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  1. Un autre série d'immeuble qu'on pourrait qualifier de "taudis"... Mais au moins, il y a du changement qui s'en vient .... Il y avait d'autres immeuble du même ensemble dont les travaux étaient un peu plus avancés près de Jarry, mais je pouvais pas m'arrêter.
  2. Un autre petit projet à St-Henri. Et à ce que je peux voir ça se vend très bien donc on peut s'attendre à en voir davantage. Celui-ci comporte deux phases. Je ne savais pas, lors de ma visite, qu'il y avait deux phases dont j'ai pris une photo de la phase en conctruction et je crois que c'est la deuxième phase. http://www.groupevistacorp.com/projets-condo/Le-St-philippe-Phase-2.html?ProjetID=79
  3. http://www.journalmetro.com/plus/article/1020439 I still haven't tried out his first restaurant, seeing it is complicated to get a reservation. He has an interesting way to do business that is for sure. I bet this place will be as hard to get a reservation, as his previous place Guess I will just stick to trying out the 3 restaurants that were in Enroute top 10 new restaurants in Canada.
  4. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/09/20110919-190854.html More and more stories like these will probably be coming out this year and the next. I can't wait for this to blow up in their face. Revenu Quebec has some of the dumbest people working there. One person says one thing and another person says another. So one never really knows who or what law really applies for anything. All they do is give out disinformation and will stop at nothing to ruin good people lives. I really cant go into detail about other things I know, seeing I don't want more heat from the government. The government sees everyone as corrupt, but it is the institution that is truly corrupt. There are certain loopholes in the tax law people do not know about, some do but many people do not. People need to find out about one of the major loopholes in the tax laws here in Quebec, so they better protect them self from being stabbed in the back.
  5. Je croyais qu'on avait un fil sur ce petit projet mais si c'est le cas excuser moi du dédoublement. Sinon, voilà un autre petit projet de 3 étages tout près du LDV (Leonardo Da Vinci) dans le quartier St-Michel entre Jean-talon et le Métropolitain. Rien de spécial mais les trous se bouchent dans ce coin. http://www.mondev.ca/condo-montreal-entre-139900-et-217700-le-everett-50-pc-vendu-livraison-juillet-2011-_fr.html?ProjetID=103
  6. Projet en construction ou il y avait le réveil-matin (et la grande murale de cigarette Old Chum) Il s'agirait d'un édifice de 2 ou 3 étages comprenant un Trois Brasseur et un Starbucks.
  7. J'espère qu'il n'y avait pas déjà un sujet sur ces rénovations... Il semble que l'hôtel Hyatt soit en train d'effectuer des rénovations. Pas grand chose à voir pour le moment: Par contre, la palissade affiche un slogan intéressant:
  8. Pas de train haute vitesse entre Montréal et New York 12 octobre 2007 - 07h09 Presse Canadienne Au moment où il lance un grand chantier de renouvellement des infrastructures, le gouvernement du Québec renonce au projet de train rapide entre Montréal et New York, un méga-projet d'au moins 4 milliards $. Cliquez pour en savoir plus : Transport ferroviaire | Chef de l'état | Jean Charest | Eliot Spitzer | Québec-New York Le projet, qui flotte dans l'air depuis des années, n'est plus dans les cartons du gouvernement et ne fera pas partie des échanges tenus vendredi, à New York, entre le premier ministre Jean Charest et le gouverneur de l'État de New York, Eliot Spitzer. Pourtant, en octobre 2005, à Albany, lors du dernier sommet Québec-New York, le gouverneur de l'époque, George Pataki, et le premier ministre Charest avaient clairement dit que l'idée d'un lien ferroviaire haute vitesse entre l'État de New York et le Québec était hissée au rang de «projet» à réaliser à court terme. Les deux hommes s'étaient engagés à tout mettre en oeuvre pour que le projet se réalise. Aux yeux de M. Charest, ce projet constituait un «symbole fort et puissant» des liens qui unissent les deux voisins, et un moyen de plus de réduire les émissions de gaz à effet de serre, par la promotion du transport en commun. Or, deux ans plus tard, le dossier n'a pas bougé. Dorénavant, au ministère des Transports, plus modestement, on mise plutôt sur l'amélioration des infrastructures actuelles, ont indiqué plusieurs sources gouvernementales au cours des derniers jours à La Presse Canadienne. Si ce projet était devenu réalité, les passagers auraient pu faire le trajet Montréal-New York en quatre heures à peine, au lieu de 10 actuellement. Certaines évaluations fixaient à 500 000, voire 700 000, le nombre additionnel de voyageurs intéressés à faire la navette entre les deux villes, si un tel train à haute vitesse avait vu le jour. En 2004, une étude de préfaisabilité, menée par le New York State Department of Transportation et Transports Québec, avait fixé à 4 milliards $ US le coût de réalisation du projet, uniquement pour la construction des voies ferrées sur 613 kilomètres, dont seulement 77 au Québec. Les Américains auraient donc dû assumer la plus grande partie de la facture, soit au moins 4 milliards $, sans compter les wagons et locomotives. Le train de passagers, qui aurait roulé à 240 km/h, nécessitait la construction de plusieurs ponts et tunnels dans les Adirondacks, d'où un coût élevé. Pour Québec, la facture des voies ferrées était évaluée à 110 M$. À l'époque, en 2005, le ministre fédéral des Transports, Jean Lapierre, s'était montré prêt à envisager un financement d'Ottawa pour la portion canadienne du trajet. Mais à l'automne 2006, Ottawa avait refroidi les ardeurs de Québec, alors que le ministre Lawrence Cannon jugeait que le projet n'était pas rentable. Électricité à vendre Vendredi, à New York, après avoir prononcé une allocution devant 400 gens d'affaires, le premier ministre Charest rencontrera pour la première fois le nouveau gouverneur de l'État, Eliot Spitzer. Au cours des derniers mois, M. Spitzer a rendu publiques ses priorités en matière de transport, mais le train rapide New York-Montréal n'en fait pas partie. Même si plusieurs sujets sont à l'ordre du jour de la rencontre, il est clair que la vente d'hydroélectricité au voisin du sud arrive au premier rang des priorités du Québec dans ses relations avec New York. «Nous, on peut faire de l'argent et en même temps on aide l'environnement», a résumé le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, lors d'un entretien téléphonique jeudi. Québec plaidera aussi pour assurer la fluidité du corridor de commerce entre les deux États. Les dossiers d'environnement et de sécurité seront aussi à l'agenda, de même que la tenue souhaitée d'un quatrième sommet Québec-New York. Les trois premiers ont eu lieu en 2002, 2004 et 2005. L'État de New York est le principal partenaire commercial du Québec aux États-Unis. En 2006, la valeur totale des échanges commerciaux a atteint 10,2 milliards $. Un sommet avait été atteint en 2000, avec 14,1 milliards $ d'échanges.
  9. Dans le cadre de l'éventuelle tenue de l'Exposition Universelle de 1897 à Montréal, un certain Mainville avait proposé ce projet (bien avant Drapeau, héhéhé!!!).
  10. Je me suis rendu compte de ce développement en marchant l'autre jour. Je me souviens plus du nom, ou même s'il y en a un. C'est assez impressionnant. Le projet se situe entre la rue Saint-Grégoire et la rail de chemin de fer entre les rues De la Roche et Marquette. Il compte une quinzaine de blocs appartements, des prolongements de rues et plusieurs cours intérieures. Je me demande depuis combien de temps que ce chantier est entrepris, mais il semble y avoir plusieurs phases. Je crois qu'il y avait 2 immeubles encore en construction et un terrain en construction de fondations. Le projet se fait véritablement depuis l'est et s'en va vers l'ouest... Si vous en savez plus que moi, aidez-moi! Merci
  11. lundi 10 décembre 2007 Le Cinéma Beaubien, dans le quartier Rosemont-Petite-Patrie, héritera de deux salles supplémentaires, qui devraient être inaugurées à l'automne 2008, a appris Le Devoir de source sûre. L'une comptera 50 sièges, la seconde 90. Ces deux salles, au second étage de l'immeuble, accessibles par ascenseur et escalier, seront localisées dans les anciens bureaux occupés jusqu'à l'an dernier par le Groupe Popcorn. Le Cinéma Beaubien gérait déjà trois salles au rez-de-chaussée. Le projet comporte également une rénovation générale de ces aires d'origine: de nouveaux fauteuils et la climatisation du hall modifiée pour mieux répondre aux normes. Aujourd'hui, la Fiducie du Chantier de l'économie sociale, qui investit en capitalisation dans le projet (sans remboursement de capital), annoncera la nouvelle du chantier en conférence de presse, en précisant quelles sommes seront versées dans l'aventure. La Corporation du cinéma Beaubien, propriétaire de l'édifice, absorbera la différence. Rappelons que le Cinéma Beaubien, ancienne propriété de Cineplex Odéon, alors appelé Dauphin, avait failli fermer ses portes, quand la chaîne avait périclité au début du millénaire. Repris en septembre 2001 par la Corporation du Cinéma Beaubien, une entreprise d'économie sociale, sous la direction générale de Mario Fortin, celle-ci a su prouver qu'un cinéma de quartier, présentant des oeuvres de qualité, pouvait être populaire et rentable. À l'origine, une somme de 1,2 million de dollars avait été investie pour rénover les salles. Mais le jeu en valait la chandelle. Le Beaubien possède un des meilleurs taux d'occupation (il dépasse 30 %) dans la province. Parfois, jusqu'à sept films roulent au cours d'une semaine sur trois écrans. Les salles supplémentaires permettront de multiplier les séances, de présenter davantage de productions, mais aussi de garder des oeuvres à l'affiche plus longtemps, lorsque la demande est encore forte. Jusqu'à maintenant, des films porteurs devaient être sacrifiés après trois semaines, à cause de l'infernal roulement des nouveautés. Le Beaubien conservera son apparence et sa vocation actuelle, sans se déguiser un petit mégaplex, mais en répondant encore davantage aux besoins de sa clientèle de quartier. Dans un an, tout le projet d'agrandissement et de rénovation sera terminé.
  12. La Labatt Bleue américaine brassée par Molson 19 août 2010 | 08h00 Mise à jour: 19 août 2010 | 12h30 Argent La bière Labatt Bleue destinée aux consommateurs américains va bientôt être brassée par Molson Coors. Les activités de la Bleue et de Bleue légère aux États-Unis ont été vendues à un brasseur indépendant américain, North American Breweries, lorsque le brasseur belge InBev a acquis la société américaine Anheuser-Busch, en 2008. Cette vente avait été ordonnée par les autorités antitrust américaines. Depuis lors, la Bleue a continué d'être brassée par Labatt au Canada, notamment à LaSalle. Cette entente doit obligatoirement prendre fin. Le nouvel acquéreur avait le choix de brasser lui-même la Bleue ou de la confier à un sous-traitant. C'est cette dernière option qu'il a choisie, en confiant la production à Molson. L'entente d'une durée de cinq ans permettra à Molson de produire 1,5 million d'hectolitres par année, ce qui représente 18 millions de caisses de 24, pour le marché américain. Les 800 employés de Molson à Montréal vont donc faire le travail des 450 employés de Labatt de LaSalle. Pour compléter le contrat, Molson prévoit des réaménagements et des embauches à son usine située rue Notre-Dame à Montréal. Pas d'inquiétude pour l'emploi Yanick Beaudry, président du Travailleuses et Travailleurs de la Brasserie Labatt, affilié à la CSN, ne croit pas que des emplois sont menacés à LaSalle. «La majorité du volume provient de l'usine de London, en Ontario, explique le syndicaliste. Une légère partie du volume partira de Montréal, soit environ 200 000 hectolitres.» M. Beaudry admet toutefois que la nouvelle a un goût étrange. «C'est assez particulier, en effet. Mais nous savions qu'il y avait peu d'options au Canada. Seuls Molson et Moosehead avaient la capacité de brassage. Nous nous attendions à ce que ce soit Moosehead. J'ai eu des discussions avec eux il y a un mois et on s'attendait à ce que ce soit eux.» Faut-il s'attendre à des rapprochements futurs entre Molson et Labatt dans une industrie où les regroupements ont été fréquents ? «Je ne penserais pas, soutient Yanick Beaudry, mais il y a des choses qui ne semblaient pas possibles il y a 10 ans et qui se sont passées. Je n'aurais jamais pensé que le même propriétaire aurait mis la main sur Labatt et Anheuser-Busch.»
  13. Depuis plusieurs années, on entend les gens dire que Montréal est la capitale de la Mode au Canada! Je crois qu'il est rendu évident que ce n'est plus le Cas. Un autre chose que Toronto nous a volé...ou est ce à cause que nous nous sommes assis sur nos derrière et rien fait??? http://www.cyberpresse.ca/vivre/mode/201004/09/01-4268945-la-semaine-de-mode-de-toronto-un-incontournable.php La Semaine de mode de Toronto, un incontournable Lucie Lavigne La Presse Parmi les quelques designers québécois qui ont présenté leur collection automne-hiver 2010-2011 lors de la Semaine de mode de Toronto, la semaine dernière, il y avait Andy Thê-Anh et Dimitri-Chris Alexiou. Ce dernier, spécialiste de la mode masculine, avait déjà dévoilé sa collection le mois passé lors de la Semaine de mode de Montréal (SMM). Pourquoi donc investir dans une seconde présentation à Toronto? «Nous visons le Canada, il nous faut donc sortir de Montréal, affirme le designer montréalais qui en était à son premier défilé dans la Ville reine. La plupart des médias et acheteurs de Toronto ne sont pas présents pendant la SMM. Certains peuvent dire le contraire, mais je le sais, car je le vois.» Dimitri-Chris Alexiou avait aussi, avec l'aide du Bureau du Québec à Toronto, montré sa collection dans la métropole canadienne en février. Ce qui lui a permis de la «vendre» à la boutique torontoise consacrée à la mode masculine Gotstyle. «La saison prochaine, je vais sûrement présenter ma collection à Montréal et à Toronto. Je ne renie pas Montréal, car c'est ma ville, insiste le créateur. Toutefois, Toronto demeure la porte d'entrée pour le marché canadien, voire nord-américain», précise celui qui planifie un futur défilé à Paris ou peut-être à Milan. Rencontré dans sa boutique de la rue Bellair, l'une de ses deux nouvelles enseignes de Toronto, le Québécois Andy Thê-Anh semble ravi de la nouvelle identité de sa marque. «Le groupe propriétaire Catsima favorise une structure et une image de marque beaucoup plus proches de ma personnalité. Un jour, mes deux boutiques de Montréal adopteront l'allure de celles de Toronto», précise-t-il. L'an dernier, Andy Thê-Anh avait offert une présentation informelle à Toronto. Cette fois, grâce au soutien financier de Rimowa, il a pu organiser un défilé. «Je sais que l'on me critique de ne pas être assez souvent à Montréal, mais pour dépasser les frontières, il faut être à Toronto. Un peu comme le font les acteurs, au moment du lancement d'un film. Les grands bureaux d'acheteurs sont ici», précise le designer reconnu pour les coupes irréprochables et la structure très étudiée de ses tailleurs et robes de soirée. Enfin, quant au positionnement de sa griffe, le créateur cite la Canadienne Lida Baday, modèle (d'affaires), qui se situe entre les marques internationales et les chaînes de grande diffusion. «Mon objectif est d'offrir une grande qualité de production à des coûts raisonnables. Dans ma boutique, on peut aisément trouver un tailleur à moins de 1000$.»
  14. '' MONTRÉAL - La fumée des multiples feux de forêt qui font rage au Québec présentement a enveloppé Montréal dans la nuit de dimanche à lundi. La ville de Québec a également été envahie par la fumée dimanche soir en raison ce ces nombreux incendies qui sévissent dans plusieurs régions du Québec. Plus tôt dans la journée, la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU) avait indiqué qu'il fallait s'attendre à ce qu'au cours des prochains jours, des cendres et de la fumée descendent le long du corridor Québec-Montréal. Un scénario qui ne représente aucun risque, assure-t-on. Selon le porte-parole de la SOPFEU, Marcel Trudel, cet écran visible de smog était normal compte tenu de la situation. Toutefois, plusieurs résidants inquiets ont pris d'assaut les lignes téléphoniques pour se faire rassurer. La SOPFEU croise les doigts et espère que la pluie prévue pour lundi viendra aider les pompiers à maîtriser les 52 incendies toujours actifs. Huit brasiers sont toujours hors de contrôle et leur taille va en augmentant. Au total, plus de 83 000 hectares de forêt sont touchés par les feux. M. Trudel a indiqué dimanche que pour l'heure, les conditions météorologiques compliquent le travail des sapeurs puisque les vents sont importants, que le soleil est au rendez-vous et que le combustible des feux est sec. Il a demandé à la population de cesser de téléphoner à la SOPFEU, car les lignes de l'organisation sont saturées. Au total, c'est environ 1200 personnes qui sont à pied d'oeuvre pour combattre les flammes sur le territoire québécois. Plusieurs sapeurs viennent de diverses provinces canadiennes et des États-Unis. Leur priorité est de protéger les villages menacés par les brasiers a souligné M. Trudel. Celui qui menace la réserve de Wemotaci, en Haute-Mauricie, demeure le plus préoccupant, mais les combattants des flammes réussissent à contenir son avancée. Le personnel de la SOPFEU a par ailleurs été évacué de la réserve de Wemotaci, notamment en raison des forts vents. Les évacués de trois communautés autochtones de cette partie du territoire devront prendre leur mal en patience pour encore quelques jours, même si quelques-uns ont pu réintégrer leur domicile samedi, a fait savoir le porte-parole de la Croix Rouge Vincent Ostiguy. Il a par ailleurs indiqué que son organisation avait mis en place un centre d'hébergement à LaTuque pouvant accueillir jusqu'à 325 personnes. De son côté, la porte-parole de la Sûreté du Québec Éloïse Cossette a rappelé que la police avait mis en place des points de blocage sur les routes 1, 10, 22 et 25 afin d'interdire toute circulation sur ses artères dans les secteurs touchés par les feux. Autres détails sur les feux de forêt et carte de l'interdiction des feux à ciel ouvert disponibles sur le site de la SOPFEU'' Ça sent le feu de camp ! je sens que ça va freaker à Montréal aujourd'hui !
  15. La Presse En tournage à Montréal pour le film Upside Down, les deux acteurs-vedettes Jim Sturgess et Kirsten Dunst - alias la fiancée de Spider-Man - ont vite pris leurs habitudes dans différents restaurants et bars de la métropole. Et à l'instar de plusieurs touristes, ils ont découvert les principaux lieux cultes de la ville, que les cinéphiles montréalais reconnaîtront à l'écran lors de la sortie du long métrage en 2011. Le chalet du Mont-Royal, le Stade olympique, la place Ville-Marie et le Square Victoria pourraient devenir célèbres. Plusieurs scènes de Upside Down, une coproduction France-Canada qui dispose d'un budget de 54 millions, réalisée par Juan Solanas, ont été tournées dans ces endroits. L'équipe de production, qui a jeté son dévolu sur Montréal pour son cachet à la fois moderne et historique, s'active un peu partout dans la ville ainsi qu'à l'intérieur des studios Mel's depuis le 9 mars. Le film raconte essentiellement une histoire d'amour - digne de Roméo et Juliette - entre un homme et une femme vivant dans deux mondes différents, superposés. Impossible toutefois de donner davantage de détails sur le contenu des scènes et sur le déroulement du tournage en vertu d'un embargo jusqu'à la sortie du film. Rencontrés hier par les journalistes, les deux acteurs principaux du film, Jim Sturgess (Across the Universe) et Kirsten Dunst (Spider-Man 3) semblaient profiter de cette expérience en terre montréalaise pour découvrir la ville et ce, malgré des journées de travail d'environ 12 heures. «J'aime Montréal, je passe vraiment un bon moment, a lancé d'emblée Jim Sturgess, lorsque La Presse lui a demandé son appréciation de la ville. Je suis allé dans quelques bars du Mile End et du Plateau», dit-il, ajoutant du même souffle qu'il avait particulièrement apprécié le Snack'n Blues, boulevard Saint-Laurent. L'acteur britannique âgé de 31 ans rappelle néanmoins qu'il dispose de peu de temps pour profiter de la vie nocturne et des attraits montréalais puisqu'il passe la majeure partie de son temps sur le plateau de tournage. S'il n'a pas eu l'occasion de voir le Tricolore à l'oeuvre sur la glace depuis le début des séries, Jim Sturgess est quand même au courant de l'issue des derniers matches. L'équipe de tournage, comprenant 250 techniciens québécois, semble lui faire régulièrement un compte rendu des prouesses réalisées par le Canadien. D'ailleurs, les différents drapeaux à l'effigie de l'équipe de hockey que l'on retrouve un peu partout dans les studios, témoignent de la présence de plusieurs partisans. «Vous avez perdu votre dernière partie, c'est bien ça? demande-t-il en faisant référence au match de samedi dernier. Je vais tenter de rester informé», ajoute l'acteur en riant. Visiblement enrhumée et mal en point, Kirsten Dunst avait, de son côté, peine à cacher sa difficulté à s'adapter aux différents changements de température qui ont marqué les dernières semaines. «Je suis faite pour l'été!» lance-t-elle sans hésitation. Malgré tout, l'actrice, qui avait déjà mis les pieds à Montréal deux fois auparavant, dit apprécier la ville pour ses concerts et ses restaurants, comme le Liverpool House. Pour sa part, Juan Solanas, réalisateur d'origine argentine, fils de Fernando Solanas, figure marquante du cinéma latino-américain, ne tarit pas d'éloges à propos du professionnalisme des techniciens d'ici. À la direction photo, il travaille d'ailleurs avec Pierre Gill qui s'est notamment démarqué avec le film Polytechnique. Autre aspect intéressant pour celui qui habite dans l'Hexagone depuis l'âge de 10 ans: le français. Juan Solanas ne parle anglais que depuis quelques mois. Il a fait l'apprentissage de la langue de Shakespeare dans le but de communiquer avec les acteurs. «Maintenant, je fais des blagues en anglais», assure-t-il. Le tournage du film devrait se terminer à la fin mai. La postproduction se fera également dans la métropole.
  16. Dany Villanueva doit quitter le Canada et retourner dans son pays d'origine, le Honduras. Telle est l'ordonnance rendue mercredi par le commissaire à l'immigration et au statut de réfugié. Rappelons que Dany Villanueva est un témoin-clé dans l'enquête du coroner sur la mort de Fredy Villanueva, son jeune frère qui a perdu la vie lors d'une altercation avec les policiers dans un parc de Montréal-Nord, en août 2008. Par l'entremise de son avocat, Dany Villanueva a sur-le-champ porté cette ordonnance en appel, ce qui a pour conséquence de suspendre la décision du commissaire. Il contestera cet avis d'expulsion auprès de la section d'appel de la Commission de l'Immigration et également en cour fédérale. Le processus pourrait s'échelonner sur plus d'un an. Dany Villanueva a le statut de résident permanent au Canada. Il y vit depuis son adolescence et soutient qu'il n'a plus aucune attache avec le Honduras, où les autorités canadiennes souhaitent le renvoyer. D'autres rendez-vous avec la justice D'ici là, Dany Villanueva devra répondre d'accusations de conduite en état d'ébriété et de possession de cannabis. Ces événements se sont produits la semaine passée à Charlemagne, non loin de Repentigny, où il habite. Dany Villanueva devra aussi subir un procès pour une affaire de vol qualifié, dans laquelle il est accusé aux côtés de quatre autres personnes. Ce procès doit avoir lieu en novembre. En 2006, Dany Villanueva avait purgé une peine de 11 mois de prison pour un autre vol qualifié. Ce sont ces faits que l'Agence des services frontaliers a invoqués pour expliquer sa demande que Dany Villanueva soit expulsé vers le Honduras. Enfin, Dany Villanueva poursuivra le 3 mai sa comparution dans l'enquête du coroner André Perreault sur les circonstances et les causes entourant la mort de son jeune frère Fredy. Appartenance passée à un gang de rue Devant le coroner André Perreault, plus tôt cette année, Dany Villanueva avait reconnu qu'il avait déjà entretenu des liens avec un gang de rue. Il avait tenu à préciser qu'après avoir été emprisonné, il avait signifié à ce gang qu'il ne souhaitait plus y être associé. Dany Villanueva a expliqué en substance au coroner qu'il souhaitait, de cette manière, faire en sorte que son jeune frère Fredy ne suive pas ses traces. Fredy Villanueva, 18 ans, a perdu la vie lors d'une altercation avec les policiers Stéphanie Pilote et Jean-Loup Lapointe. La scène s'est produite dans un stationnement attenant à un parc, dans l'arrondissement Montréal-Nord, en août 2008. Dany Villanueva était présent. Devant le coroner Perreault, le policier Lapointe a argumenté que Dany Villanueva avait fait preuve d'agressivité au point où le policier avait craint pour sa vie. Jean-Loup Lapointe a fait feu, atteignant mortellement Fredy Villanueva. Source: Radio-Canada. Bon débarras?
  17. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2010/04/12/004-bellemare-entrevue.shtml Financement politique douteux, échange d'argent comptant, nominations partisanes de juges, pressions politiques indues au sein du gouvernement. Marc Bellemare, ministre de la Justice pendant un an au sein du premier gouvernement de Jean Charest, en 2003 et 2004, revient hanter son ancien patron. Il y a un mois, il déclarait qu'il avait fait part à l'époque au premier ministre d'informations embarrassantes sur du financement au Parti libéral, ce qu'a nié par la suite M. Charest. Dans une entrevue téléphonique exclusive avec l'animateur de l'émission Enquête de Radio-Canada Alain Gravel, Marc Bellemare y va de révélations fracassantes en disant avoir été témoin d'échanges d'importantes sommes d'argent liquide à deux occasions en décembre 2003 et en janvier 2004. Dans un lieu public, dans un premier temps, et à la permanence du PLQ à Québec, par la suite. Extrait de l'entrevue : - [Marc Bellemare] Les échanges d'argent auxquels j'ai assisté, de façon très fortuite d'ailleurs, sont des échanges qui ont lieu entre un permanent du parti et un individu considéré comme étant un collecteur influent du parti. - [Alain Gravel] Est-ce que c'est quelqu'un qui est lié à l'industrie de la construction? - Oui. - Est-ce qu'on peut s'entendre pour dire que c'est un entrepreneur en construction? - Oui. [...] - Quand vous dites des sommes substantielles, c'était de l'argent comptant? - Oui [...] Il y avait des chèques et il y avait une liste aussi de noms tout près. - Donc, il y avait de l'argent comptant, des chèques et une liste? - Exact. - Beaucoup d'argent comptant? - Oui. - [Alain Gravel] Est-ce que vous avez parlé aux gens qui s'échangeaient de l'argent? - [Marc Bellemare] Oui, je les ai salués, mais manifestement, je n'avais pas d'affaires là. [...] J'en ai parlé au premier ministre, je m'en suis plaint au premier ministre et le lui ai dit que c'était irrégulier à mon avis et que c'était dangereux, et puis voilà. — Extrait de l'entrevue - [Alain Gravel] Est-ce que vous pouvez me dire ce que le premier ministre vous a répondu? - [Marc Bellemare] Non, mais je peux vous dire qu'il était très bien informé. Allégations de trafic d'influence Marc Bellemare y va de révélations encore plus spectaculaires concernant l'influence de ce collecteur de fonds. Il dit avoir été au centre d'un trafic d'influence pour la nomination de juges. Extrait de l'entrevue : - [Marc Bellemare]Les gens qui était considérés comme étant des collecteurs influents et significatifs du parti avaient leur mot à dire sur plusieurs nominations et ils ne se gênaient pas pour solliciter des nominations de ma part à l'époque, en 2003 et en 2004, en tenant compte du fait qu'il y avait des retours d'ascenseurs qui étaient exigés, qu'il fallait placer notre monde, comme on disait à l'époque. - [Alain Gravel] Alors vous avez été soumis à des pressions de collecteurs de fonds pour des nominations, vous-même, comme ministre de la Justice? - Tout à fait, oui. - Est-ce que vous avez été soumis à des pressions de l'individu que vous avez vu remettre l'argent? - Oui. - Donc, lui-même vous a fait des pressions? - Oui. - À de nombreuses reprises? - Oui. - Pour des nominations de... - Diverses nominations, et des nominations de juges également. - Votre souvenir... à combien de reprises? - Trois. - Trois reprises? - Oui. - Qu'il vous a demandé spécifiquement de nommer des juges? - Oui. - Avec des noms de juges? - Oui. - Est-ce que vous avez nommé ces juges? - Oui. - [Alain Gravel] Vous avez nommé ces juges parce que... - [Marc Bellemare] Parce que c'était une commande des grands collecteurs du parti et le premier ministre était d'accord avec ça. — Extrait de l'entrevue - [Alain Gravel] Vous en avez parlé au premier ministre? - [Marc Bellemare] Oui, je m'en suis plaint au premier ministre, mais c'était, semble-t-il, la façon de faire. [...] - Donc, vous avez informé le premier ministre là-dessus? - Oui, tout à fait, je m'en suis plaint à l'automne 2003 comme au printemps 2004. - En disant quoi? - En disant, je me demandait qui nommait les juges. Est-ce que c'était le ministre de la Justice ou c'était tel ou tel qui avait collecté significativement des fonds pour le parti qui avait à prendre la décision? Je m'en plaignais, mais ça ne changeait pas, parce qu'il fallait agir dans ce sens-là. De l'obstruction de collecteurs de fonds Il n'y avait pas que les nominations. Marc Bellemare souligne l'obstruction des collecteurs de fonds du parti sur des réformes pour rendre les juges des tribunaux administratifs plus indépendants. [Marc Bellemare] C'est certain que ces importants collecteurs-là avaient une influence sur l'agenda législatif du gouvernement. En tout cas, en ce qui me concernait, moi qui avait plusieurs projets de loi qui étaient en attente. C'était... on sentait qu'il y avait un veto financier sur certains projets de loi. - [Alain Gravel] Et ça aussi vous avez avisé le premier ministre là-dessus? - [M.B.] Hm-hm. — Extrait de l'entrevue - [Alain Gravel] Est-ce que votre démission a trait à toutes ces choses? Est-ce qu'il y a un événement particulier qui a fait qu'à un moment donné, vous en avez eu ras-le-bol? - [Marc Bellemare] Je trouvais que le dernier projet de loi, qui est le projet de loi 35, qui était une réforme ambitieuse de la justice administrative au Québec et que j'ai dû abandonner suivant les instructions du premier ministre, suite à une rencontre au cabinet du premier ministre le 29 mars 2004. Et puis, ç'a été pour moi le dernier chantier. - Vous avez perçu que ce projet de loi-là, vous avez dû l'abandonner à la suite de pressions de ces collecteurs? - Notamment. Mauvais souvenir La carrière de Marc Bellemare en politique provinciale a été très courte. Il en garde un très mauvais souvenir. Extrait de l'entrevue : - [Alain Gravel] Ça vous inspire quoi, c'est quand même grave, vous étiez le ministre de la Justice à ce moment-là? - [Marc Bellemare] Ça m'inspire le dégoût, et c'est pour ça que je suis parti au printemps 2004. Pas de témoignage au DGE Pour l'instant, Marc Bellemare refuse de donner publiquement les noms des collecteurs de fonds. Il ne veut pas non plus les révéler au directeur général des élections, en qui il n'a pas confiance. Il conteste d'ailleurs la citation à comparaître qu'il lui a envoyée pour le forcer à témoigner. Extrait de l'entrevue : - [Alain Gravel] Est-ce que vous avez l'intention de contester la convocation du directeur général des élections? - [Marc Bellemare] C'est déjà fait. - Parce que vous ne faites pas confiance à l'institution? - Non, c'est parce que le directeur général des élections est une institution qui enquête privément et à mon avis, les informations de cette nature sont d'intérêt public, d'une part. D'autre part, le financement des partis politiques, ce n'est qu'un volet minime de ce que je viens de vous raconter. Je pense que le DGE dans ce dossier-là joue le rôle du premier ministre qui, en Chambre, décide que je devrais aller m'adresser au DGE et 30 minutes plus tard, le téléphone sonne au bureau pour que j'aille rencontrer le DGE. J'ai trouvé que ça manquait d'indépendance et d'impartialité. Je trouvais que le DGE agissait comme un homme de main du premier ministre, et ça m'agace. — Marc Bellemare en entrevue à Radio-Canada Marc Bellemare affirme qu'il a décidé de parler de ces choses parce qu'avec les allégations actuelles sur le milieu de la construction et le financement politique, il y a un intérêt public. M. Bellemare espère toujours témoigner devant une commission parlementaire, où il jouirait d'une immunité totale. D'après une entrevue d'Alain Gravel
  18. Pratt & Whitney songe à Mirabel 16 août 2007 - 06h32 La Presse Marie Tison Grossir caractèreImprimerEnvoyer Pratt & Whitney Canada envisage la possibilité de déménager à Mirabel toutes ses activités d'essais en vol. Le motoriste pourrait aussi décider de transférer toutes ses activités à Plattsburgh. À l'heure actuelle, P&WC effectue une partie de ses essais à Plattsburgh et une autre partie à Saint-Hubert. Or, la piste principale de l'aéroport de Saint-Hubert n'est pas assez longue et pas assez robuste pour qu'il soit possible d'y rapatrier toutes les activités d'essais en vol. «Nous examinons différentes possibilités, a déclaré la vice-présidente aux communications de P&WC, Nancy German. Il y a des avantages à avoir toutes les opérations d'essais en vol au même endroit. Ça a du bon sens au point de vue opérationnel, question d'efficacité et de coûts.» Elle a toutefois précisé que les activités d'essais en vol fonctionnaient quand même bien à l'heure actuelle dans les centres de Plattsburgh et de Saint-Hubert. L'entreprise pourrait donc choisir le statu quo. À Saint-Hubert, P&WC utilise un vieux Boeing 720 pour tester ses moteurs en plein vol. En raison de sa taille moyenne, l'appareil peut facilement décoller et atterrir de l'aéroport. À Plattsburgh, P&WC utilise plutôt un Boeing 747, un appareil qui ne pourrait pas utiliser les installations de Saint-Hubert. Mme German n'a pas voulu dire si le motoriste entendait utiliser d'autres B747 dans l'avenir. La société qui gère l'aéroport de Saint-Hubert, DASH-L (Développement aéroport Saint-Hubert de Longueuil), s'inquiète à l'idée de voir P&WC transférer ailleurs son centre d'essais en vol. Ce centre d'essais n'emploie qu'une vingtaine de personnes, comme celui de Plattsburgh, mais le président du conseil de DASH-L, Jean-Jacques Rainville, estime que la concentration de tous les essais à Saint-Hubert pourrait entraîner la création de 300 emplois indirects. DASH-L entend rénover ses infrastructures et refaire sa piste d'atterrissage dans le cadre d'un projet de 300 millions de dollars. Ce montant comprendrait un investissement de 150 millions de P&WC pour la construction d'un hangar et de bureaux administratifs. DASH-L espère également recevoir une aide financière de 25 millions de la municipalité de Longueuil, 18 millions du gouvernement du Québec et 70 millions du gouvernement fédéral. Or, Ottawa se laisse tirer l'oreille. «Nous n'avons pas eu de nouvelles récemment avec la période des vacances, a déclaré le directeur général de DASH-L, Jacques Malenfant. Nous attendons plus d'information vers la mi-septembre.» Cette demande d'aide financière a cependant indisposé Aéroports de Montréal (ADM). Son président-directeur général, Jim Cherry, a rappelé qu'ADM ne recevait aucune subvention et il s'est demandé pourquoi il y aurait une politique de deux poids, deux mesures dans la région de Montréal. Il a fait valoir qu'il y avait des pistes disponibles à Mirabel et qu'il n'était donc pas nécessaire de subventionner de nouvelles pistes à Saint-Hubert. M. Malenfant a soutenu hier que le gouvernement fédéral avait promis de financer la réfection de la piste lors de la cession de l'aéroport de Saint-Hubert à DASH-L, en 2004. P&WC a quand même décidé d'aller faire un petit repérage à Mirabel. «Ils sont venus voir les pistes, les hangars, a déclaré la vice-présidente aux affaires publiques d'ADM, Christiane Beaulieu. Il s'agissait notamment de voir s'il y avait des espaces suffisants, parce que nous avons déjà commencé à combler l'espace qu'occupait Air Transat à l'époque.» Mme Beaulieu a indiqué qu'il serait bien préférable de voir P&WC conserver ses activités d'essais en vol au Québec plutôt que tout transférer à Plattsburgh. «Surtout que Plattsburgh essaie de manger dans notre lunch en se présentant comme l'aéroport de Montréal aux États-Unis, a-t-elle lancé. Et ils sont subventionnés pas à peu près: ils ont reçu d'énormes subventions lorsque la base militaire a quitté l'aéroport.» Effectivement, l'aéroport international de Plattsburgh essaie de courtiser les voyageurs montréalais avec un site Internet bilingue ainsi que des informations sur le trajet Montréal-Plattsburgh et le passage de la frontière.
  19. Voici quelques articles que j'ai trouvé bon sur toute la merde qui se passe avec la FTQ. JE n'en reviens pas que le gouvernement charest ne fait rien dans ce dossier. Je commence vraiment à croire que les Libéraux de Charest commencent à ce croire invincible et qu'ils commencent à croire qu,ils seront au pouvoir éternellement! Ça fait 7 ans qu,ils sont au pouvoir...il serait temps d'un petit changement! Pour revenir au sujet original, comme j,ai souvent dis, les syndicats s'en viennent de plus en plus puissant et corrompus. Vous n,avez qu'à lire ces article sur toute la crosse qu'il se passe dans le monde de la construction au Québec pour réaliser qu,on se fait avoir. On se demande pourquoi tout coûte 30% de plus au Québec...et bien vous avez votre réponse. Les osties de syndicats croches et remplis de criminels! Si Charest avait des couilles, il ferait quelque chose pôur nettoyer cette merde qu'est les syndicats! Vraiment dégoutant!! http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/201003/12/01-4259902-la-ftq-est-intouchable.php «La FTQ est intouchable» Denis Lessard La Presse (Québec) Paul Sauvé, l'entrepreneur qui avait alerté la police sur les dérapages du monde de la construction, l'intimidation, le blanchiment d'argent et les liens avec le crime organisé, est furieux. Après avoir craint pour sa vie et pour celle de sa fille et failli perdre son entreprise, celui qui avait mis le feu aux poudres est outré «de l'hypocrisie du gouvernement Charest, qui refuse de faire le ménage dans une industrie corrompue». «La FTQ est carrément intouchable», lance celui qui était allé voir la SQ il y a trois ans pour dénoncer le motard Marvin Ouimet ainsi que le patron des Grues Guay, Louis-Pierre Lafortune, et un de leurs amis, Jocelyn Dupuis, directeur général de la FTQ-Construction pendant 11 ans. Avec les accusations portées mercredi contre Jocelyn Dupuis pour fraude et fabrication de fausses factures, les trois individus visés à l'époque font finalement l'objet d'un mandat d'arrêt. Seul Lafortune a été épinglé jusqu'ici, à l'aéroport Montréal-Trudeau, en décembre 2009. On reproche à Dupuis, essentiellement, d'avoir demandé le remboursement de dépenses indues à l'époque où il était à la direction de la FTQ-Construction. «On a un gars qui va payer pour des dépenses injustifiées, mais le problème est bien plus profond», déplore Sauvé. M. Sauvé est amer. Le gouvernement aurait dû aller beaucoup plus loin. «Quand je regarde avec un peu de recul tout ce qui ne s'est pas fait et qui aurait pu être fait pour mettre en lumière une industrie qui trébuche depuis si longtemps, je suis fâché! Le gouvernement Charest avait la chance de faire le ménage important qu'il avait promis. On promettait de casser le cartel... Or, ce qu'on voit, c'est que la FTQ et le gouvernement Charest parlent d'une seule voix. On prouve qu'il y a des Hells Angels dans la cabane, qu'il y en a qui font de l'extorsion, des menaces, du blanchiment... on devrait faire plus qu'arrêter un gars pour des remboursements de dépenses!» dit M. Sauvé, dont l'entreprise de maçonnerie, LM Sauvé, avait été infiltrée par le crime organisé. À la suite de sa dénonciation à la police et d'accrochages avec la FTQ-Construction et le Fonds de solidarité, Paul Sauvé avait vu son entreprise péricliter. Il a toutefois évité la faillite et travaille désormais dans des chantiers plus modestes. «Les choses se replacent, mais la pilule a été dure à avaler», résume Paul Sauvé.
  20. ErickMontreal

    TVA Sports

    Une chaîne sportive pour TVA? (Corus Sports)- Selon La Presse Affaires, une demande a été déposée au CRTC par Quebecor afin de lancer une chaîne de télévision sportive. Le réseau a déposé sa demande le 1er mai dernier. La chaîne porte le nom provisoire de TVA Sports. TVA a aboli son bulletin de sports en mars 2002 par nécessité de compression budgétaire, mettant à pied quatre journalistes permanents et huit surnuméraires. Depuis, ce sont des journalistes de l'information générale qui assurent la couverture des événements majeurs, en plus de la présentation de bulletins de sports en direct, le matin, et pré-enregistrés, le midi. TVA avait alors affirmé vouloir concentrer sa production dans ses services des nouvelles et des affaires publiques. Cependant, la demande de licence de TVA Sports survient alors que Quebecor tente d'acquérir le Canadien de Montréal. Les droits de télédiffusion des matchs du Canadien appartiennent à RDS jusqu'à la fin de la saison 2012-2013. Le tarif pour présenter ceux-ci : 20 millions $ par saison. Le CRTC a aboli le monopole des chaînes sportives au pays en octobre dernier. Radio-Canada aurait un projet similaire à l'étude. Radio-Canada avait également aboli son bulletin de sports le 20 juin 2003, avant d'en ramener une version écourtée la saison dernière, qui sera prolongée dès l'automne.
  21. http://www.villagia.ca/ Une nouvelle tour est en construction... la grue est visible de la 13 et de la 15. Qui peut passer faire un tour dans le coin? Je ne trouve rien sur internet. C'est dans les 14-15 étages si on se fie à la hauteur de la grue montée. D'après-moi c'est sur Place des Cageux parce que la grue est tout près du 4300, un immeuble de 17 étages appelé Les Terrasses Paton. Il y avait un projet de deux tours projetées il y a quelques années.
  22. Une dépense de 1,5 milliard Après avoir clamé «un enfant, une place» en campagne électorale, le PQ de Pauline Marois a réitéré hier que tous les parents du Québec devraient disposer d'une place en garderie pour leurs enfants. Après avoir réclamé des compressions budgétaires mardi, l'opposition péquiste a ainsi demandé une augmentation des dépenses pouvant atteindre 1,5 milliard, selon une estimation sommaire faite par le ministère de la Famille et de l'enfance, à la demande du Journal. Reprenant là où il avait laissé en décembre, le député de Gouin, Nicolas Girard, a déploré l'apparent favoritisme du ministre de la Famille, Tony Tomassi, dans l'attribution des places en services de garde, avant de présenter une motion qui consacrerait le «paradis des familles» qu'est devenu le Québec. Cette motion se lit ainsi : «Que l'Assemblée nationale suggère à la Commission des relations avec les citoyens de se saisir rapidement de la pétition signée par plus de 17 800 personnes et déposée en cette Chambre le 17 novembre 2009 réclamant que le gouvernement libéral complète le réseau des services de garde afin que chaque parent qui le désire ait accès à une place à 7 $ pour son enfant.» Le député Girard a évidemment été chaudement applaudi par ses collègues. Campagne électorale Durant la dernière campagne électorale, la chef péquiste, Pauline Marois, avait fait de son slogan «Un enfant, une place» la pièce maîtresse de sa politique familiale. Elle avait proposé une première tranche de 38 000 places en garderie, nécessitant des dépenses additionnelles de 500 millions. Toutefois, proposer une place pour chaque enfant salerait davantage la facture. Selon les statistiques du ministère, il y a actuellement 206 000 places en garderie, dont les coûts totalisent 1,8 milliard. Comme il y a 375 000 enfants de zéro à quatre ans, il faudrait ajouter 169 000 places pour qu'ils en aient chacun une. La facture annuelle passerait à 3,3 milliards. Le PQ ne s'est pas préoccupé de cette addition hier, concentrant ses attaques sur Tony Tomassi, toujours accusé d'ingérence politique dans l'attribution des permis de services de garde. Pour l'essentiel, le député Girard continue de prétendre que le ministre est intervenu pour que «des administrateurs ou des donateurs à la caisse du Parti libéral obtiennent des places dans les services de garde, malgré une évaluation négative» de leurs projets. Le ministre Tomassi continue de se défendre en soutenant que le PQ nage dans la fiction. «Notre seule et unique préoccupation, c'est que le Québec soit le paradis des familles», a-t-il répété. -------- On peut bien avoir une dette astronomique, on gratte les fonds de tirroir pour trouver 5milliards pour ne serait-ce qu'effacer le déficit, que le PQ va proposer d'autre dépenses en plus
  23. Publié le 12 janvier 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Péréquation: le portrait a changé Joël-Denis Bellavance La Presse (Ottawa) Longtemps considéré comme la locomotive économique du pays, l'Ontario souffre plus que jamais. À un point tel que la province recevra un paiement de péréquation trois fois plus élevé en 2010-2011, un signe qu'elle a maintenant besoin de l'aide financière des autres régions du pays pour pouvoir se payer des services publics comparables. L'Ontario a empoché des paiements de péréquation pour la première fois de son histoire en 2009-2010, soit 347 millions de dollars. En 2010-2011, ces paiements auront presque triplé pour atteindre 972 millions de dollars, a appris La Presse lundi. Le ministre des Finances, Jim Flaherty, a confirmé à ses homologues des provinces les sommes qu'Ottawa compte leur verser au cours du prochain exercice financier lors de la conférence des ministres des Finances qui a eu lieu à Whitehorse à la mi-décembre, a indiqué lundi Jack Aubry, porte-parole du ministère des Finances. En tout, les paiements de péréquation atteindront 14,4 milliards de dollars en 2010-2011. Comme c'est le cas depuis plusieurs années, le Québec obtiendra la part du lion de cette somme, soit 8,5 milliards de dollars - environ 200 millions de dollars de plus que lors du dernier exercice financier. Terre-Neuve, qui a longtemps été considérée comme une province pauvre au pays, ne touche plus de paiement de péréquation depuis l'an dernier, en raison de la hausse de ses revenus découlant de l'exploitation des réserves de pétrole du projet Hibernia. En 2007-2009, la province de Danny Williams avait touché 477 millions de dollars. En somme, l'Ontario a dorénavant remplacé Terre-Neuve dans la liste des six provinces les plus pauvres de la fédération canadienne. Les autres provinces qui reçoivent un coup de pouce financier d'Ottawa pour pouvoir s'offrir des services publics comparables à un taux d'imposition comparable aux autres régions sont le Manitoba (1,8 milliard), le Nouveau-Brunswick (1,581 milliard), la Nouvelle-Écosse (1,110 milliard) et l'Île-du-Prince-Édouard (330 millions). La Saskatchewan, l'Alberta et la Colombie-Britannique font partie du club des provinces plus riches avec Terre-Neuve. La faute au dollar «L'Ontario souffre énormément en ce moment. Et il souffre depuis très longtemps», a affirmé lundi Serge Coulombe, professeur de science économique à l'Université d'Ottawa qui s'est longuement penché sur la situation économique de cette province. Il explique que le boom des ressources naturelles dans l'Ouest a contribué à la hausse de la valeur du dollar canadien, ce qui a nui considérablement au secteur manufacturier qui exporte vers les États-Unis. «L'Ontario a été énormément touché par l'appréciation du dollar canadien. La forte croissance économique que nous avons eue au Canada entre 2002 et 2008 s'est faite au détriment de l'Ontario. Alors, quand la récession est arrivée en 2008, l'Ontario était déjà lourdement touché à cause de la force du dollar», a expliqué M. Coulombe. Il affirme que l'Ontario a perdu quelque 250 000 emplois dans le secteur manufacturier entre 2002 et 2008, soit avant même le début de la récession. Et l'un des secteurs qui ont été durement touchés est celui de l'automobile, concentré en Ontario. Déficit record En octobre, le ministre des Finances de l'Ontario, Dwight Duncan, a revu à la hausse le déficit de l'Ontario - un manque à gagner record de 24,7 milliards en 2009-2010. La cause : une chute brutale des revenus provenant des impôts des sociétés, privant le Trésor ontarien de 5,8 milliards de dollars. Huit mois auparavant, M. Duncan avait estimé le déficit à 14 milliards de dollars. «L'Ontario était la province canadienne qui comptait le plus sur le secteur manufacturier. En plus, elle est la province canadienne la plus tournée vers les États-Unis pour ses exportations. L'Ontario n'est donc plus la locomotive du développement économique du pays depuis 2002», a dit M. Coulombe. La crise qui frappe l'Ontario est telle que le gouvernement Harper a décidé de mettre en place l'an dernier une agence de diversification de l'économie du sud de la province. Cette agence, créée à la suite du dernier budget, dispose d'un milliard de dollars sur cinq ans pour soutenir cette région durement frappée par la crise économique. L'économiste en chef de la Banque Toronto Dominion, Don Drummond, avait aussi prédit, dans un rapport publié en 2008, que l'Ontario perdrait sous peu son statut de province toute-puissante du pays. «L'Ontario n'est plus le roi tout puissant de l'économie», avait affirmé M. Drummond dans ce rapport qui avait fait beaucoup de bruit. L'an dernier, le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, cachait mal sa gêne en confirmant que sa province recevrait des paiements de péréquation pour la première fois de son histoire.
  24. Ben voilà, j'en avait parlé un peu dans un autre sujet, mais aujourd'hui j'ai été prendre des photos, et considérant la grosseur du chantier, je trouvais ça pertinent de le mettre ici. Y'a pas mal de monde sur et autour du chantier, mais pas d'image indiquant ce qui s'y construit, juste que c'est un agrandissement de la bâtisse Hershey à des fins d'habitation.
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