Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'centre'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Encore un nouveau projet dans la Pointe. Ce sera le deuxième projet du meme constructeur sur la rue Centre. Ça ne paie pas de mine mais quand meme ! http://immojad.com/condosCentre_Montreal.html
  2. Triste événement, mais c'est pour fermer la gueule à ceux qui aiment nous rappeler qu'il y a juste au Québec que ces incidents arrivent. Source: La Presse Les autorités ont confirmé dimanche qu'au moins deux personnes sont coincées sous les débris d'un centre commercial d'Elliot Lake, en Ontario, après l'effondrement partiel du toit, la veille. Selon un porte-parole de la Police provinciale de l'Ontario, des images de la scène permettent de voir une main et un pied parmi les débris, mais les équipes de secours ne peuvent accéder à l'endroit en question parce que les lieux ne sont pas suffisamment sécuritaires. Des responsables du Service de protection des incendies ont par ailleurs dit avoir entendu de petits coups provenant de derrière des blocs de béton et de métal qui se sont écroulés et qui jonchaient le sol. En fin d'après-midi dimanche, des membres d'une équipe spéciale d'urgence s'affairaient à stabiliser la scène de la tragédie au Centre commercial Algo, une besogne qui, selon les autorités, pourrait prendre une douzaine d'heures. L'opération est encore considérée comme une mission de secours et les responsables espéraient toujours, dimanche, retrouver des gens sains et saufs. Les autorités policières détenaient une liste de neuf personnes manquant à l'appel, mais elles ont précisé que ce chiffre varie selon que des résidants confirment avoir retracé des proches ou que d'autres signalent ne pas avoir de nouvelles de membres de leur famille. Les équipes de secours ont continué à fouiller dans les débris afin de retrouver des personnes manquant à l'appel, dimanche, après le drame, qui a fait au moins 22 blessés. Une section du toit, qui sert aussi de stationnement aux clients et employés du Centre commercial Algo, s'est affaissée vers 14 h 30, samedi, pour atterrir deux étages plus bas. L'effondrement a laissé un trou de 12 m par 24 m et provoqué des pannes de courant ainsi qu'une fuite de gaz. Deux stands vendant des billets de loterie, des cigarettes et des magazines étaient situés dans la zone où le plafond s'est effondré et étaient ouverts juste avant l'incident, ont raconté des témoins. Une équipe de recherche et de sauvetage en milieu urbain de Toronto a été envoyée à Elliot Lake, une ville de 11 000 habitants qui se trouve à quelque 160 km à l'ouest de Sudbury dans le nord de l'Ontario. Une porte-parole du centre commercial, qui est géré par Eastwood Mall Incorporated, a déclaré que l'entreprise référait toutes les questions sur l'incident ou l'état du bâtiment à son avocat, qui n'était pas disponible dimanche pour commenter.
  3. Publié le 10 novembre 2008 à 07h24 | Mis à jour à 10h43 Le «Off» Quartier des spectacles prend forme Mario Cloutier La Presse Pendant que le Quartier des spectacles s'élève, sa version «underground» prend forme aussi. Un nouveau complexe artistique et culturel de quatre étages est en préparation dans le Vieux-Montréal. Le Centre Phi comprendra une salle de spectacle et un restaurant qui ouvriront en 2010 à l'intersection des rues Saint-Pierre et Saint-Paul. Situé dans deux édifices fusionnés, d'une superficie totale de 40 000 pieds carrés, le Centre fournira l'équipement de production pour les projets du Groupe dirigé par la philanthrope Phoebe Greenberg, également directrice de la Fondation DHC/Art qui gère une galerie dans la rue Saint-Jean, toujours dans le Vieux-Montréal.«C'est l'étape de rénovation, restauration et construction, souligne la porte-parole du groupe Phi, Myriam Achard. Il n'y a aucune autre activité pour l'instant.» Quand les travaux seront terminés, toutefois, le centre deviendra une véritable ruche de création et de diffusion. En plus des bureaux de la Fondation DHC/Art, du restaurant et de la salle de spectacle de «beaucoup moins de 1000 places», dit Mme Achard, on y trouvera des salles d'exposition, de création et d'enregistrement. «Tout n'est pas encore coulé dans le béton, les plans évoluent quotidiennement, avoue la porte-parole. Mais ce sera un lieu de création et de diffusion ainsi qu'un laboratoire. Ce sera tout ça à la fois.» Sur son site internet, le groupe Phi dit vouloir «identifier, développer et produire des projets artistiques de grande qualité en unissant les efforts de créateurs innovateurs dans le domaine de la musique, du vidéoclip et de l'industrie cinématographique, dans le but de promouvoir et célébrer l'art comme force vitale». L'édifice sera donc équipé de studios d'enregistrement vidéo et audio pour la production et la postproduction de films, notamment. La dernière activité qui y a eu lieu est le tournage du court métrage Next Floor de Denis Vileneuve, primé en mai à la Semaine internationale de la critique du Festival de Cannes. «Phoebe voulait un document sur l'immeuble avant sa transformation. L'idée du film lui est venue ainsi», note Myriam Achard. Parmi les artistes que le groupe Phi produit ou dont il assure la promotion, il y a Denis Villeneuve, évidemment, la chanteuse Betty Bonifassi, les musiciens Slim Williams et Yoav ainsi que les cinéastes George Fok et Pedro Pires. De son côté, la galerie de DHC/ART présentera à la fin novembre une exposition de l'artiste d'origine californienne, Christian Marclay, dont on peut déjà voir deux oeuvres au Musée d'art contemporain dans le cadre de l'exposition Sympathy for the Devil.
  4. Montréal vu par un Vénitien Publié le 13 juin 2012 Marie-Claude Lortie Pour Francesco Bandarin, sous-directeur général de l'UNESCO pour la culture, il n'y a pas de doute: Montréal est une ville de design. Là où les plus pessimistes ne voient que des échangeurs délabrés, des rues inondées, des gratte-ciels anodins construits par des concepteurs de centres commerciaux et des projets au financement obscur, lui voit une ville dynamique, habitée par des milliers de gens créatifs, designers ou architectes. «C'est ça qui fait une ville de design», dit-il, en entrevue, lors de son passage récent dans la métropole pour une rencontre des représentants de toutes les villes choisies par l'UNESCO parce qu'elles accordent une grande place au design pour leur évolution culturelle et économique. Sur son site web, la Ville de Montréal indique que 25 000 designers et architectes font de Montréal une ville résolument préoccupée par cet aspect de son développement. Un chiffre que M. Bandarin reprend en lançant: «Je ne sais pas comment vous faites!» Bref, pour le représentant de l'UNESCO, il n'y a pas de doute que Montréal mérite sa place sur la liste des villes de design de l'organisme culturel international, aux côtés de Berlin, Shanghai et Buenos Aires. «On fait un tri, on étudie les dossiers et Montréal a beaucoup misé sur le design, alors il a été choisi.» Pendant qu'on parle de tout ça, dans l'autobus scolaire qui nous amène de l'UQAM au Musée des beaux-arts, on traverse des rues commerciales, où les immeubles n'ont rien de spectaculaire, à part la Place Ville-Marie, évidemment, que M. Bandarin note au passage. «Pei, un des plus grands», lance-t-il. Quand je lui fais remarquer qu'il y a longtemps, maintenant, qu'un architecte de la trempe de Pei ou de Mies Van der Rohe est venu construire quelque chose ici, il n'en fait pas de cas. «Vous savez, dit-il, l'iconisme, c'est fini.» Selon M. Bandarin, il ne faut pas rêver de voir un jour un grand immeuble symbolique, emblématique, s'implanter comme nouveau grand symbole de la ville. «On est dans une nouvelle approche maintenant et même les grands architectes comme Rem Koolhas, qui a fait bien des immeubles iconiques, n'est plus en faveur de l'iconisme.» Par iconisme, il entend les grands bâtiments hors de l'ordinaire, sans lien avec l'architecture des alentours, qui s'imposent tout seul. On pense à la tour Eiffel, à l'Opéra de Sydney, mais aussi à des constructions plus récentes, comme le musée Guggenheim de Bilbao dessiné par Frank Gehry ou le musée Maxxi de Rome, signé Zaha Hadid, cette architecte avant-gardiste anglo-irakienne. Évidemment, plusieurs bâtiments modernes chinois viennent aussi à l'esprit, comme la tour du Centre mondial des finances de Shanghai. «D'abord, ces constructions coûtent très, très cher et seulement un nombre limité de sociétés peuvent se les permettre», note M. Bandarin. Plus ça va, plus les sociétés comprennent que l'architecture se vit au quotidien, s'amarre au développement urbain, prend sa place sans s'imposer, cherche à faire évoluer les styles de vie, sans donner de coup de massue sur la silhouette d'une ville. «Et puis, nous, à l'UNESCO, on a une tâche de conservation du patrimoine», continue-t-il. Naturellement, l'organisme va donc se pencher plutôt du côté de la créativité «enracinée», celle qui est liée au contexte. Sa ville préférée? Je n'ose pas le lui demander, mais il n'hésite pas à répondre. Venise. Non seulement une ville bien ancrée dans son histoire, mais celle d'où il vient. Mais le Vénitien d'origine, qui habite maintenant Paris, aime bien aussi Montréal, même avec ses manifestations joyeuses qui lui donnent, dit-il, des airs de carnaval. Il apprécie la place des Festivals, par exemple, avec ses fontaines qui sortent directement du sol, où les enfants jouent dès qu'il fait chaud. Il aime bien le Centre de design de l'UQAM, aussi, créé par l'architecte montréalais Dan Hanganu. Pour lui, ce sont ces projets, les uns après les autres, qui construisent une ville de design. «À certains moments, on est devenu fou et on s'est mis à tout faire hors contexte», dit-il. Dans certains cas, comme pour la tour Eiffel, qui est une prouesse technologique pour son époque, ou pour l'Opéra de Sydney, l'intervention a fonctionné, explique M. Bandarin. Mais souvent, l'immeuble iconique moderne n'est pas le symbole de la société où il se trouve, mais plutôt de l'entreprise qui l'a fait construire. «C'est de la pub pour se faire voir.» Or, continue-t-il, veut-on réellement laisser les paysages urbains être définis par des intérêts privés? «Moi, je crois que le paysage appartient à la collectivité.» http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/marie-claude-lortie/201206/13/01-4534385-montreal-vu-par-un-venitien.php
  5. La deuxième plus importante firme de télécommunications du Canada, Telus (TSX:T), dépensera 840 millions de dollars au Québec au cours des trois prochaines années. Cet investissement appuiera notamment la poursuite du déploiement des infrastructures mobiles 4G LTE dans diverses régions, le prolongement des réseaux sans fil et filaire dans les communautés éloignées du Québec et la construction d'un centre de données Internet intelligent à Rimouski. Les investissements de Telus pendant cette période totaliseront 440 millions de dollars dans la région de Montréal. Ils permettront notamment d'étendre la portée des infrastructures mobiles 4G LTE à un plus vaste territoire de la région métropolitaine. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2012/06/04/004-investissement-telus-quebec.shtml
  6. Vert, la couleur de l'avenir. Les millions d'amis de Facebook et les fans d'Apple ne trouvent pas très cool que leurs entreprises chéries carburent au charbon et aux autres formes d'énergie polluantes. Aussi, quand Greenpeace a publié il y a quelques semaines un classement des entreprises technologiques les plus propres, les réactions ne se sont pas fait attendre. Des manifestations ont été organisées et des annonces ont suivi. Apple, une des entreprises qui utilisent le plus le charbon pour alimenter ses centres de données, a fait savoir qu'elle abandonnerait complètement cette forme d'énergie d'ici un an dans ses trois installations des États-Unis situées en Caroline du Nord, en Californie et en Oregon. Les modalités de cette conversion totale à l'énergie propre restent à préciser. Les panneaux solaires et les piles à combustible capables de générer de l'électricité avec des biogaz sont au nombre des moyens que compte utiliser Apple pour réduire sa dépendance aux énergies sales. C'est tout un défi pour une entreprise de cette taille. En Californie, où est situé le siège social d'Apple et le plus gros de ses centres de données, l'entreprise doit s'approvisionner auprès de Duke Energy, le seul fournisseur d'électricité de la région qui utilise surtout du charbon. Comme Apple, toutes les entreprises technologiques chassent désespérément les sources d'énergies vertes pour leurs serveurs, dont l'aliment de base est l'électricité. Google, qui a déjà songé à installer les siens sur le site de l'aéroport désaffecté de Mirabel, investit massivement dans le développement des sources d'énergie verte. L'entreprise de Silicon Valley consacre près d'un milliard de dollars américains pour augmenter la production d'énergie solaire et éolienne. Elle achète autant de kilowattheures propres qu'elle le peut mais elle doit malgré tout se contenter d'un bilan assez moyen: seulement 30% de toute l'énergie consommée par Google est renouvelable. Google s'est engagée à réduire à zéro son empreinte carbone, mais pas à tout prix. À ceux qui se demandent pourquoi l'entreprise ne s'installe pas là où il y a de l'énergie propre en abondance, elle répond ceci sur son site internet: les endroits qui ont le plus d'énergie propre ne sont pas nécessairement ceux où un centre de données peut le mieux servir ses clients. S'il y a des milliers de kilomètres entre les deux, le délai de réponse peut devenir un problème, même s'il se mesure en milliseconde. Il y a mille millisecondes dans une seconde. Il faut par exemple 20 millisecondes à une information pour franchir 2000 kilomètres. Ce problème de latence, comme on l'appelle dans l'industrie, peut toutefois être géré et atténué en améliorant la qualité du réseau de transmission. Une explosion de données La musique, les livres, les films se sont dématérialisés et réincarnés dans des centaines de millions de serveurs répartis dans des milliers de centres à travers le monde. Un centre de données informatiques conserve des informations numérisées qui doivent être accessibles rapidement et en tout temps, explique Éric Chouinard, qui a cofondé iWeb, une entreprise d'hébergement de données à Montréal en 1996. Pour être efficace, il a besoin d'une source d'énergie fiable et peu coûteuse. Les serveurs sont énergivores et leur fonctionnement dégage beaucoup de chaleur, qui doit être évacuée. La climatisation représente donc une portion importante de la facture énergétique. Le tiers de la consommation d'électricité sert à refroidir l'espace, d'où l'intérêt de s'installer un centre dans des climats frais, précise Eric Chouinard. iWeb paie chaque mois 300 000$ en électricité à Hydro-Québec pour l'alimentation de ses 35 000 serveurs répartis dans quatre centres. En plus de l'énergie, un centre de données a besoin d'un réseau double de fibre optique, pour continuer de fonctionner en cas d'avarie sur l'un des deux. L'accès à une main-d'oeuvre qualifiée est aussi un ingrédient important, selon le cofondateur de iWeb, qui compte 200 employés, et qui fait de la recherche-développement. Tous ces ingrédients qui font le succès d'un site d'hébergement, Éric Chouinard les a trouvés à Montréal. Son entreprise réalise maintenant un chiffre d'affaires de 45 millions et a des clients dans 150 pays. Depuis des années, le jeune entrepreneur dit à qui veut l'entendre que le Québec aurait intérêt à être plus accueillant pour les centres de données informatiques. Il en est plus convaincu que jamais. «Le nombre d'emplois est à considérer, mais il y a aussi tout un écosystème qui tourne autour des centres de données», estime-t-il. Le développement rapide de l'informatique en nuage, qui permet aux entreprises de sous-traiter le stockage d'un nombre croissant de données, laisse présager une augmentation fulgurante du nombre de centre de données. Selon une étude réalisée par la firme IDC pour le compte de Microsoft, 1,5 million d'emplois ont été créés dans le monde par l'informatique en nuage en 2011. Au Canada, la firme prévoit que 70 000 nouveaux emplois y seront reliés d'ici la fin de 2015. Pour Éric Chouinard, le calcul est vite fait: si le Québec obtient une part équivalente à son poids dans le Canada, ça peut vouloir dire 15 000 emplois de plus. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/25/01-4528702-vert-la-couleur-de-lavenir.php
  7. Les entreprises Simon Property Group, Calloway (T.CWT.UN) et SmartCentres ont annoncé mardi la construction l'an prochain d'un complexe «Premium Outlet Center» à Mirabel, au nord de Montréal. Le centre commercial sera érigé sur le chemin Notre-Dame, près de l'autoroute des Laurentides, ont indiqué les firmes dans un communiqué. Les détails financiers n'ont pas été rendus publics. La première phase du projet comprendra 350 000 pieds carrés de superficie locative et 80 magasins. Sa construction devrait débuter en 2013. Le premier «Premium Outlet Center» au Canada doit ouvrir à l'été 2013 à Halton Hills, en Ontario. Le concept est d'offrir de la marchandise haut de gamme à prix réduit. Le maire de Mirabel, Hubert Meilleur, a indiqué que le projet permettrait de développer une partie des terrains du Lac Mirabel. Il a offert «la pleine collaboration» de la ville aux promoteurs. Simon Property Group, qui se présente comme la plus importante société immobilière au monde, exploite 70 Premium Outlet Centers, dont 57 aux États-Unis, un à Porto Rico, huit au Japon, deux en Corée, un en Malaisie et un au Mexique. Calloway est l'un des plus importants fonds de placement immobilier au Canada alors que SmartCentres est une entreprise canadienne privée qui a construit plus de 200 centres commerciaux. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201205/22/01-4527515-un-nouveau-centre-commercial-sera-construit-a-mirabel.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS9
  8. Le Wiseman 7215 rue Wiseman situé juste au coin de la rue Jean-Talon, dans le quartier Parc Extension, ce secteur multi-ethnique ouvert sur le monde reflète bien notre belle ville de Montréal. À distance de marche du métro l’Acadie, à dix minutes du marché Jean-Talon, sans compter que le quartier est stratégiquement placé pour rejoindre les grands réseaux routiers, aussi bien que le centre ville. Parc Extension, est une valeur sûre. 7215 Wiseman, en vente, livraison décembre 2010 (phase 1) 7219 Wiseman, en vente, livraison printemps 2011 (phase 2) http://immeublesbcg.com/wiseman.php
  9. Vous pouvez remercier Yarabundi sur SSP pour cet Article. Je suis très heureux d'apprendre que nous aurons une nouvelle salle de spectacles, il était temps. Aussi, j'ai hâte d'aller voir le Canadien s'entraîner à Brossard! Le Groupe Gillett prépare un gros investissement 06:42 | André Dubuc, Journal LesAffaires Le propriétaire du Canadien George Gillett construira-t-il une salle de spectacles à Montréal, comme plusieurs semblent le croire, après avoir acheté un terrain situé tout juste à côté du Centre Bell ? Pour en savoir plus Groupe Gillett Centre Bell Canadien de Montréal Article connexe Le 2 mars, une société à numéros dirigée par Alain Gauthier, vice-président aux opérations du Centre Bell, a payé quelque 21,5 M$ pour acquérir un terrain de stationnement de 95 000 pi2 situé à l'angle des rues Peel et Saint-Antoine, au sud-ouest du centre-ville. Le pied carré revient à 230 $, un montant important qui laisse présager la réutilisation rapide du terrain dans le cadre d'un projet générant des revenus. À titre de comparaison, le terrain situé de l'autre côté de la rue, au sud de la rue Saint-Jacques, s'est vendu 140 $ le pied carré en février. Selon les renseignements que nous avons recueillis, mais qui n'ont pas été confirmés par le Groupe Gillett, celui-ci y construirait une salle de spectacles de 3 500 à 4 000 places, un stationnement et des commerces. Alain Gauthier, qui a été un artisan de premier plan lors de la construction du nouveau domicile du Canadien en 1996, n'avait pas rappelé le journal LES AFFAIRES au moment de mettre sous presse. " Ce terrain est bien situé, servi par l'autoroute, la gare de trains et deux stations de métro. Ce terrain est aussi bien situé que le Centre Bell ", dit André Ménard, vice-président, salles et spectacles, de l'équipe Spectra. Les vendeurs sont liés à Placements Mirlaw, de la famille Lawee. Mayer Lawee n'a pas donné suite à notre appel. Une salle qui comblerait un besoin Une salle intermédiaire constitue le chaînon manquant dans le réseau de scènes montréalaises. La ville compte plusieurs salles de 2 000 places et moins, mais l'offre se raréfie rapidement au-delà de 3 000 sièges. Après la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, on ne trouve pas grand-chose avant le Centre Bell et ses 21 273 sièges. " Il y a le Cepsum, le cube du parc Jarry, mais un vrai théâtre de 5 000 places, Montréal n'en a pas, constate M. Ménard. C'est un fait que, parfois, ils [les gens du Groupe Gillett] aimeraient bien avoir une salle de cette taille. C'est un commentaire qu'ils m'ont déjà fait. " En février, George Gillett confiait d'ailleurs au Journal de Montréal qu'il étudiait la possibilité de faire un investissement substantiel à Montréal, qui ne serait pas lié au sport. " Je sais que le Centre Bell a un taux d'occupation très élevé, au-delà, je pense, de 320 jours. De ce côté, je peux comprendre qu'il aille dans une salle d'environ 5 000 sièges car c'est le type de spectacles que Gillett accueille déjà ", dit Pierre Deschênes, directeur général du Partenariat du Quartier des spectacles. Projet de centre d'entraînement à Brossard On sait que le Groupe Spectacles Gillett a beaucoup de succès. Le Centre Bell affiche complet ou presque. En 2005, il s'était classé au 14e rang sur les revenus annuels tirés de spectacles parmi 104 amphithéâtres de 15 000 places et plus dans le monde, selon le magazine Billboard. En fait foi la valeur foncière attribuée par la Ville de Montréal au Centre Bell, qui a grimpé de 50 % avec le dépôt du rôle d'évaluation en 2007, est de 225 M$. Pour libérer des plages horaires, les propriétaires du Club de hockey Canadien envisagent d'aménager une patinoire dans le Quartier DIX30, à Brossard, pour y tenir les séances d'entraînement. Selon Devimco, le promoteur du centre DIX30, ce projet est toujours à l'ordre du jour. Il est même question d'un partenariat avec la Ville de Brossard, qui déménagerait des services municipaux dans le centre d'entraînement. Le maire de Brossard, Jean-Marc Pelletier, ne veut pas accorder d'entrevue sur ce sujet avant deux à trois semaines, nous dit-on à l'hôtel de ville. Ça bouge dans Griffintown La récente transaction de la société liée au Groupe Gillett s'inscrit dans le renouveau immobilier qui anime le quartier Griffintown, au sud-ouest du centre-ville. En février, True North Properties, qui a développé avec succès les copropriétés des Terrasses et Jardins Windsor, a vendu son dernier terrain vacant de 130 000 pi2 au prix de 18,1 M$ à Cannonfield, un grand propriétaire foncier de Toronto. Le lot est situé en façade de la rue Peel, au sud de la rue Saint-Jacques. Le terrain bénéficie d'un zonage qui permet la construction en hauteur de tours de bureaux et d'hôtels, d'une superficie pouvant atteindre 1,5 million de pi2. Pour sa part, Devimco, ce développeur associé à la famille Beaudoin (de l'industriel Bombardier), veut construire le Village Griffintown, un projet aux vocations multiples dont la valeur pourrait atteindre 1,5 milliard de dollars. Selon nos informations, son partenaire financier serait Investissements PSP, le bras investisseur de la caisse de retraite des fonctionnaires fédéraux. PSP est le financier du Groupe Dayan dans la revitalisation du secteur L'Acadie-Chabanel, dans le nord de Montréal. Devimco a pour vision de construire des plateformes commerciales sur lesquelles seraient érigés des immeubles de logements. Le territoire visé est compris entre les rues Ottawa et l'autoroute Bonaventure, la rue Wellington et le canal Lachine. La portion commerciale accueillerait des grandes surfaces et des boutiques. Présent au Marché international des professionnels de l'immobilier (MIPIM), tenu la semaine dernière à Cannes, en France, le coprésident de Devimco, Jean-François Breton, a alors rencontré le maire de Montréal, Gérald Tremblay, et le responsable du développement économique au comité exécutif, Alan DeSousa. Par le passé, Devimco s'était déjà plainte de la lenteur à laquelle cheminait son mégaprojet dans la machine de l'administration municipale.
  10. Personne ou presque ne l'avait anticipée. Malgré une année 2011 morose en matière d'emploi et l'hémorragie qui s'est poursuivie vers la banlieue, l'île de Montréal a connu une hausse spectaculaire de la valeur des permis de construire. En un an, ceux-ci sont passés de 2,4 à 3,5 milliards, une augmentation de 45% selon le dernier rapport de Statistique Canada. Et meilleure nouvelle encore, ce ne sont pas les grands projets gouvernementaux comme le CHUM qui en sont responsables: les permis résidentiels et commerciaux expliquent presque à eux seuls cette surprise. «Montréal fait peau neuve, résume Chantal Routhier économiste au Mouvement Desjardins. C'est une belle effervescence, signe d'un beau dynamisme affiché par la métropole.» Les 19 arrondissements et les 15 villes liées de l'île ont accordé 12 532 permis de construction résidentielle l'an dernier, le plus haut total en plus de 20 ans. Il s'agit d'une hausse modeste de 6% en nombre absolu par rapport à 2010, mais de plus de 41% en matière d'investissements. La tendance est similaire pour le secteur commercial, dont les investissements ont pratiquement doublé en un an pour se chiffrer à 1,2 milliard. De gigantesques projets immobiliers comme l'Altoria, aux abords du square Victoria (152 unités sur 35 étages), l'Onyx dans Côte-des-Neiges (102 unités), le Centre de recherche du CHUM, le succès de secteurs comme Griffintown et les environs du Centre Bell expliquent cette hausse, estime Mme Routhier. Emploi et confiance À l'hôtel de ville, on accueille cette bonne nouvelle avec jubilation. «C'est un témoignage de la vitalité de la ville, c'est le fruit des choix stratégiques faits par l'administration en place, affirme Richard Deschamps, responsable du développement économique au comité exécutif de la Ville. Le fait de lancer un message crée un environnement, un cadre, un esprit qui va faire en sorte que les entrepreneurs viennent investir à Montréal.» Il rappelle que des projets structurants comme le Quartier des spectacles, l'Espace pour la vie ou le développement du Havre de Montréal ont donné le ton à ce dynamisme. Selon le Conference Board du Canada, plus de 24 000 logements ont été construits à Montréal dans les six derniers mois de 2011, «un niveau d'activité très solide», précise Mario Lefebvre, directeur du Centre des études municipales. La construction, surtout dans le secteur résidentiel, est un signe évident de santé économique, rappelle-t-il. «J'ai rarement vu un meilleur indicateur. Ça signifie que les gens sont confiants, qu'ils ont un emploi et qu'ils pensent qu'ils vont encore en avoir un demain.» Il s'attend à une diminution notable du nombre de permis délivrés en 2012, car le rythme de l'an dernier est «insoutenable». «On a senti un certain essoufflement au quatrième trimestre.» Selon le Conference Board, Montréal a connu une croissance «modeste» de son produit intérieur brut réel de 1,5% en 2011. Au Mouvement Desjardins, on évalue plutôt cette croissance à 3,8% pour le PIB nominal - qui tient notamment compte de l'inflation. Pourtant, la situation de l'emploi s'est détériorée l'an dernier, avec la perte de 43 000 emplois dans les sept derniers mois qui ont pratiquement ramené la métropole dans le creux observé lors de la récession en 2008. «Tout le monde se gratte la tête sur ces pertes d'emplois dans la deuxième moitié de l'année, note M. Lefebvre. Tous les autres indicateurs étaient solides. Tout le monde est sur le qui-vive pour les prochains mois.» Richard Deschamps assure au contraire que «ce n'est qu'un début». La conjoncture économique, les taux d'intérêt bas et les initiatives de la Ville comme Montréal 2025 devraient permettre de continuer sur cette lancée. «Ça fait plusieurs années que tout ça se prépare, il y a eu une période d'incubation et nous en profitons maintenant.» http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201203/01/01-4501593-construction-en-2011-une-annee-record-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_meme_auteur_4501755_article_POS2
  11. MONTRÉAL - L'affrontement entre les syndicats de la construction et Québec concernant le placement syndical s'est poursuivi à Montréal vendredi. Le projet de copropriétés Le Liguori, qui se trouve dans le quartier Villeray, a été paralysé dès 10 h. Des délégués syndicaux de la FTQ-Construction se sont présentés sur les lieux et ont demandé à une trentaine de travailleurs de quitter le chantier. Seuls quelques ouvriers, dont le travail ne peut être interrompu, sont restés sur place. Les syndicats ont manifesté leur mécontentement relativement au projet de loi 33 du gouvernement Charest qui vise à abolir le placement syndical dans le milieu de la construction. Le Liguori est un projet de 211 unités en copropriété du Groupe immobilier Van Houtte qui se trouve boulevard Crémazie, près de Lajeunesse. Sur l'heure du midi, un autre chantier de construction a été paralysé dans la métropole. Le projet de résidence pour aînés du Groupe Maurice dans le quartier Ahuntsic, Les jardins Millen, a été déserté par les employés. Ailleurs en province Ce n'est pas que Montréal qui a été touchée par ces manifestations des syndicats de la construction vendredi. À Châteauguay, le chantier du prolongement de l'autoroute 30 a lui aussi arrêté. Il semble que tout se soit fait très rapidement, puisque jusqu'à ce midi, tout se déroulait rondement sur le terrain. Il s'agit d'une action éclatante et symbolique, puisque le prolongement de la 30 a été un enjeu électoral important. Le plus important chantier du Saguenay-Lac-Saint-Jean a lui aussi été paralysé. Le projet AP60 de Rio Tinto Alcan, à Saguenay, où travaille un millier d'employés a cessé toute activité dès 8 h le matin. Le syndicat a affirmé que cet arrêt de travail avait lieu pour protester contre le gouvernement, mais la compagnie a dit de son côté que c'est elle qui a fait cesser les opérations, car des travailleurs auraient commis des gestes « non sécuritaires ». Grande démonstration lundi? Le chargé de projet du Liguori a confié à TVA Nouvelles qu'il pourrait y avoir une grande perturbation sur les chantiers de construction de la province, lundi prochain. Il semble que certains grands chantiers, comme celui des hôpitaux du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) et du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), pourraient aussi être touchés. De son côté, la ministre du Travail, Lise Thériault, a appelé les entrepreneurs à porter plainte contre les syndicats auprès du gouvernement ou encore à la Commission de la construction du Québec (CCQ).
  12. Un complexe de 400 boutiques imaginé à l’aérogare de Mirabel Un promoteur italien souhaite implanter un complexe de 400 magasins à l’ancienne aérogare de Mirabel, dans les Laurentides. Un promoteur italien souhaite implanter un complexe de 400 magasins à l’ancienne aérogare de Mirabel, dans les Laurentides. Grandprixone, une entreprise italienne qui se spécialise dans l’implantation de commerces de type « factory outlet », serait en pourparlers avec Aéroports de Montréal (ADM) depuis près d’un an déjà. D’ailleurs, un de ses dirigeants avait dévoilé les grandes lignes du projet le printemps dernier à un magazine italien, information qui n’avait toutefois pas été reprise au Québec. Grandprixone chercherait à implanter ses complexes à proximité de circuits de course automobile dans le monde, apprend-on. Dans le cas présent, on pense à la piste Gilles-Villeneuve à Montréal, mais également au circuit ICAR sur le tarmac de l’aéroport de Mirabel. Sur trois étages L’aérogare, qui offre environ 64 000 mètres carrés d’espaces, serait considérablement transformée pour accueillir des commerces et des activités récréotouristiques sur trois étages. Le niveau inférieur serait consacré au marché de l’automobile, le rez-de-chaussée abriterait des magasins d’usines de grandes marques dans le domaine de la mode, tandis que, sur la mezzanine, on trouverait des boutiques d’alimentation et des restaurants. L’ampleur de l’investissement n’est pas précisée. ADM n’a pas confirmé ces informations. Le directeur du Centre local de développement (CLD) de Mirabel, Jean-Luc Riopel, a dit ne pas en savoir beaucoup plus lui-même. « On ne les a jamais rencontrés », a-t-il indiqué en parlant des promoteurs, confirmant que ceux-ci ont pour l’instant limité leurs démarches à la compagnie aéroportuaire. Grandprixone ne serait pas la seule entreprise à avoir présenté de nouvelles propositions pour l’aérogare, mais elle jouirait d’une entente prioritaire avec ADM. « Ça semble des gens sérieux qui, jusqu’à présent, ont livré la marchandise », a ajouté M. Riopel, évoquant diverses études préalables. Prudence Le directeur du CLD est resté prudent et n’a pas caché pas avoir été échaudé dans le passé par de tels projets de grande envergure. Ce fut le cas avec le complexe récréotouristique Rêveport à l’aérogare et avec le méga centre commercial Lac Mirabel. « Ça fait dix ans qu’on travaille sur la nouvelle vocation de l’aérogare », a rappelé Jean-Luc Riopel. Le projet de Grandprixone émerge au même moment où un groupe d’investisseurs locaux, la famille Delorme-Robitaille, prépare la relance de l’ancien hôtel de l’aéroport, ainsi que la construction d’un centre de congrès et de deux patinoires intérieures sur le même site.
  13. Brossard 40 M$ pour revamper le Mail Champlain Mise à jour : 16/09/2009 15h35 Les amateurs de shopping seront heureux d’apprendre que le Mail Champlain, sur la Rive-Sud de Montréal, se refera une beauté. Le propriétaire du centre commercial, Ivanhoé Cambridge, investira 40 millions $ pour réaménager le centre et ainsi espérer attirer une clientèle plus jeune. Les travaux commenceront dès cet automne et se poursuivront jusqu’en 2010. Ils se feront de nuit pour perturber le moins possible les activités du mail. Selon les plans des architectes, le centre devrait laisser passer plus de lumière naturelle. Les aires de restauration seront restaurées et un espace pour manger devrait être aménagé à l’extérieur. À Brossard, le Mail Champlain est en concurrence avec un autre grand joueur, le quartier DIX30. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2009/09/20090916-153237.html
  14. Publié le 01 novembre 2011 à 06h00 | Mis à jour à 06h00 La fin de l'immobilisme François Cardinal La Presse Plombée par l'abandon du projet de casino, ridiculisée pour son incapacité à mettre en chantier le moindre projet, handicapée par une absence de sensibilité montréalaise à Québec et à Ottawa, la métropole a vécu de bien difficiles années depuis le tournant du millénaire. Mais aujourd'hui, à mi-chemin entre deux élections municipales, la page de l'immobilisme se tourne. Le casino n'a plus l'intention de quitter son île. Les travaux du CHUM, de son centre de recherche et du CUSM sont en cours. Le chantier du 2-22, l'édifice phare du Quartier des spectacles, a repris. La Maison symphonique est un succès, de même que la Place des festivals. Tout n'est pas parfait, mais les grands projets auxquels on imputait l'immobilisme de la métropole n'ont plus rien d'immobiles, reconnaissons-le. Mieux, ils donnent une impulsion à Montréal au moment où celui-ci semble prêt à prendre un nouveau départ. En effet, bien des rubans d'inauguration ont été récemment coupés, ou sont sur le point de l'être. Pensons à l'annexe du Musée des beaux-arts, à la Maison du développement durable et bientôt, à la Place des arts, au Planétarium, aux agrandissements d'envergure de l'Hôpital général juif, du Centre hospitalier Ste-Justine, du stade Saputo. Parallèlement, d'imposants projets cheminent dans les officines. Le plus haut gratte-ciel construit depuis 20 ans devrait voir le jour aux côtés du Centre Bell. La première phase de réaménagement de Griffintown est lancée. D'imposants édifices sont prévus pour combler des trous laissés béants depuis trop longtemps. Bref, au moment où la crise économique secoue l'Europe et les États-Unis, Montréal connaît un essor surprenant. On le voit dans l'enthousiasme des promoteurs, mais on le voit aussi sur le terrain?: le taux d'inoccupation des plus importants édifices est en chute libre tandis que les mises en chantier résidentielles fracassent des records historiques, plaçant Montréal au troisième rang en Amérique du Nord?! Attention. On ne parle ici que de la fin de l'immobilisme, non pas de l'atteinte d'une période bénie à Montréal. On n'a qu'à penser aux problèmes éthiques qui ont secoué l'hôtel de ville, à l'état des infrastructures, à la caisse de retraite des employés, à la perte des sièges sociaux ou encore, à la congestion. Cela dit, les deux sont potentiellement liés?; la fin de l'immobilisme peut, éventuellement, servir de tremplin, elle peut permettre à Montréal de plonger dans une nouvelle étape de son développement. Après l'industrialisation du début du siècle et le développement tout-à-l'auto des années 1950, le temps est venu de limiter l'éparpillement et de fortifier l'existant. Mais quel modèle retenir?? La question est posée et la réflexion, entamée, avec les débats entourant Champlain, Turcot et Bonaventure, le Plan métropolitain d'aménagement et la révision de la loi sur l'urbanisme, le retour du péage et l'avenir du Stade, le prolongement du métro et le retour du tramway. Il n'est évidemment plus question d'Expo et de J.O., mais d'un ensemble de projets qui, mis ensemble, ont néanmoins le potentiel de transformer la métropole. Clairement, Montréal est à un moment charnière de son histoire. Demain?: les défis qui attendent Montréal
  15. Le Centre sur la biodiversité s'installera dans un nouvel immeuble, au coeur même du Jardin botanique La construction du nouvel édifice qui logera le Centre sur la biodiversité est le fruit d'un partenariat entre la Ville de Montréal et l'Université de Montréal. Il tiendra lieu de plateforme internationale pour le domaine de la biodiversité. Le bâtiment sera conçu selon les normes environnementales LEED (Leadership in Energy and Environmental Design), adaptées par le Conseil du bâtiment durable du Canada. Sur quatre niveaux, il logera des laboratoires de réception des échantillons, d'enseignement et de recherche de haute technologie, des bureaux et des salles d'exposition. L'Université donnera sous peu le coup d'envoi aux soumissions publiques pour la construction du bâtiment. Inauguration prévue en 2010 Gestionnaire du projet, Direction des immeubles: M. Louis Mathieu, directeur des grands projets http://www.di.umontreal.ca/centrebiodiversite.html
  16. Full article can be found here: http://business.financialpost.com/2011/05/26/target-unveils-canadian-stores/ List of Quebec Stores • Galeries d,Anjou, Anjou • Faubourg Boisbriand, Boisbriand • Carrefour Angrignon, Lasalle • Mega Centre Notre-Dame, Laval • Galeries Chagnon , Levis • Place Longueuil, Longueuil • Place Alexis Nihon, Montreal • Place Vertu, Montreal • Terrarium Shopping Centre, Pointe Claire • Les Galeries De La Capitale, Quebec City • Place Fleur De Lys, Quebec City • Place Laurier, Quebec • Le Carrefour Rimouski, Rimouski • Promenades Saint-Bruno, Saint-Bruno-de-Montarville • Carrefour Saint-Georges, Saint-Georges • Carrefour Richelieu, Saint- Jean sur-Richelieu • Carrefour du Nord, Saint Jerome • Carrefour de L,Estrie, Sherbrooke • Les Rivieres Shopping Centre, Trois Rivieres
  17. http://www.montrealgazette.com/business/sale+city+buildings+prime+spots/5275338/story.html By Allison Lampert, The Gazette August 18, 2011 10:08 PM The former H.L. Blachford Ltd. manufacturing building at 977 Lucien L'Allier St. was purchased for $6.8 million in 2000 MONTREAL - The real-estate arm of the city of Montreal is poised to sell two buildings in prime downtown locations that have been sitting half-empty for years, The Gazette has learned. The two buildings, located near the Bell Centre, are among hundreds of thousands of square feet of downtown Montreal real estate that has recently changed hands – or is to be sold off – for new office and residential projects, at a time when land prices have reached all-time highs. The buildings, which are to be put up for tenders this year by the Société d’habitation et de développement de Montréal, are located on sites originally destined for the third phase of Quebec’s ill-fated E-Commerce Place. Quebec’s Department of Finance mandated the SHDM to manage the buildings it bought for close to $7.9 million in 2000. “We want to put them for sale by the end of the year,” said Carl Bond, director of real estate management for the SHDM, a paramunicipal organization that owns and manages affordable housing units, along with several commercial buildings. “Those buildings will be sold, but we need an authorization from the (Department) of Finance.” Located at 977 Lucien l’Allier, and 1000-1006 de la Montagne St., south of René Lévesque Blvd., the buildings were initially slated to be demolished to make way for gleaming office towers. They were to be the last part of the 3-million-square foot Parti Québécois-supported project that was later scrapped by the Liberal government in 2003. The 24,000-square-foot site north of the Lucien l’Allier métro station was purchased from manufacturer H.L. Blachford Ltd. for $6.8 million in 2000 – far above the building’s 2011 municipal evaluation of $4.5 million. The disparity between the sales price and the current evaluation, an SHDM spokesperson explained, is because the land was to be used for a lucrative office tower, worth far more than a four-storey manufacturing plant. The two buildings have taken a long time to come to market. That’s because Blachford had a lease at the building until this spring when it ceased operations, Bond said. A travel agency is still operating at the building on de la Montagne, part of which is in a decrepit state. What’s more, the SHDM is now embroiled in legal talks with Blachford over the cost of cleaning up the building, which is contaminated. “Right now the lawyers are talking and we’re hoping to settle this out of court,” Bond said. But some commercial brokers say the SHDM lucked out in waiting. The buildings, they said, would be ideal for residential development at a time when new condos are being constructed in record numbers and downtown land is selling at a premium. “In terms of timing, it’s better to go to the market today,” said Louis Burgos, senior managing director, Cushman & Wakefield, Montreal. Today, land in the downtown area is being sold for $250 to $350 per square foot, brokers say, depending on the level of building density, or how much can be developed overall on the site. The SHDM’s two buildings won’t be coming to market alone. Another three sites have either traded hands, or are to come to market this year for the purpose of development. In late July, a site of Overdale Ave., an estimated 140,000-square-foot plot on the south side of René Lévesque Blvd, beside Bishop St., was sold by a company based out of a Sherbrooke St. West art gallery run by director Robert Landau for $28 million, provincial records show. The buyer is a numbered company owned by investor Kheng Li, who is a partner of E. Khoury Construction Inc. A worker at Khoury who didn’t want to be identified, said the site could be used for either residential or office development. And in April, Cadillac Fairview Corp. Ltd. announced a $400 million investment for an office and three condo towers to be built near the Bell Centre, on Saint Antoine and de la Montagne Sts. Yet a fifth land site near the Bell Centre is to be put on the market next week, The Gazette has learned. The price these sites will fetch will depend on a combination of zoning and market demand. The red-tape Montreal developers have historically faced in obtaining zoning changes to built higher — and more economically viable buildings — may be easier to deal with if the seller is a city agency, brokers say. alampert@montrealgazette.com http://www.twitter.com/RealDealMtl Read more: http://www.montrealgazette.com/business/sale+city+buildings+prime+spots/5275338/story.html#ixzz1VRFi0FYh
  18. Quartier ENTRE STATION DE METRO CRÉMAZIE ET SAUVÉ, PRÈS DE TOUS LES SERVICES, ÉPICERIES, RESTAURANTS ET PARCS, À PROXIMITÉ DU COLLÈGE D`ATHUNSIC ET DU CENTRE CLAUDE ROBILLARD Nombre d'unités 12 http://www.montrealdevelopers.com/condo-montreal/LE-LAJEUNESSE-CHABANEL-montreal.html?ProjetID=97
  19. Sur boulevard des Galeries d'Anjou entre l'actuel restaurant Madison et McDonald, un nouveau restaurant Les trois brasseurs sera construit sous peu. Il y a actuellement des pancartes qui annonce la venue du restaurant prochainement. Pour plus de précision sur sa localisation, le restaurant sera situé à deux pas du centre commercial les Galeries d'Anjou et il sera situé devant le Rona l’Entrepôt.
  20. Place Charles-Le Moyne : un centre des congrès et un nouvel hôtel en vue ? L’évaluation foncière du projet devra être supérieure à 80 M$ Alexandre Lampron Le Courrrier du Sud - Publié le 14 juillet 2011 à 11:40 LONGUEUIL. La Ville de Longueuil vient d’approuver une entente majeure avec la société immobilière Maestri Terra pour la mise en valeur de certains lots situés dans la partie du stationnement P-2, à proximité de la bretelle d’accès du pont Jacques-Cartier, dans le secteur de la station du métro de Longueuil. Le projet prévoit entre autres un centre de congrès, un complexe hôtelier, des espaces commerciaux et résidentiels et un stationnement souterrain. Selon les documents obtenus par Le Courrier du Sud, la société immobilière Maestri Terra, dont la présidence est actuellement occupée par l’homme d’affaires bien connu à Longueuil Jean-Guy Parent, désire participer au développement d’une partie de ce secteur fort névralgique de la ville. Ces documents précisent spécifiquement que «l’évaluation foncière minimum de ce projet devra être supérieure à 80 M$». «L’entente prévoit que le terrain est réservé pour une durée d’un an, en échange d’une somme mise en garantie (25 000$), le temps de réaliser les études de faisabilité, dont les résultats seront ensuite communiqués à la Ville, a expliqué la porte-parole de Longueuil, Alexandrine Coutu. La somme proposée au pi2 est d’environ 60$ par rapport à la quarantaine de dollars pour le prix payé pour des terrains comparables dans le même secteur, notamment le projet Blü Rivage.» Des détails Ainsi, les informations obtenues par Le Courrier du Sud confirment que le promoteur devra réaliser, d’ici au 30 juin 2012, les études avant le démarrage d’un éventuel projet de construction. Cela comprend des études de marché, des concepts d’aménagement préliminaires, le démarchage pour adjoindre la municipalité à un groupe hôtelier, la prospection de différents locataires pour des composantes de bureaux et commerciales, ainsi que le plan de mise en marché de la composante habitation. «À la fin de cette période, le promoteur bénéficiera aussi d’une option d’achat de ce terrain, d’une superficie de 11 200 m2, jusqu’au 30 décembre 2012, au prix de 645$ le m2, pour un montant total de 8 229 942$, taxes comprises, ce qui constitue la valeur du marché tel qu’établi par la Direction de l’évaluation municipale», peut-on lire dans les documents de la Ville. De plus, il est également précisé que «les activités du complexe immobilier devront s’inscrire en complémentarité de l’Université de Sherbrooke». Ainsi, une passerelle pourrait relier le projet au campus situé en face. Le projet tel que présenté par Maestri Terra devra également faire l’objet d’une approbation du comité consultatif d’urbanisme (CCU), conformément à la réglementation municipale actuellement en vigueur. «La Ville sera partie prenante des études, faisant un suivi régulier, permettant de mieux planifier la mise en valeur et le développement des îlots avoisinants», précise-t-on dans les documents. Aucun appel d’offres? Étrangement, Le Courrier du Sud a constaté qu’aucun appel d’offres n’avait été produit et lancé par la Ville de Longueuil dans le cadre de cet immense projet. La porte-parole de la municipalité a pour sa part expliqué que «rien ne le prévoit dans la loi». «Cependant, par souci de transparence, ces transactions sont rendues publiques, a ajouté Mme Coutu. Dans ce projet spécifiquement, deux groupes étaient intéressés par le terrain. Le projet retenu était le plus structurant pour le secteur et entraînait à long terme les retombées plus importantes pour la Ville de Longueuil.»
  21. Montréal se souvient Une exposition fait revivre les quartiers détruits au nom de la modernité dans les années 50 et 60 Jeanne Corriveau 8 juin 2011 Actualités en société Photo : Archives de la ville de Montréal Intérieur du barbier A. Plouffe sur la rue Craig, Faubourg à m'lasse, 1963. À RETENIR Quartiers disparus Dans les années 50 et 60, les quartiers Faubourg à m'lasse et Goose Village ainsi qu'une partie du Red Light montréalais ont été rasés au nom de la modernité et de la «vision monumentale» du maire de Montréal de l'époque, Jean Drapeau. Des milliers de logements ouvriers ont disparu, mais les souvenirs sont restés dans l'esprit de ceux qui ont vécu dans ces quartiers tricotés serrés. Le Centre d'histoire de Montréal a entrepris de faire revivre ces quartiers disparus en puisant dans l'impressionnante collection des Archives de la Ville de Montréal et en donnant la parole aux anciens résidants expropriés dans le cadre d'une exposition qui s'ouvrira la semaine prochaine. Frances Ortuso n'a pas oublié le quartier de son enfance, le Goose Village, situé à proximité du pont Victoria et où de nombreux immigrants italiens avaient choisi de s'établir. On dit que l'ex-maire Drapeau n'appréciait guère la présence gênante de ce quartier défavorisé que les visiteurs de l'Expo 67 ne pourraient manquer d'apercevoir en entrant dans la ville. Mieux valait le faire disparaître. Quoi qu'il en soit, les bulldozers ont rasé le site en 1964 pour permettre la construction de l'Autostade, un stade de football qui a été démantelé dans les années 70. Le site accueille maintenant un stationnement. «C'est comme une mort, explique Frances Ortuso dans le témoignage vidéo recueilli par Catherine Charlebois et Stéphanie Lacroix, du Centre d'histoire. Une partie de notre histoire est morte le jour où ils ont décidé de faire l'Expo 67. Il a fallu traverser une période de deuil, comme lors d'un décès, parce qu'il y avait quelque chose de perdu. Les souvenirs sont encore là, mais les maisons sont disparues et les gens sont partis.» Ex-résidante du Faubourg à m'lasse où s'est érigée la Maison de Radio-Canada dans les années 70, Jeanelle Bouffard raconte ses souvenirs pénibles. «Ce que j'ai trouvé le plus difficile, c'est quand on a vu la démolition se faire. Et là, tu te dis: "Il n'y a plus de traces de ton enfance"», relate-t-elle. Quelque 5000 résidants de ce quartier défavorisé ont dû trouver un autre logis avant que les démolisseurs investissent les lieux en 1963. La même inquiétude, mêlée parfois de résignation, émane des propos des autres anciens résidants. Certains ne regrettent pas leur demeure aux murs décrépits, aux escaliers branlants et aux conditions insalubres. Plusieurs ont applaudi la modernité et les grands projets de l'époque. Pour sa part, l'ancien urbaniste de la Ville de Montréal Guy R. Legault se porte à défense de la construction de l'autoroute Ville-Marie. «De dire qu'on a déchiré la ville, c'est une fausseté», soutient-il aujourd'hui en rappelant la mauvaise qualité des sous-sols dans ce secteur, l'occupation industrielle du site et la rareté des habitations. L'aménagement de l'autoroute a soustrait de la vue la circulation automobile et réduit les nuisances liées au bruit tout en permettant la construction d'édifices en surface, rappelle-t-il. Travail d'enquête Le projet d'exposition des quartiers disparus mûrit depuis dix ans dans l'esprit des dirigeants du Centre d'histoire de Montréal. Il y a deux ans, le Centre s'est lancé dans ses recherches plus intensives pour documenter son projet. L'équipe a retrouvé d'anciens résidants qui ont livré leur témoignage sur vidéo et ont obtenu les commentaires éclairés d'experts en urbanisme, en architecture et en patrimoine. Elle a aussi épluché la vaste collection de photos du Centre des archives de la Ville de Montréal puisque, consciencieusement, des fonctionnaires avaient pris soin de prendre en photo toutes les maisons destinées à être démolies en plus de croquer des scènes à l'intérieur des immeubles. «On ne veut pas démoniser la modernité, même si la nostalgie et le choc émotif ont marqué beaucoup de résidants. On a essayé de garder un certain équilibre, explique en entrevue Jean-François Leclerc, directeur du Centre d'histoire de Montréal. Ça passe beaucoup par les propos des témoins. Les photos sont importantes, mais les images que les gens vont créer par leurs descriptions sont très fortes aussi, notamment quand un ancien résidant du Red Light parle de la cohabitation des prostituées et des bonnes familles canadiennes-françaises ou italiennes. Ce sont des quartiers contrastés.» Rappelons que ce secteur du Red Light a été remplacé par les Habitations Jeanne-Mance. La voix des citoyens Il y a toujours eu de grands projets dans la métropole, mais l'autoroute Ville-Marie va faire émerger une contestation citoyenne. «C'est un sujet d'actualité, mais on n'avait pas planifié notre projet en même temps que l'échangeur Turcot», signale Jean-François Leclerc. Les grands projets qui ont amené ces destructions massives n'ont peut-être pas permis les développements anticipés et plusieurs projets ont fini avec des dimensions plus modestes: «Mais il y a peut-être de bons côtés à ça, c'est qu'on n'est pas allés au bout d'erreurs commises ailleurs dans le monde», fait remarquer M. Leclerc. «Que seraient devenus ces quartiers-là? Peut-être que comme dans le Plateau-Mont-Royal, il y aurait eu une période de déclin et, avec l'augmentation de la valeur immobilière, on aurait fait autre chose avec ça. C'est probable, mais ce n'est pas absolument certain», avance M. Leclerc. «Mais au moins, la leçon des années 60 va probablement éviter que d'autres quartiers soient détruits», précise-t-il, tout en émettant quelques doutes... Baptisée Quartiers disparus et présentée en collaboration avec les Archives de la Ville de Montréal, l'exposition-documentaire se déroulera du 15 juin prochain au 25 mars 2012 au 335, place d'Youville, dans le Vieux-Montréal. L'événement aura des antennes dans d'autres quartiers, notamment dans l'arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, où la construction du pont-tunnel Louis Hyppolyte-Lafontaine a entraîné la destruction d'une portion de Longue-Pointe. archives, quartier, urbanisme, habitation, Montréal, Histoire du Québec, Société Radio-Canada (SRC) http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/324964/montre-al-se-souvient Voir aussi: http://www.accesculture.com/contenu/quartiersdisparus
  22. la construction de cinq immeubles comptant 926 appartements pour retraités et d’un hôtel situé au 5500, rue Sherbrooke Est. Le projet comporte une salle de spectacle de 350 places, un cinéma, un restaurant de 375 places, un centre d’activités physiques avec spa, une piscine, une pharmacie, une bibliothèque, une chapelle et un stationnement intérieur de 400 places. Investissement prévu 140 millions de dollars Promoteurs Gouverneur Inc. www.residencesgouverneur.ca
  23. Michel Munger Argent Le fabricant Pratt & Whitney Canada pose le pied de façon ferme à Mirabel, prévoyant d'y rester au moins une trentaine d'années afin d'y assembler et tester ses moteurs d'avion. C'est ce qu'ont souligné John Saabas, PDG de l'entreprise, et le premier ministre Jean Charest, vendredi, lors de l'inauguration Centre aéronautique de Mirabel. Ce nouveau centre accueille les installations de montage et d'essai pour le moteur PW1524G, destiné à la CSeries de Bombardier (BBD.B), ainsi que la famille PW800, fabriquée pour les gros jets d'affaires. La durée de vie d'une nouvelle génération de moteurs s'étend sur des décennies, souligne Jean Charest. À titre d'exemple, le PT6 est entré en production en 1963. «Un moteur d'avion créé il y a une cinquantaine d'années fait encore partie des activités de base de Pratt & Whitney, dit le premier ministre. Ça illustre l'importance de l'annonce faite aujourd'hui. Une fois que Pratt & Whitney décide que c'est ici que son avenir se fait, il se déploie sur 50 ou 60 ans.» John Saabas se veut un peu plus conservateur. Néanmoins, il indique que «nous fabriquerons des moteurs à Mirabel pour 30 ou 40 ans». Le Centre aéronautique de Mirabel représente un investissement de 360 M$. Pratt & Whitney s'attend à ce que 300 travailleurs y soient à l'oeuvre d'ici cinq ans. L'usine fait aussi partie d'un plan d'investissement de 1 G$ en recherche et développement de 2008 à 2016, ce qui doit créer et maintenir 1000 emplois. Doubler la production «Le niveau d'emploi à Mirabel peut augmenter, avance M. Saabas. Les 300 emplois tiennent compte du volume prévu d'ici 2014. Si ce volume augmente, nous sommes capables de facilement faire doubler facilement la capacité de cette usine facilement et d'ajouter du personnel.» La nouvelle installation de Mirabel compte des lignes de montage automatisées. Les employés ont recours à des outils contrôlés par un système sans fil. Pratt & Whitney Canada a choisi le principe de production «juste à temps», afin d'éviter tout excès. «C'est une méthode de travail plus fragile [sur le plan de l'approvisionnement], avoue John Saabas. Mais nous sommes capables d'emmagasiner des matériaux et de réagir à tout changement. Il y a beaucoup de travail qui se fait au sein du système juste à temps, mais vous ne le verrez pas dans cette usine.» Notons enfin que M. Saabas contredit des sources qui ont récemment affirmé à Argent qu'une nouvelle fermeture d'usine aurait lieu à Longueuil. « Nous avons annoncé, l'année passée, que l'usine 2 fermait, dit le PDG. Nous l'avons déjà vidée. Les travailleurs ont été répartis dans nos autres installations. Nous ne prévoyons pas de fermer une autre usine à Longueuil. »
  24. Il s’agit du centre communautaire de l’Est de l’Arrondissement Pierrefonds-Roxboro. Ce bâtiment est situé sur le boulevard Gouin Ouest face à la station de train Sunnybrooke. Ouvert officiellement le 13 septembre 2008. Le centre communautaire est au dire des représentants municipaux le premier toit vert de l’ouest de l’île. Même si on peut en douter, le bâtiment est plutôt intéressant architecturalement. En plus du dit toit, le centre communautaire se distingue par sa large fenestration ainsi que par ses lignes résolument modernes. En forme de C inversé, il possède une cour centrale. Celle-ci se poursuit à l’extérieur du carré du bâtiment pour constituer un agréable petit espace de repos, ce qui n’est pas peu dire pour cette partie du boulevard Gouin. D’ailleurs, on peut, grâce à l’importante fenestration, observer à partir de cet endroit les différentes activités et les circulations qui ont cours dans le centre. La construction du centre communautaire s’inscrit dans la cadre d’un projet revitalisation du secteur est de l’arrondissement. Son implantation, à proximité de la gare, témoigne de la volonté de consolider la vocation civique de l’endroit. Comme le savent ceux qui sont familiers avec le quartier, ce secteur présente un environnement déstructuré, où la densité bâtie est plutôt faible et où les bâtiments commerciaux sont trop souvent implantés en fond de lot. Le projet du centre communautaire marque ici un changement. Il présente une petite marge de recul par rapport au boulevard Gouin, constituant ainsi une tentative pour encadrer la voie publique et ainsi engendrer un effet de densité.
  25. MONTREAL, March 29 /CNW Telbec/ - Mr. Michel Leblanc, President and CEO of the Board of Trade of Metropolitan Montreal, is pleased to invite media representatives to the Strategic Forum of the Board of Trade, which will focus on major projects in Montréal, on Wednesday, March 30, 2011, at 7:30 a.m. With the Mayor of Montréal, Gérald Tremblay, to be on hand, along with a number of experts and nearly 500 participants, this unique event will enable to learn more about how various key and shaping Montréal projects are advancing. The major development projects will be on-hand: The Montréal of tomorrow, an overview of the city's major projects Emilio Imbriglio, Partner, Raymond Chabot Grant Thornton TOWARDS MAJOR PRIVATE PROJECTS The impact of condo development on the Montréal landscape Jacques Vincent, Co-President, Prével Urban renewal, from Angus to Quadrilatere Saint-Laurent: The need for a territorial approach Christian Yaccarini, President and CEO, Angus Development Corporation The Windsor sector: Major developments for the Bell Centre and its surrounding area Salvatore Iacono, Senior Vice President, Development, Eastern Canada, Cadillac Fairview Corporation Ltd. LARGE-SCALE HEALTH INFRASTRUCTURES Sainte-Justine UHC - Grandir en santé: Innovation in personalized medicine for mothers and children Dr. Fabrice Brunet, Executive Director, Sainte-Justine University Hospital Center MUHC Normand Rinfret, Associate Executive Director and COO McGill University Health Centre The Jewish General Hospital Dr. Hartley Stern, Executive Director, Jewish General Hospital and Philippe Castiel, Director of Planning and Real Estate Development, Jewish General Hospital CHUM Christian Paire, Executive Director, Centre hospitalier de l'Université de Montréal MAJOR INSTITUTIONAL PROJECTS A space for life Charles-Mathieu Brunelle, Executive Director, Montréal's Nature Museums The UdeM's Outremont Campus Guy Breton, Rector, Université de Montréal The Innovation District: Progress report and guidelines for its implementation Yves Beauchamp, Director General, École de technologie supérieure and Heather Munroe-Blum, Principal and Vice-Chancellor, McGill University The redevelopment of the CBC/Radio-Canada site Maryse Bertrand, Vice-President, Real Estate, Legal Services, and General Counsel CBC/Société Radio-Canada The Quartier des spectacles Jean-Robert Choquet, Director, Department of Culture and Heritage, Ville de Montréal and Stéphane Ricci, Coordinator, Quartier des spectacles project, Ville de Montréal The Silo No. 5 and the Bassins du Nouveau Havre: Major revitalization projects for Montréal Cameron Charlebois, Vice-President, Real Estate, Quebec, Canada Lands Company Date: Wednesday, March 30, 2011 Time: From 7:30 a.m. to 12:30 p.m. Where: Palais des congrès de Montréal 1001 place Jean-Paul Riopelle Room 710 The Board of Trade of Metropolitan Montreal has some 7,000 members. Its primary mission is to represent the interests of the business community of Greater Montréal and to provide individuals, merchants, and businesses of all sizes with a variety of specialized services to help them achieve their full potential in terms of innovation, productivity and competitiveness. The Board of Trade is Quebec's leading private economic development organization. Contacts RSVP with Sylvie Paquette Advisor Media Relations by phone at 514 871-4000 ext. 4015 or by email at sylvie.paquette@ccmm.qc.ca.
×
×
  • Créer...