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  1. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/francois-cardinal/201407/07/01-4781621-montreal-lanti-bilbao.php Montréal, l'anti-Bilbao Agrandir Trait d'union original entre le marché Jean-Talon et le boulevard Saint-Laurent dans la Petite Italie, la place Shamrock a été inaugurée samedi. PHOTO SARAH MONGEAU-BIRKETT, LA PRESSE =author%3AFran%C3%A7ois+Cardinal&sort=recent"]FRANÇOIS CARDINAL La Presse On aurait dû profiter du remplacement du pont Champlain pour doter Montréal d'une oeuvre architecturale spectaculaire qui aurait fait «boum» et attiré les foules du monde entier... C'est le commentaire qui s'est retrouvé le plus souvent dans ma boîte de courriels, ces derniers jours, avec une foule d'images de ponts à couper le souffle conçus par des starchitectes comme Santiago Calatrava et Norman Foster. Plusieurs évoquent le Viaduc de Millau, parfois l'impressionnant pont à haubans Trinity River Bridge, puis citent l'exemple de Bilbao, cette ville espagnole peu connue et peu visitée, qui est devenue un épicentre touristique grâce à la construction d'un musée hors de l'ordinaire, signé Frank Gehry. Pourquoi pas Montréal? Parce qu'on ne copie pas ce qui se fait ailleurs pour se distinguer, d'abord. Parce que Montréal n'est pas Bilbao, ensuite. En fait, j'oserais même dire que Montréal est l'anti-Bilbao par excellence. Je comprends l'attrait pour les grandes vedettes de l'architecture. Je ne cracherais pas sur une oeuvre signée Renzo Piano, Zaha Hadid ou Rem Koolhaas, si tant est qu'une seule de ces vedettes se présentât ici. Mais c'est loin d'être une nécessité pour Montréal, dont la marque de commerce est tout sauf éclatante, tapageuse, spectaculaire. La métropole québécoise ne possède pas de grands boulevards haussmanniens, mais de jolies rues vibrantes comme Mont-Royal, de la Commune et de la Gauchetière dans le Quartier chinois. Elle n'a pas de belles artères comme l'Embarcadero de San Francisco ou les Ramblas de Barcelone, mais des avenues aux portions électrisantes, comme Saint-Denis, Saint-Laurent et Sainte-Catherine. Elle n'a pas un musée Guggenheim qui fait la une des revues d'architecture, mais elle compte bon nombre de musées d'envergure et de festivals qui font sa renommée pour leur vigueur. Ne nous faisons pas des «à-croire», Montréal n'est pas une vibrante mégalopole qui attire les stars de la planète, ce n'est pas le haut lieu de la finance du continent, ce n'est pas une ville riche qui attire le gratin mondial ou son portefeuille, et donc il est normal que ce ne soit pas le lieu des constructions les plus audacieuses. Pourquoi, de toute façon, Montréal irait-il se battre sur ce terrain en se sachant entouré de plus prospères comme Toronto et Calgary, qui attirent justement les Foster, Gehry, Calatrava? Oui, on retrouve ici quelques oeuvres architecturales impressionnantes, comme Habitat 67 et le Stade olympique, mais ces emblèmes font partie du passé. Comme le statut de métropole du pays fait partie du passé. La force de Montréal, aujourd'hui, n'est pas dans le grandiose, mais dans ses plus petites et plus simples composantes: la qualité de vie, l'hétérogénéité de ses quartiers, le dynamisme de ses artères commerciales, le soin apporté au design de ses commerces, la place faite aux vélos, la qualité de sa bouffe bon marché, la vitalité de ses marchés publics, le vivre ensemble, l'impressionnante créativité de ses résidants, la vigueur de sa scène culturelle, l'énergie de ses festivals, etc. Autant de choses que l'on voit certes dans d'autres villes, mais qui atteignent à Montréal un niveau de concentration impressionnant pour une ville de cette taille. On l'a vu ce week-end encore, avec l'inauguration samedi de la place Shamrock dans la Petite Italie, un trait d'union original entre le marché Jean-Talon et le boulevard Saint-Laurent inspiré par l'urbaniste danois Jan Gehl. L'exécution n'est peut-être pas à la hauteur des ambitions, mais l'intention d'animer l'espace public y est avec ce carrousel à vélos gratuit. Voilà qui fait très «Montréal», comme ces murales qui ont vu le jour sur la «Main» ces dernières semaines, les sculptures de Mosaïcultures que l'on recycle aux quatre coins du centre-ville depuis une semaine, les camions de bouffe bariolés, la place des Festivals et ses terrasses, les Piknic Electronik, les pianos publics du Plateau, etc. Il est d'ailleurs intéressant de noter qu'après avoir passé deux mois ici pour capter l'essence de Montréal, l'équipe du magazine allemand Flaneur n'a pas retenu le caractère «bling-bling» d'une grande artère commerciale dans sa dernière édition, dévoilée vendredi dernier, mais bien la beauté de la rue Bernard, l'intérêt de ses commerces et commerçants, la singularité de ses ruelles que David Homel qualifie d'«allées sournoises». Il n'y a absolument rien de misérabiliste à le souligner et le reconnaître, bien au contraire: la force de Montréal est d'être une ville à échelle humaine qui ne se prend pas pour une autre, simple, belle et réservée à la fois, une ville qui se découvre dans ses menus détails plus que dans ses artifices, une ville qu'il faut regarder sous toutes ses coutures pour en cerner les mérites et qualités. Comme le futur pont Champlain signé Poul Ove Jensen...
  2. Quelqu'un peux me dire s'il reconnait ces buildings ? Ils peuvent être vu à 2:36 de ce film sur youtube et le 2e autour de 2:46 dans le même film.
  3. Ces photos date du Samedi 17 avril 1988. Cette journée devait être une date fatidique pour ces deux tours jumelles qui ont "décorés" le ciel de Montréal pendant plusieurs années. Le 17 avril, une seule tomba, l'autre suivi son destin deux semaines plus tard soit le 2 mai suivant. ....et j'y était (avec la petite caméra Minolta de mon père) ...... Quelques minutes avant le dinamitage de la première tour (Celle avec le lettrage "MIRON"). L'évènement avait attiré beaucoup de monde ainsi que plusieurs média. Ces deux-là avaient un point de vue de premier plan....au risque de ce blesser !! Le décompte est commencé.... Et BOUM, un peu de boucanne et ç'a commence a fléchir....et elle tombe.... Il n'en reste qu'une seule. Le décompte est maintenant commencé pour elle aussi. BOUM....un peu de boucanne mais elle ne veut pas tomber !! Les artificiers en viendront a bout deux semaines plus tard, le 2 mai 1988.
  4. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201406/11/01-4774945-des-maquettes-3d-de-la-ville-disponibles-au-grand-public.php
  5. <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;">http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/406038/batir-des-tours-porteuses-de-sens Bâtir des tours porteuses de sens </header>19 avril 2014 | Frédérique Doyon | Actualités en société <figure class="photo_portrait left" style="box-sizing: border-box; margin: 0px 10px 0px 0px; float: left; width: 224px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : ArwcheekLa tour Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar</figcaption></figure><section class="retenir retenir_portrait" style="box-sizing: border-box; width: 386px; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; line-height: 1.2em; background-color: rgb(239, 239, 242); padding: 15px; color: rgb(28, 30, 124); float: left; margin-bottom: 10px;">«Montréal n'a pas besoin d'être dans cette course à la Dubaï. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d'un côté et pas assez dans le reste du territoire.» — Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture</section> Les édifices emblématiques de Montréal datent des années 1960. Le petit boom changera-t-il la donne ? Qu’est-ce qu’un bon design architectural pour ces hautes structures ? Avec son centre-ville entre fleuve et mont Royal, Montréal n’a pas développé une culture du gratte-ciel. Le mot même est un abus de langage… Et la qualité relative des édifices en hauteur, depuis le boom des années 1960, en témoigne. «Beaucoup de tours sont insignifiantes à Montréal, elles ne sont pas porteuses de sens, souligne Clément Demers, le directeur général du Quartier international de Montréal. Pour avoir une tour de qualité, ça prend un promoteur visionnaire qui croit à la valeur culturelle de l’architecture, pas juste à la valeur financière. Ça prend aussi un marché prêt à l’absorber.» Comme à Toronto, dont la banlieue de Mississauga a retenu l’attention quand les tours de la firme chinoise MAD, surnommées « Marilyn Monroe » pour leurs formes sensuelles, ont remporté le prix Emporis Skyscraper 2013. «L’engouement suscité par le projet [issu d’un concours auquel les promoteurs étaient d’abord réfractaires] a décuplé les investissements», rapporte Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture. Selon Clément Demers, les bâtiments en chantier qui se multiplient à Montréal depuis quelques années, et encore d’ici 2020, majoritairement des condos, n’y ajouteront pas beaucoup de personnalité. Ceux qui se démarquent du skyline — la silhouette caractéristique de la ville telle qu’elle se découpe dans le ciel — sont encore et toujours la fameuse Place Ville-Marie de I.M. Pei (1962), la tour de la Bourse de Luigi Moretti (1963), le Westmount Square de Ludwig Mies van der Rohe (1967). Il ajoute le 1250, René-Lévesque (1992) de Kohn Pedersen Fox and Associates. Rien dans le radar des 20 dernières années, où débute la course aux tours à condos ? Jean-Pierre Chupin signale le bel effort récent du Louis Bohème en face du Devoir, signé Menkes Shooner Dagenais LeTourneux (MSDL) en 2010, pour le souci des matériaux et ses 27 étages qui donnent de l’ampleur à la ville sans lui imposer une masse côté place des Festivals. Car «la principale qualité des édifices en hauteur est leur participation à la construction de la ville, affirme M. Chupin. Est-ce qu’ils la régénèrent ou arrivent comme une brutalité dans la ville?» Il dégage deux autres aspects à considérer pour un design architectural réussi. «La tête d’une tour, c’est sa participation au skyline. C’est ce qu’on remarque en premier. Est-ce que ce sera une forme ou une enseigne?» Au risque parfois de briser le «skyline»plutôt que de l’enrichir… Plus important encore, il y a «le rapport à la rue qu’il ne faut jamais négliger». Effet carte postale Pendant que l’on compte nos (petits) gratte-ciel significatifs sur les doigts d’une main, le reste du monde en abonde. Car la course au plus haut, au plus flamboyant se poursuit, avec un souffle nouveau depuis le chantier du (One) World Trade Center, dans l’après-11- Septembre. Pour le meilleur et pour le pire. «À Dubaï, souvent, ils font les plans avant même de savoir ce qu’ils vont mettre dedans. L’image a beaucoup d’importance. Est-ce qu’on veut un effet carte postale ou une ambiance, une ville habitée?» En explosion dans ces régions émergentes, le gratte-ciel témoigne d’un pouvoir d’affirmation face au monde. Difficile de passer sous silence l’élégant Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar, cylindrique avec sa tête en dôme, qui conjugue lignes contemporaines et motifs d’architecture islamique. Les courbes, injectées dans l’imaginaire architectural par des Antoni Gaudí, Oscar Niemeyer et Frank Gehry, rendues techniquement possibles grâce à l’évolution de l’ingénierie et des outils informatiques, se répandent dans le paysage urbain mondial. «On est dans des tentatives récentes pour revoir la forme», dit M. Chupin en citant le projet montréalais Peterson et ses balcons ondoyants à venir. À l’angle de René-Lévesque et Bleury vient de sortir de terre l’hôtel Marriott Courtyard, avec une courbure qui sert de parfait contre-exemple, selon le professeur de l’École d’architecture de l’Université de Montréal. «Sa forme semi-bombée n’apporte rien à la qualité de l’espace urbain.» «Ce n’est pas parce que les outils le permettent que c’est la solution à appliquer partout», note Anik Shooner, de la firme MSDL, qui insiste sur l’importance d’éviter les modes en architecture et d’analyser les volumes et formes de la ville pour dessiner un édifice. MSDL planche sur deux autres édifices à pleine hauteur, le YUL et le 900, De Maisonneuve. Expérimentation «Montréal n’a pas besoin d’être dans cette course à la Dubaï,clame M. Chupin. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d’un côté et pas assez dans le reste du territoire.» Tant qu’à chercher matière à inspiration, c’est du côté des concours d’idées architecturales eVolo qu’il suggère de regarder. Le premier prix est revenu à l’Américain Jong Ju-lee pour Vernacular Versatility qui reprend, en la transformant, la tradition architecturale coréenne du hanok, aux structures apparentes et aux bordures de toit recourbées. Le troisième prix remporté par les Sino-Canadiens YuHao Liu et Rui Wu explore l’usage structurel du CO2 dans les gratte-ciel. Un champ de recherche qu’il juge sous- exploité à Montréal, malgré les étiquettes LEED qui se multiplient. «Une tour devrait être un lieu d’expérimentation et d’apothéose, dit M. Chupin rappelant la longue vie de ces mégastructures. Là, alors, on mériterait de parler d’un Montréal du futur.»
  6. http://www.lapresse.ca/le-quotidien/actualites/201406/03/01-4772382-projet-de-10-m-a-alma.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-le-quotidien_section_ECRAN1POS1 Publié le 03 juin 2014 à 09h29 | Mis à jour le 03 juin 2014 à 09h29 Complexe récréotouristique Projet de 10 M $ à Alma Agrandir PHOTO INTERNET =author%3ALaura+L%C3%A9vesque&sort=recent"]LAURA LÉVESQUE (Alma) Un projet récréotouristique majeur se mijote sur l'ancien site des Collines du Terroir, à Alma. Produits Boréal et la femme d'affaires Dominique Tremblay, connue pour avoir fondée la Forfaiterie, souhaitent mettre en place un complexe quatre saisons sur les terrains situés en bordure du lac Saint-Jean, à Saint-Coeur-de-Marie, au même endroit où devait se concrétiser le défunt projet Mistouk sur le lac. En plus d'aménager de l'hébergement et offrir des activités touristiques, la construction d'une piscine et une plage intérieures fait partie des plans. Un dôme géant recouvrirait cet attrait ouvert au public autant l'hiver que l'été et dont la superficie atteindra 40 000 pieds carrés. Les coûts entourant la construction du complexe oscilleraient entre 6 à 10 millions$. «Il y aurait une plage, un restaurant, des jeux d'eau, même un endroit pour faire du wake board», exclame d'emblée Mme Tremblay, visiblement enthousiaste à cette idée. «Et sur les murs, ce sont des projections d'images, dont des paysages. La capacité serait d'environ 900 personnes. Les gens pourront aller en motoneige le matin et revenir s'étendre sur la plage en après-midi», ajoute-t-elle. Hébergement Les promoteurs ne manquent pas non plus d'originalité en matière d'hébergement. Produits Boréal d'Alma construirait une quarantaine de chambres sous trois formules différentes, dont des troglodytes, ces petites maisons qu'a popularisé le Seigneur des Anneaux. «On a le relief parfait pour aménager ce type d'hébergement sur le site. On prévoit en faire quatre. Au bout de la pointe, il y aura des maisons dans les arbres. Et plus près de l'entrée du site, nous voulons aménager des chalets», précise Patrick Girard, copropriétaire de Produits Boréal, rappelant que ces habitations seront construites en usine avant d'être installées sur le site. En ce qui concerne l'énergie utilisée pour faire chauffer la piscine et la plage intérieures, les promoteurs envisagent l'achat d'une chaudière à biomasse qui brulerait notamment les résidus de l'usine de Produits Boréal. Vendre le lac ensemble Si tout se déroule comme l'espèrent les deux entrepreneurs, le complexe récréotouristique pourrait ouvrir ses portes en juin 2015. Ces derniers se montrent également ouverts à construire de l'hébergement sur un autre site autour du lac Saint-Jean. Mais plusieurs partenariats avec des sites touristiques, des hôteliers et des aubergistes sont souhaités. «C'est le lac Saint-Jean qu'on veut vendre. On a déjà des ententes avec Chalets et spa Chambord, l'Hermitage Saint-Antoine pour offrir plus d'hébergement. Parce que si on vend juste un site, ça ne fonctionnera pas. On veut inviter les touristes à vivre le lac Saint-Jean, pas seulement Alma», insiste M. Girard. Dominique Tremblay songeait quant à elle depuis longtemps à créer un projet dans sa région natale où elle possède un chalet. «Le Lac-Saint-Jean est l'une des régions les plus en demande par les touristes, mais elle est encore l'une des moins vendues. J'ai demandé personnellement aux dirigeants d'entreprises qui montent les forfaits du Québec pour les Européens pourquoi ils n'offraient pas le lac Saint-Jean en forfait. Et l'hébergement a toujours été un problème», constate celle qui a créé la Forfaiterie dans les années 90 et qui compte mettre son expérience au profit du développement touristique du Lac-Saint-Jean.
  7. Le MTQ projète de compléter l'élargissement du pont MGR-Langlois (en réalité quatre structures), de telle sorte que la r-201 entre l'A-20 (Coteau) et l'A-30 (future A-530) serait entièrement à quatre voies. Le tout évidemment sujet aux consultations et évaluations environnementales "habituelles". Je n'ai rien contre! Toutefois, je me sens intrigué, considérant le futur pont de l'A-30 qui rejoindra l'A-20 approximativement au km 29, soit 15 km en aval de l'échangeur A-20/r-201. Comme le premier sera à péage, et non le second, je me demande bien si une telle amélioration de la r-201 ne nuirait pas à la rentabilité du péage sur l'A-30, et partant, si des oppositions "obscures" au projet du MTQ (pour la r-201) ne surgiront pas un de ces jours. Chose certaine, pour la ville de S. de Valleyfield, une r-201 améliorée serait un gros avantage (surtout pour la liason vers Toronto); dans le cas contraire (ie. pas d'élargissement de la r-201), la future A-30, même avec son "appendice" A-530, pourrait avoir des effets mitigés (des pour et des contre) pour Valleyfield.
  8. Tres intéressant. À Concordia, en français et organisé par L'Association francophone pour le savoir (l'Acfas)! http://www.acfas.ca/evenements/congres/programme/82/600/616/c
  9. http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201404/25/01-4760915-quebec-doit-envisager-de-privatiser-la-saq-et-hydro-selon-des-experts.php Publié le 25 avril 2014 à 13h55 | Mis à jour à 13h55 Québec doit envisager de privatiser la SAQ et Hydro, selon des experts Jocelyne Richer La Presse Canadienne Québec Le gouvernement Couillard doit envisager de privatiser partiellement Hydro-Québec et la Société des alcools (SAQ) pour remettre le Québec sur le chemin de la santé financière, selon deux experts. Ces derniers, Luc Godbout et Claude Montmarquette, ont tracé vendredi un portrait extrêmement sombre de l'état des finances publiques, dans un rapport commandé par le gouvernement avant même d'être officiellement en fonctions. La situation est telle, selon eux, que seul un remède de cheval pourra éviter au gouvernement d'affronter les conséquences financières d'une décote des grandes agences de notation de crédit. La vente partielle d'actifs, comme Hydro-Québec et la SAQ, ne serait qu'une des solutions préconisées en vue de sortir l'État québécois du gouffre budgétaire. Car ils estiment que Québec doit prendre dès maintenant toute une série de moyens, qui risquent de faire plus mal les uns que les autres: gel de la masse salariale de la fonction publique, hausse (et non une simple indexation) des tarifs de garderies, imposition de tarifs à des services gouvernementaux actuellement gratuits, révision des programmes sociaux et réévaluation des subventions et crédits d'impôt aux entreprises. Seul un plan d'austérité ambitieux pourrait, selon ces deux économistes, permettre au gouvernement Couillard d'espérer atteindre la cible prévue par l'ancien gouvernement péquiste, soit un déficit de 1,75 milliard $ en 2014-2015, prélude à l'atteinte de l'équilibre budgétaire en 2015-2016. Dans la situation actuelle, si rien n'est fait, Québec se dirige vers un déficit plus important que prévu, de l'ordre de 3,7 milliards $ cette année, risquant d'autant de mécontenter les agences de notation. Les deux experts recommandent aussi une révision de la fiscalité, ce que s'est déjà engagé à faire le premier ministre Philippe Couillard. Ils recommandent de plus de privilégier une gestion des dépenses gouvernementales à plus long terme, pouvant s'étaler sur plusieurs années.
  10. http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav16698.pdf "sur l'ensemble du 9e étage d'un bâtiment projeté de 9 étages situé aux 166-174, rue Sainte-Catherine Est, l'usage résidentiel "bâtiment abritant un nombre illimité de logements", et ce, conformément à la procédure des usages conditionnels et à l'article 247 du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie (01-282) [dossier 1146347033];" (...) "La séance du conseil d'arrondissement au cours de laquelle seront étudiés ces demandes aural ieu le mercredi 7 mai 2014, à 19 h, à la salle du conseil, 800, boulevard De Maisonneuve Est, rez-de-chaussée." Donc : 9 étages, résidentiel (possiblement locatif).
  11. Une autre liste par Eater.com 25 Epic Montreal Pizzas to Eat Before You Die J'en ai essayé aucune de ces 25
  12. Je mets cet article fort intéressant dans ''Actualité'', étant donné que ce genre de nouvelle risque de plus en plus de voir le jour. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201403/16/01-4748307-transports-en-commun-88-des-quebecois-veulent-plus-dinvestissements.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Les Québécois sont quasi unanimes à penser qu'il faut investir davantage dans les transports en commun, y compris ceux qui ne les utilisent pas. Selon un sondage CROP réalisé pour le compte de l'Association du transport urbain du Québec (ATUQ) en janvier dernier, 88% des répondants, usagers ou non, ont estimé qu'il était «assez» ou «très» important de mettre plus d'argent dans ces services. L'appui au financement accru des transports collectifs croît directement avec l'usage. Ainsi, 98% des répondants qui disent les utiliser souvent, et 94% des usagers occasionnels pensent qu'on devrait les financer davantage. Dans la région métropolitaine de Montréal, où les transports collectifs sont les plus visibles, les plus utilisés et les plus accessibles, ce pourcentage atteint 90% des répondants, et ce, qu'ils soient usagers ou non du métro, des trains de banlieue ou des services de bus. L'appui aux transports collectifs est moins élevé chez ceux qui ne les utilisent jamais, mais tout de même surprenant; 80% des répondants qui ont affirmé n'être pas des usagers de ces services estiment quand même qu'il serait important d'y investir davantage, selon le sondage de l'ATUQ, qui regroupe les neuf plus grandes sociétés de transports en commun du Québec. La population de la région de Québec semble plus tiède qu'ailleurs en province, selon CROP. Son appui à des investissements supplémentaires dans les transports en commun ne dépasse pas 80% des répondants, qu'ils soient usagers ou non. Hors des régions de Montréal et de Québec, l'appui à un financement additionnel des transports collectifs atteint 87% de la population, usagers ou non confondus. Des autobus avant des routes Les opinions largement favorables à une augmentation du financement des transports en commun sont plus nuancées lorsqu'on propose aux répondants un choix de moyens pour «assurer une meilleure circulation sur les routes du Québec». Les investissements dans les transports collectifs sont alors favorisés par 48% des répondants de l'ensemble du Québec, alors que 42% privilégient plutôt la construction de nouvelles routes. Ces résultats sont intéressants dans la mesure où ils ont été exprimés en janvier, soit bien avant la publication de la Stratégie de mobilité durable du gouvernement Marois, en vertu de laquelle des budgets de plus de 900 millions prévus pour la construction routière, de 2015 à 2020, ont été transférés vers des projets de maintien des actifs dans les réseaux de transports en commun de la province. Par ailleurs, 53% des répondants affirment qu'un investissement dans les transports en commun serait de nature à améliorer leur perception à l'égard du gouvernement du Québec, «parce qu'il veut améliorer la qualité de vie de ses citoyens». À la même question, 43% des gens ont affirmé que cela ne changerait pas leur opinion du gouvernement. Un maigre 4% ont exprimé qu'ils auraient une moins bonne opinion du gouvernement du Québec s'il augmentait les sommes consacrées aux transports collectifs. Selon le sondage de l'ATUQ, réalisé par questionnaire sur l'internet à partir d'un groupe web, entre les 16 et 19 janvier derniers, un peu plus de la moitié des 1000 répondants, soit 52%, affirment qu'ils n'utilisent «jamais» les transports collectifs. Ce pourcentage augmente à 71% hors des régions de Montréal et de Québec. Dans la région de la capitale nationale, 62% des personnes sondées affirment ne pas utiliser ces services, alors que dans la région de Montréal, c'est seulement une personne sur trois (34%) qui affirme ne «jamais» utiliser les transports en commun.
  13. Voir artice dans la Prsse d'aujourdhui http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201402/27/01-4743180-annee-record-pour-montreal-international.php Avec plus des investissements étrangers totalisant 1,3 milliard, 39 projets qui ont permis la création ou le maintien de 2700 emplois, Montréal International a connu une année 2013 «exceptionnelle», se félicite sa nouvelle présidente-directrice générale, Dominique Anglade. <!-- .excerpt --> La part du lion de ces investissements, soit 83%, provient de l'Europe. On y retrouve par exemple les annonces en septembre dernier des deux multinationales françaises Ubisoft et Danone, qui totalisaient 413 millions. En point de presse cet après-midi, Mme Anglade a attribué cet intérêt des Européens à «une certaine morosité» économique sur leur continent. «Ils en profitent pour venir ici.» Les résultats de l'an dernier représentent une hausse de plus de 85% des investissements par rapport à 2012. «C'est une année d'exception : il y avait beaucoup de projets, les clients étaient pressés, explique la PDG, nommée le 13 septembre dernier à la tête de MI. On veut que ça devienne la norme.» L'organisme entend prêter une attention particulière l'an prochain aux États-Unis et à l'Asie, qui n'ont représenté que 15% et 2% des investissements en 2013. Métropole «au carrefour» Montréal International, fondé en 1996, se veut le bras de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) et de ses 82 municipalités pour attirer des investissements étrangers et des organisations internationales. La position de la métropole québécoise est plutôt enviable à ce dernier chapitre, avec 63 organisations internationales contre 34 à Toronto et 14 à Vancouver. En avril 2013, le magazine américain fDi a d'ailleurs accordé à Montréal la première place pour sa «stratégie d'attraction des investissements directs étrangers», devant 126 autres villes des Amériques. Ces faits démentent la perception que Montréal stagne en ce qui concerne les investissements étrangers, estime le ministre des Relations internationales, Jean-François Lisée. «Nous sommes au carrefour des marchés européens et nord-américains, a-t-il déclaré. Le Québec est un lieu idéal pour rayonner à la fois aux États-Unis et en Europe.» L'importance d'un organisme comme Montréal International, qui se donne comme but de repérer, attirer et faciliter la tâche aux entreprises d'ailleurs, est évidente, estime-t-il. «C'est une course internationale pour les investissements étrangers, où les investisseurs ont la part belle. Chaque fois qu'on gagne, c'est parce qu'on a les bons arguments.» Le maire de Montréal et président de la CMM, Denis Coderre, en a profité pour appeler à un «front commun face aux autres métropoles du monde». Les deux élus ont réitéré leur engagement financier : sur trois ans, Montréal versera 10 millions et Québec, six. Questionné sur l'assurance que ces fonds seront dépensés de façon adéquate, après les révélations concernant le train de vie princier du PDG de Tourisme Montréal en novembre dernier, le maire Coderre a eu cette réponse lapidaire : «On a un inspecteur général.» <!-- END #leftbar --> <!-- partager --> [TABLE] <tbody>[TR] [TD]Partager [/TD] [TD]<fb:like class=" fb_iframe_widget" fb-iframe-plugin-query="action=recommend&app_id=166995983353903&font=arial&href=http%3A%2F%2Fwww.lapresse.ca%2Factualites%2Fmontreal%2F201402%2F27%2F01-4743180-annee-record-pour-montreal-international.php&layout=button_count&locale=fr_FR&sdk=joey&show_faces=false" fb-xfbml-state="rendered" href="http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201402/27/01-4743180-annee-record-pour-montreal-international.php" show_faces="false" font="arial" layout="button_count" action="recommend"></fb:like> [/TD] [TD]<iframe title="Twitter Tweet Button" class="twitter-share-button twitter-tweet-button twitter-count-horizontal" id="twitter-widget-1" src="http://platform.twitter.com/widgets/tweet_button.1392079123.html#_=1393682751064&count=horizontal&counturl=http%3A%2F%2Fwww.lapresse.ca%2Factualites%2Fmontreal%2F201402%2F27%2F01-4743180-annee-record-pour-montreal-international.php&id=twitter-widget-1&lang=fr&original_referer=http%3A%2F%2Fwww.lapresse.ca%2Factualites%2Fmontreal%2F201402%2F27%2F01-4743180-annee-record-pour-montreal-international.php&related=lapresse_sports%2Clp_international%2Clp_arts%2Clp_musique%2Clp_sante%2Clp_voyage%2Clp_musique&size=m&text=Ann%C3%A9e%20record%20pour%20Montr%C3%A9al%20International&url=http%3A%2F%2Fwww.lapresse.ca%2Factualites%2Fmontreal%2F201402%2F27%2F01-4743180-annee-record-pour-montreal-international.php&via=lp_lapresse" frameborder="0" scrolling="no" style="width: 118px; height: 20px;" allowtransparency="true" data-twttr-rendered="true"></iframe> [/TD] [TD][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] <!-- FB init est dans l'entête appId: '166995983353903' --> <!-- /partager --> <style type="text/css"><!--#google_bas {font-family:arial;border:1px solid #cccccc;padding-left:10px;text-align:left;margin-bottom:10px;}#google_bas .line{border-top:1px dotted #999;}#google_bas .lineg{padding-bottom:10px;}#google_bas a.adLink_a:hover {color:#828282;background-color:#e7edf5;text-decoration:none;}#google_bas a.adLink1_a:hover {color:#828282;background-color:#e7edf5;text-decoration:none;}#google_bas a.adTitle_a:hover {color:#003399;background-color:#e7edf5;text-decoration:none;}#google_bas a.adTitle1_a:hover {color:#003399;background-color:#e7edf5;text-decoration:none;}#google_bas a.adLink_a {color:#828282;text-decoration:none}#google_bas .single_center {text-align:center}#google_bas a.adTitle_a {color:#003399;text-decoration:none; }#google_bas a.adLink1_a {color:#828282;text-decoration:none;}#google_bas a.adTitle1_a {color:#003399;text-decoration:none;}#google_bas .header {color:#003399;background:#eee;padding:4px;font-size:15px;font-weight:bold}#google_bas .ad {color:#003399;width:590px;height:200px;}#google_bas .ad1 {color:#003399;width:590px;height:200px;}#google_bas .adText {color:#333;text-decoration:none;font-size:10pt;}#google_bas .adText1 {color:#003399;text-decoration:none;font-size:10pt;}#google_bas .adLink {color:#828282;overflow:hidden;text-decoration:none;font-size:10pt;}#google_bas .adLink1 {color:#828282;text-decoration:none;font-size:10pt;}#google_bas .abg {color:#828282;text-decoration:none;font-size:10pt;font-weight:bold;}/* titre */#google_bas a.abg:hover {color:#828282;text-decoration:underline;}#google_bas a.abg:visited {color:#828282;text-decoration:none;}#google_bas .adTitle {color:#003399;text-decoration:none;font-size:10pt;font-weight:bold;}#google_bas .adTitle1 {color:#003399;text-decoration:none;font-size:10pt;font-weight:bold;}#google_bas .ad_box1 {height:200px;width:590px;overflow:hidden;}#google_bas .ad_box2 {height:200px;width:590px;overflow:hidden;}--></style> [TABLE=class: ad] <tbody>[TR] [TD=class: lineg][/TD] [/TR] [TR] [TD=class: line][/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE]
  14. Voici un excellent outil mis de l'avant par Google pour calculer le gain et perte de la couverture forestière dans le monde. En plus, on peut sélectionner des zones précises et laisser le logiciel faire le calcul. C'est très très précis, en zoomant sur Montréal, on peut tout de suite voir où il y a eu du développement ces 12 dernières années... http://www.globalforestwatch.org/map/5/52.89/-70.93/ALL
  15. Tombée sur ce blog ce matin 35 Epic Montreal Sandwiches to Eat Before You Die Vous trouverez descriptions et adresses sur le site, en plus des emplacements sur Google Maps J'en n'ai pas bcp essayé de ces 35 sandwichs
  16. Source: ProposMontréal Voici une entrevue que j'ai effectué avec le curateur du Montreal Signs Project. Un professeur de Concordia qui essais de sauvegardé les enseignes historiques de Montréal. Personnage très intéressant et passionné par ce qu'il fait. ProposMontréal: Qu’est-ce qui a amené Matt Soar du Massachusetts à Montréal ? Matt Soar: Après avoir terminé mon Doctorat à l’Université du Massachusetts en 2002, j’avais un emploi temporaire au Hampshire College, sur le marché de l’emploi, j’ai eu la chance d’avoir une entrevue et finalement un emploi au sein du Département des Communications de l’Université Concordia en 2003. PM: D’où est venue l’idée du Montreal Sign Project. MS: Quand je suis arrivé à Montréal en 2003, j’ai dû écrire des demandes de soumission pour financer mes recherches et mon équipement. Et j’ai écrit pour recevoir une bourse du Conseil de Recherches en Sciences Humaines du Canada appelé « The cultural lives of the logo », une de ces parties avait comme sujet les enseignes dans la ville, je voulais analyser Montréal au travers d’un microscope. J’ai utilisé un terme inventé par l’historien Robert McChesney, l’hyper-Commercialisation, la publicité, le marketing apporté à un niveau supérieur où nous sommes au point où Pizza Hut place son logo sur le côté d’une fusée. J’ai habité des villes comme Londre et Vancouver, où j’ai passé beaucoup de temps dans les villes. Par contre, avant d’arriver à Montréal, j’habitais une région rurale du Massachusetts et ce, pendant sept ans. Quand je suis arrivé à Montréal après une longue période loin des villes, j’ai été frappé par le grand nombre de logo sur le haut de gratte-ciel. Avec l’aide d’étudiant nous avons regardé les lois sur l’affichage, j’ai créé un mini-documentaire en ligne intitulé Almost Architecture où j’ai interviewé des architectes, des fabricants d’affiches et des historiens pour partager sur ces logos. J’ai amassé des histoires que les gens avaient à raconter sur les enseignes qui les entourent pour se terminer en une conférence en 2007 nommé « Logo Cities Symposium ». Durant cette conférence, nous avons utilisé l’espace de la galerie VAV de l’université Concordia pour présenter des nouveautés bien sûr, mais nous voulions un peu d’histoire avec de plus vieilles créations. Nous avons donc contacté différents intervenants et avons mis la main pour montrer de façon temporaire les enseignes de Warshaw, Simcha et Tavern Monkland avec l’intention de les retourner à leur propriétaire respectif à la fin du symposium. Suite ici...
  17. 2013: Une bonne année pour le tourisme Les touristes ont été nombreux à déambuler dans la métropole en 2013. La preuve: le taux d'occupation dans les hôtels de Montréal ainsi que le trafic aux frontières terrestres et à l'aéroport Montréal Trudeau ont connu une hausse par rapport à 2012. La bonne performance du tourisme d'affaires avec la tenue de 17 congrès expliquerait en partie ces augmentations. Le nombre de touristes s'est établi à 8 430 000 en 2013 contre 8 320 000 en 2012. Les hôteliers ont donc eu de quoi se réjouir. Le taux d'occupation moyen a été de 67,92%, soit 2,05% de plus que l'a dernier, révèlent les données compilées par l'Association des hôtels du grand Montréal (AHGM). Le tarif moyen des chambres a lui aussi augmenté, passant de 137,06$ en 2012 à 141,48$ en 2013. Le nombre de voyageurs atterrissant en terre montréalaise a pour sa part connu une hausse de 1,9%. Il y a également eu plus de trafic aux frontières terrestres du Québec avec une augmentation de 1,1% de touristes internationaux. «Après une période plus difficile en 2012, nous constatons avec optimisme que le tourisme a repris de la vigueur, a souligné Yves Lalumière, président-directeur général de Tourisme Montréal, par voie de communiqué. La métropole se démarque dans plusieurs marchés tels le tourisme d'affaires, le tourisme culturel et la gastronomie. Les perspectives de croissance sont en hausse du côté des croisières internationales et des événements sportifs et c'est sur ces secteurs que nous miserons pour générer encore davantage d'occasions d'affaires pour Montréal.» http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201402/07/01-4736649-2013-une-bonne-annee-pour-le-tourisme.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  18. MONTRÉAL, le 6 févr. 2014 /CNW Telbec/ - Secteur économique important pour la métropole et industrie créatrice d'emplois, le tourisme se porte bien et serait même en croissance. C'est ce que révèlent les données compilées par Tourisme Montréal pour la période de janvier à décembre 2013. En effet, les statistiques hôtelières pour le Grand Montréal, les entrées aux frontières du Québec et le trafic de passagers à l'aéroport de Montréal sont en hausse. Les statistiques hôtelières pour le Grand Montréal1 démontrent que, pour la période de janvier à décembre, le taux d'occupation moyen des hôtels se situe à 67,92 %, soit une augmentation de 2,05 points de pourcentage par rapport à l'an dernier. Quant à lui, le tarif moyen des chambres a atteint 141,48 $, comparativement à 137,06 $ l'an dernier, ce qui représente une variation de 3,22 %. « Après une période plus difficile en 2012, nous constatons avec optimisme que le tourisme a repris de la vigueur, a souligné Yves Lalumière, président-directeur général de Tourisme Montréal. La métropole se démarque dans plusieurs marchés tels le tourisme d'affaires, le tourisme culturel et la gastronomie. Les perspectives de croissance sont en hausse du côté des croisières internationales et des événements sportifs et c'est sur ces secteurs que nous miserons pour générer encore davantage d'occasions d'affaires pour Montréal. » « La progression du taux d'occupation en 2013 constitue une bonne nouvelle en soi pour les hôteliers, surtout après une année particulièrement difficile. Nous espérons que l'expérience hôtelière montréalaise fidélisera les touristes et les incitera à revenir en 2014 », a ajouté Eve Paré, présidente-directrice générale de l'Association des hôtels du Grand Montréal. Pour ce qui est du nombre d'entrées de touristes internationaux (États-Unis et autres pays) au Canada par les frontières du Québec2, une hausse de 1,1 % a été observée pour les mois de janvier à novembre. De ces entrées, mentionnons que le nombre de touristes des États-Unis ayant utilisé un autre moyen que l'automobile pour traverser les frontières est en augmentation de 2,5 %. En ce qui a trait au trafic de passagers à l'aéroport Montréal-Trudeau3, entre janvier et novembre 2013, le nombre de passagers embarqués et débarqués a augmenté de 1,9 %. Cette hausse est attribuable en grande partie aux passagers transfrontaliers dont le nombre est en hausse de 4,3 % par rapport à 2012. D'ailleurs, Aéroports de Montréal (ADM) a franchi le cap des 14 millions de passagers pour la toute première fois de son histoire cette année. Divers facteurs peuvent expliquer que Montréal ait connu une année touristique profitable. Le secteur du tourisme d'affaires a été particulièrement dynamique en 2013. Du côté de Tourisme Montréal, on note que Montréal a reçu dix-sept congrès multi-hôtels contre sept l'an dernier. Ces événements ont contribué à attirer dans les commerces et attraits de la métropole quelque 46 400 délégués. De plus, en 2013, l'organisation a confirmé un nombre record de 330 000 nuitées pour les années futures sur le marché des congrès. Également très prometteur, le marché des croisières a attiré plus de 61 000 passagers internationaux dans le port au cours de la dernière saison. Montréal se positionne ainsi comme une destination de premier plan pour l'embarquement et le débarquement de passagers sur le Saint-Laurent. Plusieurs attraits et festivals ont aussi connu un succès sans précédent en 2013. C'est entre autres le cas du Musée des beaux-arts de Montréal, des Francofolies, du festival OSHEAGA, et d'Igloofest qui ont battu des records d'achalandage. À elles seules, les Mosaïcultures Internationales de Montréal ont attiré près d'un million de visiteurs. Plusieurs nouveautés telles le Planétarium Rio Tinto Alcan et le Musée Grévin, pour n'en nommer que deux, sont venues enrichir le paysage touristique de la ville, signe que le produit montréalais est en constante évolution. Pour consulter le bilan touristique 2013 complet de Tourisme Montréal : http://www.octgm.com/toolkit/fr/statistiques/bilan-2013-annee-a-date-janvier-2014.pdf
  19. La Presse: La revanche du centre-ville Depuis plus de 10 ans, on dénigre Montréal sur bien des tribunes. Au cours des dernières années, ses détracteurs ont eu beau jeu de dépeindre la métropole québécoise comme une ville en crise, avec ses scandales à l'hôtel de ville, ses nids-de-poule, son pont Champlain qui se dégrade et son métro régulièrement en panne, pour ne donner que ces exemples. Pourtant, quand on enlève nos lunettes noires pour regarder la situation dans son ensemble, on s'aperçoit que la métropole est loin d'avoir dit son dernier mot. Cette année, le centre-ville verra apparaître plus de grues qu'il n'en a vues depuis bien longtemps. Pour 2014 seulement, on parle de huit édifices à vocation résidentielle ou mixte de plus de 30 étages en cours de transformations majeures, en construction ou sur le point de l'être. Avec Le V (40 étages, 250 unités), l'Altoria/Aimia (34 étages, 152 unités), le Roccabella (41 étages, 540 unités), l'Icône (39 étages, 357 unités), le Waldorf Astoria (34 étages, 100 unités), l'Avenue (50 étages, 315 unités), la Tour des Canadiens (48 étages, 700 unités), la Tour Union/Tom condos (35 étages, 377 unités), ce sera de près de 3000 nouveaux logements qui verront s'installer des travailleurs intéressés par la vie au centre-ville et possédant un pouvoir d'achat important. Un milieu de vie «Il y a un très grand intérêt pour le centre-ville et la demande est forte parce que la vie au centre-ville de Montréal est vibrante, intéressante, sûre et agréable, dit Paul Lewis, professeur d'urbanisme à l'Université de Montréal. Les gens constatent de plus en plus que ce style de vie présente beaucoup d'avantages.» En offrant un milieu de vie attrayant sur le plan résidentiel, on stimule non seulement l'apparition de nouveaux commerces destinés à répondre aux besoins des nouveaux habitants, mais on attire aussi les emplois. «L'élément le plus important pour les entreprises dans le choix d'une ville, c'est de pouvoir compter sur un bassin de main-d'oeuvre qualifiée. La floraison de nouvelles entreprises technologiques qui choisissent les quartiers centraux est liée au développement résidentiel. Les travailleurs de ces entreprises sont souvent des jeunes professionnels qui aiment habiter près de leur lieu de travail», dit Mario Polèse, professeur et chercheur au Centre urbanisation, culture et société de l'Institut national de recherche scientifique. Selon lui, il ne faut pas s'inquiéter outre mesure au sujet des problèmes actuels d'infrastructures. «Tout le monde est d'accord sur le fait qu'ils sont extrêmement gênants et qu'il est important de les régler, mais c'est une phase qui va passer et que d'autres villes traversent aussi, dit-il. Ce n'est pas cela qui va déterminer, à long terme, la santé économique de la région de Montréal. Je n'ai pas encore entendu une entreprise ou un homme d'affaires dire qu'ils ne viendront pas s'installer à Montréal à cause de ses problèmes d'infrastructures.» Par contre, ces enjeux médiatisés en font oublier d'autres, moins spectaculaires, et sur lesquels il faudrait se pencher davantage, explique le chercheur. «Ce qui est tout aussi important pour qu'une grande métropole puisse rayonner sur le plan économique, ce sont les éléments qui favorisent sa connectivité à l'échelle internationale et régionale. C'est important pour les gens d'affaires d'avoir des interactions faciles avec le reste du monde, comme des vols directs vers d'autres grandes villes. La situation de Montréal à cet égard est loin d'être idéale, pour diverses raisons, que l'on parle du train ou de l'avion. La liaison avec New York, par exemple, est lamentable.» Un nouveau maire L'arrivée de Denis Coderre à la mairie suscite d'énormes attentes. Le nouveau maire a annoncé six priorités pour la Communauté métropolitaine de Montréal: un pont Champlain sans péage, planifier les transports en commun, mettre en place une stratégie économique, mettre en oeuvre le Plan métropolitain d'aménagement et de développement, favoriser le logement social et assurer un leadership fort. Avec autant de défis à relever, les prochaines années s'annoncent cruciales pour le développement et l'avenir de Montréal. «L'un des plus grands défis sera d'attirer et de retenir les familles de classe moyenne, et de stopper leur exil vers la banlieue, dit Paul Lewis. Mais ce ne sera pas une bataille facile.» MONTRÉAL EN CHIFFRES > Population : 1,98 million (2012) > Nombre d'emplois : 977 900 (décembre 2013) > Nombre d'établissements manufacturiers : 9055 (2010) > Taux d'activité : 65 % (décembre 2013) > Taux d'emploi : 59,1 % (décembre 2013) > Taux de chômage : 9,1 % (décembre 2013) > PIB aux prix de base par habitant : 58 126 $ (2012) > Revenu disponible des ménages par habitant : 26 469 $ (2012) Source : Institut de la statistique du Québec PRINCIPAUX SECTEURS D'ACTIVITÉ À MONTRÉAL EN 2012 1. Commerce de gros et de détail: 141 300 emplois (15,0% du total) 2. Soins de santé: 113 040 emplois (12,2%) 3. Services professionnels, scientifiques et techniques: 106 446 emplois (11,3%) 4. Fabrication: 101 736 emplois (10,8%) 5. Information, culture et loisir: 68 766 emplois (7,3%) 6. Hébergement et restauration: 62 172 emplois (6,6%) Source: Desjardins, Études économiques
  20. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=22225&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques [h=1]La Ville de Montréal soutient l'événement d'envergure internationale[/h][h=3]22 janvier 2014[/h]Montréal, le 22 janvier 2014 - Le comité exécutif de la Ville de Montréal a autorisé aujourd'hui un soutien financier de 2,8 M$ aux Championnats du monde FINA des maîtres 2014 afin d'assurer la tenue de cet événement d'envergure internationale à Montréal, du 27 juillet au 10 août 2014. « La tenue de compétitions d'athlètes de haut niveau démontre que Montréal est avantageusement positionnée sur l'échiquier sportif international. Montréal profitera pleinement des nombreux avantages médiatiques, touristiques et sportifs qu'engendrera ce grand événement dont les impacts économiques sont estimés à plus de 100 M$ », a affirmé le maire de Montréal, M. Denis Coderre. La majeure partie de l'investissement de la Ville servira à l'installation d'un bassin temporaire de compétition aux normes internationales au parc Jean-Drapeau. Un tel bassin est devenu nécessaire à la tenue des Championnats en raison de la fermeture des piscines du Parc olympique pour restauration jusqu'à la fin de 2014. Ce bassin temporaire permettra de répondre aux exigences de la Fédération internationale de natation (FINA), de limiter à deux le nombre de sites de compétitions et de minimiser le nombre de déplacements à effectuer par les compétiteurs. Le comité organisateur prévoit céder le bassin temporaire et ses accessoires à la Ville de Montréal, à l'issue des Championnats. Les composantes seront ainsi réutilisées pour améliorer les installations aquatiques municipales. « Notre contribution est un réel investissement qui en vaut la chandelle, compte tenu des retombées multiples qu'aura l'événement sur Montréal et du rayonnement qu'il offrira à notre métropole. C'est un privilège pour Montréal d'accueillir ces Championnats et ce sont tous les Montréalais qui en tireront profit », a déclaré M. Dimitrios Jim Beis, responsable de l'approvisionnement, des sports et loisirs ainsi que des communautés d'origines diverses au comité exécutif de la Ville de Montréal. Environ 10 000 compétiteurs participeront aux Championnats du monde FINA des maîtres 2014, et des milliers d'accompagnateurs et de visiteurs en provenance d'une soixantaine de pays se joindront à eux. À l'occasion de ces Championnats, ce sont plus de 20 000 personnes qui séjourneront à Montréal pour une durée moyenne de neuf jours chacune. L'organisme Montréal 2014 est le maître d'œuvre des Championnats du monde FINA des maîtres 2014. Créé par la communauté aquatique du Québec, l'organisme est entièrement responsable de l'organisation et de la tenue de l'événement. Tourisme Montréal et les gouvernements provincial et fédéral contribuent également à la tenue de l'événement à Montréal l'été prochain. Cette décision devra être entérinée au prochain conseil d'agglomération.
  21. Voici la carte de ce que j'appelle le réseau central de Montréal (le genre de carte qu'on donnera aux touristes). Elle comporte plusieurs éléments clés d'une refonte des transports, inspiré en partie par cette carte du blogueur Catbus: http://www.cat-bus.com/wp-content/uploads/2010/09/frequent-service-montreal-minimalist-4.png. Tous ces projets sont très faisaibles avec un investissement minimal des gouvernements. Les voici en phases avec horizon: PHASE 1: Création du SRB Pie-IX (identifié comme P9 sur la carte) et extension du métro vers Anjou. HORIZON 2013-2014 PHASE 2: Création et mise en service progressive d'un réseau étendu de SRB. Nous aurons déjà l'expérience de Pie-IX. 4 lignes au centre-ville : A, B, C et D (donc facile à s'en souvenir), qui sont chacun divisé en deux (B1 sera à l'ouest et B2 à l'est d'un croisement spécifique, par exemple). 2 lignes en banlieue proche sur l'île: A1 vers l'ouest de l'île, E dans l'axe Sauvé/Côte-Vertu, et F dans l'axe Henri-Bourassa/Gouin Notons que tous ces lignes sont est-ouest, et que les lettres montent en ordre alphabétique à partir du fleuve. Quitte à verser des millions dans un tramway énorme, faisons plutôt un système extrèmement intuitif de SRB, qu'on utilisera avec la même facilité que le métro. Les arrêts majeurs auront un abribus fermé et chauffé l'hiver, avec des ponts piétons pour éviter de traverser dans la circulation. HORIZON 2015-2025 PHASE 3: Création d'une seule ligne de tramway au centre-ville et dans les axes Côte-des-Neiges/ave. du Parc, destiné à ceux qui ne sont pas à distance de marche du métro, et aux touristes qui n'osent pas prendre le bus. HORIZON 2017 PHASE 4: Construction progressive de 3 extensions du métro: Ligne orange vers Bois Franc et Laval (comme déjà prévu) Ligne jaune vers McGill (pour alléger la ligne verte qui est à capacité) Ligne orange express dans l'axe Jean Talon-Berri-Bonaventure: Il s'agit non pas d'une ligne à part mais d'un dédoublement du tunnel avec 1 ou possiblement 2 voies séparées, qui permettront aux banlieusards d'arriver plus rapidement au centre en sautant les arrêts entre Jean-Talon et Berri, entre Berri et Bonaventure, et à ceux du centre d'éviter des heures de pointes massives dans le métro. HORIZON 2020-2030 PHASE 5: Construction d'une station Duluth sur la ligne orange. Mont-Royal et Sherbrooke sont trop éloignés l'un de l'autre, et les rues du Plateau sont trop étroites pour un usage efficace de SRB/tramway. HORIZON 2025 Tous ces ajouts sont basés sur le principe que tout le monde au centre devrait être à distance de marche 5-10 min. max de leur arrêt "rapide" (c'est-à-dire SRB, TRAM, METRO-- bas petit bus de quartier). Avec ce système hybride on aura un système avec autant de proximité que Paris, mais sans le coût de la construction de tramway et moins de dérangement au niveau de la construction. Notons que j'ai marqué le SLR Brossard ainsi que des station AMT à McGill et UdeM mais comme c'est pas sûr et ça ne relève pas vraiment de l'STM j'ai pas marqué de "Phase". Dites-moi ce que vous pensez!
  22. Bonjour! Je marchais vers chez moi vers 8h15 et il y a eu un phénomène assez (très!) étrange dans le ciel de Montréal. Tous les nuages vers l'est s'illuminaient de toutes sortes de couleurs à des intervalles irréguliers. C'était vraiment bizarre! Je ne suis pas fou...regardez ces vidéos! Quelqu'un aurait une idée de ce que ça pourrait être? Celui-ci à partir de 2:10...c'est assez spécial!
  23. C'est beau de voir les commentaires qui suivent. En général, assez positifs! http://blogues.lapresse.ca/avenirmtl/2013/09/11/traumatisme-historique/#comments
  24. J'étais à Toronto fin juin et j'en ai profité pour ouvrir l'oeil sur ce qui se fait à Toronto et ce que Montréal pourrait copier, ou ne devrait pas imiter. Loin d'être exhaustives, je les ai trouvées au hasard de mes marches autour du centre-ville. Avec toute la construction en hauteur qui s'y fait, le centre-ville de Toronto est un bon laboratoire. Utilisation judicieuse du béton comme matériau de finition Je suis d'accord avec plusieurs forumeurs de MtlUrb qui tiennent le revêtement de béton en horreur. Avec raison, quand ça donne le style "bloc appartement soviétique". Mais des fois, le béton, ça marche. Au complexe Radio City, où le béton n'est pas agressant car il ne domine pas. Il vieillit assez bien aussi (ce complexe a 10 ans). C'est mieux en vrai qu'en photo. Belle densification avec des immeubles d'environ 10 étages Le danger d'un gabarit de 10 à 15 étages est que si une rue n'est encadré que de ça, sans dégagements, j'ai l'impression de marcher dans un canyon. J'étouffe. Dans les environs de Queen W., on retrouve plusieurs immeubles de 10 étages qui soit offrent des dégagements, soit entourent de plus vieux édifices moins élevés (offrant par le fait même un dégagement), soit ont des retraits dans les derniers étages. Je crois qu'ils ont bien réussi la densification de ce coin de la ville. Voici quelques exemples (pour la 1e photo, on voit mal mais il y a un peu de gazon et des arbres qui aèrent, entre la rue et l'édifice, tandis que plus loin, l'édifice atteint le trottoir) : Densité, leçon no. 2 C'est une leçon pour les nimbys : hauteur ne veut pas nécessairement dire désastre. Voici un complexe en hauteur mais qui n'écrase pas le quartier environnant. C'est très plaisant de se promener dans les rues qui bordent ces édifices en hauteur. Selon moi, ce qui permet de rendre ces rues agréables sont les dégagements judicieux (et oui, encore les dégagements), de la verdure bien placée et un entretien impeccable du complexe, qui a pourtant de l'âge et qui est tout béton. Ça montre aussi que ce n'est pas seulement le modèle européen (immeubles denses mais bas comme à Paris) qui peut offrir densité et qualité du voisinage. Maudit tramway Que quelqu'un me dise qu'il aime ces câbles et ces rails!!! J'aime mieux les autobus avec des voies dédiées que le tramway. Entretien et réparation des rues et trottoirs J'ai pris une photo à Toronto, l'autre à Montréal. Laquelle est laquelle? Des fois, j'ai honte.
  25. Je profite de ces quelques lignes pour vous faire d'une initiative entreprise par un ami et moi-même : Au début du mois d'août, nous avons créé Urbabillard. C'est un blog (ICI) auquel nous avons attaché une page facebook (ICI). L'objectif est de constituer une plate-forme d'échange d'informations sur tout ce qui peut concerner l'urbain. Ainsi, sur le blog, nous publions, avec l'aide de collaborateurs, des articles sur des thèmes très variés : l'urbanisme, l'architecture, l'imaginaire urbain, l'économie, etc. Sur la page facebook, nous reprenons ces publications, et nous publions des articles, de médias très différents. Si cela vous intéresse, n'hésitez pas à aller faire un tour. J'ai notamment écrit un article sur la transformation de l'économie montréalaise disponible ICI
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