Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'chambres'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Le 9281 Photo: Robert Skinner, La Presse 9. Le 9281 9281, rue Airlie (à l'intersection de la 90e Avenue) Entre 30 et 40 appartements en copropriété Promoteur et constructeur: Nuovo Construction Le promoteur a acheté le terrain vague il y a cinq ans et est en pourparlers avec l'arrondissement pour construire un immeuble de trois étages au niveau de la rue. Il y aurait un quatrième étage, en retrait, composé de mezzanines. Les unités auraient une ou deux chambres et seraient relativement abordables, pour plaire à des acheteurs qui accèdent à la propriété. Le promoteur se réjouit que le secteur soit revitalisé et il mise sur la proximité de parcs et du fleuve Saint-Laurent, longé par une piste cyclable. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
  2. La saison estivale 2010, de mai à septembre, peut être qualifiée d'excellente pour l'ensemble de l'industrie touristique montréalaise. En effet, les dernières analyses font état d'une augmentation de plus de 13 % du nombre de chambres d'hôtel vendues durant l'été 2010, comparativement à celui de 2009. Le prix des chambres a quant à lui augmenté d'environ 6,8 % pour l'été. Plusieurs facteurs expliquent l'accroissement du nombre de visiteurs dans la métropole cette année, notamment le retour du Grand Prix de Formule 1 du Canada et la stabilisation de l'économie mondiale. Mais les efforts considérables déployés par les intervenants touristiques pour promouvoir Montréal à titre de destination dynamique et le travail des professionnels de l'industrie des congrès pour attirer des réunions d'affaires d'envergure dans la ville ont aussi porté fruit. « L'année 2009, qui avait si cruellement frappé notre industrie, est désormais chose du passé et nous ne pouvons que nous réjouir des excellents résultats de l'été 2010 », mentionne le président-directeur général de Tourisme Montréal, l'honorable Charles Lapointe. « La rapidité avec laquelle nous avons réagi pour contrer à la fois la conjoncture économique maussade de l'an dernier, l'entrée en vigueur du passeport obligatoire pour nos voisins américains désireux de séjourner au Canada et la restriction de visa pour les voyageurs mexicains, a permis à Montréal de tirer son épingle du jeu dans un contexte où la concurrence est extrêmement féroce entre les villes. Grâce, entre autres, au travail acharné et à l'expertise des équipes de Tourisme Montréal comme des artisans de l'industrie, la métropole a pu se démarquer des autres destinations et attirer un nombre record de visiteurs, qu'il s'agisse de séjours d'agrément ou de congrès, et je tiens à dire merci à tous ceux et celles qui ont contribué à ce succès », de conclure Charles Lapointe. Un des défis pour les prochaines années sera de continuer à combler les quelque 5 000 chambres d'hôtel ajoutées depuis une décennie, principalement dans le créneau de qualité supérieure. Le parc immobilier du Grand Montréal compte aujourd'hui plus de 31 000 chambres. Ces récents investissements majeurs montrent que Montréal se démarque avec une offre qui se renouvelle, ce qui entraîne des répercussions positives sur l'expérience touristique des visiteurs internationaux. Une vision et une stratégie proactives pour conserver l'élan La stratégie de développement et de commercialisation de la destination, amorcée l'an dernier, se poursuit afin de conserver les acquis de Montréal sur la scène mondiale avec notamment la mise sur pied, dans les prochains jours, d'une démarche stratégique proactive. Tourisme Montréal a remis le mandat entre les mains de l'un des conseillers en stratégie les plus respectés de Montréal, M. Marcel Côté, associé-fondateur du groupe Secor. Dès la semaine prochaine, un sondage sera réalisé auprès des membres de l'organisation et une consultation effectuée auprès de leaders de l'industrie touristique montréalaise et québécoise. Cette nouvelle démarche permettra de trouver des avenues novatrices pour Tourisme Montréal en marketing, en vente et en développement de produits. Elle s'inscrit aussi dans la mission de l'organisation d'assumer le leadership de l'effort concerté de promotion, d'accueil et de positionnement de la destination auprès des marchés de voyages d'affaires et d'agrément. Montréal reçoit annuellement quelque 7,5 millions de touristes, tous séjours confondus, dont les dépenses touristiques représentent 2,5 milliards de dollars. Bilan saison touristique 2010 à Montréal : http://www.octgm.com/pdf/bilan-touristique-ete-2010.pdf http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1157&lang=fr
  3. Un petit projet en construction au coin de Saint-Hubert et Gounod que je remarque depuis quelques temps. Je passe relativement souvent dans le secteur. Le projet est déjà entamé. Le trou a été creusé et les fondations sont bien avancées (j'imagine).
  4. Montréal L'industrie de l'hôtellerie ressuscite Agence QMI Stéphane Fortier 07/06/2010 18h59 MONTRÉAL - Le retour du Grand prix de Formule 1 engendre un effet bœuf sur l’industrie de l’hôtellerie à Montréal, et les établissements affichent un taux d’occupation de 90% à quelques jours de la course. Tentant de pallier les pertes enregistrées à pareille date l’année dernière, les hôteliers profitent en effet de la manne et gonflent le prix des chambres. «Les coûts varient selon l’hôtel», indique Bill Brown, vice-président exécutif de l’Association des Hôtels du Grand Montréal. Par exemple, le Best Western Europa au centre-ville, demande entre 300 $ et 375 $ durant la fin de semaine du Grand Prix. Normalement, on peut y bénéficier d’une chambre pour un prix allant de 109 $ à 180 $. Au Days Inn, on demande en moyenne 417 $ par jour pour une chambre durant la semaine du 9 au 13 juin. Dans une période plus creuse, la même chambre coûte 120 $. «Il reste encore des chambres, mais surtout en périphérie de Montréal. Il y a des disponibilités encore au centre-ville, mais il faut faire vite», constate M. Brown. Rebond Le levier économique engendré par le grand cirque de Bernie Ecclestone s’est fait sentir dès le mois de mai 2010 puisque les hôtels du Grand Montréal ont enregistré 10% de demandes de réservation de chambres de plus qu’à pareille date l’an dernier. «Pour augmenter le taux d’occupation de nos hôtels, il n’y a rien qui s’approche du Grand prix de Formule 1. Ce sont les journées les plus importantes de l’année. C’est un véritable catalyseur pour nos membres», fait remarquer M. Brown. «Ceux qui réservent des chambres viennent de partout dans le monde. La plupart viennent profiter de toute la frénésie de la fête. D’autres n’assistent qu’aux qualifications et d’autres à la course en tant que telle», poursuit M. Brown. En juin 2009, le taux d’occupation enregistré montrait une nette baisse, période où habituellement Montréal reçoit le Grand prix de Formule 1. L’hôtel Delta, en plein cœur du centre-ville de Montréal, notait un taux d’occupation en baisse de 10 % par rapport à 2008. Et les autres hôtels présentaient des baisses similaires allant de 8 % à 11 %. «L’absence du Grand prix de Formule 1 s’est cruellement fait sentir chez nos membres», confirme M. Brown. En termes de retombées, un événement comme le Grand Prix du Canada rapporte entre 75 et 100 millions $. On estime que 20 % de ce montant, environ 15 millions $, est consacré à l’hébergement.
  5. (Montréal) Un nouvel hôtel Marriott a été inauguré hier à l'aéroport Trudeau. Deux jours plus tôt, le Sheraton Montréal faisait visiter ses toutes nouvelles chambres rafraîchies au coût de 24 millions de dollars. En juin, c'est un Westin qui a poussé rue Saint-Antoine. Un regain de vie dans le milieu hôtelier montréalais? Non. Malgré ces quelques annonces, l'ambiance demeure morose dans le secteur, alors que plusieurs projets sont encore sur la glace à cause de la crise. «Le Marriott et le Westin, ce sont de vieux projets. Ça prend deux ou trois ans pour bâtir ce genre de dossiers, donc ça n'a pas rapport avec la situation actuelle de l'industrie. C'est la même chose avec la rénovation du Sheraton», dit Gilles Larivière, président de Horwath Horizon Consultants, firme qui conseille les entreprises hôtelières. Un seul nouveau projet William Brown, vice-président à la direction de l'Association des hôtels du Grand Montréal, ne recense qu'un projet majeur en voie de se réaliser prochainement: la construction du Saint-Martin Hôtel et Suites à l'emplacement de l'ancien restaurant Ben's, à l'intersection du boulevard De Maisonneuve et de la rue Metcalfe. «À part de ça, je ne suis pas au courant d'autres grands projets hôteliers à Montréal. Il y a eu quelques annonces au cours des dernières années ou des derniers mois, mais jusqu'à maintenant, aucun travail n'a commencé», dit M. Brown. La liste des projets retardés inclut le Waldorf Astoria, à l'angle des rues Sherbrooke et Guy, et le Marriott de la rue Cathcart, près de la Place Ville-Marie. Le 10 septembre, La Presse a aussi révélé que la transformation de la gare Viger en hôtel de luxe était sur la glace à cause de la crise économique. C'est sans compter la rénovation du Ritz-Carlton, fermé depuis la fin de 2007 pour faire place à 130 nouvelles chambres et 40 résidences de luxe. Une trentaine d'employés s'activent actuellement sur le chantier, affirme Nicole Delorme, porte-parole du Ritz-Carlton, qui refuse toutefois d'avancer une date pour la fin des travaux. «Soyons honnêtes, la crise économique a eu un effet partout sur la planète, et elle a eu un effet sur plusieurs promoteurs immobiliers à Montréal, a-t-elle indiqué. On a dû ralentir la cadence, mais les travaux n'ont jamais cessé.» Mme Delorme explique que le «rythme auquel on pourra investir dans les travaux» dépendra de la «démonstration l'intérêt de la part des acheteurs». Elle refuse de dévoiler combien de condos ont été vendus. Projets en attente M. Brown, de l'Association des hôtels du Grand Montréal, recense d'autres annonces de condos-hôtels à Montréal, mais attend de voir les bulldozers creuser le sol avant de croire à une reprise. «Quelques projets ont été annoncés dans des grandes conférences de presse, mais il n'y a aucune évidence d'un début de construction. Avant que les travaux commencent, je crois qu'on parle de projets et non de réalités», dit-il. Si le marché immobilier s'est maintenu à Montréal pendant qu'il décrochait un peu partout en Amérique du Nord, la métropole québécoise a évidemment souffert du fait que les touristes et les hommes d'affaires, en particulier américains, ont moins voyagé. Ajoutez à cela un dollar canadien fort et une météo morose et vous avez la recette pour des chiffres décevants. Pour les huit premiers mois de l'année, le taux d'occupation des hôtels montréalais a atteint 60,4%, comparativement à 65,4% l'an dernier. Le mois de juin, plombé par l'absence du Grand Prix, a particulièrement écopé: le taux d'occupation s'est élevé à seulement 66,5%, comparativement à 72% l'an dernier. Au Centre Sheraton de Montréal, on se félicite d'avoir profité de cette période creuse pour retaper les chambres. L'hôtel a obtenu 24 millions du groupe Starwood auquel il est associé pour effectuer ses rénovations. «Le timing est parfait. On voit poindre une reprise, et on est prêts», dit Michel G. Giguère, directeur général du Centre Sheraton Montréal. Quant au complexe hôtelier dévoilé hier à l'aéroport Trudeau, il s'agit d'un hôtel de 279 chambres et de bureaux qui abriteront le siège social d'Aéroports de Montréal. La firme Axor a construit les bâtiments et en demeurera propriétaire, tandis que Marriott fera la gestion de l'hôtel. «Je ne crois pas qu'on soit trop affecté par la récession», dit Yvan Dupont, président d'Axor, qui explique qu'en plus des voyageurs, l'hôtel bénéficiera des entreprises de l'Ouest-de-l'Île qui utiliseront ses installations pour leurs congrès et leurs conférences. «L'hôtel est ouvert depuis le 18 août et ça va très bien», continue M.Dupont, qui mise sur une reprise de l'hôtellerie au début de 2010.
  6. Le rideau se lève sur les perspectives économiques de la Fédération des chambres de commerce du Québec. La FCCQ se montre optimiste, pourvu que le gouvernement Charest mise sur les grands projets. Pour en lire plus...
  7. Le taux d'inoccupation des logements a baissé 11 décembre 2008 - 12h02 Presse Canadienne Le taux de logements inoccupés a diminué cette année au Canada, au Québec et à Montréal. La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) fait cette constatation, jeudi, dans son enquête annuelle sur les logements locatifs, qui porte sur les 34 principaux centres urbains au Canada. Le taux d'inoccupation des appartements locatifs est ainsi passé de 2,6 à 2,2% entre octobre 2007 et octobre 2008 au Canada Au Québec, ce taux d'inoccupation est passé de 2,6 à 2,2%. À Montréal, il est passé de 2,9 à 2,4%. À Québec, où la situation était déjà difficile, le taux d'inoccupation des appartements locatifs a encore chuté, passant de 1,2 en octobre 2007 à 0,6% en octobre 2008. La SCHL attribue cette baisse du taux d'inoccupation des logements à trois facteurs principalement: la croissance de l'emploi chez les jeunes, un niveau élevé de la migration et l'écart entre le coût de location d'un logement et le coût de l'achat d'une propriété. Pour ce qui est du loyer moyen pour un appartement de deux chambres, il a grimpé de 647 $ à 659 $ entre octobre 2007 et 2008 à Montréal. À Québec, il est passé de 641 $ à 653 $. On constate toujours d'énormes disparités au pays. Les loyers mensuels pour un appartement de deux chambres est de 1148 $ à Calgary, 1124 $ à Vancouver, 1095 $ à Toronto, 1034 $ à Edmonton et 995 $ à Ottawa. Tout à l'opposé, dans les centres urbains étudiés par la SCHL, c'est au Québec que l'on retrouve les loyers les moins chers pour cet appartement type de deux chambres, soit 505 $ à Trois-Rivières, 518 $ à Saguenay, 543 $ à Sherbrooke.
  8. Les municipalités accueillent favorablement les investissements dans les infrastructures, les chambres de commerce sont inquiètes, tandis que les organisations syndicales sont déçues. Pour en lire plus...
  9. Selon un sondage commandé par la Fédération des chambres de commerce du Québec, 84% des entreprises ont ou prévoient un problème de main-d'oeuvre. Certaines craignent même pour leur survie. Pour en lire plus...
  10. La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) a dénoncé, dimanche, le fait que les problèmes de pénurie de main-d'oeuvre touchent 84 pour cent des entreprises de la province, selon un sondage commandé par l'organisation et rendu public dimanche. Pour en lire plus...
  11. De : http://www.uer.ca "Esquisses de 1928, reprises en 1944. Voici ce qu'aurait l'air l'hôtel Windsor si les projets d'agrandissement avaient eu lieu. Ce projet avait pour but de porter à 1000 le nombre de chambres de cet hôtel. Ce sera plutôt l'hôtel Laurentien, un concurrent qui construira un hôtel de 1000 chambres et ce, juste en face du Windsor en 1948..."
  12. Le nombre de chambres occupées à Montréal a baissé de 4,7% de 2007 à 2008. Pour en lire plus...
  13. Il faut stopper la prolifération des gîtes illégaux André Querry, Montréal Édition du mardi 05 août 2008 Après la Ville de Québec, l'arrondissement Ville-Marie de la Ville de Montréal va déposer mardi prochain une modification à son règlement de zonage pour mieux contrôler la prolifération des gîtes touristiques sur son territoire. Des sections entières du «Village» sont sur le point d'être transformées en zone hôtelière, et des résidants doivent vivre avec des gîtes dans leur cour et sur leur balcon. Au cours des dernières années, nous avons assisté à la conversion de nombreuses «maisons de chambres» et de belles grandes résidences en hôtels, gîtes touristiques et en résidences pour touristes. La Ville de Québec a déposé, au mois de juin, une proposition pour modifier son règlement de zonage et a adopté des règles pour imposer des amendes de 1000 $ à 4000 $ dans les cas d'hébergement touristique illégal. C'est le ministère du Tourisme qui accorde les attestations de classification des différents établissements d'hébergement touristique au Québec. Or, le ministère du Tourisme ne se soucie guère des règlements de zonage des municipalités avant d'accorder ces attestations. Dans une déclaration citée dans le journal Le Soleil de Québec du 19 juin 2008, l'attaché politique du ministre Raymond Bachand affirme que le ministère pourrait tenir compte des règlements de zonage: «La modification devrait faire son apparition sur le site du ministère d'ici quelques semaines. Reste que le ministère demandera seulement une "déclaration de bonne foi". Exiger une preuve comme quoi la Ville autorise l'hébergement touristique aurait nécessité une modification de la loi. Difficile à faire à quelques jours de la fin de la session parlementaire. Mme Goya prévient toutefois que tel pourrait être le cas si Québec continue à manifester son mécontentement.» Il est assez étonnant de lire que la modification du Règlement sur les établissements d'hébergement touristique demande une modification à la loi et encore plus de lire le manque de temps pour agir. Les citoyens de l'arrondissement du Vieux-Québec font cette demande depuis plusieurs années. Le Règlement sur les établissements d'hébergement touristique peut être modifié par décret du gouvernement. La question du respect du zonage n'est pas nouvelle: dans le décret qui a mis en vigueur le règlement de la Loi sur les établissements touristique -- décret 747-91 adopté le 29 mai 1991 --, il était clairement écrit qu'un établissement touristique devait fournir la preuve du respect du zonage de la municipalité. Malheureusement, dans le dossier de l'hébergement touristique, le passé démontre que la bonne foi ne peut être suffisante. Le ministère du Tourisme doit exiger une attestation des municipalités avant de délivrer une autorisation d'exploiter un établissement d'hébergement touristique. Arrondissement Ville-Marie L'arrondissement ne peut se contenter de modifier uniquement la définition d'un gîte touristique, il doit regarder l'ensemble de la législation sur l'hébergement touristique de son règlement de zonage et de la Loi sur les établissements d'hébergement touristique. L'arrondissement Ville-Marie représente la plus grande concentration d'hébergement touristique du Québec. Les hôtels de l'arrondissement représentent plus de 18 % des chambres du Québec et près de 61 % de l'île de Montréal. Les chambres des 34 résidences touristiques représentent près de 16 % de l'ensemble des chambres de cette catégorie au Québec. Il est important de souligner que pendant plus de 100 ans il était interdit de louer des chambres aux touristes dans les résidences privées de Montréal. Le 24 décembre 1870, le gouvernement du Québec a modifié la Loi relative aux licences pour inclure de nouvelles dispositions pour les aubergistes et hôtels et les maisons d'entretien public. La Loi des licences permettait de fournir des services d'hébergement dans une maison privée si elle était située dans une municipalité où il n'y a ni hôtel, ni restaurant, ni maison de logement. La Loi sur l'hôtellerie sanctionnée le 10 juillet 1963 édictait aussi, dans son article 10, l'interdiction de louer des chambres aux touristes dans une maison particulière. Le même règlement était toujours existant jusqu'à l'adoption de la nouvelle Loi sur les établissements touristiques le 27 juin 1991: «Logement dans une maison particulière: Nul ne peut fournir à un voyageur, moyennant paiement, le logement ou la nourriture dans une maison particulière, sauf si cette maison est située dans une municipalité où il n'y a ni établissement hôtelier, ni restaurant, ou si, dans les établissements hôteliers ou les restaurants de la municipalité, il n'y a pas l'espace et l'aménagement suffisants pour recevoir tous les voyageurs.» Avec plus de 13 500 chambres d'hôtel dans l'arrondissement, il est difficile de dire qu'il manque de chambres pour accueillir tous les touristes. Selon les statistiques du ministère du Tourisme, le taux d'occupation moyen des chambres d'hôtel de l'île de Montréal est de 65 %, ce qui laisse quotidiennement plus de 7000 chambres vides. Le nombre de chambres d'hôtel disponibles à Montréal est passé en dix ans de 18 400 à 21 400, soit une augmentation de 3000 chambres -- 16 % d'augmentation. Le nombre de chambres vides est passé d'une moyenne de 5730 à 7280 soit une augmentation de 1550 par jour. Bref, le nombre de chambres vides augmente plus vite avec l'augmentation du nombre de nouvelles chambres. Actuellement, le règlement de zonage considère que les gîtes touristiques font partie de la famille habitation. Pourtant un jugement de la Régie du logement qui a permis la reprise d'un logement de la rue Dufresne, au mois de mars 2008, pour le transformer en gîte touristique, précisait que c'était un changement de destination du logement. Le ministère du Tourisme fait la promotion des gîtes et des résidences touristiques reconnus sur son site Web et par la parution d'une brochure: Hébergement - accommodation In 2008. Le guide officiel de Tourisme Montréal publie les coordonnées des gîtes et des résidences touristiques de la ville de Montréal. L'arrondissement Ville-Marie fait aussi de la publicité pour les gîtes touristiques sur les colonnes Morris de l'arrondissement. L'arrondissement permet-il à tous les propriétaires de l'arrondissement d'annoncer leurs logements à louer sur ces colonnes? Comment peut-on définir cette activité commerciale, qui a droit à toute cette publicité institutionnelle, dans la famille habitation? Des jugements de la Cour supérieure du Québec confirment que l'exploitation d'un gîte ou d'une résidence touristique dans un logement ne fait pas partie de la famille habitation. La modification au Règlement de zonage doit aussi tenir compte des articles qui limitent les activités commerciales dans les résidences et protéger le parc locatif de l'arrondissement. Elle doit aussi assurer la quiétude des résidants de l'arrondissement.
  14. En construction proche d'Henri Bourassa et Deguire. 3 Tours de 8 étages chacunes. http://www.toursdeguire.com Pour que le bien-être soit au rendez-vous, Développement Scalia et fils adapte, à votre demande, les plans de votre demeure pour un condo à votre mesure. Que ce soit un spacieux 3 ½ 4 ½ ou 5 ½ vous pourrez avec l’entreprise déterminer la dimension et la disposition des pièces afin qu’elles reflètent vos besoins et vos goûts. La qualité Structure en béton - insonorisation supérieure 2 Ascenseurs Plafonds de 8 pieds Surveillance par caméra 1, 2 ou 3 chambres à coucher Les services Piscine intérieure Spa Sauna Salle d’exercices Salle communautaire Stationnement intérieur Aires de stationnement pour visiteurs Le souci du détail Finition de style colonial Revêtement de plancher : lattes de bois en merisier, tuiles de céramique (vestibule, cuisine, coin-repas, salle de bain et salle de lavage)
  15. Hôtel ALT Architectes: Lemay Michaud Fin de la construction:2007 Utilisation: Hôtel Emplacement: Quartier DIX30, Brossard ? mètres - 14 étages Description: - Le projet est coutera 21 millions de dollars et les chambres couteront 129 dollars.
  16. Yvon Laprade Le Journal de Montréal Plus d’un millier de chambres vont s’ajouter au «parc hôtelier» montréalais d’ici à 2009, prévoit le président de l’Association des hôtels du Grand Montréal, Bill Brown. «Il y a plusieurs chantiers en cours et d’autres qui vont se mettre en branle», a-t-il confié hier au Journal de Montréal. Il y a une semaine, l’Embassy Suites a ouvert ses portes dans le Vieux-Montréal. Un hôtel de la chaîne Westin sera inauguré en 2008-2009 dans l’ancien édifice du quotidien The Gazette. Le Crystal de la Montagne (hôtel-condos), sur 11 étages, doit accueillir ses nouveaux clients le printemps prochain. Le Hilton Garden Inn, près de l’avenue du Parc, prendra les premières réservations à la fin de 2008. Un hôtel de la chaîne Marriott s’élèvera du sol, également à la fin de 2008, à proximité de l’aéroport Montréal-Trudeau, à Dorval. Au rond-point Dorval, l’hôtel Fairfield Suites affichera sa bannière en janvier prochain près du Best Western. «Il y a aussi le projet de conversion en hôtel et condos de l’ex-hôtel Viger qui fera l’objet d’audiences publiques», souligne Bill Brown. Actuellement, l’Association regroupe 71 membres qui sont propriétaires des plus grands hôtels (de plus de 90 chambres) et qui totalisent 16 612 chambres. Les hôtels génèrent des revenus annuels de 320 M$. Le taux d’occupation moyen annuel est de 67,7 %.
  17. La Caisse et Desjardins achètent des hôtels américains 21 septembre 2007 - 11h25 LaPresseAffaires.com Un groupe dont font partie la Caisse de dépôt et placement et le Régime de rentes du Mouvement Desjardins met la main sur la chaîne hôtelière américaine Red Roof, qui compte 341 hôtels, révèle le journal Les Affaires. var nsteinWords;nsteinWords = unescape('');Ces établissements sont concentrés dans l'est et le Midwest des États-Unis. Ils abritent près de 37 000 chambres au total. Le consortium paie 1,35 G$ canadiens au vendeur, le géant français Accor, qui est en train de changer de stratégie d'affaires. Le groupe d'acheteurs comprend notamment Global Special Situations Group, Westbridge Hospitality Fund et la caisse de retraite Cadim, filiale de la Caisse de dépôt et du régime des rentes de Desjardins.
  18. 29/05/2007 Le Réseau d'aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) demande à la Ville de Montréal et au gouvernement provincial de mettre un frein à la conversion de maisons de chambres privées en condos et en hôtels.Selon le recensement de la Ville de Montréal pour l'année 2006, c'est quelques 180 maisons de chambres privées, abritant environ 3 000 unités, qui existeraient toujours dans la métropole. Le RAPSIM demande la sauvegarde de ces habitations, qu'il aimerait voir transformées en logements sociaux. Plus de 45 % des unités de maisons de chambres privées se retrouvent dans les arrondissements de Ville-Marie et du Plateau Mont-Royal. Des quartiers fort prisés par les promoteurs immobiliers. Le RAPSIM demande ainsi à Montréal de catégoriser les maisons de chambres de manière à ce que leur éventuelle conversion soit plus difficile à autoriser. Une sorte de moratoire qui empêcherait leur vente rapide à des promoteurs immobiliers, à l'instar de celui existant au chapitre des condominiums. Le RAPSIM réclame également plus d'argent de Québec afin de rencontrer les coûts réels rattachés à l'achat et à la rénovation des maisons de chambres privées. C'est environ 15 000 $ par unité que l'organisme réclame, des coûts qui s'ajoutent à ceux déjà consentis en ce sens.
  19. La Fédération des chambres de commerce du Québec demande la création d'une agence indépendante pour jeter un regard purement économique lors de l'élaboration de grands projets. La Fédération fait valoir que les questions environnementales sont scrutées à la loupe par le Bureau d'audiences publiques en environnement, comme ce fut le cas pour le projet de centrale thermique du Suroît. Elle ajoute que la Direction de la santé publique a joué un rôle similaire pour évaluer l'impact sociosanitaire du projet de casino au bassin Peel. Cependant, la Fédération croit qu'il faut aussi une agence pour réaliser le même travail indépendant d'analyse économique d'un grand projet, rapporte a Presse Canadienne. L'organisme jongle avec cette idée depuis septembre et l'a présentée mardi, sous le vocable d'Agence d'analyse économique. Cette agence relèverait de l'Assemblée nationale et conseillerait le ministère du Développement économique. La Fédération évalue son budget annuel entre 1,5 et 3M$.
×
×
  • Créer...