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  1. 20 avril 2007 Les initiatives reliées au développement durable sont nombreuses sur le Plateau-Mont-Royal. L'arrondissement a adopté des mesures s'inscrivant dans cette volonté en cherchant à préserver l'environnement. Le budget participatif du Plateau-Mont-Royal fait place à un volet dédié au développement durable et à la qualité de vie. Quelques centaines de milliers de dollars du Programme triennal d'immobilisation seront allouées à des projets liés au développement durable. «Les gens du Plateau sont vraiment concernés par l'environnement. Il suffit de faire un peu de porte-à-porte pour connaître leur intérêt. Une dame, qui réside dans un logement au troisième étage, nous a fait part de son désir de composter. Ce qui n'est pas évident pour cette locataire. C'est pourquoi, il faut être à l'écoute pour mettre des projets de l'avant», mentionne la mairesse de l'arrondissement Helen Fotopulos. La conseillère municipale Josée Duplessis, responsable du dossier de l'environnement, souligne que l'arrondissement consacre des ressources financières supplémentaires aux initiatives locales. «Il faut toutefois que les résidants réalisent que l'arrondissement ne peut assumer seul le financement de toutes les initiatives», met en garde Mme Duplessis. Les ruelles vertes, qui poussent comme des champignons à l'échelle du Plateau, sont un exemple de partenariat pour assurer la pérennité des projets de verdissement. On ne compte plus les initiatives de verdissement menées par les éco-quartier. En plus de la contribution financière de l'arrondissement, des commanditaires et des partenaires gouvernementaux supportent ces initiatives. Plusieurs initiatives La Commissions de l’aménagement urbain et du développement durable (CAUDD) déposera prochainement son rapport sur la gestion des matières résiduelles. Les conclusions feront partie du plan d'action de l'arrondissement à l'automne prochain. Le Plan de déplacement urbain, actuellement en préparation, prévoit plusieurs actions afin de réduire les gaz à effet de serre, de diminuer la vitesse de la circulation automobile, l'espace réservé à l'automobile et la circulation de transit, améliorer les voies cyclables, etc. Toutes ces suggestions s'inscrivent dans la volonté de doter l'arrondissement d'un développement durable. Cette année, l'arrondissement a modifié sa réglementation afin de réduire le nombre d'espace de stationnement pour les automobiles lors de nouvelles constructions. En contrepartie, les promoteurs doivent prévoir des espaces réservés pour ranger les vélos
  2. le mardi 17 avril 2007 Plus de 560 organismes artistiques se partageront une aide unique de 33 millions de dollars au cours des deux prochaines années. Ils ont été sélectionnés au terme « du plus grand concours de subventions jamais organisé par le Conseil des Arts du Canada (CAC) », précise l'organisme fédéral. Vingt des 33 millions de dollars sont réservés à des organismes « qui produisent un impact au-delà de la collectivité ou province dans laquelle ils sont situés », précise le CAC. En voici quelques-uns: Canadian Opera Company (Toronto): 2,2 millions $ Orchestre symphonique de Montréal: 1,7 million $ Royal Winnipeg Ballet: 434 500 $ Musée des beaux-arts de Montréal: 275 000 $ Ex-Machina (Québec): 235 000 $ Ces fonds supplémentaires leur serviront à financer leurs activités artistiques et administratives, ou encore à conquérir de nouveaux publics. De 2006 à 2008 Ces 33 millions de dollars font partie d'une enveloppe exceptionnelle globale de 50 millions que le CAC a reçue lors du budget fédéral de mai 2006. Les 17 millions restants sont consentis à des artistes, sous forme de bourses, ainsi qu'à des projets d'accroissement de l'accès du public aux arts.
  3. 17 avril 2007 La Commission de toponymie du Québec a officialisé des odonymes pour désigner trois nouveaux espaces verts dans l’arrondissement de Verdun. Deux de ces parcs se trouvent dans le quartier de L’Île-des-Sœurs, alors que le troisième est situé dans celui de Wellington-de l’Église. «Au-delà de doter l’arrondissement de trois nouvelles aires de détente, je suis particulièrement fier de nommer un de ces îlots de verdure à la mémoire d’un ex-magistrat qui s’est illustré sur la scène locale, tant au niveau municipal que provincial», a déclaré le maire de l’arrondissement de Verdun, M. Claude Trudel. Parc Lucien-Caron Cet îlot de verdure est situé face au nouveau chalet du parc Arthur-Therrien sur le boulevard Gaétan-Laberge dans le quartier de Wellington-de L’Église. Il est ainsi nommé en l’honneur de Lucien Caron (1929-2003) qui a été successivement conseiller municipal de Verdun de 1966 à 1977 et maire de Verdun de 1977 à 1985. Il a également été élu député libéral dans Verdun en 1970, puis réélu successivement en 1973, en 1976 et en 1981. Parc de l’Orée-du-Fleuve Ce parc est situé en bordure de la piste cyclable près de la rive du Saint-Laurent et voisin des tours résidentielles Les Sommets sur la Pointe Sud du quartier de L’Île-des-Sœurs. Parc des Parulines Cet autre parc se trouve à l’intersection du Chemin de la Pointe Sud et de la rue des Parulines également dans le quartier de l’Île des Sœurs. Rappelons que ces désignations de parcs ont été approuvées lors du conseil de l’arrondissement de Verdun le 26 février dernier. La Commission de toponymie du Québec assume le mandat général de gérer la nomenclature géographique du Québec. À cette fin, il lui revient d’approuver les toponymes et les odonymes qu’elle juge conformes à ses critères de choix et à ses règles d’écriture.
  4. La Presse Le lundi 16 avril 2007 Les Habitations Laurendeau construiront sous peu un nouveau complexe résidentiel à l'angle de la Promenade Ontario et de la rue Valois, dans Hochelaga-Maisonneuve. Avec des formes hors du commun, le projet sera traversé par un corridor de verdure qui reliera entre eux deux parcs du quartier. L'arrondissement vient de donner le feu vert à la construction des Cours Valois. Le constructeur lancera les travaux en mai, et espère livrer ses premiers appartements avant Noël prochain. Au total, 46 nouveaux condos viendront s'ajouter au quartier en pleine revitalisation. «La Ville, les résidants du quartier et les commerçants ont depuis longtemps entrepris de rendre sa beauté au secteur, constate Marc Laurendeau, coprésident des Habitations Laurendeau. Nous souhaitons participer à ces efforts.» «On ne veut pas qu'Hochelaga-Maisonneuve deviennent un deuxième Plateau-Mont-Royal, ajoute Roger Gallagher, directeur général de la Promenade Ontario, mais l'arrivée de jeunes professionnels dans ces appartements donnera encore plus de vigueur au quartier.» Pendant leurs emplettes, les passants pourront circuler sous les arbres, entre les trois nouveaux bâtiments. «On crée une rue verte pour les piétons, explique M. Laurendeau. Cette voie sera aménagée par la Ville et elle sera suffisamment éclairée pour être sécuritaire.» Le promoteur a fait appel au bureau d'architectes Boutros et Pratte pour dessiner les plans des futurs immeubles et leur environnement. L'équipe a notamment signé le projet Europa à Outremont, dont la phase 4 a été primée aux 22e Prix d'excellence de l'Ordre des architectes du Québec. L'architecte Raouf Boutros estime que son bureau a su créer un équilibre entre la vie urbaine et la verdure. «J'aime les édifices denses, affirme-t-il. C'est une des meilleures façons de vivre en ville et de se sentir en sécurité. Dans le cas des Cours Valois, la densité est agréable parce que les résidants partagent un espace vert central où ils peuvent se connaître.» Du petit et du grand Afin d'éviter que cette voie verte soit étouffée par les édifices de trois étages qui la bordent, les architectes ont suggéré l'utilisation de bois pour les murs extérieurs face au parc. Ce matériau réfléchira davantage la lumière que la brique utilisée pour les façades sur les rues Ontario, Valois et Nicolet. Les 46 appartements des Cours Valois sont susceptibles d'attirer un public très large. Habitations Laurendeau offrira des espaces de 515 à 1218 pieds carrés. Plusieurs appartements compteront aussi deux étages. «La clientèle d'Hochelaga-Maisonneuve est relativement jeune, et très ouverte. On peut oser davantage, et ça donne des espaces intéressants», fait remarquer Marc Laurendeau. Pour la première phase du complexe, donnant dans la rue Ontario, le promoteur fixe le prix des appartements à environ 200 $ le pied carré (entre 135 900 $ et 214 000 $, taxes incluses).
  5. laterreur

    skyline de 2016

    jai touver ca sur internet et jaimerais savoir si tout ces tour vont vraiment ce construire et estce que vous aimeriez avoir un skyline comme celui-ci ? http://img87.imageshack.us/img87/2918/mtlskyline2006champlain28jw.jpg http://img96.imageshack.us/img96/4614/mtlskyline2006champlain28jwxg0.jpg http://img241.imageshack.us/img241/1130/montrealskyline5pb1.jpg
  6. (26 mars 2007 La Presse) Les boomers, qui aujourd’hui ont entre 40 et 60 ans, sont encore une fois à la source du plus gros changement de profil de consommation que nous avons connu au cours de 10 dernières années. En effet, le nombre de personnes dans cette strate d’âge a crû, selon Statistique Canada, de 2,5 millions de consommateurs alors qu’au cours de la même période le nombre de personnes qui composent le groupe qui les suit, ceux âgés entre 20 à 39 ans, aura lui décru de 200 000 consommateurs. Or, les profils de consommation de ces deux groupes sont radicalement différents. Alors que les jeunes consommateurs dépensent surtout pour des biens et services qui sont en relation avec l’établissement de leur carrière et de leur famille, les consommateurs plus âgés, eux, dépensent pour ce qui est convenu d’appeler des biens de remplacement. Par exemple, de 25 à 45 ans, on investit dans des maisons de plus en plus grandes. Par la suite cependant, on considère des maisons ou des condos plus petits mais pas nécessairement moins chers. Il en va de même pour les produits de consommation courante. Arrivés dans la cinquantaine, les consommateurs réduisent généralement la quantité de produits consommés mais pas nécessairement leur qualité ou leur prix. On passe ainsi d’une conduite en Dodge Caravane et des achats chez Costo à l’achat d’une Subaru Impreza et des achats chez Metro, IGA ou encore Première Moisson. Il y a des gagnants et des perdants. Bien entendu, de tels changements démographiques ne sont pas sans favoriser certains secteurs de l’économie. Le premier auquel on pense est celui des produits pharmaceutiques. Alors que les boomers dépensent, par ménage, une moyenne de 320 $ en médicaments d’ordonnance par année, les consommateurs composant le groupe des 20 à 39 ans dépensent, en moyenne, 120 $. Bref, une mine (d’âge) d’or pour les pharmaciens! Par contre, si la conjoncture favorise certains secteurs de l’économie, il est possible que ces mêmes secteurs soient en recul lorsque le prochain changement de générations se fera. Tel est le cas des produits d’horticulture. Alors que les boomers affichent une consommation accrue de 63 % par rapport à ce que les consommateurs du même âge faisaient dix ans auparavant, les 29-35 consomment moins de fleurs et de plantes que ce que les boomers achetaient il y a dix ans. La question n’est donc pas uniquement de savoir quels secteurs de l’industrie perdent actuellement, cette donnée est connue. La véritable question est de savoir comment les industries qui profitent de la vague des boomers vieillissants vont se repositionner dans dix ans. Et puis il y ceux qui regardent toujours passer la parade. Alors que certaines entreprises développent des stratégies qui s’adaptent bien aux besoins de ces très nombreux consommateurs vieillissants, d’autres regardent encore passer la parade. Du côté des plus vigilants, mentionnons l’industrie de la construction qui, aidée par des organismes tels que la Société canadienne d’hypothèque et de logement, travaille depuis au moins 10 ans à prévoir les besoins des consommateurs au fur et à mesure qu’ils vieillissent. Même chose du côté des banques, qui ont compris que les hypothèques et les REÉR n’étaient pas les produits les plus vendeurs pour le marché des 55 ans et plus. Dans ce dernier cas, on assiste au lancement de plusieurs produits particulièrement bien adaptés allant de l’hypothèque inversée à l’assurance vie pour personnes âgées. Secteurs mal adaptés Mais, si certains secteurs économiques s’adaptent bien, d’autres accusent un retard certain. Trois exemples nous aiderons à illustrer cette situation. Le premier exemple touche l’industrie de la restauration minute qui a peu adapté son offre à une population ayant des besoins différents. Ainsi, si les sièges de chez McDonald’s ont été, dans les années 60, ergonomiquement bien conçus pour des enfants, il est loin d’être évident qu’ils le soient pour accueillir les nombreux boomers qui se dirigent vers la soixantaine. Même chose pour l’industrie de l’automobile dont la majeure partie de la publicité s’adresse encore à des jeunes dans la trentaine. Finalement, considérons l’exemple de la presse écrite. Alors que cette industrie s’adapte très bien à la nouvelle génération en développant une offre Web, peu d’adaptation de l’offre papier a été faite afin de s’ajuster aux besoins des lecteurs les plus loyaux - les boomers. (Soit dit en passant avez-vous de la difficulté à lire cet article? Les lettre sont peut-être trop petites?) L’Amérique du Nord, et plus particulièrement le Québec, s’apprête à vivre son plus grand choc de consommation depuis l’après-guerre. Le vieillissement des boomers change les besoins des consommateurs et les pratiques marketing doivent d’adapter. Alors que beaucoup d’entreprises se positionnent bien par rapport à ces bouleversements, d’autres, encore trop nombreuses, ne semblent toujours pas comprendre ce qui se passe.
  7. 16/03/2007Le Québec est le troisième émetteur de polluants atmosphériques en importance au Canada, selon les plus récentes données compilées par l'Association canadienne du droit de l'environnement. Il se classe quatrième pour les GES. Les installations québécoises ont rejeté en 2005 près de 600 millions de kilogrammes de polluants dans l'air, soit 15 % de la totalité émise par le Canada Ainsi, la Belle Province se classe troisième derrière la championne incontestée, l'Alberta (27 %), et sa plus proche voisine, l'Ontario (21 %). Au total, les entreprises canadiennes ont émis plus de 4 milliards de kilogrammes de polluants atmosphériques, dont les trois quarts sont jugés toxiques par la Loi canadienne sur la protection de l'environnement. Ces polluants sont associés à la contamination toxique, au smog, aux pluies acides ainsi qu'à divers effets sur la santé tels que les troubles respiratoires et le cancer. GES En ce qui a trait aux GES, le Québec se classe en quatrième position, côte à côte avec la Saskatchewan, en frôlant les 20 millions de tonnes. Le Québec est néanmoins bien loin de l'Alberta (110 millions) et de l'Ontario (80 millions). Le total canadien d'émissions de GES par les entreprises est de 279 tonnes, comparativement à 278 pour l'année 2004. Ces données sont publiées alors même qu'un comité parlementaire révise la Loi sur la qualité de l'air, qui sera déposée devant le Parlement d'ici la fin du mois. «L'environnement est la priorité des Canadiens et devrait également être la priorité de nos élus, qui devraient s'engager à apporter des changements nécessaires et à adopter une loi sur la qualité de l'air qui soit efficace», soutient Aaron Freeman, directeur des politiques pour le groupe Défense environnementale. Les chiffres sont fournis par les entreprises elles-mêmes à l'Inventaire national des rejets de polluants (INRP). Le classement est effectué à partir de ces données par l'organisme Défense environnementale et l'Association canadienne du droit de l'environnement.
  8. Les faits saillants du comité exécutif du 10 mai 2006 * Le CE a approuvé des projets d'actes d'échanges entre la Ville, la Société de transport de Montréal (STM) et l'Office municipal d'habitation de Montréal (OMHM) relatifs au site situé à l'angle des rues Berri et Jean-Talon dans l'arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, en vue de la construction d'un bâtiment d'habitation. De plus, les membres du CE ont autorisé l'OMHM à commencer les travaux pour décontaminer ces terrains. En vertu du Programme Logement Abordable Québec et du projet Solidarité 5 000 logements, l'OMHM projette de construire une résidence pour personnes âgées en légère perte d'autonomie sur le site de la station de métro Jean-Talon et désire acquérir les droits immobiliers. Pour ce faire, la Ville doit préalablement clarifier les titres de propriété sur le site et confirmer des droits de la STM par un échange de terrains. Le conseil d'agglomération aura à approuver ces projets d'acte d'échanges.
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