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  1. Le Devoir 1 avril 2017 | Jean-François Nadeau | Montréal http://www.ledevoir.com/politique/montreal/495380/le-patrimoine-de-la-rue-saint-antoine-menace
  2. Publié le 16 mars 2017 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 De nouvelles règles pour les drones récréatifs Le ministre des Transports Marc Garneau annoncera aujourd'hui de nouvelles règles de sécurité qui interdiront désormais de faire voler les drones récréatifs à plus de 90 mètres d'altitude et à moins de 75 mètres de bâtiments, de véhicules ou de personnes, a appris La Presse. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE (http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-canadienne/201703/15/01-5079190-de-nouvelles-regles-pour-les-drones-recreatifs.php#wcm:article:5079190) Joël-Denis Bellavance (https://cse.google.com/cse?cx=004348325735519040616:xugxk9rp5mm&q=Jo%C3%ABl-Denis+Bellavance) La Presse (Ottawa) La prolifération de drones récréatifs dans le ciel aux quatre coins du pays est devenue une menace pour la sécurité publique. Désirant agir avant qu'une tragédie ne survienne, le ministre des Transports Marc Garneau entend serrer la vis aux propriétaires de ces objets volants. M. Garneau annoncera aujourd'hui à l'aéroport Billy Bishop de Toronto de nouvelles règles de sécurité qui interdiront désormais de faire voler ces drones à plus de 90 mètres d'altitude et à moins de 75 mètres de bâtiments, de véhicules ou de personnes, a appris La Presse. En outre, les utilisateurs ne pourront s'amuser avec ces objets dans un rayon de neuf kilomètres du centre de tout aéroport, héliport, aérodrome ou hydrobase où décollent et atterrissent des aéronefs. Enfin, il sera interdit d'utiliser ces petits appareils durant la nuit. Le ministre Garneau confirmera l'entrée en vigueur immédiate de ces nouvelles mesures avec des représentants de compagnies aériennes et de pilotes, de même que des policiers de la Gendarmerie royale du Canada et du Service de police de Toronto pour illustrer l'importance d'agir dans ce domaine. La Fédération canadienne des municipalités avait aussi réclamé des mesures plus contraignantes. «L'utilisation de ces drones récréatifs est devenue un véritable fléau. N'importe qui peut se procurer un tel drone pour quelque 350 $ chez Walmart. Il faut imposer de nouvelles règles avant qu'une tragédie ne survienne», affirme une source gouvernementale qui a requis l'anonymat. Ces nouvelles règles toucheront les drones récréatifs dont le poids est de 250 grammes mais n'excède pas 35 kilogrammes. Les propriétaires devront aussi inscrire leurs coordonnées sur leur drone et ils devront rester loin des espaces aériens contrôlés ou règlementés, des incendies de forêt et des zones où des premiers intervenants sont à l'oeuvre. Toute personne qui contreviendra à ces règles de sécurité pourrait se voir imposer des amendes pouvant aller jusqu'à 3000 $. Le ministère des Transports encouragera d'ailleurs les gens à composer le 9-1-1 ou à communiquer avec les forces policières locales s'ils voient des propriétaires de drones récréatifs enfreindre ces règles. Le ministre Garneau a décidé d'utiliser les pouvoirs ministériels que lui confère la Loi sur l'aéronautique pour imposer d'urgence ces nouvelles règles, étant donné que les campagnes de sensibilisation au sujet de l'utilisation sécuritaire des drones près des aéroports et des autoroutes n'ont pas donné les résultats escomptés. Ces nouvelles règles s'appliqueront d'ici à ce que les nouvelles dispositions règlementaires soient adoptées - une démarche qui pourrait prendre jusqu'à un an. Incidents préoccupants De plus en plus, le ministère des Transports et les forces policières sont saisis de rapports d'événements impliquant des drones récréatifs. Des pilotes d'avion qui doivent effectuer des manoeuvres à la dernière seconde pour éviter de frapper un drone alors qu'ils s'apprêtent à faire atterrir leur aéronef. Des automobilistes qui doivent donner un coup de volant pour ne pas être heurtés par un de ces objets volants. Des personnes qui se trouvent dans un parc municipal qui sont blessées après que le propriétaire d'un drone récréatif eut perdu le contrôle de son appareil. Encore récemment, le pilote d'un Airbus A330-343 d'Air Canada qui effectuait la liaison Londres-Montréal a signalé au ministère des Transports qu'il avait aperçu un drone blanc «assez gros», en forme de losange, qui volait à une altitude d'environ de 1600 pieds au-dessus du niveau de la mer (487 mètres), dans les environs du collège Saint-Jean-Vianney, à Montréal, selon un relevé du Système de compte rendu quotidien des événements de l'aviation civile (SCRQEAC). Heureusement, aucun accident n'a eu lieu. En 2016, un hélicoptère qui effectuait un vol entre Saint-Hubert et Mirabel a signalé être passé très près d'un drone, à quelques mètres à peine, alors qu'il traversait les axes d'approche des pistes 24 à Montréal. Les nouvelles mesures ne s'appliqueront pas aux individus qui utilisent des drones à des fins commerciales, universitaires ou de recherche étant donné que ces derniers doivent obtenir des permis de Transports Canada et qu'ils sont déjà soumis à des règles contraignantes. «Au Canada, il y a eu plusieurs incidents préoccupants où des drones ont failli percuter des aéronefs. Nous devons tout mettre en oeuvre pour éviter ce genre d'incidents. [...] Aujourd'hui, en présence de la GRC, de l'Airline Pilots Association, du Conseil des aéroports du Canada, de l'Association des pilotes d'Air Canada et du Conseil national des lignes aériennes du Canada, je prends des mesures sur-le-champ pour mettre en place des dispositions coercitives qui vont protéger les Canadiens et amener ceux qui utilisent des drones à des fins récréatives à le faire prudemment», affirme le ministre, selon un texte du discours qu'il doit prononcer ce matin à Toronto.
  3. Les sans-parti | Francois Cardinal | Francois Cardinal Le rapport dévoilé cette semaine par le « conseiller spécial au renouvellement du Parti québécois », Paul St-Pierre Plamondon, est fort intéressant. Et pas juste pour le PQ. On a essentiellement retenu le caractère « vieillissant » de cette formation, comme s'il s'agissait d'une spécificité péquiste. Soyons honnêtes : on pourrait en dire autant des autres partis, tous victimes d'un désintérêt des jeunes pour la politique traditionnelle. Mais au-delà de cette manchette, le rapport révèle autre chose de plus sournois qui devrait interpeller toute la classe politique à Québec : l'existence d'une frange électorale qui ne se reconnaît pas au PQ... mais dans aucun autre parti non plus. Pour faire court, plusieurs ont affirmé que ces brebis égarées étaient « les jeunes », les milléniaux, les Y « les jeunes », les milléniaux, les Y. Suffirait de « moderniser » l'argumentaire souverainiste pour qu'ils retrouvent le chemin du bercail. Or les sans-parti au Québec, ce ne sont pas « les jeunes » : ce sont les progressistes non souverainistes... parmi lesquels se retrouvent beaucoup de jeunes. La nuance est capitale. Bien des partis à l'Assemblée nationale ouvrent leurs portes aux jeunes générations, mais aucun ne représente actuellement les progressistes qui n'ont pas (ou n'ont plus) d'appétit pour les questions référendaires, parmi lesquels on retrouve entre autres des sociaux-démocrates peu portés sur l'indépendance, des nationalistes à la Claude Ryan, des fédéralistes de gauche, etc. Il y a là un grand vide à combler, comme l'avait d'ailleurs souligné il y a trois ans... Paul St-Pierre Plamondon, dans son livre Les orphelins politiques. Les Québécois, notait-il, « ont fait savoir à plusieurs reprises » qu'ils sont « épuisés par le discours répétitif des souverainistes ». Ils sont exaspérés par le discours victimaire dans lequel on maintient le Québec. Ils ne veulent plus débattre d'échéancier référendaire et de blessures infligées dans le passé par le Canada. « Malheureusement, ajoutait-il, les péquistes ne semblent pas vouloir entendre ce message. » Et pourtant, c'est ce message que ramène aujourd'hui Plamondon lorsqu'il soutient que c'est « le fédéral » qui a réussi à « décrédibiliser le mouvement souverainiste ». C'est ce message que véhicule son rapport en imputant l'inertie politique actuelle au « plan B de Jean Chrétien ». C'est ce message que colporte le PQ lorsqu'il souligne l'anniversaire de la fédération en énumérant 150 événements où le Québec a été victime du Canada. Dans son rapport, Paul St-Pierre Plamondon observe que « de moins en moins de gens sont porteurs de la fierté québécoise ». Peut-être. Mais si c'est le cas, il y a peut-être justement un lien avec le discours ambiant (qui n'est pas exclusif au PQ) voulant que le Québec soit une victime constante du fédéral, que le français disparaisse un peu plus chaque jour et que la culture québécoise soit en train de s'effacer sous le rouleau compresseur de la mondialisation. Autant de « faits » qui sont bien moins apocalyptiques qu'on ne l'entend. Autant de hauts cris qui placent le Québec dans la position de victime plutôt que de porte-étendard du fait français dans la fédération. Autant de sujets qui éloignent le débat politique des enjeux qui animent les progressistes, comme l'environnement, l'éducation et les inégalités sociales. Sans nécessairement être fédéralistes, bien des électeurs préféreraient entendre parler de ces enjeux plutôt que de ressasser encore les blessures du rapport Durham et de la Nuit des longs couteaux. Et parmi ces électeurs, eh oui, il y a bon nombre de jeunes qui ne trouvent pas aujourd'hui de véhicule politique qui les inspire.
  4. Trois nouveaux projets de piétonnisation à Montréal La Presse | Publié le 17 janvier 2017 à 14h33 | Mis à jour à 14h33 Trois nouveaux projets de rues piétonnes feront leur apparition l'été prochain à Montréal. Les rues Saint-Ambroise et Atwater (Sud-Ouest), Roy (Plateau) et Wellington (Verdun) seront désormais dédiées aux piétons plutôt qu'aux voitures. Le projet du Sud-Ouest vise à aménager un espace de détente aux abords du Marché Atwater. Dans le Plateau, la rue Roy sera convertie entre Coloniale et de Bullion afin d'accueillir un marché public ainsi que des bacs pour effectuer de l'agriculture urbaine. Verdun misera quant à elle sur la thématique de la plage, rappel du projet de l'arrondissement qui aménagea un nouvel accès au fleuve non loin. Pour valider le choix de ces aménagements, ceux-ci seront implantés sur une base temporaire pour les deux premières années, puis permanente à partir de la troisième. Ces conversions s'inscrivent dans le cadre du programme de piétonnisation qui cherche à améliorer la vie de quartier, programme à travers lequel neuf rues ont déjà été transformées depuis 2015. À l'heure actuelle, Montréal compte un total de 45 rues piétonnes sur une base permanente ou saisonnière.
  5. 2,7M$ pour le patrimoine religieux à Montréal Le gouvernement du Québec a annoncé mardi un investissement de 2,7M$ pour la restauration du patrimoine religieux montréalais. Cette aide financière servira entre autres à effectuer des réparations et des réfections sur huit bâtiments à caractère religieux de la métropole. Le choix des projets retenus a émané de la table de concertation de Montréal du conseil du patrimoine religieux du Québec. Les sommes les plus importantes de l’enveloppe sont allouées à la cathédrale Christ Church, au centre-ville et à la Maison mère d’Youville, dans le Vieux-Montréal. Québec consacrera respectivement 1M$ et 552 500$ à ces projets de restauration. «On a un devoir de mémoire à l’égard de notre patrimoine, ça fait partie de notre histoire, de notre identité, et on veut prendre soin de ce patrimoine-là pour le léguer aux générations futures», a déclaré le ministre de la Culture et des Communications, Luc Fortin, au moment de l’annonce. Le ministre a cherché à faire valoir l’importance du patrimoine religieux dans le paysage montréalais. «Dans les pays européens, il y a beaucoup de châteaux, et les gens sont intéressés à aller les visiter. Ici, au Québec, on a moins de châteaux, mais on a beaucoup d’églises, et on souhaite les préserver et les mettre en valeur», a-t-il illustré. Le directeur des politiques d’Héritage Montréal, Dinu Bumbaru, salue ces sommes «très bienvenues», mais fait remarquer qu’elles ne représentent qu’une partie des investissements nécessaires à la réfection de ce patrimoine bâti. Il ajoute que ces projets de restauration sont souvent le fruit de mobilisations et de campagnes de financement communautaires. M. Bumbaru confirme que les quelque 600 lieux de culte de la métropole occupent une place importante au sein de son patrimoine bâti. Il fait aussi remarquer que les bâtiments proviennent de diverses communautés montréalaises de l’époque, et non pas seulement de la communauté catholique. «Le patrimoine religieux, c’est souvent la somme de tous les arts qu’on a réunis dans ces constructions», explique-t-il, en ajoutant qu’on peut voir dans les églises plusieurs formes d’expression, dont la sculpture, la peinture, le plâtre et le vitrail, entre autres. «Même si aujourd’hui on a un regard beaucoup plus critique sur les grandes confessions, il faut reconnaître ceux qui nous ont précédé ont mis beaucoup d’efforts dans la réalisation de ce patrimoine-là», juge-t-il. C'est une bonne chose mais c'est trop peu -et j'espère qu'il n'est pas trop tard pour beaucoup d'édifices religieux !! Je sais pertinemment que les Anglicans à eux seuls ont besoin d'un minimum de $2M pour remplacer la flèche dans les plus brefs délais -soit dans un peu moins de deux ans !! Comme le fait remarque Mr Bumbaru : "Il ajoute que ces projets de restauration sont souvent le fruit de mobilisations et de campagnes de financement communautaires." Je sais que les anglicans prévoient en effet d'organiser une campagne de financement afin de trouver le reste de l'argent nécessaire pour ces travaux !! 2,7M$ pour le patrimoine religieux a Montreal | Metro
  6. <header id="page-header"> 24/10/2016 Mise à jour : 24 octobre 2016 | 19:48 Ajuster la taille du texte [h=1]KM3: un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public pour le 375e[/h] Par Laurence Houde-Roy Métro </header> <figure> <figcaption> Paquet de lumière, de Gilles Mihalcean, est l'une des deux œuvres d'art permanentes du parcours KM3. Elle sera installée en face de la Maison symphonique de Montréal au coût de 672 603$. </figcaption> </figure> Un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public temporaires et permanentes intitulé KM3 sera créé à l’automne prochain et installé sur l’ensemble du territoire du Quartier des spectacles, à l’occasion du 375e anniversaire de Montréal. Ces créations, principalement installées autour de l’axe de la rue Sainte-Catherine, seront sur la place publique du 31 août au 15 octobre 2017. Décrit comme le «plus important événement d’art public temporaire extérieur à Montréal», le projet orchestré par le Partenariat du Quartier des spectacles invitera des créateurs québécois «reconnus pour leur contribution dans le domaine de l’art public, mais aussi des créateurs qui auront la possibilité de s’exprimer pour la première fois dans l’espace public» à créer ces oeuvres. L’appel à ces créateurs et les commandes seront passés au courant de la prochaine année. <aside class="related-articles"> </aside> «L’événement mettra en valeur les arts visuels, l’art urbain, l’art numérique, le design et l’architecture en occupant des murs d’édifices, des places publiques et des lieux inusités», indique le Partenariat du Quartier des spectacles. Paquet de lumière, de Gilles Mihalcean, sera installée en face de la Maison symphonique de Montréal Seulement deux oeuvres de ce parcours ont été dévoilées lundi. Contrairement au reste des oeuvres, celles-ci seront permanentes et seront acquises par la Ville de Montréal. Elles seront situées sur la rue Émery, en face du cinéma Quartier Latin, et sur le Parterre, en face de la Maison symphonique de Montréal. Une troisième oeuvre permanente sera dévoilée. À la fin de cette édition, les installations artistiques iront rejoindre la collection permanente du Partenariat du Quartier des spectacles et pourront être présentées ailleurs dans le monde. Lux Obscura, de Jonathan Villeneuve, sera installée sur la rue Emery, en face du cinéma Quartier Latin Le Quartier des spectacles souhaite faire de KM3 un événement bisannuel et en faire une offre touristique importante. La scénographie de cette première édition a été confiée à Melissa Mongiat et Mouna Andraos, à qui l’on doit notamment les fameuses 21 Balançoires. <aside class="stat-highlight"> 2,5M$ L’aide financière de 2,5 M$ provenant de la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec permettra la réalisation de plusieurs oeuvres temporaires (1,5 M$), puis la création de deux nouvelles oeuvres d’art public permanentes (1 M$) acquises par la Ville de Montréal. </aside> KM3: un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public pour le 375e | Metro
  7. <header id="page-header"> 12/10/2016 Mise à jour : 12 octobre 2016 | 4:00 Découvrez Loop, la nouvelle oeuvre de l’événement Luminothérapie Par Jeff Yates Métro </header> <figure> <figcaption> Un projet d'ekumen, conçu et réalisé par Olivier Girouard, Jonathan Villeneuve et Ottoblix en collaboration avec Generique design et Jérôme Roy </figcaption> </figure> À partir du 8 décembre au Quartier des spectacles, contes de fées, roues futuristes et techniques d’animation anciennes se rencontreront avec Loop, la toute nouvelle installation d’art public dans le cadre de l’événement Luminothérapie. L’œuvre a été choisie suite à un concours organisé par le Quartier des spectacles. Métro a pu obtenir un aperçu du gagnant, qui sera dévoilé officiellement mercredi matin. Les 13 exemplaires de Loop ressemblent à de grosses roues futuristes au centre desquelles on peut s’assoir. Une manivelle permet à une ou deux personnes d’actionner le mécanisme, qui fait tourner une bande d’images autour des utilisateurs. Au gré du mouvement de la manivelle, des lumières clignotent, ce qui crée l’illusion que les images s’animent. Le principe est presque identique à celui du zootrope, l’ancêtre du cinéma, explique un des concepteurs, Olivier Girouard. Le mécanisme rappelle aussi la draisine à levier, ce mode de transport qu’on voit dans les anciens westerns ou dans les dessins animés de Bugs Bunny. Une boîte à musique actionnée par le mouvement de la roue apporte quant à elle une dimension sonore à l’œuvre. L’idée était d’ailleurs de combiner d’anciennes technologies avec un habillement futuriste, selon un autre des concepteurs, Jonathan Villeneuve. «On voulait partir de technologies ultra archaïques, la boite à musique, le zootrope, la draisine à levier. On voulait les transformer et de les inclure dans un objet qui a vraiment l’air sorti du futur.» Les courtes séquences se veulent une sorte de version analogue des gif animés, ces images en mouvement qui pullulent sur le web. «Tout ce qu’on voit sur notre ordinateur, ça a commencé avec des technologies primitives comme ça. C’est un retour à ces racines-là», précise M. Girouard. Le thème de l’édition 2016-2017 de Luminothérapie est le conte traditionnel, tels La belle au bois dormant et Le Petit chaperon rouge. Chacune des installations Loop contiendra une courte animation de trois ou quatre secondes mettant en vedette un de ces comptes. Des vidéoprojections sur les bâtiments autour du site agiront aussi à titre de décor pour les contes, illustre M. Girouard. «Parce que c’est si court et si rapide, c’est mieux de jouer avec des images hyper connues, avance-t-il. La compréhension des images doit se faire tout de suite.» Le projet Loop a été choisi parmi 5 finalistes d’un concours organisé pour le compte de la 7ième édition de Luminothérapie. Il a été réalisé en collaboration avec les entreprises Ottoblix et Generique design, ainsi que Jérôme Roy et Thomas Ouellet Fredericks. Decouvrez Loop, la nouvelle oeuvre de l’evenement Luminotherapie | Metro
  8. Dans un autre ordre d'idée et d'un point de vue purement sportif et de loisir, voici un article intéressant sur certains sentiers de marche au Québec. Certains y ajouteront volontairement une dimension religieuse, cela dépend de chacun. En ce qui me concerne, c'est la beauté de l'activité, son côté humain et sa dimension culturelle qui me procurent bien-être et satisfaction à tous les niveaux. Allez sur le site pour plus de détails avec les cartes des différents parcours. http://ici.radio-canada.ca/regions/special/2016/marcher-compostelle-quebec/index.html Marcher sur les chemins de Compostelle du Québec Les amateurs de marche de longue distance peuvent désormais emprunter plusieurs itinéraires dans différentes régions du Québec, à la manière des pèlerins qui parcourent les chemins menant à Saint-Jacques-de-Compostelle. Marcher sur le long ruban qui s’étire devant soi. Ne penser à rien et apprécier ces étendues qui s’offrent au regard. Humer les effluves émanant des territoires qu’on traverse ou ressasser les événements de la vie pour les désamorcer. On retrouve un peu de tout ça chez ceux qui décident d’entreprendre une marche de longue distance, que ce soit à Compostelle ou ici au Québec. Depuis une quinzaine d'années, nous entendons de plus en plus parler de Québécois qui vont marcher en Europe, sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. En 2014, plus de 210 000 pèlerins de toutes les régions du monde se sont rendus, à pied, jusqu’à cette ville du nord-ouest de l’Espagne. Certains ont parcouru des centaines de kilomètres, marchant pendant cinq ou six semaines, parfois plus. La marche de longue durée permet de visiter les régions rurales du Québec. Photo : ICI Radio-Canada Marcher au Québec L'Association québécoise des pèlerins et amis du chemin de Saint-Jacques rapporte qu'en 2015, 998 de ses membres se sont rendus en Europe marcher sur l'une ou l'autre des voies menant à Compostelle. Plusieurs de ces Québécois, en revenant ici, ont senti le besoin de développer des circuits de marche s'inspirant des chemins de Compostelle. Ces chemins québécois ont gagné en popularité au fil des ans. Comme en Europe, les marcheurs qui empruntent les voies québécoises peuvent marcher pendant plusieurs jours, sur des centaines de kilomètres. Parmi les itinéraires qui se démarquent au Québec, on retrouve : le chemin de Saint-Rémi : 820 km en 43 jours, de Saint-Adrien-de-Ham en Estrie à Sainte-Florence dans la vallée de la Matapédia le sentier Notre-Dame Kapatakan : 215 km en 10 à 15 jours, de Rivière-Éternité à Lac-Bouchette, au Saguenay-Lac-Saint-Jean le chemin des Sanctuaires : 375 km en 18 jours, de Montréal à Sainte-Anne-de-Beaupré le chemin des Navigateurs : 400 km en 21 jours, de Pointe-au- Père dans le Bas-Saint-Laurent à Sainte-Anne-de-Beaupré Une bonne chaussure est la clé d'une marche réussie. Photo : ICI Radio-Canada À chacun son défi Qu'est-ce qui motive les marcheurs à parcourir 20, 25 et parfois 30 kilomètres par jour? Certains sont d'abord inspirés par des motifs religieux. D'autres y voient plutôt un défi physique ou une occasion de faire une pause et de se détacher de leur routine. Certaines personnes le font pour voir du pays d'une manière différente. Quelle que soit sa motivation, quiconque a complété une longue marche de ce genre affirme que l'expérience a été enrichissante. Et bien des gens ont, à ce point, été marqués qu'ils souhaitent reprendre leurs souliers de marche et leur sac à dos et repartir sur un de ces chemins. | SUIVANT > Réalisation web : Denis Castonguay
  9. Ouverte depuis le 31 mai 2016. C'est la succursale qui était au coin de la 30e avenue qui a déménagé dans ces nouveaux locaux. Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk
  10. http://journalmetro.com/opinions/coup-de-coeur-coup-de-gueule/960959/fort-mcmurray-le-trou-du-cul-du-monde/ 09/05/2016 Mise à jour : 9 mai 2016 | 11:57 «Fort McMurray, le trou du cul du monde» Par Jean-François Hotte Ancien étudiant de l’Université du Québec à Montréal en administration des affaires, voyageur, écrivain et amateur de photographie, Jean-François Hotte a publié ce billet sur son blogue personnel, à la suite des incendies de Fort McMurray. Vous pouvez suivre l’auteur ici: Page Facebook. *** Je m’excuse à l’avance, il est possible que la poussière ne soit pas encore retombée. Avant de lire ces quelques lignes, il faut mettre de coté la sensibilité et la compassion pour les gens qui ont perdu leur maison. Sans coeur, aussi immonde que ça puisse paraître, il faut faire abstraction de ces vies chamboulées. Il y a parfois des événements ironiques dans la vie. Des situations qui nous permettent de penser autrement, en perspective, à quelque chose de plus grand. Un court séjour chez Maurice J’ai déménagé à Fort McMurray en 2009. Comme plusieurs autres canadiens, je cherchais un moyen facile de faire de l’argent. Un salaire de 100 000$ par année, c’était attrayant pour un jeune de 19 ans tout juste gradué du Cégep. «Je vais placer de l’argent de côté, payer mes dettes d’études, et je reviendrai au Québec avec un gros char». C’est la même pensée qui traverse l’esprit de milliers de jeunes canadiens à chaque année. Il n’en fallait pas plus pour nous attirer! Mon ami et moi étions déjà en route pour le trou du cul du monde: Fort McMurray. Jamais auparavant j’avais vu autant de pick-ups! Que ce soit dans les rues, les entrées de maisons ou le stationnement du Walmart, il y en avait partout. À Fort McMurray, il y a plus de concessionnaires que d’organismes communautaires, de bibliothèques et d’écoles mis ensemble. On se le répétait: bientôt, nous allions être riches! Quelques nuits difficiles à dormir dans notre vieille caravan, le temps de trouver un emploi… et le tour est joué! Quelques jours plus tard, nous avions trouvé une chambre à louer chez une famille de Québécois. Le visage de Fort McMurray, c’était cette famille de la Beauce. Ils avaient déclaré faillite, ils étaient sans ressources et sans moyens. Pour eux, avec leurs deux adolescents, «Le Mac» c’était leur dernier espoir. Ces Beaucerons n’avaient aucune éducation, toute la famille était obèse, à chaque soir ils commandaient du poulet frit ou de la pizza. Les caisses de Coca-Cola et de Molson Canadian faisaient partie intégrante de la décoration. Bref, une famille colonisée, des truckers de Fort. Mc. Maurice nous demandait 1000$ pour une petite chambre avec deux lits simples. Un pied séparait les deux lits, on s’entendaient péter. Ça allait faire la job! Une maison fièrement acheté 500 000$ par les propriétaires, payé par les chambreurs, nous étions 8! Maurice nous l’avait bien dit: «Le Québec c’est de la marde, jamais j’aurais pu m’acheter une grosse cabane là-bas». Même après une faillite, c’est très facile de trouver un prêteur dans le Mac, surtout avec un revenu de 100 000$ pour chauffer un camion ou ramasser les ordures. Maurice allait faire fortune, il était en train de construire 4 nouvelles petites chambres au sous-sol pour les prochains arrivants, il planifiait s’acheter une deuxième maison. Maurice avait des rêves. Ça ne faisait même pas un mois que nous étions là qu’il augmenta notre loyer à 1200$ par mois. Si l’on refusait, nous devions quitter le lendemain matin. C’est ce qu’on a fait, salut mon cher Maurice! Une grosse Mustang flambette À Fort McMurray, il fait toujours gris, les gens boivent beaucoup d’alcool. Cette ville connaît un grave problème de prostitution, de jeu et de drogue. Pour la plupart, des gens peu éduqués qui veulent s’enrichir rapidement, c’est un mélange toxique pour n’importe quelle société. En investissant dans cette ville éloignée, le Canada participe au génocide intellectuel d’une nation. Comme au Far West, les hommes se promènent en pick-up neuf, le menton bien haut, c’est ça la vie. Il y a souvent des bagarres, les gens consomment beaucoup de drogue pour oublier l’ennui, beaucoup de drogue. Lorsque j’ai commencé à travailler comme agent de sécurité sur une mine, tout le monde avait un seul but: faire fortune sans études en se renseignant le moins possible sur le monde autour. La sélection naturelle renversée. Fort McMurray, c’est le paradis de l’individualisme et de la bêtise. Jean Chrétien nous l’a dit, c’est ça le plus meilleur pays au monde. Je me sentais comme dans un livre de Orwell, une société sans culture, sans personnalité, un objectif commun: dépenser son argent dans les bars, les voitures et sur les tables de Blackjack du Boomtown. C’est là-bas que j’ai rencontré Ashley, une trentenaire de l’Ontario venue habiter à Fort McMurray pour payer ses dettes exubérantes. Elle était là depuis seulement 4 mois, sa première décision fut d’emprunter 50 000$ pour s’acheter une Mustang de l’année. Flambette! Comment vas-tu payer tes dettes Ashley? «Pas grave, avec mon gros salaire, je vais finir par tout payer». Le trou du cul du monde Ces rencontres et constatations furent des événements catalyseurs pour moi. Quant à ma perception de l’économie et de la société canadienne. Je ne me suis jamais senti autant différent, autant Québécois. Dernièrement, j’ai entendu des politiciens dire à quel point nous devrions être fiers de Fort McMurray. Non, il y a aucune raison d’être fier de Fort McMurray. Il m’est arrivé souvent de penser que cet endroit allait exploser, être abandonné ou même brûler avec tout ce pétrole qui lui sortait par les oreilles. Non seulement, c’est une tragédie environnementale, mais c’est aussi un poison pour le progrès humain. Lorsqu’on investit dans le pétrole, on détruit des milliers d’âmes créatives. Au lieu d’étudier et participer au progrès, des milliers de jeunes vont mourir là-bas; pour quelques dollars additionnels. Le coût de renonciation pour le Canada est énorme. Ça prend de l’imagination et du cran pour faire autrement. Nous l’aurions peut-être notre grande innovation, notre grand succès commercial, notre voiture électrique, si ce n’était pas du pétrole. Nous l’aurions peut-être notre indépendance énergétique, notre belle utopie scandinave. Lorsqu’on fait le choix facile du pétrole, au nom de la productivité, au nom du développement économique, on enterre des futurs scientifiques, on intensifie notre déclin. L’ère des hydrocarbures est révolue au moment où nous devrions investir dans l’économie du 21e siècle. Après ce feu, pourquoi reconstruire? Pourquoi réinvestir des milliards de dollars à Fort McMurray. Selon plusieurs études dont celle du National Energy Board, les ressources pétrolières seront totalement épuisés en 2050 et le baril de pétrole restera sous la barre de 100$ jusqu’en 2040. C’est un pari trop risqué. Fort McMurray n’amène aucune innovation, aucun progrès social, aucune matière grise. Fort McMurray enrichie les concessionnaires et les compagnies de construction, tout cet argent est jeté à la poubelle. Ce feu remet les choses en perspectives. Je vais vous le dire franchement, Fort McMurray, c’est le trou du cul du monde. Reconstruire, pourquoi? Aussi cru que ça puisse paraître, je ne reconstruirais rien, je laisserais le courant naturel des choses faire son oeuvre, le feu de Fort McMurray, c’est l’opportunité de nous sortir des hydrocarbures. Pourquoi dépenser plusieurs milliards, encore, dans une industrie destinée à mourir? Pour stimuler la productivité et le PIB par la dette? Pour créer des emplois dans la construction? Pour épuiser une ressource de moins en moins rentable dans un endroit qui n’existera plus dans 40 ans? Dans un monde idéal ce serait le moment de recommencer sur de nouvelles bases, dans un monde meilleur il serait temps de relocaliser et former ces gens dans l’économie du 21e siècle. Ce feu est une grande ironie. Monsieur Trudeau, vous avez tout un défi devant vous. Faire le choix facile de l’économie du pétrole et perpétuer cette tradition toxique. Ou alors faire le choix du progrès humain. La balle est dans votre camp. —————————————————— Mis à jour Dimanche 8 Mai 19:05. Ne méprenez pas mes propos, je suis triste pour les gens éprouvés dans cette tragédie, mais je suis de ceux qui croit que ce malheur en cache un autre bien plus important.
  11. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2016/04/26/003-culture-tourisme-montreal-etude.shtml Un touriste sur quatre vient à Montréal pour la culture Publié le mardi 26 avril 2016 à 15 h 54 Le Festival international de jazz de Montréal Si l'on sait que les nombreux festivals et musées attiraient leur lot de touristes à Montréal chaque année, une étude confirme l'importance de la culture dans le portrait touristique de la métropole. Ainsi, 26 % des touristes, soit un sur quatre, choisissent Montréal comme destination de voyage pour son offre culturelle. L'étude, commandée par Tourisme Montréal, montre également que ces visiteurs culturels dépensent 1,1 milliard de dollars dans la métropole. Chaque année, 2,3 millions de touristes viennent à Montréal pour un événement culturel. Leurs dépenses représentent 44,9 % des dépenses touristiques totales. À lire aussi : Le tourisme musical, le sauveur des festivals payants à Montréal? Quels événements attirent principalement ces touristes? Les festivals attirent à eux seuls 7,5 millions de visites et quatre d'entre eux totalisent un achalandage de 4,2 millions de visites. Il s'agit du Festival international de jazz de Montréal, des FrancoFolies, du Festival Juste pour rire et de Montréal en lumière. Les musées montréalais ne sont pas en reste, avec 7 millions d'entrées, soit 49 % de la fréquentation totale des musées pour le Québec. Les attraits culturels accueillent 9 millions de visiteurs et les arts de la scène 3 millions d'entrées. La firme LJM Conseil a réalisé cette étude pour le compte de Tourisme Montréal. Puisqu'il existe peu de données et de statistiques sur le tourisme culturel, LJM Conseil a croisé des données provenant de diverses sources, comme Statistique Canada, l'Observatoire de la culture et des communications du Québec et des sondages commandés par Tourisme Montréal. Rappelons que, l'automne dernier, Tourisme Montréal a lancé le Passeport MTL culture. Avec ce forfait, les touristes peuvent, sous réserve de disponibilité, assister à des pièces de théâtre, à des spectacles de danse, à des concerts et à quelques festivals, en plus d'accéder à des expositions. Cette offre regroupe 31 organismes culturels, dont le TNM, le Musée des beaux-arts, l'Igloofest, l'Orchestre symphonique de Montréal (OSM) et le Festival international de la littérature.
  12. Je suis passé par là il ya quelques jours et le gros lot en rouge est en démolition. Les deux autres lots encerclés en rouge semblent abandonnés et faisant partie de la même compagnie d'antan... Ces terrains sont immenses et pourraient très bien faire du résidentiel... à suivre. Évidemment si vous avez une idée de ce qui se passe là, n'hésitez pas à commenter le fil.
  13. « IMAGINÉ AU QUÉBEC » LP MAURICE Je me rappelle encore quand j’ai déballé mon premier iPhone. C’était en 2007 et j’habitais à l’époque aux États-Unis. J’ai eu accès au iPhone 1, un produit qui allait changer ma vie (et le monde entier), avant même qu’il ne soit accessible au Canada ou ailleurs. Je me rappelle encore ce qui m’avait frappé le plus en ouvrant la boîte, soit une courte phrase très visible sur le côté de la boîte : « Designed by Apple in California ». Même si l’iPhone est assemblé et fabriqué majoritairement en Asie, Apple avait jugé bon de rappeler à ses utilisateurs que ce produit avait été imaginé par son équipe de talentueux ingénieurs en Californie. Récemment, j’ai vu une publicité imprimée pour le service Téo Taxi, une nouvelle entreprise pilotée par l’entrepreneur en série Alexandre Taillefer. L’annonce affiche en gros caractères le slogan suivant : « Imaginé et créé par des gens d’ici ». En plus d’une photo d’un taxi blanc et vert, on y lit seulement une autre phrase en plus petits caractères : « Imaginer, explorer, douter… jusqu’à l’épuisement. Recommencer, passionnément, intensément, jusqu’à devenir réel. » Wow ! Comme Apple, Téo a jugé bon de mettre de l’avant fièrement son processus créatif et son caractère local. Pourquoi nous, les entrepreneurs d’ici, ne ferions-nous pas de même plus souvent ? Dans le passé, on a souvent parlé du « fabriqué au Québec ». Il y a même eu quelques efforts déployés afin de créer des programmes pour favoriser l’achat de produits locaux faits au Québec. Mais l’économie a changé. Avec la mondialisation, nous sommes entrés davantage dans une économie de savoir que de production. Et si nous parlions plutôt de « imaginé au Québec » ? FIERTÉ En me baladant à San Francisco récemment, j’ai aperçu dans une vitrine le symbole d’arbre vert de la start-up montréalaise Breather, qui offre des espaces de travail sur demande. Fierté immédiate. En conduisant sur l’autoroute dans Silicon Valley, j’ai vu une affiche pour le spectacle québécois Cavalia. Fierté. Quand j’étais à Toronto, j’ai vu les vélos de ville style BIXI exploités par PBSC Urban Solutions établie à Longueuil. Fierté. Un préposé d’une boutique indépendante à New York m’a servi avec une tablette propulsée par Lightspeed, une entreprise montréalaise de commerce électronique. À Los Angeles, il y a le nouveau terminal d’aéroport LAX animé par la magie de Moment Factory. Toutes ces expériences ont été imaginées au Québec. Ces marques laissent savoir au monde que nous sommes là, nous innovons, et que nos produits sont de classe mondiale. Quand j’ai démarré le site Busbud avec mes cofondateurs en 2011, nous avons fièrement apposé l’inscription « Built in Montreal » au bas de notre page d’accueil. Presque cinq ans plus tard, c’est pratiquement la seule partie de notre site web qui n’a pas changé. Aujourd’hui, des millions de voyageurs de plus de 50 pays qui utilisent notre site chaque mois pour réserver leurs billets d’autocars voient cette mention sur chaque page. Ils voient un produit imaginé au Québec qui a une portée mondiale. Nous gardons cette inscription avec fierté à ce jour. ARGUMENTS ÉCONOMIQUES C’est une question de fierté, mais c’est aussi une question économique. Le Québec est capable de bâtir des entreprises qui sont des modèles d’innovation, qui peuvent à la fois servir le marché québécois et se démarquer à l’international. Celles-ci créent des emplois ici et, à long terme, une plus grande fraction de leurs revenus, taxes et impôts restent au Québec, vis-à-vis des entreprises étrangères. C’est bon pour notre économie. Ces entreprises peuvent s’appuyer sur un avantage local pour se différencier. Par exemple, une infrastructure d’hydroélectricité bien développée au Québec peut aider Téo pour l’électrification de ses transports. Ces entreprises peuvent aussi mieux servir les besoins spécifiques de la clientèle locale, possiblement via des partenaires locaux. Le modèle d’affaires de Téo innove en apportant notamment une valeur sociale et écologique. Avec le temps, certaines entreprises deviendront même capables de sainement concurrencer les géants mondiaux. Continuons de miser sur notre créativité pour développer des concepts originaux. En tant que consommateurs, supportons ensemble ces innovations « imaginées au Québec » en votant avec notre portefeuille quand il est logique de le faire. Entrepreneurs, affichons fièrement nos couleurs. Ici, et partout au monde. http://plus.lapresse.ca/screens/d1ab8908-e9a9-4ccc-8eb9-75b1a3c6a2b4%7C_0.html
  14. http://journalmetro.com/actualites/montreal/949833/projet-montreal-veut-bloquer-lachat-de-lampadaires-del/ 17/04/2016 Mise à jour : 17 avril 2016 | 21:36 Projet Montréal veut bloquer l’achat de lampadaires DEL Par Rédaction Métro Getty Images/iStockphoto Le parti Projet Montréal déposera lundi une motion au conseil municipal pour tenter de faire suspendre le projet d’achat de 110 000 lampadaires munis d’ampoules DEL blanches. Ce contrat est d’une valeur de 110 M$ Selon le parti d’opposition à l’hôtel de ville, ces lampadaires contribuent à la pollution lumineuse et pourraient comporter certains risque pour la santé, dont le dérèglement de cycles de sommeil à cause de la lumière bleue qu’ils produisent. La Ville avait affirmé à Métro en septembre que ces risques n’ont été mesuré que chez des travailleurs ayant subi des expositions à ces lumières sur une longue période et à forte intensité. L’administration affirme aussi que les ampoules DEL réduiraient les coûts d’entretien de 55% et la facture d’électricité de moitié par rapport aux ampoules au sodium. Une économie de plusieurs dizaines de millions de dollars.
  15. La Ville de Montréal a dégagé un surplus de 146 millions en 2015. Les états financiers rendus publics ce matin démontrent que plusieurs de ses revenus ont dépassé les attentes tandis que certaines compressions ont été plus efficaces que prévu. Montréal a ainsi récolté pour 3,2 milliards en taxes, soit 32 millions de plus que ce qui avait été prévu au budget. La vigueur du marché immobilier a aussi permis de récolter 31 millions de plus que prévu en droits de mutation (la fameuse taxe de Bienvenue, du nom de l'ancien ministre ayant introduit celle-ci en 1976). À l'inverse, plusieurs dépenses ont été inférieures aux prévisions. Montréal a dépensé 2,4 milliards en rémunération en 2015, 36 millions de moins qu'anticipé. Une importante partie de ces économies provient des effets de la Loi sur la santé financière et la pérennité des régimes de retraite à prestations déterminées du secteur municipal, ainsi que des postes laissés vacants. « Gestion rigoureuse » La bonne santé financière ne se limite pas à la ville-centre. En fait, la moitié des surplus provient même des arrondissements, les 19 administrations locales ayant réussi à dégager un surplus. Le président du comité exécutif, Pierre Desrochers, y voit un signe que la réforme du financement des arrondissements n'a pas eu les effets catastrophiques que certains maires locaux prédisaient. L'administration Coderre s'est félicitée de ces résultats, estimant qu'ils illustrent sa gestion rigoureuse. « Ça prouve qu'on est capables d'avoir une rigueur financière, sans aller au détriment des services aux citoyens », a déclaré Pierre Desrochers, qui agit comme bras droit du maire. Montréal dispose désormais de 706 millions en réserves en cas d'imprévus. Le service de l'eau dispose à lui seul d'un coussin de 170 millions. Rappelons que la réfection des égouts et aqueducs impose d'augmenter considérablement le nombre de chantiers. Baisse de revenu pour les contraventions Les contraventions ont à nouveau été inférieures aux prévisions. La métropole dit avoir récolté pour 171 millions en amendes et pénalités, alors qu'elle escomptait en avoir pour 200 millions. La baisse la plus marquée provient des policiers qui ont distribué pour 69 millions de contraventions alors que Montréal prévoyait que la note s'élèverait plutôt à 84 millions. Les pompiers aussi n'ont pas atteint les cibles de la Ville. En fait, ceux-ci n'ont pratiquement pas donné de contraventions lors de leurs inspections, le total des amendes s'élevant à un peu plus d'un million, alors que Montréal prévoyait 4 millions. « On est préoccupés par cette diminution, pas tant sur le plan financier parce qu'on n'est pas dépendants de ces revenus, mais pour la sécurité des citoyens. On veut s'assurer que nos policiers fassent leur travail », a indiqué Pierre Desrochers. Montréal paye de plus en plus comptant La métropole paye de plus en plus comptant ses achats plutôt que recours à des emprunts, qui finissent par coûter beaucoup plus cher à long terme. En 2015, 55 % des immobilisations ont été payées comptant, contre 36 % en 2014, a indiqué Pierre Desrochers, président du comité exécutif. Pour arriver à ce chiffre, la métropole tient compte des subventions Le déneigement a coûté 146 millions en 2015, soit 10 millions de moins que ce qui avait été budgété. Montréal a reçu 215 cm en 2015. Dette en hausse La dette nette de Montréal se chiffre désormais à 4,8 milliards, selon les états financiers. Chaque Montréalais « doit » ainsi 2653 $. C'est le montant le plus élevé depuis les fusions en 2001. À l'époque, la dette par citoyen était de 2511 $. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201604/13/01-4970672-montreal-termine-2015-avec-un-surplus-de-146-millions.php
  16. http://journalmetro.com/actualites/montreal/917779/olympiades-dhiver-pour-le-375e-anniversaire-de-montreal/ 17/02/2016 Mise à jour : 17 février 2016 | 3:00 Olympiades d’hiver pour le 375e anniversaire de Montréal Par Laurence Houde-Roy Métro Eric Delbaere/Collaboration spéciale Les organisateurs souhaitent donner aux Montréalais l'envie d'aller jouer dehors. Concours de déneigement de voitures, de fabrication de bonshommes de neige, d’installation d’abris d’auto, de lancer de sapin et de glissade en bacs de recyclage : c’est notamment en pratiquant ces sports inusités que les Montréalais pourront célébrer le 375e anniversaire de Montréal en février prochain. La Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal annoncera aujourd’hui la création des Hivernales qui se tiendront durant deux semaines de février 2017, une sorte d’olympiades d’hiver évoquant les premiers carnavals d’hiver tenus à Montréal à la fin des années 1880. «Mais on n’aura rien à leur envier, affirme Gilbert Rozon, commissaire aux célébrations du 375e anniversaire de Montréal. On va créer l’atmosphère d’aujourd’hui avec les moyens d’aujourd’hui. Ceux qui ont connu les premières olympiades trouveront même qu’on a progressé.» M. Rozon espère, par ces activités d’hiver, ajouter un peu de magie à la métropole et donner envie aux Montréalais d’aller jouer dehors. «C’est peut-être simpliste, mais je trouve que l’éclairage de Noël, cela a toujours été magnifique, mais il y a en ce moment une tendance à lever le pied, d’en faire moins», regrette-t-il. Avec l’arrivée dans la métropole de festivals hivernaux comme Montréal en lumière et l’Igloofest, M. Rozon trouve qu’une «sorte de modernisme s’est installé». «On a identifié des places où on peut faire mieux», ajoute-t-il. Avec ces Hivernales, tous les Montréalais seront invités à s’inscrire à des activités sportives sous formes de compétitions amicales, comme une course à obstacles, du curling ludique, du vélo d’hiver et un tournoi de hockey en plein air. Les Hivernales s’allieront d’ailleurs aux 3 festivals hivernaux de Montréal pour la réalisation de ses activités, soit Montréal en lumière, Igloofest et la Fête des neiges. Plusieurs des activités ludiques des olympiades se dérouleront en partenariat avec ces festivals. Ces trois festivals ont d’ailleurs été invité à intégrer dans leur programmation les trois thèmes que les Hivernales mettront à l’honneur : la lumière, la bouffe et le fait de jouer dehors. «[Ces trois thèmes] seront mis à contribution de façon beaucoup plus exceptionnelle qu’à l’accoutumé», insiste Gilbert Rozon. Les Hivernales se dérouleront principalement dans les trois lieux où se tiennent ces festivals: le parc Jean-Drapeau, le Vieux-Montréal et le Quartier des spectacles (sur la Place des festivals et dans les rues du quartier). «On va soit s’intégrer ou se coller à ces festivals, on va créer des ponts tout en gardant chacun notre caractère distinct, explique Gilbert Rozon. L’idée, c’est de miser sur ce qui existe déjà, de l’amplifier. Idéalement, ça donne l’idée de répéter le tout chaque année par la suite.» «Une élite sportive de haut niveau» sera également invitée pendant le festival pour faire des démonstrations de leur sport. Lorsqu’on demande à Gilbert Rozon s’il compte organiser des événements aussi importants que lors du 350e anniversaire de Montréal en 1992, où il y avait eu des spectacles de 10h et une parade avec 15 000 figurants et 250 000 spectateurs, sa réponse est «oui». «On a regardé ce qu’ils avaient fait et ce qu’avait fait Québec pour son 400e anniversaire. On a essayé de prendre les bons coups de chacun et de les mettre à notre sauce et d’innover. Donc attendez-vous à quelques projets très spectaculaires», répond-t-il.
  17. http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201602/17/01-4951521-bombardier-va-supprimer-7000-postes.php Montréal) Bombardier larguera 7000 employés à l'échelle mondiale d'ici deux ans, dont 2000 contractuels. Ces compressions annoncées mercredi seront en partie compensées par des embauches au nombre encore indéterminé dans certains secteurs en croissance, notamment pour soutenir l'accélération de programmes et de projets stratégiques comme le CSeries. Les emplois abolis se trouvent principalement au Canada et en Europe où sont concentrées les activités aéronautiques et de transport sur rail de l'entreprise. Alain Bellemare, président et chef de la direction de Bombardier, explique que ces mesures sont requises pour rendre l'entreprise basée à Montréal plus solide et plus compétitive.
  18. Barbie s'installe au Canada : Montréal accueille fièrement EXPO BARBIE, la plus importante exposition permanente de poupées Barbie au monde MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwired - 22 jan. 2016) - Ce n'est pas la poupée Barbie de vos souvenirs. C'est l'étalage de la haute couture, un assemblage des plus grands designers de l'industrie. Un nouveau volet de l'histoire de la mode est sur le point d'être révélé. La poupée la plus adulée de tous les temps ouvre les portes de son musée, EXPO BARBIE en plein coeur du centre-ville de Montréal, aux Cours Mont-Royal. La salle d'exposition d'une superficie de plus de 5000 pieds carrés exhibe plus de 1000 poupées Barbie dans leurs plus beaux atours matérialisant toutes les tendances passées et présentes. Qui d'autre que Barbie pouvait représenter l'évolution de la mode des 60 dernières années? Les connaisseurs de la haute couture seront comblés par ces magnifiques Barbie habillées par les plus grands couturiers tels que Christian Dior, Versace, Givenchy, Donna Karan, Giorgio Armani, Ralph Lauren, Vera Wang, Oscar de la Renta, Christian Louboutin, Zac Posen, Carolina Herrera et Hervé Léger parmi bien d'autres. Aussi, il y a les poupées Barbie du monde du spectacle dont Marilyn Monroe, Audrey Hepburn, Elizabeth Taylor, Beyonce, Cher, Jennifer Lopez, Farrah Fawcett, Barbra Streisand et Lucille Ball pour n'en nommer que quelques-unes. Pour les cinéphiles, Barbie prendra les allures des stars de The Hunger Games, The Wizard of Oz, Twilight, Grease, Titanic, My Fair Lady, Gone with the Wind et Legally Blonde. D'autres poupées Barbie qui retiendront l'attention prennent pour modèles Kate Middleton, Marie Antoinette, Coco Chanel, Grace Kelly et Cléopatre. Ces poupées uniques, confectionnées sur commande sauront fasciner tous les visiteurs, de tous les âges. Le lancement, sur invitation seulement, aura lieu le mercredi 10 février. EXPO BARBIE sera ouverte au public le lendemain. Cette exhibition permanente de classe internationale sera accessible pendant les heures normales d'ouverture, sept jours sur sept. L'entrée est gratuite, mais les dons offerts à « Fais un Voeu ®» Québec seront acceptés. http://www.marketwired.com/press-release/barbie-sinstalle-au-canada-montreal-accueille-fierement-expo-barbie-la-plus-importante-2090361.htm
  19. Akelius Canada, filiale de la suédoise Akelius Residential Property, vient d'acquérir quatre immeubles d'habitation au centre-ville de Montréal, un investissement de 120 millions pour 415 logements. Il s'agit du Westmount Estates, au 1800, De Maisonneuve Ouest, du Plaza Drummond, au 3435, Drummond, du 3421, Drummond et du 4555, Bonavista, dans Côte-des-Neiges. Les propriétés étaient auparavant contrôlées par Cromwell Management, propriété de George Gantchev et Stanley Zipkin. Akelius est entrée au Canada en 2011. Elle se concentre dans les marchés de Toronto et Montréal pour le moment. Elle vient de franchir le cap des 1000 logements à Montréal avec ces dernières acquisitions. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201601/26/01-4943781-un-groupe-suedois-investit-120-millions-au-centre-ville.php
  20. :thumbsdown::thumbsdown: Ce graphique représente cette saison!! De héros à zéro! Qu'est ce que le Canadiens doivent faire??? A) Renvoyer Thérien? B) Faire un gros échange? C) Déménager l'équipe à Québec? D) Toutes ces réponses
  21. http://www.lapresse.ca/cinema/nouvelles/201512/07/01-4928659-cinema-en-salle-le-centre-ville-perd-lequilibre.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B25_A-decouvrir_219_article_ECRAN1POS3 Publié le 07 décembre 2015 à 13h33 | Mis à jour à 13h33 Cinéma en salle: le centre-ville perd l'équilibre Marc-André Lussier La Presse En excluant l'Impérial, le Cinéma du Parc et la Cinémathèque québécoise, dont les vocations sont différentes, il ne reste que trois cinémas au centre-ville de Montréal. L'effet trou de beigne? En marchant rue Sainte-Catherine d'ouest en est, les cinéphiles plus mûrs se tapent forcément un bon coup de nostalgie. Il serait bien difficile de faire autrement. Ici remonte le souvenir d'une projection mémorable d'Apocalypse Now ou de Pink Floyd: The Wall au Cinéma York. Là, le plaisir d'avoir vu un film dans la grande salle du magnifique cinéma Loew's, ou mieux encore, dans sa fameuse salle 3, construite à même l'ancien balcon. Et puis, tous ces films de répertoire, plus ou moins «underground», découverts au Séville ou au Cinéma de Paris. Sans oublier, bien sûr, l'incontournable cinéma Le Parisien. Ce complexe, où ont été présentés tant de films français et internationaux, a aussi été investi tous les ans par des milliers de cinéphiles lors des meilleures années du Festival des films du monde. Au point où nombre des projections se déroulaient même dans un climat de chaise musicale. Des dizaines de spectateurs devaient en effet se résigner à regarder le film assis par terre tellement les salles étaient pleines... En 30 ans, le paysage a beaucoup changé. Au centre-ville, il ne reste que trois cinémas exploités par les grandes chaînes. Trois gros complexes multisalles. Une perte nette Dans l'Ouest, il y a le Cineplex Forum. Ses 22 écrans sont occupés par des productions hollywoodiennes en version originale et aussi quelques productions internationales, présentées avec des sous-titres anglais. Les 13 écrans du Cinéma Banque Scotia, à l'angle Sainte-Catherine et Metcalfe, sont exclusivement réservés aux productions hollywoodiennes en version originale. Vient ensuite le cinéma du Quartier latin (rue Émery). On propose dans les 17 salles de ce complexe francophone des productions hollywoodiennes en versions doublées, des films québécois et parfois des films internationaux, disons, plus «accessibles». En totalisant 52 écrans, ces 3 complexes sont bien entendu en mesure de proposer une offre substantielle. Pour les cinéphiles, il s'agit quand même d'une perte nette, surtout au chapitre de la diversité. Ces trois complexes sont exploités par la chaîne Cineplex Odeon, laquelle est en situation de monopole au centre-ville. L'autre grande chaîne de la région montréalaise, les Cinémas Guzzo, exploite quatre complexes ailleurs dans l'île (Marché central, Sphèretech, à Saint-Laurent, Lacordaire, dans le Nord-Est, et Des Sources, à Dollard-des-Ormeaux), et préfère visiblement installer ses Méga-Plex en banlieue. Comment en sommes-nous arrivés là? Dans son excellent ouvrage Les salles de cinéma au Québec, publié aux Éditions GID il y a cinq ans, le professeur de cinéma Pierre Pageau voit l'arrivée de la vidéocassette et des chaînes de télévision payante dans les années 80 comme un grand tournant. «Pour faire face à la situation, on procède à la création de grands complexes cinématographiques regroupant des multisalles», écrit-il. Déjà, au cours des années 70, plusieurs grandes salles à écran unique ont été fractionnées. On construit aussi au milieu des années 80 de nouveaux cinémas comportant quelques salles (Le Faubourg Sainte-Catherine, L'Égyptien, le Centre Eaton, Cineplex 9). Mais ceux-ci ne vivront qu'une quinzaine d'années. Une concentration d'activités Pour concurrencer les nouvelles formes de consommation à domicile, les chaînes répliqueront en se débarrassant de leurs plus petites salles à la fin des années 90 pour mieux concentrer leurs activités dans de nouveaux grands complexes multisalles. On veut du gros, on veut de l'écran géant, on veut du son. Très fort. Autrement dit, on met à l'affiche des superproductions spectaculaires, plus propices à inciter le spectateur - plutôt jeune - à se déplacer. Du coup, les oeuvres plus intimes, destinées à un public adulte, ont davantage de difficulté à se faire valoir. La fermeture récente des trois salles d'Excentris rend le cinéma d'auteur encore plus orphelin d'écrans au centre-ville. On voit mal comment le Quartier latin, seul cinéma à proposer du cinéma en français, pourrait absorber les productions un peu plus «pointues» que l'enceinte du boulevard Saint-Laurent affichait sur sa marquise. Il n'est pas dit que le Cinéma Beaubien, beaucoup moins central, soit en mesure d'offrir un refuge à tous ces films non plus. Le Cinéma du Parc peut de son côté s'appuyer sur une clientèle fidèle, mais propose une programmation visant plutôt un public anglophone ou bilingue. Absence d'équilibre Dans la plupart des métropoles du monde, on trouve habituellement au centre-ville un équilibre entre les grands complexes multisalles et des salles «à l'ancienne», à dimension plus humaine. Cet équilibre a malheureusement disparu à Montréal. L'évolution démographique de la région - et les difficultés causées par les entraves à la circulation - a en outre fait en sorte que de nombreux spectateurs préféreront de loin fréquenter les complexes de banlieue, particulièrement ceux qui résident dans la couronne nord ou la Rive-Sud. Et ils iront voir les films qu'on leur propose, les mêmes que partout ailleurs. D'évidence, la diversité de l'offre en souffre grandement. Voilà le grand problème auquel les distributeurs indépendants sont maintenant confrontés. Tant que le cinéma d'auteur aura besoin du prestige d'une sortie en salle pour se faire remarquer, il faudra bien un endroit de diffusion quelque part au centre-ville. Le tout nouveau Quartier des spectacles aurait dû être, en principe, un endroit propice pour la création de nouvelles salles de cinéma. Or, aucun projet en ce sens n'existe. Qui veut encore du centre-ville?
  22. Depuis les réorganisations municipales de 2001-2006, certains arrondissements (dont ex-villes) se sont dotés d'une identité graphique propre à eux, et d'autres non (aucun ajout de logo). J'aimerais connaître votre opinion sur ces logos. Lesquels sont les plus réussis? Lesquels sont les plus moches? Quelles seraient vos suggestions pour les arrondissements qui n'ont pas de logo propre à eux ?
  23. La métropole dispose désormais d’une centaine d’indicateurs de performance pour se mesurer à 5 autres villes d’envergure comparables (Calgary, Ottawa, Québec, Toronto et Winnipeg) : une première! Au cours de la dernière année, les données de 111 indicateurs de performance ont été analysées par le Service de la performance organisationnelle (SPO) en collaboration avec plus d’une vingtaine d’unités administratives des services centraux et arrondissements. Aujourd’hui mises à la disposition du public en toute transparence, ces données permettront aux citoyens et aux employés de pouvoir évaluer la performance de la Ville. Elles contribueront également à faciliter la prise de décision ainsi que l’amélioration des pratiques au sein de l’organisation. Montréal s’évalue et se compare Les résultats des ces indicateurs de performance sont issus de deux démarches d’étalonnage : l’une avec le ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire du Québec (MAMOT), qui demande chaque année les résultats de 17 indicateurs de performance ; l’autre avec l’Ontario Municipal Benchmarking Initiative (OMBI), pour lesquels 94 indicateurs de performance ont été produits. Notons que Montréal et Québec sont les seules villes québécoises à diffuser publiquement leurs résultats par rapport au MAMOT. L’analyse et la publication de ces données n’auraient pas été possibles sans la collaboration entre l’équipe de professionnels en intelligence d’affaires du SPO, une trentaine d’experts des différents domaines d’activités de la Ville et ceux de quelque 13 autres municipalités de l’OMBI. Les résultats analysés des indicateurs de performance sont présentés, d’une part pour Montréal seule, d’autre part pour Montréal comparée à Calgary, Ottawa, Québec, Toronto et Winnipeg. Ces résultats sont répertoriés en 18 domaines d’activités qui relèvent des champs de compétence de la Ville de Montréal, soit : affaires juridiques; approvisionnement; bibliothèques; communications, relations avec les citoyens et greffe; culture; développement, urbanisme et réglementation; environnement et gestion des matières résiduelles; gestion de l’eau; gestion immobilière; infrastructures routières; matériel roulant et ateliers; police; ressources humaines; ressources financières; sécurité incendie; stationnement; technologies de l’information et transport en commun. Pour consulter les résultats http://ville.montreal.qc.ca/vuesurlesindicateurs/
  24. Dès vendredi soir, une exposition à la Maison de l’architecture du Québec (MAQ) offrira un regard sur des bâtiments qui auraient pu faire partie du paysage montréalais, mais qui, pour diverses raisons, n’ont jamais abouti. Une soirée intitulée Perdants magnifiques, qui accompagne l’exposition, se tiendra au Centre Phi. Huit architectes viendront à cette occasion expliquer comment leurs projets, finalistes à des concours d’architecture, n’ont finalement pas été choisis, et raconter ce que l’expérience leur a appris. «Les bureaux [d’architectes] les plus intéressants au Québec, ce sont souvent ceux qui participent à des concours, parce que c’est un peu comme faire ses gammes. Ça permet d’aller plus loin et de réfléchir, de faire sortir les idées, lance la cofondatrice de la MAQ, Sophie Gironnay. Ça pousse les bureaux à donner le meilleur d’eux-mêmes.» Ces projets sont «très détaillés et très, très élaborés, c’est comme si on les voyait», assure Mme Gironnay. «On veut vraiment montrer tout ce qui se trame et qui n’est pas connu, et qui se comparerait à bien des œuvres d’art contemporain. Ces projets architecturaux sont largement aussi bien réfléchis et aussi beaux, et ils méritent d’être connus par le public», juge-t-elle, en ajoutant que ce n’est pas parce qu’un projet n’est pas retenu qu’il n’est pas intéressant. «Pas du tout! Ça, c’est un autre débat, mais ce n’est pas toujours le meilleur projet qui gagne.» «Ça raconte toutes les idées qui bouillonnent ici à Montréal, mais qui ne sont pas saisies par les promoteurs, et qui, donc, n’aboutissent pas. Il y a ici le talent qu’il faut pour faire quelque chose de beaucoup mieux que ce qu’on a.» – Sophie Gironnay, cofondatrice de la Maison de l’architecture du Québec Pourquoi ces projets n’ont-ils jamais abouti? Certains ont été refusés parce qu’ils étaient trop audacieux ou parce qu’ils semblaient «techniquement impossibles» à l’époque. Parfois, un projet est abandonné pour des raisons anecdotiques. «Ça peut être parce qu’il y a eu un changement d’administration à la mairie, ou parce que le développeur a acheté un terrain plus grand à côté et que finalement ça sera autre chose», explique Mme Gironnay. Infos L’exposition Montréal jamais construit se tient à la Maison de l’architecture du Québec, partir de vendredi et jusqu’au 14 février. La soirée Perdants magnifiques aura lieu le lundi 26 octobre à 19 h, au Centre Phi. http://journalmetro.com/actualites/montreal/861560/le-montreal-qui-aurait-pu-etre/
  25. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5997,102503571&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=25474&ret=/pls/portal/url/page/bur_du_maire_fr/rep_bur_du_maire/rep_communiques/coll_communiques Création du Bureau du centre-ville de Montréal - Vers une première stratégie centre-ville pour Montréal 27 août 2015 Montréal, le 27 août 2015 – Le responsable de la stratégie pour le centre-ville au comité exécutif, M. Richard Bergeron, est heureux d'annoncer la création du Bureau du centre-ville de Montréal. L'objectif de ce Bureau est de préparer une stratégie pour le centre-ville en élaborant une vision d'avenir qui contribuera à optimiser son potentiel de développement, en plus de proposer des mesures concrètes et ciblées qui guideront sa croissance. « Le Bureau du centre-ville vise avant tout à créer un centre-ville encore plus attrayant, animé et dynamique. Issue de la volonté du maire de mettre en valeur les formidables attraits de notre centre-ville, cette stratégie, dotée d'objectifs mesurables, tracera la voie vers un futur résolument urbain où il fera bon vivre, travailler, étudier et se divertir », a déclaré M. Bergeron. Lors de la séance du mercredi 26 août, le comité exécutif a autorisé le lancement d'appels d'offres pour la fourniture de services professionnels afin de dresser un portrait des conditions actuelles et identifier les opportunités qu'offre le territoire du centre-ville. Dans un second temps, s'appuyant sur ces études et ces analyses, les professionnels de la Ville et de l'arrondissement Ville-Marie élaboreront la stratégie à déployer pour le centre-ville. Les études en question porteront sur : le milieu de vie (aménagement et patrimoine, habitation, services, sécurité); l'accessibilité et la mobilité au centre-ville (transports et circulation); la vitalité économique du centre-ville (économie urbaine). Depuis 15 ans, les quartiers centraux ont fait l'objet de plusieurs initiatives de planification particulière. L'arrondissement de Ville-Marie compte, à lui seul, plusieurs projets d'envergure issus de démarches de planification. La stratégie du centre-ville s'appuiera sur ces plans et les intégrera en une seule et même vision cohérente du centre-ville. Elle ciblera des initiatives structurantes en lien avec les divers champs de compétence de l'administration municipale. La stratégie établira les bases du Plan directeur de l'aménagement et du développement du centre-ville dont l'élaboration est un des objectifs du Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal adopté en 2015. « Avec des initiatives concrètes, des outils de planification et une vision concertée du développement du centre-ville, nous améliorerons son développement, aurons un impact positif sur la qualité de vie des Montréalais et renforcerons l'attractivité économique et touristique de ce secteur névralgique », a conclu M. Bergeron. sent via Tapatalk
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