenti la nouvelle selon laquelle des contrats importants seront annoncés, aujourd'hui, autour des grands projets de Montréal. Il a par ailleurs précisé que l'administration municipale a l'habitude de passer des «commandes» au retour des vacances d'été afin d'ouvrir les chantiers de construction avant la fin de l'année financière.
  8. Sans qu'on s'y attende, davantage d'Américains ont signé des contrats pour acheter une maison existante en juin dernier. Pour en lire plus...
  9. Profitant surtout des choix effectués par les forces militaires aux États-Unis, la division des Trains d'atterrissage décroche une série d'ententes. Pour en lire plus...
  10. La filiale française du manufacturier montréalais a obtenu des contrats d'une valeur totale de 72 M$, portant sur la fourniture de robinetteries à six centrales nucléaires. Pour en lire plus...
  11. La compagnie montréalaise décroche une série de contrats auprès de clients industriels et municipaux dans le monde. Pour en lire plus...
  12. CGI et ses partenaires déposeront une offre dans le cadre d'un contrat pouvant rapporter 5,3 G$ US par année aux fournisseurs de l'armée de mer. Pour en lire plus...
  13. Les autorités irakiennes ont décidé lundi d'ignorer les offres des géants mondiaux du pétrole pour des contrats d'assistance technique, les jugeant trop gourmands. Pour en lire plus...
  14. Le moins dispendieux de ces plans coûtera 60 $ par mois et les consommateurs devront signer des contrats de trois ans. Pour en lire plus...
  15. Le fabricant de simulateurs de vol et fournisseur de services connexes livrera cinq simulateurs de vol à des clients comme Aeroflot Russian Airlines. Pour en lire plus...
  16. Boeing déboursera 400 M$ au Québec 21 janvier 2008 - 06h10 La Presse Sophie Cousineau Un avion C-17 de Boeing. Boeing ne boudera pas le Québec. Le constructeur d'avions américain accordera pour près de 400 M$ de contrats à des entreprises d'ici qui profiteront ainsi des retombées industrielles associées à l'achat d'avions de transport C-17 par le gouvernement fédéral. C'est un premier gain appréciable pour l'industrie aérospatiale du Québec qui craignait que sa récolte de contrats ne soit largement inférieure à son importance. Rappelons que dans une décision critiquée au Québec, le gouvernement fédéral a laissé à Boeing toute latitude sur l'emplacement de ses retombées industrielles au Canada. Boeing annoncera les contrats ce matin (lundi) à l'usine flambant neuve de la société RTI Claro dans le parc industriel de l'autoroute 25 à Laval, en compagnie des ministres conservateurs Jim Prentice (Industrie) et Michael Fortier (Travaux publics). L'emplacement n'a pas été choisi au hasard. De la dizaine d'entreprises qui ont décroché un contrat avec Boeing au terme d'un lobbying intensif de l'industrie québécoise, c'est RTI Claro qui obtient la part du lion. La valeur de son contrat frise les 300 M$, d'après les informations obtenues par La Presse. RTI Claro est une filiale de RTI International Metals, entreprise de l'Ohio dont le titre se transige à la Bourse de New York. Cette spécialiste du titane vient d'investir 43 millions pour déménager sa division montréalaise de Saint-Léonard à Laval. Elle compte plus de 250 salariés qui usinent des pièces d'aéronefs en alliage de titane, en aluminium et en acier inoxydable. Boeing figure déjà parmi les clients importants de RTI Claro, aux côtés de Bombardier et de Bell Helicopter. Le nouveau contrat à long terme d'une durée de 10 ans porte sur la fourniture de composants en titane pour les rails des sièges du nouveau Boeing 787 Dreamliner. En octroyant ces contrats de près de 400 M$, Boeing remplit une bonne partie des engagements associés à la vente des quatre avions de transport C-17. Ottawa déboursera 1,8 milliard de dollars pour les avions, leurs moteurs et les infrastructures associées à ces appareils. En vertu de l'entente convenue avec le gouvernement fédéral, le constructeur américain est tenu d'investir au Canada un dollar pour chaque dollar reçu. Cela équivaut à un investissement de 869 millions de dollars, soit le prix des appareils sans leurs moteurs. Boeing a huit ans pour s'acquitter de cette obligation. Avec des contrats de 400 millions de dollars, le Québec est assuré de recevoir au moins 45% des retombées industrielles du contrat de fourniture des C-17. Ce ne sont pas encore les 50% à 60% réclamés par l'industrie québécoise. Avec 40 400 emplois et des ventes de 11,4 milliards en 2006, le Québec représentait 60% de toute l'activité en aérospatiale au pays, calcule le ministère québécois du Développement économique. Mais ce 45% est mieux que ce que le Québec appréhendait. L'industrie québécoise redoutait que Boeing ne concentre le gros de ses retombées industrielles à sa propre usine de Winnipeg. Elle craignait aussi que Boeing refuse d'encourager des entreprises québécoises qui travaillent avec Bombardier, un rival qui veut jouer dans sa cour avec son projet d'avion commercial CSeries. Reste à voir si le Québec fera mieux - ou pire - dans les autres contrats. L'achat des quatre C-17 est en effet assorti d'un autre contrat de 1,6 milliard pour le soutien en service pendant 20 ans de ces gros appareils qui servent à déplacer du personnel et du matériel en cas de catastrophe nationale ou de crise internationale. Et ce n'est qu'une partie des achats d'équipements militaires qui se trouvent sur la liste d'épicerie du gouvernement Harper. Il y en a pour plus de 17 milliards de dollars. Or, exception faite des navires de soutien et des camions logistiques, les trois quarts de ces achats tiennent du secteur aérospatial. À preuve, le contrat de 1,4 milliard de dollars octroyé il y a une semaine au constructeur américain Lockheed Martin pour l'achat de 17 avions de transport Hercules. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080121/LAINFORMER/801210755/5891/LAINFORMER01
  17. Montréal aura sa Bourse du carbone 08:55 | Presse Canadienne, D'ici la fin de l'année, les entreprises canadiennes pourront s'échanger des crédits de pollution atmosphérique au Marché climatique de Montréal (CMeX). Bourse du carbone Marché climatique de Montréal Ce sera la naissance d'une coentreprise de la Bourse de Montréal et de la Chicago Climate Exchange, le premier du genre au Canada. La négociation se fera sur des contrats à terme liés à des crédits canadiens d'émissions de gaz à effet de serre. "L'équipe du MCeX a évalué le cadre réglementaire sur les émissions atmosphériques du gouvernement fédéral et conclu qu'il respectait les conditions minimales pour la création d'un marché à terme", a déclaré mercredi le président et chef de la direction de l'institution montréalaise, Luc Bertrand, dans un communiqué diffusé après la fermeture des marchés. Pourtant, à la fin mai, M. Bertrand s'était dit "déçu" des règles fédérales, qu'il jugeait pas suffisamment "alignées" avec les exigences du protocole de Kyoto. Mercredi, le pdg a admis que les consultations avec le gouvernement conservateur devraient se poursuivre "pour nous assurer que nous continuons de progresser vers l'instauration d'un contexte favorable au lancement de la négociation". La Bourse de Montréal presse plus particulièrement Ottawa de fournir à l'industrie "une plus grande certitude en matière de politique quant aux objectifs de réduction des émissions et à la définition d'une norme unique relativement aux crédits échangeables". L'institution va aussi faire pression sur le gouvernement de Stephen Harper afin que ce dernier l'autorise à mettre en place un registre national permettant de consigner la qualité des crédits de carbone issus de réductions d'émissions, outil essentiel au lancement des nouveaux contrats à terme. Les discussions que la Bourse de Montréal a amorcées il y a plusieurs mois avec le ministère fédéral de l'Environnement et les grands émetteurs industriels devront donc se poursuivre. Environnement Canada doit établir au cours des prochains mois les cibles de réduction des émissions pour chaque secteur industriel. Contrairement à ce que prévoit le protocole de Kyoto, ces cibles seront fondées sur l'intensité des émissions, plutôt que sur leur volume absolu, et elles seront comparées aux niveaux d'émissions enregistrés en 2006, plutôt qu'à ceux de 1990. La Bourse estime que le futur contrat à terme du MCeX établira le prix d'une tonne de carbone au Canada, ce qui permettra aux entreprises de "gérer le risque" lié à la pollution atmosphérique. Se fondant sur l'expérience vécue en Europe et aux Etats-Unis, le président du conseil d'administration et fondateur de la Chicago Climate Exchange, Richard Sandor, a convenu mercredi que le MCeX devrait subir des "ajustements" dans ses premiers mois d'existence. Les autorités réglementaires devront en outre approuver les futurs contrats à terme. "Nous prévoyons une croissance de la demande de produits dérivés environnementaux", a affirmé Luc Bertrand. Résultats La Bourse de Montréal a par ailleurs dévoilé mercredi ses résultats du deuxième trimestre. L'institution a déclaré des profits nets de 6,9 M$, en hausse de 7 % par rapport à la même période de l'année dernière. La marge bénéficiaire est passée de 36 à 40 %. Les revenus de la Bourse ont atteint 21,4 M$, en hausse de 3 %, un résultat principalement attribuable à l'augmentation de 1,6 % du volume de négociation. L'entreprise a annoncé le versement d'un dividende spécial de 35 cents par action, payable le 16 août aux actionnaires inscrits le 3 août. Mercredi, le titre de la Bourse de Montréal a clôturé à 37,10 $, en baisse de 0,5 %.
  18. Le Journal de Montréal 15-11-2007 Montréal est en voie de devenir la capitale mondiale des effets spéciaux, à tel point qu'on craint une pénurie de talents pour animer les studios de la métropole. «On contrôle 80% des logiciels d'effets visuels sur le marché mondial», indique Danny Bergeron, de Mokko Films, dans le Vieux-Montréal. Montréal est déjà la capitale des jeux vidéo au Canada; dans les prochaines années, il pourrait bien devenir celle des effets spéciaux. «En 2000, on a été découverts par les Américains. Avant, on n'était même pas un joueur important», ajoute-t-il. Le nombre de films américains dont on a confié les effets spéciaux à Montréal est en hausse fulgurante depuis sept ans. Ça représente 80 % du chiffre d'affaires des studios québécois. Montréal rafle en moyenne de 30 à 50 contrats d'effets pour films à gros budget chaque année, des films qui dépensent en moyenne de 5 à 6M$ en effets spéciaux. Si la tendance se maintient, le Québec manquera d'artistes pour fournir la demande. En effet, il n'est pas rare que certains effets spéciaux soient confiés à des studios de Toronto et Vancouver parce que les compagnies québécoises ne peuvent travailler sur toutes les scènes d'un film. «Il nous faut plus de talents, on sollicite les écoles pour qu'elles augmentent le bassin de talents», indique Jean-Yves Martel, de FX Cartel, un entrepreneur en effets spéciaux dont la compagnie a généré 20 M$ dans l'industrie depuis 2003. Nouveau studio Signe d'une industrie en santé, le studio Mokko Films construit en ce moment un autre studio pour doubler sa capacité de production. Le nombre d'employés grimpera à 60. Le studio vient tout juste de terminer il y a trois semaines les effets visuels du Merveilleux Emporium de M.Magorium (Dustin Hoffman, Natalie Portman), prochain blockbuster de Fox. On parle d'un budget de 10 M$ en effets spéciaux, dont près de la moitié est allée à Montréal. Environ 30 artistes y ont travaillé dans la dernière année et demie. Mais qu'est-ce qui charme tant les Américains dans le travail des artisans québécois? «On est bons au Québec pour marier la technologie et l'art, le Cirque du Soleil l'a démontré», dit Danny Bergeron. On espère prochainement obtenir les contrats d'effets spéciaux des films Death Race et The Mummy 3, qui ont été tournés à Montréal récemment. Une délégation québécoise se prépare à partir pour Los Angeles en janvier, question de convaincre les productions d'envahir les studios de la métropole. «On est les meilleurs du monde, il ne reste qu'à le laisser savoir», conclut Danny Bergeron.
  19. Le Québec Air Force débarque chez Boeing et Lockheed 4 octobre 2007 - 06h43 La Presse Marie Tison Les entreprises québécoises qui espèrent bénéficier des retombées des contrats militaires du gouvernement canadien ont pris le taureau par les cornes. Près d'une quarantaine d'entre elles sont allées visiter Boeing et Lockheed Martin aux États-Unis pour leur montrer ce dont elles étaient capables. «Nous sommes allés là pour faire des affaires», déclare le président et chef de la direction d'Héroux-Devtek, Gilles Labbé, qui a un peu joué le rôle de grand frère auprès des plus petites entreprises. Héroux-Devtek, fabricant de trains d'atterrissage et d'autres composants pour l'industrie aéronautique, est déjà un fournisseur de Boeing et de Lockheed Martin. «Nous avons montré que nous comprenions les règles du jeu: la qualité, la livraison à temps, le prix, ajoute-t-il. Nous allons être choisis à partir de ces critères-là, nous ne serons pas choisis parce que nous sommes du Canada.» Le gouvernement Harper a annoncé un ambitieux programme d'achats militaire de 17 milliards de dollars il y a plus d'un an. Boeing a déjà décroché l'un de ces contrats pour la fourniture de quatre avions de transports C-17. Le géant américain devrait obtenir un autre contrat pour 16 hélicoptères de transport alors que Lockheed Martin devrait décrocher un contrat pour la fourniture de 17 avions de transport tactique de type C130. Le gouvernement fédéral exige que les deux manufacturiers génèrent au Canada des retombées industrielles d'un montant égal à celui des contrats. Le gouvernement Harper a toutefois refusé d'imposer un pourcentage minimum de retombées au Québec, où niche plus de la moitié de l'industrie aéronautique canadienne. Le président de l'Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec, Guy Mc Kenzie, a cependant participé à la mission québécoise au siège de Boeing à St. Louis et de Lockheed Martin à Mariette, en Georgie, la semaine dernière. Les entreprises québécoises intéressées aux retombées industrielles avaient déjà rencontré des représentants de Boeing et de Lockheed Martin à Montréal. Cette fois-ci, près de 70 entreprises ont demandé à faire partir de la mission. Les organisateurs ont fait parvenir la liste de candidats aux deux manufacturiers, qui ont eu le dernier mot. Boeing a demandé à rencontrer 20 entreprises et Lockheed Martin, 29. Une douzaine d'entreprises ont été choisies par les deux. «Les gens de Boeing et de Lockheed Martin ont pu amener les bonnes personnes pour rencontrer les fournisseurs qui les intéressaient, note M. Labbé. Ça fonctionnait par rendez-vous, c'était très productif.» Héroux-Devtek connaît bien les deux manufacturiers, mais elle aimerait bien obtenir des mandats de plus. L-3 MAS Canada, entreprise de Mirabel qui se spécialise dans l'entretien et la rénovation d'appareils militaires, a participé à la mission même si elle compte elle aussi Boeing et Lockheed Martin parmi ses clients. «C'est toujours important de renouveler les relations, explique Stéphane Germain, vice-président du développement des affaires de L-3 MAS. Il y a toujours des changements organisationnels, il est donc important de faire de nouveaux contacts.» Plusieurs participants à la mission étaient des PME, comme Minicut International, entreprise montréalaise spécialisée dans les outils de coupe pour l'industrie aéronautique. «Nous avons profité de l'occasion pour rencontrer d'autres fournisseurs, comme Goodrich et Rolls-Royce, qui peuvent devenir des clients pour nous», commente le président de Minicut, Eduardo Minicozzi. Les organisateurs prévoient déjà une nouvelle mission chez Boeing et Lockheed Martin plus tard cet automne. Des entreprises québécoises n'ont pas pu participer à cette première mission parce qu'elle avait lieu exactement en même temps que le congrès annuel du National Business Aviation Association.
  20. Profits en hausse de 80% chez CGI 1 août 2007 - 08h47 LaPresseAffaires.com Michel Munger Grossir caractèreImprimerEnvoyer La firme de consultants CGI (GIB.A) annonce que ses profits du troisième trimestre ont fait un saut de 80% et que les nouveaux contrats signés totalisent 1 G$. Cliquez pour en savoir plus : CGI La société montréalaise dévoile que lors de la période de trois mois, ses profits nets se sont chiffrés à 64,4 M$ ou 19 cents dilué par action. Du côté des revenus, une augmentation de 7,7% à 933 M$ a été constatée. Les nouveaux contrats signés ont monté de 14,8% à 1 G$. Le carnet de commandes s'élevait par ailleurs à 12,4 G$ à la fin du trimestre. «Je suis très satisfait des résultats obtenus pour ce trimestre et depuis le début de l'exercice car CGI a très bien performé sous tous les aspects, dit Michael Roach, PDG de CGI. Je me réjouis aussi de voir que le marché a commencé à reconnaître notre performance, comme en témoigne la hausse du cours de nos actions.» Pendant le troisième trimestre, CGI a vu les flux de trésorerie provenant de l'exploitation augmenter de 25% à 134,6 M$ et la dette à long terme descendre de 36% à 518,1 M$. L'action de CGI a terminé la séance de mardi à 10,95 $ à Toronto.
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