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  1. Fondée il y a cinq ans, Mountain House devait être un eldorado pour les jeunes familles. Aujourd'hui, 9 propriétaires sur 10 sont «sous l'eau». Pour en lire plus...
  2. La Maison-Blanche et le Congrès sont parvenus à un accord de principe sur un plan de sauvetage à court terme de l'industrie automobile américaine. Le plan pourrait être soumis aux parlementaires dès aujourd'hui. Pour en lire plus...
  3. Il y a un nouvel employé au bureau, aujourd'hui. C'est le petit jeune assis dans le coin? Non, c'est l'autre, celui qui a les cheveux blancs! Pour en lire plus...
  4. Les banques leur avaient donné des noms aux allures invincibles: Armada, Ténors, Titans, MAX... Mais aujourd'hui, ces véhicules de placement sont obligés de déposer les armes. Pour en lire plus...
  5. Sur fond de récession occidentale et de crise financière mondiale, les chefs des gouvernements du groupe des 20 grandes économies du monde (G20) se réunissent pour la première fois aujourd'hui à Washington. Pour en lire plus...
  6. Selon le Wall Street Journal, un nouveau programme d'aide aux propriétaires devrait être révélé lors d'une conférence de presse aujourd'hui vers 14h00. Pour en lire plus...
  7. Les pays émergents ont estimé que le G7, qui réunit les économies les plus avancées, ne pouvait plus faire face seul à une crise globale comme celle qui balaie aujourd'hui toutes les économies. Pour en lire plus...
  8. Les constructeurs automobiles américains GM et Ford devraient annoncer de nouvelles pertes de plusieurs milliards de dollars. Une annonce sur une éventuelle fusion de GM avec Chrysler est aussi attendue. Pour en lire plus...
  9. Aujourd'hui, les banques hongroises restreignent les prêts au moment où les investisseurs sortent leur argent des marchés en développement de l'Europe de l'Est et tandis que les devises de la région plongent. Pour en lire plus...
  10. Les dirigeants européens, français et canadiens vont tenter de jeter les bases, lors d'une rencontre à Québec, aujourd'hui, d'un projet de création d'un vaste espace économique liant l'Europe au Canada. Pour en lire plus...
  11. Jugées solides, elles ont reçu moins de soutien de la part du gouvernement que leurs comparses d'un peu partout dans le monde... et s'en retrouvent aujourd'hui désavantagées. Pour en lire plus...
  12. Le gouvernement Charest nommera l'actuel président et chef de la direction par intérim à la tête de la CDPQ, selon La Presse. L'annonce pourrait en être faite dès aujourd'hui, rapporte Radio-Canada. Pour en lire plus...
  13. Les prévisions faites en juillet par la Banque du Canada ont été déjouées, indique le sous-gouverneur David Longworth aujourd'hui pendant un discours. Pour en lire plus...
  14. Un article de devra faire plaisir à bien du onde sur le forum! Sara Champagne La Presse L'administration Tremblay annoncera au cours de son comité exécutif, aujourd'hui, qu'elle réalisera ses promesses en matière de réfection des routes et des conduites d'eau et d'égouts. Des sommes seront aussi affectées pour la mise à niveau de ses usines d'eau potable. Selon des informations obtenues par La Presse, des contrats de plusieurs millions seront accordés pour refaire les rues et les infrastructures autour du futur campus d'Outremont, et des deux futurs centres hospitaliers universitaires, le CHUM au centre-ville et le CUSM. Ces chantiers devraient démarrer dès cet automne. Au total, la Ville de Montréal a prévu dépenser 401 millions, d'ici la fin de 2008, dans ses infrastructures, dont 181 millions à même son Programme de réfection routière (PRR), pour refaire les rues, ponts, tunnels et son réseau de tuyaux souterrains. Dans le cas de la gare de triage d'Outremont, il est prévu de dégager 22 millions cette année. Une somme de 9,5 millions doit revenir au CHUM pour refaire le système d'aqueducs et d'égouts, et permettre éventuellement le passage d'une piste cyclable dans la rue de la Gauchetière. Outre ces contrats, le projet de réaménagement du quadrilatère de la Place des Arts, estimé à 120 millions, et piloté par le maire Tremblay, devrait aussi franchir une étape importante. À ce chapitre, les investissements de la Ville doivent totaliser 18 millions en 2008. Le premier édifice à sortir de terre doit être la Vitrine culturelle, porte d'entrée du futur Quartier des spectacles, rue Sainte-Catherine. Réserve foncière Le projet de transformation de l'autoroute Bonaventure en grand boulevard urbain devrait lui aussi passer à une autre étape, aujourd'hui, avec l'approbation par les élus d'une réserve foncière permettant «d'exproprier ou de céder de gré à gré» des édifices environnants. Le président-directeur général de la Société du Havre de Montréal, Gaétan Rainville, a expliqué à La Presse, hier, que son organisation devrait avoir en main, d'ici le 15 août, les plans et devis. Les appels d'offres devraient être lancés au mois de septembre. Dans son budget 2008, la Ville de Montréal estime que la taxe consacrée au Fonds de la voirie a atteint 20 millions. Une partie de cette somme, tirée des poches des propriétaires montréalais, soit 11,75 millions de dollars, doit servir au «rapiéçage mécanique» du réseau routier. Idéalement, Montréal devrait dépenser 200 millions par an pendant 10 ans pour retaper ses rues, a déjà indiqué le maire de Montréal, en dévoilant les grands chantiers routiers et souterrains de 2008, en mai dernier. Sammy Forcillo, responsable des infrastructures et vice-président au comité exécutif de la Ville de Montréal, n'a pas démenti la nouvelle selon laquelle des contrats importants seront annoncés, aujourd'hui, autour des grands projets de Montréal. Il a par ailleurs précisé que l'administration municipale a l'habitude de passer des «commandes» au retour des vacances d'été afin d'ouvrir les chantiers de construction avant la fin de l'année financière.
  15. C'est aujourd'hui que la voiture électrique Zenn, construite à Saint-Jérôme, peut commencer à circuler sur les routes de la province dans le cadre du projet pilote annoncé le mois dernier par le gouvernement du Québec. Pour en lire plus...
  16. Ok, je vais me lancer le premier (J'hais être le premier), une prise que j'ai pris au début de l'année que je suis allez reprendre aujourd'hui juste pour le concours.
  17. Surfant aujourd'hui sur le boom du prix du pétrole, les exploitants sont déterminés à ne pas laisser l'argent leur monter à la tête. Pour en lire plus...
  18. Le CRTC dira s'il autorise Remstar à acheter TQS et s'il renouvelle ses licences afin d'accommoder le plan qui doit permettre de relancer la station. Pour en lire plus...
  19. Aujourd'hui, les Québécois sont affranchis de l'impôt Les Québécois gagnent 76 489$ en moyenne ; 46% va à l'impôt. L'Institut Fraser a fixé au 19 juin la journée d'affranchissement de l'impôt pour les Québécois. Cela constitue une amélioration par rapport à l'an dernier, cette journée étant alors tombée le 24 juin. Cette année, la famille québécoise moyenne gagnera 76 489 $. Elle paiera un total de 35 454 $ en impôts, soit 46,4 pour cent de son revenu total. A l'échelle nationale, la journée où les Canadiens finissent de payer leur fardeau fiscal imposé par le gouvernement et commencent enfin à travailler pour eux-mêmes, arrive le 14 juin, soit quatre jours plus tôt qu'en 2007. L'organisme indépendant de recherche fait remarquer que la baisse de la taxe sur les produits et services (TPS) par le gouvernement fédéral de six à cinq pour cent, en vigueur depuis le 1er janvier 2008, a devancé la journée d'affranchissement de l'impôt de deux jours. Le fait que 2008 soit une année bissextile permet également de devancer d'une journée la date de l'affranchissement de l'impôt. Le Québec, est l'une des trois dernières provinces canadiennes à atteindre l'affranchissement avec la Saskatchewan et Terre-Neuve-et-Labrador. Nathalie Elgrably-Lévy, économiste principale pour le Québec et la francophonie à l'Institut Fraser, souligne que le fardeau fiscal des Québécois est parmi les plus lourds au Canada. Elle fait remarquer qu'en Ontario, par exemple, les contribuables célèbrent la journée d'affranchissement de l'impôt 10 jours avant les Québécois. L'Alberta est la première province à atteindre la journée de l'affranchissement de l'impôt, soit le 28 mai. Elle est suivie par le Nouveau-Brunswick (3 juin) et l'Ile-du-Prince-Edouard (4 juin). Viennent ensuite le Manitoba (8 juin), l'Ontario (9 juin), la Nouvelle-Ecosse (12 juin), la Colombie-Britannique (13 juin) et le Québec (19 juin). La Saskatchewan arrive à l'avant-dernier rang (20 juin) et Terre-Neuve-et-Labrador est la dernière province à célébrer la journée d'affranchissement de l'impôt, soit le 30 juin. http://www.lesaffaires.com/article/0/gouvernement/2008-06-19/479160/aujourdhui--les-queteacutebeteacutecois-sont-affranchis-de-limpetocirct.fr.html
  20. La multinationale hollandaise Akzo Nobel annoncera aujourd'hui la vente les marques de peinture Para et Crown Diamond. Pour en lire plus...
  21. Réinventer le Vieux-Montréal" - La Ville de Montréal présente son plan de transport intégré pour le Vieux-Montréal MONTREAL, le 14 mars /CNW Telbec/ - M. André Lavallée, responsable de l'aménagement urbain et du transport collectif au comité exécutif de la Ville de Montréal, a présenté aujourd'hui un projet de plan de transport intégré pour le Vieux-Montréal. Ce plan propose de prioriser le transport actif, de consolider l'offre de transport collectif tout en repensant l'accessibilité des voitures pour limiter la circulation de transit de ce secteur de la métropole. "La Ville prend des mesures concrètes pour redonner le Vieux-Montréal aux Montréalais, et plus particulièrement aux résidants et commerçants qui l'animent. La Ville souhaite aussi que les visiteurs puissent se balader à pied dans ce quartier historique, découvrir son histoire et son architecture tout en profitant pleinement des attraits touristiques et de l'ambiance qui s'y dégagent", de déclarer M. Lavallée. Le Vieux-Montréal et le Vieux-Port occupent une place importante dans la vie économique, touristique et culturelle de notre métropole. Au cours des dix dernières années, la population a doublé atteignant 4 500 personnes, le nombre de chambres d'hôtel a quadruplé à près de 1 600, le nombre de travailleurs a progressé du tiers à environ 35 000 et le nombre de visiteurs oscille annuellement entre 13 à 15 millions. Piétons et véhicules se partagent avec difficulté des voies publiques qui, pour bon nombre, ont été conçues dans les années qui ont suivies la fondation de Montréal pour un achalandage nettement plus réduit et des véhicules fort différents. Conformément aux orientations du Plan de transport, soit, choisir le transport collectif comme mode privilégié de déplacement des personnes et favoriser les modes de transport actifs; la stratégie présentée aujourd'hui s'articule autour de cinq interventions : << - piétonniser progressivement la rue Saint-Paul en débutant par le tronçon entre le marché Bonsecours et le boulevard Saint-Laurent et un tronçon de la rue Notre-Dame devant la Place d'Armes et la Basilique Notre-Dame du 15 juin au 15 septembre de 11h à 6h; - mettre en place un nouveau circuit d'autobus de la STM reliant le pôle Vieux-Montréal/Vieux-Port au centre-ville via la rue Peel, le boulevard René-Lévesque et la station de métro Berri-UQAM; - inciter à l'utilisation des stationnements hors rue par l'implantation d'un système de signalisation dynamique pour guider les automobilistes vers les parcs de stationnement situés à proximité et comprenant plus de 8 000 places; - limiter la circulation des autobus touristiques dans le Vieux-Montréal en leur assignant des zones de débarcadères en périphérie et en leur offrant du stationnement hors rue; - apaiser le coeur du Vieux-Montréal, en incitant les conducteurs à utiliser les rues Viger et St-Antoine pour les déplacements entre l'ouest et l'est dans le Vieux-Montréal et en mettant à double sens la rue Saint-Laurent, entre les rues Notre-Dame et Viger. Mentionnons que la Société de Transport de Montréal, la Société du Vieux-Port, le Ministère de la Culture et des communications du Québec et Stationnement de Montréal ont été étroitement liés à l'élaboration des mesures proposées dans le Plan de transport du Vieux-Montréal. Le comité exécutif a mandaté le Bureau du patrimoine, de la toponymie et de l'expertise pour obtenir rapidement les avis de l'arrondissement Ville-Marie et des principaux partenaires que sont Tourisme Montréal, la Société de développement du Vieux-Montréal, l'Association des résidants du Vieux-Montréal et la Table de concertation du Vieux-Montréal. Monsieur Lavallée est confiant que les premières mesures pourront être mises en place d'ici le début de l'été 2008. >> Renseignements: Lucie-Anne Fabien, ARP, Service des Communications et des relations avec les citoyens, (514) 872-6063; Source: Maxime Chagnon, Cabinet du maire et du comité exécutif, (514) 872-6412
  22. Vivre en anglais au Québec: possible mais contraignant Louise Leduc La Presse Pour la première fois depuis 1976, le nombre d'anglophones est en hausse au Québec. En 2006, il atteignait 607 000 personnes, comparativement à 591 000 en 2001, révélaient cette semaine les toutes dernières données du recensement. Tout se passe comme si, finalement, les anglos se plaisaient bien au Québec et qu'un modus vivendi avait été trouvé avec les francophones. Puis survient une «affaire» Koivu. Une controverse autour d'un projet de loi sur l'identité québécoise. Suffirait-il de presque rien pour que? Marvin Rotrand se lève. Il fait son discours. Pour une première intervention à l'hôtel de ville de Montréal, il est plutôt fier de lui, fier de son éloquence, fier de son aisance. Il se rassoit. Personne ne dit mot. À la pause, il interroge ses confrères conseillers. Pourquoi personne n'a réagi? Parce que personne n'avait compris. Il avait parlé anglais du début à la fin. Vingt-cinq ans plus tard, Marvin Rotrand est toujours conseiller municipal, mais il est aujourd'hui bilingue. «Tout mon français, je l'ai appris à l'hôtel de ville.» Jusque-là, dit-il, il avait vécu «à part», en anglais, à Montréal. Par la force des choses. Ses parents, arrivés ici après avoir survécu aux camps de concentration, ont été dirigés vers des commissions scolaires anglophones puisqu'ils n'étaient pas catholiques. Puis un jour, pour être élu, Marvin Rotrand a eu besoin de votes. «Si on veut être interviewé par Radio-Canada, c'est bien utile, de savoir parler français...» Combien sont-ils aujourd'hui à vivre tout le temps en anglais à Montréal? David Corcos, qui étudie au collège Dawson, affirme qu'il a autour de lui «autant d'amis bilingues que d'amis incapables de suivre une conversation en français». «Mon chum est photographe et le fait de ne pas parler un mot de français est très limitant pour lui, raconte pour sa part Shana Panasuk, étudiante au même collège. Quand il veut photographier des gens, je dois les aborder pour lui.» À l'inverse, le fait d'être parfaitement bilingue facilite la vie de Shana. «Quand j'ai postulé pour un emploi de caissière au Canadian Tire, je l'ai eu tout de suite. Celui qui m'a interviewé exigeait des candidats bilingues, et j'étais la seule à l'être.» Lindsay Green, résidante de Côte-Saint-Luc âgée de 18 ans, est unilingue et n'y voit encore aucun problème. «Je veux devenir architecte. Peut-être que, plus tard, ce sera un problème de parler anglais seulement, mais ça ne l'est pas pour l'instant. J'étudie en anglais, mes amis sont anglophones, ça ne m'arrive jamais d'avoir à parler français.» L'appel du large Les étudiants unilingues rencontrés ont tôt fait d'évoquer la possibilité de quitter le Québec. Si ça ne marche pas, j'irai ailleurs. Entendre: à Toronto, surtout. Le feront-ils? Contre toute attente, depuis cinq ans, malgré le boom albertain, les anglophones sont restés au Québec comme jamais depuis 1976. «Pourquoi partiraient-ils? Ils sont bien! Ils peuvent vivre en anglais tous les jours de leur vie au Québec!» lance Charles Castonguay, mathématicien de l'Université d'Ottawa qui a passé sa vie à décortiquer l'évolution du fait français au Québec et qui a été catastrophé par le dévoilement des derniers chiffres du recensement. Larry Smith, PDG des Alouettes, doute aussi - mais pour d'autres raisons - que les anglophones mettent encore massivement les voiles. «Toronto, c'est vraiment un autre monde. Toronto, c'est comme New York. C'est l'argent et le travail. Ici, au Québec, on travaille, mais avoir du fun, c'est important aussi. On tient à notre qualité de vie.» Marvin Rotrand refuse pour sa part de se hasarder dans des prédictions sur l'avenir de la communauté anglophone de Montréal. «Trop imprévisible. Qui sait, peut-être les anglophones de Toronto ou d'ailleurs réaliseront-ils à quel point la vie est bonne ici, et qu'un loyer à Montréal, c'est moins cher qu'à Halifax!» Une communauté éclatée Ce qui est sûr, c'est que la communauté anglophone est moins homogène qu'avant, se confondant aujourd'hui avec les allophones qui demeurent nombreux à adopter l'anglais. Moins homogène, et manifestement plus dispersée. «J'ai longtemps habité rue Brébeuf, dans le Plateau, et j'étais vraiment le seul anglophone là! dit Brian Wright, qui travaille dans le milieu théâtral. Mes amis ne déménageaient jamais à l'est de la rue Saint-Denis. Aujourd'hui, il y a plein d'anglophones dans le Plateau, et même au coeur d'Hochelaga-Maisonneuve. Je ne suis plus seul de ma gang!» Selon les dernières données sociodémographiques, le Plateau-Mont-Royal comptait 12% de résidants ayant l'anglais pour langue maternelle. De la même manière, «les châteaux forts anglophones ne sont plus aussi homogènes qu'ils l'étaient, fait observer le reporter Stéphane Giroux, qui couvre la communauté anglophone pour la chaîne CTV. Aussi francophones soient-ils, mon frère et ma soeur habitent dans le West Island et ils sont loin d'être l'exception.» Les anglos et nous: mythes et réalités Les anglophones québécois sont plus riches Le revenu personnel médian des anglophones et des francophones est presque identique au Québec (21 619$ contre 21 166$) et à Montréal (21 966$ contre 21 599$). Les anglophones ont de meilleurs emplois La proportion d'anglophones qui occupent un poste de cadre (13,4%) est plus élevée que la moyenne provinciale (10,4%). Toutefois, selon les dernières données à ce sujet (en 2001), le taux de chômage des personnes de langue maternelle anglaise était supérieur à la moyenne dans toutes les grandes régions du Québec, à l'exception de Montréal. Les lois linguistiques donnent des boutons aux anglophones. Un vaste sondage CROP réalisé en 2001 pour l'Institut Missisquoi révélait que la moitié des anglophones du Québec croyaient légitime que le gouvernement québécois adopte des lois visant à protéger la langue française. Anglophones et francophones se sentent menacés. Soixante-six pour cent des répondants d'un sondage CROP mené en 2001 disaient croire que l'avenir de la communauté anglophone de leur région était menacé. Seulement 14% des francophones le croyaient. À l'inverse, 61% des francophones croyaient que le français était menacé au Québec. Près des deux tiers des anglophones sont en désaccord avec cette idée. Maudits anglos? Quatre-vingt-trois pour cent des francophones, dans le même sondage, ont déclaré avoir de bonnes ou de très bonnes relations avec les anglophones. Sources: Vers l'avant: évolution de la communauté d'expression anglaise au Québec, novembre 2004; CROP, Survey of the English-Speaking Community of Québec, 2001.
  23. Aujourd'hui, il faisait beau, plus chaud, et j'avais à faire au centre-ville. J'en ai profité pour marcher un peu avant que le soleil ne se couche. ------------------------------------------------------------------ 333 Sherbrooke Le Montmarte Hilton Garden Inn Il me fascine... Louis Bohème Le Monstre Il faut que je fasse ça dans ma vie Pour la deuxième fois dans ma vie, j'ai apprécié la Place Ville-Marie
  24. Le Mile-End est en vedette dans une série de trois articles, soit ce samedi, hier et aujourd'hui : http://www.canada.com/montrealgazette/story.html?id=7385f0ff-19ee-4b6e-9aeb-b47051c89721&k=74562&p=1 http://www.canada.com/montrealgazette/story.html?id=c1a1b07e-ea53-4641-930d-16f664c37889 http://www.canada.com/montrealgazette/story.html?id=6d7c1657-ebcb-49af-9e62-8d40d85e7161
  25. PLUS DE 3 MILLIARDS D'INVESTISSEMENTS DANS LA CONSTRUCTION AU CENTRE-VILLE DE MONTRÉAL Montréal, le 25 octobre 2007 - « Tous projets confondus – privé et public –, l'arrondissement de Ville-Marie bénéficie, aujourd'hui, de plus de trois milliards de dollars d'investissements dans la construction d'immeubles, a annoncé aujourd'hui Benoit Labonté lors de son discours devant les membres de BOMA (Building Owners and Managers Association). » Monsieur Labonté a notamment fait état des changements majeurs qui se sont opérés, depuis un an dans l'arrondissement de Ville-Marie, quant à la lutte à la bureaucratie qui caractérisait les démarches pour l'obtention de permis pour les développeurs. Ainsi, aujourd'hui, dans Ville-Marie, les demandes de permis de construire émanant du secteur privé et qui ne nécessitent pas de dérogations majeurs au plan d'urbanisme sont traités, en moyenne, dans des délais inférieurs à 100 jours plutôt que 400 jours auparavant. « L'instauration dans Ville-Marie d'un fast-track, a expliqué M. Labonté, donne des résultats éloquents puisqu'à l'heure actuelle, en excluant les projets du CHUM et de la Gare Viger,la valeur des travaux de construction des projets d'importance se situe à 700 millions de dollars. Nous avons déjà diminué de près de 50% le temps de traitement des projets qui nécessitent une décision du conseil d'arrondissement, et de plus de 70%, le temps requis pour les projets qui ne nécessitent qu'une décision administrative. » Monsieur Labonté a également annoncé qu'il donnait le signal de départ de la révision complète de toute la réglementation relative à l'urbanisme dans Ville-Marie.« Au cours des prochaines semaines, a-t-il déclaré, nous reverrons en profondeur nos manières de faire, afin d'améliorer la réglementation en matière d'urbanisme en vigueur dans l'arrondissement. Nous ferons du benchmarking avec des villes comme Barcelone, Boston, Berlin et Buenos Aires. Nous allons nous comparer aux leaders et nous inspirer des meilleures pratiques. » De plus, en 2008, des mesures réglementaires, administratives et financières novatrices seront implantées dans Ville-Marie, afin d'encourager, d'une façon très concrète, les développeurs qui accepteront de prendre, avec nous, l'important virage de la mise en valeur du patrimoine, du design, ainsi que du développement durable. L'arrondissement de Ville-Marie sera toujours un partenaire de choix, un facilitateur, pour ceux qui auront le flair et le courage d'investir strictement dans la qualité et la beauté, en s'assurant qu'ils puissent en bénéficier à long terme, tel un investissement immobilier judicieux et réfléchi.
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