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  1. Une deuxième «Tour des Canadiens» en vente dès l'automne Hugo Joncas . les affaires.com Sa Tour des Canadiens est vendue à 100%, et Cadillac Fairview veut mettre en marché un deuxième immeuble de condos d’envergure comparable dès cet automne, au sud du Centre Bell. La seconde tour de copropriétés « sera en grande partie semblable » à la Tour des Canadiens, dit Wayne Barwise, vice-président directeur, Aménagement, chez Cadillac Fairview. « Elle est toujours sur la table à dessin » a-t-il ajouté, en marge de la cérémonie de la première pelletée de terre de la Tour Deloitte, un autre projet de la filiale immobilière du Régime de retraite des enseignants de l’Ontario dans le quadrilatère. «Le site précis n'est pas encore choisi, mais l'immeuble sera situé sur nos terrains au sud du Centre Belle, rue Saint-Antoine, dit Sal Iacono, vice-président principal, Développement et gestion immobilière, Est du Canada, chez Cadillac Fairview. Les dimensions précises de la nouvelle tour restent également à préciser. «On est en train d’étudier ça présentement. On va faire quelque chose à l’échelle de ce que le marché nous permettra de faire.» Sal Iacono précise que le nouveau gratte-ciel pourrait être aussi grand que la Tour des Canadiens, qui compte 50 étages et 552 unités, et qu’il aura lui aussi un accès direct au métro. «Selon nous, non, le marché ne ralentira pas pour ce type de projet», dit-il. Cadillac Fairview et son partenaire constructeur Canderel mise sur des unités de luxe et mousse leur vente avec un marketing intense. La Tour des Canadiens, par exemple, a développé tout un plan d’avantages en collaboration avec les Canadiens de Montréal pour mousser la vente de ses copropriétés, comme du temps de glace au Centre Bell, un accès à des billets en prévente et des tirages pour des places en loge ou directement derrière le banc des joueurs. Chez Altus, l’évaluateur Mathieu Collette croit que les projets avec des vues dégagées, avec un accès direct au métro, comme la Tour des Canadiens, continueront de bien se vendre. «Au dernier trimestre de 2012, 64 % des unités en projet au centre-ville, dans le Vieux-Montréal et dans Griffintown étaient déjà vendues », signale-t-il. Deux tours de 500 000 pieds carrés À l’est du Centre Bell, Cadillac Fairview a déjà excavé l’équivalent des trois étages de stationnement que comptera son autre projet en cours, la Tour Deloitte, un gratte-ciel de bureaux de 26 étages et 495 000 pieds carrés, dont le cabinet de comptables sera locataire principal. Le promoteur a en outre donné peu de détails supplémentaires sur la deuxième tour de bureaux qu’il compte construire en face, de l’autre côté de la rue Saint-Antoine. Elle fera quelque 500 000 pieds carrés également, mais sera « différente » de la Tour Deloitte, dit Sal Iacono, qui n’a pas voulu donner plus de détails. Selon nos sources, les courtiers immobiliers reçoivent déjà des appels de Cadillac Fairview pour sonder l’intérêt de gros locataires potentiels pour son deuxième immeuble de bureaux. « La raison d’être d’un promoteur, c’est toujours de vendre le prochain projet », dit Sal Iacono. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/une-deuxieme-tour-des-canadiens-en-vente-des-l-automne/555934#.UawFOPa1Y5s
  2. Condos et autos feront-ils bon ménage au Centre Bell? Simple solution: Remove parking on both sides of Drummond.
  3. Reportage de Canal+ sur les Canadiens avec en prime quelques belles images de la ville
  4. Publié le 03 février 2012 à 06h53 Hélène Baril La Presse Une fois qu'ils ont payé leurs taxes et leurs impôts, les Canadiens sont plus riches que les Québécois, dont le fardeau fiscal est plus lourd. Ça, on le sait. Ce qu'on ignorait, c'est que cet écart de revenus s'est accru chez les hommes les plus riches et est en voie de disparaître chez les femmes et chez les plus pauvres. La situation s'est inversée depuis le début des années 80, a constaté le professeur Daniel Parent, dans une étude réalisée pour le Centre sur la productivité et la prospérité de HEC Montréal. «Dans le passé, c'était chez les plus pauvres que l'écart de revenus entre les Québécois et les Canadiens était le plus marqué.» Après avoir passé les statistiques à la moulinette, le professeur estime que les plus riches Canadiens ont un revenu disponible de 20 à 22% supérieur à celui des hommes les plus riches au Québec. Chez les femmes, l'écart de revenus entre les Québécoises et les Canadiennes s'amenuise. Il est à peine de 8% chez les plus riches et a pratiquement disparu chez les plus pauvres, a calculé Daniel Parent. C'est, selon lui, une autre preuve à l'appui de l'affirmation «qui s'instruit s'enrichit». Les Québécois ont rattrapé une partie du retard qu'ils avaient, ce qui a fait diminuer les écarts de revenus entre les plus pauvres, explique-t-il. Chez les femmes faisant partie de la tranche de revenus les plus élevés, il n'y a plus de différence sur le plan de la scolarité entre les Québécoises et les Canadiennes. Chez les hommes de la même tranche de revenus, par contre, le retard dans le niveau de scolarité demeure. Les Québécois en général sont plus scolarisés qu'avant. Mais le taux de fréquentation des universités est inférieur à la moyenne canadienne. «C'est aussi le cas en Alberta et en Colombie-Britannique, donc dans trois provinces riches en ressources naturelles», souligne-t-il. Parce qu'il offre une abondance d'emplois relativement bien payés, le secteur des ressources naturelles détourne les jeunes, les garçons surtout, des études supérieures. Plus égalitaire Au Québec, les riches sont peut-être encore moins riches qu'ailleurs au Canada, mais les pauvres ne sont plus aussi pauvres comparés aux autres Canadiens, a aussi constaté le professeur Parent. L'écart de revenus entre les plus pauvres n'est plus aussi grand qu'il l'a déjà été, parce que le Québec fait plus d'efforts pour redistribuer les revenus, précise-t-il. Même en ne tenant pas compte des programmes sociaux comme les garderies à 7$ ou les congés parentaux, qui n'existent qu'au Québec, les mécanismes de redistribution sont plus élaborés au Québec que dans le reste du Canada», explique-t-il. Le niveau de vie des plus pauvres est donc équivalent partout au pays. Cette redistribution des revenus fait du Québec une société plus égalitaire, dans un pays qui fait aussi des efforts pour redistribuer les revenus. L'envers de la médaille, c'est que le Québec est moins prospère, vu sous l'angle du Centre sur la productivité et la prospérité de HEC Montréal. «Ça peut être vu comme une mauvaise chose, reconnaît Daniel Parent, qui estime que c'est une question d'interprétation. Ça peut aussi bien être vu comme un choix de société.» Lien: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201202/03/01-4492138-les-quebecois-moins-riches-mais-aussi-moins-pauvres-que-les-canadiens.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS3
  5. Publié: 06 décembre 2011 16:36 Mis à jour: 06 décembre 2011 18:52 http://www.journalmetro.com/linfo/article/1043288--montreal-en-tete-des-destinations-canadiennes TORONTO - Le site de voyages Hotwire.com a annoncé que les grandes villes et les endroits aux températures clémentes seront les destinations de prédilection des Canadiens pour la période des Fêtes. Le site d'achat de forfaits de voyage à rabais précise que Montréal, New York et Toronto occupent respectivement les trois premières places du palmarès de 10 villes. Ces trois villes sont des destinations de choix pour les Canadiens habitant près de la frontière canado-américaine. Viennent ensuite Orlando et Fort Lauderdale, en Floride; Las Vegas, au Nevada; Vancouver, en Colombie-Britannique; Honolulu, à Hawaï; Seattle, dans l'État de Washington, et San Francisco, en Californie. En raison de la fluctuation des taux de change, Hotwire.com précise que les prix dans plusieurs villes frontalières sont demeurés concurrentiels, et que cela pouvait signifier des économies importantes lors d'un voyage. La plupart des autres villes sur la liste offrent plutôt l'occasion de ranger les manteaux et de se détendre au chaud. Le président du groupe Hotwire, Clem Bason, mentionne que les taux de change favorables et les rabais importants facilitent l'utilisation maximale du budget de vacances pour les Fêtes. Par voie de communiqué, M. Bason a indiqué mardi que les Canadiens étaient désormais plus réceptifs à l'idée de passer les Fêtes dans une destination vacances, qu'elle se trouve près de la maison ou dans un autre pays. 1. Montreal 2. New York City 3. Toronto 4. Orlando 5. Fort Lauderdale 6. Las Vegas 7. Vancouver 8. Honolulu 9. Seattle 10. San Francisco
  6. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/canada/201111/15/01-4468130-construction-ralentissement-prevu-a-montreal-et-toronto.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1 On a quand même plusieurs chantiers en cours ceux la ne devraient pas avoir de problème mais est-ce que ça va avoir un effet négatif sur ceux qui sont proposés ! Ex : La tour des canadiens etc.
  7. This is a La Presse article from May 1998 regarding the Expos building an office complex to support their stadium construction project. The two towers next to Windsor station represents the two 50 floor towers that was part of the Canadiens original building plans, as mentioned in the second part of the article.
  8. http://sports.yahoo.com/nhl/blog/puck_daddy/post/GQ-ranks-Montreal-Canadiens-fans-among-worst-in-?urn=nhl-wp643&utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter
  9. Marie-Claude Malboeuf La Presse Après Clotaire Rapaille, qui a échoué à cerner le «code culturel» de Québec, Influence Communication s'interroge - de manière plus scientifique - sur l'image de marque de Montréal. Plutôt que de sonder les âmes, la firme a analysé, pendant trois ans, une centaine de quotidiens. Qu'est-ce qui ressort lorsqu'on écrit sur Montréal? Sans surprise, l'exercice confirme que nul n'est prophète en son pays. Plus ils habitent loin de Montréal, plus les journalistes présentent la métropole du Québec de façon positive. «Mais plus il s'en approchent, plus ça se dégrade», indique Caroline Roy, analyste chez Influence Communication. Pour parvenir à cette conclusion, la jeune femme et son équipe ont repéré puis analysé 105 000 articles publiés dans 108 quotidiens en 2008, 2009 et 2010. Leur but: déterminer quel «archétype médiatique» véhiculait chaque article. Autrement dit: «Ce que les gens allaient retenir de Montréal en étant exposés à sa couverture dans les médias». «À l'étranger, Montréal est présenté comme un petit joyau culturel, particulièrement dans le domaine de la musique et du cirque, résume Mme Roy. C'est très marquant, même si notre analyse a été faite avant qu'Arcade Fire salue publiquement Montréal aux Grammys.» Du Sunday Mail britannique au San Antonio Express-News (Texas) en passant par le Boston Globe, la vitalité musicale et artistique de Montréal a inspiré 45% des 10 000 textes sur Montréal publiés dans 81 journaux étrangers depuis trois ans. Dans les 16 principaux quotidiens canadiens, la concurrence mêle un peu les cartes. La vitalité culturelle de Montréal est reconnue dans des centaines d'articles, mais des centaines d'autres affirment plutôt que Toronto déclasse la ville de Denis Villeneuve, Karkwa, Wajdi Mouawad, Yannick Nézet-Séguin et Marie Chouinard. À en croire le Toronto Star, l'élite artistique montréalaise est même «profondément jalouse» de certains succès de la Ville reine. La même ambivalence teinte les reportages économiques, qui forment 18% des 30 000 articles canadiens évoquant Montréal. «C'est impossible de dégager un archétype net, dit Caroline Roy. Certains articles qualifient notre économie de moribonde comparativement à celle de Calgary et de Toronto. D'autres soulignent notre force dans le domaine des jeux vidéo.» Lorsque les journalistes canadiens encensent Montréal, c'est presque systématiquement pour saluer son côté «festif» ou sa gastronomie (les thèmes dominants dans 26% des 30 000 articles canadiens), ou encore, parfois, son réseau de vélos Bixi. Des qualités qui retiennent aussi l'attention des journalistes étrangers. «Avoir une image aussi positive à l'extérieur, c'est très encourageant pour l'avenir de la ville, commente le vice- président de Tourisme Montréal, Pierre Bellerose. À long terme, cela devrait inciter les gens qui ne la connaissent pas à venir la découvrir. Nos sondages montrent eux aussi que le fait que les Montréalais célèbrent la vie est reconnu partout, de Terre-Neuve jusqu'en Colombie-Britannique.» «Dans le grand jeu planétaire, on se démarque, se réjouit pareillement Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. La mondialisation nous amène à être perpétuellement en train de nous demander comment les entreprises à l'étranger nous considèrent lorsque vient le moment d'investir, comment faire en sorte que les travailleurs stratégiques soient exposés à un bruit de fond positif à l'égard de Montréal. Et on semble réussir.» «Quand je voyage, des choses similaires ressortent, poursuit-il. Il y a un mois, je me trouvais avec les présidents de 18 des plus grandes chambres de commerce et on m'a demandé quel est le secret de notre succès, à Montréal, pour exploiter des créneaux très porteurs comme celui des jeux vidéo.» Décrépitude et corruption Pour le reste, par contre, Montréal n'a vraiment pas bonne presse au Canada. Ses infrastructures vieillissantes (15% des textes canadiens qui portent sur la ville) ainsi que ses scandales de corruption et la présence de la mafia (12% des textes) assombrissent la couverture des quotidiens examinés par Influence Communication. «Nos différences culturelles historiques génèrent sans doute une certaine méfiance, une ambivalence chez les journalistes canadiens, analyse Pierre Bellerose. Mais d'après moi, ce n'est pas propre à Montréal. Ils pensent sûrement la même chose au sujet du Québec dans son ensemble.» En septembre dernier, le magazine Maclean's a en effet fait sa une avec le titre: «The Most Corrupt Province of Canada», illustré d'une photo de Bonhomme Carnaval. Une manchette susceptible d'effrayer les investisseurs à l'égard du Québec en entier. Chez les touristes, l'impact de ces articles est nul, croit par contre M. Bellerose. «Je ne pense pas qu'ils les empêcheront de venir passer un week-end au Grand Prix ou au Festival de jazz», dit-il. Journaux régionaux Chose certaine, Montréal paraît encore plus mal dans les autres régions du Québec. Leurs sept quotidiens parlent relativement peu de la métropole, affirme Caroline Roy, et lorsqu'ils le font, c'est généralement pour l'égratigner sur des aspects bien précis. On y lit tout d'abord qu'elle est trop subventionnée, qu'elle pâlit à côté de la ville de Québec, que le français y est menacé, que la qualité de vie y est moindre et, seulement en dernier, que la corruption y règne. «Les gouvernements donnent trop d'argent à Montréal», écrit par exemple Le Nouvelliste. «Montréal est devenue non-québécoise», écrit le Journal de Québec. «Certains médias québécois font une fixation sur Montréal. Ils semblent s'imaginer qu'on y complote sans arrêt contre leur ville. Ça ne date pas d'hier, mais c'est maintenant cimenté», commente le professeur Marc-François Bernier, qui enseigne les communications à l'Université d'Ottawa et a déjà travaillé en région et dans la Vieille Capitale. D'après Pierre Bellerose, les journalistes régionaux et étrangers n'ont tout simplement pas les mêmes références. «C'est manifeste lorsqu'on sonde les touristes, dit-il. L'été dernier, lors du même week-end, les Américains nous répondaient que Montréal était une ville très propre alors que les Québécois des régions disaient qu'elle était très sale.» «Pour les New-Yorkais ou les Parisiens, Montréal est une ville presque relaxe, où il n'y a pas vraiment de problèmes de circulation, de stationnement ou de propreté, dit-il. Les journalistes étrangers ne s'attardent pas à nos problèmes, parce que ça cloche généralement encore plus dans leur ville, et exactement sur les mêmes points.» *** Ce qui a été analysé Influence Communication a trié tous les articles publiés dans 108 journaux représentatifs de leur marché en 2008, 2009 et 2010. Parmi ceux-ci, 105 000 contenaient plus d'une mention de Montréal et ont donc été analysés: > 10 000 ont été publiés dans 81 quotidiens étrangers (57 américains, 16 anglais et 8 français); > 30 000, dans 16 quotidiens canadiens; > 15 000 dans 7 journaux québécois hors Montréal; > 50 000 dans 4 quotidiens montréalais. Les articles portant sur le sport ont été exclus. 1. Ville aux lourdes structures et échec des fusions 20,2% 2. Métropole culturelle en péril 18,3% 3. Ville minée par la corruption 12,3% 4. Ville aux infrastructures vieillissantes 10,0% 5. Ville de jeux vidéo 4,4% 6. Ville festive 4,2% 7. Ville propice au cyclisme 3,7% 8. Ville de musiciens 3,6% 9. Ville qui perd sa population au profit de la banlieue 3,1% 10. Ville truffée de nids-de-poule 3,1% 11. Ville sale 3,0% 12. Ville trop subventionnée comparativement aux autres 2,3% 13. Ville en déclin comparativement à Québec 1,6% 14. Ville où le français est menacé 1,5% 15. Ville de cirque 1,5% 16. Haut lieu de la mafia italienne 1,4% 17. Ville où règne une piètre qualité de vie 1,3% 18. Siège de la clique du Plateau qui dirige le Québec 1,2% 19. Destination touristique agréable 1,1% 20. Ville froide et enneigée 0,6% http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201103/12/01-4378665-montreal-cest-beau-de-loin.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS2
  10. Toronto, le 19 novembre 2010 2010-109 Le ministre des Finances tient des consultations à Toronto sur la prochaine phase du Plan d’action économique du Canada L’honorable Jim Flaherty, ministre des Finances, a tenu aujourd’hui à Toronto une séance de consultations auprès de dirigeants d’entreprises, dans le cadre d’une série de discussions avec les Canadiennes et les Canadiens visant à déterminer comment le Plan d’action économique du Canada continuera à façonner l’avenir économique du pays par l’entremise du budget de 2011. « Les gens ont des préoccupations au sujet de l’économie, de l’emploi et du budget de leur ménage, a déclaré le ministre Flaherty. Nous désirons entendre les points de vue des Canadiens sur la prochaine phase de notre plan d’action économique, qui sera axée sur la consolidation de la reprise et le retour à l’équilibre budgétaire. » Ces consultations sur le Plan d’action économique serviront de complément aux plus vastes consultations économiques que le premier ministre et les députés mènent à la grandeur du pays pour entendre la population canadienne. Les consultations du ministre prévoient une série de tables rondes avec des Canadiens émérites, des discussions continues avec les membres du Conseil consultatif sur l’économie, et des rencontres de discussion ouverte. Dans le cadre des efforts déployés pour recueillir une large gamme d’opinions, le gouvernement entreprend également aujourd’hui des consultations en ligne. Les personnes intéressées peuvent soumettre leurs observations à l’adresse Internet suivante : http://www.fin.gc.ca/prebudget-prebudgetaire/1-fra.asp. Le gouvernement désire que les Canadiens répondent à quelques questions, dont les suivantes : * L’économie du Canada est dans la bonne voie – nous sommes bien partis pour assurer la reprise économique et l’équilibre budgétaire. Mais l’économie mondiale est fragile et beaucoup trop de Canadiens sont encore à la recherche d’un emploi. Quelles sont les mesures n’entraînant pas de coûts supplémentaires ou n’ayant aucune incidence financière que le gouvernement fédéral devrait prendre dans le prochain budget pour créer des emplois et promouvoir la croissance économique, et ce, sans mettre de côté son objectif d’atteindre l’équilibre budgétaire? * Le Canada est sur la bonne voie pour atteindre l’équilibre budgétaire en 2015‑2016. Ce délai est-il approprié? Le gouvernement fédéral devrait-il essayer de parvenir plus tôt à l’équilibre? Le délai devrait-il être reporté? * Le gouvernement devrait toujours gérer judicieusement l’argent des contribuables afin d’en assurer l’optimisation. Le gouvernement veille toujours à contenir les dépenses. Il veille aussi à ce que celles-ci soient effectuées de la manière la plus efficiente et la plus efficace possible. Selon vous, quels sont les secteurs où le gouvernement fédéral peut accroître son efficience et son efficacité? * Quelles devraient être les priorités du Canada à court et à long terme en vue de favoriser la croissance du secteur privé et le leadership dans le domaine de l’économie? Le gouvernement demande aussi aux Canadiens de lui faire part de toutes les idées qu’ils jugent dignes d’être mentionnées. « Les commentaires que nous recevrons nous seront d’une grande utilité pour préparer le prochain budget fédéral ainsi que notre programme économique et financier », a ajouté le ministre Flaherty.
  11. Comme quoi, il vaut mieux payer plus d'impôts, mais gagner au change à la longue...... http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2010/09/13/001-medicament-cher-canada.shtml# http://www.iris-recherche.qc.ca/publications/argumentaire_economique_pour_un_regime_universel_d8217assurance-medicaments
  12. Les anglophones et les allophones sont les principaux responsables de la diminution de la population du Québec, selon une nouvelle étude qui sera dévoilée ce matin au 78e congrès de l'Association francophone pour le savoir. Les francophones hors Québec contrebalancent le départ des francophones, concentrant davantage la dualité linguistique canadienne. «Le solde migratoire négatif du Québec existe parce qu'il y a plus d'anglophones et d'allophones qui quittent le Québec qu'il n'en arrive», explique Éric Forgues, de l'Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques au Nouveau-Brunswick, qui présentera ses analyses ce matin. «Il y a un processus de consolidation linguistique. Les francophones du Canada se concentrent au Québec et les anglophones vont dans les provinces anglophones. Il y a même une consolidation régionale au Québec: les anglophones quittent les régions pour se rendre à Montréal. Le Saguenay, par exemple, perd lentement ses derniers anglophones.» Au total, le Québec a perdu 0,2% de sa population entre les recensements de 2001 et de 2006. C'est la plus faible baisse depuis au moins 40 ans. Mais quand on y regarde de plus près, le Québec francophone n'est pas celui qui en souffre: il a gagné 0,5% de population de 2001 à 2006, alors que les anglophones ont perdu 1,4% de leur population. Les allophones ont une perte absolue aussi grande que les anglophones, environ 8000 personnes, mais M. Forgues n'a pu calculer cette perte en proportion à cause de questions méthodologiques. «Le Québec retient difficilement ses allophones», dit le démographe néo-brunswickois. Par contre, le saignement de la communauté anglophone s'amenuise. «Chez les plus jeunes, les 20 à 29 ans, il y a même une légère augmentation de 0,3%», dit M. Forgues. Cela se compare à une baisse à peine perceptible chez les francophones du même âge, pour un solde provincial négatif de 0,1%. Plus d'immigrants américains Par ailleurs, d'autres données démographiques dévoilées au congrès de l'ACFAS montrent que la quantité d'Américains émigrant au Canada a doublé au début du millénaire. «Je ne crois pas que ce soit dû à l'opposition aux politiques de Bush», explique l'auteur de l'étude sur la migration américaine, Jack Jedwab, directeur de l'Association pour les études canadiennes à Montréal. «Ça montre plutôt que le Canada est maintenant aussi bien vu au point de vue des possibilités de carrière que les États-Unis, avec un avantage sur le plan de la qualité de vie.» De 1991 à 2000, 43 000 Américains ont émigré au Canada. Le taux a doublé entre 2001 et 2006, atteignant presque le même nombre en moitié moins de temps: 39 000 entre 2001 et 2006. La moitié d'entre eux choisissent l'Ontario et seulement 10% le Québec. Ce chiffre est deux fois plus élevé que le nombre de Canadiens émigrant aux États-Unis. Selon Bruno Ramirez, historien à l'Université de Montréal, les migrations entre les deux pays concernent essentiellement des travailleurs extrêmement qualifiés, par exemple en finances ou en informatique, qui profitent de visas dans le cadre de l'ALENA. La presque totalité des visas accordés par les États-Unis en vertu de l'ALENA va à des Canadiens, les Mexicains ne remportant que 2% du total. * * * Solde migratoire du Québec Nombre d'habitants perdus: 1966-1971: 70 720 1971-1976: 59 805 1976-1981: 141 725 1981-1986: 63 300 1986-1991: 25 550 1991-1996: 37 440 1996-2001: 57 310 2001-2006: 11 645 Source: Statistique Canada * * *
  13. Une grande majorité de Canadiens font de plus en plus d’achats éco-responsables, mais plusieurs affirment être fatigués du discours environnementaliste, révèle un sondage réalisé pour le compte de la société Cascades. Presque la moitié des Canadiens affirment avoir changé leur façon de consommer afin de réduire l’impact environnemental de leurs achats, ce qui représente une augmentation de 5% par rapport à l’année dernière. Et lorsqu'ils vont à l'épicerie, 78% des Québécois apportent toujours leurs sacs réutilisables pour emporter leurs effets, contre 66% des Canadiens. Selon Cascades, un tel résultat démontre que l'utilisation du sac réutilisable est maintenant fortement ancré dans les habitudes de magasinage des Québécois. Les Québécois s'avèrent aussi être les champions du recyclage à domicile, alors que 91% des répondants affirment que leur municipalité offre un service de collecte sélective, contre 84% dans l'ensemble du Canada. Il s'agit là du taux le plus élevé au pays. Le sondage révèle par ailleurs que même si la plupart des Canadiens adoptent de plus en plus d’habitudes de consommation vertes dans leur vie privée, une lassitude croissante se fait sentir quand il s'agit des messages environnementaux. Plus de la moitié des répondants, soit 58%, estiment que l'environnement est la nouvelle religion, alors que 54% sont fatigués de se faire faire la morale par les environnementalistes. Les femmes, celles qui implantent généralement, les pratiques « vertes » au sein de la famille, semblent cependant généralement plus ouvertes au discours environnementaliste. « Il est encourageant de voir que les Canadiens sont de plus en plus déterminés à faire des choix plus durables», explique Gillian Deacon, auteure et référence en matière d’environnement. « Mais ce que je trouve le plus intéressant est notre sain scepticisme du «greenwashing». Les Canadiens ont raison de se méfier des allégations trompeuses sur certains produits et emballages qui essaient de paraître plus verts qu'ils ne le sont en réalité, ce que je trouve moi-même très frustrant», a-t-elle affirmé. Le sondage a été réalisé en ligne par la firme Ipsos/Descarie du 22 au 26 février auprès de 1055 Canadiens adultes. La marge d'erreur est estimée à +/- 3.1 points de pourcentage, 19 fois sur 20, dans le cas où on aurait sondé toute la population adulte du Canada. http://argent.canoe.ca/archives/lca/affaires/quebec/2010/04/20100422-102818.html
  14. Les Jeux de Vancouver critiqués à New York et Londres Wayne Gretzky défile sous la pluie dans les rues de Vancouver, à l'ouverture des Jeux d'hiver. La Presse Canadienne - 13/02/2010 20h50 VANCOUVER - La météo inclémente, les allégations voulant que le Canada ait violé les idéaux olympiques et les coûts sociaux et économiques des Jeux d'hiver au détriment des citoyens les plus nécessiteux de la Colombie-Britannique ont volé la vedette au sport sur certains sites internet réputés à travers le monde, samedi. Celui du New York Times par exemple se demandait ouvertement si le Comité international olympique ne s'était pas carrément trompé de choix. «Vancouver est la ville la plus chaude de l'histoire à accueillir les Jeux d'hiver, basé sur la température moyenne en février, de sorte qu'on aurait peut-être pu anticiper les problèmes», est-il écrit. «Ou est-ce l'organisation locale qui doit être blâmée pour avoir prévu des événements sur Cypress Mountain, qui n'est qu'à 30 minutes de Vancouver et ses températures douces?» «Vancouver est une ville attrayante, y dit pour sa part le professeur d'économie américain Victor Matheson. Mais la chaude température et les complications de dernière minute avec la neige pourraient nuire à sa réputation comme ville de sports d'hiver. Ce serait une honte, mais ce ne serait pas la première fois qu'un événement majeur a un effet négatif sur l'image d'une ville.» «Je ne crois pas que ce fut une erreur de présenter les Olympiques à Vancouver», a plutôt déclaré Hannah Hardaway, qui a participé aux épreuves de bosses aux Jeux de 2002. «La Colombie-Britannique est une destination d'hiver remarquable et on aurait pu tout aussi bien tomber sur un hiver plein de neige et des conditions idéales. En autant que les parcours soient sécuritaires et remplissent les normes, pourquoi se plaindre? Il ne semble pas que ce soit le cas des compétiteurs.» Sur le site du Guardian de Londres, on se concentrait sur l'action des activistes anti-olympiques. «Les Olympiques sont un autre malheureux exemple d'un partenariat public-privé qui a mal tourné, peut-on y lire. Les contribuables ont été taxés sournoisement par des promoteurs privés qui ont entraîné la ville dans un budget de faillite( ...) Les besoins fondamentaux d'une population sont sacrifiés sur l'autel de la gloire olympique alors que près de la moitié des Canadiens, selon un récent sondage, jugent que la situation économique actuelle est «pauvre» ou «très pauvre». Sur le site du London Times, le principal reporter sportif Owen Slot s'en prend à la stratégie du programme «À nous le podium», affirmant qu'une partie de celui-ci consistait à interdire les sites de Vancouver et Whistler aux athlètes étrangers afin de procurer le maximum d'avantages aux canadiens. «Il y a des règles et même si les Canadiens les ont suivies, admet-il, leur interprétation a été de limiter au minimum les entraînements des non-Canadiens.» L'auteur faisait évidemment référence à l'accident mortel survenu au lugeur géorgien Nodar Kumaritashvili.
  15. Petite révolution touristique [La Chine approuve la promotion du Canada comme destination touristique] Malorie Beauchemin, envoyée spéciale La Presse Publié le 04 décembre 2009 à 05h45 | Mis à jour le 04 décembre 2009 à 07h28 Le premier ministre Stephen Harper a fait ses premiers pas jeudi sur la Grande Muraille de Chine. Photo: PC (Pékin) À la Grande Muraille de Chine, les touristes sont nombreux, à Badaling, même par un petit matin glacial du mois de décembre. Il y a même quelques Canadiens, de Colombie-Britannique, rencontrés par hasard, et qui arborent fièrement les mitaines rouges des Jeux olympiques de Vancouver 2010. Le premier ministre Stephen Harper est, quant à lui, venu faire quelques pas, avec son épouse Laureen, sur l'imposante structure qui s'étend sur près de 6700 km dans le nord de la Chine. Sa réaction devant l'immensité de la construction humaine tient en un mot : «Incroyable !» Si les Canadiens sont nombreux à visiter l'empire du Milieu chaque année, le flux inverse de touristes pourrait augmenter de façon exponentielle prochainement. En marge de la visite du premier ministre Stephen Harper en sol chinois, le gouvernement de Pékin a annoncé, jeudi, qu'il accordait au Canada le statut de destination approuvée par les autorités chinoises, facilitant et encourageant ainsi des dizaines de milliers de touristes éventuels à voyager de l'autre côté du Pacifique. La mesure pourrait donc représenter une mine d'or pour l'industrie touristique canadienne ; des revenus potentiels de 100 millions de dollars par année, estime Ottawa. L'imposante population chinoise - 1,3 milliard d'habitants - et l'accession, pour de plus en plus d'entre eux, à des conditions de vie qui permettent ce genre de voyage à l'étranger feront très certainement saliver les agences de tourisme. Le Canada compte aussi 1,3 million de citoyens d'origine chinoise, dont la plupart ont encore de la famille dans l'empire du Milieu. Ainsi, la nouvelle mesure pourrait attirer de 40 000 à 50 000 touristes chinois supplémentaires au Canada chaque année, évalue le gouvernement fédéral. «Cela pourrait faire augmenter le tourisme chinois de 50 %», s'est réjoui Stephen Harper, à l'issue de rencontres bilatérales avec le président Hu Jintao et le premier ministre chinois Wen Jiabao. «Ça va grandement profiter au Canada et ça arrive au moment opportun, surtout à l'approche des Jeux olympiques», a-t-il ajouté à la fin de la deuxième journée de son voyage en sol chinois, son premier depuis qu'il est entré en poste, il y a presque quatre ans. Le gouvernement fédéral avait fait la demande aux autorités chinoises en 2005. Depuis cette date, des dizaines de pays ont été ajoutés à la prestigieuse liste des destinations approuvées, dont les États-Unis, en 2008. «Ça aurait dû se faire il y a quatre ans, mais ça n'a pas été le cas à cause de l'attitude du gouvernement Harper envers la Chine. Les États-Unis et la plupart des pays européens ont déjà obtenu le même statut. Quand la Chine a signé (jeudi matin), elle a montré de la bonne volonté», a critiqué Loïc Tassé, politologue spécialiste de la Chine qui enseigne à l'Université de Montréal. Cinq protocoles d'entente La Chine et le Canada ont aussi annoncé, à l'issue des rencontres diplomatiques, la conclusion de cinq protocoles d'entente ; sur les changements climatiques, sur la coopération culturelle, sur la recherche et la formation dans le domaine agricole, sur les ressources minérales et sur le transport maritime. En matière d'environnement, notamment, les deux gouvernements ont convenu de collaborer dans leurs efforts pour «atténuer les changements climatiques et s'y adapter». L'accord survient à quelques jours de l'ouverture de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques, à laquelle les premiers ministres canadiens et chinois participeront. Dans une déclaration commune, les deux pays ont convenu d'accroître le commerce bilatéral, qui se chiffrait en 2008 à plus de 53 milliards. Le Canada importe toutefois quatre fois plus qu'il exporte en Chine et doit donc convaincre les autorités chinoises d'acheter davantage de produits et services canadiens. Les deux pays ont par ailleurs aussi fait l'annonce de l'ouverture prochaine d'un nouveau consulat de la Chine à Montréal. Le premier ministre Harper a souligné qu'une «nouvelle ère» s'ouvrait entre les deux pays. La déclaration commune des deux gouvernements va plus loin, en ajoutant que les nouvelles mesures prises sont «des nouvelles façons d'accroître l'interaction entre les populations» et qu'elles favoriseront «une circulation accrue de touristes, d'élèves et de gens d'affaires entre les deux pays». Après une journée très politique, le premier ministre Harper visitera aujourd'hui la Cité interdite, au coeur de Pékin, avant de se rendre en soirée à Shanghai prononcer un important discours économique. Puis, son voyage en Asie se poursuivra à Hong-Kong avant de se terminer à Séoul, en Corée du Sud. - Avec la collaboration de Vincent Brousseau-Pouliot http://www.cyberpresse.ca/dossiers/harper-en-chine/200912/03/01-927425-petite-revolution-touristique.php Une très grosse nouvelle pour le Canada (mais surtout pour Toronto-Vancouver, qui sont bien plus connues que Montréal dans ce coin-là)
  16. http://communities.canada.com/montrealgazette/blogs/metropolitannews/archive/2009/10/07/rue-des-canadiens-a-new-name-for-de-la-gaucheti-232-re.aspx
  17. Internet pourra-t-il remplacer les journaux? Mario Boulianne, Le Droit (Ottawa) 08 juin 2009 | 13 h 37 La majorité des gens disent que le changement est une bonne chose. Mais, en réalité, c'est une façon d'accepter qu'une chose que l'on ne désirait pas, est finalement arrivée. C'est exactement ce que je me dis lorsque je constate la poussée vertigineuse d'internet. J'ai toujours trouvé déplorable que de plus en plus de gens se fient à la toile pour s'informer, délaissant du même coup les sources d'informations traditionnelles comme les journaux. LeDroit, comme la majorité des salles de nouvelles, peut compter sur des journalistes professionnels qui offrent aux lecteurs une source fiable d'information, basée sur des recherches et des entrevues, ainsi que sur une relative objectivité. Sur le net, il est hasardeux de se fier à ces "sources" plus ou moins bien informées. Les blogueurs sérieux ne sont pas légion. À moins qu'ils soient liés à un média reconnu, les blogueurs n'ont que peu de crédibilité, à mon avis. Les rumeurs et les légendes urbaines sont au coeur de leurs articles. Et pourtant, on n'hésite pas à répandre ce qu'on peut lire sur le Web. Vendredi, un sondage Nanos réalisé pour le compte de la revue Options politiques était publié. On pouvait y lire que la télévision demeure la principale source d'information des Canadiens, malgré la popularité croissante d'internet - et dire que Radio-Canada mettra fin à son bulletin du midi dans la région. Ce sondage, réalisé auprès de 1001 Canadiens du 26 mai au 1er juin, révèle que 48,2% des Canadiens s'informent en regardant les nouvelles télévisées. Les journaux constituent la deuxième source d'information avec une popularité de 20,6%. La radio arrive au troisième rang comme source d'information avec 14,9%. Et en cette ère d'Internet, seulement 13,8% des Canadiens disent s'informer en lisant les nouvelles sur le Web. Et vlan pour les "Twitter" de ce monde. La télévision est donc la source d'information la plus populaire, selon ce sondage. Les recherches de Nanos démontrent aussi que la télévision a davantage la cote dans toutes les régions du pays et auprès des Canadiens de tous les âges. Même pour ceux âgés de 18 à 39 ans, la télévision est deux fois plus populaire qu'Internet. On constate aussi le même phénomène chez les Canadiens de 18 à 29 ans, qui choisissent la télévision à 46%, Internet à 22,6% et les journaux à 15,3%. Pour le chroniqueur que je suis, je ne peux nier la force d'Internet et surtout, son utilité dans mon métier. Mais je m'inquiéterai toujours de ce médium qui ne fait que peu de place à la crédibilité de ses sources. Mais ce sondage me donne des raisons de croire que les journaux ont encore la cote quant à la qualité de son information. D'ailleurs, il n'est pas rare que les émissions de télé et de radio du matin se basent presqu'exclusivement sur ce qui est écrit dans les journaux pour vous informer dès votre réveil. Un autre résultat qui me donne de l'espoir, les deux tiers des personnes sondées disent s'informer en lisant les journaux et ils le font en lisant la version papier. Les autres le font en lisant la version Web... qui est gratuite. Alors, à ceux et celles qui lisez cette chronique dans sa version papier, n'oubliez pas de recycler votre journal préféré. Quant aux autres qui utilisent la souris, vous pourrez toujours vous dire que le site cyberpresse.ca est une source très fiable d'information. Oups... la pile de mon portable est vide. Je dois vous quitter. J'aurais dû prendre une feuille et un crayon! Vous avez une nouvelle à nous communiquer ou encore une idée pour un reportage? Écrivez-nous à technaute@cyberpresse.ca.
  18. Un millier de milliards de dettes Mise à jour le mardi 26 mai 2009 à 12 h 23 Crise économique, chômage et précarité ne semblent pas décourager les ménages canadiens de recourir de plus en plus au crédit pour les dépenses courantes. Une étude de l'Association des comptables généraux agréés du Canada (CGA-Canada) révèle que la dette totale des ménages canadiens a atteint 1300 milliards de dollars en 2008. Les auteurs du rapport indiquent que de nombreux Canadiens continuent de cumuler les achats à leurs comptes de cartes de crédit et de gruger leur marge de crédit. Ce qui réduit leur capacité d'épargne. D'après un sondage figurant dans le rapport, 85 % des ménages avaient, en novembre dernier, une dette active de carte de crédit. Quelque 21 % des répondants admettaient ne plus être en mesure de gérer le poids de leur dette. « L'endettement des ménages canadiens a nettement augmenté ces dernières années, ce qui met en péril leur sécurité financière », a affirmé le président et chef de la direction de CGA-Canada, Anthony Ariganello. Pas moins de 49 % des familles avec au moins un enfant de moins de 18 ans ont affirmé que leur dette avait grimpé ces trois dernières années, révèle le sondage réalisé sur Internet auprès de 2014 Canadiens, dont la marge d'erreur est de 2,2 points de pourcentage, 19 fois sur 20. Les marges de crédit et les cartes de crédit représentent la plus grande partie de la dette de consommation des ménages. Le quart des personnes interrogées ne serait pas capable de faire face à une dépense imprévue de 5000 $, tandis qu'une personne sur 10 aurait de la difficulté à débourser un coût imprévu de 500 $. « Nous devons admettre que la situation financière des ménages canadiens s'est détériorée », explique Rock Lefebvre, vice-président de CGA-Canada. Selon lui, il faut rectifier la situation pour maintenir un « environnement économique sain ». L'association estime qu'il est « plus souhaitable d'adopter une approche équilibrée des dépenses, de l'épargne et du remboursement des dettes pour sortir du marasme économique actuel, que d'essayer de promouvoir les dépenses de consommation. »
  19. GE Capital : nouveau siège social à Montréal Publié le 26 mai 2009 à 10h18 | Mis à jour à 10h23 La Presse Canadienne GE Capital (GE) a annoncé mardi l'ouverture de son nouveau siège social canadien à Montréal. L'inauguration de ces bureaux, au centre-ville, «souligne notre confiance dans les perspectives de croissance à long terme des entreprises canadiennes», a indiqué le président et chef de la direction de GE Capital Canada, Patrick Palerme, dans un communiqué. Quelque 170 employés travaillent au siège montréalais de GE Capital, tandis qu'un peu plus de 400 autres travaillent dans une vingtaine de bureaux canadiens. GE Capital a lancé ses activités au Canada en 1986. La société offre aux entreprises canadiennes des services personnalisés, regroupés sous six groupes commerciaux : financement aux entreprises, financement «corporatif», financement aux fournisseurs, gestion de parcs de véhicules, financement d'avions d'affaires et financement de franchises.
  20. La famille moyenne dépense plus en impôts que pour ses besoins essentiels Institut Fraser Agrandir La Presse Canadienne Vancouver D'après une étude de l'Institut Fraser, la famille moyenne canadienne gagnait 71 764 $ en 2008 et a dû débourser 31 535 $ en impôts, ce qui représentait 43,9 pour cent de son revenu. Elle dépensait par ailleurs 35,7 pour cent de son avoir pour se loger, se nourrir et se vêtir. Selon Niels Veldhuis, coauteur de l'étude sur l'indice d'imposition du consommateur canadien et directeur des études fiscales à l'Institut Fraser, la facture d'impôts des Canadiens a crû de 1783 pour cent au cours des 47 dernières années. Il ajoute que, pour la même période, la facture pour se loger a augmenté de 1218 pour cent, celle pour se nourrir de 532 pour cent et celle pour s'habiller de 536 pour cent. Selon l'Institut Fraser, en 1961, la famille moyenne consacrait 33,5 pour cent de son revenu aux impôts et 56,5 pour cent de son revenu pour se loger, se nourrir et s'habiller. Cette proportion s'est inversée dès 1981. Les gouvernements percevaient alors 40,8 pour cent des revenus de la famille moyenne en impôts, ne lui laissant que 40,5 pour cent du revenu pour combler ses besoins essentiels. L'indice d'imposition du consommateur canadien comprend tous les impôts payés par les Canadiens, que ce soit à l'échelle fédérale, provinciale ou municipale.
  21. Ottawa annonce un gel des tarifs, jusqu'en 2011, dans les parcs nationaux et lieux historiques du pays afin d'inciter les Canadiens à les fréquenter. Pour en lire plus...
  22. Le voyagiste Transat A.T. annonce qu'il annule tous ses vols canadiens vers le Mexique jusqu'au 19 juin prochain. Les clients de Vacances Transat, Nolitours et Air Transat sont invités à changer leur destination. Pour en lire plus...
  23. Crédit d'impôt à la rénovation Ikea et Lowe’s entendent consolider leur présence au Canada 3 février 2009 - 14h47 Argent et Presse Canadienne Lowe’s et Ikea vont de l’avant avec leur plan pour consolider leur présence au Canada, quelques jours après le dépôt du budget fédéral qui prévoit des crédits d’impôt à la rénovation. Le géant suédois de l’ameublement et de la décoration intérieure a indiqué mardi qu’il prévoyait une expansion à Winnipeg et à Ottawa et que des magasins d’autres villes canadiennes verraient leur salle de montre revampée. Ikea n’a pas précisé combien de magasins elle entend ouvrir et rénover. «Nous croyons en la vitalité du marché canadien et nous avons toutes les indications selon lesquelles les Canadiens sont toujours intéressés à investir dans leurs foyers, notamment avec des projets comme le réaménagement de nouvelles cuisines», déclare Kerri Molinaro, présidente, IKEA Canada. Pour sa part, le détaillant américain en rénovation Lowe’s a annoncé que trois magasins seront ouverts dans la grande région de Toronto. Lowe’s est présent en sol canadien depuis un an et exploite à l’heure actuelle 11 magasins. Le Plan d’action économique du gouvernement conservateur prévoit l’octroi d’un crédit de 1350 dollars aux Canadiens qui réaliseront des projets de rénovation entre le 27 janvier 2009 et le 1er février 2010. Les projets doivent s’inscrire dans une fourche variant de 1000 à 10 000 dollars.
  24. Atze

    Fox News s'excuse

    Fox News s'excuse La Presse canadienne Édition du mardi 24 mars 2009 Mots clés : Fox News, excuses, Forces armées, États-Unis (pays), Canada (Pays) Ottawa -- Un animateur du réseau américain de nouvelles continues Fox News a offert ses excuses aux Canadiens, hier, après que des commentaires formulés dans son émission eurent outré le gouvernement Harper. Greg Gutfeld, l'animateur de l'émission Red Eye, a affirmé que ses commentaires et ceux de ses invités «ont été mal compris», et qu'ils ne voulaient pas manquer de respect envers «les braves hommes et femmes» servant dans l'armée canadienne et leur famille. Au cours de l'émission Red Eye, l'animateur et plusieurs chroniqueurs ont fait des blagues sur les soldats canadiens, laissant notamment entendre qu'ils voudraient prendre une pause de la guerre en Afghanistan pour aller «faire du yoga, se promener sur les plages en bermudas et se faire faire une manucure», a lancé l'animateur Gutfeld. «Ne serait-ce pas le moment idéal pour envahir ce pays ridicule? Ils n'ont pas d'armée!» Les propos ont été tenus après que le chef d'état-major de l'armée canadienne, le lieutenant-général Andrew Leslie, eut indiqué qu'une fois terminé le retrait canadien d'Afghanistan, les militaires auraient besoin d'une année pour reprendre des forces. http://www.ledevoir.com/2009/03/24/241449.html (24/3/2009 9H06) Pour ceux qui voudraient voir le clip en question: http://www.youtube.com/watch?v=wPmXKEsm-HE
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