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  1. Un ex-employé de la banque LGT, qui appartient à la famille princière du Liechtenstein, raconte comment l'institution utilise notamment des banques canadiennes pour aider de riches Américains à échapper au fisc. Pour en lire plus...
  2. Les valeurs mobilières canadiennes sont restées en forte demande, surtout en ce qui concerne les obligations, les mines, la technologie et l'énergie. Pour en lire plus...
  3. Malgré le ralentissement de la croissance économique, des entreprises canadiennes demeurent croient que leurs activités croîtront au cours des prochains mois, révèle une étude de la Banque du Canada. Pour en lire plus...
  4. Malgré le récent ralentissement de la croissance économique au Canada, il ne semble pas qu'une faiblesse généralisée touche les entreprises du pays. Pour en lire plus...
  5. La majorité des caisses de retraite canadiennes sont parvenues tout juste à préserver leur capital au cours de la première moitié de l'année, tant les rendements ont été médiocres. Pour en lire plus...
  6. Le Groupe d'étude sur les politiques en matière de concurrence recommande que le Canada assouplisse ses lois sur l'investissement et la concurrence afin de faciliter l'acquisition de compagnies canadiennes par des sociétés étrangères. Pour en lire plus...
  7. La productivité du travail dans les entreprises canadiennes a fléchi de 0,3% au cours du premier trimestre de 2008 par rapport au trimestre précédent. Pour en lire plus...
  8. Le président et chef de la direction de la Corporation financière Power a fustigé jeudi les règles canadiennes de gouvernance d'entreprise lors d'un discours. Pour en lire plus...
  9. Pour le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes, il faudrait diviser le Fonds en deux volets: un privé, l'autre public. Pour en lire plus...
  10. Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes entame des consultations sur le renouvellement de la licence de la chaîne privée, qui compte se départir de ses salles de nouvelles d'ici l'automne prochain. Pour en lire plus...
  11. Leo-Paul Lauzon : «16 G$ aux paradis fiscaux» L’étude de Leo-Paul Lauzon s’appuie sur les états financiers de grandes banques. Photo: Photo.com Les techniques «d’évasion fiscale» de la part des banques canadiennes auraient privé le Canada de 16 milliards de dollars de revenus fiscaux. Ces chiffres compilés par le professeur de l’UQAM, Leo-Paul Lauzon portent sur une période allant de 1993 à 2007 pour la RBC, la Banque Scotia, la CIBC, la BMO et la Banque TD. L’étude s’appuie sur les états financiers de ces grandes banques qui divulguent les économies impôts sur leurs activités à l’étranger dans des pays où le taux d’imposition est inférieur à celui en vigueur au Canada. Dans la définition de paradis fiscal, Léo-Paul Lauzon regroupe pêle-mêle des pays insulaires à population inférieure à 20 000 habitants et des centres financiers comme Hong Kong ou Singapour. Le professeurs de l’UQAM qualifie d’«évasion fiscale», les revenus d’impôts que le Canada n’aurait pas perçus sur l’activité des cinq grandes banques canadiennes à l’étranger. Que ces activités soient conformes au cadre juridique canadien n’empêche pas Léo-Paul Lauzon de les qualifier de «fraude». «Si le gouvernement met en place des lois très complaisantes, tout va être légal», soutient-il. «C’est quoi la légalité alors que les services publics crient famine?» Et de plaider pour que le gouvernement établisse une liste noire de pays qui ne pourraient se qualifier pour des ententes fiscales ou pour des transactions commerciales avec le Canada. Articles de l'industrie http://www.lesaffaires.com/article/0/economie/2008-05-27/478463/leopaul-lauzon--etlaquo16-gdollars-aux-paradis-fiscauxetraquo.fr.html
  12. Les usines automobiles canadiennes construisent principalement des voitures gourmandes en essence, telles les Dodge Magnum ou Ford Crown Victoria. Pour en lire plus...
  13. Les 20 ans du libre-échange 6 octobre 2007 - 08h41 La Presse Claude Picher Grossir caractèreImprimerEnvoyer Cette semaine avait lieu le 20e anniversaire de la signature du traité de libre-échange entre le Canada et les États-Unis. À l'époque, le débat avait soulevé les passions partout au Canada; les élections générales de 1988 se sont même transformées en véritable campagne référendaire sur le libre-échange. Au fil d'arrivée, le gouvernement de Brian Mulroney, architecte du projet, a été massivement reporté au pouvoir, avec 169 sièges sur 295 à la Chambre des communes. Le triomphe des conservateurs était particulièrement fort au Québec, avec 53% du vote populaire et 63 des 75 sièges. Cette semaine, à Montréal, M. Mulroney a prononcé une conférence pour célébrer ce 20e anniversaire. Il y a de quoi célébrer, en effet. En 1987, le surplus commercial du Canada à l'égard des États-Unis atteignait 17 milliards; l'an dernier, il dépassait les 96 milliards. Même en tenant compte de l'inflation, la progression est spectaculaire. Pendant ces 20 années, l'économie canadienne a créé cinq millions d'emplois, dont une majorité à plein temps. Le taux de chômage, à 5,9%, est à son plus bas niveau depuis 1974. Certes, cette remarquable amélioration du marché du travail n'est pas uniquement attribuable au libre-échange, mais on peut certainement avancer que le libre-échange a contribué à maintenir et à créer des millions d'emplois de ce côté-ci de la frontière. Ceux qui ont vécu ce débat, à l'époque, se souviennent du catalogue d'horreurs véhiculé par les adversaires du libre-échange. En feuilletant les journaux de l'époque, je suis tombé sur quelques perles qui, avec le recul du temps, apparaissent singulièrement idiotes aujourd'hui. Voici donc, selon les prophètes de malheur de 1987, quelques-unes des calamités qui attendaient le Canada avec la signature de l'accord de libre-échange: > Les armes à feu seront en vente libre partout au Canada. La criminalité atteindra des niveaux inégalés dans les villes canadiennes. La violence envers les femmes augmentera. > Les Américains achèteront les hôpitaux canadiens et les exploiteront comme des entreprises privées. Les pauvres n'auront plus les moyens de se faire soigner. Les listes d'attente s'allongeront (cette dernière prévision s'est réalisée, mais on a été capables de faire cela tout seuls). > Le Canada va être obligé de démanteler ses programmes sociaux et ses institutions publiques. Pour le Québec, notamment, cela signifie la désintégration de la Caisse de dépôt et du Fonds de la FTQ. > Les entreprises canadiennes fermeront par centaines. Des millions d'emplois seront perdus. On assistera à un déplacement massif des sièges sociaux vers les États-Unis. > Les droits de scolarité atteindront 20 000$ par année, comme dans les universités américaines. L'éducation supérieure sera réservée aux riches. > C'est Washington qui décidera de la politique monétaire du Canada. Qui disait cela, en 1987? Des lobbies de toutes sortes, bien sûr, mais aussi des politiciens, les néo-démocrates en premier lieu, sans oublier les libéraux, qui promettaient de «jeter le traité à la poubelle», rien de moins. Quatre ans plus tard, lorsqu'ils sont revenus au pouvoir, les libéraux se sont bien gardés de toucher au traité; pour une fois, on peut féliciter des politiciens d'avoir renié une promesse électorale! Et puis des dirigeants syndicaux, des évêques, même des professeurs d'université, de qui on aurait pu espérer un peu plus de clairvoyance. Dans sa conférence, M. Mulroney, qui a fait l'objet de nombreuses attaques personnelles à l'époque, n'a pas raté l'occasion de rappeler à quel point tout ce beau monde s'est trompé. Mais l'ancien premier ministre a aussi mis le doigt sur un autre problème: les entraves au commerce interprovincial. Assez curieusement, le Canada, bien qu'il ait signé un accord de libre-échange avec son voisin du Sud, conserve à l'intérieur de ses propres frontières des entraves protectionnistes. Évidemment, à l'intérieur du pays, aucune province ne peut ériger de barrières tarifaires. En revanche, les provinces peuvent mettre en place une foule d'entraves, et elles ne s'en privent pas: réglementation, notamment dans le secteur des transports, de l'hygiène publique, de la protection du consommateur; mesures vexatoires (formulaires, bureaucratie, permis, délais); politiques d'embauche dans certains secteurs comme la construction ou les soins de santé, politiques d'achat des ministères, agences et sociétés d'État. Certes, en 1994, les 10 provinces ont signé un accord sur le commerce intérieur, mais celui-ci n'a jamais été mis en application. Encore aujourd'hui, en 2007, il est plus facile pour certaines entreprises québécoises d'exporter aux États-Unis plutôt qu'en Ontario, et le contraire est aussi vrai. En avril 2007, deux provinces canadiennes, l'Alberta et la Colombie-Britannique, se sont entendues pour créer leur propre marché commun, le TILMA (Trade, Investment and Labor Mobility Agreement); les deux provinces aboliront toutes leurs entraves et harmoniseront leurs lois et règlements d'ici deux ans. Un enseignant ou une infirmière de Colombie-Britannique pourra librement travailler en Alberta et vice-versa. Les entreprises et les investisseurs seront régis par une réglementation unique, et auront un libre accès aux deux marchés; une entreprise enregistrée en Alberta sera automatiquement considérée comme étant aussi enregistrée en Colombie-Britannique, et vice-versa. C'est clairement la voie de l'avenir.
  14. 12 juin 2007 Montréal est la ville la plus attrayante du monde pour démarrer une entreprise selon une étude réalisée par MasterCard. De fait, trois villes canadiennes - Montréal, Toronto et Vancouver - raflent les trois premières places de cette catégorie de la grande étude sur les centres de commerce mondiaux. Les trois villes canadiennes trônent également au sommet dans la catégorie des villes où il est le plus facile de brasser des affaires. Toronto, Vancouver et Montréal s'échangent les trois premières positions, mais elles monopolisent la tête du classement de la division. Au classement général des 50 villes qui constituent les centres de commerce de l'économie mondiale, Montréal se classe 27e, tout juste devant Vancouver (28e), et derrière Toronto, qui arrive au 12e rang. La performance remarquable des villes canadiennes au chapitre du classement des centres de commerce mondiaux nous rappelle le privilège que nous avons de vivre ici et d'y faire des affaires — Le président de MasterCard Canada, Kevin Stanton. Réalisée par des économistes de renommée mondiale, l'étude a classé les villes selon six critères: Le cadre juridique et politique La stabilité économique La facilité à y faire des affaires Le flux financier Les centres d'activités commerciales La création du savoir et le flux d'information les cinq premières villes du palmarès: Londres New York Tokyo Chicago Hong Kong
  15. Un rendement supérieur aux marchés en 2006 Les gestionnaires du principal bas de laine des Québécois, la Caisse de dépôt et placement, se félicitent, jeudi, d'un rendement annuel moyen de 14,6 % l'an dernier. Cette performance permet à la Caisse de s'afficher dans le premier quartile des grandes caisses de retraite canadiennes pour une troisième année consécutive. En fait, seules 5 % des grandes caisses canadiennes ont atteint le rendement moyen de 13,8 % enregistré au cours des trois dernières années par la Caisse de dépôt et placement du Québec. L'actif net de la Caisse dépasse maintenant les 143 milliards de dollars, en hausse de plus de 21 milliards de dollars par rapport à 2005. De cette dernière somme, 17,8 milliards sont considérés comme des revenus de placement nets. Les 3,5 milliards restants ont été déposés au cours de l'année. Les dirigeants de la Caisse ne commenteront pas les résultats de l'institution en raison de la présente campagne électorale au Québec.
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