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  1. A whole bunch of errors regarding building floor count but interesting nonetheless. Publié le 03 novembre 2016 à 11h18 | Mis à jour à 11h18 Montréal en silhouette Le centre-ville en 1967... (Photo fournie par l'Office de tourisme du Canada) MARC TISON La Presse Comment a évolué la silhouette du centre-ville de Montréal ? Ce qui ressemblait à un calme électrocardiogramme animé de quelques pics au milieu des années 60 s'est transformé en un profil beaucoup plus chargé, un demi-siècle plus tard. Trois photos, trois silhouettes, trois époques marquées par le génie civil. Le centre-ville en 1993... (Photo Robert Nadon, archives La Presse) - image 1.0 PHOTO ROBERT NADON, ARCHIVES LA PRESSE Le centre-ville l'hiver dernier... (PHOTO Martin Chamberland, archives LA PRESSE) - image 1.1 PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE VERS 1967 La plupart des plus hautes flèches qui se découpent dans le ciel montréalais ont été construites durant les années 60. C'est l'âge d'or de la construction en hauteur, après une interruption d'une trentaine d'années, en raison de la crise économique et de la Seconde Guerre mondiale. Au centre se dresse le trio de la faste année 1962, formé de la tour CIBC, de la tour Telus et de la Place Ville-Marie. Toutes excèdent 45 étages. Au milieu d'elles s'insère la tour Terminal (maintenant le 800, boul. René-Lévesque Ouest), en cours de construction. Elle atteindra 122 m et 30 étages. Isolée sur la gauche, soulignée par ses arêtes de béton, la Tour de la Bourse est le dernier membre des géants des années 60. Achevée en 1964, elle a été pendant trois ans le plus haut édifice du Canada, avec ses 190 m et ses 47 étages. Devant elle, sous son toit pyramidal, l'édifice de la Banque Royale, érigé en 1928, a été en son temps le plus haut bâtiment de l'Empire britannique. L'Édifice de la Sun Life, vigoureuse structure néoclassique au centre de la photo, lui enlèvera la palme en 1933. En arrière-plan se profile la silhouette blanche de l'hôtel Château Champlain, qui vient tout juste d'être achevé. À droite, le siège social d'Hydro-Québec, lui aussi terminé en 1962, compte 22 étages. 40 étages et plus : 3 édifices 125 m et plus : 7 édifices EN 1993 Dépassant pour la première fois les géants construits 30 ans plus tôt, deux nouveaux gratte-ciel de 47 et 51 étages font leur entrée dans le paysage. Les tours IBM Marathon et 1000 De la Gauchetière sont construites presque en concurrence, en 1992. C'est la même année qu'a été achevée la Tour McGill, aussi appelée Le 1501 McGill-College, dont le sommet en pyramide à degrés culmine à 158 m, avec 36 étages. Plus à droite, le Complexe Desjardins, construit en 1976, élève une de ses tours sur 40 étages. Elle cache la tour KPMG (146 m, 34 étages), terminée en 1987. Le Vieux-Montréal a été assombri par les ombres du nouveau palais de justice et de la Tour Banque Canadienne Nationale (1968), maintenant connu comme le 500 Place D'Armes. En 1983, les tours quasi jumelles Bell et Banque Nationale ont dressé leurs parois argentées sur 28 étages. 40 étages et plus : 6 édifices 125 m et plus : 17 édifices EN 2016 Aucun nouveau géant n'a encore supplanté les colosses érigés un demi-siècle plus tôt. En fait, durant les deux décennies qui ont suivi la photo précédente, aucun édifice de plus de 125 m n'a été construit. Il a fallu attendre 2014 pour que cette barre soit de nouveau franchie, avec la construction de l'hôtel Marriott Courtyard Montréal Centre-Ville. Ses 40 étages se répartissent sur 138 m, entre la Place Ville-Marie et Le 1501 McGill-College. Elle a été suivie en 2015 par la Tour Deloitte sur 133 m et 24 étages. Elle est ici masquée par la Tour de la Bourse. En arrière-plan, en partie cachée par l'édifice 1000 De la Gauchetière, la Tour des Canadiens achève sa construction, tout à côté du Centre Bell. Elle s'élèvera sur 167 m et 50 étages, au 7e rang des plus hauts édifices du centre-ville de Montréal. Ce rang lui sera rapidement ravi par L'Avenue, tour de 50 étages elle aussi, mais qui culminera à 183 m. À droite, les masses lisses du CHUM bordent maintenant le Vieux-Montréal. 40 étages et plus : 7 édifices 125 m et plus : 19 édifices
  2. Premier épisode d’une série de quatre courts métrages documentaires sur les gratte-ciel, Terre retrace les origines de la tour d’habitation, depuis la tour de Babel de la Bible jusqu’aux immeubles locatifs de piètre qualité de la ville de New York. Narré par la chanteuse Feist, ce film a été réalisé par Katerina Cizek à partir des archives du New York Times. http://www.onf.ca/film/la_vie_a_la_verticale_partie1
  3. http://www.lactualite.com/blogues/le-fouineur/montreal-il-y-a-50-ans/ <header style="margin: 0px 0px 20px; padding: 0px 0px 20px; border-width: 0px 0px 1px; border-bottom-style: solid; border-bottom-color: rgb(204, 204, 204); font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; float: left; width: 1000px;">Voici à quoi ressemblait la vie à Montréal, en 1964. <time class="published" title="2014-01-08T16:26:58+00:00" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline;">8 jan. 2014</time>par Vincent Destouches <ins style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: bottom; width: 300px; height: 250px; display: inline-table; position: relative;"><ins style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; width: 300px; height: 250px; display: block; position: relative;"><iframe id="google_ads_iframe_/7326/Rogers.ExchangePassbacks/lactualite.CPGFrench_1" name="google_ads_iframe_/7326/Rogers.ExchangePassbacks/lactualite.CPGFrench_1" width="300" height="250" scrolling="no" marginwidth="0" marginheight="0" frameborder="0" style="margin: 0px; padding: 0px; border-width: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; position: absolute; top: 0px; left: 0px;"></iframe></ins></ins> </header> En 1964, les rues étaient tout aussi enneigées. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, les Montréalais se promenaient au Jardin des Merveilles, et les enfants profitaient de la baleine de Jonas ou encore de l’arche de Noé. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la Ville se préparait à accueillir l’Expo 67 en agrandissant l’île Sainte-Hélène et en érigeant l’île Notre-Dame. En 1964, la Place Ville Marie trônait depuis deux ans seulement sur le centre-ville. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le pont Champlain tenait sans super-poutre. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le Vieux-Montréal était à l’aube d’une transformation. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la gare Windsor servait encore de terminus et de siège social au Canadien Pacifique. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, il n’y avait pas de plage urbaine ni d’Igloofest dans le port de Montréal. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, on faisait du bateau sur l’étang du parc La Fontaine, lors des beaux vendredis d’été. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la rue Sainte-Catherine était à double sens. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, les Montréalais n’utilisaient pas le métro, mais seulement les bus de la Commission de transport de Montréal (CTM), l’ancêtre de la STM. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, on allait voir les Canadiens affronter les Bruins au Forum. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, Claude Léveillée, Nat King Cole et Charles Aznavour se produisaient à la Place des Arts. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le défilé de la Saint-Jean-Baptiste était haut en couleur, comme ici le char de la pêche sportive. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la Maison de Radio-Canada n’existait pas encore. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le mont Royal était un poil plus fringant. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, l’aéroport de Dorval était le plus achalandé au Canada. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, il y avait quelques tours en moins au centre ville, mais les nuits montréalaises étaient toutes aussi belles. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Quant à 1914, on dirait que c’était il y a un siècle… Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Toutes ces photos appartiennent aux Archives de la Ville de Montréal. Rendez-vous sur leur page Flickr pour en voir davantage.
  4. Le compte Flickr des Archives de la Ville de Montréal http://www.flickr.com/photos/archivesmontreal/ On y trouve des photos vraiment intéressantes, comme des photos de la construction de la place Ville-Marie
  5. http://instagram.com/oldmontreal Old Montreal: Preparations are made for the Bonsecours Market's "new" $621,700 dome to be lifted into place in this photo from 1977. The original dome 130 year-old dome had been gutted by fire. For more from The Gazette archives, or to follow our @OldMontreal Instagram account, visit: http://bit.ly/OldMTL
  6. Montréal 1957, Archives de la Ville de Montréal Francais: ( ) ( ) English: ( ) ( ) Where is the located (University at St-Antoine)? And when/why did the MGH stop flying the ?
  7. Archives de Montréal par l'entremise du projet de "Montréal, Ville Ouverte" nous offre plus de 3900 photos de 3262x3300 pixels chacunes qui, une fois toute ensemble, vous donnerais une IMMENSE image aérienne de Montréal tel que vu en 1947-49. Si toutes les photos étais attaché, cela donnerais une photos de 205 506 pixels x 207 000 pixels. Pour ceux qui ne s'y connaissent pas en informatique ou en photographie numérique.... c'est grand en crisse !!!!!!! Ceci étant dit, malgré une idée des lignes de survol selon la carte sur le site de données Montréal. Il est difficile de trouver où on se retrouve, mais si comme moi, vous êtes un peu un weirdo d'histoire, vous pouvez regarder ces photos pendant des heures litérallement!!!! Je me promet d'essayer de "stitcher" toutes ces photos un jour ou l'autre. Téléchargez ce fichier excel qui contient les 3920 liens de téléchargement. http://archivesdemontreal.com/greffe/vues-aeriennes-archives/data.zip (Fichier Zip incluant fichier excell et Open Office) Archives de Montréal http://archivesdemontreal.com/2013/02/23/des-vues-aeriennes-de-lile-de-montreal-entre-1947-et-1949/ Montréal, Ville Ouverte http://donnees.ville.montreal.qc.ca/fiche/vues-aeriennes-archives/ "Avertissement.... Orgasme Historique"
  8. Voici une collection de photos d'archives provenant de la ville de Montréal Un exemple : Construction de la tour de la bourse en 1964 La collection complète http://www.flickr.com/photos/archivesmontreal/
  9. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2011/08/02/montreal-remix-ou-la-ville-selon-les-montrealophiles/
  10. Montréal se souvient Une exposition fait revivre les quartiers détruits au nom de la modernité dans les années 50 et 60 Jeanne Corriveau 8 juin 2011 Actualités en société Photo : Archives de la ville de Montréal Intérieur du barbier A. Plouffe sur la rue Craig, Faubourg à m'lasse, 1963. À RETENIR Quartiers disparus Dans les années 50 et 60, les quartiers Faubourg à m'lasse et Goose Village ainsi qu'une partie du Red Light montréalais ont été rasés au nom de la modernité et de la «vision monumentale» du maire de Montréal de l'époque, Jean Drapeau. Des milliers de logements ouvriers ont disparu, mais les souvenirs sont restés dans l'esprit de ceux qui ont vécu dans ces quartiers tricotés serrés. Le Centre d'histoire de Montréal a entrepris de faire revivre ces quartiers disparus en puisant dans l'impressionnante collection des Archives de la Ville de Montréal et en donnant la parole aux anciens résidants expropriés dans le cadre d'une exposition qui s'ouvrira la semaine prochaine. Frances Ortuso n'a pas oublié le quartier de son enfance, le Goose Village, situé à proximité du pont Victoria et où de nombreux immigrants italiens avaient choisi de s'établir. On dit que l'ex-maire Drapeau n'appréciait guère la présence gênante de ce quartier défavorisé que les visiteurs de l'Expo 67 ne pourraient manquer d'apercevoir en entrant dans la ville. Mieux valait le faire disparaître. Quoi qu'il en soit, les bulldozers ont rasé le site en 1964 pour permettre la construction de l'Autostade, un stade de football qui a été démantelé dans les années 70. Le site accueille maintenant un stationnement. «C'est comme une mort, explique Frances Ortuso dans le témoignage vidéo recueilli par Catherine Charlebois et Stéphanie Lacroix, du Centre d'histoire. Une partie de notre histoire est morte le jour où ils ont décidé de faire l'Expo 67. Il a fallu traverser une période de deuil, comme lors d'un décès, parce qu'il y avait quelque chose de perdu. Les souvenirs sont encore là, mais les maisons sont disparues et les gens sont partis.» Ex-résidante du Faubourg à m'lasse où s'est érigée la Maison de Radio-Canada dans les années 70, Jeanelle Bouffard raconte ses souvenirs pénibles. «Ce que j'ai trouvé le plus difficile, c'est quand on a vu la démolition se faire. Et là, tu te dis: "Il n'y a plus de traces de ton enfance"», relate-t-elle. Quelque 5000 résidants de ce quartier défavorisé ont dû trouver un autre logis avant que les démolisseurs investissent les lieux en 1963. La même inquiétude, mêlée parfois de résignation, émane des propos des autres anciens résidants. Certains ne regrettent pas leur demeure aux murs décrépits, aux escaliers branlants et aux conditions insalubres. Plusieurs ont applaudi la modernité et les grands projets de l'époque. Pour sa part, l'ancien urbaniste de la Ville de Montréal Guy R. Legault se porte à défense de la construction de l'autoroute Ville-Marie. «De dire qu'on a déchiré la ville, c'est une fausseté», soutient-il aujourd'hui en rappelant la mauvaise qualité des sous-sols dans ce secteur, l'occupation industrielle du site et la rareté des habitations. L'aménagement de l'autoroute a soustrait de la vue la circulation automobile et réduit les nuisances liées au bruit tout en permettant la construction d'édifices en surface, rappelle-t-il. Travail d'enquête Le projet d'exposition des quartiers disparus mûrit depuis dix ans dans l'esprit des dirigeants du Centre d'histoire de Montréal. Il y a deux ans, le Centre s'est lancé dans ses recherches plus intensives pour documenter son projet. L'équipe a retrouvé d'anciens résidants qui ont livré leur témoignage sur vidéo et ont obtenu les commentaires éclairés d'experts en urbanisme, en architecture et en patrimoine. Elle a aussi épluché la vaste collection de photos du Centre des archives de la Ville de Montréal puisque, consciencieusement, des fonctionnaires avaient pris soin de prendre en photo toutes les maisons destinées à être démolies en plus de croquer des scènes à l'intérieur des immeubles. «On ne veut pas démoniser la modernité, même si la nostalgie et le choc émotif ont marqué beaucoup de résidants. On a essayé de garder un certain équilibre, explique en entrevue Jean-François Leclerc, directeur du Centre d'histoire de Montréal. Ça passe beaucoup par les propos des témoins. Les photos sont importantes, mais les images que les gens vont créer par leurs descriptions sont très fortes aussi, notamment quand un ancien résidant du Red Light parle de la cohabitation des prostituées et des bonnes familles canadiennes-françaises ou italiennes. Ce sont des quartiers contrastés.» Rappelons que ce secteur du Red Light a été remplacé par les Habitations Jeanne-Mance. La voix des citoyens Il y a toujours eu de grands projets dans la métropole, mais l'autoroute Ville-Marie va faire émerger une contestation citoyenne. «C'est un sujet d'actualité, mais on n'avait pas planifié notre projet en même temps que l'échangeur Turcot», signale Jean-François Leclerc. Les grands projets qui ont amené ces destructions massives n'ont peut-être pas permis les développements anticipés et plusieurs projets ont fini avec des dimensions plus modestes: «Mais il y a peut-être de bons côtés à ça, c'est qu'on n'est pas allés au bout d'erreurs commises ailleurs dans le monde», fait remarquer M. Leclerc. «Que seraient devenus ces quartiers-là? Peut-être que comme dans le Plateau-Mont-Royal, il y aurait eu une période de déclin et, avec l'augmentation de la valeur immobilière, on aurait fait autre chose avec ça. C'est probable, mais ce n'est pas absolument certain», avance M. Leclerc. «Mais au moins, la leçon des années 60 va probablement éviter que d'autres quartiers soient détruits», précise-t-il, tout en émettant quelques doutes... Baptisée Quartiers disparus et présentée en collaboration avec les Archives de la Ville de Montréal, l'exposition-documentaire se déroulera du 15 juin prochain au 25 mars 2012 au 335, place d'Youville, dans le Vieux-Montréal. L'événement aura des antennes dans d'autres quartiers, notamment dans l'arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, où la construction du pont-tunnel Louis Hyppolyte-Lafontaine a entraîné la destruction d'une portion de Longue-Pointe. archives, quartier, urbanisme, habitation, Montréal, Histoire du Québec, Société Radio-Canada (SRC) http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/324964/montre-al-se-souvient Voir aussi: http://www.accesculture.com/contenu/quartiersdisparus
  11. Les archives de Montréal Qui sommes-nous? Nos archives Nos expositions virtuelles Connaître l’histoire de Montréal Accueil Nouvel horaire de la salle de consultation des archives Depuis le 9 août dernier, la salle de consultation des archives est dorénavant fermée les lundis pour nous permettre de développer de nouveaux outils de recherche pour nos usagers et d’améliorer notre offre de services sur le site web Archives de Montréal. Notre nouvel horaire est donc du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h à 16 h 30. Les Archives de Montréal et le Web 2.0La Section des archives de la Ville de Montréal utilise les médias sociaux avec l’intention de rendre l’histoire de Montréal accessible à tous et par tous les canaux possibles. Nous sommes présents par notre blogue Archives de Montréal, nos comptes Facebook et Twitter, notre site de photos Flickr et notre canal You Tube. Consultez-les et abonnez-vous! Le Guide des archives Les procès-verbaux du Conseil municipal - 2001-2010 Les règlements municipaux depuis 1840 Les fonds et collections d'archives reliés à Expo 67 Montréal, 500 ans d'histoire en archives La démocratie à Montréal La Roulotte, une demi-siècle de magie! Le centenaire du canadien La parade de la Coupe Stanley de 1966 La parade de la Coupe Stanley de 1971 Consultez d'autres albums photos sur Flickr Communiqués Pour nous joindre Liens rapides > Guide des archives > Ligne du temps > Maires de Montréal > Rues de Montréal > Photographies de Montréal (1930-1960) > Photographies du Québec (1910-1950) > Expo 67 > Expo 67, 40 ans Liens utiles > Répertoire toponymique > Jacques Viger. L'album Viger : Souvenirs canadiens > Jeux olympiques de 1976 > Le patrimoine du Vieux-Montréal > Centre d'histoire de Montréal > Bibliothèque de Montréal > Bibliothèque et Archives nationales du Québec > Bibliothèque et Archives Canada > Société historique de Montréal ® Tous droits réservés, Ville de Montréal http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=165,114997&_dad=portal&_schema=PORTAL
  12. Je ne sais pas trop ou mettre ce genre de ''nouvelle'' car il ne semble pas y avoir beaucoup de détail autour de ce projet, pour l'Instant. Est-ce que c'est une proposition ? Est-ce que c'est approuvé ? Est-ce que c'est une rénovation ? Enfin....nous le saurons surement bientot. Il s'agit de la futur ''Maison du Maroc'' qui s'installera, selon moi, au coin de Viger et Berri (nord-est) c'est à dire dans un immeuble déjà existant qui devrait etre rénové. Juste à coté des Archives Nationales. http://www.acdf.ca/site/fr/projet/1/100-Maison-du-Maroc-Montreal/
  13. Le Service de la gestion des documents et des archives de HEC Montréal présente l'exposition virtuelle: Dupuis et Frères, le Magasin du Peuple (1868-1978) http://experience.hec.ca/dupuis_et_freres/
  14. Votre nouvelle flamme insiste pour convoler en justes noces et vous ne pouvez mettre la main sur votre jugement de divorce, probablement mal rangé? Pour en lire plus...
  15. Le cellulaire au volant bientôt interdit Photo Martin Chamberland, Archives La Presse Sidhartha Banerjee Presse Canadienne Montréal Deux provinces canadiennes sont sur le point d'interdire l'utilisation du téléphone cellulaire au volant, suivant ainsi l'exemple de Terre-Neuve-et-Labrador, première à l'avoir fait. Les gouvernements du Québec et de la Nouvelle-Écosse espèrent que les nouvelles lois devant entrer en vigueur mardi permettront d'accroître la vigilance des automobilistes et de réduire les accidents mortels sur les routes. Les appareils à mains libres seront toujours autorisés dans les deux provinces, mais certains observateurs avancent que l'interdiction des cellulaires ne constitue pas la voie à suivre. Raynald Marchand, du Conseil canadien de la sécurité, affirme que les interdictions des cellulaires détournent l'attention du vrai problème, qui est la distraction des conducteurs. «Des études démontrent que (les cellulaires ne sont) pas le problème», a déclaré M. Marchand lors d'une entrevue accordée depuis Ottawa. «Le problème est le niveau de distraction, qu'il s'agisse d'un cellulaire tenu à la main ou d'un appareil à mains libres. Le cellulaire à mains libres n'est pas sans distraction», a-t-il ajouté. «Pour plusieurs personnes, le cellulaire à mains libres pourrait être pire parce que certaines études démontrent que les gens ont tendance à parler plus longtemps avec un tel appareil, qu'elles ne roulent pas à droite et ne ralentissent pas», a poursuivi M. Marchand. «Je ne suis pas certain que nous fassions la bonne chose», a-t-il enfin indiqué. Au Québec, la composition d'un numéro au volant constitue une question sérieuse. Le bureau du coroner du Québec a fait état d'au moins 24 décès survenus à la suite d'accidents lors desquels le cellulaire a constitué un facteur. Dans la province, l'utilisation du cellulaire au volant sera passible d'une amende d'environ 100$. La nouvelle loi sera plus sévère en Nouvelle-Écosse, où les conducteurs feront face à une amende de 164,50$ pour une première infraction. L'amende augmentera à 222$ à la suite de la deuxième infraction et passera à 337$ pour chacune des suivantes. Selon un sondage mené par la Canadian Traffic Injury Research Foundation, 37 pour cent des automobilistes ont reconnu avoir utilisé leur cellulaire tandis qu'ils se trouvaient au volant en 2007. http://www.cyberpresse.ca/article/20080330/CPACTUALITES/80330074/6488/CPACTUALITES
  16. Cinquante millions de travaux à Bordeaux Photo Archives La Presse Sara Champagne La Presse Malgré de multiples dérogations aux règles d'urbanisme, les élus de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville donneront leur bénédiction à l'agrandissement de la prison de Bordeaux à leur première séance du conseil de l'année, prévue lundi. Les citoyens qui s'y opposent, et qui vivent dans la zone visée, auront cette dernière journée pour signer un registre en vue d'obtenir un référendum et de renverser la décision. Les travaux de 50 millions, qui comprennent la rénovation d'une aile de détention, nécessiteront la démolition partielle d'un mur de pierre centenaire, pour faire place à un édifice en forme de «L», qui abritera d'un côté des services administratifs, et de l'autre côté une nouvelle buanderie, des ateliers et des salles de formation. Le nouveau pavillon comprendrait trois étages (14 mètres), au lieu des deux étages permis dans le secteur, ce qui aurait pour effet de masquer une partie du mur. Une nouvelle section de tunnel serait creusée. Le projet prévoit un nouveau de quai de chargement aménagé à l'avant, sur le boulevard Gouin, et une nouvelle entrée avec trois portes de garage, dont deux pour le transport des prisonniers et une pour de l'équipement. Lorsque le ministère de la Sécurité publique a annoncé son intention de faire construire un nouveau pavillon, il y a plus d'un an, il avait expliqué qu'il était nécessaire de désengorger l'entrée principale de la prison, et de sécuriser les lieux utilisés par le personnel. Depuis quelques années, la prison déborde, mais il n'est pas prévu de construire de nouvelles cellules, indique-t-on au ministère. «Il n'y a pas un manque de places en tant que tel à Bordeaux, mais c'est en quelque sorte un lieu de transfert, et il y a une forme de débordement, explique Réal Roussy, conseiller en communication au ministère. Le ministère privilégie donc l'autonomie régionale, et a déjà annoncé des sommes pour ajouter des cellules dans d'autres centres carcéraux du Québec.» Style «Pennsylvania» À la suite d'un avis du Conseil du patrimoine de Montréal qui voyait d'un mauvais oeil la démolition du mur de forme pentagonale, en maçonnerie, le ministère a demandé à des architectes d'étudier la valeur de la prison qui date du début du siècle dernier. Il appert que le centre de détention est l'un des seuls au Canada à être conçu selon le plan «Pennsylvania», où l'on favorisait l'isolement cellulaire, avec des ailes positionnées en forme d'étoile autour d'une rotonde. «La prison possède de nombreuses caractéristiques architecturales d'origine de grande qualité et de grande valeur, peut-on lire dans le projet qui sera approuvé par les élus, mais la rigidité du classicisme dans la composition constitue une contrainte de taille aux nouveaux besoins et rend l'insertion d'un nouveau bâtiment plus difficile.» En conséquence, notamment pour des raisons de sécurité et de coûts, la Société immobilière du Québec, qui est propriétaire du centre, n'a pas été en mesure de proposer un projet qui évite la démolition partielle du mur, et la diminution des hauteurs. http://www.cyberpresse.ca/article/20080112/CPACTUALITES/801120782/1019/CPACTUALITES
  17. Je la reçois depuis 3 mois maintenant est c'est intéressant; particulièrement le numéro de ce mois ci. Ils font un sommaire de tout les projets au Centre-Ville avec des détails intéressants. Cette revue parle de culture, d'architecture, de finance, etc. Tout en lien avec ce qui se passe au centre-ville. Je vous la recommande fortement, surtout que c'est gratuit ! Vous avez les archives en intégral sur leur site web et des extraits du numéro actuel, sinon je crois que c'est possible de s'inscrire pour le recevoir gratuitement chez soi, sur la page d'acceuil de leur site, les détails sont là. http://www.montrealcentreville.ca
  18. Une date tentative, alors qui pourra venir??
  19. Allez voir ca: http://www.banq.qc.ca/portal/dt/collections/cartes_plans/cartes_plans.jsp?bnq_langue=fr
  20. Amende de 29 500$ pour dépassement de vitesse en Finlande Photo archives La Presse Agence France-Presse Helsinki Un homme d'affaires suédois a été condamné à 20 500 euros (29 500$ CAN) d'amende pour avoir roulé à 67 km/h dans une zone limitée à 30 km/h sur l'île finlandaise d'Aaland, où le montant de ce type de contravention est basé sur le revenu. Le promoteur immobilier a été flashé en mars dernier, a indiqué à l'AFP Jens-Erik Budd, procureur en chef de ce territoire autonome finlandais de la mer Baltique. Conformément à la loi en Finlande, où les amendes sont déplafonnées et proportionnelles au revenu, il a été condamné à 50 amendes-jour de 410 euros (588$ CAN) pour mise en danger de la vie d'autrui. Le tribunal a retenu les circonstances aggravantes en raison de la présence de nombreuses écoles à l'endroit de l'infraction. Selon les calculs du tribunal d'instance d'Aaland, le contrevenant a déclaré en 2006 des revenus nets de 290 000 euros (416 000$ CAN). «On peut en rire pendant quelques jours, je peux payer, mais c'est quand même une belle somme», a déclaré le sexagénaire au quotidien suédois Expressen, annonçant son intention de faire appel. Selon Jens-Erik Budd, le chauffard s'en sort pourtant bien malgré le montant exceptionnel de son amende: «Dépasser de plus de 100% la limite de 30 km/h est passible de prison», a-t-il rappelé.
  21. Autoroute Ville-Marie: deux autres voies fermées Photo archives La Presse Ariane Lacoursière La Presse Dès aujourd'hui, se rendre au centre-ville de Montréal sera plus pénible qu'à l'habitude pour les automobilistes. D'importants travaux de réparation entraînent la fermeture de deux voies de l'autoroute Ville-Marie pour une durée indéterminée. «Lors de nos inspections, nous avons découvert des défauts sous la structure de l'autoroute 720. Nous devons tout d'abord poursuivre certaines inspections. Nous commencerons ensuite à effectuer les premiers travaux dans les prochains jours. Par mesure de prévention, on doit toutefois fermer des voies», explique Claude Paquette, chef de projet pour Transports Québec à Montréal. En analysant la structure suspendue de l'autoroute Ville-Marie, les inspecteurs de Transports Québec ont noté que le béton est dans un état avancé de dégradation à plusieurs endroits. «Dans certains coins, l'acier des armatures n'est pas recouvert. C'est ce qui préoccupe nos ingénieurs. Nous allons remettre du béton là-dessus», assure M. Paquette. Deux voies sont donc retranchées sur l'autoroute Ville-Marie, l'une des principales voies d'accès au centre-ville. En direction est, la voie de gauche est fermée de la sortie Atwater jusqu'à la rue Guy. En direction ouest, la même voie est interdite à la circulation de la rue Panet à la rue Saint-Jacques. Comme si ce n'était pas assez, les deux voies de l'autoroute qui sont déjà fermées à la sortie du tunnel Ville-Marie en direction ouest le resteront. «Cela causera quelques problèmes de circulation, c'est sûr», admet M. Paquette. L'autoroute Bonaventure aussi Les conducteurs devront donc s'armer de patience. D'autant plus que l'autoroute Bonaventure, qui relie L'Île-des-Soeurs au centre-ville, fait elle aussi l'objet de réparations. Aux abords du pont Clément, une voie est en effet retranchée dans les deux directions. Curieusement, Transports Québec n'a pas tenu compte de cette donnée. «L'autoroute Bonaventure relève de la Ville de Montréal. En décidant de fermer des voies de l'autoroute Ville-Marie, on n'a pas considéré ce critère. On a décidé d'agir par mesure préventive. Malgré les inconvénients, on doit finaliser nos investigations et fermer des voies», dit M. Paquette.
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