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  1. Miska

    L'Arsenal

    La galerie René Blouin songe à s'y établir Jérôme Delgado 16 décembre 2010 Arts visuels Un complexe d'art contemporain verra le jour au printemps sur le bord du canal de Lachine, dans Griffintown. Le projet du 2000, rue William, à l'est du marché Atwater, n'est pour l'instant qu'à l'étape de chantier de sa première phase. Mais déjà les rêves les plus fous parlent de cette ancienne usine comme de la première pierre du Chelsea montréalais. Si l'ensemble se concrétise, le lieu serait le plus vaste en ville, cinq fois plus grand que la Parisian Laundry ou la Fonderie Darling. Piloté par un collectionneur averti, l'homme d'affaires et avocat de formation Pierre Trahan, le projet aurait conquis René Blouin, qui gère depuis presque un quart de siècle une des galeries les plus réputées au Canada. Le milieu de l'art contemporain aurait été emballé et a séduit des diffuseurs comme le centre Optica. «À un moment, on disait que tout le 5e étage du Belgo s'en allait là», dit Pierre-François Ouellette, qui, lui, assure que sa galerie restera rue Sainte-Catherine. Bien sûr, on n'en est pas là, voir disparaître le Belgo. Dans cette première phase de 36 000 pieds carrés qui comprend un hangar multifonctionnel, seules les galeries Division (propriété de Trahan) et René Blouin ont une place assurée. Optica n'est plus dans les plans. La deuxième phase, qui dépend de l'achat du reste du bâtiment couvrant 45 000 pieds carrés, pourrait néanmoins les inclure, lui et d'autres. D'abord réticent à parler à un journaliste, Pierre Trahan reconnaît vouloir réunir galeries et centre d'artistes. Il investit «des millions» de dollars à rénover cette «carcasse» avec la contribution «d'architectes et d'ingénieurs de réputation», dont il n'a pas voulu révéler les noms. «C'est un projet personnel, dit-il. Je l'ai d'abord pensé pour montrer des collections privées. Puis pour propulser l'art contemporain à Montréal. L'endroit pourrait devenir le Petit Chelsea de Montréal. Ce serait le point central en ville.» Le lieu servira autant à la diffusion qu'à la tenue d'événements ponctuels. Pierre Trahan exposera sa propre collection, qui se nourrit autant dans les galeries québécoises qu'étrangères. Mais il veut aussi inviter ses similaires à le faire. «On pourrait organiser une rotation de collections privées. Les montrer au public, c'est mieux que de les cacher dans des "lockers". Pour moi, c'est un coup de pouce pour le milieu.» Il dit agir selon des intérêts nobles, pour «jouer un rôle éducatif et non pas pour faire de l'argent». Le financement viendra de la location des espaces. Il espère inaugurer le 1er mai 2011. René Blouin s'enthousiasme à l'idée de quitter le centre-ville et le Quartier des spectacles, où «on occulte le Musée d'art contemporain à chaque festival». Il demeure néanmoins sur ses gardes, tant qu'il n'a pas vu les plans finaux, attendus pour janvier. «Prudence, avertit-il. C'est un bijou qu'on a entre les mains. Il ne faut pas faire quelque chose de moche.» La hauteur des plafonds, le double de celle du Belgo, imposera d'autres manières de faire. On lui parle aussi d'espaces ouverts, qui lui font croire que la vieille formule du cube blanc ne s'appliquera plus. «Il faudra créer un nouveau genre de galerie. Mais il faut y aller avec finesse, pour que les artistes soient stimulés.» *** Collaborateur du Devoir
  2. http://www.lemaxence.ca/ L’art de vivre, conjugué avec chic À Saint-Lambert, aux abords du fleuve et à quelques minutes de la métropole, se dresse Le Maxence ; un complexe résidentiel de 44 unités de prestige, offrant un panorama imprenable sur l’eau, les lumières de la ville et les Cantons de l’Est. Le Maxence, c'est un environnement haut de gamme, au style épuré et contemporain, où somptuosité se marie avec noblesse. D’une qualité de construction exceptionnelle, Le Maxence se transforme en art de vivre où chic s'accorde avec distinction. Livraison automne 2014
  3. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=19271&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques Dévoilement des finalistes du concours visant l'intégration d'une œuvre d'art public sur la promenade Jeanne-Mance 16 juillet 2012 Montréal, le 16 juillet 2012 -La responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, a le plaisir d'annoncer le nom des six finalistes du concours en art public qui a été lancé afin d'intégrer une œuvre en cinq temps à la future promenade Jeanne-Mance, au cœur du Quartier des spectacles. Il s'agit de David Armstrong-Six, Valérie Blass, Michel de Broin, Valérie Kolakis, Stephen Schofield et Louise Viger. « Les travaux d'aménagement des espaces publics dans cette partie du Quartier des spectacles représentent une belle occasion de faire une place importante à l'art public. L'intégration d'une œuvre fragmentée en cinq éléments distincts permettra aux passants d'en faire une lecture séquentielle et ce parcours véhiculera très certainement l'identité unique de cet espace qui constitue le cœur culturel de la métropole. En tenant un concours visant l'intégration d'une nouvelle œuvre d'envergure, nous réaffirmons notre engagement à favoriser l'accès à l'art public aux quatre coins de la ville et je tiens à féliciter les six finalistes qui, par leur parcours et leur créativité, ont su se démarquer auprès des membres du jury », a déclaré Mme Fotopulos. L'œuvre fragmentée qui découlera de ce concours s'intégrera aux cinq plateformes qui seront aménagées prochainement sur le côté est de la rue Jeanne-Mance, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard René-Lévesque. Les cinq éléments qui constitueront l'œuvre permettront aux passants de faire une lecture narrative de l'œuvre ainsi que de l'espace qui l'accueille et contribueront grandement à mettre en valeur l'art public dans le Quartier des spectacles. Clin d'œil à ce haut-lieu du divertissement culturel, l'œuvre devra témoigner de la nouvelle identité de ce secteur, véritable témoin de la créativité et de la diversité culturelle montréalaise. Rappelons que ce projet sera réalisé dans le cadre de la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux publics du gouvernement du Québec. En outre, dans son cadre d'intervention en art public adopté en juin 2010, la Ville s'est engagée à intégrer l'art public dans tous les grands projets d'aménagement urbain sous sa responsabilité et à inciter chacun des arrondissements à se doter d'un plan d'intervention dans ce domaine. À propos des finalistes David Armstrong-Six est représenté à Montréal par la Parisian Laundry. Ses œuvres ont été présentées notamment à la Kunstlerhaus Bethanien à Berlin (2012), à la Biennale de Montréal (2011) et au Musée d'art contemporain de Montréal (2008). Valérie Blass est représentée à Montréal par la Parisian Laundry. Elle a remporté le Prix Louis-Comptois de la Ville de Montréal en 2010 et le Musée d'art contemporain de Montréal lui a consacré une exposition solo en 2012. Michel de Broin est représenté à Barcelone par la Galerie Toni Tàpies. Il a réalisé plusieurs œuvres d'art public tant au pays qu'à l'étranger, notamment Révolutions et L'arc qui font partie de la collection municipale. Il présentera une rétrospective de son travail au Musée d'art contemporain de Montréal en 2013. Valérie Kolakis est représentée à Montréal par la Galerie Donald Browne. Récemment, ses œuvres ont été présentées à l'Œil de poisson à Québec (2012), à Plein Sud (2011) et à la Triennale québécoise au Musée d'art contemporain de Montréal (2011). Stephen Schofield est représenté à Montréal par la Galerie Joyce Yahouda. Ses sculptures ont fait l'objet d'une exposition à la New-Jersey City University (2011) et au Textile Museum of Canada à Toronto (2010). Il est récipiendaire du Prix Louis-Comptois de la Ville de Montréal (2005) et a réalisé deux œuvres d'art intégrées à l'architecture en 2012. Louise Viger a présenté ses œuvres au Musée national des beaux-arts de Québec (2010 et 2011) et au Musée d'art contemporain de Montréal (2000). Elle a réalisé plusieurs œuvres d'art public dont Des lauriers pour mémoire-Jean-Duceppe (1923-1990) qui fait partie de la collection municipale.
  4. Montréal dévoile la plus coûteuse oeuvre d’art public au Québec Le collectif d’artistes BGL réalisera l’oeuvre de 1,1 million de dollars 30 août 2013 | Isabelle Paré , Frédérique Doyon | Arts visuels <section class="retenir retenir_paysage">Tous nos textes sur l'art public Pour lire notre série Décryptage sur l'art public </section>La Ville de Montréal annoncera ce vendredi matin l’octroi de 1,1 million de dollars au collectif d’artistes BGL art contemporain de Québec pour la réalisation de la plus coûteuse oeuvre d’art public jamais réalisée au Québec. Intitulée « La vélocité des lieux », l’oeuvre monumentale dominera du haut de ses 63 pieds le carrefour réaménagé à l’angle des boulevards Pie-IX et Henri-Bourassa, dans l’arrondissement Montréal-Nord. Le concept du collectif d’artistes, entériné ce mercredi par le comité exécutif, sera dévoilé par le maire de Montréal, Laurent Blanchard, et la conseillère indépendante Hélène Ayotte, responsable de la culture, du patrimoine et du design. Au cours des derniers mois, la question de l’art public, dopée par le débat sur le déplacement de L’homme de Calder, a divisé les divers partis municipaux, devenant un des nombreux enjeux électoraux. Choisie à l’unanimité par le jury le 19 juillet dernier, l’oeuvre de BGL sera la plus imposante jamais réalisée au Québec dans le cadre de concours tenus par le Bureau d’art public de Montréal et par le Bureau d’intégration des arts à l’architecture du ministère de la Culture. Le budget dépasse largement le « 1 % » du budget global de construction normalement dévolu aux oeuvres d’art public. L’installation trônera sur la nouvelle « entrée de ville » du carrefour Pie-IX/Henri-Bourassa, dont la réfection atteindra à terme près de 50 millions (chiffres de 2012) et s’échelonnera jusqu’en 2016. Le comité exécutif soutient que l’oeuvre contribuera à faire de ce carrefour un lieu « identitaire et emblématique » pour Montréal. Le carrefour routier ainsi enjolivé deviendra la plus distinctive des six portes d’entrée du nord de l’Île. Le coût de l’oeuvre est compris dans les 14,5 millions prévus au Programme triennal d’immobilisations 2013-2015 pour la transformation de cet échangeur dangereux, depuis longtemps considéré comme une plaie urbaine. La vélocité des lieux bouleversera la notion d’oeuvre d’art et « développera un nouveau public pour l’art contemporain », indiquent les artistes dans leur descriptif. L’installation doit prendre la forme d’un arc constitué d’autobus, faisant le pont au-dessus d’un groupe d’arbres et de maisons, ajoutent-ils. Le collectif BGL (Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière) s’est fait remarquer depuis 16ans par ses installations audacieuses qui remettent en question le rapport de l’homme à son environnement et le caractère factice de l’objet. Plusieurs de leurs oeuvres font partie des collections du Musée des beaux-arts du Canada, du Musée des beaux-arts de Montréal et du Musée d’art contemporain de Toronto. « Championne » toute catégorie des budgets d’art public, La vélocité des lieux, qui sera installée à l’automne 2015, devance de loin le montant record de 723 000 $ attribué le printemps dernier à Sans titre, de Stephen Schofield, qui ornera en 2014 la rue Jeanne-Mance, au sud de la place des Festivals. Troisièmes au palmarès municipal, les sculptures de Melvin Charney, installées en 1992 sur la place Émilie-Gamelin, avaient coûté à l’époque 350 000 $
  5. http://www.groupesopromont.com/fr/projets/17-projet-delano.html http://delanocondos.com/le-projet.html La première phase de cet impressionnant projet, situé dans le quartier Chomedey à Laval, propose un immeuble de structure de béton, comprenant 59 unités réparties sur 6 étages avec ascenseur. Sa localisation géographique est idéale : à proximité de tous les grands axes routiers Lavallois, du renommé Marché 440 ainsi que d'innombrables restaurants et boutiques qui entourent le site du DELANO. D'un design contemporain, les immeubles démontrent une architecture urbaine et intemporelle. Pour jouir pleinement de la vue panoramique imprenable, toutes les unités sont dotées d'une fenestration abondante.
  6. Un petit reportage sur la multiplication des galeries d'art contemporain dans Griffintown... http://video.telequebec.tv/video/12713/la-ruee-vers-l-art-dans-griffintown
  7. Le 25 février 2010 Qui a peur de l'architecture contemporaine? * Lucie Lavigne La Presse En matière d'architecture résidentielle, le style contemporain déstabilise ou parfois même rebute encore plusieurs personnes. Pourquoi? Nous avons posé cette question à un architecte bien connu au Québec: Pierre Thibault. Lucie Lavigne: Pourquoi selon vous, les maisons de style contemporain sont-elles encore rarissimes au Québec? Pierre Thibault: Parce que les règles de l'architecture contemporaine sont complètement différentes de celles de l'architecture traditionnelle. Les gens n'ont plus leurs repères. Selon moi, l'une des meilleures façons de la découvrir et, surtout, de l'apprécier est de «goûter» pendant une journée aux qualités architecturales d'une habitation actuelle. Au départ, les gens sont impressionnés par l'effet des volumes et le lien entre l'intérieur et l'extérieur, beaucoup plus puissant que celui d'une maison standardisée où toutes les pièces sont identiques. Après un certain temps, les visiteurs se disent «wow», je suis bien ici. Ils se rendent compte que l'expérience peut être enrichissante. L'objectif de l'architecte est d'ailleurs de créer une atmosphère et de procurer des sensations diversifiées aux occupants d'une propriété. Je l'ai vécu moi-même avec certains membres de ma famille. Après avoir visité mon chalet, ils m'ont demandé s'ils pouvaient l'habiter... pendant un week-end! Q. Pourquoi les néomanoirs continuent-ils de se multiplier et comment décodez-vous cette tentative de recréer des châteaux? R. Je crois que c'est un phénomène qui tire à sa fin. Cette tendance correspondait aux envies d'une génération de la fin des années 90 qui avait une image idyllique de la propriété, popularisée par certaines émissions de la télé américaine. La nouvelle génération, dont mes propres enfants et mes étudiants à l'Université Laval, n'adhèrent pas à cette mode. Je dirais même qu'ils la ridiculisent et comparent les similichâteaux à des maisons de Barbie. Ils préfèrent, je crois, retourner à des valeurs essentielles et universelles. À leurs yeux, habiter n'est pas un moyen d'impressionner son voisin, mais plutôt d'avoir une vie plus agréable. Q. Croyez-vous que la construction contemporaine sera un jour plus populaire? R. Je suis de nature optimiste, alors je vous répond: oui! Comme j'enseigne à l'université et que j'ai maintenant des clients très jeunes, je suis à même d'observer un changement. Les très grandes maisons, dites Monster Houses n'ont plus la cote. Les enfants qui les ont habitées ne veulent pas vivre leur vie d'adulte dans ce type d'habitation surdimensionnée. Je dirais même qu'ils ont influencé leurs parents. J'ai actuellement des clients qui vivent dans une Monster House et qui veulent changer d'environnement. Lors de visites, j'ai d'ailleurs constaté de visu la pauvreté spatiale de ces projets. On a beau mettre beaucoup d'argent dans la décoration, ça ne rend pas les espaces intérieurs plus agréables à vivre. Q. Qu'est-ce qui différencie une habitation conventionnelle d'une autre, de style contemporain? R. Souvent, dans les habitations à l'architecture conventionnelle, chaque pièce est à peu près identique, c'est-à-dire qu'elle comporte toujours quatre murs dont un ou deux percés d'une petite fenêtre. Le rapport avec l'extérieur et la lumière s'avère ainsi toujours à peu près le même. À l'inverse, dans une propriété contemporaine, le but est d'aller chercher le maximum de lumière naturelle, des vues variées sur l'extérieur et une diversité spatiale avec des espaces parfois plus hauts ou plus larges que la normale. On peut alors se retrouver avec des pièces où l'on se sent un peu «comprimés». Ailleurs dans la maison, on peut, au contraire, ressentir une dilatation de l'espace avec des plafonds hauts. Résultat? Le quotidien est moins banal. La préoccupation de l'architecte n'est donc pas de faire «joli», mais de solliciter tous les sens des occupants. Se promener dans la maison se transforme en une expérience architecturale. Q. Parmi les éléments déconcertants d'une maison contemporaine, il y a son entrée principale, rarement flamboyante et centrée en façade. Il est parfois même difficile de l'apercevoir de la rue. Qu'en pensez-vous? R. Je crois que le mot «déconcertant» est juste, car la plupart des gens ont l'habitude d'entrer en façade. En entrant latéralement, par exemple, les visiteurs peuvent découvrir une grande perspective avec une longue fenêtre qui cadre le paysage, au lieu de tomber face à face à une penderie. Cette façon moins conventionnelle de pénétrer dans une propriété est de plus en plus appréciée. Depuis 50 ans, notre façon de vivre et l'habitat ont évolué. Certaines personnes sont toutefois restées avec une image passéiste de l'habitation. Q. Enfin, est-il possible pour une famille qui n'est pas très fortunée de construire ou de rénover une habitation dans un style contemporain ? R. L'un des meilleurs moyens pour abaisser les coûts de construction est de réduire la superficie. Sinon, il existe des trucs pour faire paraître une propriété plus vaste qu'elle ne l'est en réalité. Une fenestration bien pensée et de grandes terrasses, par exemples, rendent les espaces intérieurs particulièrement agréables et, surtout, ils peuvent créer un effet d'agrandissement étonnant. photos: http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/architecture-et-patrimoine/201002/24/01-954862-qui-a-peur-de-larchitecture-contemporaine.php
  8. Is Montreal the real art capital of Canada? SARAH MILROY From Saturday's Globe and Mail May 30, 2008 at 11:07 PM EDT MONTREAL — Is Montreal the new Vancouver? I've heard the question floated the last few days following the opening of the Québec Triennial at the Musée d'art contemporain de Montréal last weekend. It's a major exhibition – 38 artists showing 135 works of art – and it presents a new generation of Quebec artists, emerging into view after a long period of relative seclusion and quiet growth. There are many, many discoveries to be made, particularly for gallerygoers who live outside of Quebec. The curators took risks. (The show was organized by MACM curators Paulette Gagnon, Mark Lanctôt, Josée Bélisle and Pierre Landry, now at the Musée National des Beaux-Arts du Québec.) They set out with no declared curatorial theme, which so often serves as a diversion from the brutal sheep-and-goats sorting that such a show should be all about. The exhibition's title, Nothing Is Lost, Nothing Is Created, Everything Is Transformed, was arrived at after the fact, borrowed from the writings of a Greek scientist and philosopher named Anaxagoras of Clazomenae (500-428 BC). It's a title that would suit many of the big roundup shows this year (for example, Unmonumental at The New Museum in New York, and the Whitney Biennial), having about it both the celebratory and the apocalyptic flavour of the moment. These days, the artist often seems to perform a kind of sampling role, picking through the churning deluge of information and imagery that makes up the contemporary visual environment. But where some of these larger international shows seem chaotic in sympathy with their subject (the current Whitney being the odious example), the Québec Triennial is tightly considered and expertly installed. A focus on the news Enlarge Image Among the big names are Michel de Broin, who won last year's Sobey Art Award and is a significant force on the Quebec scene. (Ellen Page Wilson) There were obvious big names missing from the lineup – such as Montrealers Pascal Grandmaison and Geneviève Cadieux or the Quebec City artist collective BGL, which has been showing up a lot in Toronto – and the curators may take heat for that on the home front. But instead of received ideas they have delivered us news. One of the most startling discoveries is the video work of 36-year-old Patrick Bernatchez. Here, he is showing two mesmerizing projection pieces, both set in the Fashion Plaza in the Mile End former garment district of Montreal, a part of the city currently being re-gentrified by the arts community. In I Feel Cold Today, we enter a 1960s-style office tower and ascend the elevators to the sound of a lush soundtrack (the artist's remix of fragments of classical music and film scores), arriving at a suite of empty offices that gradually fill with billowing snow. It's a mystical transformation. The cinematic precedent is the famous snow scene from Dr. Zhivago, where the accumulation of snow in the abandoned country house bespeaks the loss of a way of life, and the passage of time. Here, it is modernism that is mourned and, more particularly, the go-go optimism of Quebec in its Expo 67 moment. Bernatchez's other work, Chrysalide: Empereur, is without such obvious precedent, drifting in a realm of its own. All the camera shows us is a car parked in a grimy garage. In it sits a man in a Ronald McDonald clown costume, smoking a cigarette behind the wheel as water gradually fills the interior of his car. The sun roof is open (we see his party balloons escaping), so this man is not trapped, yet he makes no effort to escape as the water rises. This seems to be a suicide, yet he does not die. Breathing in water, is he returning to life in the womb, a place of deep privacy and seclusion? I found myself reminded of Bruce Nauman's famous videos of clowns in extremis (his dark and distinctive blend of comedy and cruelty), and the sense of violent threat in Matthew Barney's Cremaster Cycle. If these have inspired Bernatchez, he has wrung from these precedents a new comic/tragic resonance. One of the few big names in the show is David Altmejd, who also hangs out on the borderline between beauty and horror. His two giant standing figurative sculptures in this show continue his investigations of decay and regeneration. One, titled The Dentist, is a stylistic departure for the artist : a mammoth monolith in the shape of a standing man that is made entirely from faceted mirrors. This colossus houses a number of quail eggs in its sides, and its surface is shattered here and there with what look like bullet holes, some of which sprout animal teeth. Despite the evidently fragile material from which it is made, the sculpture embodies a kind of brutal force. This is the sort of material conundrum that Altmejd loves to explore. An inspired juxtaposition In one of the most effective installation decisions in the show, Altmejd's mirrored sculpture stands within hearing range of Gwenaël Bélanger's video projection featuring the sound of a shattering mirror. The camera spins in the artist's studio, the rotation recorded in myriad stills spliced together to create a stuttering visual effect. Every five minutes, a pane of mirrored glass shatters as it is dropped on the floor with a sound like church bells, the phenomenon captured in hundreds of frozen micro-moments cut together. Like the works of Alexandre Castonguay (not in the show) or the earlier, more overt digital composites of Nicholas Baier, Bélanger takes an artisan's approach to digital technology, showing off his handiwork in obvious ways, a different approach than the sleight of hand of Vancouver artists such as Jeff Wall or the younger Scott McFarland. Mirrors figure, as well, in the new work of Baier, another of the show's better-known figures. For this show he has installed a magisterial suite of his most recent scanned antique mirrors, surfaces that offer scars and imperfections from deep within their inky depths. But, unlike Baier, most of the artists here are little known. There's Valérie Blass, whose sculptures range from a fur-clad zigzag form that springs from the wall (she titled the piece Lightning Shaped Elongation of a Redhead) to a two-legged standing figure that looks like the Cowardly Lion in a pair of high-heeled hooves. (A sloth clings to its breast, regarding us with wide eyes, curiouser and curiouser.) This woman has developed her own completely distinct vision, each work embodying a precise material language. Likewise, the British-born artist Adrian Norvid, who is showing a giant cartoon drawing of the Hermit Hamlet Hotel, an alternative getaway for deadbeat longhairs with hillbilly affectations. (One slogan reads “Recluse. Footloose. Screw Loose. No Use.”) Norvid takes the eccentric posture of the outsider/slacker, throwing rocks into the mainstream from his lazy place on the riverbank. Painting comes on strong. Etienne Zack appears to tip his hat to Velazquez and other classical masters in Cut and Paste, a painting of a courtier slumped in a chair. In this Cubist-seeming likeness, he breaks the figure up into planes of form hinged together with masking tape (painted, not real). Zack takes as his subject the literal building up of form through paint. This is painting about painting. Michael Merrill engages in another form of homage with his Paintings about Art, depictions of his fellow artists' work in museums and galleries in Canada and abroad. (One downward-looking view of the stairwell at the DIA Foundation in New York is a compositional gem, executed in dazzling emerald greens.) These pictures document the watering holes and pilgrimage sites of the little tribe of peripatetic Canadian artists, curators, dealers and collectors. Like Manet's portraits of his contemporaries, they are images to inform a future history of art. Certainly there were things here that seemed weak by comparison. The artist collective Women with Kitchen Appliances felt like a seventies throwback. I could live without the karaoke saloon by Karen Tam, or Trish Middleton's detritus-strewn Factory for a Day. David Armstrong Six's wonderful little watercolours hold up better than his large installation work here. And Julie Doucet's collage works are always fun to look at, but they wear out fast. As well, I have never taken to the simulated theatrics of Carlos and Jason Sanchez, who are exhibiting a photo portrait of John Mark Karr (who claimed to have killed six-year-old JonBenet Ramsey) and another work showing a pair of soldiers on the battlefield (the maudlin title: The Misuse of Youth). And it was disappointing that Michel de Broin, who won last year's Sobey Art Award and is a significant force on the Quebec scene, missed the opportunity to make a new major piece for this show. But every exhibition of this sort has its hits and misses. Montreal's critical mass So, why is Montreal art so strong these days? First, you have to credit the strong art schools in Montreal and Quebec City. Looking at the CVs of these artists, one sees most of them are homegrown talents trained at Concordia University or the University of Quebec at Montreal. (Just a handful have gone on to hone their skills at places like Cal Arts or Columbia in the United States or Goldsmiths in London.) These programs, coupled with the viability of Quebec's artist-run-centre scene and the highly charged political push for cultural integrity over the past several decades – plus the critical funding for the museums to support it – have clearly given extra momentum to the province's artistic production. With all its vitality and freshness, the show leaves one with the unmistakable impression of Montreal's ascendancy. Quebec artists are emerging now knowing who they are, apparently not seeking validation from elsewhere to feel empowered. Let's note: Montreal is home to the only international biennial in Canada (organized by the Centre International d'art contemporain), something English Canada has never pulled off. And nowhere in Canada has a museum committed to a regular showcase of this sort for Canadian contemporary art. (Province of Ontario, you're getting your butt kicked here.) It's telling that the Musée d'art contemporain de Montréal is the first to take the lead with its new Triennial. Refusing wannabe status, and with its leading institutions honouring the home culture with discernment and passion, Montreal is suddenly looking like the sexiest thing around. Nothing Is Lost, Nothing Is Created, Everything Is Transformed continues at the Musée d'art contemporain de Montréal until Sept. 7 (514-847-6232 or http://www.macm.org).
  9. Montréal, le 20 décembre 2007 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, est heureux d'annoncer que la Ville de Montréal offrira une œuvre de Michel Goulet à la Ville de Québec pour célébrer le 400e anniversaire de sa fondation. L'œuvre, Rêver le nouveau monde de Michel Goulet, sera installée sur la place de la Gare et sera inaugurée l'automne prochain. « Cette œuvre que nous offrons à la Ville de Québec témoigne des liens solides d'amitié et de solidarité qui unissent la capitale nationale et la métropole. Rêver le nouveau monde de Michel Goulet, de l'un de nos sculpteurs les plus renommés, veut également exprimer notre volonté de bâtir ensemble un avenir prometteur », a déclaré M. Gérald Tremblay. Rêver le nouveau monde – des « chaises poèmes » L'œuvre a été retenue à la suite d'un concours lancé auprès des artistes montréalais l'été dernier. Elle prendra pour éléments clés la chaise et le poème. La chaise est un motif récurant dans l'œuvre de Michel Goulet, et est, d'une certaine façon, la signature de sa sculpture. Pour l'artiste, la chaise a toujours été le prétexte de rencontres, de mise en commun, d'échanges et le révélateur de ce qui nous singularise mais aussi de ce qui nous rassemble, nous positionne. Michel Goulet a conçu Rêver le nouveau monde pour être située le long d'un sentier de la place qui jouxte la Gare du Palais. L'œuvre sera formée de quarante chaises représentant un portrait de la société et les rapports entre les individus. Les quarante chaises porteront quarante fragments de textes de quarante poètes écrit entre le premier jour de la fondation de Québec et aujourd'hui. L'artiste : Michel Goulet Artiste sculpteur né à Asbestos au Québec, Michel Goulet vit et travaille à Montréal. Il est considéré comme l'une des figures marquantes de sa génération en sculpture. Son travail a fait partie de nombreuses expositions importantes dans plusieurs lieux prestigieux au Canada et à l'étranger dont au Musée d'art contemporain de Montréal, au Musée national des beaux-arts du Québec et au Centre international d'art contemporain. Reconnu pour sa contribution indéniable à l'art public ici et à l'étranger, il a créé plus de vingt œuvres permanentes depuis vingt-cinq ans. Il était en 1990 le premier artiste canadien invité par le Public Art Fund à montrer une œuvre publique sur Doris Freedman Plaza, à New York et, la même année, la Ville de Montréal lui commandait Les Leçons singulières, une œuvre phare de l'art public pour la Place Roy et le belvédère du Parc Lafontaine. En 2000, il a réalisé, en collaboration avec Réal Lestage, urbaniste et Julie St-Arnault, architecte paysagiste, Le Jardin des curiosités, intégré au Jardin de Montréal, sur le Belvédère Abbé Larue à Lyon. En 2002, il inaugurait Fair Grounds, une œuvre permanente commandée par la Corporation Tridel, à Toronto. Il participait en 2003 au Vancouver International Sculpture Project et en 2006 à la Biennale d'art contemporain du Havre, en France. Il a représenté le Canada à la Biennale de Venise en 1988, considéré comme le plus grand événement international en art contemporain. Michel Goulet est lauréat du Prix Paul-Émile-Borduas, la plus haute distinction accordée par le Gouvernement du Québec, à un artiste en arts visuels. Le concours Le Bureau d'art public de la Ville de Montréal a tenu l'été dernier un concours par avis public à l'intention des artistes professionnels résidant dans la ville de Montréal. Les trois finalistes : Marie-France Brière, Michel Goulet et Gilles Mihalcean ont été désignés par un jury de sélection dont six des sept membres provenaient de Québec. Ce jury réunissait Mme Line Ouellet, directrice des expositions et des publications, au Musée national des beaux-arts du Québec, Mme Francine Chainé, directrice du programme de maîtrise en arts visuels à l'Université Laval, Mme Nicole Catellier, muséologie, directrice de Cinémanima, M. Jean-Pierre Morin, sculpteur, M. David Naylor, professeur au département d'arts visuels de l'Université Laval, Mme Josée Bonneau, responsable de l'art public au Service de la culture de la Ville de Québec et de Mme Francyne Lord, commissaire à l'art public de la Ville de Montréal. SOURCEhttp://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=65,106529&_dad=portal&_schema=PORTAL&_piref65_263689_65_106529_106529.next_page=htdocs/portlet/communiques/fr/detail.jsp&_piref65_263689_65_106529_106529.id=9207&annee=2007&mois=12
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