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  1. MONTRÉAL EST CONFIRMÉE PREMIÈRE VILLE D'ACCUEIL D'ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX EN AMÉRIQUE DU NORD Grande victoire pour la métropole, Montréal a été consacrée première destination en Amérique du Nord pour l'accueil d'événements associatifs internationaux, selon le classement officiel 2009 de l'International Congress and Convention Association (ICCA). Quelques jours auparavant, le Palais des congrès de Montréal annonçait son classement parmi les finalistes du Prix APEX 2010 du Meilleur centre de congrès au monde qui sera annoncé en juillet par l'Association internationale des palais de congrès (AIPC). Principal hôte de rencontres internationales d'envergure dans la métropole québécoise, le Palais des congrès accueille chaque année des milliers de congressistes et génère d'importantes retombées intellectuelles et économiques pour Montréal et le Québec. "C'est une grande victoire pour le Palais qui a accueilli plus de 1 000 congrès d'envergure depuis son ouverture en 1983, mais c'est également une belle reconnaissance des efforts déployés au quotidien par les équipes de Tourisme Montréal et du Palais", déclare Marc Tremblay, président-directeur général du Palais des congrès. "Nous avons su nous démarquer des autres centres de congrès internationaux grâce à des atouts fort enviables tels que la flexibilité de nos installations, notre emplacement au cœur du centre-ville, l'expertise et la passion de nos employés, sans oublier le design unique de notre immeuble", ajoute-t-il. Depuis 2007, le Palais des congrès figure en effet au palmarès des "1001 merveilles de l'architecture qu'il faut avoir vues dans sa vie" de Mark Irving. "Tourisme Montréal est très fier de ce classement qui atteste l'excellence de notre industrie touristique en matière de congrès et de rencontres internationales", souligne le président-directeur général de Tourisme Montréal, l'honorable Charles Lapointe. "Le célèbre dicton "l'union fait la force" prend ici tout son sens, puisque ces résultats sont le fruit d'efforts concertés de tous les intervenants montréalais qui travaillent d'arrache-pied pour faire de notre métropole la destination de prédilection des gens d'affaires du monde entier. Tourisme Montréal tient à remercier tout particulièrement l'ensemble du personnel du Palais des congrès qui, par son dévouement exceptionnel et par la qualité irréprochable de ses services, hisse Montréal non seulement au premier rang des destinations de rencontres internationales en Amérique du Nord, mais aussi au 4e rang des villes de congrès de tout le continent américain", précise-t-il. Par cette victoire, Montréal rafle la première position parmi toutes les destinations situées en Amérique du Nord, devançant ainsi les grandes villes américaines et canadiennes, dont New York, Boston et Washington, ainsi que Vancouver et Toronto.
  2. Westin Montréal Architectes: Geiger Huot Architectes Fin de la construction:2008 Utilisation: Hôtel Emplacement: Quartier International, Montréal ? mètres - 20 étages Descriptions: - L'hôtel comprendra l'ancien immeuble de The Gazette. - L'hôtel comprendra 432 chambres. - Le projet coûtera 90 millions de dollars Autres renseignements: ±600,000 ft², as follows: 400 bedrooms and suites, 50 housing units, nearly 200,000 ft² of office space, businesses and meeting rooms www.westinmontreal.com a 3d flyby video of the project http://www.westinmontreal.com/video.htm The 400-room hotel complex in Old Montréal proposed by ATLIFIC Hotels and Resorts will generate $90 million in investment, create upwards of 300 permanent jobs, and produce more than $30 million in tax benefits for Montréal over ten years. Montréal, Tuesday, March 15, 2005 – The Board of Directors of the Société de développement de Montréal has chosen the proposal submitted by Atlific, a major hotel developer, builder and manager, following a public call for tenders for redeveloping the Gazette buildings in Old Montréal. Atlific Hotels and Resorts will acquire the buildings for $10 million net. The SDM had originally bought them for $7.5 million in November 2003, before conducting various studies to ensure the optimal development of the site and dismantling and cleaning up the industrial facilities. The proposal calls for the three vacant heritage buildings to be converted and a new building to be erected on a former adjacent parking lot. The hotel complex will be linked directly to the Palais des congrès de Montréal via an underground corridor built during work on the Quartier international de Montréal (QIM). Paul Saint-Jacques, President and CEO of the Palais des congrès de Montréal, welcomed the City of Montréal’s initiative and the SDM’s efforts to attract a new hotel complex to the Gazette site. As he noted, “This link will give conference organizers a new hotel near their meeting and exhibition facilities – a key selling point for the Palais des congrès in attracting national and international conventions. The new hotel will increase the number of rooms already directly linked to the Palais des congrès.” For Clément Demers, Director General of the Quartier international de Montréal, “This new property development project, strategically located facing Place Jean-Paul Riopelle, will fit in perfectly with the specific vocation of the area, in terms of the hotel and office space and the quality of the investment. It confirms the vision of the partners in the Quartier international de Montréal. The high-quality structural facilities provided by the QIM and its neighbours have already generated over $770 million in real-estate projects. Over the next two years, further investment of at least $200 million will be added, including the Atlific project.” The best proposal for the site, the district and Montréal as a whole The SDM Board of Directors chose the Atlific hotel complex proposal for a number of reasons: it increases hotel capacity in the immediate area of the Palais des congrès; it fits in with the specific vocation of the Quartier international de Montréal; it is sure to help consolidate development in Old Montréal by rehabilitating three vacant heritage buildings and a former parking lot; and the forecast spin-off in terms of investment, permanent jobs and tax revenue for Montréal are the most attractive of the eight proposals examined by the selection committee. Atlific Hotels and Resorts, a hotel developer, builder and manager founded in 1959, manages 30 multi-brand hotels in Canada. The firm is headquartered in Montréal, with offices in Toronto and Vancouver. It was acquired in 1997 by Ocean Properties Ltd., a family business based in Portsmouth, New Hampshire, which manages over 100 hotels in the United States. Together Atlific and Ocean Properties form the fifth-largest privately held hotel-management company in North America, managing 19,000 rooms in independent hotels, resorts and such well-known brands as Marriott, Marriot Courtyard and Residence Inn, Fairfield Inn, Crowne Plaza, Hilton, Sheraton, Holiday Inn and many others. Professional Atlific staff have begun the due diligence process. Once that step is completed, in at most 60 days, the transaction will be submitted for approval by the City of Montréal Executive Committee. Atlific expects the complex to be ready about 24 months after the sale is approved. The Société de développement de Montréal is a paramunicipal property management corporation that contributes to the city's development by managing its property holdings and also oversees the promotion and development of Old Montréal. now digging:
  3. La Presse canadienne apprend que le sommet du G20 de juin prochain sera tenu tout près du quartier des affaires de Toronto. Pour en lire plus...
  4. Montréal en 1re place devant toutes les grandes villes américaines et canadiennes MONTRÉAL, le 22 déc. /CNW Telbec/ - Montréal est devenue la première destination pour l'accueil d'événements associatifs internationaux en Amérique du Nord, voilà ce que démontrent les résultats récents du classement préliminaire 2009 de l'International Congress and Convention Association (ICCA). En accueillant des milliers de congressistes chaque année et en étant le principal hôte des rencontres internationales d'envergure dans la métropole québécoise, le Palais des congrès confirme une fois de plus sa position de leader sur le marché international. En effet, les résultats à ce jour sont éloquents. Montréal rafle la première position parmi toutes les destinations situées en Amérique du Nord, devançant ainsi les grandes villes américaines et canadiennes, dont New York, Boston, San Francisco, Washington, Miami et Chicago, de même que Vancouver et Toronto. Par ce rang, Montréal grimpe de 8 positions par rapport au classement 2008. "Ce résultat est une grande victoire pour Montréal et témoigne du dynamisme de la métropole québécoise et de son pouvoir d'attraction auprès des grandes associations internationales qui doivent composer avec une offre élargie depuis les dernières années", lance Marc Tremblay, président-directeur général au Palais des congrès. "Comme principal hôte de rencontres internationales dans la métropole, nous sommes heureux de constater que les efforts et la passion qui animent les grands partenaires de l'industrie comme Tourisme Montréal, Montréal International, les centres de recherche et la Ville de Montréal portent leurs fruits et permettent de faire vivre une expérience inoubliable à ces milliers de visiteurs qui viennent du monde entier", ajoute-t-il. Le classement préliminaire 2009 de l'ICCA démontre également que Montréal est en nette avance par rapport aux autres grandes villes canadiennes. Pour l'année financière 2008-2009, le Palais a accueilli un total de 16 congrès internationaux (incluant les congrès américains) et 15 congrès canadiens et québécois, générant au total plus de 168 millions de dollars de retombées économiques pour la métropole, sans compter les répercussions des événements d'envergure comme les expositions commerciales.
  5. La Presse threatens union with closure By Mike King, The Gazette September 4, 2009 La Presse newspaper employees talk during preparations for a meeting for employees at the Palais des congrès in June 2009. La Presse newspaper employees talk during preparations for a meeting for employees at the Palais des congrès in June 2009. Photograph by: Phil Carpenter, Gazette file photo MONTREAL – La Presse, North America’s largest French-language broadsheet, will stop publication Dec. 1 if its 700 employees don’t give up $13 million in concessions between now and that date. Caroline Jamet, the 125-year-old newspaper’s vice-president of communications, confirmed publisher Guy Crevier sent the staff an email yesterday informing the workers they have three months to reach an agreement to avoid suspension of both the paper and its website, cyberpresse.ca. In acknowledging La Presse’s current business model “has no chance of surviving,” Crevier noted how management has cut its share of the $26 million needed to be reduced this year to continue operations and that contract negotiations must be sped up to get the other half from the 600 unionized workers. “We have to reduce our cost structure and the only missing link is the contribution of the employees,” Jamet told The Gazette. She said the main issue is the 32-hour, four-day work week that the company wants changed to 35 hours over five days because of the expense of extra staff for that fifth day. That move would likely result in the loss of about 100 jobs, but Jamet added retirements and voluntary departures could reduce the number of layoffs. Crevier, also president of Gesca Ltée – the Power Corp. of Canada subsidiary that owns and publishes La Presse and other French-language papers in the province and Ontario – listed what was done to cut $13 million: • Ceased publication of its Sunday paper June 28 • Reduced the size of the paper to reduce paper costs • Put a voluntary departure program in place • Concluded agreements with financial institutions for new financing, including to cover the “seriously underfunded” pension plan. He first announced to employees in June that, facing an anticipated $215 million deficit by 2013, the paper was seeking to cut costs by $26 million annually over the next five years. It was at that meeting the decision on the Sunday paper was made known. Union leader Hélène De Guise said the longer work week is one of the items being negotiated as well as the possibility of trimming employees’ vacation time. But she added the bargaining team wants to further analyze Crevier’s pronouncement before making any further comments. The last collective agreement expired Dec. 31. Crevier ended his missive stating: “The future of La Presse, your future, is in your hands. It’s up to you to decide.” Jamet, also spokesperson for Gesca, said the measures being taken at La Presse presently have no effect on the chain’s other dailies: Le Soleil in Quebec City, La Tribune in Sherbrooke, Le Nouvelliste in Trois-Rivières, La Voix de l’Est in Granby, Le Quotidien in Saguenay and Le Droit in Ottawa. It is up to the publishers at each of those papers to identify how to cut their costs, she added. In July, the Boston Globe’s union approved a package of $10 million in wage and benefits cuts after owner The New York Times had threatened earliler this year to close New England’s biggest paper unless major concessions were made. The same thing happened at the San Francisco Chronicle in March in order to avoid being closed by the Hearst Corp. mking@thegazette.canwest.com © Copyright © The Montreal Gazette
  6. HILTON EMBASSY SUITES Montréal (Aéroport Dorval), Qc COÛT : 26 000 000 $ ACHÈVEMENT : projet en cours PROGRAMME 240 chambres Centre Santé Piscine Centre de congrès J'ai aucune idée sur ce projet.... ça l'air neuf?! http://leclerc-architectes.com/projets_realises/autres/hilton_embassy_suites/
  7. Biotechnologies : lutte Québec-Ontario à Atlanta PRESSE CANADIENNE,15 mai 2009 Alors qu'une grave crise frappe le secteur des biotechnologies, le premier ministre Jean Charest sent le besoin de participer au plus important événement de l'industrie, le congrès Bio International 2009, qui s'ouvre lundi à Atlanta. Même s'il continue de dominer dans le domaine pharmaceutique, le Québec a perdu, il y a deux ans, son statut de principal centre biotechnologique au pays, au profit de l'Ontario. "Lorsqu'on voit des choses comme ça, ça nous brise le coeur", lance Michelle Savoie, directrice générale de Montréal InVivo, la grappe des sciences de la vie de la région métropolitaine, au cours d'un entretien téléphonique. Le premier ministre ontarien, Dalton McGuinty, recevra d'ailleurs, la semaine prochaine, le prix annuel de leadership international remis par l'organisation du congrès Bio. L'industrie ontarienne des biotechnologies emploie plus de 43 000 personnes, alors que les entreprises québécoises du secteur comptaient, en 2007, 40 500 travailleurs. Il faut dire qu'au cours des dernières années, l'Ontario s'est largement inspiré des mesures incitatives mises en place par le Québec. "Je ne suis pas prête à dire que l'élève a rattrapé le maître, mais on est dans une situation où le maître doit se remettre à bouger", a reconnu Mme Savoie. "Avec le gouvernement, on travaille à s'assurer que le Québec reprenne sa pole position", a-t-elle ajouté, en pressant le ministère du Développement économique de dévoiler rapidement sa stratégie pour l'industrie biopharmaceutique. L'industrie attend aussi que Québec mette en oeuvre les derniers éléments de sa récente politique du médicament. M. McGuinty et M. Charest ont déjà participé à des éditions antérieures du congrès Bio International, qui regroupera cette année des participants d'une soixantaine de pays. Une vingtaine d'exposants sur les 1800 au total proviendront du Québec. Parmi eux: Investissement Québec, Génome Québec, le Pôle Québec International, Montréal InVivo, Montréal International, de même que des firmes comme Algorithme Pharma et Medicago (TSXV:MDG). Entreprises vulnérables La crise financière a donné un coup dur aux biotechs, puisqu'elle a tari leurs sources de financement. En 2008, six PME québécoises du secteur ont fermé leurs portes, faisant perdre leur emploi à quelques centaines de personnes. Selon un sondage mené au début de l'année par BioQuébec, un lobby de l'industrie, 66 pour cent des entreprises contactées ne possédaient pas suffisamment d'encaisse pour survivre plus de 12 mois, 33 pour cent n'en disposaient que pour six mois et un autre tiers n'en avait plus que pour trois mois. Il y a tout de même de l'espoir: après avoir plongé de 46 pour cent en 2008 par rapport à l'année précédente, les investissements en capital de risque, dont dépendent la plupart des biotechs, ont crû de 33 pour cent au premier trimestre de 2009 par rapport à la même période de l'an dernier. A cela s'est ajouté la création récente du "fonds de fonds" Teralys, qui sera financé à hauteur de 825 millions $ par Québec, la Caisse de dépôt et placement, le Fonds de solidarité FTQ de même que des investisseurs institutionnels privés. BioQuébec est toutefois déçu que Québec soit resté sourd, jusqu'ici, à ses demandes d'aide financière et fiscale, qui visaient à donner un coup de pouce d'urgence aux PME biotechnologiques en difficulté. Les participants québécois à Bio 2009 chercheront à conclure des partenariats avec des entreprises et des grappes biotechnologiques de l'Amérique du Nord et du reste du monde. La présence de M. Charest à Atlanta sera "très bénéfique", a estimé Michelle Savoie. "La collaboration entre les différents pôles biotechnologiques du monde facilite la recherche d'investissements étrangers", a-t-elle fait remarquer, en relevant par exemple que les champs de spécialisation des entreprises du Massachusetts et du Connecticut sont complémentaires à celles des biotechs québécoises.
  8. Gilbert Rozon : « Il y a trop de roitelets à Montréal » www.cyberpresse.ca vendredi 8 mai 2009 Pour Gilbert Rozon, la structure de gouvernance à Montréal est trop lourde. Pour la changer, « il faudrait que des gens influents fassent front commun pour revendiquer des changements à Québec ». Photo : David Boily, La Presse Sara Champagne - Gilbert Rozon, grand manitou du Festival Juste pour rire, qui ne s’est pas gêné dans le passé pour critiquer le manque de leadership à Montréal, estime qu’il faudrait « couper dans le nombre d’arrondissements et recentraliser les pouvoirs à Montréal, comme le déneigement ou la collecte des ordures ». « Il y a trop de petits royaumes et trop de roitelets à Montréal, a déploré M. Rozon, lors d’un entretien avec La Presse. La structure de gouvernance est trop lourde. Mais pour y parvenir, il faudrait que des gens influents fassent front commun pour revendiquer des changements à Québec. Sincèrement, je ne voudrais pas être dans les souliers du maire Gérald Tremblay. Je le crois sincère dans ses démarches. » L’homme d’affaires, tout comme Normand Legault, promoteur du Grand Prix du Canada, ont parlé en ce sens, hier, dans le cadre du congrès de l’Association des économistes du Québec (ASDEQ), qui se termine aujourd’hui, au Hilton du centre-ville. Ni l’un ni l’autre n’ont l’intention de briguer la mairie de la métropole aux prochaines élections. Mais à travers leur loupe d’hommes d’affaires, ils s’entendent pour dire qu’il faut agir pour rendre la ville plus fonctionnelle. « Je ne suis pas un expert en la matière, mais il me semble que je couperais dans le nombre d’élus. Il y en a trop », a dit Normand Legault, faisant référence aux 105 élus de la Ville de Montréal. Quant à un éventuel retour du Grand Prix à Montréal, il ne dit pas non à l’idée d’en être de nouveau le promoteur, mais il ne dit pas oui non plus. Cela dépendra des conditions, a-t-il précisé. « J’ai parlé à quelques reprises à Bernie Ecclestone, au cours des dernières semaines, il connaît mon point de vue. Je pense que Montréal a sa place dans le calendrier du championnat. » Mettre à profit le bilinguisme Sur le thème « le bon » et le « moins bon » de Montréal, les deux hommes ont animé un débat au cours du congrès, en après-midi, qui devait accueillir en soirée le maire Gérald Tremblay, pour prononcer un discours. Les autres spécialistes invités, dont Richard Florida, économiste américain de renom, qui estime que le moteur d’une ville passe par sa « force créative », ont beaucoup parlé de l’importance de mettre à profit le bilinguisme à Montréal. « Montréal se positionne très bien en termes de main-d’oeuvre créative selon diverses études, a dit M. Florida, après son discours sur la créativité. Elle doit maintenant capitaliser sur son bilinguisme. Et il faut voir Montréal non pas comme une ville, mais comme un ensemble, un tout avec les villes de Québec, d’Ottawa et de Toronto. Pour y parvenir, il est donc temps de mettre de l’avant un service de train à grande vitesse. » Bilinguisme, créativité, importance de la présence de l’élite universitaire à Montréal, le chercheur Richard Shearmur, de l’INRS Urbanisation, Culture et Société, a pour sa part ramené les participants au congrès « sur le plancher des vaches », pour reprendre son expression, en soulignant qu’il n’y a pas qu’à Montréal que « les ponts tombent ». « Vous remarquerez que ceux qui disent que les universités sont importantes sont des universitaires, a-t-il ironisé. Je pense que la croissance économique d’une ville ne passe pas que par un bon produit intérieur brut (PIB). Si on veut une bonne croissance, il faut investir dans un bon système de garderie et d’études primaires et secondaires. Il faut aussi un bon système de transports en commun pour ceux qui gagnent leur vie en préparant nos sandwichs. » M. Shearmur, de même que Daniel Gill, professeur d’urbanisme émérite de l’Université de Montréal, sont d’accord pour dire qu’une bonne façon de désengorger les autoroutes passerait aussi par une réorganisation des horaires de travail à Montréal. « Pourquoi nos cours universitaires commencent à 9h le matin ? a demandé M. Gill. Je ne sais pas pour vous, mais je peux très bien commencer ma journée à 10h et j’aurai accompli le même travail à la fin de la journée. » COURRIEL Pour joindre notre journaliste : sara.champagne@lapresse.ca
  9. Dans un discours important devant le Congrès, à deux jours de la présentation de son premier budget, le président américain affirme avoir confiance en ses concitoyens, mais ne cache pas qu'il faudra qu'ils fassent des sacrifices. Pour en lire plus...
  10. Montréal - «Nous avons choisi Montréal en raison de votre charme européen» Claude Lafleur Édition du samedi 21 et du dimanche 22 février 2009 Le palais se trouve désavantagé par sa taille relativement modeste En plus de ses charmes culturels indéniables, sa gastronomie et ses festivals sont autant d'avantages en faveur de Montréal. Quiconque organise un congrès a une grande préoccupation: ceux à qui s'adresse ce congrès viendront-ils y assister? C'est en effet en rassemblant un nombre suffisant de participants que l'organisateur fera ses frais. C'est aussi en promettant une belle assistance qu'il convaincra des commanditaires d'y contribuer. Du nombre de participants dépend donc le succès (financier) de l'entreprise. Or l'un des grands avantages de tenir un congrès à Montréal serait que l'organisateur est pratiquement assuré que les participants viendront en nombre. La «qualité première de Montréal», indique Robert Cazelais, directeur des ventes du Palais des congrès, est qu'un congrès qui y est tenu connaîtra affluence. «Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les gens organisent un congrès à Montréal, dit-il, mais je dirais que la raison principale, c'est qu'ils savent dès le départ que l'affluence y sera.» Il est même très fréquent, ajoute-t-il, que les organisateurs «battent leur record». C'est ainsi que, lorsque les représentants de la Meeting Professionals International -- l'association des organisateurs de réunions et de congrès -- se sont rencontrés à Montréal en juillet 2007, ils ont brisé tous leurs records d'assistance. «Et pourtant, ce sont des gens habitués à voyager, des gens qui en ont vu d'autres!», de lancer fièrement M. Cazelais. Charme et efficacité Pourquoi vient-on en si grand nombre à Montréal? «Encore là, il y a plusieurs bonnes raisons, dont la sécurité, l'hospitalité et la propreté de la ville, d'indiquer Robert Cazelais, mais je dirais que la première raison est le fait que nous combinons à la fois le charme d'une ville européenne et l'efficacité de l'organisation à l'américaine.» C'est d'ailleurs ce que confirme Sherry Pagoto, responsable du programme du 30e congrès de la Société de médecine comportementale, qui aura lieu à la fin d'avril. «Nous avons choisi Montréal en raison de votre charme européen», dit-elle. Comme c'est la première fois que cette société américaine se réunit au Canada, pourquoi nous avoir préférés à Toronto ou à Vancouver? «Ce sont nos membres qui ont voté en faveur de Montréal, dit-elle. Ils nous ont dit qu'ils viendront à Montréal. Nous avons donc choisi Montréal et j'en suis ravie!» Résidante de Boston, Mme Pagoto raconte qu'elle nous a récemment visités et qu'elle a trouvé la ville «vraiment charmante». Montréal est perçue comme une ville européenne en raison de sa culture française, confirme-t-elle, «ce qui a beaucoup d'attrait pour nous. D'un point de vue américain, cela nous donne l'impression d'être un peu comme en Europe, ce qui nous semble être moins le cas pour les autres villes canadiennes.» Montréal, une ville propre «On retrouve à Montréal cette fameuse "joie de vivre" ou, je dirais plutôt, ce charme européen qui attire tant les Américains», d'enchaîner Robert Cazelais. Montréal est aussi une ville propre -- cleanliness, disent les anglophones. «"Propreté" dans notre façon de faire, dans notre accueil chaleureux et sincère envers tout le monde, dit-il. Nous sommes en fait considérés comme très ouverts envers les autres, quels qu'ils soient.» Même l'hiver et la neige seraient un attrait faisant partie de notre exotisme. «Nous faisons remarquer aux organisateurs de congrès que ce n'est pas parce qu'il y a de la neige en février que les participants ne viennent pas ici, relate le directeur des ventes du Palais des congrès. Ils viennent, je ne dirais pas "en dépit de la neige", mais grâce à la neige. En raison du froid, ils vivent quelque chose de différent, d'exotique...» Montréal est en outre une ville très sécuritaire qui, aux dires de M. Cazelais, «rassemble tous les avantages d'une grande ville et presque aucun inconvénient». Parmi les autres raisons de venir y tenir un congrès, il y a le fait que Montréal est une capitale du savoir. «Les participants ne viennent pas juste pour le plaisir, ils viennent ici parce qu'ils savent qu'ils y ont des collègues et donc qu'ils seront en mesure de développer leur domaine d'affaires ou de science.» En perte de vitesse Enfin, l'un des grands avantages qu'offre Montréal est la localisation de son Palais des congrès en plein centre-ville, au coeur de la vie culturelle et nocturne. Or, rapporte Robert Cazelais, nombre de centres de congrès sont situés en périphérie de leur ville, souvent en bordure d'un aéroport. Montréal offre donc un avantage significatif, d'autant plus que, chose unique, il s'agit d'une ville extrêmement sécuritaire (l'une des plus sécuritaires au monde). Et, bien entendu, Montréal se distingue aussi au chapitre de ses restaurants, renommé pour sa gastronomie et ses festivals. Le Palais des congrès se trouve cependant désavantagé par sa taille relativement modeste. «Il y a deux ans, si je me rappelle bien, nous nous situions aux environs du 65e rang en matière de taille parmi les deux cents centres de congrès en Amérique du Nord, rapporte M. Cazelais. Et comme, chaque semaine, il se construit de nouveaux centres de congrès et que les centres existants s'agrandissent, notre situation, elle, ne s'améliore pas.» Il cite même un fait inusité: à la fin des années 1990, le Palais des congrès a entrepris de doubler sa taille. «Or, lorsque nous avons commencé les travaux, nous nous classions à peu près au vingtième rang pour la taille des centres de congrès en Amérique du Nord. Mais, une fois les travaux terminés, nous étions... au 65e rang! Nous sommes comme un coureur qui participe à une compétition... mais nous ne sommes pas les seuls à courir vite! On peut donc être assuré que, si nous disposions d'un palais plus grand, nous aurions la chance d'aller chercher de plus grands congrès.» Le plus difficile pour les dirigeants du palais est d'évaluer ce que feront leurs concurrents. Entre autres, Robert Cazelais souligne que beaucoup de pays émergents se rendent compte à quel point il est important d'accueillir des congrès, et ce, pour plusieurs raisons. «Le Mexique est un bel exemple, dit-il, comme les Émirats arabes unis ainsi que l'Inde. Et ces gens-là mettent le paquet et l'argent pour aller chercher des congrès.» «Je pense que nous, à Montréal, sommes un peu trop habitués à recevoir des congrès et qu'on oublie par conséquent jusqu'à quel point cela nous rapporte gros, dit-il, non seulement en matière de retombées économiques mais également beaucoup plus que cela, entre autres en matière de retombées intellectuelles et de prestige pour la ville et pour le Québec.»
  11. Mont-Tremblant : développement au ralenti * André Dubuc, les affaires * 10 février 2009 L’aménagement du Versant Soleil ne cesse d’être retardé depuis son annonce en 2004. Photo : Intrawest Le développement du Mont-Tremblant n'est plus un eldorado de l'immobilier. Le casino sur le Versant Soleil ouvrira bel et bien cet été, mais sans hôtel et de centre des congrès. Autre de signe que le projet est au ralenti depuis longtemps, Tremblant n’a pas vendu une seule unité d’habitation au Versant Soleil depuis mai 2006, alors que la station a reçu 95 millions des gouvernements du Québec et du Canada pour développer ce versant. « On comprend qu’il n’y aura pas d’hôtel ni de centre des congrès pour 2009, dit Marie-Claude Rivet, porte-parole de Loto-Québec. Intrawest travaille activement pour ce dossier. Mais on n’a pas encore de confirmation (concernant la construction de l’hôtel). » Manque à gagner Dans ses prévisions, Loto-Québec prévoyait 700 000 visiteurs au casino et des revenus de près de 50 millions de dollars « C’est sûr qu’on aurait préféré que l’hôtel et le centre des congrès soient prêts à l’ouverture du casino », répond Mme Rivet, questionnée sur l’impact de ces retards sur les revenus du casino. «Les projets d’hôtels et de centre de congrès sont toujours actifs » s’est contenté de dire Lyne Lortie, porte-parole de Station Tremblant. L’aménagement du Versant Soleil ne cesse d’être retardé depuis son annonce en 2004. Dans un article paru en mai 2006 dans LES AFFAIRES, la direction de Station Tremblant parlait alors de la construction imminente d’un grand hôtel de 235 à 250 chambres de type châteaux hôteliers du Canadien Pacifique. Un centre des congrès multifonctionnelle de 60 000 pieds carrés devait aussi être construit, ce qui aurait eu pour effet de doubler la capacité d’accueil des salles de réunions de Tremblant. Le but était de donner au Versant Soleil une vocation «destination d’affaires». Les subventions gouvernementales ont notamment permis la construction d’une gondole qui relie les Versants Sud et Soleil en moins de 7 minutes. « Jusqu’à présent, 35 millions de dollars ont été investis dans les infrastructures », précise Mme Lortie, de Station Tremblant. En tout et partout, le Versant Sud accueille 54 copropriétés à l’Étoile du matin et 24 maisons dans le domaine Forêt Blanche, pour un total de 73 habitations, toutes vendues entre 2004 et 2006. En 2006, Station Tremblant soutenait vouloir construire 1000 à 1500 unités au Versant Soleil d’ici 2015. Auparavant société publique cotée en Bourse, Intrawest a été vendue en 2006 au groupe américain Fortress Investment pour 3,2 milliards de dollars, un achat à crédit en grande partie. En novembre 2008, le Globe & Mail écrivait que la conjoncture difficile forçait Intrawest à mettre dorénavant tous ses efforts dans la location de ses unités existantes et non plus dans la construction de nouvelles habitations. Station Tremblant compte 2100 unités d’hébergement au Versant Sud. http://www.lesaffaires.com/article/0/sports--loisirs-et-divertissements/2009-02-10/488998/monttremblant--deteacuteveloppement-au-ralenti.fr.html (11/02/2009 10H13)
  12. Le sauvetage des banques pourrait coûter 2000 milliards de plus Publié le 29 janvier 2009 à 10h27 | Mis à jour à 10h32 Les États-Unis pourraient consacrer jusqu'à 2000 milliards de dollars US supplémentaires pour renflouer leurs banques, plombées par des actifs invendables et la montée des impayés liés à la récession, affirme jeudi le quotidien économique Wall Street Journal. Le Congrès a débloqué en janvier la deuxième tranche des 700 milliards de dollars prévus par la loi de stabilisation économique d'urgence d'octobre pour stabiliser le système financier, mais selon le journal, les élus du Capitole pourraient se voir demander d'autoriser le déblocage de fonds supplémentaires.Citant des sources proches du dossier, le Wall Street Journal écrit que le gouvernement envisage de dépenser entre 1000 et 2000 milliards de dollars de plus pour maintenir les banques du pays en état de marche. Une partie des 350 milliards de dollars débloqués en janvier par le Congrès pour les banques a déjà été retenue pour d'autres projets, comme le soutien à l'industrie automobile américain ou l'aide aux propriétaires immobiliers menacés de saisie. Selon le quotidien, le gouvernement envisage de créer une structure de défaisance chargée de racheter les actifs invendables des banques et qui serait dotée de 100 à 200 milliards de dollars prélevés sur la deuxième tranche du plan de sauvetage. Le reste des fonds nécessaires à son fonctionnement (de 1000 à 2000 milliards) serait levé par de nouveaux emprunts du Trésor ou de la Réserve fédérale, ajoute l'article. Le gouvernement de Barack Obama cherche également à injecter des fonds frais de manière plus efficace que ne l'avait fait celui de George W. Bush, et envisage d'acheter des actions ordinaires dans les établissements bancaires bénéficiant de son aide, indique le journal.
  13. Raymond Chrétien doute qu'Obama veuille renégocier l'ALENA 17 janvier 2009 - 11h08 La Presse Vincent Brousseau-Pouliot Malgré ses promesses électorales, Barack Obama n'ouvrira pas l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), selon l'ancien ambassadeur Raymond Chrétien. Le nouveau président américain profiterait ainsi de sa première visite officielle à l'étranger au Canada dans quelques semaines afin de rassurer le premier ministre Harper au sujet de l'ALENA. «Oubliez la renégociation de l'ALENA. «En privé, M. Obama va probablement dire à M. Harper qu'il a dit qu'il voulait renégocier l'ALENA durant la campagne électorale en Ohio et au Michigan, mais qu'il est conscient que c'est impossible car on l'a informé des conséquences pour l'économie américaine. (...) Les Américains n'achètent pas chez nous pour nos beaux yeux. Ils le font parce que ça sert leurs intérêts», dit M. Chrétien, qui fut ambassadeur du Canada à Washington de 1994 à 2000. Les primaires L'ALENA a failli faire dérailler la campagne de Barack Obama durant les primaires démocrates. En février dernier, un de ses conseillers a informé des diplomates canadiens que son patron n'avait vraiment pas l'intention de renégocier l'ALENA contrairement au discours qu'il tenait devant les électeurs. L'affaire est parvenue aux oreilles des médias canadiens par le biais du chef de cabinet du premier ministre Harper, Ian Brodie, qui s'est échappé lors d'une conversation à bâtons rompus avec des journalistes lors du huis clos du dernier budget fédéral. M. Brodie a dû démissionner de son poste de chef de cabinet du premier ministre. Même si l'avenir de l'ALENA ne semble pas en danger, l'administration Obama pourrait être tentée de retourner à un plus grand protectionnisme économique sous l'influence du Congrès démocrate. "Il y a un danger pour nous: que le nouveau Congrès démocrate passe des lois susceptibles d'aider l'économie américaine. Un ralentissement Les élus du Congrès vont être moins chauds sur le libre-échange. Il y aura un ralentissement, sinon un arrêt, du processus de libéralisation économique. «Heureusement pour le Canada, nous avons déjà l'ALENA», dit M. Chrétien, conseiller stratégique du cabinet d'avocats montréalais Fasken Martineau depuis sa retraite du corps diplomatique fédéral en 2004. Même si la question de l'ALENA devait ne pas être à l'ordre du jour de la première rencontre officielle Obama-Harper, l'ancien ambassadeur est convaincu que les leaders canadien et américain discuteront surtout d'économie. «Ils discuteront de l'état de l'économie nord-américaine, dit M. Chrétien. Peut-être même que M. Obama va vouloir en savoir davantage sur le système bancaire canadien. Si j'étais M. Harper, je lui décrirais les avantages de ce système qui a fait ses preuves.» Autre point à l'ordre du jour de la rencontre Obama-Harper: la frontière canado-américaine. «Les Américains prennent toutes leurs décisions à travers le prisme de la sécurité, dit M. Chrétien. Ils ne vont pas cesser d'être fermes mais ils seront peut-être plus compréhensifs afin de rendre la frontière plus fluide pour les échanges commerciaux.» Une cérémonie suivie Raymond Chrétien suivra avec attention la cérémonie d'investiture de Barack Obama mardi à Washington, lui qui a participé à celle de Bill Clinton en 1996 comme ambassadeur du Canada. Selon Raymond Chrétien, l'homme le plus important pour l'économie canadienne au sein de l'administration Obama est le représentant au Commerce (U.S. Trade Representative), Ron Kirk. Ancien maire de Dallas, il est un fidèle de la première heure de Barack Obama. «Ce poste n'est pas le poste le plus visible mais c'est le plus important dans l'administration américaine pour les Canadiens, dit M. Chrétien. Le représentant au Commerce s'occupe des dossiers de nature commerciale comme le bois d'oeuvre. Il doit suivre les instructions de l'administration mais aussi surtout des membres influents du Congrès.»
  14. George W. Bush s'est dit prêt lundi à demander au Congrès de débloquer la seconde moitié du plan de recapitalisation des banques, si Barack Obama le lui demande. Pour en lire plus...
  15. Un déficit record de 1200 G$ US attendu aux États-Unis 7 janvier 2009 - 10h38 Agence France-Presse Le déficit budgétaire des États-Unis pour l'exercice 2008-09 devrait atteindre le montant exceptionnel de 1200 G$ US, soit 8,3% du PIB, a indiqué mercredi le bureau du Budget du Congrès américain (CBO). En comparaison, le déficit budgétaire des États-Unis pour l'exercice 2008 (clos à la fin de septembre) a atteint 438 G$ US, soit 3,1% du produit intérieur brut (PIB). Les chiffres du CBO ne prennent pas en compte le plan de relance massif de l'économie américaine voulu par la future administration Obama et les démocrates du Congrès. Ce plan pourrait coûter jusqu'à 775 G$ US, peut-être plus après l'examen du texte devant les deux chambres du Congrès. Selon le rapport du CBO, le déficit tomberait à 4,9% du PIB en 2010 pour revenir aux alentours de 700 G$ US, ce qui resterait encore l'un des chiffres les plus élevés de l'histoire des États-Unis. Mardi, le président élu Barack Obama avait averti que le chiffre de 1000 milliards allait probablement être atteint. «Mon équipe budgétaire m'a mis au courant. Peter Orszag (futur directeur du budget à la Maison-Blanche) prédit qu'au rythme actuel nous aurons 1000 G$ US de déficit avant même d'entamer le prochain budget», avait dit le futur président lors d'une conférence de presse. «Nous aurons potentiellement 1000 G$ US de déficit pour les années à venir, même avec le redressement de l'économie auquel nous travaillons», avait estimé M. Obama. Le CBO est un organisme indépendant des partis qui est chargé au Congrès américain de fournir des analyses économiques afin d'aider les parlementaires à prendre des décisions dans le domaine budgétaire. Cet organisme emploie environ 230 personnes, dont une majorité d'économistes experts en administration publique. _________________________________________________________________________________ Le secteur privé américain perd 693 000 emplois 7 janvier 2009 - 09h19 Agence France-Presse Le marché de l'emploi continue de se dégrader à un rythme effréné aux États-Unis, où le secteur privé a détruit 693 000 emplois en décembre. C'est du moins ce qu'indique l'étude du cabinet en ressources humaines ADP publiée mercredi. L'ampleur des pertes d'emplois est très nettement supérieure à celle que prévoyaient les analystes, qui tablaient sur 493 000 suppressions de postes. Elle semble annoncer un très mauvais rapport officiel sur l'emploi, alors que les chiffres de novembre avaient déjà été désastreux (553 000 emplois détruits). Ce rapport, qui couvre à la fois l'emploi dans le secteur privé et le secteur public, doit être publié vendredi par le département du Travail. ADP a par ailleurs revu en forte hausse son estimation du nombre d'emplois supprimés en novembre dans le secteur privé, à 476 000 (au lieu de 250 000). Cette révision du mois passé ainsi que la différence avec les prévisions des économistes pour décembre doivent néanmoins être interprétées avec prudence, ADP ayant changé profondément la méthode et le modèle statistique qu'il utilise pour son enquête afin de se rapprocher le plus possible de la façon dont procède le ministère.
  16. Le Congrès et la Maison-Blanche des États-Unis ont indiqué être parvenus, dans la nuit de mardi à mercredi, à une entente de principe sur un plan de 15 G$ US de prêts-relais. Pour en lire plus...
  17. La Maison-Blanche et le Congrès avaient toujours des différences de vues mardi matin sur un plan d'aide aux constructeurs automobiles en pleine déconfiture, mais un accord restait possible. Pour en lire plus...
  18. Quelle aide vont accorder les parlementaires américains au Big Three ? Il semble d'un accord soit bien près au Congrès. Pour en lire plus...
  19. Les parlementaires américains mettaient la dernière main dimanche à un projet d'accord en vue d'une perfusion d'urgence de 15 milliards de dollars au secteur automobile, dont les millions d'emplois sont menacés en cas de faillite. Pour en lire plus...
  20. Le Congrès américain semblait samedi en mesure de se prononcer en urgence la semaine prochaine sur un plan de sauvetage de l'industrie automobile nationale, menacée de dépôts de bilan en cascade dès la fin du mois. Pour en lire plus...
  21. Les démocrates reviennent sur leur refus de recourir au fonds destiné aux véhicules écoénergétiques pour aider les géants de l'automobile en crise, ce qui laisse présager un déblocage prochain au Congrès. Pour en lire plus...
  22. Le Congrès américain va tenter de trouver rapidement un compromis pour sauver de la faillite les constructeurs automobiles General Motors, Ford et Chrysler dont les patrons ont plaidé leur cause. Pour en lire plus...
  23. Le fabricant en difficultés est finalement plus gourmand que sa rivale Ford qui avait demandé 9 milliards au Congrès américain. Pour en lire plus...
  24. Le président élu des États-Unis, Barack Obama, et les démocrates au Congrès mettent la dernière touche à un vaste plan de relance économique qui pourrait s'élever à 700 G$ US sur deux ans. Pour en lire plus...
  25. Le leader de la majorité démocrate au Sénat demande aux trois grands de l'automobile de soumettre un plan d'aide viable au plus tard le 2 décembre. Pour en lire plus...
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