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  1. Tour Mansfield Architectes: DCYSM Fin de la construction:2008 Utilisation: Hôtel/résidentiel Emplacement: Centre-ville, Montréal ? mètres - 32 étages Descriptions: - La tour sera construite juste à côté de l'édifice historique SunLife. - Elle sera juste en face du Square Dorchester.
  2. Il en avait été questions il y a plusieurs mois et je croyais que la ville avait finalement abandonnée l'idée... mais voilà qu'on en jase à l'Hôtel de ville : Merci à IluvMTL 20.20 Contrat de services professionnels CA Bureau du directeur d'arrondissement - 1131145005 Accorder un contrat de services professionnels de 285 425,44 $ à Affleck de la Riva architectes pour l'aménagement du square Cabot et autoriser une dépense maximale de 342 510,53 $ (appel d'offres public VMP-13-026- 6 soumissionnaires) District(s) : Peter-McGill
  3. Publié le 04 avril 2011 à 00h10 | Mis à jour à 00h10 Amphithéâtre: trois concepts impressionnants (Trois-Rivières) À moins de circonstances exceptionnelles, c'est aujourd'hui qu'on devrait savoir de quoi aura l'air l'amphithéâtre de Trois-Rivières. Les trois projets finalistes du concours d'architecture ont fait l'objet d'une présentation publique, hier soir. Les architectes en ont profité pour expliquer leur concept et répondre aux questions du jury, qui doit délibérer aujourd'hui et atteindre un consensus sur le projet gagnant. LE TEMPLE de Paul Laurendeau Architecte. L'amphithéâtre est positionné le plus près possible de la rivière Saint-Maurice. Concept déployé autour de l'idée d'un immense toit de membrane composite reposant sur huit colonnes. Plus de 200 personnes ont assisté à cette présentation publique au cours de laquelle, pour la première fois, on a pu voir de quoi avaient l'air les trois projets finalistes. Les architectes représentant les firmes finalistes avaient tout mis en oeuvre pour concocter des présentations efficaces, informatives et parfois même étonnantes. En fait, ce qui a semblé surprendre les spectateurs qui assistaient à cette présentation, c'est le fait que les trois projets sont très différents les uns des autres. Ils respectent évidemment l'aspect fonctionnel recherché - un amphithéâtre extérieur avec une partie couverte de 3500 sièges et un parterre gazonné de 6500 places - mais ils évoquent, chacun à leur façon, l'idée de doter cet emplacement unique d'un landmark ou d'une image de marque. MODULATION ORCHESTRÉE de ArchitemWolff Shapiro Kuskowsky Architectes. Création d'un volume imposant qui dissimule la cage de scène. Superposition de revêtements qui créent un effet cinétique selon le positionnement. Les architectes de Sid Lee Architecture a proposé une immense coquille ouverte reposant sur trois pieds dont un menant vers un observatoire. La firme Architem a proposé de son côté un amphithéâtre dont le toit allait devenir une place publique, un espace de verdure, à l'ombre d'une imposante structure dont les parois s'animent par un effet de superposition de revêtements. Enfin, Paul Laurendeau a proposé un projet à la fois simple et élégant, celui d'un vaste toit déposé sur huit hautes colonnes, rappelant en quelque sorte l'allure des temples anciens. Les représentants des trois firmes d'architectes finalistes ont dit avoir apprécié l'exercice de la présentation publique, chose à laquelle ils ne sont pas conviés fréquemment. «C'est une formule intéressante parce que l'architecture appartient au domaine public. Alors c'est intéressant d'avoir un public à qui ont présente notre projet», explique Jean Pelland, de Sid Lee Architecture. Cette idée de partager une expérience est partagée par Andrea Wolff, de la firme Architem. «Ça s'est bien passé. Je pense qu'on a eu un bon dialogue avec le jury. C'est toujours intéressant d'expliquer comment on fait ce travail de réflexion quand on a un projet majeur.» TRIPODE de Sid Lee Architecture. Les architectes ont voulu raconter leur projet à travers le passé du site. Il peut arriver, comme dans le cas de Paul Laurendeau, que cette présentation au cours de laquelle les architectes répondent aux questions du jury devienne une occasion de démontrer qu'on a bonifié le projet et tenu compte des commentaires formulés lors de la première étape. «Le jury m'avait demandé de retravailler certains aspects comme l'idée d'avoir une image de marque. C'est comme ça qu'est venue l'idée des lettres géantes», note-t-il. Chacun des finalistes disposait d'une heure en tout, divisée en une présentation de plus ou moins trente minutes et une période de questions de la part des membres du jury. La plupart de ces questions portaient sur des éléments spécifiques du projet comme l'acoustique, les accès, les perspectives et les fonctionnalités scénographiques. Les finalistes attendent maintenant le verdict du jury, qui doit faire connaître sa décision aujourd'hui. Ce n'est toutefois pas ce soir que ce choix sera entériné par le conseil municipal. On parle plutôt du 18 avril, le temps de faire les vérifications d'usage avec l'architecte qui sera choisi. Outre le maire Yves Lévesque, dix conseillers municipaux ont assisté à la présentation, hier soir. Catherine Dufresne aura finalement été la seule représentante du Groupe des sept, auquel s'est même permis de faire allusion, avec humour, l'architecte Paul Laurendeau, visiblement bien informé de la culture trifluvienne et de l'actualité locale. Dans la salle se trouvaient aussi la députée de Champlain à l'Assemblée nationale, Noëlla Champagne, l'ex-député de Trois-Rivières André Gabias, plusieurs architectes, ingénieurs, fonctionnaires de la ville, ainsi que des représentants des milieux économique et culturel. Un promoteur intéressé à développer la portion résidentielle de Trois-Rivières sur Saint-Laurent était aussi au nombre des invités. Rappelons qu'au départ, quarante-sept dossiers avaient été déposés à la Ville pour ce concours d'architecture. Les trois finalistes avaient été dévoilés en novembre dernier. Chacun d'entre eux s'était vu octroyer un budget de 130 000 $ pour développer leur proposition.
  4. Architectes: Birtz Bastien Beaudoin Laforest Architectes Fin de la construction: 2016? Utilisation: Éducation Emplacement: Hochelag' ? mètres - 3 éages Description: Remplacement de l'École Baril, contaminée et démolies au printemps 2015. Le portail de l'actuel édifice de l'école construite en 1911 sera conservé. Un gymnase double vitré, une bibliothèque sur deux étages, 17 arbres plantés et 21 classes fenestrées, voici à quoi ressemblera la nouvelle école Baril dans Hochelaga. Au-delà du style contemporain, l’histoire centenaire de l’établissement sera conservé. «Il était important d’inclure des éléments contemporains, tout en s’inspirant du contexte historique de l’école», indique Clément Bastien, architecte de la firme Birtz Bastien Beaudoin Laforest, qui a présenté les plans de la nouvelle école Baril aux parents, le 30 mars dernier. Comme pour le bâtiment original, la nouvelle structure gardera une base en maçonnerie de pierre. Les deuxième et troisième étages seront en argile. De plus, bien que contaminé, le portail de l’école sera conservé et érigé devant l’entrée principale.
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/726199/claude-provencher-nous-sommes-loin-dune-ville-de-design/ 24/02/2015 Mise à jour : 24 février 2015 | 6:30 Ajuster la taille du texte Claude Provencher: «Montréal est loin d’être une ville de design» Par Vincent Fortier Yves Provencher/Métro Claude Provencher Claude Provencher croit qu’il faut multiplier les grands projets d’exception à Montréal, car on «n’attire pas les touristes avec des mochetés». L’un des architectes les plus applaudis du Québec souhaite un changement de culture majeur à Québec, pour donner à l’aménagement et à l’architecture la place qu’ils méritent. Si vous aviez à donner une note sur 10 à Montréal pour son architecture, quelle serait-elle? 6/10. Ça monte graduellement. Dans les 25 dernières années, il s’est fait un travail de requalification des quartiers centraux et de réappropriation de la ville par certains citoyens. Sur le plan des espaces publics, ça s’est beaucoup amélioré. Je pense aussi qu’on produit de meilleurs architectes et designers urbains. Par contre, tout n’est pas intéressant. Il y a eu des rendez-vous ratés, comme avec les grands hôpitaux (CUSM et CHUM). Vous dites que nous formons de bons architectes. Leur donne-t-on la chance de s’exprimer? Non. Il y a une panique autour des budgets alloués aux projets qui a été alimentée par certains politiciens de façon injustifiée. On a utilisé des cas d’exception pour faire des généralités. Il s’est donc développé une «gestionite aiguë». Ça se traduit par des budgets moins importants. Ce n’est pas le talent qui manque. Il faut seulement encourager les projets de qualité. À ce sujet: Et si on misait sur des écoles du XXIe siècle? Le gros lot pour des architectes montréalais Montréal, ville nostalgique? Que doit-on faire pour y arriver? Il faut un ministère de l’Aménagement et de l’Architecture. L’architecture, c’est fondamental. Quand un espace est bien aménagé, une valeur se crée et il y a un effet d’entraînement. Il faut sensibiliser et éduquer les politiciens, et ce, de façon continue. Trouvez-vous que Montréal manque d’audace? Oui. Mais pour avoir de l’audace, ça prend des projets. Montréal se développe petit à petit, et il n’y a pas tant de projets publics majeurs sur la table. Les derniers projets vraiment audacieux à Montréal, comme la Place Ville-Marie, datent des années 1960 et 1970. Sinon, Montréal n’a pas de projets iconiques. A-t-on besoin d’un bâtiment phare, qui créerait un effet domino? Quelques bâtiments de référence contribueraient certainement au rayonnement international de la métropole. Montréal a la prétention d’être une ville de design, mais nous sommes loin de ça… Vous avez déjà dit qu’on en beurrait un peu épais au sujet de la créativité des Québécois… Oui. Il y a énormément de créativité, mais ce qui se réalise – il y a des projets fantastiques – se fait à petite échelle. Les grands projets de nature publique ne sont pas là; les gouvernements, autant au fédéral qu’au provincial, ne sont pas au rendez-vous. Ce sont eux qui sont responsables de créer une image forte pour une ville. Au Québec, on pense qu’un bâtiment significatif est une dépense inutile plutôt qu’un investissement. Au début des années 2000, on avait parlé d’un «palais de verre» pour décrire le projet du CDP Capital de la Caisse de dépôt. Les journalistes avaient été odieux et avaient transmis le message que le projet représentait une dépense frivole. Aujourd’hui, on s’entend pour dire que c’est l’un des rares projets montréalais des 20 dernières années à avoir fait une différence. C’est un espace significatif. Que pensez-vous du projet de mégacentre commercial Quinze40, à Ville Mont-Royal? Si on croit qu’il y a un marché pour des projets comme le Quinze40, c’est qu’on ne croit plus au centre-ville. Il faut s’en préoccuper. Aujourd’hui, on a un maire super allumé, mais pendant des années, on a laissé Montréal à l’abandon, comme sur Saint-Laurent par exemple. Les taxes sont très élevées au centre-ville. À mon avis, le programme de taxation devrait être inversé : plus tu t’éloignes du centre, plus les taxes devraient être élevées. Vous avez un projet au coin de Sainte-Catherine et de Saint-Laurent. Qu’est-ce qui arrive avec le Carré Saint-Laurent? On attend toujours que Québec [qui avait pris un engagement sous le gouvernement Marois avant de se retirer avec l’arrivée des libéraux] appuie financièrement le projet. Il faut investir pour créer de la valeur dans le secteur afin que le boulevard Saint-Laurent se redéveloppe. On dirait qu’au Québec, on est gêné de mettre de l’argent sur des projets du genre. Ce n’est pas une dépense, mais un investissement, avec des retours de taxes importants. Les partenariats public-privé (PPP) ont donné des projets comme le CUSM. PPP et qualité architecturale sont-ils incompatibles? C’est difficile à concilier. Il faudrait détacher du processus la conception du projet, comme on a fait avec le pont Champlain. On impose donc aux proposants de réaliser un projet qui a été dessiné dans une dynamique indépendante. S’il n’y a pas de changement dans la forme actuelle des PPP, il sera impensable de créer un patrimoine bâti de qualité. Certaines personnes ont accueilli froidement le dessin du nouveau pont Champlain que vous avez réalisé avec l’architecte danois Poul Ove Jensen, le trouvant trop tranquille. Comment défendez-vous votre projet aujourd’hui? La grande majorité a trouvé le projet très élégant. Il faut réaliser que Champlain est une autoroute sur l’eau de 2 km et qu’il enjambe la voie maritime. Ce n’est pas le viaduc de Millau, ce n’est pas le Golden Gate, ce n’est pas Stonecutters. Avec Jensen, nous avons étudié plusieurs options, du double niveau jusqu’au pont couvert. Mais, pour des raisons techniques et environnementales, nous avons abandonné tout ça pour revenir à quelque chose de simple et d’élégant. J’en suis très fier. Quai revisité Claude Provencher travaille présentement au projet de gare maritime qui changera complètement le visage de la jetée Alexandra, qui est située à l’ouest du Centre des sciences, dans le Vieux-Port. La Ville et Québec ont confirmé leur appui financier, mais Ottawa manque toujours à l’appel. Le projet, qui aura une fonction publique et une fonction d’accueil des bateaux de croisière, offrira d’ici 2017 aux Montréalais la possibilité de marcher sur des toits verdis jusqu’à l’eau. Là, une grande place publique sera aménagée. Actuellement, le quai se trouve à huit mètres au-dessus de l’eau. La place permettra aux visiteurs de se retrouver au niveau du fleuve. Une tour de verre de 100 m offrira une vue inédite sur la ville.
  6. Je ne sais pas trop où placer ce genre de propos. L'idée est de retracer l'influence d'architectes connus ou moins connus sur la patrimoine bâti de Montréal.
  7. Devrait-on imiter la Chine pour éviter les horreurs architecturales? Via LaPresse+ du 17 octobre : Chine : Pékin contre les « architecture grotesques » « STOP AUX ARCHITECTURES BIZARRES ET GROTESQUES », DÉCRÈTE PÉKIN AGENCE FRANCE-PRESSE PÉKIN — Le président chinois Xi Jinping a appelé à stopper l’essor des « architectures bizarres et grotesques », dans un pays où prolifèrent les curiosités urbaines, ont rapporté hier des médias d’État, alimentant un vif débat sur l’internet. À côté des bâtiments du XXe siècle aux formes austères et quasi soviétiques, les métropoles chinoises ont vu se multiplier ces deux dernières décennies les innovations architecturales accompagnant l’explosion du secteur immobilier et la poussée de l’urbanisation. Des conditions idéales pour attirer des architectes du monde entier, dont de grands noms comme Zaha Hadid, mais aussi nombre de jeunes inconnus, saisissant en Chine des occasions qu’ils n’auraient pas eues dans leur pays d’origine à ce stade de leur carrière. Mais au fil des ans, certains bâtiments et tours à l’aspect particulièrement déconcertant – souvent des projets coûteux commandés par des organismes d’État ou avec leur appui – ont suscité de vives controverses, alimentant des critiques acerbes sur l’usage à mauvais escient de fonds publics. Le nouveau siège de la télévision d’État (CCTV) à Pékin, conçu par l’architecte néerlandais Rem Koolhaas, a provoqué un torrent de sarcasmes, sa forme lui valant le surnom populaire de « Grand Pantalon ». Une paire d’arches sur des ponts traversant les fleuves Yangtsé et Jialing dans la métropole de Chongqing évoque des organes génitaux féminins, ce que relèvent d’abondants commentaires sur le web. Mais Xi Jinping, à la tête du pouvoir depuis près de deux ans, veut en finir avec ces « incongruités » : s’exprimant mercredi devant une délégation d’artistes, il a décrété que la Chine devait dire « stop aux architectures bizarres et grotesques », selon le Quotidien du peuple, organe du Parti communiste. À vrai dire, le siège même de ce quotidien – une tour pékinoise étrangement chapeautée, dont la silhouette est unanimement qualifiée de « phallique » – a été tellement moqué et raillé de façon grivoise sur les réseaux sociaux que les censeurs y ont banni un temps toute discussion sur le sujet. AVIS PARTAGÉS Si beaucoup d’internautes saluaient hier les injonctions du président Xi, d’autres se montraient plus modérés. « Mon sentiment, c’est que ce “non aux architectures bizarres” vise davantage les promoteurs que les architectes. Les propriétaires de tours sans égards [pour le paysage urbain] doivent être mis hors d’état de nuire », lançait un usager de Weibo, le Twitter chinois. Un autre répliquait, dans un microblogue : « On nous parle de “grotesque”, mais ces projets ont été librement conçus et choisis par les architectes et les promoteurs. Veut-on imposer le même sens de l’esthétique à des millions de personnes ? » LE PRÉSIDENT XI VEUT DES ARTISTES « PATRIOTES » Le président chinois Xi Jinping a demandé aux artistes de « servir le peuple » et de promouvoir le patriotisme et les « valeurs socialistes », suscitant des comparaisons dans la presse officielle avec un célèbre discours de Mao Tsé-toung de 1942. « Servir le peuple et la cause socialiste est une exigence du Parti communiste chinois (PCC), et ceci est essentiel pour l’avenir du développement culturel et artistique du pays », a déclaré le président chinois, cité hier par l’agence Chine Nouvelle, lors d’une rencontre la veille avec une délégation d’artistes chinois, comprenant notamment des écrivains, des acteurs et des danseurs. Le président Xi leur a demandé de ne pas devenir des « esclaves du marché » et de produire des œuvres qui ne « puent pas l’argent », mais mettent en valeur principalement le « patriotisme », favorisent des « points de vue corrects » et « répandent les valeurs chinoises contemporaines », a indiqué de son côté le quotidien Global Times. — Agence France-Presse
  8. Suite au poste de UrbMtl ... Lemay a annoncé avoir complété l’acquisition de trois filiales québécoises du groupe torontois IBI, soit DAA, Cardinal Hardy Architectes et Martin Marcotte / Architectes. Lemay a également annoncé la formation d’une coentreprise avec le Groupe IBI en Chine. De plus, Lemay s’établit dans les Caraïbes avec cette transaction. Enfin, elle permet à Lemay de devenir un chef de file canadien en design intégré de l’environnement bâti. « Cette annonce incarne de manière exceptionnelle la poursuite de notre objectif de mieux servir à la fois les besoins grandissants de nos clients et ceux des communautés de demain », a déclaré Louis T. Lemay, président de Lemay. « Nous sommes convaincus que la grande complémentarité des entités que nous jumelons aujourd’hui et la qualité du talent, de l’expérience et des réalisations de notre équipe font du nouveau Lemay un joueur incontournable de l’industrie et, plus que jamais, un partenaire stratégique de calibre mondial. Cela constitue également une occasion unique de faire rayonner le talent inégalé et le savoir-faire des créateurs d’ici à l’échelle internationale et de créer de la richesse au Québec et au Canada », a poursuivi M. Lemay. Avec l’acquisition de ces trois entités et la création de la coentreprise chinoise, Lemay rassemble désormais près de 500 professionnels et renforce sa position de première société québécoise dans les services de conception intégrés et de quatrième en importance au Canada. À l’international, l’entreprise entre également au prestigieux palmarès des 100 plus importantes sociétés du domaine. http://www.portailconstructo.com/actualites/lemay_acquiert_daa_cardinal_hardy_architectes_martin_marcotte_architectes
  9. Publié le 22 septembre 2014 à 10h26 | Mis à jour le 22 septembre 2014 à 10h26 Une résidence étudiante qui détonne Marie-Eve Morasse La Presse L'idée que l'on se fait des résidences étudiantes est peu reluisante. On les imagine ternes, défraîchies et meublées sans éclat. À deux pas de l'Université McGill, une nouvelle résidence universitaire vient renverser les idées préconçues. Ce sont les architectes de l'agence Kanva qui ont imaginé cette résidence de 30 chambres qui détonne. Le terrain, à un jet de pierre de l'entrée de l'université, a dicté le projet. «C'était un terrain vacant en face du campus, directement rue University. La résidence étudiante est venue naturellement. Si on avait été un kilomètre plus loin, ça aurait probablement été autre chose», dit Tudor Radulescu, cofondateur de Kanva. Là où se trouvait un stationnement s'élève aujourd'hui la Résidence Edison. En ébauchant leurs plans, les architectes ont d'abord tenu compte de leur clientèle. Comme bien des jeunes y éliront domicile au cours des prochaines années, il fallait un bâtiment durable. «C'est un bâtiment entièrement en béton. Il faut vraiment se lever tôt pour y faire des dommages! Ce n'est pas une prison, mais la construction est en fonction des besoins de solidité, des besoins acoustiques, des besoins d'intimité», explique Tudor Radulescu. Les chambres, privées ou doubles, sont petites mais on ne s'y sent pas coincé. «On arrive à donner un certain confort, un certain volume. Les plafonds sont hauts, la fenestration est généreuse. On veut offrir une qualité qui ne se limite pas à dire «j'ai une chambre de 150 pi2».» Pour l'instant, la majorité des étudiants qui y ont établi domicile ne sont pas de la province. Ils auront l'occasion de fraterniser dans les espaces publics pensés par les architectes. «Les lieux communs sont essentiels, c'est une place de choix, dit Tudor Radulescu. Nous voulions quelques chose de convivial, qui encourage les échanges.» Un clin d'oeil architectural au passé La référence à Thomas Edison dans le nom de la résidence n'est pas fortuite. Pour souligner qu'elle a été construite là où un bâtiment a brûlé dans les années 60, on a eu recours à des images tirées du film Montreal Fire Department on Runners, tourné à Montréal par Thomas Edison en 1901. Grâce à une technique appelée photogravure, les images ont été insérées sur les panneaux de béton et peuvent être vues en façade et dans la porte cochère. «Il n'y a pas de couleurs ni de différences de ton dans le béton. Ce sont des coupures de profondeur et de largeur différentes qui créent des ombrages avec la lumière et c'est ce qui crée des images. C'est subtil. Selon l'angle, il est possible qu'on ne voie rien de spécial, mais tout d'un coup, on arrive dans un autre angle et les ombrages prennent vie», explique Tudor Radulescu. Dans son très court film, Thomas Edison a immortalisé les pompiers de Montréal tandis qu'ils défilaient avec leurs nouveaux équipements pourvus de la plus récente technologie. Le choix du film n'est pas un hasard pour un bâtiment situé tout près de l'Université McGill. «C'est également pour le côté développement de nouvelles technologies qui va avec des études universitaires», explique l'architecte. Trois types de chambres sont proposées. Les prix spéciaux, au départ offerts pour des réservations pendant le mois d'août, étaient toujours en cours au moment d'écrire ces lignes (de 595$ à 895$ par mois par étudiant). edisonresidence.com SOURCES : http://www.lapresse.ca/maison/architecture/201409/22/01-4802417-une-residence-etudiante-qui-detonne.php http://www.edisonresidence.com http://www.worldarchitecturenews.com/interiors/index.php?fuseaction=project.projectview&ctid=25&prid=24643 http://www.e-architect.co.uk/montreal/edison-residence-in-montreal http://www.archello.com/en/project/edison-residence# http://www.citylab.com/design/2014/08/montreals-newest-concrete-slab-building-is-brightened-with-film-stills-by-thomas-edison/375996/ http://www.dezeen.com/2014/08/11/edison-residence-by-kanva-concrete-panel/ Photography is by Marc Cramer.
  10. Le 400 Sherbrooke Ouest Architectes: Geiger Huot Architectes Fin de la construction:2008 Utilisation: Hôtel/Résidentiel Emplacement: Centre-ville, Montréal ? mètres - 35 étages Description: - Plus grosse construction à Montréal depuis 1992.
  11. Après le mile-End, voici le Mile-Ex. Source: Face/Ad/Bloghttp://www.faceadblog.com/mileex/ Photos: Julia Marois
  12. Le Solano Architectes: DCYSM Fin de la construction:2007 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Vieux-Port, Montréal ? mètres -4-6-8-9-14-18-20 étages Description: - Le projet est réparti sur deux phases.
  13. - Description : 8 étages, 150 unités (148 vendues au 7 juin 2012) - Prix : $290-$370 / pi.ca. - Localisation : coin Ottawa - de la Montagne - Début de construction : mai 2012 - Fin de construction : février 2013 - Constructeur : Maître Carré - Architectes : Geiger et Huot - Site web : http://www.carredelamontagne.com/
  14. Pavillon John-Molson Architectes: KPMB Architects – FSA Architectes Fin de la construction:2008 Utilisation: Nouveau pavillon de l'université Concordia Emplacement: Quartier Concordia (Centre-ville), Montréal 76 mètres (253 pieds) - 17 étages Lien: http://www.johnmolson.concordia.ca/building/index.html Description: - Le projet coûtera 60 millions de dollars.
  15. Mosaïque Southam Architectes: ? Fin de la construction:2007 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Quartier international, Montréal ? mètres - 13 étages
  16. Monctezuma : ce projet a été remplacé par celui-ci : http://mtlurb.com/forums/showthread.php?t=17112 ********************** 1440 de la Montagne Architectes: miguel Escobar architecture Fin de la construction:2008 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Centre-ville, Montréal 63 mètres (207 pieds) - 22 étages De la Montagne/ Maisonneuve - 2007 2 images.
  17. http://www.oaq.com/accueil.html PLAN DU SITE L'ORDRE Histoire de l'Ordre Conseil d'administration Comités et groupes de travail Plan stratégique 2013-2018 Personnel de l'Ordre [*]L'ARCHITECTURE Actualité Événements de l'Ordre Prix d'architecture Concours d'architecture [*]TRAVAILLER AVEC UN ARCHITECTE Services de l'architecte Pourquoi choisir un architecte Comment choisir un architecte Bottin des architectes Protection du public [*]DEVENIR ARCHITECTE Études universitaires Stage obligatoire Examens d'admission Connaissance de la langue française Demande de permis d'exercice [*]ARCHITECTES ÉTRANGERS Candidats canadiens et américains Candidats français Candidats d'autres pays Connaissance de la langue française [*]AIDE À LA PRATIQUE Les formalités Calendrier des formations Centre de documentation Petites annonces Stagiaires
  18. http://journalmetro.com/plus/immobilier/378092/nathalie-dion-montreal-et-ses-defis-architecturaux/ Avec l’élection d’une nouvelle présidente à l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) et la campagne électorale municipale, la conjoncture est excellente pour discuter des enjeux qui attendent la métropole avec celle qui dirige l’organisme. Élue en mai dernier à la présidence de l’OAQ, l’architecte Nathalie Dion compte pas moins de 25 années d’expérience tant dans le domaine privé que public. Histoire de briser la glace, en ce matin pluvieux au sommet du majestueux mont Royal, Métro lui a demandé si elle était d’accord avec l’auteur-compositeur-interprète Jean-Pierre Ferland, pour qui «Montréal est une femme du monde en running shoes». «Montréal n’est pas une ville uniforme si on la compare à Paris, par exemple, commence-t-elle. Elle présente un paysage morcelé, qui a toutefois une identité propre, mais difficile à définir. Sa convivialité? Au fond, c’est peut-être cela son côté “femme du monde en running shoes”», sourit l’architecte, soulignant au passage que le Stade olympique semble, paradoxalement, davantage apprécié des visiteurs que des Montréalais eux-mêmes. Quels sont les grands enjeux dont nous devrions débattre au cours de la campagne électorale qui s’amorce, selon elle? «Nous avons l’impression que l’architecture montréalaise est issue de politiques qui changent continuellement : s’il existe bien divers plans (transports, préservation du patrimoine), une vision d’ensemble semble manquer. L’un des grands chevaux de bataille de l’Ordre est d’encourager la création d’une politique nationale de l’architecture et de l’aménagement», affirme la présidente. Elle ne souhaite évidemment prendre position pour aucun parti en lice, mais appelle de ses vœux une mobilisation forte pour un concours d’architecture sur l’avenir du pont Champlain. «La Ville s’était fixé comme objectif d’investir 240 M$ par année jusqu’en 2018 pour l’amélioration du transport à Montréal […]. Cet objectif n’a jamais été atteint : il y a eu 60 M$ en 2008, 104 M$ en 2009, ce qui représente de 25 à 30 % de l’objectif!» – Nathalie Dion Nouvelle présidente de l’OAQ «On ne peut pas rater cette occasion-là», souligne-t-elle avant d’ajouter, toujours au sujet des enjeux fondamentaux, qu’«il faut faire en sorte que l’ensemble de l’offre en matière de logement privilégie l’intégration des familles». Ce qui pourrait passer par l’augmentation du nombre de logements sociaux, croit-elle, mais aussi par des politiques encadrant la création de plus grands logements pour y installer les familles. Bref, dit en substance l’architecte Nathalie Dion, qui souhaite également une réactivation de l’investissement dans le réseau cyclable, «il faudrait penser davantage à une vision d’ensemble cohérente, plutôt qu’au seul profit à courte vue, comme ce fut le cas, par exemple, dans Griffintown, où l’on souhaite faire venir les familles, mais où personne n’a, semble-t-il, songé à construire une… école!» *** Palmarès Des bons coups, selon Nathalie Dion La Grande Bibliothèque (Croft Pelletier architectes/Gilles Guité/Patkau architectes), résultat d’un concours d’architecture. Elle est la bibliothèque la plus fréquentée en Amérique du Nord. En 2011, elle a reçu 2,7 millions de visites, ce qui la place devant la bibliothèque de Toronto. Pavillon Claire et Marc Bourgie du Musée des beaux-arts de Mont*réal (Provencher Roy et associés). Planétarium de Montréal (Cardin Ramirez Julien et Ædifica). Habitat 67, Moshe Safdie (Safdie Architects). De moins bons coups Parfois, des architectes qui débordent de talent doivent composer avec les demandes de leurs clients. Hélas, il arrive que les profits passent avant la qualité. La Maison symphonique de Montréal est un bâtiment fort intéressant, mais il aurait pu l’être davantage. Lorsque des consortiums PPP (partenariat public-privé) décrochent des contrats en raison de leur montage financier, cela se fait au détriment de la qualité. La salle est très belle, l’acoustique y est excellente, mais lorsqu’on en sort, cela n’a rien à voir avec la beauté de l’aire d’attente de la salle Wilfrid-Pelletier ou celle de la salle Maisonneuve.» «L’autoroute métropolitaine (la 40). La solution? On pourrait s’inspirer de New York, où l’on a transformé une infrastructure de trains surélevée qui traversait une zone industrielle et d’anciens abattoirs en projet vraiment formidable, le High Line. C’est devenu une promenade parsemée de végétation. L’un des plus beaux lieux de la ville avec sa vue imprenable sur la rivière Hudson.»
  19. 350 Maisonneuve Architectes: Menkès, Shooner, Dagenais, Letourneux Fin de la construction:2009 Utilisation: Hôtel/Résidentiel Promoteur: SacresaCanada, Iber Management ( Espagne). Emplacement: Quartier des Spectacles, Montréal 98 mètres (296 pieds) - 28 étages Description: - Le complexe en «L», comprendra environ 300 unités. Plus d'infos et d'images: http://www2.ville.montreal.qc.ca/ldvdm/jsp/ocpm/ocpm.jsp?laPage=projet14.jsp 1b1.pdf
  20. http://www.projetsverts.voirvert.ca/ À propos Une vitrine unique pour les architectes Projets verts – La vitrine de l’architecture durable au Québec met en lumière le design de bâtiments écologiques portant la signature des membres de l’Ordre des architectes du Québec (OAQ), qui peuvent y publier eux-mêmes l’information sur leurs concepts ainsi que leurs images. Développée en collaboration avec le Comité des techniques et bâtiments durables de l’OAQ, la plate-forme Projets verts est exploitée par Groupe Constructo, unité d’affaires de TC Media dont le portefeuille de médias dédiés au bâtiment écologique inclut également le magazine Voir vert. La vitrine Projets verts est liée à voirvert.ca, portail qui rejoint tous les acteurs du bâtiment durable au Québec : propriétaires et gestionnaires d’immeubles, développeurs immobiliers, architectes, ingénieurs, entrepreneurs généraux et spécialisés, fournisseurs de produits et services… Partager la connaissance Le partage de la connaissance est essentiel à l’avancement de l’architecture durable en sol québécois. Car c’est en les diffusant que les meilleures pratiques et les solutions novatrices préconisées par les uns pourront être adoptées ou appliquées par les autres. Tout comme pour les expériences qu’il vaut mieux éviter de répéter, évidemment. C’est dans cet esprit que nous avons développé Projets verts – La vitrine de l’architecture durable au Québec. Une idée qui a fait son chemin après que le Comité des techniques et bâtiments durables de l’Ordre des architectes du Québec nous eut approchés pour examiner la possibilité d’offrir à ses membres une plate-forme web leur permettant de constituer une vaste banque de projets verts. Liée à voirvert.ca, notre portail entièrement dédié au bâtiment durable, cette plate-forme permet désormais aux membres de l’Ordre de publier eux-mêmes leurs concepts et réalisations écologiques. Et, ainsi, d’exposer aux différents acteurs du milieu du bâtiment les stratégies et les mesures durables intégrées au design de leurs projets. En plus de contribuer à la diffusion de la connaissance, cette vitrine permet en outre de mettre en valeur les réalisations d’architectes qui auront plus souvent qu’autrement à sortir des sentiers battus. Car bâtir vert, c’est aussi innover. Le site Projets verts se pose comme une référence incontournable pour quiconque s’intéresse de près ou de loin au bâtiment durable. Merci à l’Ordre des architectes de nous avoir appuyés dans le développement et la mise en ligne de cet outil qui contribuera à pousser encore plus avant le verdissement de notre environnement bâti. Anik Girard Directrice générale et éditrice Groupe Constructo, division de TC Média Vue d’ensemble Comme son nom l'indique, Projets verts – La vitrine de l’architecture durable au Québec rassemble des projets réalisés avec le souci de produire un impact minimum sur la planète. Voilà une excellente initiative puisqu'au Québec, bien que de nombreux organismes publient des guides de bonnes pratiques pour inciter les professionnels à bâtir mieux et de façon plus durable, chacun a pris l'habitude de travailler dans son coin. Judicieusement liée au portail voirvert.ca, cette plate-forme vient corriger cette lacune. Sans prétendre à l’exhaustivité, elle met en lumière de petites et grandes innovations face aux mille et un aspects de la construction durable, facilitant ainsi le partage d’idées et de ressources et, espérons-le, la transmission des connaissances à grande échelle. Cette adresse est d'autant plus précieuse que la durabilité d'un bâtiment reste un concept abstrait, particulièrement en Amérique du Nord, où les certifications demeurent trop souvent le critère selon lequel on jugera sa qualité. Mais il ne faut pas oublier que la construction durable est beaucoup plus qu'une juxtaposition de techniques. Les multiples réalisations recensées par Projets verts en font d'ailleurs la démonstration par l'exemple. Souhaitons que le site profite non seulement aux architectes et aux professionnels du bâtiment, mais inspire leurs clients et en bout de ligne, la collectivité dans son ensemble. Longue vie à Projets verts ! André Bourassa Président Ordre des architectes du Québec
  21. Le Maritime Architectes: Panzini Architectes Fin de la construction:? Utilisation: Hôtel/résidentiel Emplacement: Centre-ville, Montréal ? mètres - 21 étages Description: - La tour est une nouvelle partie de l'Hôtel Maritime, existant déjà. - Le projet inclu la rénovation de l'hôtel, de sa base et de son entrée.
  22. http://www.oaq.com/larchitecture/actualite/nouvelles/detail_de_nouvelles/article/architecture_design_et_urbanisme_un_pas_de_plus_vers_2017.html?tx_ttnews[backPid]=139&cHash=57e6c8b6f715bcb73523bdb5bac62040 NOUVELLE 21 septembre 2012 Architecture, design et urbanisme : un pas de plus vers 2017 Pavillon du Québec, Expo 67 Photo: BAnQ La Fédération internationale pour l’habitation, l’urbanisme et l’aménagement du territoire, qui regroupe des architectes et des urbanistes d’une soixantaine de pays, tiendra son congrès à Montréal en 2017. L’annonce a été faite à Göteborg, en Suède, lors du 56e congrès de l’organisme. Mission Design, la Ville de Montréal et l’Ordre des urbanistes du Québec s’étaient déplacés pour l’occasion. Rappelons que, dans le cadre des célébrations du 50e anniversaire d’Expo 67, du 375e anniversaire de la ville et du 150e anniversaire de la Confédération, Mission Design entend attirer plusieurs événements majeurs autour du design et de l’architecture. La Fédération internationale des architectes paysagistes (IFLA)prévoit déjà, elle aussi, tenir son congrès à Montréal en 2017. Communiqué de Mission design Communiqué de la Ville de Montréal
  23. Montréal vu par un Vénitien Publié le 13 juin 2012 Marie-Claude Lortie Pour Francesco Bandarin, sous-directeur général de l'UNESCO pour la culture, il n'y a pas de doute: Montréal est une ville de design. Là où les plus pessimistes ne voient que des échangeurs délabrés, des rues inondées, des gratte-ciels anodins construits par des concepteurs de centres commerciaux et des projets au financement obscur, lui voit une ville dynamique, habitée par des milliers de gens créatifs, designers ou architectes. «C'est ça qui fait une ville de design», dit-il, en entrevue, lors de son passage récent dans la métropole pour une rencontre des représentants de toutes les villes choisies par l'UNESCO parce qu'elles accordent une grande place au design pour leur évolution culturelle et économique. Sur son site web, la Ville de Montréal indique que 25 000 designers et architectes font de Montréal une ville résolument préoccupée par cet aspect de son développement. Un chiffre que M. Bandarin reprend en lançant: «Je ne sais pas comment vous faites!» Bref, pour le représentant de l'UNESCO, il n'y a pas de doute que Montréal mérite sa place sur la liste des villes de design de l'organisme culturel international, aux côtés de Berlin, Shanghai et Buenos Aires. «On fait un tri, on étudie les dossiers et Montréal a beaucoup misé sur le design, alors il a été choisi.» Pendant qu'on parle de tout ça, dans l'autobus scolaire qui nous amène de l'UQAM au Musée des beaux-arts, on traverse des rues commerciales, où les immeubles n'ont rien de spectaculaire, à part la Place Ville-Marie, évidemment, que M. Bandarin note au passage. «Pei, un des plus grands», lance-t-il. Quand je lui fais remarquer qu'il y a longtemps, maintenant, qu'un architecte de la trempe de Pei ou de Mies Van der Rohe est venu construire quelque chose ici, il n'en fait pas de cas. «Vous savez, dit-il, l'iconisme, c'est fini.» Selon M. Bandarin, il ne faut pas rêver de voir un jour un grand immeuble symbolique, emblématique, s'implanter comme nouveau grand symbole de la ville. «On est dans une nouvelle approche maintenant et même les grands architectes comme Rem Koolhas, qui a fait bien des immeubles iconiques, n'est plus en faveur de l'iconisme.» Par iconisme, il entend les grands bâtiments hors de l'ordinaire, sans lien avec l'architecture des alentours, qui s'imposent tout seul. On pense à la tour Eiffel, à l'Opéra de Sydney, mais aussi à des constructions plus récentes, comme le musée Guggenheim de Bilbao dessiné par Frank Gehry ou le musée Maxxi de Rome, signé Zaha Hadid, cette architecte avant-gardiste anglo-irakienne. Évidemment, plusieurs bâtiments modernes chinois viennent aussi à l'esprit, comme la tour du Centre mondial des finances de Shanghai. «D'abord, ces constructions coûtent très, très cher et seulement un nombre limité de sociétés peuvent se les permettre», note M. Bandarin. Plus ça va, plus les sociétés comprennent que l'architecture se vit au quotidien, s'amarre au développement urbain, prend sa place sans s'imposer, cherche à faire évoluer les styles de vie, sans donner de coup de massue sur la silhouette d'une ville. «Et puis, nous, à l'UNESCO, on a une tâche de conservation du patrimoine», continue-t-il. Naturellement, l'organisme va donc se pencher plutôt du côté de la créativité «enracinée», celle qui est liée au contexte. Sa ville préférée? Je n'ose pas le lui demander, mais il n'hésite pas à répondre. Venise. Non seulement une ville bien ancrée dans son histoire, mais celle d'où il vient. Mais le Vénitien d'origine, qui habite maintenant Paris, aime bien aussi Montréal, même avec ses manifestations joyeuses qui lui donnent, dit-il, des airs de carnaval. Il apprécie la place des Festivals, par exemple, avec ses fontaines qui sortent directement du sol, où les enfants jouent dès qu'il fait chaud. Il aime bien le Centre de design de l'UQAM, aussi, créé par l'architecte montréalais Dan Hanganu. Pour lui, ce sont ces projets, les uns après les autres, qui construisent une ville de design. «À certains moments, on est devenu fou et on s'est mis à tout faire hors contexte», dit-il. Dans certains cas, comme pour la tour Eiffel, qui est une prouesse technologique pour son époque, ou pour l'Opéra de Sydney, l'intervention a fonctionné, explique M. Bandarin. Mais souvent, l'immeuble iconique moderne n'est pas le symbole de la société où il se trouve, mais plutôt de l'entreprise qui l'a fait construire. «C'est de la pub pour se faire voir.» Or, continue-t-il, veut-on réellement laisser les paysages urbains être définis par des intérêts privés? «Moi, je crois que le paysage appartient à la collectivité.» http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/marie-claude-lortie/201206/13/01-4534385-montreal-vu-par-un-venitien.php
  24. Édit par Monctezuma : Voici une historique complète du projet, gracieuseté de Hildephonse: Été 1984 : Cadillac-Fairview projette d’inclure la salle de l’OSM dans un grand complexe multifonctionnel sur McGill College. Arcop dessine les plans ci-dessous. Le complexe chevauche la travée ouest prévue de la future avenue McGill College, ce qui crée de l’opposition. Juste après la guerre, l’urbaniste français Jacques Gréber avait proposé de conserver une large percée visuelle à cet endroit entre la montagne et le fleuve. Il y prévoyait deux places publiques dont l’une a été créée par les concepteurs de la place Ville-Marie. Le projet menace le concept et est contesté par les propriétaires voisins (qui ont respecté l’alignement proposé dans leurs nouveaux immeubles) autant que par les groupes de protection du patrimoine. Le projet sera annulé et l’avenue conservera son gabarit prévu de 36,5 mètres de largeur. 1984-12-05 : Drapeau annonce que le site Berri (maintenant la place Émilie-Gamelin) est à l’étude pour la salle de l’OSM. 1985-01-31 : On annonce une entente avec le promoteur Sofati, pour le site Berri. Arcop fait les plans de la salle (2600 places) alors que Jacques Béique s’occupe des équipements périphériques. (voir le rendu ci-dessous). Le projet comprend un parking souterrain de 600 places, une galerie de boutiques souterraine et l’école de musique de l’UQAM qui doit occuper trois étages au-dessus des locaux administratifs de l’OSM sur la face N-E du complexe. L’école doit aussi occuper une petite salle de 700 places côté ouest. Montréal aménagera un parc sur l’espace résiduel. Le maire Drapeau a réussi à convaincre le chef de l’OSM qui favorisait le site de Cadillac-Fairview. 1985-02-05 : Le choix est approuvé par le Conseil. Les analyses de sol sont faites en février. 1985-05-05 : René Lévesque confirme une subvention de 30 M $ pour la salle. 1985-07-11 : « “C’est bien ici que se trouve le centre-ville” lance Lévesque » Première pelletée de terre par René Lévesque et Jean Drapeau. Les plans ne sont pas terminés et le bail emphytéotique (99 ans de la Ville pour 1 $) n’est pas signé. Le projet est de 50 M $ dont 34 de fonds publics. La petite salle (800 places) est devenue optionnelle. 1985-08-19 : Les plans et devis préliminaires sont déposés. 1985-10-12 : Sofati s’impatiente car le temps presse : il faut 24 mois pour construire et la salle doit être prête pour la saison 1987-1988. Les plans et devis ne sont pas approuvés encore. Il y a des problèmes de négociations avec la STCUM, l’UQAM et les locataires du Métro Berri-UQAM. 1986-01-11 : « Tout est à peu près en place, mais… » titre La Presse, mais « rien n’indique que le [nouveau gouvernement libéral élu en décembre 1985] ait quelque intérêt que ce soit à stopper tout le processus engagé depuis deux ans. » 1986-01-19 : Le projet est plus ou moins mis en veilleuse. Les mois suivants, il sera jugé non prioritaire. 1986-01-24 : Le site d’Hydro-Québec face à Place des arts est proposé (St-Laurent, St-Urbain, Ste-Catherine, Dorchester, incluant le Monument national). 1986-10-16 : Le Comité consultatif du gouvernement recommande le report mais que la salle devrait être intégrée à la PdA. 1986-12 : Lise Bacon, ministre des Affaires culturelles donne son appui à l’îlot au nord de PdA : (Jeanne-Mance, St-Urbain, Sherbrooke, Président-Kennedy). La PdA est satisfaite, car elle trouvait que le site Berri était trop éloigné. 1988-09-15 : John Gardiner annonce pour 1991 un projet de square sur le site Berri. La place Émilie-Gamelin y sera inaugurée le 5 mai 1992. *************************** Il y a ensuite eu le projet de 2002 avec images ci-bas, gracieuseté de Gilbert. *************************** Début du message de Gilbert : Je n'apprendrai rien à personne en disant qu'il y avait, en 2002, un projet de développement sur l'Îlot Balmoral incluant une nouvelle salle pour l'OSM. Le projet a été annulé. Il était tout de même important, car 112 concurrents de 23 pays différents participèrent au concour pour le projet. 5 furent retenus pour le 2e tour. Sept images. Je vous donne donc la chance de voter pour le projet que vous aimez le plus parmis ceux du 2e tour! C'est juste pour savoir... ----------------------------------------------------------- Projet 1 Cohlmeyer Architects Limited / Provencher Roy + associés architectes / Jodoin Lamarre Pratte et associés, architectes (JLP) / Cardinal Hardy et associés, architectes ----------------------------------------------------------- Projet 2 NOMADE architecture / Les architectes Lemay et associés ----------------------------------------------------------- Projet 3 De Architekten Cie. / Aedifica inc. / Les architectes Tétrault Parent Languedoc et associés ----------------------------------------------------------- Projet 4 Saucier et Perrotte, architectes (Saucier+Perrotte) / Menkès Shooner Dagenais, architectes ----------------------------------------------------------- Projet 5 Busby + Associates Architects Ltd. / Proscenium Architecture + Interiors Inc. / Beauchamp Bourbeau Réal Paul, architectes / le Groupe Arcop ************************* Finalement, la salle de l'OSM voit le jour. Voici le fil : http://mtlurb.com/forums/showthread.php?t=108
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