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  1. Si on veut acheter un condo dans un projet, est ce que cela se négocie où le prix affiché est ferme?
  2. Cela survient en raison d'un recul des commandes provenant des industries automobile et de la construction. Pour en lire plus...
  3. «Montréal ne sait plus où elle va» Le Devoir, Fabien Deglise Édition du jeudi 28 août 2008 Montréal est à l'heure des choix, dit Gilbert Rozon.Photo: Jacques Nadeau Gilbert Rozon en appelle à une «psychanalyse urgente» de la métropole La ville de Montréal n'aurait plus les moyens de ses ambitions et perdrait peu à peu de son influence partout dans le monde. Elle n'est également plus en mesure «de savoir où elle va» parce qu'elle ne sait plus vraiment «qui elle est», estime le grand manitou de l'humour au Québec, Gilbert Rozon. Il appelle du même souffle à une «psychanalyse urgente» de la métropole, avec l'aide de personnalités publiques provenant de toutes les sphères d'activités -- finance, divertissement, gastronomie, architecture, aéronautique... --, afin de redonner un sens à Montréal et de l'aider à recentrer ses projets d'avenir. «Montréal est à l'heure des choix, a indiqué au Devoir le président-fondateur du Festival Juste pour rire. C'est une vraie ville, avec beaucoup de bonnes cartes dans son jeu, mais qui ne semble plus en mesure de les lire. Ça paraît: sa personnalité est diffuse, pas claire, ça part dans toutes les directions. C'est un signe de confusion plutôt que de clairvoyance.» Tout en soulignant que l'administration Tremblay «gère la ville en bon père de famille», Rozon déplore le fait que depuis quelques années, Montréal tend à nier sa propre inertie et, pire, l'étiolement de son rayonnement et de son influence. «Quand on dit que Montréal est une métropole culturelle, c'est un discours parapluie, lance-t-il. Il suffit de se comparer à des villes comme Paris, Londres, New York ou Las Vegas pour s'en rendre compte. Là, nous sommes vraiment devant de véritables métropoles culturelles. Beaucoup d'autres villes, comme Berlin ou Moscou, ou même Toronto, pourraient prétendre à ce titre. Mais pas Montréal, qui pour le moment, peut être considérée comme une ville des festivals, sans plus.» L'homme croit que la créativité de Montréal «est en danger» depuis quelques années et qu'il est temps de réagir. «Depuis la révolution tranquille, la ville a vu naître un nombre incroyable de créateurs, lance-t-il. Les Guy Laliberté, Céline Dion, Denys Arcand, Diane Dufresne, Simple Plan, Arcade Fire, François Girard... ont des échos en dehors du Québec et font en sorte que nous sommes respectés partout sur la planète. Ce n'est pas ordinaire pour une ville de trois millions d'habitants. C'est même une force», qui toutefois, faute de stimulation et d'encouragement de la relève, commencerait à perdre de son intensité. Un vide qui s'installe Habitué à voyager partout dans le monde, où il a vendu ses clowns dans les dernières années, le chef d'entreprise s'inquiète d'un certain vide qui pourrait bien s'installer à Montréal, une ville où par exemple les grands projets architecturaux, orchestrés par des grands noms de l'architecture moderne, comme cela a été le cas dans les années 60 et 70, font cruellement défaut. «On est loin de Bilbao, souligne Rozon. Le développement du Quartier des spectacles en est une belle preuve. Ça va être une vitrine exceptionnelle pour Montréal. Est-ce qu'elle va être l'occasion de poser un geste architectural remarquable, spectaculaire et pérenne? Est-ce que cela va être un espace urbain unique, avec une force symbolique? J'émets des doutes.» Et il ajoute: «Je ne supporte plus d'être le dernier de la classe en Amérique du Nord.» Tout étant dans tout, Gilbert Rozon pense que les écueils que frappe Montréal depuis quelques années, en peinant à attirer des «starchitectes», à rénover ses infrastructures ou encore à stimuler sa création, est intimement lié au fait que la ville «ne sait plus qui elle est» et se chercherait désespérément, sans se trouver. «Nous sommes rendus à l'étape de l'introspection», croit-il. Dans cette optique, son idée est d'ailleurs de faire appel aux cerveaux du Montréal qui bouge, qui s'exporte et qui crée afin d'établir rapidement l'identité de la métropole, mais aussi de définir ses aspirations et surtout ce qui pourrait devenir sa ligne de conduite pour les années futures. «On devrait réunir une quinzaine de personnes par petits groupes pour leur demander de réfléchir sur Montréal, d'évaluer ses forces pour les accentuer et ses faiblesses pour les surmonter, dit-il. Il faut que ce soit des libres penseurs qui n'ont pas d'agenda politique, pour que ce soit crédible. Au final, on pourrait alors présenter un projet concret et des solutions au maire et au ministre de la Métropole, qui ferait alors ce qu'il veut avec.» Cette «étape», Rozon la place d'ailleurs dans la foulée d'une critique virulente lancée l'an dernier au maire Gérald Tremblay -- dans les grandes lignes, il l'a accusé de ne pas avoir de plan ni de vision pour sa ville. «Je ne veux plus être le chialeux professionnel, dit-il. Je veux agir aussi pour ma ville». Il estime que les chefs cuisiniers Martin Picard ou Normand Laprise, l'homme de chiffres Henri-Paul Rousseau, le boss du Cirque du Soleil Guy Laliberté, le «Radio-Canadien» Sylvain Lafrance, le créateur Dominique Champagne ou l'ex-pilote de Bombardier, Laurent Beaudoin, entre autres, pourraient être invités à prendre part à ces cellules de réflexion identitaire et urbaine. «Il sortirait sans doute des idées surprenantes de ce type de rencontre entre des gens capables de faire des liens entre le local et le reste du monde», souligne-t-il. «Tant que l'on n'a pas compris qui on est, ce que l'on veut et où l'on va, cela va être difficile d'avancer, dit celui qui croit que Montréal peut facilement, «avec ses actifs» devenir, par exemple, comme Hollywood, «un laboratoire de création». «D'un point de vue économique, je suis sûr que si Montréal avait une image plus claire d'elle-même, une image renforcée pas juste dans sa publicité mais aussi dans son urbanisme, ses bâtiments, ses politiques, son transport en commun, ça créerait des emplois.» Et du même souffle, de la richesse, un thème qui depuis plusieurs années fait vibrer le patron de l'empire mondial de la blague en tout genre. Il pense d'ailleurs que Montréal est à l'aube de «donner naissance à un Time Warner», cette grande multinationale américaine du divertissement. Mais pour cela, la métropole qui se cherche, selon lui, doit bien sûr se trouver très vite.
  4. Les 600 membres de la CSN sont entrés en grève ce jeudi matin. Cela survient près de deux mois après l'échéance de leur convention collective. Pour en lire plus...
  5. L'indice vedette de la Bourse de Toronto a gagné 300 points. Cela est survenu à la suite de la publication de données sur les stocks américains. Pour en lire plus...
  6. La banque londonienne HSBC simplifie sa structure nord-américaine, annonçant lundi que cela entraîne une transaction au Canada. Pour en lire plus...
  7. Selon le ministre des Finances du Canada, Jim Flaherty, cela fait partie des impératifs économiques de la fédération canadienne. Pour en lire plus...
  8. Cela survient six mois après le rachat du fabricant de vélos par l'entreprise montréalaise Dorel. Pour en lire plus...
  9. C'est la première fois que des chiffres aussi précis sont avancés pour décrire le potentiel énergétique du Grand Nord. Cela risque d'ajouter de la pression sur le contrôle de cette région. Pour en lire plus...
  10. Michel Bachand s'affairait à déguster un à un les grains de fromage de sa poutine, à la salle à manger du club de golf Venise. «En Californie, on n'a pas cela... malheureusement». Pour en lire plus...
  11. Le marché énergétique est si important et la demande si forte que cela pourrait modifier les systèmes agricoles traditionnels, a dit Jacques Diouf, directeur de la FAO. Pour en lire plus...
  12. Les exportations vont plomber la croissance 16 juillet 2008 - 10h32 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque La ralentissement américain - notamment dans la construction - et la force du huard n'aident pas les exportateurs canadiens. La baisse des exportations va limiter la croissance au Canada à seulement 1,7% pour l’année 2008. C’est ce qu’affirme le Conference Board of Canada dans sa note de conjoncture canadienne de l’été 2008. «Depuis quatre ans, l'économie canadienne oscille entre des dépenses de consommation très solides et un secteur du commerce extérieur faible. Cette tendance s'est poursuivie jusque dans les premiers mois de 2008", explique Pedro Antunes, Directeur, Prévisions nationales et provinciales. Toutefois, souligne l’organisme, les manufacturiers devraient connaître un soulagement, car le dollar canadien se maintiendra juste sous la parité. Mardi, le dollar canadien a avancé de 0,29 cent US à 99,77 cents US. «Heureusement pour les manufacturiers, le huard semble avoir quitté le sillage des cours de l'énergie. Le dollar canadien devrait donc rester relativement stable en 2008 et 2009», souligne M. Antunes. Dans sa note, le Conference Board se dit étonné que le PIB du Canada ait chuté de la sorte. Selon l’organisme, cela s’explique par «la baisse de la demande américaine de produits canadiens, surtout le secteur automobile». Le Conference Board indique également que les ménages canadiens ont été imperméables jusqu’à présent aux soubresauts de l'économie, mais cela risque de changer. «Les premiers signes de malaise commencent à se manifester dans notre économie intérieure», dit l’organisme dans sa note. D’ailleurs, le Conference Board s’attend à ce que la création d’emplois ralentisse alors qu’on «arrive au bout des nouvelles mesures d'incitation budgétaire, surtout sous la forme de réductions de l'impôt fédéral et provincial». Pour les États-Unis, l’organisme indique que les ménages ressentent les effets de la crise immobilière, de la diminution de l'emploi et de l'inflation.
  13. Cela équivaut à 40% du personnel du transporteur et de sa filiale Skyway. Pour en lire plus...
  14. Oups ! On s’est trompés Les cotisations au régime d’assurance parentale vont augmenter de 7,5% pour la deuxième année de suite parce que le programme est dans le rouge. Alain Dubuc http://www.cyberpresse.ca mercredi 18 juin 2008 Les cotisations au régime d’assurance parentale vont augmenter de 7,5% pour la deuxième année de suite parce que le programme est dans le rouge. Le monde des entreprises, qui paie une grosse partie de la note, a manifesté son mécontentement. En fait, la ponction additionnelle est relativement mineure et totalisera 110 millions sur une année. Il ne s’agit donc pas d’un gros drame fiscal. Mais il y a certainement là un gros problème de gouvernance. Ce programme est récent. Il a été lancé par le gouvernement Charest, il y a à peine deux ans, en 2006. Au moment de sa conception, on croyait qu’il nécessiterait des fonds de 1 milliard par année. On a rapidement découvert que le coût annuel serait plutôt de 1,5 milliard par an. C’est là un taux d’erreur de 50%, absolument anormal. Pourquoi ? À cet égard, le gouvernement libéral ressemble étrangement au gouvernement péquiste qui l’a précédé. L’aventure de l’assurance parentale suit exactement le même modèle que celle des CPE ou de l’assurance médicaments. Voilà des programmes dont on appuie sans hésiter les objectifs, qui comblent des besoins, qui contribuent de la bonne façon au progrès social, qui interviennent de la bonne façon et où le Québec fait preuve de leadership. Dans le cas qui nous occupe, l’assurance parentale est une excellente chose, qui aide les familles au moment de la naissance d’un enfant, qui tient compte du rôle des pères, qui facilite la conciliation travail-famille et qui peut avoir un effet nataliste. Pour tout cela, bravo. Mais comme dans le cas des médicaments et des garderies, les erreurs de prévision sont colossales. Dans ce cas-ci, elles s’expliqueraient par le fait que les naissances dépassent les estimations : en 2007, 82 500 bébés au lieu de 75 000 ; et en 2008, 84 200 bébés, sans compter que le programme est plus populaire que prévu auprès des pères. Cela nous dit bien des choses : l’incapacité chronique de l’État de bien prévoir, la lenteur d’ajustement à une réalité nouvelle, et aussi, encore une fois, la fâcheuse tendance à oublier aussi que les programmes influencent les comportements et modifient la demande. Assez pour qu’on se demande si les gouvernements ne sont pas tentés de sous-estimer le coût des programmes pour les rendre plus acceptables. Et cela pose un problème de fond. Si on avait su que cette idée, au lieu de 1 milliard, nous coûterait plutôt 1,5 milliard, est-ce qu’on aurait lancé le régime quand même ? Est-ce qu’on l’aurait construit de la même façon, avec les mêmes normes, avec le même type de financement ? Probablement pas. On dit souvent que le Québec s’achète des Cadillac qu’il n’a pas les moyens de se payer. Le Québec est moins riche que la plupart des provinces, son fardeau fiscal est parmi les plus élevés, c’est la province la plus endettée, et c’est ici qu’on trouve les programmes sociaux les plus généreux. Tout cela est vrai, mais ce n’est pas la bonne façon de poser le problème. Le Québec a des moyens. Mais pas pour tout faire. Mais en fait, pour financer ce nouveau programme, on a augmenté les impôts. La contribution exigée des travailleurs et des entreprises, malgré son nom, n’est absolument pas une forme d’assurance, puisque la plupart de ceux qui la versent ne bénéficient d’aucune forme de protection. Pour ceux qui sont sortis du cycle de la procréation ou qui n’ont aucune intention d’en avoir, ce n’est rien d’autre qu’une ponction fiscale qui finance un transfert vers une catégorie précise de citoyens. Et parce que les calculs ont été mal faits, il faudra que les contributions augmentent encore une année ou deux pour éviter que la caisse du régime ne soit à sec. Le financement de ce régime va exactement dans le sens contraire de ce que prône le gouvernement libéral. En outre, une bonne partie des revenus provient d’une taxe sur la masse salariale, une mauvaise forme de fiscalité qui envoie un bien mauvais message : celui qu’au Québec, les entreprises servent souvent de vache à lait, qui est lui aussi contraire au discours du gouvernement et des deux partis de l’opposition. Le régime d’assurance parentale est une bonne initiative. Mais en toute logique, si c’est ça que l’on veut, il aurait fallu se dire que, pour lancer ce programme, pour aider les jeunes familles, il aurait fallu abandonner des interventions moins essentielles. Le problème, ce n’est pas que le Québec se dote de bons programmes sociaux, c’est qu’il refuse de faire des choix.
  15. Le marché du travail tient bon 7 juin 2008 - 06h00 La Presse En mai, 8400 Canadiens de plus qu'en avril détenaient un emploi, ce qui a permis de garder le taux de chômage à 6,1% seulement, révèlent les données de l'Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada. Cette faible création, qui se situe à l'intérieur de la marge d'erreur de l'EPA (8400 emplois sur 17,14 millions), est interprétée comme si le marché du travail était «demeuré inchangé» par les analystes de l'agence fédérale. Cela témoigne néanmoins d'une résistance certaine du marché du travail, si on regarde ce qui se passe au sud de la frontière. Aux États-Unis, l'économie a détruit 49 000 emplois en mai, ce qui a propulsé le taux de chômage de 5,0% à 5,5%. Il s'agit du plus grand bond en 22 ans. En fait, si on calcule le taux de chômage canadien selon la méthodologie américaine qui fixe à 16 ans au lieu de 15 l'âge d'entrée dans la population active, on mesure mieux la détérioration du marché du travail américain. «Il s'agit de la première fois depuis 1982 que le taux de chômage au Canada calculé selon les concepts américains baisse au-dessous du taux américain», fait remarquer Philip Cross, analyste en chef à Statistique Canada qui a réalisé la comparaison. Cela dit, le marché canadien n'est pas exempt de ratés. Seuls le Québec et l'Ontario ont affiché des gains significatifs en mai. D'un océan à l'autre, 32 200 emplois à temps plein disparus ont été remplacés par 40 600 à temps partiel, tous dans le secteur privé cependant. Si le taux de chômage est resté stable, 13 400 personnes de plus qu'en avril étaient à la recherche active d'un emploi, ce qui porte le nombre de chômeurs à 1,12 million de Canadiens. Au Québec, le portrait de mai a davantage de lustre: 17 900 personnes de plus détenaient un emploi (dont 11 800 à temps plein). Plus de personnes étaient sur le marché du travail que durant le mois précédent, mais le nombre de chômeurs a diminué de 2700 à 313 200. Le taux de chômage a donc fléchi de 7,6% à 7,5%. En usine Fait à relever, le secteur manufacturier prend du mieux. Il a créé 13 700 emplois le mois dernier de sorte que 2400 Québécois de plus qu'il y a 12 mois travaillaient en usine, le mois dernier. Selon l'agence fédérale, le dynamisme des secteurs aéronautique et du matériel roulant compenserait la léthargie du textile et du vêtement. Il y a plus, semble-t-il. «On fait des gains de productivité, on n'est pas en train de fermer boutique», juge Joëlle Noreau, économiste principale au Mouvement Desjardins. Le secteur a connu une bonne expansion (2%) en 2005, s'est contracté un brin (0,6%) en 2006 et a repris le terrain perdu (0,8%) l'an dernier. L'Ontario, dont le marché du travail se porte bien jusqu'ici en 2008 (80 700 emplois), n'est pas au bout de ses peines avec les déboires du secteur automobile, qui promet de nouveaux licenciements d'ici à 2010. «Ce qui était sa pierre d'assise est en train de devenir son talon d'Achille», résume Mme Noreau dans une jolie métaphore. Reste que la société distincte n'est qu'une province sur dix. À l'échelle pancanadienne, des signes d'essoufflement sur le marché du travail en font sourciller quelques-uns. «Le secteur crucial des services n'a créé que 10 000 postes au cours des trois derniers mois, note Stéfane Marion, économiste en chef adjoint à la Financière Banque Nationale. Le nombre total d'heures travaillées a déjà diminué de 1,4% en chiffres annualisés alors qu'il ne reste qu'un mois, ce trimestre.» «Les employeurs préfèrent réduire les heures de travail plutôt que de licencier des employés qu'ils ont eu de la difficulté à embaucher ces dernières années», résume Ted Carmichael, économiste principal chez JP Morgan. Moins d'heures travaillées présagent d'une expansion anémique, à moins d'improbables gains de productivité. Cela devrait aussi infléchir les pressions salariales, mais ce n'est pas encore le cas. Le salaire horaire moyen était en hausse annuelle de 4,8% en mai. Cela représente une accélération par rapport à avril et demeure plus du double du taux d'inflation (1,7%). Les variations provinciales sont marquées: 2% seulement en Nouvelle-Écosse, mais 7,8% dans la bouillante Saskatchewan. Au Québec, la hausse s'élève à 3,2%, soit deux fois plus que le taux d'inflation. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080607/LAINFORMER/806071068/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  16. Enfin, pour l'instant, cela ne figure pas dans les plans de la forestière, a indiqué son PDG, David Paterson. Pour en lire plus...
  17. La hausse des prix parce que cela pousse la demande vers le transport ferroviaire par rapport à l'avion et à la voiture. Pour en lire plus...
  18. Dimanche 11 Mai 2008 La ville qui perd ses enfants [/url]Si vous vous trouvez dans un party à Vancouver et que la soirée ne décolle pas, il suffit de parler des prix des logements qui explosent. La conversation va s’animer d’un seul coup comme un BBQ aspergé d’essence à briquettes. L’immobilier, c’est le sujet qui réunit tous les Vancouverois, peu importe leur origine ethnique ou leurs revenus, notait Raphaël Perdriau, directeur du journal L’Express du Pacifique, tandis qu’il sirotait une bière sur une terrasse de Granville Island, vendredi soir. Le tabloïd The Province a publié aujourd’hui un grand dossier sur les prix démentiels qui font fuir les salariés, même riches, vers les banlieues. «Certains craignent que Vancouver devienne la cité des PDG (executive city)» écrit le journal à la une. Mais, à bien des égards, cela semble déjà le cas. Le prix d’une maison typique dans la région de Vancouver s’établissait à 764 616$ en mars, d’après le Greater Vancouver Real Estate Board. À ce prix là (mettez 20 000$ de plus), vous obtiendrez un appartement bien ordinaire de 1700 pieds carrés avec deux chambres, au rez-de-chaussée d’un quadruplex à Kitsilano, un chouette quartier de Vancouver. Pour une maison de trois chambres dans Westside, il faut compter autour de 1,3 million de dollars. Même avec une mise de fonds de 400 000$ à 500 000$, cela signifie des paiements mensuels de 3500$ à 4000$. Les couples de professionnels établis devront donc se serrer la ceinture pour boucler leurs fins de mois. Aubaine : ce petit bungalow qui ne paie pas de mine dans le secteur Granville South est à vendre pour 1 038 000$! Comment les Vancouverois font-ils pour s’offrir une maison, un rêve presque inaccessible à moins d’hériter d’une fortune ? Si la plupart des familles quittent la ville pour la lointaine banlieue, des parents font le deuil d’une cour et élèvent leurs enfants en condo. D’autres hypothèquent leur maison pendant 40 ans. D’après l’agence Remax, 65% (!) des premiers acheteurs ont recours à pareille hypothèque. Malgré cela, les acheteurs de maison doivent souvent louer leur sous-sol à 1500$ par mois. D’autres encore se dénichent un deuxième emploi. Carlos Hinkson, un vendeur de machinerie lourde de 30 ans, a déjà travaillé dans une boîte de nuit du centre-ville pour amasser plus de sous. Son épouse, une spécialiste des systèmes d’information géographique à l’emploi de BC Hydro, gagne pourtant bien sa vie. Le couple songe à vendre sa maison dans la banlieue de Langley pour se rapprocher du centre. Tout ce qu’il pourrait s’offrir, c’est une maison à retaper dans l’est de la ville. Et encore, Carlos Hinkson croit que ses parents devront peut-être emménager avec eux pour partager les charges. Cohabiteriez-vous avec vos parents pour vous offrir une maison ? Disons que cela met les difficultés du marché montréalais en perspective. http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/cousineau/?p=187
  19. L'appauvrissement des Québécois: mythe ou réalité? 22 avril 2008 - 06h40 http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080422/LAINFORMER0202/804220613/5976/LAINFORMER0202 La Presse Claude Picher Grossir caractèreImprimerEnvoyer Plusieurs études montrent que les Québécois s'appauvrissent par rapport aux Canadiens des autres provinces. En fait, les Québécois ne s'appauvrissent pas vraiment. Les chiffres montrent, noir sur blanc, qu'ils sont collectivement plus riches aujourd'hui qu'à la fin des années 90. Le problème, selon certains, c'est qu'ils s'enrichissent moins rapidement que les autres, d'où un appauvrissement relatif. Mais d'où viennent ces chiffres? Pour établir leurs comparaisons, la plupart des spécialistes utilisent le critère du produit intérieur brut (PIB) par habitant. Autrement dit, il s'agit de diviser la taille de l'économie par le nombre d'habitants. Le PIB par habitant est considéré comme un bon indicateur du niveau de vie, mais il ne dit pas tout. Il y a moyen d'être plus précis. Pour cela, on peut utiliser une autre donnée: le revenu personnel disponible. Ce chiffre ne tient pas seulement compte de la valeur de la production, mais de l'ensemble des revenus des ménages: salaires, régimes de retraite, prestations sociales, revenus d'intérêt et de location. Du total, on soustrait ensuite les taxes, impôts et contributions sociales. Par exemple, en 2007, le revenu personnel disponible des Canadiens atteignait 927 milliards de dollars; divisé par le nombre d'habitants, cela donne 26 897$. La semaine dernière, l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) a publié les chiffres les plus récents sur le sujet, incluant les résultats de 2007 et les prévisions pour 2008. L'ISQ fournit aussi des données historiques qui permettent de voir comment la situation a évolué depuis la fin des années 90. Les résultats apportent des réponses fort intéressantes à plusieurs questions. Voyons plutôt: > Est-ce vrai que les Québécois s'appauvrissent par rapport aux autres Canadiens? Bonne nouvelle: pas vraiment. Entre 1999 et 2008, le revenu personnel disponible par habitant, au Québec, est passé de 17 898$ à 25 009$, une hausse de 40% (les montants ne sont pas indexés); pendant la même période, dans les neuf autres provinces, les montants correspondants sont de 20 153$ et 28 684$, une hausse de 42%. Certes, les Québécois sont nettement moins riches que les autres Canadiens, et ils sont vraisemblablement incapables de combler l'écart. Mais en huit ans, à quelques poussières près, leurs revenus disponibles ont augmenté sensiblement dans la même proportion qu'ailleurs au pays. Avec deux points de pourcentage de retard, la progression québécoise est un peu plus molle, mais c'est nettement insuffisant pour parler d'appauvrissement. > Comme le Québec se compare-t-il à l'Ontario? Une autre bonne nouvelle: plutôt bien. Les deux provinces ont été durement touchées par la crise du manufacturier, mais toutes proportions gardées, l'Ontario, heurté de plein fouet par les déboires de l'industrie nord-américaine de l'automobile, a souffert davantage. Nous venons de voir que le revenu personnel disponible par habitant a augmenté de 40% au Québec; en Ontario, le chiffre correspondant est de 33%. Il y donc rattrapage, mais celui-ci est lent. En moyenne, et malgré les problèmes des dernières années, les Ontariens demeurent largement plus riches que les Québécois. > Comment se présente l'avenir? L'Institut ne fait pas de projections, mais il ressort clairement des données historiques que le Québec pourrait rapidement devenir la région la plus pauvre au Canada. L'Ouest, surtout grâce au pétrole albertain, est maintenant la région la plus riche avec un revenu personnel disponible de 30 133$. L'Ontario suit avec 28 191$. Au Québec, on l'a vu plus haut, le chiffre correspondant est de 25 099$. Les provinces de l'Atlantique talonnent le Québec de près avec 24 531$. Or, cette région connaît depuis quatre ans une hausse de revenus plus rapide qu'au Québec: 4,5% contre 3,6%. À ce rythme, le Québec sera vraiment devenu l'enfant pauvre de la Confédération, et cela risque d'arriver très rapidement: si rien ne change, les provinces de l'Atlantique seront plus riches que le Québec... en 2010, dans deux ans seulement! Par ailleurs, un autre indicateur commence à clignoter dangereusement. Les investissements publics et privés sont en chute libre depuis quelques années. Nous ne parlons pas ici de placements ou d'acquisitions d'entreprises, mais de véritables investissements créateurs d'emplois et de prospérité, comme la construction, les agrandissements, les immobilisations en machinerie et équipement. Traditionnellement, le Québec accaparait, bon an, mal an, 20% des investissements au Canada. Ce chiffre était encore de 20,1% en 2004. Or, il devrait se situer à 17,8% cette année. Ce recul peut sembler minime, mais il représente tout de même 8 milliards.
  20. Le Québec aura un taux de chômage inférieur à l’Ontario 25 mars 2008 - 15h52 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque La force des dépenses gouvernementales dont la réfection du réseau routier va permettre au Québec d'être moins touché par le ralentissement américain. Point intéressant dans les dernières prévisions économiques de Desjardins: le Québec aura un taux de chômage inférieur à l’Ontario en 2009. Et surprise: c’est l’État qui est le principal responsable. Ainsi, le taux de chômage atteindra 6,7% dans la Belle province alors qu’il sera de 6,9% chez sa voisine. Par comparaison, ce même taux était de 8,3% au Québec et de 6,6% en Ontario en 2005. Selon Benoît Durocher, économiste senior au Mouvement Desjardins, le Québec sera moins touché par le ralentissement économique américain en raison de la force des dépenses gouvernementales lors des prochaines années. «Le Québec a de meilleurs assises que l’Ontario en raison des dépenses de l’État. Cela amène un support à la croissance», soutient l’économiste. M. Durocher pointe notamment le programme d’infrastructures publiques qui devrait voir l’investissement de 30 G$ sur 5 ans par Québec. Des dépenses qui viseront la santé et la réfection du réseau routier québécois, ce qui réjouit l’économiste. «C’est en vue de moderniser le Québec, donc cela donne des retombées visibles pour la population et permet l’accroissement de la productivité», dit M. Durocher. À l’inverse, l’Ontario est plus fragile aux soubresauts du marché «de par sa structure», indique Desjardins. «L’Ontario est plus touchée par le ralentissement américain. Cela cause un déclin important dans cette province et a des répercussions sur plusieurs variables économiques», souligne M. Durocher. La structure industrielle de la plus grande province canadienne est la cause principale du déclin, poursuit le Mouvement. Au premier rang des éclopés, l’industrie automobile, qui connaît de sérieuses difficultés. «L’Ontario vit deux chocs avec cette industrie : un premier, plus structurel, avec la réorganisation des trois grands fabricants nord-américains. Et un autre, avec la diminution de la demande pour l’automobile». En 2007, le secteur de l’automobile au pays a connu un premier déficit commercial depuis 1987 et le pire depuis 1979. Toujours selon Desjardins, le Québec est également moins vulnérable en ce qui à trait aux exportations – dirigées en grande partie vers l’Oncle Sam. Celles-ci représentent 33,7% du PIB du Québec alors que le chiffre atteint 40% en Ontario. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080325/LAINFORMER/80325182/5891/LAINFORMER01
  21. Dans l’ensemble de la construction assujettie à la Loi R-20, un total de 122 millions d’heures sera donc enregistré en 2007, ce qui constituera une légère diminution de 2 % par rapport à 2006. La progression de la construction non résidentielle ne sera pas suffisante pour compenser la baisse de la construction résidentielle. En fait, chacun des secteurs non résidentiels se trouve actuellement en porte-à-faux. La construction industrielle est affaiblie par les difficultés du secteur manufacturier. La construction de commerces achève une importante phase d’expansion, tandis que les promoteurs d’immeubles de bureaux attendent pour vraiment amorcer la leur. L’échéancier des mégaprojets d’hôpitaux reste à préciser, alors que dans les travaux de génie, le parachèvement de la centrale Eastmain-1 laisse un vide que le projet Eastmain-1A-Rupert ne pourra combler immédiatement, s’il est lancé. À cela, il faut aussi ajouter les ports méthaniers qui attendent également leur lancement. Mais tout indique que l’année 2007 ne marquera qu’une pause dans la progression de l’industrie de la construction. D’une part, sur le plan de la conjoncture économique, les spécialistes s’attendent à une croissance plus ferme à compter de 2008. D’autre part, le démarrage des grands projets devrait faire en sorte qu’une légère tendance à la hausse poindra à nouveau dans la construction. voir le fichier pdf attaché pour plus de détails perspectives_2007.pdf
  22. Les embouteillages du téléphone cellulaire - Agence Science Presse Téléphoner tout en conduisant augmente-t-il les risques d'accident? En tout cas, cela augmente le risque d'embouteillages. Une étude menée au moyen d'un programme de réalité virtuelle conduit le psychologue David Strayer, de l'Université de l'Utah, à conclure que ceux qui parlent au téléphone réduisent leur vitesse, en moyenne, de 3,2 kilomètres à l'heure. Et qu'ils sont 21% moins susceptibles de dépasser un véhicule lent sur une autoroute. Sur un parcours typique maison-boulot, cela peut se traduire par un allongement du temps en voiture de 5 à 10%, et sûrement pas moins d'engorgements sur le pont à l'heure de pointe... http://monvolant.cyberpresse.ca/200802/15/dossiers/techno/7098-les-embouteillages-du-telephone-cellulaire.php ===================== Toujours cru que c'était une source de traffic... combien de fois j'ai du dépasser par la droite de quelqu'un pour me rendre compte que cette personne parle sur le mobile.
  23. Aéronautique: Dassault songe-t-il à venir au Québec? 1 décembre 2007 - 12h31 Agence France-Presse Le constructeur aéronautique français Dassault Aviation va délocaliser hors de France une partie de sa production "dans des zones dollar ou à bas prix", annonce son président Charles Edelstenne dans une interview au quotidien parisien Le Monde daté de dimanche-lundi. "Nous sommes en train de préparer les mesures d'adaptation de la société à la nouvelle situation crée par les derniers dérapages du dollar. Elles seront annoncées au personnel dans les premiers jours de janvier", déclare M. Edelstenne dans cette interview. Dassault Aviation va conserver en France "les chaînes d'assemblage ainsi que les activités de haute technologie, qui garantissent la qualité de nos avions. En dehors de tout cela, tout peut être délocalisé", ajoute M. Edelstenne. Pour le président de Dassault Aviation, dont les principaux concurrents sont américains, cette décision s'explique par la "dépréciation du billet vert" face à l'euro avec un "recul supplémentaire de 30% en deux ans". Click here to find out more! "Nous ne pouvons supporter un tel écart en produisant et en achetant en zone euro. La démarche naturelle va être la délocalisation dans des zones dollar ou à bas coût, comme cela à été fait par l'industrie automobile", indique M. Edelstenne, car "nous devons encore réduire nos coûts pour maintenir le prix de nos avions compétitif". Pour M. Edelstenne, Dassault Aviation peut "transférer certaines fabrications d'éléments de structure. Il en va de même pour certaines tâches dans les bureaux d'études, aujourd'hui entièrement réalisés en France". "On peut imaginer installer dans des pays à bas coûts des activités non stratégiques. Mais il n'est évidemment pas question de toucher à la conception des avions. Tout cela se fera de manière progressive. Nous devons nous assurer que les partenaires retenus répondront à nos normes de qualité", précise-t-il. Dassault Aviation a enregistré une forte progression de son bénéfice net de 46% au premier semestre 2007, porté par les succès de ses avions d'affaires Falcon ,même s'il n'a toujours pas vendu son avion de combat Rafale à l'étranger depuis sa mise sur le marché au milieu des années 90. En 2006, Dassault Aviation, qui disposait d'une trésorerie de 4,28 milliards fin août 2007, avait réalisé un chiffre d'affaires de 3,3 milliards d'euros, contre 3,42 milliards en 2005.
  24. Comment encourager le covoiturage a montreal? D'apres moi ca passe par la construction de voies réservées au co-voiturage, les axes de la 10 jusqu'a st-jean, la 20 au moins jusqu'à l'échangeur st-pierre, la 40 vers l'est, en plus de la 15 vers le nord. En quoi cela augmenterais l'achalandage? Et bien, si les gens on un incitatif en temps a covoiturer, ils vont etre plus intéressé, en plus cela aiderais a la fluidité du traffic hors pointe, puisque l'ajout de voies augmenterais la capacité de notre réseau routier. Et, on pourrais en profiter pour promouvoir l'achat de voitures hybrides, en leur offrant l'acces a ses voies réservées meme si le conducteur est seul, comme c'est présentement le cas en californie. Qu'en pensez vous?
  25. Cela se passe de commentaires. Du moins, pour l'instant. amusez-vous !! http://http://edificesunlife.ca/fr/videosdelaconstruction.html
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