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  1. Prévu pour 2011, le Centre aura une superficie de 11 220 mètres carrés sur trois niveaux. Il comprendra deux salles de traitement de chimiothérapie (38 fauteuils), six appareils de radiothérapie, deux salles de curiethérapie, un bloc opératoire, une urgence oncologique, une salle de pharmacie et plusieurs salles de soutien pour les patients. La construction du CICM reposera entre les mains d’une entreprise de Brossard, EBC inc. L’Hôpital Charles LeMoyne (HCLM) a accordé, jeudi dernier, l’octroi d’un contrat de 40 millions $ pour la construction du Centre de cancérologie de la Montérégie (cicm) à l’entreprise EBC inc., dont la succursale de la région de Montréal est située sur la rue Isabelle, à Brossard. Cette sélection donnait suite à l’examen des huit soumissions reçues le 11 décembre dernier, parmi lesquelles la firme EBC inc. s’est alors classée plus bas soumissionnaire conforme, tel qu’exigé pour tout projet de construction dans le réseau de la santé et des services sociaux. «La majorité des firmes se trouvait grosso modo à environ un million $ près pour un projet évalué à 40 millions $», a précisé le président du conseil d’administration de l’HCLM, Marc Duclos. Devenue l’un des plus prestigieux entrepreneurs généraux en construction du Québec, l’entreprise EBC inc. s’est notamment fait connaître en Mon*té*régie par l’agrandissement du Centre hospitalier Honoré-Mercier de Saint-Hyacinthe et l’Hôpital de Granby. Elle a également construit le Centre de radiothérapie au centre hospitalier régional de Trois-Rivières. Dans la région de l’agglomération de Lon*gueuil, la firme EBC inc. est aussi l’entreprise qui travaille à l’immeuble du campus de Lon*gueuil de l’Université de Sherbrooke. Parce qu’elle est reconnue, notamment, pour son respect des échéanciers serrés, M. Duclos a admis, à l’issue de la rencontre, que «dans notre cas, c’est important de les respecter parce que nous parlons de sauver des vies, nous parlons de traitements de cancer. Notre objectif est d’être capable d’accommoder 400 patients par jour». L’HCLM planifie la mobilisation du chantier pour commencer l’excavation à la fin de janvier ou au début de février 2009. Brossard Éclair
  2. Trouvé sur ce site : Irenebrination: Notes on Architecture, Art, Fashion and Technology: May 2014 avec cette description : Également trouvé en parcourant divers site, cette photo de la maison Shaughnessy en 1948 : sur ce site : Montreal Mission | Sisters of Service
  3. Electricite: entente de 1 milliard entre le Quebec et l'Ontario | Quebec Publié le 15 décembre 2016 à 17h03 | Mis à jour à 17h03 Électricité: entente de 1 milliard entre le Québec et l'Ontario Le Québec et l'Ontario ont signé une entente de 1 milliard de dollars pour... MONTRÉAL Le Québec et l'Ontario ont signé une entente de 1 milliard de dollars pour l'exportation d'hydroélectricité, qui, de l'avis des premiers ministres des deux provinces, est historique en plus de marquer le début d'un partenariat énergétique dans le centre du Canada. Le premier ministre Philippe Couillard et son homologue ontarienne Kathleen Wynne ont pris part jeudi à une cérémonie pour officialiser l'entente annoncée en octobre dernier. Sur sept ans, le Québec exportera annuellement deux térawattheures (TWh) - une quantité suffisante pour approvisionner une ville d'environ 200 000 personnes - à destination de sa voisine. «C'est une entente historique, la première du genre et une continuation de la résurgence de l'influence du bloc du centre du Canada», a dit M. Couillard. Mme Wynne a affirmé que l'Ontario pourra réduire sa facture énergétique de 70 millions $ tout en éliminant un million de tonnes de gaz à effet de serre par année. Les lignes de transport qui relient les deux provinces peuvent même acheminer davantage d'hydroélectricité, a-t-elle ajouté. «Nous comprenons qu'il y a encore de la capacité, (...) mais à un certain point il faudra peut-être investir pour de nouvelles infrastructures, a dit Mme Wynne. Il est possible d'étendre le partenariat.» L'Ontario réservera également 500 mégawatts de puissance à Hydro-Québec afin de répondre aux besoins du Québec en période de pointes hivernales. M. Couillard a affirmé que certains détails de l'entente n'avaient pas été dévoilés parce que des négociations sont en cours avec d'autres clients potentiels. En réponse à une question, il a affirmé que les rumeurs selon lesquelles l'Ontario allait payer cinq cents pour chaque kilowattheure d'hydroélectricité étaient erronées.
  4. 19/10/2016 * Mise à jour*: 19 octobre 2016 | 16:00* Un vaste complexe sportif à Montréal-Nord d’ici 2020? Par Romain Schué TC Media *Une perspective de ce centre sportif que souhaite réaliser l'arrondissement de Montréal-Nord. * Montréal-Nord est toujours dépourvu d’un centre sportif, au grand dam des associations de sport qui doivent faire des pieds et des mains pour tenir leurs activités. La mairesse actuelle dit faire de ce dossier sa priorité, mais elle devra être créative pour réussir là où les administrations précédentes ont échoué. Lors de son élection en 2009, l’ex-maire Gilles Deguire avait affirmé que la réalisation d’un complexe sportif à Montréal-Nord serait l’un des enjeux de son premier mandat. Or, sept ans plus tard, aucun signe d’une première pelletée de terre. L’administration actuelle souhaite à présent passer à la vitesse supérieure pour enfin doter l’arrondissement d’une infrastructure qui existe dans d’autres secteurs de la ville. «C’est l’un des projets prioritaires, un projet d’envergure, majeur, mais qui va demander du temps», précise d’emblée la mairesse Christine Black, élue en avril dernier. L’ex-directrice du Centre des jeunes l’Escale est familière de ce dossier complexe. Depuis près de 10 ans, ce projet est sur la table, étudié plus ou moins sérieusement par les différentes administrations nord-montréalaises, mais également par Québec dont l’appui est primordial pour financer ce complexe tant attendu. Un «besoin réel et criant» Ce vaste centre sportif s’avère être un «besoin réel et criant» pour les associations sportives et organismes de Montréal-Nord, lassés de jongler des créneaux constamment occupés et des équipements à louer auprès de la Commission scolaire de la Pointe-de-l’Île. «Ça fait longtemps qu’on en parle, confirme Sheilla Fortuné, directrice de la Maison des jeunes l’Ouverture qui accueille plus de 3000 jeunes par an lors de multiples activités sportives. Ce serait un plus, on a hâte car on a vraiment besoin d’espaces pour occuper nos jeunes.» Une enquête en cours L’arrondissement a octroyé en septembre un contrat de près de 36 800$ au cabinet Léger pour la réalisation d’une enquête auprès des résidents, associations et organismes de Montréal-Nord afin de cibler les besoins et demandes des citoyens. La présentation de ce rapport se fera en décembre. Directeur général de la commission sport et loisirs de l’est de l’île de Montréal, Richard Longré déplore un secteur «malheureusement peu équipé.» «C’est un manque, c’est certain, précise le chef de la délégation de Bourassa lors des derniers Jeux du Québec. Il nous faut une vitrine qui donne aux gens l’envie de venir s’entraîner, avec des infrastructures de qualité. Ça créerait un engouement et on pourrait être plus compétitif.» Alors que l’arrondissement ne dispose d’aucun bassin, le Club de natation de Montréal-Nord et ses 240 membres, un chiffre en constante progression, utilisent les lignes d’eau des écoles Henri-Bourassa, Calixa-Lavallée et, depuis récemment, celles du cégep Marie-Victorin. «Ça demande beaucoup de flexibilité et on doit être plus imaginatif. À ce jour, on est à pleine capacité, indique l’entraîneur-chef Martin Panneton. Pour les parents qui doivent faire les navettes entre plusieurs installations, c’est parfois difficile et moi, physiquement, je ne peux entraîner à deux endroits différents. Pour créer un esprit d’équipe, intégrer de nouveaux jeunes, ce n’est pas évident.» Un bassin, un gymnase double et des logements Parmi les besoins ciblés par l’arrondissement, ce bassin olympique de 50 mètres, avec 10 couloirs, mais aussi un bassin récréatif avec jeux d’eau, figurent en première ligne de ce complexe qui pourrait accueillir des unités résidentielles aux étages supérieures. Sont également souhaités, dans les premiers plans de l’administration Black, un gymnase double, une palestre, un bocce, une salle de conditionnement physique, une salle multifonctionnelle, un café, une boutique et un espace santé. «Actuellement, en utilisant des équipements scolaires, on ne peut offrir d’activités pour les jeunes ou les aînés en journée. Avec un tel centre, on aura des outils supplémentaires et on met beaucoup d’énergie dans ce dossier», reprend la mairesse, qui a déjà visité plusieurs complexes durant l’été afin de se forger une idée plus précise. Même si cette dernière ne souhaite avancer aucun échéancier, ce projet figure dans un programme «Montréal-Nord 2020».*Ce centre devrait voir le jour sur un terrain municipal actuellement inoccupé, situé à l’intersection des boulevards Pie-IX et Henri-Bourassa. Un vaste complexe sportif a Montreal-Nord d’ici 2020? | Metro
  5. Tiré de Portail Constructo Pour plus de détails, voir le site de la CCN Consultez le plan (PDF)
  6. Ahead: A brighter horizon for Cabot Square Plans due; Downtown area in search of an identity Source: The Gazette Cty councillor Karim Boulos is standing in the Canadian Centre for Architecture, airing his optimism over a scale model of what is known as "the Cabot Square area" - a part of the Peter McGill district he represents. But the Cabot Square area is also a stretch of Ste. Catherine St. that makes many Montrealers wince. The thoroughfare between Lambert Closse and Chomedey Sts. has been this city's version of a picture of Dorian Gray, a pastiche of boarded-up storefronts, crumbling facades and grafitti that seems to have spread while other neighbourhoods renewed themselves. However, by this time next Monday, Boulos and the rest of the city will get a bigger glimpse of what might happen to the piece of downtown that's been in search of an identity for nearly a generation. That's when three teams of architects and urban planners will submit their versions of what should be done to revive the Cabot Square area. Boulos, Ville Marie borough mayor Benoit Labonté and members of an alliance of neighbourhood businesses and residents met the press yesterday to detail the attempts to revitalize the neighbourhood. The planning teams were formed after a collection of 25 business, property owners and residents' associations started the Table de concertation du centre-ville ouest. "The properties may be empty but the owners are still paying taxes," Boulos said. "They haven't left, they're waiting to see what's going to happen." The plans submitted by the teams will be judged by a jury that includes architect and Harvard professor Joan Busquest, Dinu Bumbaru of Heritage Montreal and founding director Phyllis Lambert of the Canadian Centre for Architecture. The successful submission will form the basis for an urban plan that will produced by the borough and submitted to public consultations. Boulos suggests that if everything goes well, changes in the district might begin "by this fall." And for Lambert, whose architectural centre sprawls across the neighbourhood's southern edge, change is what's needed for a district that spent decades losing more than it's gained. "Over the last years, this area has deteriorated miserably," she said. "There used to be the Forum and all those stores where the Faubourg (Ste. Catherine) is. ... But it just goes down the drain further and further. "Then there's the block ... just to the east of the Forum with the (Seville) theatre on it, which has been boarded up for years. "And this just destroys the whole area. People have no respect (for the neighbourhood), and why would you? People just walk down the street and it's so miserable." Lambert's nephew, Stephen Bronfman, is chairman of Claridge Inc., an investment company that owns the Seville Theatre block. Asked in October about the condition of the block, Lambert told The Gazette: "It is coming along. Slowly, but we are working closely with the city and other landlords in the area. It takes time to do properly." Labonté says a development project for the Seville block is under study by the borough's urban committee. Boulos has said in earlier interviews that a private investor plans to turn the block into student residences. "What I can tell you about this project," Labonté said, "is that that there will be lots of room for students - especially for Concordia University - and the design of the building will be quite impressive. ... I'm pretty confident this project at the Seville Theatre will start the renewal of this leg of Ste. Catherine St." A decision by the borough on which development plan will be used is expected in May. But final approval will rest with the city's executive committee. In the meantime, Montrealers and the people who own the storefronts that make them wince wait to see what's going to happen.
  7. Rénovation de la façade de l'une des entrées principales du centre commercial en vue de l'arrivée de Target. Avant les travaux: Source: http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Zellers_Place_Versailles,_Montr%C3%A9al,_QC_1_(8274463682).jpg Après les travaux: Source:
  8. 17,4 M$ pour rénover le centre récréatif de Montréal-Est Par Samantha Velandia TC Media Les membres du conseil municipal ont opté pour la rénovation du centre récréatif Édouard-Rivet qui devrait coûter près de 17 M$. Les élus qui avaient flirté avec la possibilité de la relocalisation et reconstruction d’une nouvelle bâtisse, ont écarté cette idée après avoir été informés que le centre récréatif actuel, était encore en bon état. «Nous sommes agréablement surpris d’apprendre que le bâtiment est structurellement sain, et que des rénovations sont non seulement envisageables, mais souhaitables puisque nombre des matériaux utilisés durant la construction sont plus durables que ceux utilisés de nos jours», dit Francine McKenna, directrice des communications à la municipalité. Elle ajoute qu’une telle solution est aussi plus favorable aux principes de développement durable. «La rénovation est moins génératrice de débris que la démolition», affirme Mme McKenna. Rappelons qu’au mois de janvier, la municipalité avait annoncé la relocalisation et reconstruction de deux bâtiments municipaux, soit le centre récréatif et le garage municipal. Le coût des travaux était alors estimé à 45,5 M$. Depuis, une étude de faisabilité relative à la rénovation du centre récréatif, confiée à la firme MACOGEP, a été divulguée. Selon les sommaires décisionnels du dernier conseil municipal, les résultats de l’étude en question ont recommandé de retenir le scénario de la rénovation car cela favoriserait la préservation d’un bâtiment significatif en plus de privilégier le développement durable. On recommande également de rénover plutôt que de reconstruire afin d’alléger la dette à long terme et de diminuer le coût global des travaux. La piscine priorisée Mme McKenna, de la municipalité, explique que des appels d’offre seront lancés au cours des mois de novembre et de décembre. Les travaux qui devraient commencer au mois d’août 2016, s’échelonneront sur une période de 12 mois. La piscine, le gymnase et l’aréna seront rénovés. Certains espaces du centre récréatif seront également «repensés afin d’en accroître leur fonctionnalité», explique Mme McKenna. La directrice avance que l’échéancier des travaux sera conçu afin de minimiser l’impact sur les citoyens et ajoute que «la piscine sera toutefois priorisée et rouvrira dès que la rénovation sera terminée.»
  9. Le projet a été inauguré cette semaine. Photo : Ville de Repentigny
  10. Rénovation de la façade du centre commercial situé sur la rue Sherbrooke. En date du 10 décembre 2013 : Voici la façade avant les travaux : Photographie de Google StreetView
  11. Ancienne place qui sera détruite : http://mtlurb.com/forums/showthread.php/1564 *** La nouvelle place du centenaire MONTRÉAL – La Place du Centenaire a un nouveau domicile permanent au Centre Bell. La Place du Centenaire, originalement ouverte en 2008 dans le cadre des festivités entourant le 100e anniversaire de l’équipe, a été et sera utilisée pour le développement d’un projet de condominium, la Tour des Canadiens. L’annonce du début prochain de la construction a été faite jeudi matin. Au cours des derniers mois, il y a eu de nombreuses discussions à propos de la façon dont serait réintégrée la Place dans les environs du Centre Bell, avec la multitude de projets en cours dans les alentours immédiats. Le propriétaire des Canadiens, Geoff Molson, a fait taire toutes les rumeurs et les spéculations en dévoilant une vision claire de ce qui doit être considéré comme un véritable musée en plein air. «Ça a toujours été une priorité pour nous d’honorer nos joueurs et nos équipes légendaires, de même que votre passion et votre attachement à l’équipe par le biais de briques personnalisées, le tout dans un endroit accessible au public pour des générations et dans une ambiance aussi fantastique que les moments iconiques et l’histoire qui y sont célébrés », a mentionné Molson. «Nous sommes heureux de vous dévoiler notre vision de ce qui deviendra l’emplacement permanent de la Place du Centenaire, une place que les Montréalais et les visiteurs de partout dans le monde pourront voir, pour les décennies à venir. » Avec un dévoilement prévu en 2016, en même temps que la Tour Deloitte, la prochaine intégration de la Place du Centenaire se retrouvera du côté est du Centre Bell – à l’extérieur, adjacente au Cour Windsor et au Temple de la renommée des Canadiens de Montréal. Elle comprendra tous les mêmes éléments qu’au premier site, incluant les 100 plus grands moments de l’équipe, un hommage aux conquêtes de la coupe Stanley et aux 17 hommes qui ont vu leurs chandails retirés, les quatre statues des légendes Howie Morenz, Maurice Richard, Jean Béliveau et Guy Lafleur, le monument dans lequel est gravé tous les prix et trophées remportés, de même que les noms de tous les joueurs de l’équipe au cours de ses 100 premières années d’existence. Et finalement, des milliers de briques personnalisées par les partisans. Geoff Molson a également confirmé qu’en raison du risqué élevé de dommages possibles aux briques existantes, l’équipe allait commander de toutes nouvelles briques, comportant les inscriptions originales des partisans. La Place du Centenaire sera de nouveau accessible au public 365 jours par année. Située dans une cour complètement redessinée à côté de la Tour Deloitte, la nouvelle Place sera certainement une oasis bien populaire au cœur du centre-ville de Montréal. http://canadiens.nhl.com/club/l_fr/news.htm?id=672948
  12. Pas sûr que ça va ici, mais je ne savais pas où mettre. Anyway, super nouvelle! Certains ici ont déjà participé à ça? Moi c'était au National Model United Nations à NY. Je ne sais pas comment se compare le WMUN par contre. https://www.dawsoncollege.qc.ca/news/dawson-community/worldmun-is-coming-to-montreal-thanks-to-dawsons-efforts/
  13. http://www.journaldequebec.com/2016/06/11/une-journaliste-francaise-installee-au-quebec-raconte-la-realite-dici Une journaliste française installée au Québec raconte son expérience Une journaliste française installée au Québec raconte son expérience COURTOISIE VILLE DE MONTRÉAL Stéphane Plante 002 STÉPHANE PLANTE Samedi, 11 juin 2016 14:06 MISE à JOUR Samedi, 11 juin 2016 14:22 Emmanuelle Walter vit au Québec depuis cinq ans. Elle décrit son expérience en sol québécois et rapporte les témoignages d’autres Français. Pour son article «S'installer au Canada: Français, arrêtez de gueuler et adoptez l'accent!» publié sur le site de l’hebdo L’Obs, la journaliste a recueilli les commentaires d'autres Français ayant élu domicile au Québec depuis quelques années. Si le topo s’avère positif dans l’ensemble, quelques-unes des personnes consultées pour l'article adressent tout de même quelques mises en garde à leurs compatriotes tentés par l'expérience québécoise. Par exemple, les Français nouvellement installés au Québec devraient cesser le plus rapidement possible de comparer leur terre d’accueil avec la France. D'emblée, Emmanuelle Walter se montre sévère envers ses congénères: «Notre ethnocentrisme franco-français est proprement ahurissant.» Une Française ayant témoigné dans l'article abonde dans le même sens. «Tout est tellement différent que la comparaison (entre le Québec et la France) est vaine. À un moment, il faut déplacer son centre de gravité et s'intéresser plutôt, si on veut être pertinent dans les discussions, à ce qui se passe à Toronto, Seattle ou Vancouver», affirme Sarah, qui œuvre dans le secteur des communications. La question de l’accent, bien sûr, demeure au centre des préoccupations des Français au Québec. Comme l’affirme une des femmes citées par la journaliste, les nouveaux arrivants se doivent d’être à l’écoute sans condescendance. «Je conseille aux néo-arrivants français d'ouvrir grand leurs oreilles, de ranger leur mépris pour l'accent au placard, de comprendre les différents registres (la langue parlée est très différente de la langue écrite) et d'adopter avec jouissance le maximum d'expressions québécoises.» Les relations de travail «à la québécoise» sont aussi commentées par un jeune entrepreneur d’origine française à la tête d’une start-up de jeux vidéo. «Tu ne peux pas formaliser un reproche de manière abrupte. Il faut réfléchir à l'avance à la manière dont tu vas le verbaliser. Sinon, l'employé claque la porte et va voir ailleurs, et je sais de quoi je parle. C'est à l'opposé du management sanguin de Marseille, d'où je viens! Moi, j'y ai trouvé beaucoup d'apaisement.» Dans l'article, Emmanuelle Walter parle aussi de l’éducation des enfants, du féminisme tel qu’il est perçu chez nous et de l’hiver québécois. sent via Tapatalk
  14. Initialement pévu à Laval, la Cité du commerce international chinois sera finalement construite à Longueuil, sur deux terrains du boulevard Moïse-Vincent qui appartenaient à la ville (La Presse) *** ANCIEN ARTICLE via L'Écho de Laval : Un centre de commerce international chinois sur l’île Jésus? Le ciné-parc sera transformé en Chinatown Par Claude-André Mayrand Mercredi 27 novembre 2013 00:28:59 HNE Photo: Alarie Photos Une vue aérienne du ciné-parc, dont le terrain appartient au Groupe Montoni. C'est à cet endroit que prendrait forme le Chinatown lavallois EXCLUSIF-LAVAL - Une importante compagnie asiatique, Min Ying Holdings, projette de s’implanter sous peu à Laval dans un centre de commerce international qui sera entouré de centaines de résidences de luxe qui abriteront environ 1 000 familles chinoises fortunées. Le lobbyiste et ancien député fédéral Roger Pomerleau, qui travaille sur ce dossier depuis plusieurs mois, a confirmé les informations obtenues par L’Écho de Laval. Le terrain qui serait retenu est celui de l’ancien ciné-parc de Laval, situé en bordure de l’autoroute 15 et propriété du Groupe Montoni. Une autre entreprise chinoise, Mirabel International Trading Center (M.I.T.C), basée au Québec et fondée alors que le projet lorgnait l’aéroport de Mirabel, est aussi impliquée dans le projet de centre. L’arrivée du centre de commerce international chinois sera confirmée une fois que les derniers détails seront conclus avec le Groupe Montoni. Il a été possible d’apprendre que le projet était passé par le bureau d’Immigration Canada, qui a approuvé l’arrivée massive des Chinois au Québec. Le centre de commerce international lavallois serait une version réduite du Centre de commerce international de Yiwu, le «paradis des consommateurs», situé au sud de Shanghai. On y retrouve 62 000 kiosques qui présentent plus de 400 000 produits dont les prix de vente influencent les prix du marché partout dans le monde. «Il y aurait 1 000 entreprises chinoises qui viendraient s’établir au Québec pour faire du commerce directement ici en éliminant les intermédiaires, explique Roger Pomerleau. Ce serait comme un bureau des ventes, une vitrine pour présenter des produits. Toute la production serait faite en Chine.» Un quartier chinois lavallois? Autour du centre, un véritable quartier chinois de luxe prendrait forme. Des maisons à 800 000 $ et plus seraient érigées pour accueillir les entrepreneurs chinois et leurs familles. D’autres maisons déjà érigées à Laval pourraient aussi être achetées pour accueillir tout le monde si le terrain du Groupe Montoni n’est pas assez vaste. «Au départ, on se demandait si le réseau hôtelier lavallois avait la capacité d’accueillir le flux touristique qui serait causé par la présence de ce centre unique en Amérique du Nord, affirme une source au fait du dossier qui a requis l’anonymat. Des gens d’affaires de partout au Canada et aux États-Unis voyageraient à Laval pour conclure leurs ententes plutôt que de voyager jusqu’en Chine.» Les entrepreneurs chinois se seraient engagés à apprendre le français dans leur première année de résidence au Québec et à fournir un minimum de 1 000 emplois à la population locale. Le terrain idéal Le terrain de l’ancien ciné-parc est celui qui a le plus plu aux dirigeants de l’entreprise chinoise dans leurs recherches. «C’est pour trouver un terrain qu’on m’a approché en premier lieu, précise Roger Pomerleau. Nous avons visité une quinzaine de terrains de grande envergure.» L’ancienne usine Hyundai de Bromont, l’ancien terrain de l’hippodrome Blue Bonnets et un terrain de Ville Saint-Laurent ont été étudiés parmi ces 15 terrains. Au départ, un terrain de Vaudreuil-Dorion avait été retenu et l’information avait coulé dans les médias en octobre 2012. Les développements n’ont pas fonctionné pour ce terrain en raison des permissions environnementales requises qui étaient trop longues à obtenir. «Le dossier a évolué depuis et le terrain de l’ancien ciné-parc est celui qui leur a plu davantage en bout de ligne», précise M. Pomerleau. L’entreprise chinoise désirait un endroit pouvant accueillir un large stationnement pour le centre de commerce, facile d’accès par les transports en commun et situé près des aéroports. «Groupe Montoni s’est engagé à obtenir rapidement tous les permis requis», conclut M. Pomerleau. Le lobbysite parle d’un dossier très complexe, qui progresse lentement. «Ce sont des négociations très ardues. Il y a eu plusieurs offres et contre-offres.» Plusieurs appels ont été logés au Groupe Montoni afin de parler à Dario Montoni, qui n’a pas retourné nos appels. À lire également: Que fait Min Ying Holdings? Chinatown: Martin Cauchon et Jean Chrétien impliqués
  15. http://montrealgazette.com/news/local-news/good-architecture-pays-french-expert <header class="entry-header" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-stretch: inherit; font-size: 15px; line-height: 24px; font-family: BentonSans-Regular, Arial, Helvetica, sans-serif; vertical-align: baseline; color: rgb(0, 0, 0);">The good, the bad and the ugly: French expert assesses Montreal architecture MARIAN SCOTT, MONTREAL GAZETTE More from Marian Scott, Montreal Gazette Published on: April 13, 2016 | Last Updated: April 13, 2016 7:00 AM EDT </header><figure class="align-none wp-caption post-img" id="post-783124media-783124" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemid="http://wpmedia.montrealgazette.com/2016/04/montreal-que-april-6-2016-emmanuel-caille-is-an-edito.jpeg?quality=55&strip=all&w=840&h=630&crop=1" itemtype="http://schema.org/ImageObject" style="margin: 0px 0px 2em; padding: 0px; border: 0px; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; font-stretch: inherit; font-size: inherit; line-height: inherit; font-family: inherit; vertical-align: baseline; overflow: hidden; color: rgb(255, 255, 255); float: none;"><figcaption class="wp-caption-text" itemprop="description" style="margin: -1px 0px 0px; padding: 10px; border: 0px; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; font-stretch: inherit; font-size: inherit; line-height: inherit; font-family: inherit; vertical-align: baseline; zoom: 1; text-align: right; background: rgb(12, 12, 12);"> Emmanuel Calle, editor of the French architecture magazine "d'a", at the Canadian Centre for Architecture. Caille shared his thoughts on Montreal's architecture. MARIE-FRANCE COALLIER </figcaption></figure>SHAREADJUSTCOMMENTPRINT What would an international expert think of Montreal’s recent architecture? To find out, the Montreal Gazette took French architecture critic Emmanuel Caille on a walking tour of downtown and Griffintown. He also visited the $52.6-million indoor soccer stadium that opened last year in the St-Michel district. Caille, the editor of the Paris-based architecture magazine “d’a”, was in town to take part in a panel discussion last week on architectural criticism, organized by the Maison de l’architecture du Québec and the Royal Architectural Institute of Canada (RAIC). Caille’s verdict on our fair city ranged from a thumbs-up for the pricey new soccer stadium to shocked incredulity over a new hotel annex to the Mount Stephen Club, a historic mansion at 1440 Drummond St. <figure id="attachment_783141" class="wp-caption post-img size_this_image_test align-center" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemid="photo url" itemtype="http://schema.org/ImageObject" style="margin: 0px auto 15px; padding: 0px; border: 0px; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; font-stretch: inherit; font-size: inherit; line-height: inherit; font-family: inherit; vertical-align: baseline; overflow: hidden; color: rgb(255, 255, 255); float: none; max-width: 100%; width: 1000px;"><figcaption class="wp-caption-text wp-caption" style="margin: -1px 0px 0px; padding: 10px; border: 0px; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; font-stretch: inherit; font-size: inherit; line-height: inherit; font-family: inherit; vertical-align: baseline; zoom: 1; text-align: right; background: rgb(12, 12, 12);"> The Mount Stephen Club. DARIO AYALA / MONTREAL GAZETTE </figcaption></figure>Built from 1880-83 for Lord Mount Stephen, the first president of the Canadian Pacific Railway, it has been in the news recently after suffering structural damage during construction of the annex. Caille, an architect as well as an editor, did not comment on the structural problems, but he did give a visual assessment of the hotel addition, an 11-storey cement-panel structure tucked behind the mansion. “It’s quite brutal in the city,” he said. From de Maisonneuve Blvd., the hotel addition presents a view of three blank walls with a shed-style roof. “It’s astonishing. It’s bizarre,” he said. Caille was also perplexed by the front façade, dotted with small windows of different sizes. “What is not obvious is what relationship there is between this building and the mansion. I don’t see any,” he added. The hotel addition shows why projects should not be conceived in isolation, Caille said. City planners should have put forward a vision for the entire block, which includes an outdoor parking lot on de la Montagne St. that would have made a better site for a high rise, he said. Interesting alleyways and outdoor spaces could have been included, he said. “Everybody is turning their back to one another,” he said of how the different properties on the block don’t relate to each other. At the Ritz-Carlton hotel on Sherbrooke St., Caille said a glass condo addition completed in 2013 is a good example of how to update a historic building for modern use. But he criticized white PVC windows on the hotel’s Sherbrooke St. façade for their thick frames and mullions, which don’t suit the building. “That’s horrible,” he said. “Windows are the eyes of a building. When women use an eye pencil to emphasize their eyes, it changes everything.” <figure id="attachment_783158" class="wp-caption post-img size_this_image_test align-center" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemid="photo url" itemtype="http://schema.org/ImageObject" style="margin: 0px auto 15px; padding: 0px; border: 0px; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; font-stretch: inherit; font-size: inherit; line-height: inherit; font-family: inherit; vertical-align: baseline; overflow: hidden; color: rgb(255, 255, 255); float: none; max-width: 100%; width: 997px;"><figcaption class="wp-caption-text wp-caption" style="margin: -1px 0px 0px; padding: 10px; border: 0px; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; font-stretch: inherit; font-size: inherit; line-height: inherit; font-family: inherit; vertical-align: baseline; zoom: 1; text-align: right; background: rgb(12, 12, 12);"> Construction workers work on the District Griffin condo project in Griffintown. DARIO AYALA / MONTREAL GAZETTE </figcaption></figure>In Griffintown, Caille was unimpressed by the banal architecture of condo towers that have sprouted in recent years in the former industrial district, which is undergoing rapid transformation. But the former Dow Planetarium at 1000 St-Jacques St. W. caught his eye. Built in 1966, it closed in 2011. The city turned it over to the Université du Québec’s École de technologie supérieure in 2013. ÉTS announced it would transform the building into a “creativity hub” but so far the building has sat vacant. Caille said the domed landmark has great potential to be recycled for a new vocation. “When a building is dirty and dilapidated, people don’t see its beauty. You have to see the beauty underneath the neglect,” he said. Today there is a consensus that older heritage buildings should be preserved but it’s still difficult to rally public opinion behind buildings from more recent eras, like the 1960s, Caille said. <figure id="attachment_783147" class="wp-caption post-img size_this_image_test align-center" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemid="photo url" itemtype="http://schema.org/ImageObject" style="margin: 0px auto 15px; padding: 0px; border: 0px; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; font-stretch: inherit; font-size: inherit; line-height: inherit; font-family: inherit; vertical-align: baseline; overflow: hidden; color: rgb(255, 255, 255); float: none; max-width: 100%; width: 1000px;"><figcaption class="wp-caption-text wp-caption" style="margin: -1px 0px 0px; padding: 10px; border: 0px; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; font-stretch: inherit; font-size: inherit; line-height: inherit; font-family: inherit; vertical-align: baseline; zoom: 1; text-align: right; background: rgb(12, 12, 12);"> The 26-storey Deloitte Tower between Windsor Station and the Bell Centre. DARIO AYALA / MONTREAL GAZETTE </figcaption></figure>The Deloitte Tower, a new 26-storey glass office tower between the Bell Centre and Windsor Station, is nothing to write home about, in Caille’s opinion. “It’s developer architecture,” he said. “There’s nothing interesting about it.” Built by developer Cadillac Fairview, it is part of the $2-billion, nine-tower Quad Windsor project. That includes the 50-storey Tour des Canadiens, which will be Montreal’s tallest condo tower for about a year, until the even taller nearby L’Avenue tower is completed. Most people don’t notice the difference between good and bad architecture when a building is new, Caille said. But over time, the defects of bad buildings grow increasingly obvious, while the good ones become beloved monuments, he said. “People go to New York to see the architecture of the 1920s and 30s,” he said, referring to landmarks like the 1931 Empire State Building and 1928 Chrysler Building. “Good architecture always pays off in the long term.” Unfortunately, much development is driven by short-term considerations, he said. While a developer can walk away from a mediocre building once it’s sold, city-dwellers are stuck with it, he said. “For him, it’s no problem. But for the city, it’s a tragedy,” he said. “Today’s architecture is tomorrow’s heritage,” he noted. Caille is a strong proponent of architectural competitions, which he sees as a way to seek out the best talents and ideas. “It forces people to think and it shows that for every problem, there are many solutions. It’s a way of accessing brainpower,” he said. <figure id="attachment_783196" class="wp-caption post-img size_this_image_test align-center" itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemid="photo url" itemtype="http://schema.org/ImageObject" style="margin: 0px auto 15px; padding: 0px; border: 0px; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; font-stretch: inherit; font-size: inherit; line-height: inherit; font-family: inherit; vertical-align: baseline; overflow: hidden; color: rgb(255, 255, 255); float: none; max-width: 100%; width: 1000px;"><figcaption class="wp-caption-text wp-caption" style="margin: -1px 0px 0px; padding: 10px; border: 0px; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; font-stretch: inherit; font-size: inherit; line-height: inherit; font-family: inherit; vertical-align: baseline; zoom: 1; text-align: right; background: rgb(12, 12, 12);"> Kids arrive at the the new soccer complex at the Complexe environnemental St-Michel. PHIL CARPENTER /MONTREAL GAZETTE </figcaption></figure>The St-Michel soccer stadium has been criticized for its high price tag but Caille hailed it as an example of excellent design. The ecological building designed by Saucier & Perrotte has three glass walls overlooking a park in the St-Michel environmental complex. Caille said the stadium could be a catalyst for improvements in the hardscrabble north-end neighbourhood. During Tuesday’s panel discussion, Paul Goldberger, a Pulitzer Prize-winning former architecture critic for the New York Times and the New Yorker, said that unlike other types of journalists, architectural critics rarely have an immediate impact on public opinion. “Architectural criticism must take a very long view,” he said. “One learns to think of one’s influence as more gradual, as shifting tastes and judgment over time.” Goldberger, author of books including Why Architecture Matters, published in 2009, has written that the critic’s job is not to push for a particular architectural style, but rather to advocate for the best work possible. He said the time in his career when architectural criticism enjoyed greatest prominence was following Sept. 11, 2001, during discussions over the rebuilding of the World Trade Center. “It was a time when architectural criticism really was, I think, front and centre in the public discourse,” he said. “There it was so clear that an issue of architecture was intimately connected to significant world affairs and one did not have to struggle to help people understand the connection between architecture and the rest of the world,” said Goldberger, who now writes for Vanity Fair and teaches at The New School in New York. In a 2011 review of the new World Trade Center for the New Yorker, Goldberger said the design by architect Daniel Libeskind “struck a careful balance between commemorating the lives lost and reestablishing the life of the site itself.” The panel discussion followed the awarding of two $1,000 prizes to young writers for architectural writing on the topic of libraries. The winning entries by Marie-Pier Bourret-Lafleur and Kristen Smith will be published respectively in Argus and Canadian Architect magazines. mascot@montrealgazette.com Twitter.com/JMarianScott
  16. 29 novembre 2011 Communiqué Le futur Centre de transport Stinson de la STM La construction du Centre de transport Stinson a été annoncée hier. Situé dans l'arrondissement de Saint-Laurent, en bordure des rues Stinson et Montpellier, ce bâtiment de deux étages, d'une superficie totale de plancher de 38 400 mètres carrés, abritera 300 bus, soit 200 réguliers et 100 articulés. Certains aménagements de base seront prévus de façon à accueillir éventuellement des véhicules électriques. La STM compte mettre tout en œuvre pour que ce nouveau bâtiment reçoive la certification LEED OR (Leadership in Energy and Environmental Design). Ce serait alors le premier centre de transport LEED OR au Canada. Intégration des principes de développement durable Pour obtenir la certification LEED, la STM doit non seulement minimiser les impacts du projet au niveau de l'environnement, mais également assurer une gestion efficace des ressources. Elle doit se préoccuper de la qualité de vie des résidents du secteur, par exemple, en contrôlant les eaux de surface, boues et poussières pendant le chantier. Les matériaux utilisés seront de provenance régionale dans la mesure du possible. La circulation des véhicules se fera majoritairement à l'intérieur du centre, ce qui va être moins incommodant pour les résidents. Des espaces verts et boisés seront aménagés sur le terrain pour contribuer à sa mise en valeur et à la réduction des îlots de chaleur. Un système permettra de récupérer une partie des eaux de lavage et de pluie. Le toit végétal couvrira une surface équivalant à un terrain et demi de football, soit environ 25 % de sa surface totale. Une attention particulière sera apportée à l'éclairage extérieur afin de limiter sa projection au site même. La performance énergétique sera optimisée de façon à récupérer près de 85 % de la chaleur lors des périodes froides. Ouverture à l'automne 2013
  17. Coin Notre-Dame Est/53e avenue. Immeuble de cinq étages abritant 126 logements abordables destinés aux aînés en légère perte d’autonomie et 48 chambres pour les personnes âgées en perte d’autonomie. Conversion de l'ancienne église Sainte-Germaine-Cousin en Centre de la petite enfance et en salle communautaire. Photos : Site web du projet. Avant-Après (les photos datent d'un an, le projet est aujourd'hui terminé) : Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  18. http://journalmetro.com/local/ouest-de-lile/actualites/907385/projet-de-camping-au-cap-saint-jacques/ 24/01/2016 Mise à jour : 25 janvier 2016 | 10:31 Projet de camping au Cap-Saint-Jacques Par Laurence Houde-Roy Métro TC Media Vue du Cap-Saint-Jacques La Ville de Montréal est en réflexion au sujet de l’implantation d’un projet de camping individuel au parc-nature du Cap-Saint-Jacques, dans l’ouest de l’île. Les tarifs pour ce projet ont d’ailleurs déjà été approuvés dans le dernier budget 2016 de la Ville de Montréal. Rien n’est encore assuré, a toutefois prévenu le service des communications de la Ville de Montréal à Métro. Ces tarifs ont été approuvés seulement «en prévision d’une éventuelle implantation du camping individuel dans les parcs-nature», nuance-t-on. «Mais les études requises pour une telle implantation n’ont pas été faites (capacité de support du milieu, services sanitaires, etc)», a précisé le service des communications. Actuellement, le camping est permis pour les groupes de 10 personnes et plus dans le secteur du centre de plein air du Cap-Saint-Jacques, dans le secteur est du parc. Si les études en à venir sont concluantes, le projet pourrait offrir des terrains individuels au centre du parc-nature du Cap-Saint-Jacques au centre du parc, soit des terrains sans services (sans eau ni électricité), et les véhicules devraient être garés dans les stationnements. «Par contre, il n’est pas garanti que ce soit cette année. Et si c’était le cas, ce serait sur une base expérimentale, car nous n’avons pas encore les infrastructures nécessaires (processus de réservation, aspects de sécurité, aires de feu, etc.)», ajoute le service des communications. Le nombre de terrains qui seraient offerts n’a pas encore été défini, ni l’endroit exact dans le parc où ils seraient aménagés. Vincent Léger, un citoyen qui a déjà fait quelques propositions pour des projets de camping urbain à la Ville de Montréal notamment autour du bassin Peel, croit qu’il y a effectivement une demande de la part de la population «pour développer de nouvelles façons de visiter Montréal et d’y être hébergé». «Ce serait intéresse même de planifier un réseau pour le cyclotourisme, pour faire du plein air en ville et pouvoir s’installer de façon sécuritaire», ajoute-t-il. Il croit même qu’avec la revitalisation du Vieux-Port, qui a été annoncée, il y aurait des possibilités pour aménager certains terrains de camping dans ce secteur, «de façon à ce qu’on ait une image urbaine, qu’on se sente en ville même en faisant du camping», propose M. Léger. Métro a contacté Camping Québec, mais l’association n’a pas voulu commenter ce projet
  19. OVH.com annonce l’expansion de son siège social nord-américain et la création de 140 nouveaux emplois dans le Grand Montréal. – Afin de répondre à la demande grandissante des entreprises nord-américaines, OVH.com, chef de file mondial de l’infonuagique et des services Internet, annonce l’expansion de ses activités dans le Grand Montréal, et ce, trois ans après son implantation en 2012. Cet investissement se traduit par l’aménagement d’un nouveau siège social de 17 800 pieds carrés au centre-ville de Montréal et par la création de quelque 140 emplois, permettant ainsi à la compagnie de doubler son effectif actuel dans la région. La croissance d’OVH.com témoigne notamment des besoins urgents auxquels les entreprises actuelles font face pour héberger un volume accru de contenus numériques. On estime d’ailleurs que seules 15 % des données mondiales pourront être hébergées en 2020, comparativement à 30 % en 2013. « L’explosion des besoins numériques a modifié toutes les cartes de l’industrie, et OVH l’a bien compris. Notre implantation dans le Grand Montréal, avec l’ouverture du plus grand centre de données au monde en termes de capacité d’hébergement -360 000 serveurs-, nous a ouvert avec succès les portes du marché nord-américain », a déclaré M. Laurent Allard, directeur général d’OVH.com. « Notre offre de services satisfait les plus hauts standards de l’industrie et s’adapte à tous les types de clients, du développeur à la start-up, en passant par les PME, les fournisseurs d’applications ou les plus grandes entreprises. Transversalité, compétitivité et sécurité constituent la recette de notre croissance », a-t-il ajouté. Accompagnée dans son implantation et son développement par Investissement Québec et Montréal International, OVH.com possède un siège social dédié à la R-D et au service commercial en plein cœur du centre-ville de Montréal, ainsi qu’un centre de données à Beauharnois, sur la rive-sud de Montréal. « Le Grand Montréal possède des atouts distinctifs, comme sa position géographique stratégique et ses coûts d’opération très compétitifs, qui lui permettent de se positionner favorablement sur la scène internationale et ainsi tirer profit du vaste potentiel que représente l’exploitation des données massives », a déclaré M. Élie Farah, vice-président, Investissement Grand Montréal, Montréal International. « À l’ère du big data, la présence d’un acteur majeur comme OVH.com contribue assurément à renforcer l’expertise de la région comme centre d’excellence dans l’industrie de l’hébergement numérique et des services informatiques », a-t-il ajouté. L’expansion d’OVH.com dans la métropole québécoise permettra également d’offrir un espace et des services d’accompagnement aux talents et startups de demain, pour nouer de futurs partenariats. « Notre objectif est de jouer un rôle majeur dans l’écosystème montréalais, en accompagnant l’éclosion des startups les plus prometteuses », a précisé M. Allard. Bientôt un label « French Tech » pour Montréal? Signe marquant de l’attractivité de la métropole québécoise, OVH.com appuie auprès du gouvernement français la candidature du Grand Montréal au label « French Tech », qui vise à reconnaitre le statut de pôle d’excellence technologique aux métropoles les plus innovantes. Après New York et Tokyo, Montréal serait la 3e ville au monde à obtenir cette appellation. Le nom de cette opération de promotion, soutenue par le maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal, M. Denis Coderre, et intitulée Bleu-Blanc-Tech, consiste à dynamiser les initiatives des entreprises françaises et montréalaises afin d’accélérer leur internationalisation. À propos d’OVH.com OVH.com garantit à ses 930 000 clients un Cloud stable, fiable et sécurisé. Avec plus de 220 000 serveurs hébergés dans 17 centres de données à travers le monde, OVH.com déploie un réseau privé de fibre optique offrant 4000 Gbps de bande passante. En 2013, la compagnie a ouvert son premier centre de données nord-américain à Montréal, avec une capacité de 360 000 serveurs. Son succès, OVH.com le doit à une compétitivité hors-norme, rendue possible par une approche industrielle des hautes technologies, une maîtrise totale de la chaîne de production à travers une intégration verticale complète (de la construction des centres de données à la conception des serveurs). OVH.com s’engage chaque jour à proposer des solutions innovantes pour repousser les limites du Cloud sécurisé. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/ovh-expansion-siege-social-nord-americain-grand-montreal/
  20. Je pense pas avoir vu ce projet mentionné ici encore. COLO-D va se porter acquéreur d'une partie (150,000 pieds carrés) de l'ancien siège social de Jean Coutu à Longueuil. Il s'agit d'un investissement de 100 millions de dollars, incluant 15 millions investis par le Groupe Jean Coutu lui-même: Voir aussi les communiqués suivants sur le site de COLO-D: http://colo-d.ca/en/jean-coutu-group-announces-investment-in-colo-d/#.VlCfZaK3v3A http://colo-d.ca/en/colo-d-continues-strong-growth-and-announces-the-opening-of-a-second-mega-data-center-in-quebec-in-2016/#.VlCgA6K3v3A
  21. Ce projet est situé dans le quartier Mercier-Ouest au 5655 rue Pierre-de-Coubertin, Montréal. Photos : Construction Vergo
  22. Un petit projet aux abords de l'aéroport Dorval, le Centre de Santé Inuulitsivik, sur l'ancien site de la Brasserie Orly Un article sur le sujet: http://journalmetro.com/local/lachine-dorval/actualites/815071/dorval-un-nouveau-centre-dhebergement-pour-inuits/
  23. Vidéotron construira un centre de données à Montréal pour 40 millions LIA LÉVESQUE La Presse Canadienne Vu les besoins croissants, Vidéotron a annoncé mercredi la construction d'un centre de données au coût de 40 millions $. Au cours d'une rencontre avec la presse, mercredi, la présidente et chef de la direction de Vidéotron, Manon Brouillette, a souligné que la décentralisation des serveurs des entreprises vers des centres de données était une tendance lourde à l'échelle mondiale, une tendance dont l'entreprise souhaite profiter. Le centre de 4000 mètres carrés sera situé dans l'arrondissement de Saint-Laurent, dans le Technoparc Montréal. Environ 300 emplois seront ainsi créés durant la phase de construction et entre 15 et 20 emplois permanents par la suite pour gérer les infrastructures, a précisé Mme Brouillette. Vidéotron souhaite ainsi intéresser les entreprises et les institutions de toutes les tailles et ne compte pas s'arrêter aux frontières du Québec. «On vise tout type de clientèle. On a 120 000 clients aujourd'hui; on a une demande de cette clientèle-là, mais également, il y a des clients de grande taille. On voit vraiment une tendance; on est près des frontières. Tout: le climat, le dollar canadien, tout ça fait en sorte que c'est très favorable pour des clients internationaux. L'avantage qu'on a, c'est que nos infrastructures, nous, on est déjà avec nos interconnexions avec les États-Unis, l'Europe, etc., pour recevoir des clients et être capables de transiter les données», a expliqué Mme Brouillette. Le maire de Montréal, Denis Coderre, présent lors de l'annonce, ne cachait pas sa fierté. Il s'est dit doublement content, d'abord pour son Technoparc qui continue de se développer avec un centre de technologie de pointe, ensuite pour la croissance du nombre de centres de données au Québec. «Il ne faut pas se le cacher: le Québec et Montréal connaissent un léger retard dans ce domaine. À titre de comparaison, l'Ontario compte 1146 centres de données; le Québec n'en compte que 411», a dit le maire Coderre. Pierre Dion, président et chef de la direction de Québecor, a précisé qu'en fait, c'est non seulement Montréal et Québec, mais «tout le Canada qui est en retard sur les États-Unis» en la matière. Le maire Coderre pense que ce centre de données de Vidéotron permettra d'attirer ici d'autres entreprises. «Grâce au nouveau centre de données qui sera érigé ici, les entreprises montréalaises et du Québec entier pourront bénéficier d'une infrastructure infonuagique à la fine pointe. Pour Montréal, c'est un avantage incroyable, qui nous permettra d'attirer chez nous de nouvelles entreprises numériques ou de conserver celles que nous avons déjà», s'est-il félicité. http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201509/16/01-4901121-videotron-construira-un-centre-de-donnees-a-montreal-pour-40-millions.php
  24. Situé coin Montée des Pionniers/Boul. Marcel-Therrien. Centre commercial par Développements Brookline (situé dans la zone pointillée sur la photo aérienne). Photos : Développememts Brookline. Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
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