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  1. Quelqu'un sait ce qui se passe? L'immeuble (qui couvrait le terrain entre Notre-Dame et St-Jacques) est presque totalement démoli ce matin, les travaux sont en cours depuis la semaine dernière. Ce sont les anciens bureaux de Magill. Ce n'est certainement pas le projet Univers qui renaît de ses cendres!!!
  2. Au coeur de la ville Autrichienne de Murau, une construction d un cafe-Bar batie sur les contreforts même des ancienne murailles médiévales de la ville fait encore polémique. Qu en pensez vous? Pour ou contre de tels projets design dans ces lieux historiques très anciens?
  3. 825 logements sur le site des Ateliers du CN 16/10/2012 14h51 MONTRÉAL – Le site industriel des anciens Ateliers du CN de Pointe-Saint-Charles va faire peau neuve et accueillir de nombreux résidents, des commerces, ainsi que la nouvelle gare d'entretien des trains de banlieue de l'Agence métropolitaine de transport (AMT). Le projet d'accord de développement bonifié entre la Ville et le promoteur du projet, Les Cours Pointe-Saint-Charles inc., pour la revitalisation des lieux vient d'être adopté, a annoncé mardi matin le président du comité exécutif de la Ville de Montréal, et responsable de l'urbanisme, Michael Applebaum. «Ce projet d'envergure permettra notamment la réhabilitation d'une friche industrielle, le retour d'un pôle d'emplois dans le secteur de Pointe-Saint-Charles, la réutilisation, la conservation et la mise en valeur des anciens Ateliers du CN, la création d'un pôle communautaire et culturel et la mise en place de mesures favorisant le transport collectif et actif», a déclaré M. Applebaum dans un communiqué publié mardi. Il a précisé que 825 logements seraient créés, dont 15 % de logements abordables et 15 % de logements sociaux et communautaires, de même que des parcs et des places publiques. Le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, s'est félicité du gain que cela représentera à terme pour la communauté, citant par exemple un investissement de 500 000 $ pour mettre en place des mesures d'apaisement de la circulation dans les rues à proximité de ce nouveau quartier. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2012/10/20121016-145121.html
  4. Projet de maisons en rangée sur le terrain des anciens garages municipaux Sandrine Béjanin Informés par la Ville d'un nouveau projet majeur de construction résidentielle dans leur environnement immédiat, les Brossardois du secteur des anciens garages municipaux, situé dans le quartier B, se sont mobilisés contre un développement qu'ils estiment préjudiciable à leur qualité de vie. Le promoteur immobilier A.H. Inc. projette d'acheter à la Ville de Brossard le terrain des anciens «ateliers municipaux» afin d'y construire un ensemble à vocation résidentielle de 70 maisons en rangée, desservi par une nouvelle rue qui traversera le parc Baudelaire. Situé entre l'avenue Baudelaire et l'avenue Béliveau, et entre l'avenue Bienvenue et le croissant Balmoral, ce terrain, appartenant à la Ville, lui servait autrefois de garage pour ses véhicules. Clos, mais inutilisé depuis environ une quinzaine d'années, le terrain nécessite d'être décontaminé, ce que le promoteur propose de faire à ses frais. «Pour la Ville, c'est une belle occasion de se débarrasser de la patate chaude que constitue la contamination du terrain», invoquent Jules Béliveau et Frédéric Côté, deux résidents à l'origine de la pétition de 108 personnes se déclarant contre le projet. Outrés devant l'ampleur du projet, les signataires contestent surtout la hauteur des bâtiments de trois étages, qui risquent de priver les habitants de l'avenue Bienvenue et de la place Benoît de toute luminosité et toute intimité dans leur cour arrière. Leur souci s'étend aussi à l'augmentation connexe de la circulation automobile, de la surpopulation dans les écoles, et des îlots de chaleur dans le secteur, ainsi qu'à la suppression du terrain de basketball du parc Baudelaire. Devant l'opposition massive des citoyens, qui s'est manifestée lors d'une réunion d'information, le 22 juin dernier, la Ville a demandé au promoteur de revoir son projet et s'est engagée à présenter le nouveau projet aux citoyens lors d'une prochaine rencontre dont la date n'a pas encore été fixée. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Anciens ateliers municipaux : vive opposition à un projet immobilier. Texte Paul-André Gilbert Un nouveau projet immobilier sur le terrain des anciens ateliers municipaux de Brossard provoque de vives réactions chez des résidents du secteur B. Le groupe immobilier A.H. inc. prévoit construire sur ce terrain, situé à l’intersection des rues Baudelaire et Bienvenue, un projet de maisons unifamiliales en rangées, composé de 70 résidences. Jules Béliveau et Frédéric Côté, deux résidents du voisinage, s’opposent vivement à ce projet, qu’ils considèrent inapproprié pour plusieurs raisons. Premièrement, l’ajout de nouvelles résidences amènerait selon eux une multiplication du nombre de voitures dans les rues du secteur, qui sont déjà très achalandées. «La rue Baudelaire est devenue la décharge de l’autoroute 30. Ce n’est plus une rue, c’est un boulevard», explique M. Côté. Avec l’augmentation de la circulation, ce dernier, dont la résidence est adossée à l’ancien garage municipal, craint pour la sécurité de ses enfants et de ceux du voisinage, trois écoles primaires étant présentes dans le secteur. «J’essaie de voir le puzzle en terme de sécurité», s’inquiète-t-il. Hauteur des maisons MM. Béliveau et Côté sont également préoccupés par la hauteur des maisons du projet d’Immobilier A.H. Les résidences seraient en effet composées de bâtiments de trois à six unités de trois étages. Les deux résidents craignent pour l’harmonie architecturale du quartier, qui est composé en majorité de bungalows. Ils croient aussi que les résidences entraineront une diminution importante de l’intimité et de la luminosité pour les résidences qui jouxte le terrain. «Ça fait une muraille de Chine et ça coupe passablement l’horizon et la lumière», précise M. Béliveau. Il ajoute que toutes ces résidences vont créer un îlot de chaleur dans le secteur, qui était rafraîchi par le terrain vague. D’ailleurs, M. Béliveau propose que la Ville construise un parc sur ce terrain plutôt que des résidences. Terrain contaminé Un autre élément important cause une forte inquiétude chez MM. Côté et Béliveau : le terrain des ateliers municipaux serait selon eux fortement contaminé. Puisque le terrain était occupé par les ateliers municipaux de la Ville, on retrouverait dans le sol des hydrocarbures et d’autres substances toxiques qui proviennent de matériel qu’on retrouve généralement dans un garage municipal, comme de la peinture et des batteries. L’Administration municipale affirme être consciente de la présence de contaminants dans le sol. Cependant, le promoteur s’engage à décontaminer le terrain avant de construire les résidences. Le directeur des communications de la Ville de Brossard, Alain Gauthier, affirme que le promoteur a déjà effectué une décontamination par le passé et que cette décontamination sera validée par le ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs. De son côté, le promoteur Bernard Armand explique qu’il est conscient des réticences des résidents et que c’est pourquoi il essaie de moduler le projet dans le but qu’il soit fait de la manière la plus harmonieuse possible. Par exemple, la hauteur des bâtiments causant un problème, la compagnie Immobilier A.H. serait en train de revoir l’aspect architectural du projet. Il rappelle toutefois que le terrain est hautement contaminé. «On est prêt à regarder où on pourrait modifier le projet pour le rendre plus acceptable pour tous et chacun, mais il y a des limites», a-t-il conclu.
  5. Édifices anciens dans le couloir de la mort Le Devoir Antoine Robitaille Édition du vendredi 10 juillet 2009 Mots clés : conservation, Édifices anciens, Patrimoine, Québec (ville) Avant-hier, dans un geste désespéré, la Fondation Héritage Canada inscrivait la chapelle, construite en 1896, à son palmarès des dix sites les plus menacés au Canada. Avec les démolitions d'édifices anciens qui se multiplient à Québec, ville prospère, la conservation du patrimoine pourrait devenir un des enjeux clés de la campagne électorale municipale dans la capitale. Le maire, Régis Labeaume, qui n'a pour l'instant aucun adversaire, admet être très agacé par «ceux qui veulent tout conserver, mais qui n'ont aucune idée de ce qu'ils veulent faire avec ce qui serait conservé». Québec -- L'artère emblématique de Québec, la Grande Allée, sera le théâtre des plus importantes démolitions à survenir depuis les décennies 1960 et 1970. À l'époque, les maisons victoriennes à côté du parlement ont été rasées et on a assisté à l'érection d'édifices modernes mal aimés tels le Complexe H et le Concorde. Aujourd'hui, ce sont deux édifices anciens et religieux qui attendent dans le couloir de la mort: la chapelle des Franciscaines (388, Grande Allée) et le monastère des Dominicains (175, Grande Allée). Avant-hier, dans un geste désespéré, la Fondation Héritage Canada (FHC) inscrivait la chapelle, construite en 1896, à son palmarès des dix sites les plus menacés à l'échelle pancanadienne. La FHC y voit «le plus bel exemple de décor néo-baroque» du Québec que «seul un miracle peut sauver». Mais le sort en est jeté: la chapelle tombera sous le pic des démolisseurs Voir page A 10: Édifices dès cet été, après les vacances de la construction et après qu'il aura été désamianté. Le permis de démolition a été délivré en 2008. La congrégation religieuse a vendu la chapelle et un bâtiment attenant à la Société municipale d'habitation Champlain (SOMHAC) dans les années 1980, créant la Résidence Grande Allée. Des personnes âgées en perte d'autonomie y logeaient. Le bâtiment a été négligé. En 2003, il a été vendu à des intérêts privés. Dans un avis, la Régie du logement autorisa la vente en notant que «le droit au maintien [des locataires] dans les lieux est protégé». On notait aussi que l'acquéreur avait promis de procéder «à la réparation des fenêtres [...] et à l'entretien de cette chapelle qui ferait partie du patrimoine historique de la ville de Québec». Mais trois ans plus tard, les propriétaires, dont le pharmacien Michel Cadrin, expédiaient des avis d'éviction aux locataires. La Régie du logement fut saisie de l'affaire et se prononça en 2007. Elle autorisa les dernières expulsions et par conséquent la démolition en raison de la «vétusté» des édifices. La Régie soulignait que le projet du «locateur» visait à desservir «le même type de clientèle», soit les «personnes retraitées autonomes ou en légère perte d'autonomie». Mais en 2009, à la fin de l'été, ce sont 240 condominiums, construits en deux phases, qui seront mis en vente. Le projet de la firme Ogesco, baptisé L'Étoile, ne comptera aucun logement locatif et ne s'adressera pas à la clientèle mentionnée par la Régie, a confirmé hier Gratien Dubé, courtier immobilier et porte-parole de la firme Ogesco. Les quelques manifestations pour la préservation de cet édifice -- que la ministre de la Culture Christine St-Pierre et son ministère ne considèrent pas comme «patrimonial» -- ont toutefois eu un effet sur le promoteur, qui a décidé de conserver la façade de la chapelle, ses trois clochers, et de l'intégrer à son ensemble architectural. Les matériaux du nouvel édifice de neuf étages (moins élevé que ses voisins) évoqueront aussi l'ancien édifice, notamment son toit argenté. La présidente du Conseil des monuments et sites, Louise Mercier, juge la disparition de la chapelle «extrêmement déplorable». Le conseil déplore particulièrement le sort réservé à l'intérieur, dont les ornements ont été abandonnés et démantelés ces trois dernières années. C'était là, au sens du Conseil (et au sens d'un site Internet: voir eglisesdequebec.org), des éléments de valeur patrimoniale. Ils ont été cédés par le propriétaire à un artiste, Jean-Marc Mathieu-Lajoie, qui s'en est servi pour faire une «installation» baptisée par lui La Chute des anges. M. Mathieu-Lajoie a aussi acquis la coupole coiffant la nef et projette d'en tirer une autre oeuvre. Raser un monastère pour agrandir le musée Quant au monastère des Dominicains, adjacent à l'église Saint-Dominique, de style gothique anglais, le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) l'a acquis grâce à l'aide d'un mécène, le milliardaire Pierre Lassonde, et propose de le démolir pour le remplacer par un édifice spectaculaire qui jouxtera l'église. L'ancien directeur général du MNBAQ John Porter pilote ce projet, pour lequel un concours d'architecture international a été lancé. Le ministère de la Culture et le service d'urbanisme de la Ville ont conclu que l'édifice n'était pas patrimonial, surtout la partie abîmée par un incendie. Le MBNA conservera la partie du presbytère qui est d'origine. Le maire Régis Labeaume ne s'oppose pas aux deux démolitions. Il soutient que tout le monde est d'accord, «sauf Anne Guérette et son petit groupe». Architecte de formation et fondatrice d'Héritage Québec, Mme Guérette a été élue conseillère municipale indépendante dans Montcalm en décembre 2007. Dans une lettre envoyée en janvier 2008, la fondatrice du Centre canadien d'architecture, Phyllis Lambert, a fait savoir qu'elle l'appuyait dans son combat contre la démolition du monastère. Mme Guérette a aussi organisé des manifestations contre la démolition de la chapelle des Franciscaines. «Le problème à Québec, c'est que tout est patrimonial selon certains. Ça commence à être ridicule, et plusieurs experts en patrimoine le pensent», répond le maire Labeaume, joint par Le Devoir. Il ne se dit pas «moins attaché» au patrimoine que les autres maires avant lui. Suffit de prononcer le nom d'Anne Guérette pour le faire sortir de ses gonds. «Mme Guérette fait de la politique avec son groupe. Son groupe est honnête. Mais elle, c'est une politicienne», lance-t-il. Récemment, cette dernière a proposé de faire une «Grande Allée muséale», c'est-à-dire d'agrandir le MNBAQ sur plusieurs sites, en convertissant plusieurs anciens édifices religieux de la Grande Allée (dont celui des Franciscaines) en «pavillons». L'idée met M. Labeaume en colère: «Au Québec, quand tu ne sais pas quoi dire, tu proposes un centre d'interprétation ou un musée. Ça fait 20 ans que j'entends ça. Il n'y a rien de plus éculé que cette vision-là.» Il poursuit: «Ça n'a pas une crisse de cenne et ça ne sait pas où en trouver non plus», peste-t-il. Selon lui, ces «intégristes» de la protection du patrimoine sont «toujours en train de demander au gouvernement et à la Ville de mettre de l'argent [dans ce domaine], mais ils ne sont pas capables d'aller voir des gens du privé, des mécènes». Il est certain qu'un bâtiment remarquable remplacera le monastère des Dominicains. À Québec, il est temps selon lui de créer le «patrimoine de l'avenir». http://www.ledevoir.com/2009/07/10/258518.html
  6. Fête nationale Stephen Harper cède les terrains de l'Assemblée nationale à la province Mise à jour : 24/06/2009 21h53 Le chef conservateur Stephen Harper a fait une promesse pour la Fête nationale. Le premier ministre a profité de son passage à Québec pour annoncer qu'il souhaitait accéder à la demande répétée du gouvernement québécois, soit de céder à Québec les terrains de l'Assemblée nationale, qui appartiennent actuellement au gouvernement fédéral. Actuellement, toutes les législatures du Canada sont situées sur des terrains qui leur appartiennent, sauf l'Assemblée nationale. Les lots visés sont ceux sur lesquels sont érigées les statues des anciens premiers ministres René Lévesque et Robert Bourassa, celui qui se trouve en bordure de l'avenue Honoré-Mercier et celui où a été installée la fontaine de Tourny, devant le parlement.
  7. Bon, je vais m'amuser un peu ici et y placer des vidéos d'archive sur Montréal. Merci surtout à l'ONF et youtube Victoria Bridge, 8th wonder of the world. http://www.nfb.ca/film/victoria_bridge_the_8th_wonder
  8. Les reventes de logements anciens aux États-Unis ont été en nette baisse en octobre, chutant de 3,1% par rapport à septembre, pour s'établir à 4,98 millions à un rythme annuel. Pour en lire plus...
  9. L'un des plus anciens et des plus prestigieux fonds d'investissement américains prend plus de temps que prévu pour entrer à la Bourse de New York. Pour en lire plus...
  10. Les anciens employés d'AbitibiBowater dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean craignent que leur régime de retraite soit en péril. Pour en lire plus...
  11. La livraison des wagons neufs débutera en janvier prochain, ce qui permettra de retirer du service un nombre équivalent de wagons plus anciens. Pour en lire plus...
  12. L'Autorité des marchés financiers réclame notamment des peines d'emprisonnement et des amendes qui totalisent 551,5millions de dollars contre cinq anciens dirigeants de la firme de valeurs mobilières. Pour en lire plus...
  13. Le conglomérat allemand, empêtré depuis près de deux ans dans un vaste scandale de corruption, va réclamer leur plusieurs millions de dommages et intérêts. Pour en lire plus...
  14. La compagnie aérienne est également revenue sur ses intentions d'embaucher 1200 employés supplémentaires. Elle va retirer de sa flotte 22 avions parmi les plus anciens. Pour en lire plus...
  15. le mardi 6 novembre 2007 En hommage au courage des anciens combattants, le gouvernement du Québec change le nom de l'autoroute 20, entre Rivière-Beaudette et Montréal, pour l'« Autoroute du Souvenir ». Le premier ministre du Québec, Jean Charest, en compagnie de la ministre des Transports, Julie Boulet, ont annoncé la modification du nom de l'autoroute, mardi à Sainte-Anne-de-Bellevue. Le tronçon choisi est symbolique - entre Rivière-Beaudette et l'échangeur Turcot - puisque l'hôpital des anciens combattants se trouve à Sainte-Anne-de-Bellevue sur cette portion de l'autoroute. Les panneaux de signalisation de l'Autoroute du Souvenir sont ornés du coquelicot, le symbole du Souvenir, pour rappeler aux automobilistes qui l'empruntent le sacrifice des soldats qui ont participé aux différents conflits et missions de paix du Canada. Le gouvernement a ainsi procédé à ce changement de nom à la demande de la direction québécoise de la Légion royale canadienne. La Commission de toponymie du Québec a entériné l'appellation de l'Autoroute du Souvenir.
  16. vendredi 02 novembre 2007 La Chambre de commerce propose de séparer la facture entre Ottawa, Québec, Montréal et les promoteurs La Chambre de commerce de l'est de la métropole a proposé hier à Québec de s'attaquer à la décontamination des vastes terrains des anciens secteurs industriels de l'île de Montréal, une facture éventuelle qui irait de 350 à 550
  17. jeudi 17 mai 2007 Un an après l'abandon du projet de déménagement du casino, le quartier Pointe-Saint-Charles de Montréal fait l'objet de nouvelles propositions de développement. Le propriétaire des anciens terrains du Canadien National (CN) veut y aménager de 800 à 1000 nouveaux logements, en plus de relancer les ateliers d'entretien de trains dans les anciens hangars ferroviaires, selon les informations obtenues par Le Devoir.
  18. 5 mai 2007 Des feux à décompte numérique ainsi que des feux sonores pour les non-voyants permettent maintenant aux piétons de traverser en toute sécurité cette importante intersection située à proximité du CLSC de Rosemont et d’institutions scolaires. Des contrôleurs de feux électroniques ont également été installés pour remplacer les anciens modèles électromécaniques. Rappelons que ces travaux ont été réalisés dans le cadre de l’important programme de modernisation des feux de circulation de la Ville de Montréal.
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