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  1. Voici ma vision pour une nouvelle intersection Côte des Neiges / Remembrance. Buts: 1. Remettre l'intersection au niveau du sol 2. Démolir l'échangeur vieillisant/quasi-inutile 3. Simplifier la circulation automobile / piéton 4. Embellir les environs 5. Créer une belle entrée pour le Mont Royal 6. Ajouter un petit potentiel de dévelopment résidientiel/mixte Carré mauve = dévelopement actuel ou en construction Carré bleu = nouveau dévelopement possible La bande brune au centre de l'intersection = de la brique PHOTOS: Situation existente plutôt pénible: [/img] Les plans:
  2. Etonne de ne pas trouver d'autre informations sur ce sujet, mais le Carre Lucerne aux intersections de la metropolitaine, Lucerne et Plymouth, est en pleine construction. Le provigo est en demolition, le Pharmaprix semble avoir toute sa structure montee, et la phase 1 ( subway, ben&florentine et +) est terminee. Ce sera interessant de voir le nouveau gros Provigo le Marche, et ce qui se passera du Loblaws sur Ste-Croix. Aussi tres hate de voir le Pharmaprix vu que son local actuel (ancien Uniprix) sur Lucerne est extremement moche et desuet. Je me demande si le UPS va revenir de ce cote.. Il me semble qu'il perd beaucoup de son accessibilite sur Lucerne, esperant que c'est temporaire pendant les constructions http://carrelucerne.ca/
  3. http://www.carresoho.com/le-projet/
  4. 4 étages dans le quartier Tétreaultville. L'architecture est correct et la densité semble assez bien. Par contre je n'aime pas le nom. Pourquoi Soho ? Juste pour faire cool ? http://www.carresoho.com/
  5. Nom: District Griffin Hauteur: 18 étages (tour bureaux/hôtel) et 20 étages (tour résidentielle) Coût du projet: Promoteur: DEVIMCO et Groupe Cholette Architecte: Emplacement: Young/Wellington/Peel/Smith* Début de construction: Printemps 2011 Fin de construction: Été 2013 Site internet: http://www.districtgriffin.com Lien webcam: Autres informations: *La portion bureaux est loué à 97.7% (septembre 2013) *La tour résidentielle aura front sur Smith *La tour bureaux/hôtel aura front sur Wellington *188 condos, *Hôtel Alt 154 chambres *100 000 pied carré d’éspace de bureau *50 000 pied carré d’espace commerciale *6 Restaurants *1 garderie Ancienne version :
  6. http://www.lesaffaires.com/strategie-d-entreprise/pme/derniere-heure-vers-un-nouveau-mile-end-a-montreal/588201 La Cité de la mode, qui a déjà été l’épicentre de l’industrie jadis florissante du vêtement à Montréal, est devenue triste à voir. Gris, bétonné, morose, le secteur Chabanel a besoin d’une sérieuse injection d’amour. Et c’est justement ce que s’apprêtent à faire une dizaine de propriétaires d’immeubles du quartier. Unis sous le nom DCMTL Développement, le consortium va d’abord investir 20 millions de dollars sur une période de quatre à cinq ans afin de revitaliser le secteur. DCMTL Développement, pour «District Central Montréal», vise la réhabilitation de plus de 1 500 000 pieds carrés à terme. C’est l’équivalent de presque 2,5 Stades olympiques. Pour la première phase, quatre immeubles sont dans la mire du consortium. Les 9500 Meilleur, 1401 Legendre et les 55 et 350 Louvain Ouest. «Nous voulons donner un nouvel élan au quartier, traditionnellement manufacturier, explique Frédérick Lizotte, vice-président développement commercial du projet. En redéveloppement les édifices du secteur, nous voulons insuffler de l’oxygène au quartier. Qu’il y ait une vie professionnelle, communautaire et commerciale». Et outre, les restaurants, commerces et entreprises qu’il souhaite attirer, «nous voudrions que du résidentiel s’y installe après coup», espère M. Lizotte. Une offre alléchante L’idée derrière ce vaste coup de balai, c’est de recréer les conditions gagnantes qui ont mené certains secteurs à se réinventer, le Mile End ou le Mile Ex, par exemple. Du coup, le prix des loyers affichés par les propriétaires qui sont derrière DCMTL Développement est très, très bas. Non seulement le pi2 sera offert à 10$ (brut) électricité et chauffage inclus, mais chaque locataire aura droit à des améliorations locatives équivalentes à 30$ du pied carré. Les baux seront disponibles pour une période minimale de cinq ans. Et puisque l’espace ne manque pas, les PME ou start-ups pourront y croître physiquement. Dans le grand Montréal, le pied carré se loue en moyenne 18,97$ (net) le pi2 au premier trimestre de 2016, selon CBRE, une firme de service-conseil en immobilier. «Ça me semble assez alléchant cette offre-là, observe Jean Laurin, président et chef de la direction de NKF Devencore Montréal, une autre firme de service-conseil en immobilier. Je peux très bien les comprendre [les propriétaires] de prendre une position aussi agressive. Ils doivent louer leurs locaux. Il n’y a rien de plus cher qu’un local vide». Pour un nouveau Mile End Quand Marc-André Lanciault cherche des bureaux pour sa PME, Karelab, en 2012, il commence par regarder du côté du Vieux-Montréal. «Mais c’était environ 30$ du pi2 carré. Puis, j’ai un ami qui s’était installé dans la Cité de la mode qui m’a parlé du coin. Maintenant que j’y suis installé, au 55 Louvain Ouest, je loue environ 6 400 pi2 pour 10$ le pied carré. Je préfère investir dans mes employés et mon entreprise (spécialisée en programmes de récompenses pour employés) que dans un loyer. En plus, je n’ai pas besoin d’épater des clients. Je ne suis pas un bureau d’avocats du centre-ville. D’ici quelques années, croit l’entrepreneur, ce ne sera plus aussi abordable, on verra la naissance d’un nouveau Mile End». M. Lizotte ne s’en cache pas, si les prix sont si bas, c’est pour attirer les start-ups et PME créatives dans le quartier. «Ça permet à de jeunes entreprises d’obtenir des locaux à un prix très abordable. Nous recherchons des entreprises à haute valeur ajoutée, que ce soit en TI, en services financiers, etc. C’est à travers ces entreprises-là qu’un secteur se redynamise». Si l’on en croit le vice-président développement commercial du projet, l’initiative DCMTL Développement est déjà sur la bonne voie. Plusieurs ententes de location seraient à annoncer prochainement.
  7. Le Carré St-Thomas Un projet de 4 à 6 bâtiments de 4 étages. 1800, boul. Taschereau, Longueuil Quadrilatère : Rue Saint-Thomas - Boulevard Taschereau - Avenue Des Chênes
  8. Du Constructeur de Carré SoHo Condo Le VIC Nouveau projet de condos 24 unités sur 3 étages 100% béton http://www.condovic.com/ 11873 Rue Victoria, Pointe-aux-Trembles, QC H1B 2P9
  9. article très intéressant sur le site de Radio-Canada avec des photos de Google StreetView d'avant/après différents projet 12 lieux de Montréal que vous ne reconnaîtrez pas Mise à jour le jeudi 21 août 2014 à 11 h 58 HAE Vous rappelez-vous à quoi ressemblait le Quartier des spectacles en 2007? Alors que le Quartier souffle ses cinq bougies, nous vous proposons de revoir Montréal telle qu'elle était avant. Vous avez peut-être d'ailleurs vu passer sur la toile des images saisissantes de type « avant et après » dans des villes comme Détroit, avec Google Street View qui permet depuis peu de retourner dans ses archives. Nous nous en sommes inspirés et avons demandé à deux experts de nous parler de 12 lieux qui ont changé de façon marquée à Montréal. Dinu Bumbaru, directeur des politiques d'Héritage Montréal, et Jérôme Glad, de l'Association de design urbain du Québec, se sont prêtés au jeu avec ces images de 2007 à 2012, date de la dernière mise à jour des photos. la liste des 12 lieux : Place des festivals Monastère franciscain Métro Guy École Baril Rue Sainte-Catherine Est Rue Laurier Parc Baldwin Mile-Ex Griffintown Musée des beaux-arts Carré Saint-Laurent Place l'Acadie http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2014/08/21/001-12-lieux-montreal-avant-apres-google-street-view-architecture.shtml
  10. - Description : 8 étages, 150 unités (148 vendues au 7 juin 2012) - Prix : $290-$370 / pi.ca. - Localisation : coin Ottawa - de la Montagne - Début de construction : mai 2012 - Fin de construction : février 2013 - Constructeur : Maître Carré - Architectes : Geiger et Huot - Site web : http://www.carredelamontagne.com/
  11. Petit projet sur Salaberry qui remplace un terrain vague, je crois que le Jean Coutu à côté y déménagera. http://www.carrepoutrincourt.com/plans-condos-ahuntsic.ws https://maps.google.com/maps?q=montreal&hl=en&ll=45.537604,-73.700212&spn=0.00638,0.013937&sll=37.0625,-95.677068&sspn=58.206849,114.169922&hnear=Montreal,+Quebec,+Canada&t=m&z=17&layer=c&cbll=45.537604,-73.700212&panoid=XHs0yTAnu--DkkIVJT-E8A&cbp=12,29.45,,0,5.75
  12. Un petit 3 étages en plein coeur de St-Henri. Ce projet est vraiment petit mais il a de la gueule. Il est vraiment beau. Il est assez différent de ce qu'on voit habituellement pour un petit projet, surtout à St-Henri. http://www.carrelaporte.com/Static/fr/index.html
  13. Carré VM Coin Ontario et Papineau. 3 étages. En tout, 13 unités de condo résidentiels seront construits, répartis sur les étages supérieurs de l'immeuble. Le rez-de-chaussée, composé d'unités commerciales, s'harmonisera avec la vocation résidentielle de l'immeuble.
  14. On avait pas de fil je crois, mais le projet était dans les plans en même temps que le Parc Laurier (maintenant réouvert et vraiment très beau!). Aujourd'hui, le Carré était complètement clôturé. Les travaux sont commencés!
  15. I contributed this so I reserve the right to delete it. Signed, MTLskyline
  16. Microcondos Une tendance qui prend de la place à Montréal Agence QMI Emmanuel Delacour 10/01/2012 17h28 - Mise à jour 13/02/2012 09h04 MONTRÉAL - Les microcondos, ces logements de 500 pieds carrés et moins, font leur apparition au centre-ville de Montréal et il faut s'attendre à les voir se multiplier d'ici les prochaines années. La hausse du prix des terrains au cœur de la métropole et le désir de se rapprocher des grands centres en amènent certains à faire un compromis quant à l'espace. Ils deviennent ainsi propriétaires d'un appartement dont la pièce principale sert à la fois de salon, de cuisine et de chambre à coucher. Et cette tendance est là pour rester selon Jacques Saint-Pierre, professeur de développement immobilier à l'École des sciences de la gestion de l'UQAM. «Comparativement au reste du marché canadien, le prix des logements à Montréal reste en dessous de la moyenne. Ces dernières années un rattrapage s'est enclenché sur le marché immobilier montréalais et il va perdurer», a expliqué M. Saint-Pierre. Selon lui, la densification du centre-ville de Montréal ne ralentira pas et la demande pour des logements plus abordables va mener à de plus en plus de subdivision des immeubles existants, ainsi qu'à la création de plus petites propriétés. Cette demande provient en premier lieu des jeunes professionnels, souvent célibataires et sans enfants, qui veulent profiter de ce qu'offre un logement en plein milieu de Montréal. Cependant, il n'y a pas que des jeunes achètent ces microcondos. «Il y a quelques couples, souvent proches de la retraite, qui veulent s'offrir un pied à terre à Montréal. Ces gens peuvent avoir une résidence principale à la campagne et ils viennent en ville quelques jours par semaine», a expliqué Patrice Groleau, propriétaire de l'agence immobilière McGill immobilier. Le courtier immobilier est d'ailleurs l'un des premiers à mettre en vente un bâtiment offrant des microcondos à Montréal. Un des ses projets, le M9, est situé en plein Ville-Marie et a déjà vendu des dizaines de ces condominiums dont la taille se limite parfois à 350 p2. La valeur réelle? Bien que les microcondos coûtent moins cher aux acheteurs que le modèle traditionnel, il faut savoir que sa valeur au pied carré n'est pas amoindrie. Selon M. Groleau la valeur d'un logement de 350 pieds carrés peut être arrondie à 175 000 $, alors qu'un condo de 1000 pieds carrés tournera autour de 350 000 $. Ainsi, dans le microcondo, le pied carré se vend à 500 $, alors qu'il se vend 350 $ le pied carré dans un plus grand logement. Cependant, M. Saint-Pierre assure «la compétition est si grande sur le marché immobilier montréalais, que cette augmentation du prix au pied carré ne rapporte pas beaucoup plus aux promoteurs. Ceux-ci doivent investir dans un design intelligent afin de rendre ces petits espaces habitables.»
  17. Le Bâtiment que vous voyez en jaune n'est pas un bâtiment en rénovation, mais un nouveau bâtiment. Il semble qu'un projet vous ai échappé. En fait il s'agit d'une coop d'habitation d'artistes. http://imaginemileend.com/post/452822239/coop-dhabitation-pour-artistes-une-premiere-au-quebec
  18. I contributed this so I reserve the right to delete it. Signed, MTLskyline
  19. Bonjour, J'aimerais avoir vos avis et vos information sur cette question, est-ce-que Montréal-Est est développable ? Avec la fermeture de Shell, nous aurons un immense terrain vague, en y ajoutant les terrains de la Texaco et autres qui ont fermé, c'est un MEGA terrain de jeu pour l'urbanisme. Voici un plan vite fait, ou j'inclus la carrière LaFarge dans les terrains. J'ai calculé la superficie, elle est d'environ 5.4 km carré. (3.2km X 1.7km) Est-ce-que ces terrains sont récupérables ou ils sont contaminés au max ? sachant que le pétrole était dans des réservoirs, ça ne devrait pas être trop contaminé, si je ne me trompe pas ?
  20. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  21. Montréal, toujours une aubaine Publié le 08 juin 2009 à 06h37 | Mis à jour à 06h44 Hugo Fontaine La Presse À l'échelle mondiale, Montréal demeure une aubaine pour les entreprises qui cherchent des bureaux. Les loyers sont six fois moins chers ici qu'à Tokyo, qui trône en tête du palmarès des villes les plus chères du monde. Selon la plus récente étude globale de la firme immobilière CB Richard Ellis (CBRE), louer un bureau dans le centre-ville de la capitale japonaise coûte 183,62$US le pied carré. Cela ne coûte que 31,19$US à Montréal, ce qui place la métropole au 99e rang des 173 marchés étudiés, un gain d'une place par rapport à l'an dernier. Montréal se retrouve entre Santo Domingo, capitale de la République dominicaine (98e), et Honolulu, à Hawaii (100e). En dollars canadiens, le coût de location moyen au pied carré a augmenté de 4,7% en un an à Montréal, pour s'établir à 39,32$ au début mai. En banlieue, le prix moyen est de 25,76$CAN, en hausse de 0,7%. «Nous avons à Montréal un marché très stable, surtout par rapport aux autres grandes villes de l'Amérique du Nord, explique à La Presse Affaires Brett Miller, vice-président-directeur de CBRE. Le taux de vacance est relativement bas (autour de 7%), il n'y a pas de nouvelle construction et la demande est raisonnable.» Un seul immeuble offrira de nouveaux locaux, au 250, rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal. Il s'agit de l'ancien édifice de la Gazette, dont 100 000 pieds carrés seront à louer. Vers une pénurie? À Toronto et Calgary, la situation est tout autre, observe M. Miller. Dans ces marchés, il y aura beaucoup de nouveaux immeubles dans les prochaines années, alors que la demande plonge. On peut donc s'attendre à une baisse des prix. Mais à Montréal, un tel scénario est peu probable. «Il n'y a pas beaucoup de propriétaires qui sont en situation difficile et qui vont être obligés de baisser les tarifs pour attirer des locataires.» «Mais lorsque l'économie va reprendre, la demande va augmenter; il y a donc possibilité d'une pénurie de locaux, ajoute M. Miller. Il faut donc s'attendre à un marché plutôt favorable aux propriétaires.» Dans ce contexte, M. Miller recommande aux locataires «d'utiliser la faiblesse psychologique aujourd'hui à Montréal et de renégocier les taux à long terme, pour ne pas être pris quand le marché reviendra». Baisse globale des coûts Les villes canadiennes de Montréal, Edmonton (65e), Toronto (46e) et Calgary (39e) ont toutes gagné des places dans le classement de CBRE, «en partie en raison de la force de notre économie relativement aux marchés mondiaux», explique John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE au Canada. «Généralement, les coûts de location au pays ont bien tenu par rapport aux déclins enregistrés dans les autres marchés» dans la foulée de la récession mondiale. Globalement, les prix moyens ont diminué de 2,8% dans l'année qui s'est terminée le 31 mars, un retournement majeur par rapport à la hausse de 8% pour la période de 12 mois qui s'est terminée le 30 septembre 2008. «La grande récession mondiale a clairement frappé les marchés de location de bureaux, particulièrement ceux qui comptent des concentrations significatives d'employés du secteur financier, explique Raymond Torto, économiste en chef de CBRE. Les marchés les plus onéreux sont considérablement moins chers qu'il y a un an, et les locataires sont maintenant en position forte pour dénicher des bureaux de premier plan à coût attrayant.» En Amérique du Nord, le Midtown new-yorkais reste le quartier où les bureaux coûtent le plus cher, à 68$US le pied carré. C'est tout de même un déclin de 32% en une année, le plus important recul au monde, mis à part celui enregistré à Singapour (-34%). Coût moyen de location des bureaux ($US par pied carré) 1- Tokyo (centre): 183,62 2- Londres (West End): 172,62 3- Moscou: 170,24 4- Hong Kong: 150,42 39- Calgary: 54,57 46- Toronto: 51,82 56- Vancouver: 45,47 99- Montréal: 31,19
  22. La rue Sainte-Catherine n'échappe pas au ralentissement Publié le 27 janvier 2009 à 08h30 | Mis à jour à 08h31 Rue Sainte-Catherine aussi, des détaillants renégocient à la baisse leurs loyers dans la foulée du ralentissement des ventes. La rue Sainte-Catherine, qui est pourtant l'artère commerciale la plus recherchée de Montréal, surtout depuis qu'elle s'est refait une beauté durant les années 90, n'échappe pas à la tempête économique. Quand des chaînes sabrent leurs projets d'ouverture et que d'autres préparent des fermetures de magasin et renégocient leurs loyers, des courtiers commerciaux voient leur marché se rétrécir, reconnaît Bruce Munro, vice-président d'Avison&Young au Québec. «Presque toutes les grandes bannières ont déjà pignon sur rue au centre-ville de Montréal», (ce qui limite le bassin de la clientèle), et les autres prennent leur temps. Bruce Munro a ainsi aidé récemment deux chaînes à conclure des ententes, rue Sainte-Catherine, mais elles «n'ont pas encore signé leurs baux et veulent déjà les renégocier à la baisse». André Poulin, président de la société de développement commercial Destination centre-ville, confirme que des loyers se renégocient. «Certains propriétaires font des offres pour ne pas perdre leurs locataires. Plusieurs tentent leur chance. Même Destination centre-ville a renégocié son loyer», dit-il. «Les locaux de la rue Sainte-Catherine continuent toutefois d'être recherchés. Les détaillants ne veulent pas sortir du centre-ville. La rue Sainte-Catherine ne sera pas placardée demain matin», assure André Poulin. Des magasins vont cependant fermer, selon Bruce Munro. Par contre, des chaînes vont sabrer des magasins de mégacentres de la banlieue avant ceux de la rue Sainte-Catherine, ajoute-t-il. Archambault Musique vient de quitter le Complexe des Ailes de la mode, après une entente mutuelle, mais la chaîne californienne Forever 21, concurrente de H&M, va prendre les locaux avant l'été prochain, confirme Jean Laramée, vice-président principal pour l'est du Canada chez Ivanhoé Cambridge. «De grandes bannières comme Guess, American Eagle, H&M et Apple sont arrivées récemment rue Sainte-Catherine. Cela en attire d'autres, souligne André Poulin. Là, on renégocie des loyers, mais sans provoquer des départs.» «Des loyers de 200$ le pied carré pourraient baisser à 150$, rue Sainte-Catherine, estime Bruce Munro. Le prix était de 50$ ou 60$ le pied carré en 1992. Rue Bloor, à Toronto, les loyers de 325$ le pied carré sont trop élevés aussi.» Les détaillants s'en tirent mieux dans le marché des jeunes que dans celui des hommes, dit-il. «Il n'y a pas de vague de réouvertures de baux, mais quelques négociations», assure Jean Laramée. Chez Ivanhoé Cambridge, un des grands propriétaires de centres commerciaux en Amérique du Nord, «on n'est pas fou, on sait que ça brasse un peu partout, c'est une période de tests pour plusieurs. Au Canada, par contre, on ne sent pas trop la tempête. Notre affluence a été correcte en 2008». Jean Laramée reconnaît toutefois qu'il préfère gérer dans l'est du Canada qu'aux États-Unis ces jours ci. David Jubb, chef de la direction de Pyxis Real Estate Equities, de Toronto, a acheté une dizaine de locaux à proximité de la Maison Ogilvy de la rue Sainte-Catherine, qui lui appartient, pour bâtir un «Carré de la mode». Nespresso Café, de New York, y ouvrira un magasin, le mois prochain, et David Jubb déclare travailler avec «quatre ou cinq autres détaillants. L'économie ralentit et certains repensent à leurs affaires, mais on doit se reparler au printemps. Chez Ogilvy, ce sera plus lent en 2009, mais Nespresso va attirer de la clientèle», croit-il.
  23. Un "Carré de la mode" au centre-ville de Montréal Le quadrilatère du centre-ville de Montréal ceinturé par la Maison Ogilvy et Holt Renfrew est en train de se transformer en "carré de la mode" haut de gamme, conçu par l'expert immobilier David B. Jubb, qui y multiplie les acquisitions. Chef de la direction de Pyxis Real Estate Equities, de Toronto, dont le portefeuille immobilier comprend Ogilvy, rue Sainte-Catherine, David Jubb a déjà signé depuis un an, discrètement, les achats de neuf immeubles et il veut en conclure d'autres. David Jubb «en a même déjà rénové une partie», souligne André Poulin, président de la société de développement Destination centre-ville, et de nouveaux détaillants commencent à débarquer, rue de la Montagne et Crescent. Par contre, «les prix des immeubles visés ont doublé», a affirmé David Jubb à La Presse Affaires, depuis que leurs propriétaires ont découvert son projet. «Ils n'arrêtent pas de me féliciter d'avoir fait grimper la valeur de leurs immeubles, en prenant un verre, mais ils ne baissent pas leurs prix, déplore-t-il. Je vais en acheter d'autres, mais au bon prix. Il ne faut pas céder aux émotions dans l'immobilier, pour atteindre la rentabilité». Click here to find out more! «Le projet est embryonnaire», mais Pyxis doit le compléter d'ici la fin de 2008, selon le président d'Ogilvy, Bernard Paré... ou d'ici le printemps 2009, ajoute David Jubb. Déjà Apple a ouvert un magasin, rue Sainte-Catherine, dans des locaux de Pyxis, qui a pris «la tête des ventes au Canada, avec 1200$ au pied carré». Le groupe supplante, à ce chapitre, le rendement "du meilleur magasin canadien de sacs à main Louis Vuitton", dit David Jubb. Le détaillant de vêtements Diesel vient aussi d'ouvrir un premier magasin pilote au Canada, rue de la Montagne, et un Diesel Café suivra, à côté. David Jubb espère l'ouverture d'ici Noël d'une succursale de Nespresso Café, de New York. Pyxis a mis la main sur cinq immeubles commerciaux, rue de la Montagne, et sur quatre, rue Crescent, précise David Jubb. Le promoteur a aussi acheté le terrain de stationnement voisin de l'Hôtel de la Montagne, où il projette de construire une tour de condos de luxe "d'ici deux ou trois ans". De son côté, Holt Renfrew, la chaîne canadienne de vêtements et d'accessoires haut de gamme, voit d'un bon oeil l'intérêt accru pour le quadrilatère de son magasin de la rue Sherbrooke, déclare la porte-parole, Jozée Desrosiers. Sans être aucunement partenaire de Pyxis, Holt Renfrew travaille par contre aussi sur un important projet d'agrandissement de son magasin de Montréal. «Il y a un lien naturel entre Holt Renfrew et Ogilvy, qui visent la même clientèle cible», explique Bernard Paré. «Les clients circulent régulièrement entre Holt Renfrew et Ogilvy", renchérit David Jubb. Presque en face, la chaîne H&M vient d'ouvrir son navire-phare et le magasin de Gap n'est pas loin non plus», note-t-il. «Il est temps pour Montréal d'avoir une solide destination dans la mode haut de gamme», lance David Jubb. «Ça va attirer des clients au centre-ville, qui va augmenter son pouvoir d'attraction contre la banlieue», souligne André Poulin. «D'autres ont parlé d'un complexe de la mode, mais David Jubb le fait», ajoute le président de Destination centre-ville. Au cours des prochains mois, d'autres détaillants renommés ouvriront dans les immeubles de David Jubb, dont 80% des locaux seront consacrés à la mode et aux accessoires et 20% à la restauration et à l'alimentation, dit M. Paré. C'est David Jubb lui-même qui gère ce projet à titre de chef d'orchestre et il veut l'emballer avec grand soin. Le promoteur ne lui a pas encore trouvé le nom francophone à la hauteur, qui pourrait s'apparenter à "Carré de la mode", dit-il. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080923/LAINFORMER/809230808/5891/LAINFORMER01
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  25. 13 avril 2007 Rien n'y fait. Malgré la récente flambée des prix, le marché de l'immobilier de Québec demeure l'un des plus abordables de la planète, avance une étude de la Century 21. Les résultats d'une enquête menée auprès de 31 villes du globe démontrent surtout que Québec arrive au deuxième rang des marchés les moins chers. À l'achat d'une première résidence en banlieue, les acheteurs typiques travaillant au centre-ville de la capitale paient en moyenne 93 $ du pied carré, calcule la Century 21. À l'échelle de la planète, seul le marché immobilier de la ville de St. John's, à Terre-Neuve (55 $ / pi²), demeure le plus accessible. Au troisième rang, Québec est chauffée de près par la ville d'Istanbul, en Turquie (94 $ / pi²), suivie de Halifax (97 $ / pi²), de Charlottetown (104 $ / pi²) et de Sydney, en Australie (105 $ / pi²). À l'opposé, les villes les plus chères au monde par pied carré demeurent Paris (1051 $), Moscou (688 $), Séoul (630 $), Vancouver (577 $) et Londres (532 $). Les deux plus grandes villes canadiennes, Montréal et Toronto,arrivent en milieu de peloton avec des coûts respectifs au pied carré de 276 $ et 209 $. La ville de la grosse pomme, New York, arrive au huitième rang, à 375 20 minutes en auto L'étude de la Century 21 s'est aussi attardée au temps à parcourir en voiture (ou en métro) pour arriver au lieu de travail. Les acheteurs typiques de Québec doivent ainsi compter chaque matin 20 bonnes minutes avant d'atteindre le bureau au centre-ville. À ce chapitre, Vancouver est particulièrement compétitive, avec un temps moyen de cinq minutes entre le lieu de travail et la maison. À St. John's, le temps à parcourir s'élève à 10 minutes ; à Montréal, à 10 min.; à Paris, à 5 min. ; à New York, à 45 min. ; à Tokyo, à 50 min. ; à Halifax, à 25 min. ; à Winnipeg, à 12 min. et à Calgary, à 20 min. Des bémols Dans son enquête, Century 21 note que les acheteurs d'une première propriété paieront environ 129 000 $ pour une résidence de deux étages (1380 pi²) dans la région de Québec, plus précisément à Val-Bélair. "Or, à ce prix, peu d'acheteurs risquent de trouver une maison", précise l'analyste Jean-François Dion à la Société canadienne d'hypothèques et de logements (SCHL). À Val-Bélair, comme partout dans la région, le prix des maisons est en forte progression depuis janvier (+10 %). Au cours des trois premiers mois de 2007, le prix moyen des transactions s'est élevée à 162 000 $. L'analyste de la SCHL reconnaît toutefois que les maisons de la capitale demeurent parmi les plus abordables au monde. Depuis le début de l'année, le prix moyen pour mettre la main sur une maison individuelle se chiffre à 182 000 $ dans la région. avantage aux vendeurs À Québec, dans le secteur résidentiel, le marché actuel serait toujours à l'avantage des vendeurs, indique la SCHL. "On retrouve environ six résidences offertes pour un acheteur", précise M. Dion en ajoutant que, dans un marché dit équilibré, le ratio est de huit pour un. Les marchés immobiliers les plus abordables au mondeVille $/pi2 St. John's 55 $ Québec 93 $ Istanbul (Turquie) 94 $ Halifax 97 $ Charlottetown 104 $ Sydney (Australie) 105 $ Bogota (Colombie) 114 $ Mexico (Mexique) 119 $ Source : Century 21
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