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  1. MONTRÉAL — Une trentaine de militants de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ) ont perturbé le forum public qu'a tenu François Legault, cofondateur de la Coalition pour l'avenir du Québec (CAQ), mardi soir à Montréal. Alors que M. Legault exposait les grandes lignes de son programme depuis une trentaine de minutes, les militants se sont levés scandant à tour de rôle «Legault, Charest, même combat», «le privé à la porte» et «contre la hausse des frais de scolarité». Ils ont dénoncé la hausse des frais de scolarité à laquelle M. Legault adhère, de même que son projet d'abolir les cégeps. «Il veut détruire le réseau des universités», a lancé l'un des membres de l’ASSÉ, Maxime Larue. S'en sont suivi de nombreuses altercations entre les membres de l'ASSÉ et les citoyens présents. Plusieurs étaient excédés du comportement des jeunes étudiants. «Il faut être prêt à entendre les points de vue différents du tien», a crié quelqu’un dans le public. Quelques policiers ont fait irruption dans la salle et les militants étudiants se sont dispersés. La consultation a été interrompue pendant près d’une demi-heure. «On est dans une campagne qui vise à perturber l'ensemble des acteurs qui prennent position pour la hausse des frais de scolarité», a assuré le porte-parole de l'organisation, Gabriel Nadeau, une fois sortie de la salle où se tenait la réunion. Le temps n'est plus à la discussion.» Les débats entre les citoyens et l'ancien ministre se sont poursuivis par la suite, surtout sous le thème de l’éducation. Le cofondateur de la CAQ a déploré que les militants aient refusé d'ouvrir le débat avec lui et se soient contentés de faire du tapage. La CAQ avait convié les citoyens à venir discuter au Centre des loisirs communautaires Lajeunesse de Montréal. Environ 200 personnes ont répondu à l'appel. François Legault terminera jeudi sa tournée de consultations publiques à travers le Québec entamée le 12 septembre dernier. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/politiqueprovinciale/archives/2011/10/20111018-221457.html
  2. Publié le 7 Septembre 2011 Sandrine Béjanin Rive-Sud Express.ca Le conseil municipal de Brossard a voté un règlement permettant aux commerces situés sur le boulevard Taschereau, de part et d'autre de la rue Mario, de construire des bâtiments de plus de deux étages. Des citoyens touchés par cette mesure ont cherché à s'y opposer, mais le registre de signatures était inexistant à la mairie. En votant le règlement 203, le conseil municipal a voulu modifier le règlement de zonage 1642 applicable à la zone M01C, bordée par le boulevard Taschereau à l'ouest, le côté pair de la rue Malo à l'est, le croissant Marin au nord et la Place Mercure au sud. Avec le changement de réglementation, le zonage ne serait plus un frein pour les commerces qui souhaiteraient construire en hauteur. La réglementation existante constituait un obstacle au projet d'agrandissement du garage Montmorency Ford. Le directeur général de Montmorency Ford, M. Bélanger, a déclaré que le projet n'était pas finalisé, mais que le bâtiment serait agrandi et surélevé: deux étages avec stationnement ou trois étages. Les citoyens de la rue Malo craignent pour leur qualité de vie, déjà incommodés par le bruit du garage ouvert 24h/24. Pour eux, un bâtiment plus grand et plus haut signifie une vue directe des employés de Ford sur leur jardin ainsi qu'une perte de clarté et de soleil. Julie Deveau, Jean-Marie Beauvais et Marie-Jeanne Hernandez sont venus demander au conseil, le 4 juillet dernier, quels étaient leurs recours. Ils se sont vu répondre qu'ils pourraient faire une demande d'approbation référendaire en signant un registre. Le conseiller Antoine Assaf a été le seul à voter contre le projet de règlement «par respect pour les citoyens qui sont venus ici protester», a-t-il précisé. Sauf que le 18 juillet, quand Jean-Marie Beauvais est allé signer le registre à la mairie, quelle ne fut pas sa stupéfaction d'apprendre que le registre n'existait pas, «parce que les citoyens n'ont pas l'habitude de s'opposer», a-t-il reçu comme explication. Il a donc dû recueillir une cinquantaine de signatures des résidents de Malo, Mario et Mercure opposés au règlement 203 et demandant la tenue d'un référendum.
  3. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201012/14/01-4352111-avant-projet-de-loi-des-quartiers-soustraits-au-processus-referendaire.php André Dubuc LA PRESSE (Montréal) Des quartiers de Montréal, de Québec et des autres villes de la province pourraient devenir des zones libérées de toute contrainte référendaire en matière d'urbanisme, selon un avant-projet de loi déposé la semaine dernière par le ministre Laurent Lessard. L'article 82 de l'avant-projet de loi d'une centaine de pages qui vient moderniser la Loi sur l'aménagement et l'urbanisme donne la possibilité aux villes et municipalités québécoises de définir dans leur plan d'urbanisme des secteurs stratégiques «en tant que zone franche d'approbation référendaire et à l'intérieur de laquelle aucune modification réglementaire ne sera sujette à l'approbation référendaire». Les zones doivent prioritairement faire l'objet de rénovation urbaine, de réhabilitation ou de densification. Le plan d'urbanisme doit définir des objectifs, stratégies et cibles spécifiques à ces fins. «La nouvelle loi contribuera à la mise en oeuvre du développement durable en accordant la priorité à des objectifs comme la densification pour contrer l'étalement urbain», explique le ministre des Affaires municipales, dans un communiqué. Le texte de loi ne définit pas ce qu'est une zone et pourrait théoriquement couvrir un quartier complet, comme le centre-ville. L'Institut de développement urbain du Québec (IDU Québec), lobby de promoteurs, accueille favorablement l'avant-projet, dans un communiqué. «C'est une grande victoire, dit Guillaume Neveu, président du comité d'urbanisme de l'IDU Québec à Québec et urbaniste. On vient réparer une erreur qu'on a commise avec les fusions municipales.» Contrairement aux citoyens du reste de la province, les résidents de Montréal et Québec n'avaient pas le pouvoir d'exiger un référendum jusqu'au moment des fusions municipales au tournant des années 2000. Le législateur a préféré étendre ce pouvoir aux habitants des grandes villes plutôt que de le retirer aux citoyens des villes fusionnées de la banlieue. Le référendum est un moyen donné aux citoyens concernés de bloquer un projet immobilier nécessitant une modification à la réglementation d'urbanisme en vigueur. «On doit constater à l'usage que le référendum, bien qu'intéressant pour des citoyens et des groupes de pression, est un mécanisme un peu bête où on décide de l'avenir du projet sans être capable d'y apporter la moindre nuance», dit Gérard Beaudet, professeur d'urbanisme de l'Université de Montréal, à qui on a demandé ses commentaires sur l'avant-projet de loi. Pour l'universitaire, une ville de la taille de Montréal dispose de l'Office de consultation publique ou du Conseil du patrimoine pour analyser les projets qui lui sont soumis. «Il y a d'autres poignées (que le référendum) pour se faire une meilleure tête sur le projet et mettre sur la place publique un certain nombre d'avis favorables ou non.» Levée de boucliers à prévoir On imagine que cette disposition sera interprétée comme un recul démocratique aux yeux de certains groupes de citoyens. «C'est clair qu'on va faire valoir que la voix citoyenne est brimée», reconnaît le professeur Beaudet. Autre nouveauté introduite par l'avant-projet, l'article 129 ouvre la porte au «bonus zoning», comme ça existe depuis des années à Toronto, d'après Guillaume Neveu, de l'IDU. Cette disposition donne le pouvoir à une ville de passer outre à des normes de zonage, à l'exception des normes sur les usages, en contrepartie d'aménagements ou équipements d'intérêt général. Par exemple, un promoteur pourrait gagner des étages au-delà de la hauteur permise en échange d'un engagement sur l'aménagement d'un parc public. Par ailleurs, l'avant-projet de loi laisse le soin aux municipalités de se doter d'une politique d'information et de consultation de leurs citoyens. L'avant-projet de loi est le fruit d'un travail de concertation avec les partenaires du monde municipal, dit le ministre, et représente une réforme majeure de la Loi sur l'aménagement qui a plus de 30 ans. Le ministre entreprendra une tournée en région en février pour expliquer son avant-projet
  4. et j'ai nommé les résidents du platô Hugo Fontaine La Presse Condos sur pilotis: la construction démarre, l'opposition renaît Mardi, un promoteur a officiellement conclu une transaction de 1,25 million de dollars avec Stationnement de Montréal pour l'acquisition des droits aériens lui permettant de construire 98 condos par-dessus les terrains de stationnement situés rue Généreux, au nord de l'avenue du Mont-Royal. Vers la fin de la semaine, des pelles mécaniques sont apparues sur un des terrains pour casser l'asphalte. La construction d'un controversé projet de condos sur pilotis a débuté la semaine dernière au coeur du Plateau-Mont-Royal. Un chapitre de plus dans un feuilleton qui dure depuis sept ans. Mardi dernier, le promoteur a officiellement conclu la transaction de 1,25 million de dollars avec Stationnement de Montréal pour l'acquisition des droits aériens lui permettant de construire 98 condos par-dessus les terrains de stationnement situés rue Généreux, au nord de l'avenue Mont-Royal, entre les rues De Lanaudière et Marquette. L'arrondissement avait délivré les permis nécessaires en décembre. Vers la fin de la semaine, des pelles mécaniques sont apparues sur un des terrains pour casser l'asphalte. La construction démarre, sans qu'aucune affiche n'indique la nature des travaux. Ça ne fait pas le bonheur de tout le monde dans le Plateau. Au début des années 2000, près de 12 000 personnes avaient signé une pétition contre le projet. Laurent Imbault, qui a été le porte-parole d'une coalition de citoyens qui s'opposaient à l'arrivée de ces condos, dénonce aujourd'hui l'absence d'intervention des politiciens. «Au bout du compte, tout le monde a enterré cette histoire en s'imaginant que ça allait disparaître tout seul.» Les inquiétudes des citoyens touchent principalement la question de la sécurité dans un stationnement recouvert et peu visible. La densification d'un quartier déjà dense est aussi une préoccupation. La Société de développement de l'avenue du Mont-Royal, qui s'est toujours opposée au projet, annoncera aujourd'hui qu'elle interpelle le maire Gérald Tremblay et la mairesse d'arrondissement Helen Fotopulos. Une rencontre entre la Société et l'arrondissement est aussi prévue en après-midi. «On aurait espéré que le projet ne se fasse jamais, a précisé le directeur général de la Société, Michel Depatie. Mais il faut prendre le problème où il est rendu.» Un projet dans les règles Le porte-parole d'Helen Fotopulos, Marc Snyder, rappelle que la mairesse a fait connaître à plusieurs reprises son opinion très négative sur ce projet. "Mais à partir du moment où le projet respecte la réglementation de toutes les façons, l'administration est obligée d'émettre les permis", explique-t-il. "Nous avons été mis devant un fait accompli par Stationnement de Montréal", affirme Mme Fotopulos, qui n'a pas trouvé cela "très élégant". "Si le projet se fait, ma priorité est que le chantier soit exemplaire en termes d'impact sur le voisinage, les résidants et les activités commerciales", a ajouté la mairesse. En plus de causer un tollé chez les marchands et les citoyens, le projet, d'abord approuvé par l'administration Bourque en 2000, fait l'objet d'un bras de fer juridique entre le promoteur David Owen et la Ville. Des recours judiciaires sont toujours en cours, dont une poursuite de 5,7 millions en dommages et intérêts contre la Ville. La Cour supérieure a ordonné aux deux parties de tenir une conférence de règlement qui aura lieu en avril. Avec la collaboration de Catherine Handfield source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080331/CPACTUALITES/803310468/5077/CPACTUALITES ----------------- Let me in but don't let anybody else come after me... c'est exactement l'attitude des platôiste
  5. La Ville de Montréal agit afin d'améliorer la qualité de vie des citoyens Source: Ville de Montréal Montréal, le 25 août 2010 - Monsieur Alan DeSousa, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable de l'administration générale, des finances, du développement durable, de l'environnement et des parcs, est heureux d'annoncer la vente à l'entreprise Remorquage Météor, au montant de 1,4 M$, d'un terrain municipal vacant situé du côté est du boulevard Saint-Michel dans l'arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension. « La transaction permettra de mettre fin à une occupation problématique de l'entreprise dans un quartier résidentiel et de solutionner les nuisances avec lesquelles les gens du voisinage doivent composer. La qualité de vie de nos citoyens est primordiale et cette vente améliorera la situation, tant pour les résidants que pour l'entreprise », a déclaré M. DeSousa. Un meilleur site pour les activités de l'entreprise Rappelons que la firme Remorquage Météor, exploite actuellement un dépôt de remorquage d'autos saisies par les corps policiers du Service de police de la Ville de Montréal et de la Sûreté du Québec, ainsi qu'un autre qui dessert le ministère de Transports. L'emplacement actuel, situé sous le boulevard Métropolitain, dans l'arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, est mal adapté à ce genre d'activités. La Ville a travaillé à identifier un site qui réponde à ses besoins ainsi qu'à ceux de l'entreprise. Après l'étude de plusieurs sites potentiels, la Ville et Remorquage Météor ont convenu que étant le plus approprié est situé du côté est du boulevard Saint-Michel, entre la rue Bressani et le boulevard Industriel. Ce terrain, propriété de la Ville, est vacant de longue date. Le présent projet inclut aussi l'aménagement d'un écran de verdure entre le secteur résidentiel de la rue Bressani et le terrain cédé à l'entreprise Météor. Les coûts de cet écran de verdure seront défrayés à même les revenus de la vente du terrain. « Je remercie les employés de la Ville et de l'arrondissement et tous les élus qui ont appuyé ce projet. C'est un bel exemple d'une administration municipale à l'écoute de ses citoyens », a déclaré M. Frantz Benjamin, conseiller municipal du district de Saint-Michel dans l'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. La promesse d'achat oblige l'acquéreur à y construire un bâtiment dans un délai de neuf mois suivant la signature officielle de l'acte de vente. La compagnie s'engage également, au plus tard 15 mois après la signature de l'acte de vente, à n'effectuer ses opérations de remorquage et de fourrière qu'à partir du nouveau site. Plutôt que de retrancher du prix de vente les coûts de la décontamination, la Ville s'est engagée à décontaminer, à ses frais, le terrain afin de respecter les critères environnementaux du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs pour un usage commercial ou industriel. Cette solution s'étant avérée plus économique. « Les citoyens nous ont envoyé un message clair en se mobilisant pour faire déplacer cette fourrière et grâce aux efforts de l'administration Tremblay et du conseil d'arrondissement nous pouvons aujourd'hui nous réjouir d'avoir répondu à leurs attentes », a conclu M. Frank Venneri, conseiller municipal du district de François-Perrault dans l'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension.
  6. Ariane Krol Si vous n’avez pas encore lu la lettre du maire de Vaudreuil-Dorion publiée dans nos pages, je vous incite vivement à le faire. Elle apporte un souffle d’air frais dans un débat de plus en plus vicié. Comme lui, j’ai été choqué par la réaction des citoyens d’un quartier de Beaconsfield, qui veulent bloquer la construction d’une résidence pour personnes âgées de deux étages. Deux étages! Des personnes âgées! Et que dire des arguments évoqués? «Le prix de nos maisons va chuter.» «Il y a déjà beaucoup trop de voitures qui circulent et beaucoup trop de problèmes de stationnement.» Le prix des maisons va chuter? Un centre d’injection supervisée ou une éolienne, je ne dis pas. Mais une résidence pour personnes âgées? C’est pousser très loin les limites du «pas dans ma cour». Et il y a pire. «Des citoyens viennent de s’opposer à la construction d’une école primaire dans leur quartier avec parc, jeux d’eau et mini-terrains de soccer. (…) Ils craignent la circulation automobile et la dévaluation de leur maison!», rapporte le maire de Vaudreuil-Dorion. Une école primaire? Un parc? N’est-ce pas le genre de services dont la proximité fait augmenter la valeur d’une maison? Les municipalités devraient peut-être revoir leurs critères de développement et miser sur les quartiers à accès contrôlé (gated communities)… Comme la plupart des gens qui ont acheté à Montréal au cours des dernières années, j’ai payé trop cher pour ma maison, et je détesterais la voir dévaluée. Mais je trouve qu’on est bien prompt à agiter cet épouvantail. C’est devenu un prétexte commode pour exclure l’autre, qu’il soit trop vieux, trop jeune ou Inuit, comme dans le quartier Villeray. Cela dit, les Villes ont leur part de responsabilité dans ces réactions extrêmes. Si les citoyens veulent bloquer un projet par crainte du trafic excessif, c’est qu’ils ne font pas confiance à leurs élus pour prévenir ou corriger la situation. Si la résidence pour personnes âgées ne compte pas assez de places de stationnement, si tous les parents amènent leurs enfants à l’école en auto en conduisant comme des débiles dans les rues adjacentes, c’est un réel problème. Sauf que les municipalités, obnubilées par la perspective de nouveaux revenus de taxation, se montrent souvent insensibles à ce genre de préoccupations. Elles en paient aujourd’hui le prix. http://blogues.cyberpresse.ca/edito/2010/08/16/pas-dans-ma-cour-de-quoi-a-t-on-si-peur/?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_bloguesaccueilcp_BO3_accueil_ECRAN1POS5
  7. Photos: http://www.journalmetro.com/linfo/article/601300--un-stationnement-du-vieux-montreal-devenu-vacant-reprend-vie
  8. Il y a un erreur dans mon titre, elle date de 1914. En 1993-1995, à la suite de la cessation du service de la ligne Montréal-Deux-montagnes, la ville de Mont Royal hérita de la locomotive GE boxcab #6712, dans le but de la restaurer. Elle fait partie des première locomotives à avoir traverser le tunnel du Mont-Royal.Plusieurs musée obtenu des locomotives du même modèle dont ville de Deux Montagnes qui restaura la sienne en 1998 et l'installa à coté de sa nouvelle gare. Ville Mont-Royal, entreposa la sienne sur le terrain de son garage municipal. Depuis 1995 quelle est là, à attendre... Selon quelques personnes, ce sont des citoyens de VMR qui s'oppose à sa restauration et son installation à côté de la gare de VMR, soit diant que c'est laid. Cet hiver, la bâche qui la couvrait à cédé. Photos: Le PAB, http://www.metrodemontreal.com/forum/viewtopic.php?t=12471&postdays=0&postorder=asc&start=20 En avril: http://www.flickr.com/photos/kellergraham/4516805870/ La voici en 2005 sous la bâche http://www.flickr.com/photos/kellergraham/347312676 Et en 2009 Quelle honte !
  9. MONTRÉAL, le 22 juin /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Ville-Marie a été mandaté pour élaborer un plan majeur pour l'aménagement et le développement du centre-ville de Montréal. Cette démarche ambitieuse, prévue pour l'année à venir, amènera les citoyens, les intervenants du milieu, ainsi que les experts à se pencher sur l'avenir du centre-ville de Montréal et sur son rôle moteur au cœur de la métropole. Une occasion de dessiner le centre-ville de demain À l'instar des activités de consultation participatives et citoyennes qui ont été mises en place lors de l'événement Saint-Laurent'dez-vous au mois de mai dernier, l'arrondissement de Ville-Marie organisera, dès l'automne prochain, des activités publiques stimulantes et innovatrices à l'image du potentiel créatif, culturel, jeune et dynamique de Montréal. Ces exercices de concertation sont une occasion unique et formidable pour les citoyens, les intervenants du milieu ainsi que les experts reconnus dans les domaines du développement urbain, du design, de l'architecture et du patrimoine, de s'exprimer et d'échanger sur les grands enjeux d'aménagement urbain pour l'avenir de leur ville. Un nouveau plan d'urbanisme Les résultats de ces activités de concertation publique réalisés avec le milieu, les propositions d'aménagement, ainsi que les recommandations formulées en ce sens, constitueront la matière première à l'élaboration d'un énoncé d'aménagement, qui sera préparé par l'arrondissement de Ville-Marie, en collaboration avec le service du développement et des opérations de la ville. Ce document permettra ainsi d'établir une vision stratégique et collective à long terme pour l'aménagement du centre-ville de Montréal et de définir en amont les priorités d'action, en vue de la révision prochaine du plan d'urbanisme prévue pour 2011. Le rôle majeur du centre-ville dans l'économie montréalaise amène l'arrondissement de Ville-Marie à aborder cette nouvelle planification urbaine dans sa dimension métropolitaine, et ce, afin d'assurer à ses citoyens un milieu de vie de qualité au sein d'un centre-ville dynamique et habité, pour les décennies à venir. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/June2010/22/c7366.html
  10. Nouveaux logements communautaires à Cloverdale Pierrefonds-Roxboro par Olivier Laniel 23 mars 2010 Les familles à faible revenu et les personnes âgées en légère perte d’autonomie peuvent désormais compter sur 258 nouveaux logements communautaires dans le secteur de Cloverdale à Pierrefonds-Roxboro. Le coût du projet financé par les gouvernements municipal et provincial s’élève à près de 39 M$. «Il y a de la construction neuve et de la rénovation de logements… Il y a aussi des logements pour des familles de 5-6 personnes», a mentionné le ministre des Affaires municipales, Laurent Lessard, de passage à Pierrefonds le 19 mars dernier. Soulignant que 137 des 258 locataires de ces ensembles d'habitation peuvent bénéficier du programme Supplément au loyer, une aide financière destinée aux personnes à faible revenu, le ministre s’est dit fier du projet. «Moi je dis, quand tu as un bon toit, après ça tu peux te trouver un travail», a souligné le M. Lessard. «Je connais Cloverdale depuis 40 ans, quand j’étais très jeune médecin on faisait des visites ici. On est passé par des phases très difficiles, peu sécuritaires, où il fallait pratiquement se faire accompagner par la police», reconnaît pour sa part le député fédéral de Pierrefonds-Dollard, Bernard Patry. Celui-ci ajoute que l’implantation du conseil d’administration et l’implication des citoyens du secteur ont changé la donne. «Ma vie de couple a commencé à Cloverdale!», a d’emblée lancé la mairesse de l’arrondissement Pierrefonds-Roxboro, Monique Worth. Elle qui a habité le secteur avec son mari lorsqu’elle avait 20 ans n’y est toutefois pas restée très longtemps. Cela dit, près de 45 ans plus, Mme Worth habite toujours l’Ouest-de-l’Île. «Je voudrais que ce projet devienne un modèle pour tout ce qui existe dans les arrondissements. On pourrait faire une annonce : venez faire un tour à Cloverdale, c’est comme ça qu’on vit dans l’Ouest-de-l’Île!», conclut la mairesse. À noter qu’un projet de jets d’eau pour enfants, au coût de 200 000$, sera aussi implanté. La voix des citoyens Rencontrée après la conférence, la citoyenne du secteur de Cloverdale, Anna Couiteux, était curieuse de connaître quelle amélioration les élus allaient annoncer. La dame qui habite le coin depuis 10 ans note «qu’il y a une plus grande présence policière qu’avant en plus des citoyens qui font le tour du quartier le soir». Un avis partagé par le citoyen Mario Roy qui y a récemment aménagé dans le secteur avec ses trois enfants. http://www.citesnouvelles.com/article-442557-Nouveaux-logements-communautaires-a-Cloverdale.html
  11. La piétonisation des rues, le prolongement du réseau cyclable, l'élargissement des trottoirs, le développement du transport en commun... Confinées au mouvement écolo dans le passé, ces demandes sont aujourd'hui celles d'une portion croissante des Montréalais. Voilà le message des fidèles de la toute première heure de la journée En ville sans ma voiture, qui disent observer, année après année, une ouverture de plus en plus grande des citoyens envers des pratiques urbanistiques plus progressistes. «La journée sans auto le prouve, selon Marco Viviani, de l'entreprise Communauto. S'il y avait dans le passé des protestations quand on bloquait les rues pour l'événement, ce n'est plus du tout le cas aujourd'hui. L'idée est même tellement ancrée, que la journée a des airs de vente trottoir!» Entre un cyclo-mélangeur qui permettait de faire des smoothies en pédalant, un skatepark où tournoyaient les amateurs de planche à roulettes et de BMX et un spectacle de baladi, l'ambiance était en effet plus ludique que tendue au centre-ville de Montréal, cet après-midi. Mais de là à dire que les citoyens réclament des politiques de réduction du nombre d'autos? Oui, répond Marie-Hélène Binet-Vandal, conseillère en aménagement à la Ville de Montréal. «Le message est beaucoup plus compris que dans les années passées, croit-elle. Les gens savent qu'il y a un problème, qu'il faut s'éloigner du tout-à-l'auto. Les Montréalais sont rendus là.» La réponse positive à l'événement d'hier en est une preuve, selon cette spécialiste, mais la multiplication des projets de quartiers verts sur l'île, avec la bénédiction des citoyens, le confirme plus encore : réaménagement de la place Valois au profit des piétons et des cyclistes, transformation d'un stationnement en allée piétonne dans l'axe de la rue Charlotte, à un jet de pierre du Red Light, transformation de la place Norman-Bethune au sein du campus Concordia, etc. «Une autre culture du déplacement est en train de prendre racine, estime Julie Beauvilliers, de la direction des Transports de la Ville. Il y a encore du travail à faire, c'est vrai. Mais des journées comme celle-ci permettent justement de sensibiliser encore un peu plus les gens.» Pour Mme Beauvilliers, le succès de la piétonisation estivale de la rue Sainte-Catherine, dans le Village gay, montre bien que les mentalités évoluent. «C'est un des seuls secteurs où les ventes au détail ont augmenté l'an dernier», note-t-elle. Un peu plus loin vers l'est, passé la scène où les Porn Flakes entonnent avec énergie «Welcome to the Jungle», l'équipe de l'éco-quartier Peter-McGill tient une partie de hockey improvisée entre groupes scolaires. «À chaque année depuis 2003, on voit bien que l'idée de la piétonisation fait tranquillement son chemin, lance Paul-Antoine Troxler, coordonnateur. Même que de plus en plus, les gens demandent pourquoi le périmètre s'arrête là et ne se poursuit pas plus loin...» Un rickshaw à vélo passe sur la Sainte-Catherine, suivi de près par un véhicule électrique à trois roues, tu type Segway, conduit par un policier. Non loin, un groupe d'une vingtaine de personnes s'adonnent au tai chi. Le fonds de l'air est doux, mais il est surtout mois pollué qu'à l'habitude. «Il y a 28 ans, quand je commençais en environnement, les Montréalais refusaient de croire que leur ville était polluée. Ils me lançaient constamment que Montréal n'est pas Los Angeles, se rappelle André Bélisle, président de l'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique. Aujourd'hui, ils sont beaucoup plus conscients de la situation.» Corolaire : ils sont prêts à laisser leur auto au garage au profit du transport en commun. Mais à condition qu'on améliore le réseau, et vite. «Québec dépensera cette année 15 milliards pour les routes, mais seulement deux milliards pour le transport en commun, se désole M. Bélisle. Manifestement, les gouvernements sont en retard sur la population...» Source : http://www.cyberpresse.ca/environnement/200909/22/01-904463-lidee-de-la-pietonisation-fait-son-chemin-a-montreal.php
  12. Plus de quatre employés de Montréal sur dix vivent à l'extérieur de la métropole, a révélé Projet Montréal, jeudi. Et selon son chef Richard Bergeron, ce sont les services aux citoyens qui en souffrent. Le deuxième parti d'opposition à l'hôtel de ville a recueilli des données sur les lieux de résidence des 29 000 employés de Montréal. Résultat : près de 80% des policiers et des pompiers vivent hors de Montréal. La moitié des travailleurs des services centraux habitent en banlieue. Même chose pour 45% des cols bleus. Le recensement révèle que 12 employés vivent à St-Hyacinthe, 30 résident à St-Jérôme. Repentigny est une destination populaire: 205 travailleurs y habitent. D'autres voyagent bien davantage: des employés de Montréal viennent d'aussi loin que Saint-Paul-de-l'Île-aux-Noix, près de la frontière américaine, de Sherbrooke et même de Québec. Richard Bergeron se défend de vouloir lancer la pierre aux travailleurs. Selon lui, c'est la Ville de Montréal qui est à l'origine du phénomène parce qu'elle fournit des stationnements gratuits et des voitures de service à plusieurs travailleurs. Il estime qu'un employé municipal qui habite loin des citoyens qu'il dessert connaîtra beaucoup moins les problèmes locaux qu'un travailleur qui habite sur place. Et par conséquence, ce sont les Montréalais qui font les frais de l'exode des travailleurs. «Le résultat de cette politique de la Ville réduit, abaisse la qualité des services aux citoyens», a dénoncé Richard Bergeron lors d'une conférence de presse. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201003/18/01-4261976-40-des-employes-municipaux-vivent-en-banlieue.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS3
  13. Les taxes monteront à Montréal 8 janvier 2010 | 06h29 LA PRESSE CANADIENNE Les citoyens de Montréal devront faire face à des hausses de taxes en 2010, selon des informations obtenues par La Presse. Après deux mandats sans augmentation dans le compte de taxes des citoyens, le troisième s'annonce différent pour le maire Gérald Tremblay. Selon La Presse, la hausse de taxes serait d'environ 1,5%, à l'image de l'inflation. En ajoutant les taxes d'eau et de voirie, ainsi qu'une possible taxe d'affaires, les contribuables verraient les taxes augmenter de 6%. Le budget de la Ville de Montréal sera présenté mercredi prochain. Lors de la dernière campagne électorale, le maire Tremblay avait admis que le compte de taxe des montréalais devait être haussé au moins au niveau de l'inflation.
  14. http://pierresimard.blogspot.com/2009/12/la-grande-garderie.html Je ne pourrais pas être plus d'accord... Récemment, le gouvernement a avancer l’idée d’augmenter l’âge pour l’obtention des permis de conduire, d'interdire au jeune le droit de conduire la nuit, ou de conduire avec plus d’un passager. Je regarde ça et je me dis que les jeunes du future n’auront jamais la chance de vieillir ou de développer un sens des responsabilités. Un jour, on va passer nos vies enrobé dans du « bubble wrap » si ça continue à ce rythme.
  15. Publié le 24 novembre 2009 à 00h00 | Mis à jour à 00h10 Éric Clément La Presse La nouvelle administration Projet Montréal du Plateau-Mont-Royal veut faire de l'arrondissement un modèle de gestion «humaniste et écologiste»: il y aura moins de contrats avec le secteur privé, plus de contributions des citoyens et priorité sera donnée à la lutte contre la pauvreté. De plus, il n'y aura plus de chargement de neige la fin de semaine, a appris La Presse. Le nouveau maire Luc Ferrandez a vite compris que sa tâche ne serait pas aisée. Depuis le 2 novembre, il travaille sept jours sur sept, afin de prendre connaissance des dossiers afin de remettre le Plateau-Mont-Royal sur les rails d'une saine gestion. L'administration précédente, dirigée par l'ex-mairesse Helen Fotopulos et l'ex-directrice générale Johanne Falcon, a laissé en héritage une dette de 4 millions et des relations de travail conflictuelles. Les sept élus Projet Montréal du Plateau veulent administrer différemment, en dépensant moins, dans la convivialité et en faisant participer ressources internes et citoyens. Hier, le maire a trouvé 30 minutes, pas une de plus, pour exposer à La Presse l'ampleur du travail à accomplir. «Les besoins sont énormes, a-t-il dit. Notre matériel roulant a vieilli, les immeubles ont de grands besoins, tout comme les rues. Mais on présentera demain soir (ce soir) un budget équilibré et notre plateforme électorale sera appliquée au fur et à mesure. On veut qu'en quatre ans, le Plateau-Mont-Royal devienne la vitrine d'un quartier humaniste et écologiste. On va le faire avec de la broche et du tape, mais on va le faire! La notion de frugalité, on connaît ça.» Selon lui, le plus gros problème dans le Plateau, «c'est la pauvreté et le logement social». «On doit se doter de quelques maisons de chambres et s'occuper des plus démunis», a-t-il dit. Mais, grosse différence d'appréciation par rapport à l'administration précédente, le déneigement le plus vite possible en tout temps ne sera plus considéré comme une obligation absolue. Un Sommet sur le déneigement «On va instituer un Sommet sur le déneigement afin de trouver des solutions, car on ne dépassera plus jamais le budget pour déneiger, a dit M. Ferrandez. On ne fera plus de déneigement à tout prix. On ne donnera pas de contrats supplémentaires. On ne fera pas de chargement de neige la fin de semaine. Ce n'est pas vrai que ce sera prioritaire.» Le maire et ses collègues vont aussi créer une «équipe voirie» chargée de travaux effectués auparavant par le secteur privé, par exemple la construction de dos d'âne et de saillies de trottoirs. Mais pas dans les prochains mois, car ça prend de l'équipement et une formation. «Au début, on ne fera pas d'argent, mais ça va changer après quelques années. Faire un dos d'âne, ça coûte entre 5000$ et 8000$. On veut que ça nous coûte 3000$ afin d'en faire davantage, pas pour faire de l'argent», a-t-il soutenu. Projet Montréal poursuivra l'expérience de budget participatif créée par l'équipe de Mme Fotopulos, mais ne mettra plus un sou dans cette activité. «Cela coûtait 330 000$ avant, a dit M. Ferrandez. Avec nous, ça coûtera zéro dollar. Les citoyens seront informés par l'Internet. Pas besoin de publier des brochures en couleur pour ça.» Projet Montréal va aussi changer la gouvernance. Le maire va créer huit commissions qui travailleront avec la direction du Plateau. Ces commissions seront formées de citoyens-experts, par exemple des avocats, des ingénieurs ou des architectes, prêts à donner de leur temps pour mieux gérer l'arrondissement et à moindre coût. Parmi les dossiers que traiteront ces commissions, il y aura notamment la pauvreté et le logement social, le bruit, le verdissement, l'aménagement du territoire, l'utilisation des espaces publics et la culture. Pendant ce temps, le maire va consacrer 80?% de son temps à l'audit des services. Il veut tous les passer en revue afin de changer les façons de faire. Il précise que la nouvelle directrice générale, Isabelle Cadrin, a déjà fait «un très bon travail» et ce, en à peine quelques mois. «Elle a comprimé les dépenses; par exemple, elle a réussi à replacer des employés. Cela permet d'économiser un demi-million en salaires. Et puis, des parcs à 5 millions dans le Plateau, on n'en fera pas. On est capable de reverdir pour moins cher. Et il n'y aura plus de cabinet de la mairesse et moins d'attachés politiques, ce qui permettra d'économiser 150 000$», a conclu M. Ferrandez. ---------------------- J'aime bien le mentalité faisons avec ce qu'on a en respectant nos moyens, plus de politiciens devraient suivre cette mentalité de fiscalité à droite. Pour le déneigement, c'est drôle, le dépassement de couts à sûrement dû être à cause du record de neige l'an passé, 4 mètres! On verra bien jusqu'à quand la patience des citoyens et des commerçantes va durer avec des rues remplis de neige http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200911/23/01-924386-plateau-mont-royal-finis-les-chargements-de-neige-la-fin-de-semaine.php
  16. Publié le 02 septembre 2009 à 06h58 | Mis à jour à 07h03 Le mont Royal devient un enjeu électoral Sara Champagne La Presse Un ambitieux projet de clinique médicale en plein flanc du mont Royal est passé à un cheveu de devenir l'un des enjeux majeurs de la campagne électorale au centre-ville, hier soir. Mais les élus ont in extremis donné raison aux citoyens et à l'organisme Les Amis de la montagne, qui s'insurgent contre le projet. Du moins jusqu'à la prochaine séance du conseil d'arrondissement de Ville-Marie, prévue début octobre. Au cours d'une assemblée qui a donné le ton à la campagne électorale dans l'arrondissement de Ville-Marie, les élus ont retiré à la dernière minute une résolution afin de changer la vocation d'un projet résidentiel en un lieu de pratique pour 125 médecins de l'Hôpital général de Montréal, affilié au Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Trois élus ont appuyé la décision de retirer le projet, contre un, Karim Boulos, conseiller indépendant, vivement opposé au projet qui aurait préféré le garder à l'ordre du jour. Pas plus tard qu'hier, une consultation publique était pourtant encore prévue à l'agenda des élus du centre-ville, soit le 10 septembre prochain. Même que le maître d'oeuvre des plans architecturaux, Claude Marcotte, de Daniel Arbour et associés, également derrière la transformation de Marianopolis, devait mener une présentation. En fin de journée hier, lors d'un entretien avec La Presse, le président du groupe immobilier Mach, Vincent Chiara, a convenu qu'il y avait beaucoup de grogne de la part des citoyens du district Peter-McGill, vivant aux abords de l'Hôpital, avenue Cedar. «On a parlé aux citoyens, a-t-il dit. Le stationnement les inquiète, la circulation et le changement de vocation aussi. On comprend les citoyens. On va faire le travail nécessaire.» Selon les plans déposés à l'arrondissement, dont La Presse a pu prendre connaissance, la direction du CUSM a conclu une entente de principe afin de louer à long terme le projet du Groupe Mach, dont l'enveloppe de quatre étages a déjà été érigée, avec stationnement souterrain d'une centaine de places. Au départ, quand le projet a été approuvé, en 2007, il était question de construire 64 unités résidentielles de luxe, nécessitant un investissement d'environ 30 millions. Ce n'est pas la première fois que le terrain du Groupe Mach, dans la montagne protégée, divise élus et citoyens. Avant d'être approuvé, le projet avait fait l'objet de trois référendums. Chaque fois, l'arrondissement a eu assez de signatures des résidants pour exiger du promoteur qu'il refasse ses devoirs. La construction a finalement débuté en 2007-2008, après huit ans de pourparlers avec la Ville. Par ailleurs, à mesure que les élections approchent, les échanges sont de plus en plus musclés dans Ville-Marie. Cinq élus provenant de trois partis municipaux, dont le maire et un indépendant, siègent à la même table. Au moment de mettre sous presse, la séance promettait de se poursuivre jusqu'à tard en soirée.
  17. Publié le 17 août 2009 à 14h33 | Mis à jour à 14h38 Élections: Jacques Goyette veut Longueuil en tête Éric Clément La Presse Le chef du Parti municipal de Longueuil (PML), Jacques Goyette, a dévoilé ce lundi après-midi en conférence de presse un ambitieux programme électoral surnommé «Longueuil en tête». M. Goyette a dit vouloir poursuivre le développement de Longueuil en «respectant le cadre budgétaire de la Ville» et il s'est engagé à obtenir un milliard de nouveaux investissements à Longueuil d'ici quatre ans. Rappelant que Longueuil a été reconnue comme étant au premier rang des villes les mieux gérées au Québec et également en tête au Canada pour le plus bas taux résidentiel moyen, le chef du PML a dit que la grande ville de la rive-sud va se doter d'un Plan de transport global comprenant l'ajout de six stations de métro, le redéveloppement du boulevard Taschereau avec notamment un tramway, la construction d'un système léger sur rail (SLR) dans l'axe du pont Champlain et la création d'un service de vélos en libre-service Bixi. Répondant aux questions des médias, M. Goyette a dit qu'il avait confiance que des annonces soient faites prochainement en ce qui a trait au transport en commun régional. Le candidat qui veut succéder au maire Claude Gladu veut aussi implanter, comme à Montréal, un centre d'appels téléphoniques 311, pour permettre de répondre aux questions des citoyens sept jours sur sept. Il veut aussi accroître l'accessibilité des élus en instaurant partout dans la Ville des façons d'améliorer les communications entre la classe politique et les citoyens. Il a rappelé qu'il veut faire adopter par le conseil municipal un code d'éthique pour tous les élus et ce, dans les six mois suivant son éventuelle élection. «Je demande aux Longueuillois et aux Longueuilloises de prendre le temps de lire les programmes et de se faire leur propre idée, et surtout d'aller voter le 1er novembre prochain en ayant eux-aussi Longueuil en tête.» M. Goyette a-t-il chiffré l'ampleur de ses promesses? Non. Mais le chef du PML dit que chaque promesse a été évaluée. «Nos engagements sont réalistes, dit-il. Bien des projets vont se faire avec d'autres instances gouvernementales afin que Longueuil puisse profiter, comme les autres grandes villes, de grands projets.» Le programme de Jacques Goyette peut être consulté à http://www.equipejacquesgoyette.com.
  18. Publié le 07 août 2009 Des citoyens en ont marre du bruit Éric Clément La Presse Des citoyens de Montréal sont habitués aux bruits de la ville, mais pour ceux qui vivent à proximité des spectacles extérieurs ou des bars, la fête des autres peut devenir un enfer. Dans le secteur du Quartier des spectacles, les résidants en ont pris leur parti. Ils sont conscients qu'ils résident dans une zone où le bruit fait partie du paysage. Et à partir du quartier de la Place des Arts, avec ses grands immeubles, le son se propage moins loin que pour une aire ouverte, comme au parc Jean-Drapeau, par exemple. Chez Spectra, la porte-parole Marie-Ève Boisvert dit que le système de son du Festival international de jazz ou des FrancoFolies commence à baisser après 100 pieds. De plus, si les haut-parleurs sont plus puissants qu'il y a 20 ans, leur grosseur et leur nombre ont été réduits. Du coup, les spectacles ne sont pas plus bruyants qu'avant, selon elle, et le son est mieux dispersé. Mais dans le quartier gai, la situation est différente. Des citoyens ont même formé un comité pour se plaindre du bruit des bars de la rue Sainte-Catherine et des spectacles du parc Émilie-Gamelin. «Ce n'est plus une, mais deux longues fins de semaine de festivités gaies qu'il nous faut endurer, dit par exemple Pierre Wroblewski, résidant de la rue Panet. Durant ce temps, ma maison est inhabitable. Je dis bien INHABITABLE ! On peut mesurer le bruit dans mes murs sur l'échelle de Richter. Depuis quatre ans, j'appelle des amis et je vis chez eux pendant six jours, le temps que ça passe.» «C'est un problème de santé publique dans le quartier», ajoute Geneviève Rollin, une autre résidante. Depuis l'an dernier, un règlement sur le bruit a été adopté par Ville-Marie. «On essaie de faire appliquer le règlement sans grand succès, dit Gérard Paquette, citoyen de l'arrondissement. Le commandant Gagnon du PDQ 22 refuse d'appliquer ce règlement car il est favorable à une certaine tolérance.» Invité à commenter, le Service de police n'a pas rappelé. Patrick Leclerc a fondé le Regroupement québécois contre le bruit il y a trois ans. Plus de 1000 personnes en sont membres. Selon lui, les citoyens sont plus irrités qu'avant par le bruit. «Il a augmenté partout, dit-il. Dans les rues et dans les commerces. Dans les cinémas, le bruit atteint 100 décibels. C'est beaucoup trop fort.» Le bruit a des effets sur la santé, dit Patrick Leclerc. «Les gens deviennent pratiquement sourds et on augmente le volume. Si on faisait un sondage sur le nombre de personnes dérangées par la pollution sonore, on serait surpris du résultat. Il faut une réglementation sur la quantité de décibels permis pendant les spectacles. Il y a un problème de calibrage des aigus et des basses extrêmes. Il faut que Québec légifère là-dessus.» Politique du bruit Une politique sur le bruit pourrait voir le jour. Réagissant à l'inquiétude des citoyens et des membres du corps médical, l'ex-ministre de la Santé, Philippe Couillard, a demandé, il y a trois ans, un avis à l'Institut national de la santé publique. L'avis sera transmis au nouveau ministre cet automne, dit le Dr Maurice Poulin, responsable de l'unité santé au travail à l'Institut national de santé publique. «L'avis dira s'il est pertinent d'avoir une politique sur le bruit, dit le Dr Poulin. On est en train de développer ça. On a des difficultés car, sur le bruit, il n'y a pas beaucoup de ressources au Québec. L'avis aura plusieurs chapitres sur la définition du bruit, les mesures, ses effets sur la santé et le portrait législatif. On regarde également si on peut chiffrer les coûts engendrés par la pollution sonore. Des recommandations seront faites au ministre.»
  19. Le Mardi 4 Août 2009 | Mise en ligne à 15h03 À quoi ça sert, un maire ? Ariane Krol David Miller a tenu tête aux employés municipaux durant plus d’un mois, mais apparemment, ce n’était pas assez. Les Torontois se montrent beaucoup moins enclins à réélire leur maire qu’avant le conflit, montre un sondage CTV/The Globe and Mail. Et on ne parle pas d’un petit recul. Presque 60% des citoyens interrogés ont moins envie de voter pour lui aux élections de l’an prochain. L’enquête a été réalisée à la fin de la semaine dernière, juste après que les conditions de l’entente avec le premier syndicat aient rendues publiques. Plus de 60% des répondants trouvent que leur maire s’est écrasé devant les grévistes. Où étaient les partisans de la ligne dure durant le conflit? On a entendu des masses de citoyens se plaindre des ordures qui s’accumulaient dans les parcs, mais très peu dire que le jeu en valait la chandelle. Qu’ils étaient prêts à endurer quelques semaines de puanteur pour éviter que leur compte de taxes ne grimpe en flèche. Remarquez, on ne fait pas mieux avec notre neige, qu’on voudrait voir ramassée instantanément sans se demander combien il en coûterait de plus. La réaction des Torontois a au moins le mérite de donner l’heure juste sur les attentes des citoyens. David Miller n’a pas ménagé ses efforts pour accroître le rayonnement de sa ville. La métropole canadienne s’embellit et devient plus intéressante de jour en jour, au point que son maire est devenu une sorte de repoussoir pour dénoncer l’apathie de Gérald Tremblay. Et pourtant… Ce qui sera déterminant dans l’isoloir, ce ne sera probablement pas l’architecture des musées ou les nouveaux festivals, mais les services municipaux. Parce que la raison d’être d’une municipalité, c’est avant tout de donner des services. Je suis la première à souhaiter que les maires des grandes villes comme Montréal fassent preuve d’inspiration et voient plus loin que la gestion quotidienne. Mais le premier mandat n’exempte pas du second et les élus ne devraient jamais l’oublier. Car ce ne sont pas les commentateurs de tout acabit qui remplissent les urnes, mais les simples citoyens. (Remarquez, si les citoyens en question étaient aussi prompts à aller voter qu’à critiquer les élus , on aurait peut-être des administrations municipales plus efficaces…)
  20. C'est rien de nouveau, même chose à chaque année. Cependant, la ville accuse les citoyens, mais en revanche, les citoyens ne s'y retrouvent plus. Ils ont une amende parce qu'il ne nettoient pas le devant de chez eux, et s'ils nettoient, ils ont une amende pour vols de job de col bleu. La question est beaucoup plus : est-ce que les citoyens savent s'ils peuvent, ou non, nettoyer leur devant ? -------------------------------- À l'approche de la saison touristique De la saleté partout Sébastien Ménard Le Journal de Montréal 03/05/2009 06h31 Malgré toutes les campagnes de propreté et les promesses faites par la Ville de Montréal, le centre-ville est toujours aussi sale à l'aube de la nouvelle saison touristique. Le Journal a parcouru les rues du centre-ville, hier, et y a observé de la saleté partout. Des sacs à ordures entrouverts et déposés en bordure de la rue alors qu'il n'y a pas de collecte. Des poubelles qui débordent et dont les déchets volent au vent. Des mégots de cigarette, des verres vides, des cannettes et des débris de toutes sortes qui traînent sur la voie publique ou même dans des bacs à fleurs... La scène est bien loin de celle promise depuis plusieurs années par le maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui répète avoir fait de la propreté sa «priorité.» La ville perd son cachet Rue de la Montagne, en début d'après-midi. Des sacs à ordures déchirés sont abandonnés devant un commerce, alors qu'aucune collecte n'est prévue. Patrick Lang et sa conjointe Marie, deux Américains résidant au New Hampshire, se désolent de la situation. Ils connaissent la métropole depuis plusieurs années et la visitent plus fréquemment depuis que leur fille étudie à McGill. «Montréal est une belle ville, mais quand il y a des choses comme ça, elle ressemble à une ville américaine ordinaire, juge Mme Lang. Elle perd son cachet européen», dit-elle. Son conjoint est du même avis. «Ce serait facile de régler la propreté dans cette ville, estime M. Lang. Quand on voit des verres de café ou des mégots de cigarette qui traînent partout, il faut dire aux gens de se ramasser.» Le message ne passe pas Au cours des dernières années, la Ville a lancé de nombreuses campagnes pour inviter les citoyens à améliorer la propreté de Montréal. Pas plus tard que vendredi, elle récividait avec l'opération «Ménage ton voisinage», qui vise à réduire la présence de déchets dans les rues. En tout, la Ville investira 10 M$, cette année, pour améliorer la propreté. Pourtant, le message ne passe pas, reconnaît le responsable de la propreté à la Ville de Montréal, Luis Miranda. «L'ouvrage est à recommencer continuellement», déplore-t-il. Une opinion partagée par Jean-Yves Duthel, de l'arrondissement Ville-Marie. «Il y a toujours des délinquants», dit-il. Les inspecteurs de cet arrondissement sont chargés de remettre des contraventions aux citoyens qui sortent leurs ordures dans la rue même lorsqu'il n'y a pas de collecte. «Il y a moins de récivistes que l'an dernier, assure M. Duthel. Ce sont souvent les mêmes. Par exemple, il se distribue beaucoup d'amendes dans le quartier chinois», souligne-t-il.
  21. Montréal 20 M$ pour retaper le parc Jean-Drapeau La Presse Canadienne 25/03/2009 19h32 La Ville de Montréal a obtenu 20 millions $ du gouvernement fédéral pour appliquer une cure de jouvence au parc Jean-Drapeau. Selon ce qu'a rapporté Radio-Canada, aujourd'hui, des travaux seraient entrepris au cours des deux prochaines années. Il s'agirait de la première partie d'un plan plus ambitieux en prévision du 375e anniversaire de Montréal et du 50e anniversaire d'Expo 67, qui seront célébrés en 2017. Le responsable des services aux citoyens au comité exécutif de la Ville de Montréal, Marcel Tremblay, a dit vouloir contribuer à l'essor du secteur comme «destination touristique». La Ville voudrait notamment donner une nouvelle vocation au restaurant Hélène de Champlain, transformer des stationnements de l'Ile Sainte-Hélène en parcs, construire une piste cyclabe sur les berges et retaper les jardins et les canaux de l'île. http://www.canoe.com/archives/infos/quebeccanada/2009/03/20090325-193225.html
  22. Le premier ministre Jean Charest affirme que les services aux citoyens seront protégés et que des mesures pour les travailleurs seront incluses dans le budget 2009-2010. Pour en lire plus...
  23. Dix compagnies québécoises au palmarès des 50 meilleurs citoyens corporatifs 30 janvier 2009 - 11h19 par Charles-Albert Ramsay ARGENT Dix sociétés québécoises figurent au palmarès annuel des 50 meilleurs citoyens corporatifs du Canada. Le palmarès est réalisé par le magazine Corporate Knights, de Toronto. Cette publication spécialisée en responsabilité sociale des entreprises a étudié les pratiques en environnement et en responsabilité sociale des plus importantes sociétés du Canada pour identifier les meilleurs citoyens corporatifs. En tête d'affiche, IBM Canada, Petro-Canada et McKesson Canada se placent respectivement en première, deuxième et troisième position. La quatrième position a été méritée par Rio Tinto Alcan, la filiale d'aluminium dirigée de Montréal du géant minier Rio Tinto. Les autres québécoises figurant au palmarès sont Domtar (8e), Hydro-Québec (12e), Cascades, (17e), Mouvement Desjardins (20e), Transcontinental (22e), CN (23e), Tembec (32e), Financière Sun Life (35e), SNC-Lavalin (41e) et BCE (42e).
  24. Le consortium, qui souhaite construire un parc de 300 mégawatts dans le secteur du lac Alfred, a rencontré une centaine de citoyens de Sainte-Irène mardi soir. Pour en lire plus...
  25. Du multilogement plutôt qu'une industrie par Stéphane St-Amour C'est sur le terrain en friche à l'intersection nord-ouest du boulevard Saint-Martin et de la rue Montgolfier (à gauche dans le bas de la photo) que s'élèvera, au printemps, un bâtiment contigu de deux et quatre étages, qui abritera jusqu'à un maximum de 46 unités d'habitation. Du multilogement plutôt qu'une industrie À la dernière assemblée de consultation publique, un groupe de citoyens avait à choisir pour éventuel voisin entre un bâtiment multifamilial d'une quarantaine de logements et une industrie. Le projet de règlement sur la table vise à modifier le zonage au quadrant nord-ouest du boulevard Saint-Martin et de la rue Montgolfier, dans le quartier Chomedey. Face à ce terrain en friche se dressent cinq maisons unifamiliales isolées, dont les propriétaires s'étaient déplacés à l'hôtel de ville pour tenter de réduire la hauteur du bâtiment de quatre étages que souhaitent y ériger les promoteurs, représentant la compagnie Pontmax inc. «Si on dit non à ça, on va se retrouver avec une industrie à la place», leur a clairement signifié le maire Gilles Vaillancourt. En fait, si le zonage actuel limite la construction résidentielle à des bâtiments unifamiliaux, bi et trifamiliaux, le zonage permet également l'implantation industrielle dans ce secteur avoisinant l'autoroute 13. Pour rassurer les voisins, qui se montraient inquiets, le maire a fait valoir les «avantages» que présentait le bâtiment proposé par rapport à un immeuble de 3 étages. «Il s'agit d'un immeuble LEED [leadership en matière d'énergie et d'environnement] avant-gardiste avec garage intérieur [au moins 25 % des cases de stationnement devront être aménagées dans le sous-sol du bâtiment], ascenseur et système géothermique», a-t-il décliné, faisant valoir «la qualité du projet». «C'est vous qui prendrez la décision; on peut oublier le projet», a rappelé M. Vaillancourt aux citoyens, qui semblaient se rallier au projet de règlement, lequel est soumis au processus d'approbation référendaire. Outre un minimum de 1,5 case de stationnement par logement dont 25 % en souterrain, les exigences imposées aux promoteurs les contraignent notamment à limiter l'accès aux aires de stationnement exclusivement par la rue Montgolfier, à respecter une zone tampon de 18 pieds aménagée le long d'une zone industrielle (sauf vis-à-vis une allée d'accès) et à planter arbres et arbustes en bordure du boulevard Saint-Martin Ouest et de tout terrain résidentiel. Appelés à participer à la discussion, les promoteurs et leur architecte Frédéric Giasson ne savaient toujours pas si les unités du bâtiment seraient vendues en copropriété ou mises en location. Si tout va comme ils le souhaitent, le projet serait mis en chantier au printemps prochain. --------------------------- Plus de politiciens devraient mettre leur culottes et remettre les nimby à leur place... bravo M. Vaillancourt.
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