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  1. Publié le 08 mai 2009 à 07h50 | Mis à jour à 07h50 Réparer Montréal Nathalie Collard La Presse On dit que Montréal est ingouvernable. Que c'est une ville difficile à gérer parce qu'elle est dirigée par 19 maires. Que les arrondissements ont trop de pouvoirs. Ce sont des récriminations qu'on entend depuis plusieurs années déjà et qui expliqueraient l'immobilisme actuel de la métropole. Le temps est venu d'analyser la situation et de poser un diagnostic objectif sur les structures de gouvernance de Montréal. Dans les années récentes, plusieurs suggestions ont été émises. Du côté de Vision Montréal par exemple, Benoit Labonté propose entre autres de centraliser les services d'urbanisme et de déneigement et de retirer aux arrondissements le pouvoir d'imposer une surtaxe. Le maire de l'arrondissement Ville-Marie souhaite également rétablir l'équité entre les arrondissements. À Projet Montréal, on est plus radical. Dans un mémoire déposé dans le cadre du projet de loi 22, en novembre 2007, le parti dirigé par Richard Bergeron proposait l'abolition du conseil d'agglomération (qui serait remplacé par un conseil municipal élargi) ainsi que la disparition pure et simple du comité exécutif (qu'on remplacerait par des commissions comme dans certaines villes canadiennes). Certains, comme le conseiller Cosmo Maciocia ou le pdg de Juste pour rire, Gilbert Rozon, proposent de réduire le nombre d'arrondissements (M. Rozon est également adepte de la centralisation) alors que d'autres fantasment et rêvent de revenir à l'époque d'avant les fusions. On le voit, les solutions vont dans tous les sens. D'où l'urgence de mettre sur pied un groupe de travail qui étudierait la situation actuelle. Il n'est pas question de tout effacer et de recommencer à zéro, mais bien de proposer des modifications qui permettraient une meilleure gestion de la Ville ainsi qu'une meilleure prise de décision. Avant d'arriver à l'étape des solutions, il faut d'abord brosser un tableau clair de l'administration municipale. Qui comprend vraiment le fonctionnement de Montréal aujourd'hui? On ne sait plus qui est responsable et imputable au sein de cette administration. On entend souvent dire que personne n'a envie de se lancer dans un débat de structures, que les Montréalais n'ont pas envie d'entendre parler de gouvernance. Cette attitude est non seulement réductrice, elle est dommageable pour Montréal. S'il est vrai que les problèmes de gouvernance expliquent l'inertie actuelle, alors la métropole ne peut plus se payer le luxe de remettre ce débat à plus tard. Si l'absence de leadership montréalais est due, en partie, aux problèmes de structures, alors réglons-les. Pour pouvoir réparer Montréal, il faut que la ministre des Affaires municipales nomme rapidement un groupe de travail à qui on confierait le mandat d'examiner en profondeur la gouvernance de la Ville de Montréal et d'émettre une série de recommandations objectives et non-partisanes. La gouvernance doit également figurer au nombre des enjeux qui seront débattus durant la campagne électorale qui s'amorce. Les partis doivent s'engager à améliorer le fonctionnement de la Ville. L'équipe choisie pour diriger Montréal le 1er novembre prochain pourra s'appuyer sur les conclusions du groupe de travail pour apporter des changements. Louise Harel disait récemment qu'elle avait «mal à sa ville». Elle n'est pas la seule. Bon nombre de Montréalais ont l'impression de ne plus comprendre leur ville. Il est temps de se mettre à la tâche. nathalie.collard@lapresse.ca
  2. Ottawa 4,2 M$ octroyés à 12 organismes artistiques montréalais La Presse Canadienne Lia Lévesque 24/04/2009 12h56 Le gouvernement fédéral, qui avait fait des compressions de 45 millions $ dans divers programmes culturels, juste avant l'élection, vient d'annoncer l'octroi de 4,2 millions $ à 12 organismes artistiques de la région de Montréal. Le ministre du Patrimoine canadien James Moore s'est déplacé à Montréal, aujourd'hui, pour en faire l'annonce, devant plusieurs représentants des groupes visés. Cette somme est versée par Ottawa en proportion des dons reçus de la part des entreprises privées par ces mêmes organismes. Ainsi, pour chaque dollar recueilli de la part des entreprises privées par ces organismes, Ottawa verse 72 cents, a précisé le ministre Moore. Au cours d'une rencontre avec la presse, le ministre Moore a précisé qu'il s'agissait-là d'une amélioration par rapport à l'an dernier, alors que son ministère avait attribué 52 cents pour chaque dollar recueilli du privé. Parmi les 12 organismes ainsi soutenus, on note les Grands Ballets canadiens, l'Orchestre symphonique de Montréal, l'Ecole nationale de théâtre, l'Ecole nationale du cirque, le Festival international de Lanaudière, l'Orchestre de chambre I Musici, la Compagnie Jean Duceppe et les Jeunesses musicales du Canada. Interrogé à savoir si cet appui financier devait permettre de compenser en partie les compressions de 45 millions $ dans les programmes culturels, notamment ceux comme Routes commerciales qui soutiennent les tournées à l'étranger, le ministre Moore a nié que son gouvernement ait réduit les sommes affectées à la culture. «C'est vrai qu'il y avait des programmes inefficaces, par exemple Routes commerciales, qui a coûté 5 millions $ pour livrer 2 millions $ de bénéfices. Alors c'était un programme qui était franchement irresponsable de continuer. Alors on n'a pas continué le programme, mais on a continué avec nos investissements sans précédent pour aider nos artistes, ici au Canada et à l'étranger», a commenté le ministre Moore. Des organismes présents à la conférence du ministre se sont toutefois montrés plus critiques.
  3. Garda dans le rouge, l'action chute 16 septembre 2008 - 10h46 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Affectée par la faiblesse du dollar américain et le ralentissement économique, Garda World (GW) a encore connu un trimestre difficile alors qu’elle a déclaré une perte nette de 1 M$. Du même coup, l'entreprise a annoncé qu'elle planifie une révision stratégique de ses activités. L'entreprise affirme avoir reçu au cours des derniers mois une manifestation d'intérêt non sollicitée visant l'acquisition d'une partie importante de ses actifs. Une telle transaction lui permettrait de faire un gain, de rembourser une grande partie, sinon la totalité de sa dette bancaire et de distribuer une partie de son capital à ses actionnaires. La perte enregistrée dans ce trimestre est cependant moins importante que celle annoncée il y a un an alors que l’entreprise de services de sécurité avait encaissé une perte de 1,4 M$. Les revenus de Garda ont connu un recul alors qu’ils se sont affichés à 301 M$, une baisse de 6% face aux 318,5 M$ amassés pour la période correspondante un an auparavant. Ces nombreuses turbulences faisaient reculer fortement l'action de l'entreprise qui chutait de près de 50% à la Bourse de Toronto. Selon l’entreprise, la performance financière de l’entreprise au cours du trimestre «est inférieure à ce qui était anticipé en dépit du succès des initiatives d’intégration». Pour Garda, cette performance décevante est la conséquence de multiples causes. Le ralentissement économique général, le non-renouvellement de contrats militaires aux États-Unis et l’augmentation des coûts de l’énergie au Canada sont à pointer du doigt. De l’aveu même du PDG, Stéphan Crétier, les résultats de Garda ont été «décevants». Toutefois, il s’est montré positif face à la situation de l’entreprise dans un futur rapproché. «Nous estimons que cette situation n'est que de courte durée et nous anticipons une seconde moitié de l'année plus solide, au niveau auquel les actionnaires s'attendent de Garda», a-t-il indiqué par voie de communiqué. La structure de coûts efficaces et la gestion serrée des dépenses pourraient aider la société à retrouver le chemin de la rentabilité, croit le PDG. L'entreprise a réalisé plusieurs acquisitions aux États-Unis et ailleurs dans le monde au cours des dernières années.
  4. Commerce de détail - Les Québécois perdent confiance La Presse canadienne Édition du mardi 07 avril 2009 Pour traverser la crise, les détaillants réduisent leurs marges La récession a un impact clair sur la confiance et le comportement des consommateurs québécois, et le secteur du commerce de détail doit sacrifier une portion de ses marges de profit pour se maintenir. Le Conseil québécois du commerce de détail a présenté hier les résultats d'un vaste sondage qui démontre que la confiance des consommateurs québécois est à son plus bas niveau depuis 2004, soit depuis que le Conseil mesure cet indice. Celui-ci a chuté de 23 points depuis le sommet de l'automne 2007 pour se situer à 81,4, glissant en deçà de son creux précédent de 86,6, atteint au lendemain de l'ouragan Katrina à l'automne 2005, alors que les prix du pétrole étaient en forte hausse. De plus, près des deux tiers des répondants (62 %) croient que la situation économique du Québec se détériorera au cours des 12 prochains mois, comparativement à 37 % il y a un an. Quant à leur propre situation financière, 63 % des ménages affirment qu'elle n'a pas changé, une proportion identique à l'année précédente, mais seulement un sur dix (11 %) dit constater une amélioration, comparativement à un sur cinq (21 %) l'an dernier, alors que 26 % affirment que leur situation s'est détériorée, soit 10 % de plus qu'en 2008. Fait à noter, parmi les ménages dont la situation s'est détériorée, une proportion de 18 % imputent cette situation à la diminution de la valeur de leurs placements, ce qui reflète directement la crise financière. «Dans le sondage précédent, l'année dernière, seulement 3 % identifiaient cette cause comme un des éléments principaux ayant causé la détérioration de leur situation financière», a précisé en conférence de presse le président du Conseil québécois du commerce de détail, Gaston Lafleur. Conséquemment, les consommateurs québécois ajustent leurs habitudes. Alors que 18 % disent n'avoir aucunement modifié leur comportement, d'importantes majorités disent rechercher davantage les rabais (69 %), fréquenter les mêmes magasins, mais acheter moins (62 %) ou encore fréquenter davantage les magasins moins chers (59 %). Deux consommateurs sur cinq (39 %) adoptent ces trois comportements. M. Lafleur a souligné que les détaillants parviennent à tirer leur épingle du jeu en se tournant notamment vers les soldes, réduisant de ce fait leur marge bénéficiaire. «Si on regarde par exemple le secteur du vêtement, plusieurs de nos détaillants ont quand même connu des ventes intéressantes, mais c'était au détriment des marges, parce qu'on a dû solder davantage. [...] Les ventes sont toujours présentes, mais par contre la marge bénéficiaire en prend pour son rhume», a-t-il dit. Les intentions d'achat des Québécois sont d'ailleurs révélatrices: ils anticipent réduire leurs dépenses dans toutes les catégories de biens courants, les baisses les plus fortes étant prévues dans les appareils audio et vidéo (-40 %), les meubles et électroménagers (-36 %), le matériel informatique (-31 %), les restaurants (-29 %) et les articles de sport (-28 %). Curieusement, toutefois, un ménage sur quatre prévoit malgré tout réaliser un achat important au cours de l'année, qu'il s'agisse d'une maison, d'un véhicule ou d'appareils électroménagers, une proportion qui se maintient d'une année à l'autre. «Je ne pense pas que les consommateurs québécois soient en situation de panique, mais ils seront probablement plus judicieux dans leurs sélections et leurs choix», a dit M. Lafleur. Le sondage a été réalisé par la firme AltusGéocom entre le 25 février et le 12 mars auprès de 1007 répondants. Sa marge d'erreur est de plus ou moins 3,2 %, 19 fois sur 20.
  5. Alors que la majorité de ses concurrents licencient à coups de milliers, le fabricant canadien du BlackBerry annonce qu'il recrutera 3000 employés pour faire face à la demande pour ses produits. Pour en lire plus...
  6. Le musée du Cosmodôme fera peau neuve Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du mardi 10 février 2009 Mots clés : Cosmodôme, Musée, Québec (province), Laval (région) Inauguré depuis 1994, le Centre des sciences de l'espace du Cosmodôme présentait depuis la même exposition à ses visiteurs. Alors que le projet de refonte existe sur les planches à dessin depuis quelques années, la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, a confirmé hier l'octroi des 7 millions de dollars nécessaires à sa réalisation. La Ville de Laval et ses partenaires investissent pour leur part 3,5 millions. Le Devoir a pu observer vendredi dernier les maquettes de la nouvelle galerie. Les concepteurs la bâtiront comme si vous pénétriez dans une station spatiale, des sas et trois séries de cinq pièces se succédant. Les éléments intemporels, comme l'histoire de la conquête de l'espace, ne changent pas, concède la responsable des communications, Julie Pominville. Par contre, depuis 1994, des bonds de géant ont été faits dans certains domaines de la conquête spatiale. «Par exemple, notre volet télécommunications commence à être désuet. Le renouvellement va faire revenir la clientèle qui a déjà vu l'exposition et maintenir l'intérêt», explique-t-elle. Il faudra attendre environ un an et demi avant de décoller de la Terre à bord du simulateur vidéo qui lancera l'exposition. Les rénovations ne devraient toutefois pas entraîner de fermeture prolongée. La ministre Michelle Courchesne estime que le Centre des sciences de l'espace a permis à Laval de percer l'échiquier touristique de la région de Montréal. «Ses retombées économiques sont indéniables», a-t-elle ajouté par voie de communiqué, alors que les investissements dans les infrastructures sont accélérés pour contrer la crise économique. «Nous voulons que cet équipement puisse continuer à susciter l'intérêt des visiteurs pour les sciences de l'espace», a dit le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, qui souhaite que «le Cosmodôme éveille encore plus chez les jeunes la passion des sciences de l'espace, car choisir de travailler dans le domaine de l'espace constitue une option de carrière comme une autre». La campagne actuelle de recrutement de nouveaux astronautes par l'Agence Spatiale canadienne rappelle que le rêve de s'envoler à bord d'une navette demeure (un peu) réalisable. http://www.ledevoir.com/2009/02/10/232830.html (10/02/2009 20H25)
  7. Le taux directeur ne frôle pas le zéro comme aux États-Unis mais il s'en approche mardi alors que la Banque du Canada l'abaisse d'un demi-point à 1%. Pour en lire plus...
  8. Alors que les conflits en Ukraine et dans la bande de Gaza semblent sur le point de se régler, la persistance des doutes quant à la demande mondiale en pétrole fait chuter le prix du baril sous la barre des 35$US. Pour en lire plus...
  9. Alors qu'Ottawa prépare son plan de stimulation économique en vue du budget fédéral du 27 février, presque toutes les industries canadiennes tendent leur chapeau vers le ministre des Finances, Jim Flaherty. Pour en lire plus...
  10. Le secteur canadien des fonds communs de placement a conclu une année 2008 désastreuse en décembre, alors qu'il a enregistré pour 792 millions $ de rachats nets. Pour en lire plus...
  11. Les bourses mondiales suivent la tendance à la baisse de mercredi, surtout en Asie, alors que la Banque centrale européenne doit se pencher sur ses taux directeurs. Pour en lire plus...
  12. La Chine devient la troisième économie mondiale 14 janvier 2009 - 06h48 Agence France-Presse La Chine était devenue la quatrième économie mondiale en 2005, sa croissance de 10,4% lui ayant permis de dépasser la France, le Royaume-Uni et l'Italie. La Chine est devenue la troisième économie mondiale, Beijing ayant annoncé mercredi que la croissance chinoise de 2007 avait été plus forte que prévu, ce qui la catapulte mécaniquement devant l'Allemagne. La Chine a en effet révisé à la hausse le chiffre de 2007, à 13% contre 11,9%, a annoncé plus tôt dans la journée le Bureau national des statistiques (BNS), soulignant qu'il s'agissait du chiffre définitif. Sur la base de ces nouvelles données, l'économie chinoise pesait en 2007 25 700 milliards de yuans, selon le BNS, soit quelque 3500 G$ US, sur la base du taux de change prévalant à la fin de 2007. «Cela montre que le rythme de l'économie cette année-là était plus fort que ce que l'on imaginait», a déclaré à l'AFP Ren Xianfang, analyste chez Global Insight. «Ces chiffres signifient que la Chine a dépassé l'Allemagne», dit-elle en citant des estimations de la Banque mondiale. «L'économie allemande pesait 3300 G$ US en 2007, alors que l'économie chinoise représentait plus que ça». Sur la base des données de la Banque mondiale, la Chine est donc en troisième place derrière les États-Unis (13 800 G$ US en 2007) et le Japon (4400 G$ US en 2007 également). La Chine était devenue la quatrième économie mondiale en 2005, sa croissance de 10,4% lui ayant permis de dépasser la France, le Royaume-Uni et l'Italie. Beijing doit annoncer la semaine prochaine, entre autres indicateurs importants, son chiffre de croissance pour 2008, alors que l'économie est en contraction depuis la mi-2008. La Banque mondiale a averti que l'économie chinoise devrait connaître une croissance de 7,5% en 2009, son plus bas niveau depuis 1990.
  13. Le revenu disponible moyen des femmes était alors de 22 840$, comparativement à 30 244$ pour les hommes, selon l'Institut de la statistique du Québec. Pour en lire plus...
  14. Coup dur pour la revente immobilière à Montréal 13 janvier 2009 - 09h43 LaPresseAffaires.com Michel Munger Le marché de la revente a fortement ralenti à Montréal en décembre mais la Chambre immobilière du Grand Montréal préfère porter ses lunettes roses. La CIGM rapporte en effet que le volume de ventes a fondu de 28% à 456,6 M$ et le nombre de transactions a reculé de 29% à 1710. La copropriété a été la catégorie la plus pénalisée avec des transactions en baisse de 33% à 451. Le prix médian a reculé de 2% à 192 000 $. Les édifices de 2 à 5 logements, surnommés les «plex», ont tiré leur épingle du jeu avec une diminution de 23% à 269 marchés conclus. Les prix ont monté de 3% à 337 750 $. «La confiance des consommateurs, qui est un facteur clé de la vigueur du marché immobilier, a été affectée récemment en raison du bombardement constant de nouvelles sur l’instabilité de l’économie», indique Michel Beauséjour, chef de la direction de la CIGM. «Toutefois, poursuit-il, les Montréalais devraient être encouragés par l’ensemble des résultats de 2008, qui arrive au second rang des années les plus actives du marché immobilier à Montréal. Le marché s’est bien comporté par rapport à 2007, l’année qui a battu tous les records.» Un coup d'œil sur l'ensemble de 2008 permettrait de dire que ça ne va pas trop mal car sur 12 mois, le nombre de transactions a reculé de seulement 7% à 40 916 alors que le volume a diminué de 4% à 10,6 G$. Les copropriétés ont été les grandes gagnantes alors que la revente a été presque identique au record de 2007 avec 11 561 transactions. Les maisons unifamiliales ont connu un autre sort, alors que les ventes ont baissé de 10% à 24 295. Toutefois, les prix médians de ces deux catégories de propriétés ont respectivement augmenté de 3% à 185 000 $ ainsi que de 6% à 227 000 $. «De plus, les prix ont continué d’augmenter en 2008, ce qui est une bonne nouvelle pour les propriétaires et pour tous ceux qui ont un intérêt particulier dans le marché immobilier à Montréal», ajoute M. Beauséjour. À son avis, quand on se compare, on se console. «Il suffit de regarder ce qui se passe ailleurs, comme à Vancouver, Calgary ou Toronto, où les prix et les ventes ont diminué de façon spectaculaire au cours de la dernière année, pour apprécier la vigueur du marché montréalais.» Les intentions d'achat se maintiennent La Chambre immobilière croit aussi que son plus récent sondage sur les intentions d'achat renferme des données encourageantes. L'enquête révèle que 5,1% des ménages montréalais estiment très ou assez probable qu'ils fassent une acquisition d'ici un an et 17,2% d'ici 5 ans. Respectivement, ces chiffres s'élevaient à 6,2% et 20,4% en 2007. «Ces sondages se sont révélés assez fiables au cours des dernières années, ce qui est une bonne nouvelle pour le marché immobilier montréalais. À titre d’exemple, en 2006, les intentions d’achat étaient de 9%, ce qui s’est traduit par une année exceptionnelle en 2007», précise M. Beauséjour. Le sondage a été réalisé par le Groupe Multi Réso du 21 octobre au 9 novembre 2008 auprès de 1500 répondants de la région métropolitaine de Montréal.
  15. Le plus grand salon automobile des États-Unis s'ouvre ce week-end alors que les principaux constructeurs américains se battent pour leur survie. Pour en lire plus...
  16. Dell abolit 1900 emplois en Irlande alors que Levono en supprime 2500 dans le monde. Les deux fabricants d'ordinateurs sont affectés par la crise. Pour en lire plus...
  17. Immobilier: Royal LePage ne prévoit pas d'effondrement 6 janvier 2009 - 09h39 Presse Canadienne
  18. Les automobilistes continuaient de profiter du recul du prix de l’essence alors qu’à plusieurs endroits à Montréal ou dans sa ceinture le litre s’achète à 70 cents ou moins. Pour en lire plus...
  19. Ça fait déjà quelques jours que je cherche mais en vain, alors je me tourne vers d'autres ressources pour trouver solution... Alors voilà, je possède une paire d'écouteurs qui date de fin des années '70, début '80, et que j'aime énormément pour la qualité et la fidélité du son qu'ils produisent. Par contre, je ne sais pas à quel moment ils me lâcheront, et advenant cette possibilité, j'aimerais en avoir une paire de rechange que j'achèterais, usagé, évidemment. Par contre, je n'ai aucune idée de la marque ni du modèle, et c'est là que votre contribution entre en jeu! J'ajoute deux photos des écouteurs en question, et, utile à savoir, ils sont reliés à une fiche ¼" stereo avec un fil torsadé (comme un cordon de téléphone). J'ai récupéré ces écouteurs sur l'ancienne chaine audio de mes parents. C'était une chaine panasonic, série technics, la table tournante étant une SL-1200MK2 (pour ceux que ca pourrait aider pour l'année). Par contre, aucun moyen de savoir si les écouteurs sont d'origine avec la chaine. Merci de votre aide!
  20. Le ministre fédéral des Finances a critiqué les banques canadiennes en leur reprochant de ne pas prêter assez d'argent, alors que le gouvernement a multiplié les efforts pour qu'elles aient accès à «des liquidités adéquates». Pour en lire plus...
  21. CIBC : Montréal perd son élan * Anne Robert, Lesaffaires.com * 10:08 On fait faillite plus fréquemment à Montréal. L’activité économique a considérablement ralenti à Montréal lors des six derniers mois selon une étude économique de la banque CIBC. L’emploi s’enlise, les faillites sont élevées et l’immobilier ralentit. Montréal a ainsi perdu de son élan lors des six derniers mois. Elle ne se classe qu’au 13ème rang de la liste des villes canadiennes les plus dynamiques. La grande gagnante du dynamisme est Regina, ville du Saskatchewan portée par les développements dans les matières premières et l’énergie. Malgré la crise financière, Toronto demeure deuxième. À Montréal, le nombre d’emplois a reculé entraînant les consommateurs dans un cercle vicieux de faillites. 35 consommateurs sur 10 000 sont en faillite, contre un taux de 20 pour 10 000 à Toronto et de 10 pour 10 000 à Calgary. Montréal est au premier rang des faillites d’entreprises. Elles sont 10 pour mille à avoir déposé leur bilan, alors qu’à Toronto le taux tombe à 7 pour 1000 et à 2 pour 1000 à Vancouver et Calgary. Au palmarès des faillites d’entreprises, Montréal, Québec, Saguenay et Trois-Rivières sont les premiers classés. L’immobilier a aussi connu un ralentissement important. Les ventes de logements ont baissé de 30% et les mises en chantier ont aussi reculé de 30%. Mais le prix moyen des logements continue de progresser, alors qu’il recule à Toronto et dans l’Ouest canadien.
  22. Vers 10h15, le titre de GM reculait fortement (-14,34%) pour pointer à 3,53 $ alors que Ford perdait 2,76% ou 8 cents à 2,82 $. Pour en lire plus...
  23. Alors que les mises à pied se multiplient dans divers secteurs d'activité, on embauche chez les syndics de faillite et les départements de restructuration-insolvabilité des grands cabinets comptables. Pour en lire plus...
  24. Les principales places boursières nord-américaines encaissaient les mauvaises nouvelles concernant l’emploi au Canada et aux Etats-Unis vendredi en matinée alors qu’elles étaient en net retrait. Pour en lire plus...
  25. Le fabricant du BlackBerry prévoit des profits ajustés de 81 à 83 cents US par action au troisième trimestre, alors qu'il tablait auparavant sur 89 à 97 cents. Pour en lire plus...
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