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  1. Projet en hauteur qui se trame sur le stationnement en face de Concordia entre Guy et Mackay. Ça semble être assez ancien comme projet, et le promoteur est le même que pour le défunt projet du Waldorf, mais je n'ai pas pu trouver de fil pour, alors j'en crée un nouveau: http://www.lobby.gouv.qc.ca/servicespublic/consultation/AfficherInscription.aspx?NumeroInscription=AuLgd7373tZ2xfT9K5fg1Q%3d%3d#D53613 Le site et la ruelle en question:
  2. FRANÇAIS McGill et Concordia affirment que les exigences de Québec nuisent au recrutement 9 février 2015|Giuseppe Valiante - La Presse canadienne| Actualités en société L'Université McGill Photo: Neil Howard CC L'Université McGill Des universités anglophones québécoises affirment avoir des difficultés à recruter des professeurs étrangers en raison des exigences en français qui deviennent un obstacle lorsqu’elles tentent d’attirer chez elles des individus hautement spécialisés en provenance d’autres pays. Des professeurs et recruteurs des universités McGill et Concordia affirment que le processus complexe d’immigration au Québec, qui s’appuie sur un système de points, les place dans une situation désavantageuse en comparaison avec les institutions des États-Unis et des autres provinces canadiennes. En 2013, le gouvernement péquiste avait haussé les exigences en français pour les immigrants qui faisaient une demande de résidence permanente, une décision qui a causé des maux de tête aux recruteurs, selon des dirigeants de Concordia et McGill. En entrevue, la ministre de l’Immigration Kathleen Weil a indiqué que le gouvernement libéral avait donné plus de flexibilité au processus en décembre, mais les universités le considèrent toujours comme trop compliqué. Ghyslaine McClure, vice-principale exécutive adjointe à McGill, affirme que son université a de la difficulté à embaucher des professeurs renommés pour des chaires de recherche. Selon elle, les candidats dans la quarantaine et cinquantaine n’ont pas nécessairement envie de suivre plusieurs cours de français par semaine, en plus de leurs tâches de recherche. Elle ajoute que les candidats doivent également remplir trop de documents et passer trop d’étapes avant de pouvoir s’établir au Québec. Reconnaissance spéciale « Nous aimerions obtenir une reconnaissance spéciale indiquant que les professeurs d’université sont des travailleurs hautement spécialisés et qu’ils ne devraient pas avoir à faire face à tant d’obstacles, a dit Mme McClure. Les professeurs et autres éminents spécialistes sont dans une catégorie différente. » Le gouvernement libéral a discrètement apporté des changements en décembre, allouant davantage de « points » aux immigrants détenteurs de doctorats et permettant ainsi à certains de ces candidats de laisser tomber les exigences en français et d’obtenir une résidence permanente. Cette résidence permanente est importante pour les professeurs, et dans certaines institutions comme à Concordia, elle est essentielle à l’obtention d’une permanence. Stanton Paddock, professeur de journalisme à l’Université Concordia, espère pouvoir profiter de ces nouvelles règles. M. Paddock dit avoir été « pris de panique » lorsqu’il a quitté les États-Unis, en 2013, pour découvrir la quantité de cours de français qu’il devrait suivre. Son doctorat pourrait maintenant lui permettre de passer outre les exigences en français. Les nouvelles règles lui permettent de rencontrer un agent de l’immigration qui déterminera si M. Paddock est suffisamment adaptable pour vivre au Québec. D’autres professeurs, comme Emer O’Toole, de l’École des études canado-irlandaises de Concordia, ne s’en font pas avec les exigences en français. Mme O’Toole, qui vient d’Irlande, avait déjà étudié la langue avant de s’installer au Québec. « Apprendre le français a été l’une des raisons qui m’ont réjouie de m’installer ici », a-t-elle lancé. « J’aime la langue [mais] je peux comprendre que cela puisse être pénible pour quelqu’un qui ne possède pas de bases [en français] », a-t-elle ajouté. Mme Weil prend note des recommandations visant à réformer le processus d’immigration. La ministre a ajouté que certains groupes d’employeurs estimaient que les exigences en français pour les immigrants nuisaient à leurs affaires. « Les groupes d’employeurs ont soulevé le problème au sujet des exigences de langue, a-t-elle dit. L’opinion générale [du gouvernement] est que nous devons être très prudents et qu’il est important que les gens parlent français. » sent via Tapatalk
  3. Source: ProposMontréal Voici une entrevue que j'ai effectué avec le curateur du Montreal Signs Project. Un professeur de Concordia qui essais de sauvegardé les enseignes historiques de Montréal. Personnage très intéressant et passionné par ce qu'il fait. ProposMontréal: Qu’est-ce qui a amené Matt Soar du Massachusetts à Montréal ? Matt Soar: Après avoir terminé mon Doctorat à l’Université du Massachusetts en 2002, j’avais un emploi temporaire au Hampshire College, sur le marché de l’emploi, j’ai eu la chance d’avoir une entrevue et finalement un emploi au sein du Département des Communications de l’Université Concordia en 2003. PM: D’où est venue l’idée du Montreal Sign Project. MS: Quand je suis arrivé à Montréal en 2003, j’ai dû écrire des demandes de soumission pour financer mes recherches et mon équipement. Et j’ai écrit pour recevoir une bourse du Conseil de Recherches en Sciences Humaines du Canada appelé « The cultural lives of the logo », une de ces parties avait comme sujet les enseignes dans la ville, je voulais analyser Montréal au travers d’un microscope. J’ai utilisé un terme inventé par l’historien Robert McChesney, l’hyper-Commercialisation, la publicité, le marketing apporté à un niveau supérieur où nous sommes au point où Pizza Hut place son logo sur le côté d’une fusée. J’ai habité des villes comme Londre et Vancouver, où j’ai passé beaucoup de temps dans les villes. Par contre, avant d’arriver à Montréal, j’habitais une région rurale du Massachusetts et ce, pendant sept ans. Quand je suis arrivé à Montréal après une longue période loin des villes, j’ai été frappé par le grand nombre de logo sur le haut de gratte-ciel. Avec l’aide d’étudiant nous avons regardé les lois sur l’affichage, j’ai créé un mini-documentaire en ligne intitulé Almost Architecture où j’ai interviewé des architectes, des fabricants d’affiches et des historiens pour partager sur ces logos. J’ai amassé des histoires que les gens avaient à raconter sur les enseignes qui les entourent pour se terminer en une conférence en 2007 nommé « Logo Cities Symposium ». Durant cette conférence, nous avons utilisé l’espace de la galerie VAV de l’université Concordia pour présenter des nouveautés bien sûr, mais nous voulions un peu d’histoire avec de plus vieilles créations. Nous avons donc contacté différents intervenants et avons mis la main pour montrer de façon temporaire les enseignes de Warshaw, Simcha et Tavern Monkland avec l’intention de les retourner à leur propriétaire respectif à la fin du symposium. Suite ici...
  4. CTV Montreal Published Monday, Nov. 12, 2012 11:42PM EST MONTREAL--The Matrix, the Royal, the Sasquatch and now the Montreal Jazz. This city just can’t seem to hold onto professional basketball teams, but players hope this new squad will stick around. “One of the big differences is the league. The league is so legit. When you play away games, you can tell the league is serious. So, it's a big difference,” said Jazz forward Louis-Patrick Levros The Jazz have replaced the Kebs as the province's only team in the National Basketball League, the current owners of the franchise until a proper ownership group is put in place. “Every game was played last year, you got the website, everything was very serious which is the first time that I saw a league at that level to be so serious. All the players have to be cleared through Basketball Canada which means our league is well respected,” said Jazz General Manager Pascal Jobin. “They put in hard work to get a team here in Montreal and hopefully we can continue doing it. So this year is very important for the city and the team,” said Jazz centre Sani Ibrahim. With the exception of two players, the team is comprised entirely of Quebecers, something the league surely hopes will finally attract a loyal following. “We are really happy with a group of hard charging Quebecois players,” said head coach Alejandro Hasbani “For me it's definitely just a blessing. After I left Concordia, it's been three or four years since I haven't gotten anything. I've just been working. I miss the game of basketball and to have this opportunity I’m just blessed and I work every day just to be in this position,” said point guard Damian Buckley. As for the product, fans will be pleasantly surprised, the Jazz have a good mix of speed, size and talent—something that will complement the team’s blue collar mentality. “I think we're going to come out and play hard,” said Ibrahim. “That’s the most important thing. We’re probably not the best talent in the league but for sure we're going to play hard and get some wins.” Read more: http://montreal.ctvnews.ca/sports/montreal-s-newest-sports-franchise-the-jazz-1.1035875#ixzz2CADHMg7d
  5. ‘Major renovations’ planned for Guy-Concordia station Reported on December 13, 2011 With a well-publicized cockroach problem, extensive water damage and what look like stalactites dripping from the ceiling, Guy-Concordia, Montreal’s third busiest metro station, will receive some much-needed repairs next year. “This is a major renovation,” said Marianne Rouette, a spokeswoman for the Société de transport de Montréal. “Due to the station’s state of degradation, and on the recommendation of our inspectors, we chose to prioritize renovations at Guy-Concordia in 2012.” Calling the station “safe,” Rouette said that the repairs would be part of a recently approved $250 million program to repair stations “at the end of their useful lives.” Work is set to start in January, when the STM will double the number of turnstiles at the heavily used Guy Street exit. Used by the majority of the eight million riders who pass through the station annually, the new turnstiles will connect directly to two Concordia buildings. The station’s other exit will undergo yearlong repairs. As of March, access via St-Mathieu St. will be closed for six months as the exit’s doors, lighting, ventilation, and drainage systems are replaced. The STM’s neglect of Guy-Concordia stands in stark contrast with the area above the station, where gleaming new university buildings and an ever-expanding network of tunnels have put record demand on the metro. “The university doesn’t know much about what is going on with the metro station,” said Jean-Philippe Plourde. “We are always trying to find out more, but we haven’t had much shared with us.” Plourde, the co-coordinator at Allégo Concordia, a program established by the Quebec government to encourage sustainable transportation at the university, wasn’t aware of the pending plans to temporarily close the St-Mathieu Street exit. (Concordia University spokesperson Chris Mota said she was also unaware of the plans.) “Guy-Concordia doesn’t help with the whole image of going underground,” said Plourde. “It can be uncomfortably warm, unclean and people are often sleeping on benches. No one will stop using the metro because of water leakages, but it’s part of a larger problem.” According to Plourde, 14 per cent of Concordia’s 50,000 students and staff still drive to the university daily. “That’s a lot of people for a university with two campuses that are well connected by metro and multiple bus lines,” said Plourde, citing a university survey from 2008. His goal is to lower that number. As an example of the lack of coordination between the STM and Concordia, Plourde points to yellow tape that has stopped riders from using the station’s main Guy exit since October. The university has been renovating the pavilion built on top of the metro station but the exit is scheduled to reopen in January, the same time the transit authority plans to start its own renovations. “Concordia closed the exit for security reasons, because they were worried about all the foot traffic walking under construction,” said Plourde. “You would think that the STM would have used the opportunity to do some work, but they didn’t.” Plourde did not want to comment on the STM’s plans without more specific information, however he expressed concern about the lack of elevators in the renovations. Concordia University student and The Link columnist Riley Sparks (who's written about Guy-Concordia's cockroach problem) doesn’t have much faith in the proposed renos, which include a series of functional repairs to the station’s lighting and ventilation. The STM has been short on details about any aesthetic changes to fix the leaking walls and ceilings. “I’ll believe it when I see it,” said Sparks. “A bunch of metro stations have been under renovation for a while and based on the rate of repairs, I won’t hold my breath. “I don’t understand how the STM renovates stations. They shut down Villa-Maria all summer, it didn’t look great at the start of the summer and it didn’t look great at the end of the summer.” Under the STM’s current plan, access to the St-Mathieu St. exit will be closed from March 5 to August 26, 2012. http://montreal.openfile.ca/montreal/text/%E2%80%98major-renovations%E2%80%99-planned-guy-concordia-station
  6. 1 image 50 storey 952 room hotel and 40 storey office tower proposed by Concordia developments between La Gauchetiere and St-Antoine in 1972.
  7. Stinger Dome planned for Loyola campus Concordia University Vice President Services Michael Di Grappa is pleased to announce the Department of Recreation and Athletics plans to build a $4.4 million state-of-the-art dome at its Loyola campus in N.D.G. The Stinger Dome will be an air-supported structure allowing the university to run athletics and recreational activities year round on its south field. A seasonal facility, it will be in operation from November through April, beginning in 2009. “This is an exciting time for Concordia University,” said Di Grappa. “This dynamic project – only the second facility of its kind on the island of Montreal and a first for the Quebec university network– is another example of our commitment to innovation and excellence.” The dome will measure 450 by 240 feet, covering the university’s artificial field located behind Concordia stadium. It can host up to four separate activities at a time. “This project creates many exciting opportunities to engage Concordians and our friends in the community in physical activities, contributing to a healthier lifestyle,” said Katie Sheahan, Director of Recreation and Athletics. “I can’t tell you how happy I am to be in this position. I’m looking forward to the grand opening.” The university looks to Yeadon, a Guelph, Ont. company specializing in state-of-the-art, energy-efficient sports domes that incorporate the latest innovations in design, anchoring, mechanical, electrical and proprietary controls, as the supplier.
  8. Ingénierie - À la traque des défaillances catastrophiques Le Devoir Claude Lafleur Édition du samedi 02 et du dimanche 03 mai 2009 Mots clés : Acfas, Sofiene Tahar, Ingénierie, Science, Université, Canada (Pays) Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la « Formal Probabilistic Analysis Using Theorem Proving » La fusée Ariane 501 photographiée peu avant d'être installée sur son aire de lancement en juin 1996. Ariane 501 a explosé 40 secondes après son décollage, victime d'une panne de son système de navigation, ce qui a entraîné la perte des quatre satellites Cluster, d'une valeur de 370 millions de dollars. Photo: Agence France-Presse Toute machine complexe, tel un avion ou un réacteur nucléaire, est susceptible de connaître une défaillance catastrophique. Or, malgré toutes les études, analyses, vérifications et simulations, il est impossible de repérer toutes les possibilités de scénarios catastrophiques. C'est pourtant le défi que relève un chercheur de l'Université Concordia, qui imagine diverses méthodes pour y parvenir. «Ce que nous faisons dans notre laboratoire, c'est essayer de repérer tous les scénarios possibles pour ne pas en échapper un qui soit catastrophique», indique Sofiene Tahar, ingénieur en électronique et en informatique, qui dirige l'équipe de 25 chercheurs du Hardware Verification Group de l'Université Concordia. Son domaine de recherche touche tous les systèmes présents dans notre vie, des réseaux de communication sans fil aux avions, en passant par les logiciels et les puces électroniques. «Je me passionne pour le fonctionnement des systèmes, qu'il s'agisse de logiciels ou de matériels», dit-il avec enthousiasme. D'origine tunisienne, Sofiene Tahar a entrepris ses études universitaires en Allemagne avant de venir les compléter ici. «J'ai passé dix ans en Allemagne et je voulais acquérir une expérience nord-américaine, dit-il. En 1995, je suis donc venu réaliser un postdoc à l'Université de Montréal puis, l'année suivante, j'ai décroché un poste de professeur à l'Université Concordia. Je suis donc demeuré à Montréal..., ce que je ne regrette surtout pas!» Pour sauver Ariane Aurait-on pu sauver Ariane 501? M. Tahar s'émerveille devant la complexité des systèmes que l'industrie développe de nos jours. «Prenez par exemple le microprocesseur Pentium d'Intel, dit-il. Celui-ci contient plus d'un milliard de transistors! On a donc la technologie pour fabriquer ce genre de "monstres", mais comment s'assurer qu'il fonctionne correctement?» Or, justement, l'industrie de la microélectronique et du logiciel consacre environ 70 % de ses ressources à vérifier la fiabilité de ses produits (et 30 % à leur conception). «Pour l'essentiel, on a recours à des techniques de simulation, remarque-t-il. On essaie de simuler les principaux scénarios de fonctionnement, mais il est impossible de reproduire tous les cas imaginables, puisque cela prendrait des milliards d'années.» Son équipe cherche par conséquent à concevoir diverses autres techniques de repérage systématique des failles en recourant notamment à des méthodes de raisonnement mathématiques. Elle conçoit entre autres des logiciels qui appliquent systématiquement cette démarche de raisonnement mathématique. «On obtient de la sorte une couverture exhaustive de tout ce qui est possible», indique le chercheur. Pour illustrer son approche, il évoque le grave accident survenu lors du premier tir d'une fusée Ariane V, en juin 1996. Cette Ariane 501 a explosé 40 secondes après son décollage, victime d'une panne de son système de navigation, ce qui a entraîné la perte des quatre satellites Cluster, d'une valeur de 370 millions de dollars. Les enquêteurs ont par la suite découvert que, parmi les milliers de lignes de code des logiciels contrôlant les ordinateurs de bord, une petite série avait été mal conçue. Selon un rapport de la NASA, le genre de méthode préconisée par Sofiene Tahar aurait probablement pu détecter la faille avant le tir de la fusée. Collaborations De fait, les travaux de l'équipe Tahar intéressent tellement les entreprises que, «chaque fois que nous obtenons des résultats intéressants, cela donne lieu à des collaborations avec des firmes à travers le monde», rapporte M. Tahar. C'est ainsi que son groupe travaille actuellement dans le cadre de trois partenariats, l'un avec la firme Erikson, de Montréal, un autre avec STMicroelectronics (le plus grand fabricant microélectronique en Europe) et un troisième avec Huway (le numéro un chinois des systèmes électroniques). «On essaie d'appliquer diverses techniques pour aider les industriels à vérifier leurs systèmes.» C'est ainsi que, il y a quelques années, l'équipe a scruté une composante électronique fabriquée par la société PMC-Sierra, l'un des grands fournisseurs de semi-conducteurs utilisés dans une foule d'équipements de communication. «Grâce à l'une de nos nouvelles techniques, basée sur des méthodes formelles, nous avons découvert une défaillance dans l'un des modes de fonctionnement du circuit électronique, raconte M. Tahar. Sur le coup, l'entreprise ne nous a pas crus, elle a donc refusé nos conclusions... mais elle a par la suite compris que nous avions raison.» De la probabilité à la certitude Prévoir les aléas de l'environnement? À l'occasion de sa présentation au congrès de l'ACFAS (lundi midi), M. Tahar traitera de l'application de la théorie des probabilités à l'identification des failles dans les systèmes. «C'est un domaine de recherche que nous avons commencé à explorer il y a quatre ans, précise-t-il. On a fait l'observation que beaucoup de systèmes ont un comportement probabiliste... Pensons simplement à la variation des conditions météorologiques; lorsqu'on place un système quelconque dans un environnement physique, il y a beaucoup de comportements qui dépendent de probabilités. Nous nous intéressons à la vérification des systèmes probabilistes, c'est-à-dire que ce n'est pas seulement le fonctionnement du système qu'il faut vérifier, mais son comportement probabiliste.» Cette démarche intéresse au plus haut point plusieurs autres chercheurs autant que des industriels. C'est ainsi que deux professeurs émérites de l'Université de Cambridge, en Grande-Bretagne, ont l'intention d'appliquer les méthodes mises au point par l'équipe de Concordia à un ensemble de domaines, notamment les télécommunications, la conception de logiciels, l'aviation et l'automobile. Par ailleurs, un gestionnaire de Rockwell Collins (un géant de l'avionique) a été si impressionné, lors de sa visite des laboratoires de M. Tahar l'été dernier, qu'il désire absolument collaborer avec lui. «Les choses vont vraiment très vite pour nous!», remarque Sofiene Tahar avec enthousiasme. *** Collaborateur du Devoir *** - «Formal Probabilistic Analysis Using Theorem Proving», le lundi 11 mai à 15 heures. http://www.ledevoir.com/2009/05/02/248474.html (2/5/2009 9H07)
  9. http://www.montrealgazette.com/Fire+forces+evacuation+Hyatt+hotel/1546853/story.html The smoke was visible all the way from Concordia at around 5:30.
  10. Concordia GM Building Début de construction: March 2011 Fin de construction: May 2012 Final rendering:
  11. J'ai fait une petite tournée aujourd'hui. Résidences Gouverneur Élogia Stade Saputo Îlot Voyageur 801 Signature Le Rigaud Prenez une pause... 333 sherbrooke Montmarte 400 sherbrooke ouest Concorde Bleury/maisonneuve Sir patente....lépine Concordia Crystal Merveille architecturale... Lowney McGill Québécor Westin
  12. mtlurb

    Quartier Concordia

    Quartier Concordia Quartier Concordia will transform the Sir George Williams campus from a collection of scattered buildings into a welcoming and cohesive urban campus in the area bordered generally by Sherbrooke, Guy, René-Lévesque, and Bishop. The goals of the Quartier Concordia project include improving the use of outdoor spaces, stimulating street life, and providing respite for the Concordia community and the public. The project will optimize vehicular and bicycle traffic as well as pedestrian flow, facilitate movement between campus buildings, and ensure the safe interaction of vehicles and pedestrians. Quartier Concordia will also maintain a welcoming environment for the Concordia community and the public, highlight landmarks, improve the use of space, promote the display of artwork and create a distinct campus environment within the downtown core. The project will be carried out over several years by Groupe Cardinal Hardy and in conjunction with the City of Montreal. Facts: A multi-year project Landscape architect: Groupe Cardinal Hardy Location: The area bordered by Sherbrooke, Guy, René-Lévesque, and Bishop The project will promote a distinct, welcoming, and efficient downtown campus
  13. Pavillon John-Molson Architectes: KPMB Architects – FSA Architectes Fin de la construction:2008 Utilisation: Nouveau pavillon de l'université Concordia Emplacement: Quartier Concordia (Centre-ville), Montréal 76 mètres (253 pieds) - 17 étages Lien: http://www.johnmolson.concordia.ca/building/index.html Description: - Le projet coûtera 60 millions de dollars.
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