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  1. Tout dernier projet d'annoncé pour la Pointe-Nord de l'Île-des-Soeurs. Ce projet sera situé en face de la tour Évolo. Le Pavillon Evolo : un mode de vie intime à L’Île-des-Sœurs Une vue spectaculaire sur le fleuve. Un nouveau quartier phare. Bienvenue au Pavillon Evolo, premier édifice riverain de moyenne hauteur de la Pointe-Nord de L’Île-des-Sœurs. Le Pavillon Evolo vous offre l’opportunité exclusive de vivre dans un édifice intime, directement au bord de l’eau. Situé en face d’une plaza piétonnière et des jardins d’Evolo 2, le Pavillon Evolo vous procure un environnement proposant différents services et activités de détente. Cet immeuble de cinq étages comprendra seulement 39 condominiums dont les superficies varieront de 665 à 1175 pi2, ainsi que quatre penthouses exclusifs dotés de vastes terrasses sur le toit de l’édifice. Modèle de conception intelligente, ces condos ont été soigneusement planifiés afin de maximiser la valeur de chaque pied carré. Exploitant l’élégance des lignes pures, le design réfléchi optimise espace, lumière et points de vue. Plus qu’un simple édifice, c’est un nouveau mode de vie à L’Île-des-Sœurs
  2. Maxime Bergeron LA PRESSE Patrick D'Astous s'apprête à dire adieu aux heures de pointe entre sa maison de Saint-Lambert et son bureau du centre-ville de Montréal. Dans quelques semaines, le chef d'entreprise déménagera sa boîte de services-conseils - et ses six employés - sur la Rive-Sud, après 10 ans dans un gratte-ciel de la rue Beaver Hall. Le Lambertois avait déjà pris sa décision avant les embouteillages infernaux des dernières semaines. Mais l'aggravation de la situation a « bien adonné » pour le conforter dans son choix de rompre son bail de trois ans avant terme. « Le plus grand aspect de cette décision-là, c'est la qualité de vie », résume-t-il. Le cas de Patrick D'Astous demeure isolé. La multiplication des cônes oranges n'a pas encore écoeuré les entrepreneurs au point de causer un exode de l'île de Montréal. À moyen et long terme, toutefois, l'impact de l'encombrement chronique sera catastrophique pour les sociétés de toute la métropole si rien n'est fait pour corriger la situation, avertissent plusieurs représentants du milieu des affaires. Les bouchons fréquents causent une série de désagréments aux employeurs. Certains, comme les retards des travailleurs, sont déjà bien palpables. Mais d'autres problèmes, autrement plus sérieux, commenceront seulement à faire sentir leurs effets pervers au fil des prochaines semaines et des prochains mois. « Ça désorganise carrément les chaînes d'approvisionnement des entreprises qui sont situées sur l'île ou autour de l'île, explique Simon Prévost, président de Manufacturiers et exportateurs du Québec (MEQ). C'est un impact qui se voit moins à l'oeil nu, mais qui va être clairement ressenti par les manufacturiers. À l'ère du juste à temps, on va être à l'ère du toujours en retard. » L'industrie manufacturière, moins sexy que celle de la finance ou du multimédia, demeure cruciale pour l'économie montréalaise. Selon les données les plus récentes de Statistique Canada, les 13 500 fabricants de la région métropolitaine emploient à eux seuls 230 000 personnes. Leurs exportations internationales ont totalisé 58 milliards de dollars l'an dernier. Or, avant d'expédier leurs sofas, biscuits et autres électroménagers vers l'Europe ou les États-Unis, ces manufacturiers doivent d'abord s'approvisionner en matières premières et pièces de toutes sortes. Des composantes qui arriveront à des heures de plus en plus imprévisibles en raison des bouchons systématiques sur les routes. « Ça va être majeur, ça va demander une réorganisation des processus de production, et surtout, ça rajoute beaucoup d'incertitude, lance Simon Prévost. Si on pouvait me dire : ça va toujours être en retard d'une journée, tu t'organises, mais d'une fois à l'autre, on ne le saura pas. Ça devient très compliqué. » Cette coordination difficile, combinée à la surtaxe aux embouteillages que veulent imposer les camionneurs à Montréal, mine la productivité des entreprises manufacturières montréalaises. Un constat d'autant plus sombre qu'elles tirent déjà de l'arrière à cet égard, déplore le président de MEQ. Recrutement difficile Michel Leblanc, président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, dénonce lui aussi les pertes économiques causées par le « chaos » sur les routes de la métropole. En 2003, son regroupement estimait à 1,4 milliard les coûts annuels liés aux embouteillages, une facture qui a sans doute grimpé en flèche aujourd'hui, reconnaît-il. Le pire reste cependant à venir, craint M. Leblanc. Les bouchons généralisés risquent d'encourager de plus en plus d'employés à choisir des postes moins intéressants en banlieue, en plus d'inciter des entreprises à s'installer dans des endroits moins stratégiques au plan concurrentiel. Autant de freins à la productivité globale de la région. « Ces petites décisions-là, qui sont toutes individuelles, lorsqu'on les additionne, finissent par expliquer les milliards de dollars de pertes qu'on observe », tranche-t-il. Pour les recruteurs professionnels, l'impact de ces embouteillages quotidiens constitue désormais un casse-tête « énorme », indique Martine Lachance, directrice de succursale de la firme Manpower pour Montréal et sa banlieue sud-est. Depuis environ un an et demi, de plus en plus de travailleurs quittent leur poste au centre-ville et choisissent de poursuivre leur carrière de l'autre côté des ponts. « Nos clients commencent à avoir un problème de rétention de leurs employés, souligne-t-elle. Des gens qui travaillent déjà depuis 10 à 15 ans au centre-ville et qui demeurent en banlieue quittent leur emploi pour éviter tout le trafic. » Plusieurs employés sont même prêts à accepter des postes moins intéressants pour s'éviter les bouchons. Martine Lachance donne l'exemple récent d'une jeune adjointe administrative de Longueuil, qui a perdu 5 % de salaire et une semaine de vacances en acceptant un nouveau poste sur la Rive-Sud. « Elle était prête à faire des concessions pour avoir une meilleure qualité de vie », note-t-elle. Télétravail Et qu'en est-il des sociétés de secteurs de pointe, dont les employés typiques sont souvent des urbains purs et durs ? Le président de d'Astous Groupe Conseil, qui se spécialise dans l'innovation en technologies de l'information, reconnaît qu'il a dû modifier quelque peu ses façons de faire pour convaincre ses six employés de le suivre dans son déménagement à Saint-Lambert cet été. « Il faut trouver des moyens de les attirer, et un de ces moyens, c'est de permettre le télétravail, explique Patrick D'Astous. On l'offrait déjà, mais là on améliore notre infrastructure pour le faire davantage. » Les six employés de M. D'Astous, qui travaillent beaucoup sur la route, n'auront plus l'obligation de se présenter au bureau. Tout ce qui compte, c'est que les cibles de l'entreprise soient atteintes, dit-il. Avec la multiplication prévue des chantiers routiers d'envergure ces prochaines années - dont ceux de l'échangeur Turcot, de la rue Notre-Dame et du tunnel L.-H. Lafontaine -, ce modèle pourrait faire des petits dans la métropole. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201106/23/01-4412143-congestion-routiere-un-cauchemar-pour-les-entreprises-montrealaises.php
  3. Coup d'éclat dans la Grosse Pomme Marie-Joëlle Parent NEW YORK – Les créatures étranges de Tourisme Montréal ont réussi un coup d’éclat dans la Grosse Pomme. La nouvelle campagne marketing pour attirer les touristes américains dans la métropole a retenu l’attention du New York Times. Il est souvent question de Montréal ces derniers temps dans le New York Times. On parle des chefs montréalais qui rayonnent de Manhattan à Brooklyn, de la nouvelle salle de l’OSM, du Cirque du Soleil et de Robert Lepage. Cette fois, on parle des nombreux festivals dans un article publié sur le site web du quotidien, mercredi. Tourisme Montréal et l’agence de création Sid Lee se réjouissent de cette vitrine inespérée pour la métropole. Les États-Unis demeurent le principal marché de Montréal. «On parle d’un million de touristes comparativement à 20 000 touristes qui viennent de Chine, c’est énorme, et ce, malgré la question du passeport à la frontière et le prix de l’essence», a expliqué Emmanuelle Legault, directrice des communications de Tourisme Montréal. «Le «feed-back» est vraiment bon, surtout du côté des médias. C’est comme si le New York Times nous donne en quelque sorte le sceau d’approbation avec ce papier. C’est quand même un des journaux les plus influents au pays», a expliqué Stéphanie Preston de la firme de relations publiques Laura Davidson à New York. La firme a été engagée par Tourisme Montréal pour promouvoir cette campagne de 6 millions $ qui vise les villes de New York, Boston, Chicago et la Californie. «Comme 2010 a été une année excellente pour le tourisme, on a pu réinjecter des fonds dans une campagne sur plusieurs plateformes», a expliqué Mme Legault. «On a choisi une approche beaucoup plus «Edgy» cette année», a précisé Stéphane Alozi, Vice-Président contenu chez SidLee avec qui Tourisme Montréal travaille depuis cinq ans. Sid Lee vient d’ailleurs d’ouvrir une cinquième branche à Austin au Texas. Ils ont choisi de créer des figurines hybrides pour véhiculer les différents événements qui se dérouleront à Montréal. «On les surnomme les «crocotames», chacun représente un thème concret, comme le jazz, la mode, l’humour, etc.» Des cartons grandeur nature de ces créatures se sont promenés un peu partout à Manhattan et Brooklyn il y deux semaines pour montrer les couleurs de Montréal. La campagne intitulée Montreal : a new breed of culture. Where 106 eclectic festivals coexist met l’accent sur les 106 festivals qu’offre Montréal, comme le Jazz, les FrancoFolies, Juste pour Rire, mais aussi des événements temporaires comme Totem du Cirque du Soleil ou Indiana Jones et l’Aventure archéologique au Centre des Sciences. Bref, on veut véhiculer le message qu’en termes de tourisme, Montréal est un «animal» culturel d’une espèce rare. Les salles de rédaction de New York ont d’ailleurs reçu des cartons de ces figurines. Les publicités se retrouvent dans le New York Post, le New York Times, dans le Chicago Tribune, dans le Condenast Traveler, le New Yorker, GQ, le magazine Bon Appétit et sur des sites web comme Blackbook.mag, nymag.com et les réseaux sociaux. «À New York, être vu ce n’est pas simple, a expliqué Stéphane Alozi. Le but était de faire comprendre qu’à Montréal on peut s’amuser, que c’est convivial, que c’est une ville qui attire les courants créatifs, un peu comme à Marseille, où les touristes viennent pour les gens et les festivals.» http://fr.canoe.ca/voyages/decouvrir/destinations/archives/2011/06/20110601-220331.html
  4. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201105/27/01-4403442-les-habitations-jeanne-mance-se-refont-une-beaute.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Publié le 27 mai 2011 à 11h56 | Mis à jour à 11h56 Les Habitations Jeanne-Mance se refont une beauté Louise Leduc La Presse Les Habitations Jeanne-Mance, longtemps mal-aimées et mal cotées, se refont une beauté. Pour l'heure, fort d'un budget de 32 millions, on en est encore à l'amélioration des lieux extérieurs - mini terrain de soccer, plantation d'arbres, petit marché public - mais la rénovation des appartements en tant que tels commencera l'an prochain, à raison d'une centaine par année. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, était sur place ce matin pour rendre compte des améliorations apportées à l'environnement immédiat de ces logements sociaux situés au centre-ville, entre Ontario et de Maisonneuve. Pas moins de 1700 personnes y vivent et la Ville est consciente depuis longtemps de la nécessité de réhabiliter les lieux. Si l'augmentation de la surveillance autour du complexe a déjà fait une différence, la rénovation des appartements demeure l'enjeu important. Le maire Tremblay a souligné que ces rénovations ne seront pas faciles, puisqu'il faudra déménager des gens, mais c'est possible, a-t-il dit. Il en veut pour preuve la réussite de la Place L'Acadie, dans le nord de la ville. Là-bas, «on a dû déménager des gens, on a payé le déménagement, trois mois de loyer, et les gens sont de retour». C'est ce qui devra être fait aussi aux Habitations Jeanne-Mance, en un chantier qui s'étendra sur plusieurs années.
  5. En dépit d'un prix du baril à la baisse, l'essence est reparti à la hausse avec une hausse exagérée d'une douzaine de cents depuis ce matin dans la région de Montréal. Et pourquoi croyez-vous qu'on abuse tant? Parce que nous sommes à l'approche d'un long weekend férié et que les pétrolières veulent fêter avec nous, en s'offrant un cadeau dispendieux à nos propres dépends bien sûr. Cette attitude est des plus scandaleuses et bassement mercantile car elles savent que le consommateur est sans recours et qu'elles peuvent le plumer sans risque d'être embêtées par les gouvernements, qui profitent eux aussi d'une hausse de taxe à la consommation, au passage. L'appétit vorace de ces entreprises est encouragé par nos "amis" réformistes-conservateurs qui couchent avec les pétrolières et qui souhaitent en plus les récompenser avec d'autres allègements fiscaux dans leur prochain budget. Pas de doute, nous sommes revenus aux pratiques sauvages d'avant la récession, avec des spéculateurs qui exagèrent nettement les risques de pénurie (puisque le pétrole libyen est compensé par du pétrole saoudien) et rien d'autre dans le monde qui justifie une telle prédation des prix. C'est une nouvelle crise artificielle de l'énergie qui pointe à l'horizon et qui dépassera certainement les hausses de prix qu'on a vu à l'été 2008, avant l'autre crise, créée elle aussi de toute pièce et que tout le monde connait. Nous sommes entrés dans une ère de grande instabilité causée par l'avidité sans limite des grosses corporations et des hauts dirigeants qui siphonnent littéralement les forces vives de la société. C'est un appauvrissement rapide des classes moyennes qui nous guette par un transfert forcé de la richesse vers le privé, et de la dette nationale vers le public. Et qui s'élève contre ces pratiques anti-sociales? Personne, bien au contraire. Pire encore, Harper veut diminuer la fiscalité des grandes entreprises dont profitera directement l'industrie pétrolière, sous prétexte de créer des emplois. Mais ces emplois seront créés de toute façon car le pétrole est devenu l'eldorado qui garantit des profits faramineux à quiconque s'y intéresse de près ou de loin. Ainsi le petit peuple passera deux fois à la caisse: premièrement à celle de la station service qui l'attend pour l'assommer avec son propre porte-feuille, et ensuite indirectement en subventionnant les compagnies qui exploitent des gisements par des baisses de taxes scandaleuses. Cet allègement fiscal enrichira davantage ces ogres financiers qui profitent une deuxième fois de notre argent, mais là sans rien en retour. Est-ce cela que nous souhaitons pour l'avenir de ce pays? Nous pouvons difficilement nous défendre contre les pétrolières, il faudrait une volonté politique énorme pour contrôler la situation et c'est possible avec le temps. Mais nous pouvons immédiatement réagir en mettant le gouvernement Harper à la porte en l'empêchant de donner nos taxes à des bandits en cravate qui, comme eux, n'ont aucune conscience morale ni sociale. Je suis révolté par ces pratiques moyenâgeuses et cette complicité intolérable des réformistes-conservateurs qui ne représentent pas l'intérêt des payeurs de taxes, donc des électeurs, mais de la grande entreprise. Pour reprendre le slogan de Terreneuve lors de la dernière élection en 2008, je propose moi aussi leur formule toute simple, mais à tout le pays: ABC "anyone but conservatives".
  6. La suite : http://moncinema.cyberpresse.ca/nouvelles-et-critiques/chroniqueurs/chronique/14487-excentris-plus-quun-complexe.html Grande participation financière de la ville : http://moncinema.cyberpresse.ca/nouvelles-et-critiques/nouvelles/nouvelle-cinema/14473-le-cinema-parallele-sauve-par-montreal-et-la-sodec.html
  7. Un beau petit projet pour ce petit quartier un peu isolé. Je doute que la finition ressemble vraiment à ce rendu mais si c'est le cas alors bravo car j'aime bien l'amalgame de ces deux couleurs. Le design est simple mais bien correct. Situé au 28 Av. Stanley, à St-Pierre dans l'arrondissement Lachine, la livraison est prévu pour l'automne 2011 http://www.remax-quebec.com/fr/inscription/M/8499326.rmx
  8. Photos qui montrent le projet de revitalisation du secteur du métro: Les images proviennent du site de Dessau. J'ai hâte de voir si l'esplanade ressemblera à ce qu'on voit dans ces images.
  9. Excellent éditorial d'Yves Boisvert dans la Presse d'hier, je me permets de vous copier l'article! Coup de fil au boss du marathon de Montréal, l'autre matin. Alors, M. Bernard Arsenault, allez-vous nous annoncer votre nouveau trajet, comme promis? Ça ne sera pas pour cette année, me dit-il. Et pourquoi donc? Parce que c'est très compliqué. Bon, c'est sûr que dans une grande ville comme Montréal, ce n'est pas simple de fermer des rues sur 42,195 km pour faire un foutu marathon. Il y a des casernes de pompiers, des postes de police, des routes de déviation pour les camions transportant des substances dangereuses, des plans d'évacuation en cas d'alerte terroriste, etc., vous voyez le topo. D'autres villes de moindre envergure, qui n'ont pas connu les affres du terrorisme et des catastrophes de grande ampleur, n'ont pas ces ennuis-là. On pense à Rimouski ou des bleds comme Paris, par exemple, qui ferme les Champs-Élysées pour son marathon. Ce n'est toujours qu'un boulevard glorifié par quelques monuments et un excès d'histoire, les Champs-Élysées, pas vrai? Ou New York, tiens: quatre ponts sont fermés pour l'occasion, sans compter la 5e Avenue sur 70 rues de long et la moitié de Central Park. Facile, c'est des lignes droites partout! Mais dans une ville de l'importance de Montréal, oulala, ces choses-là sont impensables. Enfin, pas impensables, mais infaisables. Non, pas infaisables, interminables. Car Montréal, avec ses 19 arrondissements et ses 219 élus, n'est pas seulement surgouverné. Il est devenu ingérable. Tout est démultiplié, décomposé, décentralisé. La fusion a fractionné l'ancienne ville, créé des pouvoirs locaux en veux-tu en voilà, et qu'ils s'entrechoquent ou qu'ils se coordonnent, ils appesantissent la ville formidablement. Songez qu'avec leur parcours, les gens du marathon de Montréal doivent traverser cinq arrondissements. En plus de la police, des pompiers, d'Hydro-Québec, d'Urgences-santé, des CSSS, de Gaz Métro, de Transports Québec et les autres ratons laveurs inévitables et normaux dans une grande ville, en plus de ça, dis-je, il faut l'autorisation de tous les services concernés de chacun des cinq arrondissements avant d'aller faire approuver ça par le comité exécutif de la Ville de Montréal. Il faut par exemple l'approbation du Directeur des travaux publics section voirie de l'arrondissement de Ville-Marie. Ainsi que de son collègue de la circulation du même arrondissement. Plus le gars des parcs, c'est évident. Et n'oublions pas, quatrièmement, l'agent «culture, sports et loisirs et développement social». Il ne manque qu'un agent de conservation de la faune, mais ça ne saurait tarder, on en viendra là, j'ai vu un renard hier matin sur le mont Royal. Bon. Quatre personnes, toutes bien intentionnées et de bonne humeur. Ça, c'est pour l'arrondissement de Ville-Marie. Répétez ça dans cinq arrondissements. Ça fait 20. Dieu merci, la ville centre a une division qui s'occupe des événements spéciaux et qui coordonne le travail de tous ces gens bien intentionnés et de bonne humeur. «Le problème, ce n'est pas le monde, c'est que quand j'envoie mes documents à 20 personnes, pour avoir une réponse rapide, il y en a la moitié qui est en vacances, ou absente, ou occupée, et on n'est pas capables de faire les choses dans les délais», me dit Mario Blain, qui s'occupe des tracés du marathon depuis les tout débuts. Alors, ça traîne. «J'ai bon espoir qu'on puisse le faire pour 2012», me dit-il, optimiste. Les marathons sont devenus une source de tourisme très recherchée par les villes. Toronto en a deux, on pourrait presque dire trois avec celui de Mississauga. Ottawa remplit tous ses hôtels pendant une fin de semaine à la fin mai avec le sien. Montréal, en 2009, a attiré 838 coureurs américains, 820 coureurs canadiens hors Québec, 350 coureurs d'Europe et d'ailleurs dans le monde. En 2010, les chiffres touristiques ne sont pas disponibles, mais la participation a augmenté de plus de 25% aux différentes courses - on a compté plus de 20 000 inscriptions. Ces gens-là viennent accompagnés. Ils en profitent généralement pour fêter un peu après. Partout en Amérique du Nord, la participation augmente. Mais les marathons sont en concurrence les uns avec les autres et celui de Montréal est réputé assez difficile et un peu moche visuellement. On veut qu'il soit beau et rapide. L'entraîneur Jean-Yves Cloutier a dessiné un trajet qui partirait d'Édouard-Montpetit, devant l'Université de Montréal, et qui se promènerait dans de jolies rues pour finir dans le Vieux-Port. L'organisme fédéral refuse, parce que les activités sportives ne font plus partie du «branding» de l'endroit (le Piknic Électronik oui, par contre, en tant qu'art de la scène, m'a-t-on expliqué, c'est très subtil, le branding). Qu'importe, on pourrait finir rue de la Commune. De toute manière, ceci n'est pas une chronique sur le marathon. C'est une chronique sur le degré d'embourbement organisationnel de cette ville. «Pour les premiers marathons (il y a 30 ans), m'explique M. Blain, il y avait un homme au bureau du maire Drapeau, Paul-Émile Sauvageau, qui embarquait tous les directeurs dans un autobus pour aller voir le parcours. On n'avait pas besoin de répéter ça cinq fois, les décisions se prenaient.» Le pire, c'est que Gérald Tremblay, marathonien, est sympathique au marathon. Il est sympathique avec tout le monde, remarquez, ce n'est pas ça son problème. Mais enfin, le fait est qu'il a dit aux organisateurs qu'il les soutenait. Et là? Ben là, il y a 19 arrondissements, il y a 219 élus, il y a plein de ratons laveurs et un renard, puis au milieu, Gérald Tremblay qui est très, très sympathique, mais qui bien sûr ne fait rien arriver. Fait qu'on s'en reparle l'an prochain. Ou l'autre d'après. Source: http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/yves-boisvert/201101/10/01-4358539-une-ville-ingouvernable-surgouvernee.php
  10. Nouvelles générales - Politique provinciale Écrit par Mathieu Boivin Lundi, 13 décembre 2010 16:19 Mise à jour le Lundi, 13 décembre 2010 16:37 QUÉBEC – Le Québec a dégringolé, en 2009, à la huitième place des provinces canadiennes en ce qui a trait au revenu net des particuliers. Il n’y a plus, désormais, que les gens de Terre-Neuve et de l’Île-du-Prince-Édouard qui soient moins riches que nous une fois tous leurs impôts payés. Les chiffres publiés lundi par l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) montrent que le Québec figurait en quatrième place du classement national, en 2005, avec un revenu net moyen des particuliers de 22 601$. Mais il a reculé à la sixième place l’année suivante, puis à la septième en 2007 et, l’an dernier, cette glissade l’a entraîné jusqu’au huitième rang, avec un revenu net moyen de 26 031$. Notons que l’Alberta occupe systématiquement, depuis 2005, la première place des provinces canadiennes. Depuis 2008, la Saskatchewan a ravi la deuxième place à l’Ontario, qui doit maintenant se contenter de la troisième position. «Les revenus d’emploi augmentent beaucoup moins rapidement au Québec qu’ailleurs et les salaires y sont plus faibles que la moyenne canadienne», a avancé Stéphane Ladouceur, spécialiste en aménagement du territoire et en développement régional à l’ISQ, pour expliquer ces déboires. Il a cependant souligné que c’est au Québec que les impôts sur le revenu sont les plus élevés au Canada. «Si on regarde le revenu brut, avant impôts, le Québec se trouve actuellement en cinquième place», a-t-il indiqué. Hausse modeste Quoi qu’il en soit, chaque habitant du Québec – riche ou pauvre, jeune ou vieux, travailleur ou retraité – a versé en moyenne 22,6% de son revenu en «impôt direct, en cotisation d’assurance sociale ou en autres transferts aux administrations publiques» en 2009, calcule l’ISQ. La moyenne canadienne est de 21,4%. L’ISQ relève que le revenu net des Québécois a augmenté de 1,5% en 2009, soit bien moins que la hausse de 3,9 % qui avait été enregistrée en 2008. Cela dit, c’est dans les régions de l’Outaouais (+ 5,8%), de la Capitale-Nationale (+ 4,0 %) et de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine (+2,6%) que les hausses les plus fortes ont été remarquées. «En Outaouais et dans la région de Québec, la hausse du revenu net provient de l’augmentation importante de la rémunération des salariés et des revenus des entreprises individuelles, a commenté M. Ladouceur. En Gaspésie, la progression s’explique par l’effet conjugué de l’amélioration du revenu personnel et de la diminution de la population totale.» Gatineau en tête Si ces trois régions ont réussi à éviter les effets de la récession économique, celle-ci a néanmoins provoqué une hausse de 1% du taux de chômage au Québec en 2009. «Les prestations fédérales d’assurance-emploi ont explosé de 27,3%, reflétant la détérioration du marché du travail», a relevé Stéphane Ladouceur. Enfin, l’ISQ remarque que c’est la ville de Gatineau (+ 6%) qui a connu la plus forte hausse du revenu net par habitant en 2009, suivie de Québec (+4,6 %), de Saguenay (+2,8 %), de Montréal (+1,7%) et de Trois-Rivières (+1,3 %). Sherbrooke ferme la marche avec un maigre 1%. «La croissance anémique de cette région est due, entre autres, au fléchissement de l’emploi dans le secteur manufacturier», analyse M. Ladouceur. La ville de Sherbrooke est représentée à l'Assemblée nationale par le premier ministre du Québec, M. Jean Charest. http://ruefrontenac.com/nouvelles-generales/politiqueprovinciale/31482-revenu-net-des-quebecois http://www.stat.gouv.qc.ca/donstat/econm_finnc/conjn_econm/revenu_personnel/index.htm
  11. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/312376/rencontre-avec-henry-mintzberg-gourou-du-management-la-productivite-a-l-americaine-tue-les-entreprises#partager
  12. Nouveau projet de centre commercial à Laval 26-11-2010 (modifié le 26-11-2010 à 13:16) Ivanhoé Cambridge veut construire un énorme centre commercial à l’est de la future autoroute 25, à Laval, a appris lesaffaires.com. Selon nos sources, la filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec négocie avec les propriétaires des terrains, dont la majeure partie appartient au promoteur Monit International. À l’angle de la 440, dans l’est de la ville, Ivanhoé Cambridge veut construire une méga galerie marchande sur le modèle de ses «Mills», comme à Vaughan, en Ontario, et à Calgary. Ces centres commerciaux ont une surface locative de plus d’un million de pieds carrés, soit l’équivalent de plus de 14 terrains de soccer. C’est presque aussi grand que le Carrefour Laval, qui compte 1,3 million de pieds carrés. Les deux «Mills» ont coûté environ 400 millions de dollars chacun à construire, en incluant les coûts de financement. Ivanhoé Cambridge a refusé de confirmer qu’il avait trouvé un emplacement pour ce centre. «On ne peut pas commenter ces rumeurs. On cherche toujours, dit Douglas Harman, vice-président, Développement, Région de l’Est. Ce n’est pas facile : ça prend des centaines d’hectares.» Une source à la Ville de Laval indique cependant que des discussions sont en cours avec l’administration pour construire le centre commercial. Le porte-parole officiel n’a cependant pas fourni d’informations à ce sujet. Le propriétaire des terrains concernés, Monit International, n’a pas commenté. Commerces et attractions Douglas Harman précise qu’en comptant les servitudes et les stationnements nécessaires pour un centre commercial de cette envergure, Ivanhoé Cambridge a besoin d’«au moins cinq millions de pieds carrés» pour construire un «Mills». Ivanhoé Cambridge a ouvert le Vaughan Mills, au nord de Toronto, en 2004, et le Cross Iron Mills, à Calgary, l’an dernier. La filiale de la Caisse cherchait depuis des années l’emplacement propice à Montréal. Les magasins à grande surface, comme Sears et Zellers, sont absents de ces projets, indique Douglas Harman. «Normalement, ils comprennent une quinzaine de commerces de 20 000 à 50 000 pieds carrés », dit-il. Le concept de «Mills» d’Ivanhoé Cambridge comprend aussi des attractions de divertissement. «À Vaughan, nous avons ouvert un Nascar SpeedPark, une piste de kart», illustre le vice-président. Le centre commercial abrite aussi un salon de quilles. Avec Marie-Eve Fournier http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/nouveau-projet-de-centre-commercial-a-laval/520949
  13. Les entrepreneurs freinent leurs ardeurs Montréal, Laval et le MTQ constatent une baisse importante du coût des travaux. «L'escompte Marteau» pourrait toutefois être de courte durée, selon le milieu policier. La mise en place de nouvelles règles d'octroi de contrats et la présence déstabilisante de l'opération Marteau ont forcé les joueurs-clés de l'industrie de la construction à freiner leur ardeur, ce qui a ouvert la porte à de nouveaux entrepreneurs et fait baisser les prix dans les municipalités, a appris Le Devoir. Cet «escompte Marteau», comme on l'appelle dans les milieux policiers et municipaux, ne serait toutefois qu'un repli stratégique le temps que l'attention sur l'organisation des contrats publics se détourne. «Ils se gardent une petite gêne pour l'instant», a expliqué une source bien au fait de la situation. Une autre personne qui a requis l'anonymat a renchéri: «Pour calmer le jeu, le club des entrepreneurs nous a donné un escompte, un rabais qu'on peut associer à Marteau. Mais le même groupe de soumissionnaires commence à revenir.» De fait, à Montréal, Laval et au ministère des Transports du Québec, on constate une baisse importante du coût des travaux au cours de la dernière année. La raison? Le marché s'est ouvert et de nouveaux entrepreneurs ont soumissionné pour obtenir des contrats d'infrastructure. À Montréal, l'écart entre l'estimation interne des coûts réalisée par la Ville et le prix final des contrats est de 36 % inférieur en ce qui a trait aux travaux d'aqueduc et d'égout. Dans le cas des travaux de chaussée, la baisse est de 36 % également. Dans le domaine des parcs et pistes cyclables, c'est une baisse de 15 % du coût des travaux. «On constate qu'il y a de nouveaux joueurs qui répondent aux appels d'offres. Certains viennent de l'extérieur de Montréal et n'ont jamais soumissionné à Montréal avant. Plus il y a d'entrepreneurs, plus les prix baissent», a expliqué au Devoir Alan DeSousa, le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal. Selon les recherches effectuées par Le Devoir dans les derniers jours, pas moins de 78,5 % des contrats octroyés par le comité exécutif de Montréal entre décembre 2009 et octobre 2010 l'ont été à des entreprises qui ne font pas partie des gros joueurs de la construction dans la région. Auparavant, c'était la proportion inverse. À peine 23 des 107 nouveaux contrats sont allés aux 15 entrepreneurs qui ont eu la part du lion des contrats sur l'île entre 2005 et 2009. Parmi ces 15 entreprises généralement dominantes dans le marché, seulement le tiers a postulé ou décroché des contrats depuis décembre: Construction Louisbourg (5), Construction Soter (5), Construction DJL (4), Construction Catcan (4), Infrabec (3) et Construction Garnier (3). Toutes ces entreprises ont obtenu les contrats depuis juin dernier. Même scénario dans le génie-conseil, alors que seulement cinq «réguliers» ont obtenu des contrats depuis un an, soit LVM (filiale de Dessau), Genivar à deux reprises, Cima+ et Groupe Séguin. Nouveaux joueurs Construction Doverco, de Saint-Eustache, est l'une des nouvelles entreprises à avoir tenté sa chance dans le marché montréalais. Cet été, elle a obtenu deux contrats d'une valeur totale de 465 000 $ pour réaliser des travaux facilitant l'accès à un centre communautaire et à un aréna. «On n'a jamais eu Montréal comme client avant», confirme le président, Yves Savard. Pourquoi avoir soumissionné cette année? «Je ne sais pas. On a tenté notre chance sur ces contrats et on les a obtenus, c'est tout.» M. Savard affirme ne jamais avoir subi de pression auparavant pour ne pas travailler à Montréal. «C'est juste une question de choix», dit-il, ajoutant qu'il va probablement continuer de brasser des affaires à Montréal. N'empêche, ils sont plusieurs comme lui depuis un an à venir de Laval, Boisbriand, Varennes, Boucherville, et même d'aussi loin que Sainte-Marthe-sur-le-Lac. Alan DeSousa affirme que les mesures prises par Montréal portent leurs fruits. D'abord, la Ville a accordé moins de contrats cet hiver, ce qui a créé une pression sur les entreprises qui cherchaient du travail. Ensuite, la Ville a fractionné les gros contrats pour permettre à de petits entrepreneurs de se qualifier. Puis, Montréal a mis un bémol à l'utilisation des consortiums, ces regroupements d'entreprises qui répondent ensemble à un contrat, notamment dans le cas des firmes de génie-conseil. «Plus il y a de consortiums, moins il y a de joueurs dans l'appel d'offres», dit M. DeSousa. Pourquoi les habitués du marché obtiennent-ils plus de contrats depuis le mois de juin, avec une pointe à la fin du mois d'août? «On regarde ça attentivement, mais on ne sait pas, dit Alan DeSousa. On pense que c'est parce que les contrats accordés sont plus gros que cet hiver, alors ils ont plus d'intérêts et d'avantages.» Une baisse à Laval Même scénario de baisse des prix à Laval, qui n'a pourtant pas mis en place de mesures spéciales depuis un an, contrairement à Montréal. La facture des travaux de rénovation des égouts et des aqueducs a baissé de 22 % depuis décembre. Dans le domaine de la chaussée, c'est une chute de 26 %. Parcs et pistes cyclables: -20 %. «On a sensiblement le même volume de contrats, mais on a beaucoup plus de soumissions à chaque appel d'offres, explique Dean Dussault, porte-parole de la Ville de Laval. On a des entreprises nouvelles qui viennent de l'extérieur, alors ça fait baisser les prix.» Y a-t-il un effet temporaire en raison de l'opération Marteau? «Je ne peux pas répondre à ça. Je dois m'en tenir aux faits. Et ces faits disent que la raison de la baisse, c'est qu'il y a plus de concurrence», dit M. Dussault. Dans le cas du ministère des Transports du Québec (MTQ), il y a aussi une chute des prix. En fin de semaine, La Presse révélait que les soumissions sont en moyenne de 16,4 % inférieures aux estimations internes des fonctionnaires. L'unité anticollusion a épluché des contrats d'une valeur de 1,7 milliard de dollars. L'économie pour le gouvernement serait de 311 millions de dollars. Au MTQ, on refuse de commenter ce qu'on nomme des «données stratégiques». À Montréal et Laval, on s'est dit incapable de chiffrer les économies pour l'instant. «On va avoir une meilleure idée dans quelques mois», affirme Alan DeSousa. http://www.ledevoir.com/societe/justice/311618/les-entrepreneurs-freinent-leurs-ardeurs
  14. Le Groupe Akka Technologies s'implante à Montréal 4 novembre 2010 | 09h23 Le groupe européen d'ingénierie AKKA Technologies s'implante à Montréal, d'où il entend rayonner partout en Amérique du Nord. AKKA Groupe Amérique du Nord prévoit embaucher plus de 100 personnes «à court terme». La société française compte plus de 5600 employés dans 11 pays à travers le monde. Au dernier semestre terminé le 30 juin, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 197,5 millions d'euros, en hausse de 19,8%, générant un bénéfice avant impôts de 10,7 millions d'euros. Les activités internationales du groupe ont représenté 11,6% du chiffre d'affaires total de la société. AKKA affirme qu'elle entend développer des «partenariats stratégiques» avec des entreprises locales dans les secteurs de l'aérospatiale, du ferroviaire et des nouvelles technologies alternatives. «AKKA Technologies reconnaît l'importance du Québec dans des industries majeures telles que l'aérospatiale et le ferroviaire. La connaissance approfondie d'AKKA Technologies dans ces secteurs d'excellence du Québec permettra d'apporter un savoir-faire ainsi que des solutions innovantes et créatives qui profiteront à toute notre industrie », a commenté dans un communiqué le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac. AKKA a reçu l'aide de Montréal International pour son implantation dans la métropole. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/11/20101104-092356.html
  15. 上海*Shanghai 17,000,000 北京*Beijing 13,200,000 广州*Guangzhou 12,000,000 深圳*Shenzhen 8,615,000 天津*Tianjin 8,200,000 重庆*Chongqing 7,500,000 香港*Hong Kong 7,055,071 东莞*Dongguan 6,950,000 南京*Nanjing 6,800,000 武汉*Wuhan 6,600,000 杭州*Hangzhou 6,300,000 沈阳*Shenyang 5,060,000 哈尔滨*Harbin 4,750,000 成都*Chengdu 4,750,000 合肥*Hefei 4,650,000 郑州*Zhengzhou 4,360,000 济南*Jinan 4,000,000 青岛*Qingdao 3,800,000 西安*Xi'an 3,800,000 http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_cities_in_the_People's_Republic_of_China_by_population 20 villes ont au moins la même population que Montréal, et la plus part sont inconnus.
  16. Au moins trois projets immobiliers verront le jour sur le boulevard René-Lévesque à Montréal dans les années à venir. Et, par ces projets, des promoteurs (Candev, Samcon et le Groupe Cholette) pourraient bien transformer l'allure du boulevard en question, entre la rue St-Denis et le coeur du centre-ville. Le plus avancé de ces projets est celui qu'a lancé le Groupe Cholette angle René-Lévesque et boulevard St-Laurent. Il s'agit d'un complexe de 170 unités réparties sur douze étages. Ces unités de logements sont destinées aux professionnels qui ne veulent qu'un pied-à-terre en ville. Un autre projet, dans les cartons du promoteur Candev, cette fois, serait à l'étude aux bureaux de l'arrondissement de Ville-Marie. Il s'agirait d'une tour résidentielle de 40 étages, doublée d'un hôtel, qui se dresseraient là où se trouve actuellement un vaste stationnement à l'angle René-Lévesque et De Bleury. Enfin, le pic des démolisseurs anéantira l'ancienne salle de spectacles Le Medley, et ce, dès l'an prochain. En lieu et place, le promoteur Samcon construira à cet endroit, soit à l'intersection de la rue St-Denis et du boulevard René-Lévesque, une tour de seize étages, comprenant près de 200 condos. D'après un reportage de Benoît Chapdelaine http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/10/18/006-Rene-Levesque-immobilier.shtml
  17. Bonjour ! J'ai décidé hier de créer une série de photo sur l'architecture des écoles. J'adore l'architecture et j'étudie en photo, donc un des mes sujets favori en photo est l'architecture et l'urbanisme. L'architecture des écoles n'est pas ce qu'il y a de plus extraordinaires, surtout celles construites après les années 60. Dans cette série j'espère pouvoir vous faire découvrir et partager des angles de vues qui feront sortir la beauté de ces immeubles souvent en mauvaise état. Voici la première photo de cette série. Construit en 1967 par le Collège Français, ce bâtiment était un annexe pour la division primaire du collège Français jusqu'en 2000. Depuis 2000, elle abrite "L'École des Premières Lettres", une OSBL dirigé par les parents des enfants.
  18. Quand on se compare, on se console! l'ilot Voyageur, c'est de la petite bière à comprer de ces projets. Skyscraper, Interrupted: 12 Stalled Projects Around the World
  19. Voici un projet intéressant en périphérie de Montréal qui mérite qu'on s'y attarde un peu! Il s'agit d'un complexe écotouristique d'envergure international situé à Sorel et qui oscille les 48M$. Étant pas très profesionnel avec tout ce qui est question de mettre des photos sur le forum, je vous laisse le lien du projet pour vous faire une idée du projet et aussi l'article de presse qui parle des dernières informations. Projet: http://www.ecomonde.ca/ Article: http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/economie/201008/30/01-4310873-un-projet-de-48-millions-a-sorel-tracy.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4315863_article_POS3
  20. Alexandre Paré, L'auteur est candidat à la maîtrise à l'Institut d'urbanisme de Montréal Je me sens en partie responsable des maladresses du conseil d'arrondissement du Plateau Mont-Royal dans sa gestion du bruit des dernières semaines. J'ai voté, il y a bientôt près d'un an, pour les candidats de Projet Montréal, un parti qui, à plusieurs égards, me rejoint dans la conception que j'ai d'une grande ville comme Montréal. Je me souviens d'avoir vu dans la prise de l'arrondissement par l'équipe de Luc Ferrandez un pas dans la bonne direction pour la ville au grand complet. Un petit pas, mais un pas quand même. J'imaginais une équipe progressiste, à l'écoute des citoyens, consciente de son influence à l'échelle métropolitaine, désireuse de voir Montréal continuer à cultiver la diversité et de faire d'elle un véritable lieu de création et d'innovation. Comme beaucoup de mes amis, de mes collègues et de mes proches, j'avais gagné mes élections. Peut-être qu'enfin, pensions-nous, les élus municipaux comprendront que les petites entreprises culturelles sont des animaux qui ont la santé fragile. Peut-être qu'enfin les élus municipaux comprendront qu'il n'est dans l'intérêt de personne de leur faire la vie dure et de les voir disparaître. C'est ce que je pensais jusqu'à très récemment. La question de la survie des petites entreprises de diffusion artistique et des bars du Plateau Mont-Royal me touche depuis plusieurs années. Bien que je n'y aie pas joué un bien grand rôle, j'ai suivi de près les événements qui ont bien failli faire fermer le Green Room (c'est finalement un incendie qui aura eu raison du bar au printemps dernier) et qui sont venus à bout du Main Hall, sur le boulevard St-Laurent. J'étais DJ les vendredis soirs au Green Room au moment où les plaintes de bruit ont commencé à se multiplier vers 2006 ou 2007. On apprendra éventuellement que ces plaintes avaient essentiellement été déposées par un seul résidant qui avait acheté une propriété derrière les salles et qui s'était donné pour mission de les fermer. L'homme en question, depuis ce temps, a déménagé. Le Zoobizarre aurait également connu à peu près le même sort. La Casa del Popolo est passée bien près d'y passer aussi. Des établissements qui, en fin de compte, se sont trouvés au centre de conflits de voisinage, pas au centre d'un problème global. Ce ne sont là que quelques exemples parmi tant d'autres petits bars ou salles de spectacles qui souffrent tous de l'arbitraire et de l'opacité des règlements municipaux qui laissent la latitude nécessaire aux policiers pour intervenir de façon souvent abusive et intimidante. Dans son message aux résidants concernant son projet « Noise », le poste de quartier 38 fait part de son intention de « rencontrer les tenanciers de clubs» et de créer « un comité de médiation pour les cas lourds ». Lors de son intervention à l'émission de Michel Desautels sur la première chaîne de Radio-Canada vendredi dernier, le maire de l'arrondissement du Plateau Mont-Royal, Luc Ferrandez, a déclaré que la décision de modifier le règlement sur le bruit de manière à pouvoir imposer des amendes plus élevées aux entreprises avait été motivée par l'incapacité de l'administration et des policiers de régler une « dizaine de cas problèmes ». Vous me permettrez donc de douter de la volonté du PDQ 38 d'utiliser son comité de médiation pour les cas lourds. L'attitude des élus municipaux face aux petites entreprises de diffusion artistique et des bars est, depuis longtemps, condescendante et témoigne d'un dédain évident pour une grande portion des acteurs de la vie nocturne montréalaise ainsi que pour un grand nombre de créateurs et d'artistes qui travaillent en marge des courants populaires ou conventionnels. Sauf que la création et l'innovation trouvent souvent leurs sources dans ces petits lieux de création et la diversité de la vie nocturne est généralement assurée par l'existence de ces petits bars. L'adoption d'un règlement universel qui ne tient pas compte de cette diversité est non seulement infantilisante, elle contribue également à uniformiser un arrondissement qui rayonne surtout par la diversité et la mixité de ses activités et de ses habitants. La question des nuisances liées au bruit en milieu urbain n'est pas négligeable, au contraire, mais il faut l'aborder en prenant soin de l'examiner sous plusieurs angles et de manière à ne pas polariser ses acteurs. Les riverains d'une artère comme l'avenue du Mont-Royal ou le boulevard St-Laurent sont, comme les autres citoyens de la ville, en droit de s'attendre à un milieu de vie relativement paisible, sauf qu'ils doivent être conscients (la plupart le sont, j'en suis certain) que ce sont également des lieux où se concentrent plusieurs activités nocturnes. Lorsque M. Ferrandez affirme que l'avenue du Mont-Royal ne comptait autrefois que quelques tavernes où une dizaine d'hommes mangeaient leurs chips en prenant une bière tranquillement, c'est à l'intelligence de tout son électorat qu'il fait offense. D'ailleurs, même si certains établissements le long de l'avenue sont plus bruyants que d'autres, ce n'est probablement pas là que se trouvent les cas les plus problématiques, mais plutôt sur des petites rues au sein de quartiers résidentiels où se sont installés certains bars. Il s'agit donc de cas particuliers qui méritent d'être traités de la sorte. Les propriétaires de bars et de salles de spectacles ne se lancent pas en affaire avec l'intention d'embêter les gens et ils tiennent généralement à leur établissement, de sorte que la ville et ses citoyens auraient beaucoup plus à gagner en s'assurant de favoriser leur succès. En imposant des amendes de plus en plus élevées, la ville enlève à ces établissements les moyens qu'ils ont de régler leurs problèmes. En intervenant de façon souvent musclée, lampes-torches à la main, les policiers font fuir une clientèle généralement constituée de jeunes gens qui n'ont rien à se reprocher. Quand un bar ou une salle de spectacles ferme, ce sont des dizaines de gens qui perdent leur emploi, des centaines d'artistes qui perdent une vitrine ou un lieu de création, et des milliers de gens comme vous et moi qui perdent un endroit de socialisation unique. Tous ces gens votent. À une époque où le cynisme de la population est nourri quotidiennement par l'indifférence et l'arrogance de politiciens à tous les paliers de gouvernement, la maladresse d'un conseil d'arrondissement qui incarnait, pour plusieurs, l'ouverture, la tolérance et l'écoute du citoyen, justifie davantage le désabusement grandissant des électeurs. La diversité de l'offre culturelle montréalaise fait qu'évidemment, tout ne peut pas plaire à tout le monde, mais tout le monde peut y trouver quelque chose. C'est une qualité dont peu de villes peuvent se vanter et il faut tout faire pour la préserver. La ville est un lieu d'échange, de cohabitation et de compromis. L'attitude des élus municipaux et du service de police de la Ville de Montréal en matière de gestion des nuisances liées au bruit ne favorise en rien l'échange, la cohabitation et le compromis. http://www.cyberpresse.ca/place-publique/opinions/cyberpresse/201009/07/01-4313291-bruit-sur-le-plateau-ne-nuisons-pas-a-la-diversite-culturelle.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_place-publique_1242600_accueil_POS1
  21. Votre opinion la dessus ? Est-ce qu'enlever les panneaux publicitaire rend la ville plus humaine ? Source: Ville de Montréal Retrait des panneaux-réclames sur Le Plateau Mont-Royal - Une première canadienne qui devrait être imitée Montréal, le 7 septembre 2010 - Les élus du Plateau-Mont-Royal seront appelés à voter ce soir une résolution visant l'enlèvement des enseignes publicitaires sur l'ensemble du territoire de l'arrondissement. « Nous voulons construire une ville à échelle humaine et cette décision nous permettra d'améliorer la qualité de vie de nos citoyens sans avoir d'incidence significative sur les revenus de la Ville », a déclaré le maire du Plateau-Mont-Royal, Luc Ferrandez. En effet, les 45 panneaux publicitaires géants sur Le Plateau ne rapportent que 40 000 $ par année en taxes à la Ville, ce qui est une somme risible en contrepartie des impacts de ces panneaux sur le territoire. Des peanuts « Chaque panneau rapporte moins de 1000 $ par année en taxes à la Ville centre. C'est des peanuts par rapport à l'importance qu'ils ont dans nos vies de tous les jours et par rapport aux profits que réalisent ces grandes entreprises », a dénoncé Alex Norris, conseiller du Mile End et responsable du dossier. « Les principaux bénéficiaires de cet arrangement sont une poignée de puissantes entreprises publicitaires. Les perdants, ce sont les citoyens qui doivent regarder ces laideurs au quotidien. C'est un très mauvais deal pour les Montréalais », a-t-il poursuivi. Advenant l'adoption du règlement, les 45 panneaux publicitaires sur le territoire du Plateau-Mont-Royal devront être démantelés, aux frais des exploitants, au cours des 12 mois suivant son entrée en vigueur, prévue pour novembre prochain. Embellissement du Plateau Mont-Royal « Nous avons toujours souhaité réduire la pollution visuelle; c'est un engagement que nous avons pris et nous allons le réaliser, a affirmé Richard Bergeron, conseiller de Jeanne-Mance et chef de la 2e opposition. Si nous voulons embellir notre ville, nous devons retirer les laideurs qui nous entourent et les panneaux publicitaires en font partie ». Le retrait des enseignes publicitaires permettra de réduire les nuisances visuelles dans l'arrondissement reliées à leur grande superficie, leur luminosité et l'encombrement du paysage urbain. « Avec cette décision, nous améliorerons les entrées et les sorties de notre arrondissement », a indiqué Richard Bergeron. Un défi aux autres arrondissements et aux autres villes Le Vermont, le Maine, Hawaï et l'Alaska ont banni depuis plusieurs années les affiches publicitaires. C'est le cas aussi de la ville de São Paulo, au Brésil, la septième plus grande ville du monde et la capitale commerciale de l'Amérique du Sud. Les avantages du retrait des panneaux-réclames sont nombreux : mise en valeur du patrimoine naturel et architectural, maintien du rythme du paysage urbain et rétablissement du prestige de certaines grandes avenues montréalaises, comme du Parc et Papineau. La Loi sur l'aménagement et l'urbanisme permet aux arrondissements et aux villes de retirer les panneaux publicitaires. « Nos recherches nous indiquent qu'aucune ville canadienne et aucun arrondissement montréalais n'ont encore agi de façon aussi complète pour bannir et faire enlever les panneaux-réclames de leur territoire. Je leur lance un défi aujourd'hui : imitez-nous et faisons de Montréal une ville sans panneaux-réclames », a conclu Alex Norris, fier d'améliorer la beauté du Plateau-Mont-Royal.
  22. Probablement un des pires noms que j'ai vu à date pour un projet... Le projet est situé sur le boulevard Gouin, à l'est du nouveau pont de la 25. La densité de ces condos détonne dans un endroit à l'architecture déjà très hétérogène. Un rendu trouvé sur le web: Une photo de la construction:
  23. http://www.cyberpresse.ca/opinions/201008/16/01-4307043-montreal-toronto-des-roles-inverses.php Pauvre fille. En vivant à Mtl, seule dans son 2 et demie, elle aurait dû sortir au lieu de se commander de la pizza.............
  24. Revitalisation Un nouveau visage pour la rue Jarry Est Le secteur Est de la rue Jarry connaîtra une profonde transformation au cours des prochaines années. Dans le but d’amorcer une véritable revitalisation de cette artère, le conseil d’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension a octroyé, lors de sa séance du 1er juin dernier, un contrat de 108 253 $ à la firme AECOM pour l’élaboration d’une étude de planification détaillée. Le consultant travaillera d’ailleurs en étroite collaboration avec les professionnels de divers services à la Ville ainsi qu’avec les partenaires du milieu que sont les commerçants, les industriels et les organismes communautaires. Une stratégie de développement économique La première étape de cette démarche consistera à mener une étude sur la stratégie de développement économique du secteur. On dressera d’abord un portrait socioéconomique de la population résidant dans la zone de la rue Jarry Est, puis on dénombrera les entreprises actives dans le milieu. Il faudra aussi cerner les besoins des résidants ainsi que les opportunités d’affaires en vue. En plus de jauger le potentiel financier, la firme évaluera les fuites commerciales potentielles et établira des comparaisons avec des projets semblables afin d’établir une stratégie de développement pour l’artère. Urbanisme en tête On abordera ensuite les thèmes de l’urbanisme, du design urbain et de l’architecture. Les experts produiront des analyses qui permettront d’encadrer le redéveloppement immobilier. Réaménagement du domaine public Le troisième volet visera le réaménagement du domaine public où une recension des composantes actuelles devra être effectuée. On compte également proposer des scénarios de réorganisation respectant l’ensemble des objectifs sectoriels, les orientations des documents de planification et d’encadrement adoptés par la Ville. Une évaluation du coût de mise en oeuvre de ces plans d’action devra suivre ces propositions. La totalité des études devra être réalisée d’ici la fin décembre 2010. Au cours de la dernière étape, on produira un plan particulier d’urbanisme où seront intégrées les recommandations résultant des analyses et des discussions précédentes. « http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/arr_vill_fr/media/documents/tournesol_aout_10.pdf
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