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  1. SNC-Lavalin: deux milliards en contrats dans l'Ouest 5 mai 2007 - 15h04 La Presse Martin Vallières Vancouver Pour la première fois, SNC-Lavalin tenait son assemblée d'actionnaires dans la métropole de la côte ouest canadienne. Et pour cause. La Colombie-Britannique et l'Alberta, en plein boom économique, pèsent au moins deux milliards dans le carnet de commandes de 10,4 milliards de SNC-Lavalin, a confirmé son président, Jacques Lamarre, à La Presse Affaires. Il y a bien sûr, en Alberta, plusieurs contrats reliés aux projets pétroliers et gaziers. Mais la province voisine est aussi en plein boom d'investissement. À preuve, les nombreux chantiers dans les environs immédiats de l'hôtel du centre-ville de Vancouver, où avait lieu l'assemblée de SNC-Lavalin. Et la firme montréalaise dirige même le plus gros et le plus compliqué de ces chantiers vancouverois. Il s'agit de la ligne de métro au centre-ville et de train aéroportuaire qui doit ouvrir quelques mois avant les Jeux olympiques d'hiver, en février 2010. SNC-Lavalin est le maître d'oeuvre de ce projet de 1,9 milliard, ainsi qu'un investisseur dans la société d'exploitation de la «Canada Line», pour un mandat de 30 ans. La Caisse de dépôt et placement du Québec est aussi impliquée. Ailleurs en Colombie-Britannique, SNC-Lavalin a un autre projet particulier d'ingénierie et de gestion. Il s'agit du remplacement du «pont autoroutier flottant» sur le lac Okanagan, à Kelowna. Ce projet d'un peu plus de 200 millions est dans une région de villégiature et d'agriculture en forte croissance, située au milieu des chaînes montagneuses entre Vancouver et Calgary.
  2. Une vaste aire de stationnement située entre les rues Saint-Antoine, Saint-Jacques, Mansfiled et les voies ferrées du CN, au centre-ville, sera transformée en terminus d’autobus temporaire. Les travaux d’aménagement du site de 5500 mètres carrés par l’Agence métropolitaine de transport (AMT), qui doivent coûter 2,7 M$ au ministère des Transports du Québec, ont débuté lundi et doivent être terminés en novembre. La création du terminus Mansfield a pour objectif de favoriser le transport collectif et d’alléger la congestion routière dans le contexte des grands chantiers routiers en cours dans la région de Montréal, comme ceux du pont Champlain et de l’échangeur Turcot. Ainsi, les chauffeurs de plusieurs lignes d’autobus à destination de la Rive-Sud et de la Montérégie prendront des passagers à six quais d’embarquement et attendront leur heure de départ à quatre postes de régulation. http://journalmetro.com/actualites/montreal/985820/nouveau-terminus-dautobus-au-centre-ville/
  3. LE NEZ COLLÉ SUR LES CHANTIERS… Édition du 5 juin 2016, FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE On a le nez collé sur les grilles de chantier depuis, quoi ? Le tournant du millénaire ? Ça fait une quinzaine d’années qu’on se plaint du barda et du bordel, qu’on se désole des cônes et du trafic, qu’on peste contre les détours et la poussière. Il y a tellement de chantiers à Montréal qu’à la seconde où l’un disparaît, on en trouve 10 autres contre lesquels se plaindre, se désoler, pester… Du coup, on ne voit que ça. Et on perd de vue une chose toute bête : chaque chantier est un projet en devenir. Fou de même ! Chaque chantier qui nous a dérangés depuis 2000 est devenu une construction, un édifice, un gratte-ciel, un équipement sportif, une bibliothèque, une infrastructure nouvelle, un aménagement urbain, une piste cyclable… On se croit encore à l’ère de l’immobilisme, alors que la cadence des chantiers nous prouve très exactement le contraire. Comme si on voyait le verre au tiers vide plutôt qu’aux deux tiers plein. On voit les pancartes « À louer », mais pas les artères qui ont réussi à s’adapter à la nouvelle réalité. Comme si Masson, Beaubien et Fleury étaient dans notre angle mort. On se désole du taux de chômage, sans voir l’attrait qu’a retrouvé la métropole auprès des jeunes, des familles et des travailleurs de la nouvelle économie. Comme si le Mile End, Griffintown et le Quartier des spectacles n’existaient pas. On remarque tous les détours, mais pas l’incroyable dynamisme qui se cache derrière : le CHUM, Bonaventure, Turcot, Champlain. Comme si on tenait pour acquis ce qui se fait… dès que ça se fait. Prenez l’exemple des gratte-ciel. Pendant 22 longues années, aucune tour ne s’est construite au centre-ville. Aucune. Zéro. Nada. On a érigé la magnifique Tour IBM Marathon en 1992, puis… plus rien jusqu’en 2014 ! Or, avez-vous entendu beaucoup de monde se féliciter de cette renaissance du centre-ville, devenu l’un des plus habités du continent ? Pas moi. Mais des critiques contre les chantiers, par contre… *** Vous me trouvez jovialiste ? Je m’en doutais. Je suis donc retourné lire les textes que j’ai signés il y a un peu plus de 15 ans, quand j’étais journaliste municipal, pour voir si, comme de fait, le Montréal d’aujourd’hui est bien mieux que le Montréal d’alors. Pas sorcier, j’ai eu l’impression de lire un journal vieux de 100 ans ! Rappelez-vous cette époque où le 11 septembre était une date comme une autre. Les Expos perdaient au Stade. L’énigmatique Pierre Bourque était maire. La démocratie municipale était une abstraction. Et les fusions municipales étaient l’unique projet d’avenir… Montréal, on l’oublie, était alors un champ de ruines. J’exagère à peine. Le centre-ville avait l’air bombardé, et pas à cause des nids-de-poule, parce qu’il y avait un nombre incroyable de terrains vagues et de stationnements sauvages. Il y avait tellement d’espaces vides, en fait, qu’on pensait construire sans problème un stade de baseball en plein quartier des affaires ! À côté, on espérait le Quartier international sans même s’imaginer qu’une aussi belle réussite était possible. L’idée d’un Quartier des spectacles n’existait pas, une poignée de fous se contentait de rêver à un « Quartier des théâtres ». Juste au nord, telle une forteresse de béton, l’horrible échangeur routier au coin des avenues du Parc et des Pins bloquait la vue et l’accès au mont Royal, qui n’était d’ailleurs toujours pas protégé. Au contraire, même… Pas de Grande Bibliothèque pour rapiécer le Quartier latin, à l’est. Pas d’agrandissement du Palais des congrès, ni de recouvrement d’autoroute. Et pas de CHUM non plus, qu’on prévoyait plutôt construire en plein quartier résidentiel, dans la Petite-Patrie. Oui, oui. Au sud du centre-ville, guère mieux… Le Vieux-Montréal était à ce point abandonné que le gouvernement avait mis sur pied un programme généreux en subventions pour attirer des hôtels. À un jet de pierre, le Vieux-Port se cherchait. Il n’y avait pas encore de Centre des sciences. Pas de condos dans les entrepôts frigorifiques. Pas de véritable vision, en fait, sinon celle de permettre aux promoteurs de faire n’importe quoi, n’importe où. Un aquarium Ripley’s ? Une maison de l’OSM sur le quai Bickerdike ? Un « technodôme » à la Disney World ? Ou, tant qu’à y être, le siège social de l’ONU ? Autant d’idées qui ont été détaillées et même présentées. Oui, oui… Vers l’ouest, la Cité du multimédia venait tout juste d’être annoncée. Pas aménagée, juste annoncée, comme un autre de ces projets auxquels on ne croit pas tant qu’on ne le voit pas. On réfléchissait à une cité du commerce électronique un peu plus loin. On envisageait d’aménager des cinémas dans l’ancien Forum vide. Et le quartier Griffintown ? Aussi inconnu que son nom. Oui, oui. *** Pour apprécier le chemin parcouru, c’est bien connu, il faut se rappeler d’où on part. D’une ville morose, donc, où le problème était justement l’absence de chantiers. Bien sûr, tout ne s’est pas métamorphosé comme par magie. On n’a pas réussi à tout faire ce qu’on aurait dû faire. Et bien des projets ont été abandonnés (la « modernisation » de la rue Notre-Dame Est), balayés (le prolongement de la ligne jaune, des deux côtés) ou se sont enrayés (le rond-point Dorval, dont on parlait déjà en 2000). N’empêche que Montréal est aujourd’hui une ville autrement plus dynamique que la métropole qu’elle était, malgré son incapacité à améliorer la mobilité. C’est une ville que je préfère nettement à sa version d’il y a 15 ans, malgré ses cônes orange. C’est un milieu de vie infiniment plus grouillant qu’au tournant du millénaire, malgré ses défauts, ses laideurs et ses errements. On peut bien rouspéter en empruntant tous ces détours continuellement, mais prenons quelques minutes lorsque nous sommes coincés dans le trafic pour rêver à ce qui s’en vient. Cet échangeur Turcot qui s’annonce plus fluide et ancré dans les quartiers qu’il traverse. Ce CHUM noir autrement plus réussi que son pendant anglophone. Cette autoroute Bonaventure qui disparaîtra au profit d’une majestueuse entrée de ville. Et ce futur pont Champlain, avec ses haubans élancés, à la fois sobre et élégant. Donc oui, quand on se regarde, quand on s’attarde à tout ce qui va tout croche aujourd’hui, on se désole. Mais quand on se compare, quand on regarde le chemin parcouru et celui qui s’en vient, on se console. À condition, bien sûr, de se décoller le nez des grilles de chantier. http://plus.lapresse.ca/screens/df6be48e-9f7e-48a7-b08b-6487909e4368%7C_0.html
  4. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/453513/chantiers-montrealais-cesser-de-refaire-a-l-identique sent via Tapatalk
  5. A trop vouloir en faire trop en meme temps on n'avance plus. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/861448/manque-t-on-de-productivite-sur-nos-chantiers/
  6. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=6897,68149721&_dad=portal&_schema=PORTAL Chantiers de construction en cours Le bulletin Chantiers de construction en cours présente une liste les chantiers de construction de 5 millions $ et plus en cours sur le territoire de l’agglomération de Montréal. Celle-ci comprend une courte description du projet, son emplacement, le propriétaire, la valeur, les dates de début et de fin de la construction, ainsi que le type de construction. Cette compilation spéciale est effectuée par Montréal en statistiques pour la ville de Montréal et ses arrondissements, ainsi que pour les villes liées, à partir de relevés émis par la Commission de la construction du Québec. Sa publication est donc tributaire des relevés publiés par cet organisme. sent via Tapatalk
  7. Inspiré par Peekay et la superbe journée d'hier, j'ai fait un petit tour des chantiers au centre-ville. Faut aller sur youtube et mettre ça en pleine résolution (1080p) et full screen!! [video=youtube;NSr-DvPPzYQ]
  8. Les chantiers de construction d'édifices de 30 étages et plus se multiplient au centre-ville. Cette poignée de gratte-ciel va transformer le paysage montréalais pour de nombreuses années. Voyez le reportage de Jean-Sébastien Cloutier. La course à la grue à Montréal. http://www.radio-canada.ca/emissions/telejournal_18h/2011-2012/Reportage.asp?idDoc=233805
  9. Voir le lien... C'est le sous-ministre responsable de la région de Montréal au MTQ qui a fait la présentation au sommet immobilier de Mtl le 20 mars dernier. http://www.realestateforums.com/montrealref/docs/2012%20PPTs/JacquesFilion.pdf
  10. Ça pourrait nous donner une leçon, pour certains de nos chantiers...
  11. http://bulletin.ville.montreal.qc.ca/T/OFSYS/SM2/2/S/I/2603/25100/7Esa81O0.html
  12. MONTRÉAL - L'affrontement entre les syndicats de la construction et Québec concernant le placement syndical s'est poursuivi à Montréal vendredi. Le projet de copropriétés Le Liguori, qui se trouve dans le quartier Villeray, a été paralysé dès 10 h. Des délégués syndicaux de la FTQ-Construction se sont présentés sur les lieux et ont demandé à une trentaine de travailleurs de quitter le chantier. Seuls quelques ouvriers, dont le travail ne peut être interrompu, sont restés sur place. Les syndicats ont manifesté leur mécontentement relativement au projet de loi 33 du gouvernement Charest qui vise à abolir le placement syndical dans le milieu de la construction. Le Liguori est un projet de 211 unités en copropriété du Groupe immobilier Van Houtte qui se trouve boulevard Crémazie, près de Lajeunesse. Sur l'heure du midi, un autre chantier de construction a été paralysé dans la métropole. Le projet de résidence pour aînés du Groupe Maurice dans le quartier Ahuntsic, Les jardins Millen, a été déserté par les employés. Ailleurs en province Ce n'est pas que Montréal qui a été touchée par ces manifestations des syndicats de la construction vendredi. À Châteauguay, le chantier du prolongement de l'autoroute 30 a lui aussi arrêté. Il semble que tout se soit fait très rapidement, puisque jusqu'à ce midi, tout se déroulait rondement sur le terrain. Il s'agit d'une action éclatante et symbolique, puisque le prolongement de la 30 a été un enjeu électoral important. Le plus important chantier du Saguenay-Lac-Saint-Jean a lui aussi été paralysé. Le projet AP60 de Rio Tinto Alcan, à Saguenay, où travaille un millier d'employés a cessé toute activité dès 8 h le matin. Le syndicat a affirmé que cet arrêt de travail avait lieu pour protester contre le gouvernement, mais la compagnie a dit de son côté que c'est elle qui a fait cesser les opérations, car des travailleurs auraient commis des gestes « non sécuritaires ». Grande démonstration lundi? Le chargé de projet du Liguori a confié à TVA Nouvelles qu'il pourrait y avoir une grande perturbation sur les chantiers de construction de la province, lundi prochain. Il semble que certains grands chantiers, comme celui des hôpitaux du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) et du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), pourraient aussi être touchés. De son côté, la ministre du Travail, Lise Thériault, a appelé les entrepreneurs à porter plainte contre les syndicats auprès du gouvernement ou encore à la Commission de la construction du Québec (CCQ).
  13. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/canada/201111/15/01-4468130-construction-ralentissement-prevu-a-montreal-et-toronto.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1 On a quand même plusieurs chantiers en cours ceux la ne devraient pas avoir de problème mais est-ce que ça va avoir un effet négatif sur ceux qui sont proposés ! Ex : La tour des canadiens etc.
  14. I've really grown to appreciate this forum for giving me nice detaisl about all the projects going on in Montreal. Many people post pictures of the construction sites, plans and projects which is wonderful so I thought it would be an idea to create a Flickr group called Montreal Construction / Construction de Montréal to gather all these images and present them in one central location. So please feel free to join and add in yours if you wish. Thanks! J'aime ce forum pour nous donner de bons détails sur tous les projets en cours à Montréal. Ici, les gens souvent poster des photos de chantiers de construction, des plans et des projets qui est merveilleux. Je pensais que ce serait une idée de créer un groupe Flickr appelés Montreal Construction / Construction de Montréal à se rassembler toutes ces images et de les présenter dans un endroit central. Alors s'il vous plaît n'hésitez pas à rejoindre et ajouter dans la vôtre si vous le souhaitez. Merci!
  15. Pour tous les mélodramatiques qui aimerait avoir 26 fois plus de tours en bureau en contruction... Montréal: la ville aux 162 chantiersPublié le 29 mars 2011 à 09h00 | Mis à jour à 10h35 Martine Letarte, collaboration spéciale La Presse (Montréal) CHUM, CUSM, CHU Sainte-Justine, Quartier des spectacles, Faubourg Pointe-aux-Prairies, Pointe-Nord de L'Île-des-Soeurs: voilà quelques-uns des 162 chantiers de plus de 5 millions en cours à Montréal. De ce nombre, on compte 70 projets institutionnels et commerciaux, 65 projets résidentiels, 29 projets de génie civil et de voirie ainsi que 2 projets industriels. Somme des investissements: 13,4 milliards. Après des années de stagnation, et au moment où la ville de Québec regorge de projets, Montréal est-elle en train de se réveiller? «On a longtemps dit qu'à Montréal, il n'y avait pas de projets et que ça reflétait le manque de confiance des investisseurs dans l'économie montréalaise. Là, avec tous les chantiers importants, il faut admettre l'inverse: les investisseurs croient au potentiel de Montréal», affirme Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. Pourtant, Montréal a été plus touché par la crise économique que l'ensemble du Québec. «Il y a eu 32 000 pertes d'emplois au Québec en 2009, dont 30 200 à Montréal. C'est plus de 90%. L'an dernier, l'ensemble du Québec a récupéré et dépassé les emplois perdus, alors que Montréal les a récupérés, mais pas dépassés», indique Hugues Leroux, économiste pour la direction régionale d'Emploi-Québec de l'île de Montréal. Il affirme toutefois que la métropole s'est bien sortie de la crise économique. «Montréal met toujours plus de temps à recouvrer la santé sur le marché du travail, entre autres, parce qu'il accueille la grande majorité des immigrants et beaucoup de jeunes des autres régions, explique le spécialiste. Ces personnes qui doivent intégrer le monde du travail y arrivent plus difficilement lorsque le marché de l'emploi est déprimé.» Les retombées En matière de développement économique, il semble qu'un projet en attire un autre. «Le meilleur exemple de ça, c'est le Quartier international, affirme le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Les gouvernements y ont investi 90 millions et il a géré des projets d'investissements de plus d'un milliard.» Le Quartier des spectacles viendra renforcer aussi, selon Michel Leblanc, l'offensive internationale faite à l'image de marque de Montréal. «On reverra des photos dans les grands magazines, comme on en avait vu pour le Quartier international, et c'est important, puisque ça montre que Montréal est une ville de créateurs, une ville où il se passe quelque chose.» Le Quartier de la santé construit autour du CHUM pourrait aussi entraîner des investissements importants. «Le défi sera d'attirer des entreprises du secteur des sciences de la vie. De plus, les firmes qui travaillent sur ces projets à la fine pointe de la technologie pourront par la suite exporter leur expertise», affirme le président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Et c'est sans oublier les projets de condos, plus nombreux que jamais, et l'effervescence du quartier Griffintown. «Ça signifie que nous avons réussi à créer un environnement favorable pour les investisseurs», croit le maire Tremblay. Dollar et productivité Emploi-Québec est également optimiste pour Montréal, particulièrement pour le secteur des services et pour les gens qui ont un niveau de compétence élevé. «D'ici à 2014, 55% des emplois créés exigeront un niveau de compétence universitaire ou collégial», indique Hugues Leroux. «Plusieurs emplois de qualité sont créés dans les grappes technologiques comme celle en aérospatiale, mais aussi, celles en finance, en logistique et celle sur les technologies propres», indique Gérald Tremblay. Certains secteurs demeureront toutefois en difficulté cette année, croit-on à Emploi-Québec. «Entre autres parce que le dollar canadien est toujours à parité et, selon les prévisions, il le demeurera», affirme M. Leroux. Selon Michel Leblanc, le grand défi des entreprises est donc d'améliorer leur productivité pour demeurer concurrentielles dans ce contexte. «Elles doivent investir dans de l'équipement et dans la formation, revoir leurs processus, penser à la délocalisation, indique-t-il. C'est important puisque notre productivité est plus faible que celle des États-Unis et nous avons de moins en moins de travailleurs disponibles. Heureusement, les entrepreneurs montréalais se concentrent déjà là-dessus alors qu'ailleurs dans le monde, ils sont encore à se demander comment ils sortiront de la récession.» Évolution des projets Le maire garde le cap Conflits avec le vérificateur général et enquête de l'Agence du revenu du Canada sur les contrats municipaux en lien avec des allégations de collusion et de corruption mises au jour depuis plus d'un an. Est-ce que tout cela rend la réalisation des projets à Montréal plus difficile? «Je fais abstraction de tout ça, dit le maire Gérald Tremblay. S'il faut revoir certaines décisions, comme dans le cas des compteurs d'eau, je remets toute l'information aux autorités compétentes pour qu'elles vérifient s'il y a eu collusion.» L'avancement des projets est-il ralenti par ce contexte? «Moi, j'ai décidé de me concentrer sur deux grandes responsabilités: répondre aux besoins essentiels des citoyens et créer de la richesse en mettant en place un environnement favorable aux investisseurs. C'est ce que nous faisons depuis trois mandats», ajoute-t-il. Montréal en bref Superficie: 498 km2 Population: 1934082 (2010), soit 24% des habitants de la province Solde migratoire interrégional: -23 640 (2009-2010) Taux de chômage: 9,6% (février 2011) Taux d'activité: 64,2% (février 2011) PIB par habitant: 50 012$ (moyenne provinciale: 36 161$) Revenu disponible par habitant : 27 262$ Secteur d'emploi le plus important: Tertiaire (plus de 85% de l'emploi) Source: Institut de la statistique du Québec et MDEIE http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/portrait-2011/201103/29/01-4384286-montreal-la-ville-aux-162-chantiers.php
  16. Chantiers de construction en cours Agglomération de Montréal 178 chanti ers en cours 12,3 milliards $ d’investi ssements [ATTACH]738[/ATTACH] :stirthepot:
  17. Personne ne parle de ça?? Des chantiers ont été fermés hier et aujourd'hui je pense. Quelques articles : Construction: menace de grève générale le 30 août [La Presse] http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/201008/17/01-4307285-construction-menace-de-greve-generale-le-30-aout.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4308316_article_POS5 Construction: les négociations reprendront lundi [La Presse] http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/201008/19/01-4308010-construction-les-negociations-reprendront-lundi.php Encore des chantiers fermés, malgré les négociations [Argent] http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/08/20100820-060727.html Construction: le climat se détend [Argent] http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/08/20100820-061900.html GRÈVE DANS LA CONSTRUCTION [LCN] «C'est cheap» http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/national/archives/2010/08/20100820-144510.html
  18. I’m a big fan of the Grands Chantiers section of Montreal 2025. I’ve always been someone who believes the public sector should lay out the general framework and the ground rules for an area – the master plan – and that once that is complete it’s then the private sectors time to shine and help implement that plan through various firms' fields of expertise. That being said what happens when the majority of the various elements of Montreal’s “Quatre Grands Chantiers” are approved and are well into the development stage. What’s next? I have several suggestions I will be posting in the near future. Here is the first. I’d love it if others posted their own ideas as well. Grand Chantier: LES ABORDS DE L'AUTOROUTE 720 This is not so much a district as much as it’s the meeting point of several districts; an area with lots of development opportunities and potential for improvement: Such as: -Les Diamants -Le Mackay -1175 Mackay -1300 René-Lévesque Ouest -The development of the Overdale lot -1500 René-Lévesque Ouest -The Hotel Maritime redevelopment -The redevelopment of 1800 René-Lévesque Ouest -The redevelopment of the Franciscans property -The redevelopment of the Montreal Children’s facilities once it leaves for the Glen Yards -The redevelopment of the Dow Planetarium -La Cité du commerce électronique - Place III -The Cadillac Fairview - Gare Bonaventure project. -The creation of a new square in commemoration of Chaboillez Square near Griffintown -Covering the side of the 720 facing Saint-Antoine west of Lucien L’Allier with ivy or some other type of greenery to make the streetscape more appealing for area residents Just to name a few
  19. L'avenir passe par les villes Lancer 10 chantiers pour dynamiser Montréal 9 juin 2009 - 17h12 Michel Munger Argent Il est temps de rendre Montréal plus concurrentielle car les métropoles sont devenues le moteur de la croissance économique dans le monde. Et le succès passe par dix grands chantiers dont le premier est l'éducation. Cela résume les grandes lignes des positions que défendent Claude Séguin et Marcel Côté. Ils sont respectivement vice-président au développement de l'entreprise et investissement stratégique au Groupe CGI (GIB.A) et associé fondateur de la firme conseil Secor. En entrevue chez Argent, M. Séguin a expliqué qu'il faisait la présentation des dix chantiers auprès des différents paliers de gouvernement après avoir passé au peigne fin les conclusions du congrès annuel de l'Association des économistes québécois (ASDEQ) le mois dernier. En premier lieu, il veut que Montréal devienne une ville créative, efficace et ouverte pour que l'économie du Québec puisse croître avec vigueur. «Quelles sont les villes qui drivent le monde ?, demande M. Séguin Est-ce que c'est Cleveland ou Boston ? Londres ou la Nouvelle-Orléans ? Les villes deviennent de plus en plus grandes et riches.» «Le cœur de cette transformation, ajoute ce dirigeant de CGI, ce sont les gens. Ce ne sont pas des usines qui viennent s'établir mais le regroupement et l'interaction de ceux qui innovent et entreprennent. C'est ce que nous voulons. La nouvelle richesse, c'est-ce que les gens ont dans la tête et une ville doit les attirer.» Le plus grand problème à régler à Montréal se trouve du côté de l'éducation. «Nous avons un gros déficit, dénonce Claude Séguin. La proportion de la main d'œuvre montréalaise qui a un diplôme universitaire est de seulement 21%. À Boston, c'est 45%. À Toronto, c'est 33%. Un diplômé gagne plus cher qu'un autre travailleur. Il faut produire plus de diplômes universitaires… ce qui veut dire qu'il faut que les gens finissent au moins leur secondaire. Ça prend aussi plus de ressources pour les universités afin de former les étudiants.» «Si les gouvernements ne sont pas capables d'en donner plus, ajoute notre interlocuteur, il faudra augmenter les frais de scolarité. Ailleurs dans le monde, plus les frais de scolarité montent, plus les jeunes vont à l'université. Les universités américaines sont bien équipées et elles ont des places à offrir. Nous aussi, ça nous prend des universités extraordinaires.» Cela veut dire hausser les frais qui sont d'environ 1800 $ par année pour les étudiants. Ces derniers contribuent à seulement 11,8% des revenus des établissements, contre 22,7% ailleurs au Canada. Une autre grande question à régler, poursuit Claude Séguin, c'est qu'«il nous faut des entrepreneurs. Notre taux d'entrepreneurship est moins élevé qu'à Toronto et tout le monde est surpris d'entendre cela. Mais pour y arriver, il faut plus que le lancement de fonds de capital de risque. Ça prend des mentors et du coaching.» Parmi les grands chantiers qu'il propose, Claude Séguin souligne que les villes sont mal financées. Leur principale source de revenus, l'impôt foncier, ne progresse pas assez vite pour financer des infrastructures et services de qualité. De plus, les projets qui s'étirent dans le temps comme celui du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) démontrent un besoin de dynamisme. «Il ne faut pas que le promoteur soit vu comme quelqu'un qui dérange mais comme quelqu'un qui contribue», résume M. Séguin. Parmi ses demandes, Claude Séguin donne une grande importance à l'immigration et à l'utilisation du bilinguisme montréalais comme catalyseur. «Le travail dans les deux langues, ça vaut de l'or. Des gens peuvent venir s'établir à Montréal sans se sentir trop étrangers… malgré notre hiver !» De plus, il souhaite voir un grand ménage au sein la gouvernance de la Ville, où la mairie, les arrondissements et les élus se disputent le pouvoir. Il reste encore à voir comment lancer des chantiers si imposants qui nécessitent l'intervention des gouvernements, d'agences, d'institutions universitaires et d'une foule d'autres intervenants économiques. M. Séguin suggère que des groupes de travail se penchent sur les problèmes et proposent des plans d'action, tout en effectuant un suivi. «Si l'on veut que ces questions prennent leur place dans les discussions populaires, dit-il, quelqu'un doit veiller au grain.» Le vice-président de CGI estime qu'il est possible d'y arriver, toutefois. Il estime que Montréal excellent dans les arts, les technologies de l'information et le jeu vidéo. «Le Cirque du Soleil, c'est culturel mais c'est aussi une grosse business», illustre-t-il.
  20. Effondrement des mises en chantiers et permis de bâtir Publié le 19 mai 2009 à 08h48 | Mis à jour à 08h50 Agence France-Presse, Washington Les mises en chantiers de logements et les permis de construire délivrés aux États-Unis se sont encore effondrés en avril pour atteindre de nouveaux plus bas depuis un demi-siècle, selon les chiffres officiels corrigés des variations saisonnières publiés mardi à Washington. Les mises en chantiers de logements et les permis de construire délivrés aux États-Unis se sont encore effondrés en avril pour atteindre de nouveaux plus bas depuis un demi-siècle, selon les chiffres officiels corrigés des variations saisonnières publiés mardi à Washington. Le nombre de permis de construire délivrés est tombé à 494.000 en rythme annuel, soit 3,3% de moins que le mois précédent, indique le département du Commerce. C'est leur plus bas niveau depuis le début de la publication de cette statistique en 1960. Le record précédent remontait au mois de mars (511 000 permis délivrés, selon le chiffre révisé). Cette nouvelle baisse surprend les analystes, qui attendaient un rebond de l'indicateur à 530 000 permis délivrés. Sur un an, la baisse du nombre de permis délivrés atteignait 50,2% fin avril. Le nombre de permis de construire donne une idée de la tendance à venir du marché de la construction, en décrépitude depuis deux ans. Alors que la stabilisation des marchés de l'immobilier et de la construction passe pour être une des clefs de la reprise aux États-Unis, ce nouvel effondrement des permis de construire laisse présager que le retour à la croissance risque d'être «cahotant», ainsi que l'a déclaré lundi le secrétaire au Trésor Timothy Geithner. Si la chute des permis a ralenti en avril (l'indicateur avait plongé de 7,1% en mars), le nombre de permis de construire de maisons individuelles, chiffre clef pour les marché a progressé de 3,6% en avril, après une baisse de 5,5% en mars. Signe de l'anémie actuelle du marché de la construction, le nombre de mises en chantier a chuté encore plus fortement que les permis, de 12,8% par rapport à mars, après un recul de 8,5% en février. En rythme annuel, cela représente 458 000 départ de chantier, soit un nouveau plancher depuis le début de la publication de cette statistique en 1959. Le record précédent ne datait que de janvier (488 000 mises en chantier). Sur un an la baisse des départs de construction atteignait 54,2% fin avril.
  21. Publié le 23 avril 2009 à 12h13 | Mis à jour à 14h15 Nombre record de travaux d'infrastructures à Montréal Lia Lévesque La Presse Canadienne Montréal Les Montréalais devront être plus patients que jamais: un nombre record de chantiers de réfection des infrastructures seront lancés au cours des prochaines semaines, totalisant 608 millions $, tant pour les routes que pour l'eau. Le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Sammy Forcillo, en a fait l'annonce, jeudi, entouré d'excavatrices, de niveleuses et autre machinerie lourde. Plus précisément, la Ville dépensera 350 millions $ pour divers projets de gestion de l'eau, touchant les aqueducs et les conduites d'eau, et 250 millions $ pour la voirie. L'an passé, à titre de comparaison, la Ville avait dépensé 220 millions $ pour l'eau et 200 millions $ pour la voirie. Ce seront 359 segments de route qui seront ainsi réparés, réaménagés, refaits. Et ces chantiers n'incluent même pas les chantiers locaux qui seront lancés par les arrondissements de Montréal, ni même ceux, à venir, qui seront payés par le programme fédéral-provincial des infrastructures. «Actuellement, c'est un mal nécessaire. Il faut comprendre que plus de 60 pour cent du réseau routier artériel est un réseau qui a plus de 50 ans d'âge, donc, vraiment, on a dépassé la vie utile», a commenté Robert J. Marcil, directeur de la Division de la réalisation des travaux. «Quand on regarde également au niveau des fuites dans le réseau d'aqueduc, l'âge des conduites, on parle de vieilles conduites. On remplace des conduites actuellement qui datent de 1838 sur la rue Notre-Dame. C'est extrêmement vieux; je crois qu'on n'a pas le choix.» De ce montant de 608 millions $, entre 100 et 150 millions $ proviendront des gouvernements fédéral et provincial, par le biais de la Société de financement des infrastructures locales. Cette somme servira surtout à la remise à niveau des infrastructures de gestion de l'eau. M. Forcillo n'a pu dire combien de ces projets ont été attribués à des entreprises appartenant à l'homme d'affaires Tony Accurso - l'ancien président du comité exécutif, Frank Zampino, a admis avoir voyagé sur son yacht. «Je ne suis pas en mesure de vous dire combien les filiales de M. Tony Accurso peuvent avoir. Mais je peux vous dire que tous les contrats qui ont été accordés au niveau de la Ville de Montréal ont été en conformité des lois que le Québec nous a édictés. Et c'est tout conforme au niveau de l'adjudication des contrats», a soutenu M. Forcillo. Il a fait valoir que les documents relatifs à l'octroi de ces contrats sont publics «C'est très transparent et c'est très crédible comme mécanisme», a-t-il affirmé. Il a aussi juré que ces investissements records dans les infrastructures n'avaient rien à voir avec l'année électorale à Montréal. Les infrastructures sont la priorité numéro un des citoyens montréalais, a-t-il relevé, ajoutant que la propreté est la seconde.
  22. Publié le 03 février 2009 à 11h07 | Mis à jour à 11h10 Montréal en chantiers: «2009 sera une grosse année» Éric Clément La Presse Après avoir finalement dépensé 199,3 millions dans la réfection des rues, des ponts, des tunnels et des viaducs en 2008, ce qui constituait un record, la Ville de Montréal prévoit battre ce record en 2009 avec des dépenses de 258,2 millions dans la voirie. Et encore, le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable des Infrastructures, Sammy Forcillo, espère que cette somme sera bonifiée par de l'argent fédéral donné en vertu des annonces faites par Ottawa dans le cadre du récent budget. Après les 130 chantiers entrepris en 2008 (200 en ajoutant ceux du réseau d'aqueduc), il y aura donc encore beaucoup de quartiers en chantier cette année sur l'île. Ce n'est toutefois qu'en avril que la Ville dévoilera la programmation détaillée des chantiers de 2009. En 2008, c'est l'arrondissement de Saint-Laurent qui a dépensé le plus en réfection de la voirie, soit 18 millions, devant Ahuntsic-Cartierville, avec 15 millions.
  23. Des ponts. Des routes. Des écoles. Des hôpitaux. On le sait, la construction d'infrastructures sera au coeur du plan de relance économique du président Obama Pour en lire plus...
  24. Les chantiers maritimes régionaux espèrent qu'ils seront admissibles au nouveau programme d'aide qu'Ottawa entend déposer pour soutenir le développement des chantiers au Canada. Pour en lire plus...
  25. Chantiers Davie a annoncé jeudi l'interruption de ses opérations et la mise à pied temporaire des 1100 employés de ses installations de Lévis. Pour en lire plus...
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