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  1. L'expert en investissements Stephen Jarislowsky ne croit pas que la vente de Bell soit une question d'importance nationale susceptible d'avoir des conséquences négatives. Pour en lire plus...
  2. Toronto rafle le paquet… pour Montréal des miettes Serge Joyal, sénateur Où en sommes-nous un an plus tard dans la course au leadership culturel dans laquelle sont engagées Montréal et Toronto? On a beau lever le nez sur Toronto et penser qu’ «on est toujours seul au monde» comme dit la chanson de Starmania, n’empêche que, comme Montréal puise largement aux mêmes sources de financement privées que Toronto, ce que la Ville-Reine siphonne de tous bords pour financer ses sept nouveaux équipements culturels majeurs, c’est autant de moins de disponible pour Montréal. Le marché des fonds privés n’est pas indéfiniment élastique. Qu’on en juge : au total Toronto aura raflé, à ce jour, plus de 565 millions de dollars du secteur privé pour financer le milliard et plus que couteront ses 7 projets d’agrandissement ou de construction de musées, de salles de concert, de spectacles et de Festival. À Montréal, l’an dernier, les 7 institutions culturelles correspondantes auront ramassé en tout et pour tout 25 millions de dollars. Cela ne représente pas plus que 4.5% de ce que Toronto aura recueilli! En fait, parce que Montréal a mis ses priorités ailleurs, dans le cadre du programme d’infrastructures publiques financé par le fédéral, exclusivement dans la réfection de ses égouts et aqueducs (126 millions de plus cette année sur les 270 millions de ce budget, selon l’annonce du 1er juin 2006, dont 35 millions proviennent du transfert fédéral de la taxe d’essence) , elle a laissé, à toutes fins pratiques, le champ libre à Toronto pour rafler à peu près tout du secteur privé et obtenir des commandites et partenariats de compagnies, sociétés et fondations nationales qui ont littéralement pressé le citron au maximum, ne laissant à Montréal que des miettes. J’en veux pour exemple deux contributions majeures, celle de Telus, et celle de Bell Canada, deux entreprises qui ont un large marché au Québec, et dont l’une, Bell Canada, a toujours son siège social à Montréal depuis sa création en 1880. Ainsi, Telus a contribué cette année 10 millions à la construction du nouveau Conservatoire de Musique de Toronto (Projet total de 119 millions) et s’est aussi engagé à recueillir un autre 5 millions auprès de son réseau d’affaires . Dans le même temps, Telus aura donné cette année 20 000 dollars (2 000 dollars l’an dernier) au Musée des beaux arts de Montréal et 25 000 dollars aux Grand Ballets Canadiens. Mais, rien au MAC, au CCA, à l’Opéra de Montréal, ou à l’OSM. Quant à Bell Canada dont le nombre d’abonnés au Québec est toujours élevé depuis des lustres, elle donne 25 000 dollars par année au MBAM (depuis 1998 jusqu’en 2009); jusqu’à l’an dernier, 50 000 dollars par année (2000 à 2005) au MAC; et 21 000 dollars en 2005 aux Grands Ballets. Mais, rien au CCA, rien à l’Opéra de Montréal, ni à l’OSM . Pendant ce temps là, à Toronto, Bell est devenue, jusqu’en 2023, le fournisseur exclusif du nouveau «Festival Centre», ce même centre où se déroulera le Festival du Film de Toronto (devenu le 2ième en importance au monde après Cannes) pour un montant de plusieurs dizaines de millions de dollars, probablement au-delà de 30 millions, si l’on en juge par les annonces diffusées les 1er et 11 septembre 2006 . Ce n’est pas que Bell ou Telus boudent Montréal; c’est Montréal qui n’offre pas à Bell et Telus l’occasion de se manifester en grand, à ce niveau de contribution. En d’autres mots, parce que Toronto s’est donnée un plan stratégique de développement culturel axé sur de grands projets d’infrastructures et d’équipements qui la situeront à la fine pointe des institutions semblables en Amérique, elle a réussi à littéralement écrémer le marché des commandites privées auprès des grandes entreprises canadiennes, même de celles qui sont bien implantées, et ce depuis fort longtemps, dans le marché montréalais. De plus, le gouvernement ontarien fait des pieds et des mains pour obtenir du fédéral 49 millions de plus aux 140 qui ont déjà été versés pour ces 7 projets et leurs fonds de dotation. La faiblesse de notre leadership conjugué, Montréal-Québec-Ottawa, aura fait en sorte que la très grande majorité des fonds disponibles chez les grandes entreprises aura été canalisée vers le financement des équipements culturels de Toronto. Ce manque à gagner pourrait éventuellement être compensé si les entreprises situées au Québec contribuaient au financement de la culture au moins autant que celles actives ailleurs au Canada, en particulier en Ontario. Mais la Chambre de Commerce de Montréal, dans une étude exhaustive publiée en novembre 2005, a fait éclater le mythe voulant que la culture soit une priorité collective au Québec, supportée à sa juste part par les milieux d’affaires. L’étude conclut : «Le Québec se classe bonne dernière parmi les provinces pour l’importance des dons qui sont de petite envergure» (page 8) et plus loin « La tradition de philanthropie est peu développée parmi les entreprises francophones au Québec» (page 9) . On est donc doublement frappé : d’un côté on n’a pas de projets mobilisateurs capables d’aller chercher notre part du gâteau, et de l’autre, les nôtres sont en fait moins intéressés par la culture que leurs vis à vis ailleurs au Canada ! Même les québécois demeurent les moins généreux au pays, selon Statistique Canada . Il y a donc pour nous, d’une certaine façon, «un prix à payer» pour notre manque de vision dans la gestion de la modernisation de nos grands équipements culturels. Qui plus est, le marché de l’art canadien est maintenant concentré pour de bon à Toronto. Depuis, un an, les ventes aux enchères d’art canadien ont totalisé 47.8 millions à Toronto, contre à peine 4 millions à Montréal, soit moins de 10 % ! On a en fait l’impression que depuis un an on fait du sur place, quand on ne s’embourbe pas. Qu’on en juge : 1) L’Opéra de Montréal souffre! la démission du conseil de son principal mécène, M. Hans Black, a coupé les jambes à l’institution. Un différent sur la programmation était à l’origine de la dispute. 2) Le Festival International du Film de Montréal (FIFM) n’a pas eu lieu en 2006. On a passé l’hiver dernier à enquêter sur l’utilisation du million en subvention dépensé l’an dernier qui a produit la faillite que l’on sait. M. Losique, avec son FFM, continue de ramer contre vents et marées, sans un sou des gouvernements de Québec et d’Ottawa. 3) Le Musée d’Art Contemporain a produit un ambitieux projet de 100 millions pour le réaménagement de ses collections d’art moderne au sommet des silos à grain (no 5) désaffectés dans le Vieux-Port. Mais du côté des gouvernements, c’est un silence…de mort. Le MAC est un musée d’état et on connaît la rapidité légendaire des bureaucrates pour fournir des réponses qui permettraient d’enclencher à court terme le projet. On s’en reparlera dans… 4) Le MBAM se débat comme un beau diable pour concevoir un projet d’agrandissement qui lui permettra de prendre tout le potentiel que ses dirigeants dynamiques sont en mesure de lui inculquer. 5) Les gouvernements provincial et municipal et les représentants de l’OSM ont bien annoncé à la fin de juin un PPP de 105 millions pour la construction d’une nouvelle salle sur le site de la Place des Arts mais personne ne connaît encore l’identité de l’entreprise du secteur privé qui soit preneur, et la date d’ouverture en est reportée en 2011 ! Vous avez bien lu, d’ici ce temps-là on aura eu quelques élections municipales, provinciales et fédérales. On a d’ailleurs déjà eu cette annonce du gouvernement précédent… 6) Le quartier des spectacles avance…à pas de tortue. L’annonce d’une contribution par la Ville en novembre est opportune, mais ne fait pas oublier que le manque de financement de d’autres sources que les fonds publics empêchera le plan global de se réaliser. En fait, de puis un an, on s’est plus appliqué à faire un faux débat public en prétextant opposer le «béton à la création», comme si on pouvait isoler les institutions et le support qu’elles apportent à la définition de l’excellence et au relèvement de la qualité, et du statut des créateurs. C’est un faux argument qui ne résiste pas à l’analyse. Les chiffres révélés par Statistique Canada le printemps dernier démontrent, on ne peut plus clairement, qu’à Montréal les artistes sont moins bien rémunérés qu’à Toronto, soit en moyenne 26 245$ par année comparativement à 34 139$ (le revenu le plus élevé au pays). Malgré tous les beaux discours sur la création et la priorité qu’on est censé faire de l’aide aux artistes, les chiffres ne mentent pas : ils ont encore à se débattre avec un salaire de pitance. Même plus, le gouvernement de M. Harper a coupé de moitié l’annonce des 300 millions de plus au budget du Conseil des arts du Canada qu’avait réussi à obtenir Lisa Frulla l’an dernier. L’argument souvent répété que le Québec dépense plus en moyenne que les autres provinces, pour la culture, lui aussi en prend un coup. En fait, en dépenses culturelles, Québec est devancé par la Saskatchewan, et dépense à peine 1% de plus que le Manitoba. Ce qui permet en fait au Québec de figurer en tête du peloton pour les dépenses publiques en culture, c’est le fait que le fédéral dépense plus au Québec que le Québec lui-même (156 millions contre 153) et que nulle part ailleurs au Canada (c’est 119 millions en Ontario) . On peut bien continuer de se bercer d’illusions, d’entretenir le mythe que la culture est une priorité au Québec, que tout est mis en œuvre pour garantir son développement, et notre capacité commune à en faire un élément distinctif de notre rapport au monde et à la civilisation, mais c’est un mythe qui malheureusement ne survit pas au test de l’analyse toute crue. Où en serons-nous dans sept mois, à l’aube du Sommet sur la Culture attendu à l’automne 2007? Nous contenterons-nous d’ergoter sur les priorités de l’an 2015? A qui chercherons-nous alors à faire porter la faute quand on regardera avec envie ce que nos voisins auront accompli et la profondeur du « déficit culturel » qu’il nous faudra combler? Où se situe vraiment la culture entre un Québec lucide, et un Québec solidaire?
  3. Campus Corporatif Bell Architectes: ? Fin de la construction:2008 Utilisation: Bureaux Emplacement: île-des-Soeurs, Montréal ? mètres - 8 étages
  4. steve_36

    La boxe

    C'était déjà remarquable que peu importait l'issu du match on savait que ça serait un québécois qui allait etre champion. Pour la première fois, à ce qu'ils disent, deux québécois s'affrontaient pour un championnat du monde et le tout se passait à Montréal meme, en direct partout aux USA et au Canada. Montréal et le Centre Bell furent le théatre d'un autre grand moment sportif ce soir. Un combat de boxe époustouflant et enlevant comme j'en ai rarement vu. Ça me rappelait les grands combats Hilton-Ouellet et Marcotte-Melo. En effet ce n'est pas la première fois que Montréal se hisse au rang de champion avec un spectacle de grande envergure mais ce soir il faut avouer que la ''bagarre de rue'' entre deux athlètes formidables était incroyable. Bravo à Adrian Diaconu et à Jean Pascal pour une performance hors norme, digne des grands champions. Sans aucun doute cet évènement peut faire oublier la F1 ou la défaite du canadien en ronde préliminaire ou la défaite de l'Impact. Comme dirait Rodger Brulotte, Incroyable, Incroyable, Incroyaaaaaaaable !!! Montréal....qui vient nous chercher lorsqu'on s'en attend le moins....en toute spontanéité !!! Montréal la surprenante !!! Ça aussi c'est Montréal !!!
  5. Internet: dérapage à haute vitesse? Le Devoir Fabien Deglise Édition du mardi 09 juin 2009 Mots clés : CRTC, Internet, Bell, Consommateur, Canada (Pays) Des fournisseurs d'Internet demandent au CRTC de rappeler Bell à l'ordre Le réseau Internet au pays ne va pas très vite. Et Bell Canada y serait un peu pour quelque chose, prétend l'Association canadienne des fournisseurs Internet (ACFI) qui demande au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) d'intervenir. Comment? En interdisant au géant de la téléphonie «d'interférer» sciemment sur la vitesse de transmission des données, aux dépens des fournisseurs indépendants d'accès à Internet. Le regroupement de petits fournisseurs n'en démord pas. Le CRTC doit contraindre Bell Canada à mettre fin au ralentissement de son service Internet imposé sur l'ensemble de son réseau pendant les heures de pointe, soit entre 16h30 et 2h, tous les jours. Cette mesure, techniquement appelée «lissage du trafic», vise à dissuader l'échange de fichiers sonores et vidéo volumineux durant cette plage horaire, et ce, afin de prévenir l'engorgement des «tuyaux» servant à la transmission de données numériques. Le hic, c'est que les fournisseurs d'accès Internet (FAI) indépendants en font également les frais, à leur corps défendant, puisque leur offre de branchement passe en partie par les installations de Bell Canada et son service de ligne numérique à paires asymétriques de gros, comme on dit dans le milieu, loué par les FAI. Et ils demandent aujourd'hui à Ottawa de sévir. Un premier échec «La situation n'est pas nouvelle, clame Tom Copeland, président de l'Association, joint hier au téléphone par Le Devoir, mais depuis six mois, ça devient pire. On a l'impression que Bell veut réduire et éliminer les indépendants du paysage. Et on ne peut pas rester là, sans rien dire.» L'an dernier, l'ACFI s'est tournée vers le CRTC afin que cesse cette histoire de lissage. L'organisme fédéral a toutefois rejeté la plainte déposée par le regroupement contre Bell, estimant que les pratiques de ralentissement ne contrevenaient pas à la loi. C'était en novembre dernier. «Le CRTC a pris une très bonne décision», a indiqué hier Jacques Bouchard, porte-parole de Bell Canada qui justifie sa «gestion du trafic» pour «assurer un service optimal à la majorité des consommateurs.» Tom Copeland n'est pas du même avis et demande désormais au Conseil de revenir sur cette décision qui «a donné carte blanche à Bell pour interférer avec les services que nous fournissons à nos clients», dit-il. Une interférence qui dépasse d'ailleurs le lissage de trafic, selon lui. «Actuellement, Bell offre à ses clients la possibilité d'accéder à Internet à des vitesses plus élevées [soit cinq à huit fois plus vite que le service traditionnel], poursuit-il. Mais ces vitesses, nous ne pouvons pas les offrir à nos clients, puisque Bell ne veut pas les rendre disponibles dans son service d'accès Internet en gros.» Pour l'entreprise, la raison est purement technique, Bell ne pouvant pas partager ces liens un peu plus rapides avec d'autres, indique M. Bouchard. Un argument fallacieux, dénonce M. Copeland qui parle plutôt d'une tentative de réduire la concurrence au silence. L'homme attend d'ailleurs avec impatience la tenue d'audiences publiques sur la gestion du trafic Internet proposée par le CRTC. La rencontre doit avoir lieu le 6 juillet prochain à Gatineau. Le lissage tout comme le retard technologique du Canada en matière d'accès à une bande passante ultrarapide devraient y être mis au menu. http://www.ledevoir.com/2009/06/09/254101.html
  6. Voila quelque photos de mon périple en Australie, cette fois ci la ville de Perth. Le centre ville piéton (vraiment semblable à toute les villes australienne) Gare centrale Perth la nuit depuis le jardin botanique Perth depuis l'autre rive du fleuve Swan The bell Tower Transport en commun très agréable à Perth (bus moderne avec air conditionné, et gratuit sur le centre ville)
  7. Le président du Canadien de Montréal, Pierre Boivin, confirme à La Presse que la famille Gillett, propriétaire de l'équipe et du Centre Bell, réévalue sa stratégie financière. Pour en lire plus...
  8. Le Canadien s’implante à Brossard Cyberpresse, PC Les joueurs du Canadien s’entraîneront sous peu de façon permanente dans complexe spécialement aménagé pour l’équipe à Brossard, sur la rive sud de Montréal. Le président du Canadien, Pierre Boivin, en fera l’annonce ce midi, en compagnie du maire de Brossard, Jean-Marc Pelletier. Il s’agit pour le Tricolore de faciliter le quotidien des joueurs et de son personnel de soutien. Les bureaux de l'équipe demeureraient toutefois au Centre Bell, dans le centre-ville de Montréal. En raison de la forte utilisation du Centre Bell, le Canadien doit fréquenter d’autres sites d'entraînement : l'Aréna Martin-Lapointe, dans l'arrondissement Lachine, les Complexes Quatre-Glaces de Brossard et Pierrefonds ainsi que l'Auditorium de Verdun.
  9. Bell Canada acquiert le détaillant de produits électroniques La Source, augmentant ainsi son réseau de vente de 750 magasins. Pour en lire plus...
  10. L'entreprise de Mirabel annonce la mise à pied de 500 employés pour une période de trois mois. Pour en lire plus...
  11. La compagnie veut encore abaisser ses coûts et devenir concurrentielle et cette fois, elle offre la retraite à 1500 de ses employés syndiqués. Pour en lire plus...
  12. La société de téléphonie a annoncé lundi la mise à pied de 500 cadres afin d'améliorer sa rentabilité. Pour en lire plus...
  13. Québec préfère Telus à Bell 10 janvier 2009 - 10h42 La Presse Maxime Bergeron Le gouvernement québécois vient d'infliger toute une gifle à Bell Canada en octroyant à sa concurrente Telus un contrat de presque 1 milliard de dollars qui couvrira une bonne partie des besoins de télécommunications de l'État. Québec a lancé un appel d'offres en avril dernier pour faire migrer deux réseaux de transport de données vers un seul. Après une analyse des deux seules candidatures reçues - celles de Bell et Telus -, le ministère des Services gouvernementaux (MSG) a jugé que l'entreprise de Vancouver était plus qualifiée que sa contrepartie montréalaise pour réaliser ce mandat. «C'est Telus qui présente la meilleure proposition», a résumé Jacques Duval, porte-parole du MSG, pendant un entretien téléphonique. Le contrat s'étalera sur 5 ou 10 ans et procurera jusqu'à 923 millions à Telus. Bell, qui perd un important mandat dont il avait la charge depuis 1989, s'est engagé à collaborer pour assurer une période de transition de deux ans. Le nouveau mégaréseau desservira 160 ministères et organismes provinciaux de même que 350 établissements du secteur de la santé. Telus installera dans un premier temps tous les équipements nécessaires, puis gérera le système. Ce réseau constitue un «très gros morceau» dans l'infra-structure de télécommunications de l'État québécois, a indiqué Jacques Duval. Et il sera de plus en plus utilisé, au fur et à mesure que les besoins en bande passante augmenteront. Le transfert électronique de photos médicales, par exemple, requiert beaucoup de puissance, a-t-il expliqué. Contrat historique Chez Telus, dont le siège social québécois est situé à Rimouski, on jubilait hier. Il s'agit là d'une victoire majeure pour l'entreprise de l'Ouest canadien, qui vient décrocher un mandat de taille dans l'arrière-cour de Bell Canada. «Je peux affirmer sans l'ombre d'un doute que c'est le plus gros contrat de notre histoire», a dit Stacey Masson, porte-parole de Telus au Québec. Telus affirme que l'attribution de ce contrat n'est lié à aucune promesse de création d'emplois ou d'investissements supplémentaires au Québec, où le groupe compte environ 5000 employés. «Pas besoin de faire de promesses parce que, dans le fond, on n'aura pas le choix: on va engager au moins 200 personnes pour les besoins du contrat, surtout à Québec», a soutenu Mme Masson. C'est Nathalie Normandeau, vice-première ministre du Québec, qui a confirmé le retrait du contrat à Bell avant-hier en répondant à la question d'un journaliste en Gaspésie. Radio-Canada a diffusé la nouvelle jeudi soir. Mme Normandeau a refusé d'accorder une entrevue à La Presse Affaires hier pour donner plus de détails. Son attachée de presse nous a dirigé vers la ministre des Services gouvernementaux, Dominique Vien, qui a elle aussi refusé de nous parler. L'appel d'offres a été géré au gouvernement sans intervention du politique, a fait valoir le porte-parole de Mme Vien pour justifier ce refus. Au MSG, Jacques Duval a expliqué que les deux entreprises ont présenté leurs soumissions après avoir lu un devis technique de plusieurs centaines de pages. En gros, il s'agissait de répondre le mieux possible aux besoins de l'État «en matière de sécurité, de robustesse et de capacité du réseau», a-t-il dit. Ce que Telus aurait mieux fait que Bell. Déception La perte de cet important contrat a été reçue comme une «déception» à Bell Canada, un mois à peine après l'échec du rachat de l'entreprise par Teachers' pour 52 milliards. Le porte-parole Jacques Bouchard s'est toutefois employé à en relativiser l'ampleur. «On continue d'être un bon fournisseur du gouvernement et on va tout faire pour ravoir le contrat.» Le conglomérat montréalais gère notamment 28 000 lignes téléphoniques de l'État, un contrat de 70 millions de dollars. Aussi, Bell touchera des redevances de Telus au cours des prochaines années puisque l'entreprise de Vancouver utilisera une partie de son réseau pour réaliser son nouveau contrat, a souligné M. Bouchard, sans les quantifier. La nouvelle a malgré tout pesé sur le moral de certains employés, hier. «C'est une autre tuile qui nous tombe sur la tête, a confié un responsable des réseaux sous le couvert de l'anonymat. Le climat est à la déception et à l'incertitude, surtout dans le contexte économique actuel.» Les travailleurs craignent de nouveaux licenciements, après les vagues de compressions des derniers mois, ce que Bell exclut pour l'instant. «Mais le pire dans tout ça, c'est que ça vient confirmer que Bell a perdu son statut de chef de file», a ajouté l'employé. Bataille à venir Selon Amit Kaminer, analyste en télécoms au SeaBoard Group, les péripéties qui ont entouré le rachat avorté de Bell Canada Entreprises par Teachers' ont probablement déconcentré l'entreprise au cours des 18 derniers mois. «Bell est une société en transition, en changement de rapport, a-t-il avancé. Mais quand on change de vitesse dans une voiture, il y a toujours un moment où les roues ne répondent plus au moteur. Telus a vu ce moment et en a profité.» La perte de ce contrat viendra faire grimper d'un cran la concurrence entre les deux géants, croit M. Kaminer. «Tous les coups sont maintenant permis. Maintenant que Telus a été capable de lui arracher ce contrat, je crois que Bell sera plus combative aussi dans les territoires de Telus.» Le titre de BCE a clôturé à 24,32$ hier à la Bourse de Toronto, en baisse de 1,3%, et celui de Telus a fini à 35,13$, en hausse de 0,5%.
  14. Le gouvernement québécois vient d'infliger toute une gifle à Bell Canada en octroyant à sa concurrente Telus un contrat de presque 1 milliard de dollars qui couvrira une bonne partie des besoins de télécommunications de l'État. Pour en lire plus...
  15. BCE doit-elle vite réconforter ses actionnaires frustrés de l'avortement d'une riche transaction ? Ou plutôt, rehausser la compétitivité de sa filiale Bell Canada en investissant massivement dans ses réseaux de télécoms ? Pour en lire plus...
  16. Le régime de retraite des enseignants ontariens a gagné son pari avec BCE en la rendant plus concurrentielle, dit l'analyste Amit Kaminer, du SeaBoard Group. Pour en lire plus...
  17. La nouvelle est douloureuse pour les actionnaires et les employés de Bell. Mais pour les gestionnaires de portefeuille, ironiquement, Bell Canada redevient une occasion d'achat en Bourse. Pour en lire plus...
  18. Comme le veut la «tradition», l'offre d'achat menacée de BCE marque un retour des facteurs fondamentaux pour l'évaluation de son titre en Bourse. Pour en lire plus...
  19. Raccrochera, raccrochera pas? Le plus gros rachat d’entreprise de l’histoire au Canada, celui de BCE, société mère de Bell Canada, est en péril plus que jamais auparavant. Pour en lire plus...
  20. L'action de BCE s'écroule, la privatisation menacée 26 novembre 2008 - 09h51 LaPresseAffaires.com Michel Munger La privatisation du géant des télécoms BCE (BCE) risque de ne pas se produire pour des questions de solvabilité et son action s'écroule en Bourse. Le titre fondait de 36,7% à 24,28 $ au TSX. Ce matin, la firme comptable KPMG jette une douche d'eau froide en questionnant la solvabilité ultérieure de Bell. La firme invoque, dans un avis préliminaire, les conditions actuelles du marché et le niveau d'endettement entraîné par la transaction pour ne pas remettre un avis favorable avant le 11 décembre, date prévue pour la conclure. KPMG doute qu'une fois privatisée, BCE puisse satisfaire aux tests de solvabilité définis dans l'entente de rachat. C'est une condition incontournable pour que la transaction soit effectuée selon les modalités acceptées par Teachers'. Rappelons que Bell devait être rachetée par le régime de retraite des enseignants ontariens Teachers' pour 52 G$. Sur ce montant, une trentaine de milliards doit provenir d'emprunts sur le marché du crédit. George Cope, grand patron de Bell, a manifesté son mécontentement en faisant l'annonce. «BCE bénéficie aujourd'hui de cotes de crédit de qualité, compte 2,8 G$ d'encaisse disponible, a peu d'échéances de titres d'emprunt à moyen terme et continue d'enregistrer de solides résultats d'exploitation.» «Nous sommes déçus de l'avis préliminaire de KPMG sur la solvabilité post-transaction, qui se fonde sur plusieurs hypothèses et méthodologies que nous examinons actuellement», ajoute Siim Vanaselja, chef des affaires financières de BCE. «L'entreprise ne partage pas l'avis selon lequel l'ajout de l'endettement de l'acquisition avec effet de levier ferait en sorte que BCE ne satisferait pas à la définition technique de solvabilité», dit M. Vanaselja.
  21. Bell qui pleure, Vidéotron qui rit * Jérôme Plantevin, Journal LesAffaires * 24 août 2008 Si Bell en arrache, son principal rival québécois, Vidéotron, a le vent dans les voiles. Il n'y a pas si longtemps, le câblodistributeur était mal aimé. Mais, en cinq ans, il a réussi à renverser la situation. "On est loin du Vidéotron qui s'attirait de la mauvaise presse en mettant ses employés en lock-out", reconnaît Iain Grant, analyste en télécommunications au SeaBoard Group. Depuis la fin de ce confilt de travail, en 2003, la croissance de l'entreprise est au rendez-vous : ses revenus annuels sont passés de 862,8 millions de dollars à 1,55 milliard en 2007. Le nombre d'employés a explosé, passant de 2 300 à 4 000 aujourd'hui. C'est sans compter les 875 postes que le câblodistributeur cherche à combler. Quel est le secret de Vidéotron ? "Sa direction", répond Iain Grant. Selon l'analyste. le président et chef de la direction de Vidéotron depuis juin 2003, Robert Dépatie, a réussi son plan de redressement. "Il faut reconnaître la valeur des employés qui, malgré le lock-out, ont adhéré au plan de M. Dépatie." Le virage opéré par M. Dépatie, son équipe et ses employés a été profond. "Nous avons changé notre structure et notre mentalité. Cela nous a donné une flexibilité opérationnelle accrue", explique Isabelle Dessureault, vice-résidente, affaires corporatives, du câblodistributeur. "Nous avons réduit les niveaux décisionnels, pour que moins de gens soient impliqués dans la prise de décisions. Nous avons également fait appel à des sous-traitants, poursuit Mme Dessureault. Nous avons mis fin au travail "en silo". Désormais, chaque division partage des services communs comme le service à la clientèle ou l'équipe technique." De plus, Vidéotron a beaucoup investi dans ces centres d'appels ainsi que dans la formation de ses techniciens et préposés, selon Mme Dessureault. Cela a réduit le temps d'attente des clients au téléphone. "Nous avons tout fait pour suivre le niveau de satisfaction de notre clientèle au jour le jour avec la mise en place d'indicateurs divers comme la courtoisie et la qualité des explications fournies par le technicien ou par le préposé au centre d'appels." L'entreprise a offert un bouquet complet de services résidentiels de télécommunications, le fameux four-play offert par un seul fournisseur qui agit comme guichet unique et n'envoie qu'une seule facture. La technologie utilisée par Vidéotron, le câble, nécessite moins d'investissements que les fils de cuivre de Bell pour fournir à grande échelle de hautes vitesses Internet. En téléphonie, les règles imposées à Bell par le CRTC ont permis à Vidéotron de pénétrer rapidement le marché sans que Bell contre-attaque immédiatement au niveau des prix.
  22. Des investissements de 70 millions créeront 200 emplois au Québec La Presse canadienne Édition du mercredi 16 juillet 2008 Farnbourough -- Les compagnies RTI Claro, LISI Aéronautique Canada et un consortium comprenant Bombardier, Bell Helicopter et Composites Atlantic ont profité de la vitrine qu'est le Salon de Farnborough pour annoncer des investissements de plus 70 millions et la création d'environ 200 emplois au Québec. Au stand du Québec, le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, a de son côté annoncé que son gouvernement allait fournir un appui financier à tous «ces projets structurants». Expansion RTI Claro recevra ainsi 1 million pour soutenir son projet d'expansion de 13,5 millions. La firme de Laval qui fabrique des pièces en alliage de titane compte acquérir de nouveaux équipements afin d'augmenter sa capacité de production. Une cinquantaine de nouveaux emplois devraient être créés avec cette expansion. «On espère être en place avec le nouvel équipement et la nouvelle structure d'ici la fin de l'année», a précisé Francisco Vega, directeur du développement d'affaires de la compagnie. La filiale québécoise de l'entreprise LISI Aerospace a quant à elle obtenu un prêt de 1,9 million du gouvernement dans le cadre d'un investissement total de 10 millions. Elle souhaite elle aussi augmenter sa capacité de production. La compagnie qui fabrique des pièces pour l'aéronautique compte créer 150 emplois sur quatre ans. Recherche De leur côté, Bombardier, Bell Helicopter et Composites Atlantic se sont réjouis d'avoir obtenu neuf millions en crédits d'impôt pour un projet de recherche de pointe en partenariat avec le Centre national de recherche canadien (CNRC). «Cette aide nous permet d'accélérer la recherche», a précisé Jacques Saint-Laurent, président de Bell Helicopter. Aussi, ce type de collaboration permet de «combler la distance qui existait entre les recherches universitaires et le développement industriel», a-t-il poursuivi. «Pour des questions stratégiques», il s'est toutefois fait discret sur le contenu exacte de ces recherches dont la valeur totale s'élève à 47 millions. Il s'agit, en gros, de recherches sur les pièces qui servent à former la structure des avions et des hélicoptères. «Il peut s'agir d'études sur de nouveaux matériaux, par exemple», a précisé un proche du dossier. Cinquante chercheurs provenant des trois entreprises et de l'Institut de recherche aérospatiale du CNRC participent à ce projet actuellement. «Ils sont tous basés dans la région de Montréal. C'est très facile pour eux de communiquer ou de se rencontrer», a souligné Jacques Saint-Laurent.
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  24. Dell veut conquérir le Québec 16 novembre 2007 - 13h54 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Agrandir Paul Bell, à gauche, officialise un partenariat avec Bassam Sabbagh de Bombardier. Foi de Paul Bell, président des Amériques de Dell (DELL) , le marché québécois est essentiel pour le fabricant d’ordinateurs. On ne pourrait le contredire, lui qui se pointe à l’entrevue avec à la main... un chandail du Canadien de Montréal qu’on vient de lui donner. Est-il un partisan des Glorieux ? La réponse vient, pas tellement diplomate dans le pays de Bob Gainey. «En fait, j’ai habité pendant quelques années à Philadelphie, donc je suis un partisan des Flyers», dit-il. Sourire crispé du côté du vice-président, Lawrence Pentland. «Nous allons lui faire connaître votre équipe», assure M. Pentland. On lui pardonnera volontiers cette petite hérésie lorsqu’on constate le français impeccable de Monsieur le président. Pas mal pour un homme habitant la très sudiste Austin au Texas. «Je suis né en Tunisie et j’ai habité pendant ma jeunesse à Marseille», précise-t-il. Facile alors de comprendre pourquoi Michael Dell, président de l’entreprise l’a choisi pour diriger la section des Amériques. Et par le fait même, augmenter leur part de marché au Québec. Car ils le savent, en affaires, la langue demeure une donnée essentielle. Reculons de cinq ans. Le numéro deux mondial du marché des ordinateurs PC n’a pas beaucoup d’entrées au Québec. Les ventes ne sont pas à la hauteur, à la traîne de celles dans le Canada anglais. Des efforts ont été investis depuis, selon Paul Bell. «Il y a 6 ou 7 ans, le marché québécois n’était pas assez développé. Il n’y avait pas beaucoup de personnes qui y travaillaient», dit-il. Aujourd’hui, il y a 60 employés au service de Dell dans la province. Un chiffre bien mince toutefois quand on les compare aux 1300 employés à Edmonton, 1300 à Ottawa ou les 900 à Toronto. Tout de même, le président est positif. «Notre présence s’est accentuée au Québec. Maintenant, nos parts de marché sont équivalentes à celles au Canada», assure-t-il. Pour preuve, les annonces de partenariats s’accumulent avec des géants québécois. Hydro-Québec, Université de Sherbrooke et Bombardier… D’ailleurs, la venue de Paul Bell au Québec n’est pas un hasard. Le géant des ordinateurs vient signer dans la capitale de l’aéronautique un contrat avec Bombardier. Un partenariat qui permettra à chacun des avions Challenger 605 de l’avionneur montréalais d’être équipée d’un ordinateur bloc-notes Dell Latitude. «Nous avons développé ce produit pour leurs besoins internes et de maintenance», souligne M. Bell. Autre preuve de l’engouement du fabricant d’ordinateurs pour notre marché : le président Michael Dell sera à Montréal en février prochain pour une conférence de La Boule de cristal du CRIM avec notamment l’écologiste David Suzuki. Selon l’entreprise, Dell se retrouve au deuxième rang pour la vente des PC de bureau et de bloc-notes au Canada avec tout près de 20% du marché. En premier, le commercial Pour Dell, ce n’est pas un secret, c’est le secteur commercial qui prime. C’est là qu’ils font des affaires d’or. Le marché des ordinateurs personnels ne représente que 10 à 15% de leurs ventes. D’ailleurs, Dell est premier dans ce secteur au Canada et aux États-Unis. Et les PME demeurent une grande priorité pour l’entreprise. «Pour ces petites et moyennes entreprises, il est facile pour eux de contacter Dell, c’est rapide et par téléphone», assure M. Bell. L’entreprise mise sur la proximité et sur la simplicité. «Chez nous, c’est plus simple, moins coûteux, plus rapide», assure-t-il. Ce qui ne veut pas dire pour autant que le marché des ordinateurs personnels ait été largué par Dell. «Les gens aiment faire leur achat en ligne, mais ils veulent avoir l’occasion de voir nos produits dans les étalages, ce que nous faisons de plus en plus», dit le président. «Aussi, nous voulons mettre le paquet sur le design de nos PC», continue-t-il. C’est d’ailleurs sur sa vedette, le XPS, que Dell met plusieurs de ses billes. Selon l’entreprise, le XPS est le portable est le plus mince du marché. Le consommateur peut l’obtenir avec la couleur qu’il désire, à son goût. Véritablement, la valeur sûre de Dell pour jouer dans les plates-bandes des autres joueurs majeurs dont Hewlett-Packard. À la bourse, l’action de Dell, inscrite au Nasdaq, est en hausse continuelle depuis mars dernier, une augmentation de 18%. Ce qui réjouit Paul Bell. «Les investisseurs doivent savoir que Dell existe depuis maintenant 23 ans. On a fait des acquisitions, des changements dans la structure, et ils peuvent voir que ça paye», soutient M. Bell. Toutefois, depuis novembre, l’action a perdu 14% de sa valeur. Vendredi, en milieu de journée, l’action était en baisse de 44 cents à 26,39$.
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