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  1. Nouveau projet de 300 logements à Montréal Mise à jour le vendredi 15 octobre 2010 à 18 h 24 L'ancien joueur vedette du Canadien Serge Savard et ses partenaires d'affaires projettent de reconvertir l'ancien Institut des sourds et muets de Montréal en immeuble résidentiel. Le groupe Thibault, Messier, Savard et associés (TMSA), en partenariat avec Développements McGill, compte y construire 300 appartements, a confirmé à Radio-Canada.ca Martin Galarneau, vice-président Affaires corporatives et développement chez TMSA. Un logement sur quatre serait destiné aux familles, avec deux ou trois chambres, alors que le reste de l'immeuble abriterait de plus petits appartements, dont des studios. Le bâtiment patrimonial, actuellement nommé le Centre 7400, est situé dans l'arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, près du parc Jarry. La Ville doit donner son feu vert L'ancien Institut des sourds et muets de Montréal est la propriété des Clercs de Saint-Viateur. La congrégation est prête à le vendre aux promoteurs. Cette entente d'achat est toutefois conditionnelle au feu vert de la Ville de Montréal. Le projet de reconversion du bâtiment patrimonial, qui exige notamment un changement au plan d'urbanisme, a reçu l'appui du conseil d'arrondissement, en septembre dernier. Le conseil exécutif juge aussi le projet souhaitable. Mercredi, il a décidé de le soumettre au conseil municipal le 25 octobre prochain. Des audiences publiques pourraient alors avoir lieu à la mi-novembre. Si tout se passe bien, les travaux pourraient commencer dans un an. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2010/10/15/015-montreal-immobilier-savard.shtml Un image de imtl.org
  2. Je me permet de mettre ce projet ici meme si je n'ai aucun rendu et que je ne connais pas le nombre d'étages mais étant donné que c'est Mondev et que nous sommes dans le Sud-Ouest alors je suis presque certain qu'il n'y aura pas plus de 5 étages. De plus, il y a peu d'information quant à l'emplacement exacte car le bureau de vente se trouve sur St-Augustin dans le quartier Pointe St-Charles alors que le lien google map du constructeur pointe vers la rue Notre-Dame coin Charlevoix dans la Petite-Bourgogne mais peut importe la location ce projet se trouvera dans ce qui est bon d'appeller... le quartier du ''Canal Lachine/Marché Atwater''. http://www.mondev.ca/nouveau-en-reservation-vip-le-charlevoix-55-condos-au-sud-ouest-pres-du-marche-atwater-et-le-canal-lachine-_fr.html?ProjetID=105
  3. http://www.cyberpresse.ca/opinions/201008/16/01-4307043-montreal-toronto-des-roles-inverses.php Pauvre fille. En vivant à Mtl, seule dans son 2 et demie, elle aurait dû sortir au lieu de se commander de la pizza.............
  4. Les trois principaux indicateurs du marché du travail placent Laval aux 2e, 3e et 4e rangs parmi les 16 régions économiques du Québec. Sujets : Laval Selon l’enquête mensuelle sur la population active (EPA) de Statistique Canada, Laval occupait, en juin, le second rang du classement des régions avec un taux d’emploi de 64,4 %, derrière Chaudière-Appalaches. Le taux d’emploi correspond au pourcentage de la population des 15 ans et plus au travail au moment de l’enquête. Par ailleurs, la ville-région a pris le 3e rang du taux d’activité, alors que 69,2 % de sa population des 15 ans et plus était soit au travail ou en recherche active d'emploi au moment du dernier coup de sonde. Chaudière-Appalaches trône également au sommet de son classement, suivi de la région de l’Outaouais. Enfin, Laval arrive au 4e échelon au chapitre du taux de chômage avec une marque de 6,3 %, derrière Québec, le Centre du Québec et Chaudière-Appalaches. Ces résultats tirés de l’EPA tiennent compte des données de moyennes mobiles de trois mois se terminant en juin. Aux fins de comparaison, précisons que la région métropolitaine de Montréal a présenté pour la même période des taux d’emploi, d’activité et de chômage respectifs de 62,4 %, 68 % et de 8,3 %, alors que l’ensemble de la province affichait des taux de 60,7 %, 65,8 % et de 7,8 %. http://www.courrierlaval.com/Economie/Emploi/2010-07-22/article-1601998/Le-marche-du-travail-se-porte-bien-a-Laval/1
  5. Petit sondage Malheureusement les sondages sont limités à 10 options. J'aurais aimé mettre 30 catégories différentes, mais ce n'est pas possible, alors j'ai du regrouper quelques genres et en omettre d'autres complètement.
  6. Voici un petit projet de condos à Longueuil, récemment complété (il y a moins d'un an) Il s'agit de huit (8) édifices de 3 étages* situé dans le secteur Joliette/Nobert (un des plus denses de Longueuil) Je sais que c'est un petit projet et rien de particulièrement interessant ou hors du commun, mais il y avait un stationnement là avant alors je trouve que c'est une amélioration! Vive le "infill", même si c'est modeste! * (Techniquement, il s'agit de 2 étages car le RDC est 1/3 sous le niveau de la rue, mais puisque le toit est si haut.. disons que ça fait 2 + 2/3 + 1/3 = 3 )
  7. ahh ce temps de l'annee, ou il est presque impossible de ne pas entendre parler d'une controverse linguistique, ou une autre .. en fesant une recherche rapide pour confirmer le nom de deux restaurants de philadelphie pour repondre a une thread, je suis tombe sur ce petit item que j'ai trouver cocasse, et de circonstance: cette affiche est sur le restaurant geno's, a philadephie. apres avoir ete poursuivi par la ville ou qqchose comme ca, ils ont finalement eu gain de cause et l'affiche demeure. le fait cocasse la dedans, c'est que si j'ai bien compris, elle a ete apposee par le pere du proprietaire actuel, lui meme immigrant qui a du apprendre l'anglais a son arrive au etat-unis! je pense que c'est de circonstance car, alors que nous celebrons notre identite propre et notre langue a travers notre fete nationale, les voix de discordent vont assurement se faire entendre. il est bon alors, selon moi, de realiser a travers de tels examples que le quebec n'est pas seul dans cette ardeur a vouloir defendre une langue locale, et en meme temps de saisir l'occasion de prendre un regard de recul sur ces questions, en voyant comment les choses se passent a l'exterieur.. comme quoi, c'est partout pareil ....... alors qu'on se sente pas trop mal...
  8. Une grande majorité de Canadiens font de plus en plus d’achats éco-responsables, mais plusieurs affirment être fatigués du discours environnementaliste, révèle un sondage réalisé pour le compte de la société Cascades. Presque la moitié des Canadiens affirment avoir changé leur façon de consommer afin de réduire l’impact environnemental de leurs achats, ce qui représente une augmentation de 5% par rapport à l’année dernière. Et lorsqu'ils vont à l'épicerie, 78% des Québécois apportent toujours leurs sacs réutilisables pour emporter leurs effets, contre 66% des Canadiens. Selon Cascades, un tel résultat démontre que l'utilisation du sac réutilisable est maintenant fortement ancré dans les habitudes de magasinage des Québécois. Les Québécois s'avèrent aussi être les champions du recyclage à domicile, alors que 91% des répondants affirment que leur municipalité offre un service de collecte sélective, contre 84% dans l'ensemble du Canada. Il s'agit là du taux le plus élevé au pays. Le sondage révèle par ailleurs que même si la plupart des Canadiens adoptent de plus en plus d’habitudes de consommation vertes dans leur vie privée, une lassitude croissante se fait sentir quand il s'agit des messages environnementaux. Plus de la moitié des répondants, soit 58%, estiment que l'environnement est la nouvelle religion, alors que 54% sont fatigués de se faire faire la morale par les environnementalistes. Les femmes, celles qui implantent généralement, les pratiques « vertes » au sein de la famille, semblent cependant généralement plus ouvertes au discours environnementaliste. « Il est encourageant de voir que les Canadiens sont de plus en plus déterminés à faire des choix plus durables», explique Gillian Deacon, auteure et référence en matière d’environnement. « Mais ce que je trouve le plus intéressant est notre sain scepticisme du «greenwashing». Les Canadiens ont raison de se méfier des allégations trompeuses sur certains produits et emballages qui essaient de paraître plus verts qu'ils ne le sont en réalité, ce que je trouve moi-même très frustrant», a-t-elle affirmé. Le sondage a été réalisé en ligne par la firme Ipsos/Descarie du 22 au 26 février auprès de 1055 Canadiens adultes. La marge d'erreur est estimée à +/- 3.1 points de pourcentage, 19 fois sur 20, dans le cas où on aurait sondé toute la population adulte du Canada. http://argent.canoe.ca/archives/lca/affaires/quebec/2010/04/20100422-102818.html
  9. Le Mercredi 21 avril 2010 | Mise en ligne à 12h00 | Commenter Commentaires (15) Montréal du futur… et du présent NDLR: Dans le but d’encourager un débat ouvert et respectueux, le Blogue de l’édito ne publiera désormais que les commentaires signés. Merci de votre collaboration. Mario Roy visuel_10-04-01Je suis allé jeter un oeil sur l’exposition Montréal du futur, présentée sur la grande place du Complexe Desjardins jusqu’au 26 avril. Que de splendeurs ! De magnifiques édifices résidentiels ou commerciaux décrits par de rutilantes maquettes et animations 3D. De magnifiques infrastructures nouvelles dans le Vieux-Port ou dans l’axe Nord-Sud où roulera un tramway digne de la science-fiction. Et un méga-hôpital (non : deux méga-hôpitaux !). Et un planétarium tout neuf. Et ceci et cela, toujours plus haut, toujours plus beau, toujours plus vert, toujours plussse touttte !… Tout ça à l’état de projets, bien entendu. Question à mille piastres : combien de ces projets se réaliseront vraiment lorsque les groupes de pression, les tables populaires, les organismes citoyens, les collectifs de défense, les regroupements de revendication, les comités ad hoc (et les grands médias, bien entendu, toujours vendus à une bonne cause) les auront “interdits” les uns après les autres ?… Quoi qu’il en soit, ce qui m’a marqué le plus, c’est le trajet que j’ai fait pour me rendre au Complexe Desjardins, à pied, à partir de l’angle Sherbrooke et Berri… Sur Berri, à votre gauche : les ruines futuristes de l’îlot Voyageur, ce parfait désastre bellement réalisé à coups de centaines de millions (de notre fric à nous) par la fine fleur de notre élite universitaire. À votre droite : la Grande Bibliothèque dorénavant insérée dans une zone verte , comme à Bagdad, destinée à empêcher le passant d’approcher de trop près et d’être tué par les lamelles de verre qui se brisent et tombent de l’édifice. Rue Sainte-Catherine, maintenant. Des commerces placardés. Des bâtiments négligés et couverts de graffitis (ah ! la liberté d’expression, n’est-ce pas ?). Une vue en passant sur des rues transversales devenues des ruelles dégoûtantes. Et surtout, surtout : des terrains vagues plus ou moins clôturés (une demi-douzaine sur moins d’un kilomètre !) envahis par les mauvaises herbes et sur lesquels sont jetés des détritus de toutes sortes, dont un vieux de bol de toilette bien en évidence ! Un vieux bol de toilette sur la rue principale, historique et emblématique du centre-ville de la métropole du Québec ! Nous ne connaissons pas de village reculé de quelque cambrousse lointaine qui tolérerait une chose pareille ! Néanmoins, c’est ça, le Montréal du présent. # intrevorwetrust 21 avril 2010 12h58 Le jour où un tel cynisme arrêtera, où les gens (pour ne pas dire les médias) arrêteront de douter de nos capacités et de nos succès, Montréal passera du bol de toilette aux thermes! Jean-Philippe Gagnon Étudiants de HEC MTL # stephen_petitpas 21 avril 2010 13h03 Vraiment triste de voir les Quebecois s’aneantir de puis l’arrivee du PQ en 1976.30 ans de chicanes et de divisions de ressources gaspillees pour rien…tragique. L’argent a quitte pour Toronto {je sais Carole c’est la faute a Ottawa!ouf!). Le PQ a commencer a tout donner pour avoir le vote des demunis{ les rien a perdre)et nous voila au bord de l’abysse en moins de 30 ans…Pathetique. # stephen_petitpas 21 avril 2010 13h03 je signe stephen petitpas # rogerheb 21 avril 2010 13h49 Il y a encore quelques Montréalais qui ont quelque chose à offir à cette ville mais ils sont anglophones,capitalistes ou fédéralistes alors Montréal n’en veut pas. Alors la ville se contente des miettes qu’elle peut recevoir des gouvernements supérieurs et elle piétinne. Continuez à tout bâtir à l’est de la ville où personne ne va. Bravo pour la vision! Il y a un bassin de richesse à exploiter à l’ouest.Pourquoi ne pas les inclure et en faire des partenaires? Solution pour Montréal: Rendre l’Île de Montréal bilingue. Redonner des droits linguistiques aux anglos et allos.Je peux vous garantir que Montréal redeviendra une VRAIE métropole d’ici 10 ans. Aux Montréalais de choisir!!! Roger Sylvain # teamstef 21 avril 2010 14h11 Voici une définition du leadership: Leadership: Le leadership, un terme emprunté à l’anglais, définit la capacité d’un individu à mener ou conduire d’autres individus ou organisations dans le but d’atteindre certains objectifs. On dira alors qu’un leader est quelqu’un qui est capable de guider, d’influencer et d’inspirer. Un leader se distingue d’un gestionnaire ou d’un décideur, lequel a des capacités pour l’administration, sans pour autant «mener» le groupe, l’organisation ou le pays à un autre stade de son développement. Parmi les compétences (ou qualités) que l’on retrouve chez les leaders, on peut citer : la vision, la stratégie, la persuasion, la communication, la confiance et l’éthique. C’est quand la dernière fois que nous avons eu un maire qui répondait à cette définition? Jean Drapeau??? Un leader doit être capable d’aller de l’avant avec des projets, même s’il y a de l’objection d’une partie de la population. Depuis quand faut-il rechercher l’unanimité? Un leader fera parfois des erreurs mais son bilan sera positif. Notre maire Tremblay n’aura pas de bilan. C’est beaucoup plus un gestionnaire qu’un leader et c’est avec des gestionnaires aux commandes qu’on se retrouve avec une ville qui n’avance pas….et même recule! Sylvain Rivard # gillesfpelletier 21 avril 2010 14h12 Après cela, les gens vont à Toronto et trouve une ville belle comme c’est pas possible et se disent que c’est à cause des Anglais. Alors ici si Montréal est laide et sale, c’est à cause de qui pensez-vous? Oui, il y a toutes sortes d’organisations citoyennes qui sont carrément contre le progrès. Prenez par exemple Québec. Savez-vous qu’un richissime promoteur voudrait construire un mini gratte-ciel d’une vingtaine d’étage, il en serait empêché. C’est défendu à Québec ce genre de progrès. Regardez l’affreux hôtel Palace au Carré D’Youville. Pourtant, il aurait été beau avec plus d’étage. Non, la gaugauche dans le quatier St-Jean-Baptiste s’y est mis le nez. Alors on devine qu’à Montréal, il y a aussi des empêcheurs de tourner en rond. Gilles Pelletier, Québec # frankduch 21 avril 2010 15h15 Ce doit être la jeunesse, mais je trouve que les projets proposé sont vraiment intéressant pour Montréal ! On y trouve à la fois des projets d’envergure issus du privé en plus de projet visant à réaménager la ville de Montréal. Je trouve désolant l’attitude de certains à ne voir que les “bobo”. Oui, le parement de la grande bibliothèque à connus des rater, mais seulement au début. Maintenant, ce batîment fait vibrer le quartier latin ! Oui, le stade Olympique commence à ce faire vieux, mais justement, le projet de réhabilitation est bien sérieux et permettra de verdir ce coin de ville ! Oui, la rue sainte-Cath à déjà eu meilleur mine, mais après une crise économique majeur, elle s’en sort bien mieux que plusieurs grande rue commerciale à l’extérieur du Québec !! Bref, enlever vos oreillettes, vous verrez que Montréal ce re-dynamise à vitesse grand V ! François Duchesneau Montréal # jeffrey_81 21 avril 2010 16h12 Pour en ajouter, M. Roy, pourquoi ne vous avez tout pas simplement mis le bol de toilette aux vidanges, ça, ça l’aurait donné de quoi à la ville! Jean-François Roy # michelnotredame 21 avril 2010 16h46 Le statut de province du Québec n’aide en rien le rayonnement de Montréal. Collectivement nous contribuons trop pour un gouvernement fédéral qui n’a d’autres prétentions que de venir faire concurrence à l’état québécois, sur son propre territoire. Montréal devrait se proclamer ville officiellement souverainiste. M. Notredame # rogerheb 21 avril 2010 17h34 Montréal devrait se séparer du reste du Québec et devenir une province bilingue resolument canadienne. À ce moment,Montréal pourra enfin évoluer économiquement et devenir viable. Passons à autre chose que ces querelles stériles qui nous empêchent d’évoluer depuis plus de 40 ans. Roger Sylvain # superseb 21 avril 2010 17h44 “…où roulera un tramway digne de la science-fiction.” M. Roy, si vous vous étiez intéressé à Projet Montréal lors de la dernière élection au lieux de détruire ce partie avec l’aide de certain de vos confrères, vous sauriez qu’un tramway électrique et silencieux à Montréal n’a rien de futuriste mais vise uniquement à rattraper notre retard sur les villes européennes et même nord-américaines. Tant qu’au projet de l’îlot Voyageur, je suis certain qu’au début vous louangiez ce projet en PPP et pourfendiez les différents groupes qui s’opposaient à cette construction. Maintenant que l’échec est évident, vous mettez la faute sur l’université. Question de bien camper les groupes communautaires et regroupements citoyens parmi les méchants qui ont toujours tord. De plus, dans votre description des ratés du développement de Montréal, vous avez oublié la 2e tour Hydro-Québec qui pourrait accueillir 1500 employés et qui est bloqué par le propriétaire du bar Cléopâtre ainsi que Griffintown auquel l’association des gens d’affaire de la rue Sainte-Catherine O s’oppose farouchement. Vous ne faite pas non plus mention des réussites comme le nouvel aménagement à l’ouest de la Place des Arts ainsi que la tour du développement durable qui s’élèvera bientôt sur Sainte-Catherine et Clark. Mais bon, ces éléments ne devaient pas cadrer dans votre idéologie. Sébastien Tétreault # fgbar 21 avril 2010 18h02 J’irai voir ces “projets du futur” car ça semble très intéressant. Il est vrai que le bout de chemin que vous décrivez est plutôt triste. Je crois même qu’il était pire il y a quelques années. J’espère que cette ville va redémarrer et aller de l’avant dans un proche avenir. Elle a tellement à offrir mais il semblerait que ça stagne un peu depuis des années. Des projets comme Bixi, je le crois, sont cependant des pas dans la bonne direction. Bonne chance Montréal! Francis Barragan # martinmtl 21 avril 2010 19h13 Il n’y a pas d’argent à Montréal, en tout cas comparé à Toronto ou Vancouver. Notre ville est vieille, elle a été saccagée par des décennies de développements tout croches (merci Drapeau) et elle est sclérosée par les groupes de pression qui s’opposent à tout changement. Ici, même une tour de 12 étages est considérée comme trop haute, trop grosse. Pendant ce temps, Toronto multiplie les constructions de tours de 40, 50, 60, 70 étages. Leur centre-ville se densifie, se peuple, se dynamise, tandis qu’ici rien ne bouge. Tous les efforts de la ville sont concentrées sur le Quartier des spectacles. Le reste, ce n’est que du rêve: les tramways, le lien ferroviaire vers Trudeau, l’agrandissement de nos musées, la transformation du Silo Nu 5, le recouvrement de l’autoroute Ville-Marie, la Citée du Havre, Griffintown, l’autoroute Bonaventure, le CHUM, des projets, des projets… mais rien de concret. C’est décourageant. Martin Girard
  10. la thread de paris m'as fait penser a ca que j'avais vu il ya quelques mois. je ne frequentais pas ce forum dans le temps alors je me demande si vous l'aviez deja vu: http://pixelcase.com.au/vr/2009/newyork/ c'est assez bien, meme si leur definition de 'downtown' est din patates !
  11. Ville de Gatineau (développements au centre-ville) Lors de ma visite dans la ville de Gatineau j’ai pensée vous montré les développements qui ce fait la bas Alors voici quelques photos que j'ai pris et que Je trouvé qui vend très bien la ville de Gatineau Car l'urbaniste de la ville est présent dans cette ville (Gatineau Gatineau) Mais pas encore mi en valeur. Mais bon c'est à coté d'Ottawa et par ricochais qui lui donne le titre de ville banlieue.
  12. La capitale excelle Rémi Nadeau 05/02/2010 20h01 La ville de Québec affiche maintenant le plus faible taux de chômage au pays, et selon les leaders de la région, elle se maintiendra dans le peloton de tête pendant un bon moment. La publication des taux de chômage enregistrés au Canada, en janvier, a révélé, hier, que la ville de Québec détient la palme du plus bas taux à 4,5 pour cent, en baisse de 0,4 pour cent comparativement au mois de décembre 2009. Cette donnée démontre encore à quel point l’économie se porte mieux à Québec qu’à Montréal, alors que la métropole accuse un taux de chômage de 9,1 pour cent. Le taux de chômage moyen est de 8,3 pour cent au Canada et de 8 pour cent au Québec. Les statistiques révèlent aussi à quel point l’Ontario est toujours affectée par la récession, la ville de Windsor affichant le pire taux de chômage au pays à 12,8 pour cent. « Nous récoltons les fruits de nos efforts des dernières années », a d’abord commenté l’économiste principal de Pôle Québec−Chaudière-Appalaches, Louis Gagnon. Il soutient que la croissance observée dans de nouveaux secteurs économiques ayant pris de l’importance à Québec, jumelée aux bonnes performances de l’industrie de la construction, sont à l’origine des succès de la ville. « Les secteurs des finances, de l’assurance et des technologies de l’information ont permis à Québec de soutenir sa croissance économique, alors qu’elle détient déjà une base solide avec les employés de la fonction publique », a-t-il précisé. Selon lui, la position de tête de Québec n’est pas un phénomène ponctuel, notamment en raison de la reprise économique, de l’expansion des entreprises de technologie comme Ubisoft et Frima ainsi que des nombreux projets de construction résidentielle et commerciale qui sont en cours. « On voit des projets de construction de tours à bureaux qui pourraient amener des superficies supplémentaires de 500 000 pieds carrés entre 2010 et 2012 », a-t-il signalé. La présidente de la Chambre de commerce de Québec, Liliane Laverdière, estime aussi que Québec n’a pas à craindre que son succès soit éphémère, rappelant que la tendance à la baisse du taux de chômage est observée depuis septembre dernier. « Ce n’est pas un feu de paille. Il y a beaucoup de projets et les gens de la région de Québec ont recommencé à consommer avec confiance », a-t-elle affirmé, hier. Le ministre de l’Emploi, de la Solidarité sociale et du Travail, Sam Hamad, a pour sa part mis en garde les acteurs économiques contre la tentation de s’asseoir sur leurs lauriers, en commentant ces données positives. « Ça démontre qu’il faut continuer à investir dans la recherche et le développement, la recette elle est là, et Québec l’a, la recette », a précisé le député de Louis-Hébert au cours d’une conférence de presse tenue dans le parc technologique du Québec métropolitain. À ses côtés, la ministre fédérale responsable de la région de Québec, Josée Verner, a rappelé que le Conference Board prévoit par ailleurs que la région de Québec sera celle qui obtiendra le meilleur taux de croissance économique au pays en 2010.
  13. Nathalie Elgrably-Lévy Économiste sénior, Institut économique de Montréal «De l’audace, de l’audace; en toute occasion, de l’audace». Cette citation d’Edmund Spenser, poète anglais du XVIe siècle, aurait pu tout aussi bien être prononcée par les ténors du front commun syndical. Alors que l’économie reste fragile, que le chômage atteint 8,4% et que le déficit et la dette compromettent notre croissance économique et le niveau de vie de nos enfants, le front commun réclame sans vergogne des augmentations salariales de 11,25% sur trois ans, soit 3,2 milliards $, rien de moins! Évidemment, les chefs syndicaux s’empressent de proposer à l’État des moyens pour financer cette dépense additionnelle. Ainsi, Mme Carbonneau recommande d’augmenter les impôts de 900 millions $ et de renoncer au plafonnement des dépenses et aux efforts de retour à l’équilibre budgétaire, autant de suggestions qui ne pourront qu’aggraver la situation actuelle. Manifestement, elle juge que la santé économique de la province, les perspectives d’avenir de millions de Québécois et la compétitivité de nos entreprises passent après la satisfaction de ses membres. Belle solidarité! Ainsi, le front commun suggère des moyens de trouver les fonds nécessaires, mais il n’explique pas pourquoi Québec, donc les contribuables québécois, devrait accepter de telles hausses salariales. Après tout, puisque le front commun nous demande de consentir des sacrifices et de nous montrer généreux, ne devrions-nous pas à notre tour exiger de lui qu’il défende la légitimité de ses ambitieuses revendications? On nous répondra que les employés de l’État travaillent dur. Admettons! Mais cela n’est pas une justification, car ceux du secteur privé, qui travaillent autant, sinon davantage, n’oseraient même pas rêver à de telles augmentations. S’agit-il d’indexer la rémunération pour tenir compte de la hausse du coût de la vie? Nullement, puisque celle-ci, telle que mesurée par Statistique Canada, fut d’à peine 0,6% en 2009. Les employés de l’État seraient-ils défavorisés? Bien au contraire! Selon l’Institut de la statistique du Québec, les employés du secteur public ont touché en 2008 un revenu hebdomadaire moyen 29% plus élevé que celui de leurs homologues du secteur privé, alors qu’ils travaillent 73 heures de moins par année. Quant aux avantages sociaux et à la sécurité d’emploi, il n’existe pas de données pour l’ensemble du secteur privé, mais il est raisonnable de penser que les travailleurs des PME québécoises sont moins gâtés que ceux de la fonction publique. Les hausses salariales de 11,25% seraient-elles alors justifiées par une hausse proportionnelle de la productivité des employés de l’État? Voilà qui serait difficile à croire! Pour l’ensemble de l’économie, la productivité n’a augmenté que de 0,8% par année de 1981 à 2008. Alors, je pose de nouveau la question. Pourquoi devrions-nous accepter des augmentations aussi considérables et payer nettement plus cher pour obtenir les mêmes services? Pourquoi un travailleur du secteur privé qui n’a ni sécurité d’emploi ni régime de retraite et dont la rémunération atteint à peine 77% de celle de son collègue de la fonction publique devrait-il faire les frais de la folie des grandeurs du front commun? Il fut un temps où le syndicalisme réalisait de grandes choses et contribuait au développement de la société. Mais ce temps est révolu. Il a obtenu la création d’une catégorie de travailleurs jouissant de privilèges sans rapport avec leur productivité. Il a aussi réussi à obtenir que les contribuables se plient aux exigences des chefs syndicaux. Est-il donc incongru de demander aux dirigeants du front commun de respecter la capacité de payer de la population? http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/02/20100204-054803.html :applause:
  14. Source: ITespresso.fr Le fournisseur dit avoir choisi Montréal pour étendre son activité d'hébergement internet en raison de l'énergie bon marché dans cette zone. D’origine française, le prestataire Ecritel spécialisé dans l’hébergement “managé” étend progressivement ses activités au reste du monde. Pour répondre aux nouveaux besoin de ses clients, la société compte s’implanter dans chaque grande zone économique de la planète. Ainsi, après le bureau de Shanghai ouvert en 2008 sous la marque “Aiqi IT”, le groupe a créé cette année sa filiale en Amérique du Nord (Ecritel Inc). Et pour s’implanter sur ce continent, Ecritel a fait un choix original et inattendu. Alors que d’autres prestataires se tournent vers des grandes zones telles que New-York, Chicago, Dallas, Miami ou encore San Francisco, l’entreprise a fait le pari de poser son infrastructure au Canada. Et plus particulièrement, à Montréal. Un choix qui tient au fait que les coûts d’énergie électrique sont considérés dans cette ville comme “particulièrement compétitifs”. C’est d’autant plus un facteur à ne pas négliger car l’importance de ce poste de dépense dans les coûts d’exploitation des centres de données va s’accentuer fortement dans les prochaines années. “A Montréal, le prix du kiloWattheure est environ moitié moindre que celui des grandes villes américaines et il est le tiers de celui de San Francisco, une des villes les plus chère d’Amérique du Nord” indique dans un communiqué Thierry Louail, président du groupe. Contacté par ITespresso, Thierry Louail précise que “pour un abonnement moyenne puissance (1000 kW par exemple), les prix d’EDF (contrat vert) vont être de l’ordre de 8 centimes d’euro le kWh (moyenne entre heures d’hiver et d’été, heures pleines et creuses) taxes comprises mais hors TVA, alors que ceux d’Hydro Québec sont de 8 cents de dollar canadien, soit 5,5 centimes d’euro, soit un coût de 30% inférieur au taux de change actuel”. L’énergie québécoise - à 95% d’origine hydraulique - est peu dépendante de la raréfaction des énergies fossiles. Un élément décisif auquel il faut ajouter un climat relativement froid qui permet de diminuer la part d’énergie consacrée au refroidissement des équipements informatiques. Pour assurer l’hébergement de ses équipements, Ecritel dit avoir sélectionné un data center de Canix. Et pour son transit IP, l’hébergeur a fait appel aux opérateurs Cogent et Verizon, déjà fournisseurs du groupe en France et bien implantés dans cette zone. Dans les mois à venir, Ecritel prévoit l’ouverture de sites au Brésil et en Asie du Sud-Est. Des marchés différents tant sur la qualité de l’hébergement d’infrastructures informatiques que sur les coûts de transit IP.
  15. «Le monde a évité une Seconde Grande dépression», selon Krugman * Léonie Laflamme-Savoie , Finance et Investissement * 10 août 2009 Paul Krugman est un partisan d'un resserrement de la réglementation des marchés financiers. Selon le prix Nobel d’économie Paul Krugman, le monde a évité une Seconde Grande dépression grâce à l’injection massive de fonds et à la mise en place de programmes de stimulation économique à grande échelle. L'économiste estime aujourd'hui que le pire de la crise économique était maintenant derrière nous alors que les exportations montrent des signes de stabilisation. La reprise sera toutefois « décevante » puisque le chômage continue de grimper et que les gouvernements ne pourront pas maintenir un tel niveau de dépenses sur le long terme. « Nous avons réussi à éviter une Seconde Grande dépression, mais la reprise complète prendra près de deux ans », a-t-il prédit lors de son passage dans une conférence sur l'économie en Malaisie. Paul Krugman souligne, pour étayer sa théorie, que la semaine dernière le taux chômage américain a ralenti sa chute pour la première fois en près de 15 mois. En effet, près de 247 000 emplois ont été perdus en juillet alors que 443 000 postes avaient été rayés de la carte en juin dernier. De plus, on s'attend à une nouvelle injection de 787 milliards de dollars (G$) du gouvernement américain en 2010. Comme plusieurs de ses collègues, Paul Krugman est un partisan d'un resserrement de la réglementation et d'une restructuration des marchés financiers. Il s'inquiète d'ailleurs de voir un ralentissement dans les discussions au sein des gouvernements au sujet de ces deux questions cruciales. « Le momentum semble s'essouffler », s'est-il inquiété en ajoutant que « la dépendance à l'autoréglementation est une erreur. »
  16. Il n'y a pas de récession à Québec 16:58 pm, Luc Lavoie Les derniers chiffres du chômage nous rappellent la gravité de la crise économique actuelle. Au Canada, le taux de chômage a monté d'un demi point (.4% pour être plus précis) en mai pour se situer à 8,4%. En Ontario, il a monté de plus qu'un demi point (.7%) pour atteindre 9,4%. C'est exactement le même niveau qu'aux États-Unis où on compte maintenant 14,5 millions de chômeurs. Au Québec, on s'en sort mieux avec un taux de chômage de 8,7%, mais à Montréal la situation devient inquiétante, alors que le taux de chômage grimpe d'un demi-point pour se situer à 9,4%. Ce qui contribue sûrement à expliquer qu'en dépit du fait que plus ou moins la moitié de la population du Québec vit dans la grande région de Montréal, la moyenne à l'échelle du Québec est sensiblement inférieure au niveau de chômage enregistré à Montréal, c'est que dans la région de Québec, c'est la prospérité et le plein emploi avec un taux de chômage 4,4%. Alors que débute la saison touristique estivale, la région de Québec fait face à une pénurie de main d'oeuvre. Le monde en entier traverse la pire récession depuis les années 30, mais pas Québec!!! Comment expliquer cet autre "mystère de Québec" ?
  17. ErickMontreal

    TVA Sports

    Une chaîne sportive pour TVA? (Corus Sports)- Selon La Presse Affaires, une demande a été déposée au CRTC par Quebecor afin de lancer une chaîne de télévision sportive. Le réseau a déposé sa demande le 1er mai dernier. La chaîne porte le nom provisoire de TVA Sports. TVA a aboli son bulletin de sports en mars 2002 par nécessité de compression budgétaire, mettant à pied quatre journalistes permanents et huit surnuméraires. Depuis, ce sont des journalistes de l'information générale qui assurent la couverture des événements majeurs, en plus de la présentation de bulletins de sports en direct, le matin, et pré-enregistrés, le midi. TVA avait alors affirmé vouloir concentrer sa production dans ses services des nouvelles et des affaires publiques. Cependant, la demande de licence de TVA Sports survient alors que Quebecor tente d'acquérir le Canadien de Montréal. Les droits de télédiffusion des matchs du Canadien appartiennent à RDS jusqu'à la fin de la saison 2012-2013. Le tarif pour présenter ceux-ci : 20 millions $ par saison. Le CRTC a aboli le monopole des chaînes sportives au pays en octobre dernier. Radio-Canada aurait un projet similaire à l'étude. Radio-Canada avait également aboli son bulletin de sports le 20 juin 2003, avant d'en ramener une version écourtée la saison dernière, qui sera prolongée dès l'automne.
  18. Assurance emploi : les chiffres explosent * Presse Canadienne, * 09:31 Au Québec, le nombre de bénéficiaires ordinaires a augmenté de 7,8% en mars. Le nombre de Canadiens recevant des prestations ordinaires d'assurance-emploi a crû de 10,6 pour cent en mars pour atteindre 681 400. Cette augmentation est la plus forte depuis que le marché du travail a commencé à se détériorer, en octobre, a indiqué Statistique Canada. Le nombre de prestataires ordinaires d'assurance-emploi a grimpé de 36,2 pour cent depuis l'automne dernier. Le nombre de demandes initiales et renouvelées reçues en mars a toutefois diminué de 1,9 pour cent par rapport à février, pour s'établir à 318 900. Malgré tout, le nombre total de demandes reçues en mars était le deuxième en importance depuis que des données comparables sont disponibles, soit 1997. C'est dans l'ouest du pays que la situation s'est le plus détériorée. En Alberta, le nombre de bénéficiaires ordinaires d'assurance-emploi a bondi de 32,1 pour cent en mars, alors qu'il a augmenté de 26,7 pour cent en Colombie-Britannique. Dans les deux cas, il s'agit des hausses mensuelles les plus importantes depuis que des données comparables existent. Le nombre d'Albertains et de Britanno-Colombiens qui reçoivent des prestations d'assurance-emploi a crû respectivement de 131,1 et 80,5 pour cent depuis octobre. Au Québec, le nombre de bénéficiaires ordinaires a augmenté de 7,8 pour cent en mars par rapport au mois précédent. En Ontario, la hausse a été de 9,9 pour cent, alors qu'elle a été de 4,9 pour cent au Nouveau-Brunswick.
  19. Le rôle de la Banque Nationale Mise à jour le lundi 11 mai 2009 à 17 h 17 Exclusif Le Québec, plus que toutes les provinces, a investi de façon importante dans le papier commercial adossé à des actifs non bancaires (PCAA). À elle seule, la Caisse de dépôt et placement du Québec en détenait 13,2 milliards de dollars, mais plusieurs entreprises du Québec ont englouti leurs économies dans cette aventure. La Banque Nationale du Canada a été un important acteur dans ce marché de 32 milliards de dollars. Avec ses filiales de courtage, elle avait des tentacules dans environ 65 % du marché. Hy Bloom, un Montréalais, poursuit la Banque Nationale qui lui a vendu pour près 12 millions en PCAA, dont la presque totalité était sans garantie de liquidité. « La chose qui me choque le plus, mettant l'argent à part, c'est la confiance que j'ai eue dans ma banque », dit-il. Il affirme avoir demandé des placements sûrs pour son entreprise familiale. « Et ce qui est intéressant, c'est que la Banque nous a raconté qu'ils ne savaient pas eux-mêmes ce que c'était dedans. Alors, de quelle manière ils ont pu nous vendre cela? » s'interroge-t-il. L'Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM), qui supervise les courtiers, croit avoir une partie de la réponse. « Je pense qu'on peut dire que probablement celui qui le vendait ne le comprenait pas et celui qui l'achetait ne le comprenait pas non plus », explique Carmen Crépin, de l'OCRCVM. L'Autorité des marchés financiers (AMF) se demande s'il y a un conflit d'intérêts. « Un courtier pourrait-il être incité à vendre un produit parce que sa maison-mère, essentiellement, en est le commanditaire? » se demande Louis Morrisset, surintendant des marchés de valeurs à l'AMF. Auquel cas, la règle est claire: il faut avertir le client. « On ne savait pas. En tout cas, nous, ils ne nous ont jamais dit: "nous, on est les promoteurs de cela" », souligne Hy Bloom. Vendeur et promoteur La Banque Nationale, avec ses filiales, était présente durant toutes les étapes: à la fois comme vendeur et promoteur de papiers commerciaux. Colin Kilgour, un « Bay Street boy », créait lui aussi un papier commercial. À l'été 2007, il était en contact direct avec la Banque Nationale. Selon lui, l'institution financière avait des informations non publiques sur la contamination de titres, mais a continué à les vendre. Prenons un des titres crées par La Financière Banque Nationale: Ironstone Trust, le plus contaminé par les subprimes américains. Dès la fin juin, des feux rouges s'allument, mais la Banque Nationale et sa filiale La Financière continuent à le vendre à des clients: à Hy Bloom, le 7 et 8 août 2008, et au constructeur Pomerleau (20 millions), les 9 et 10 août. Pomerleau et d'autres gens d'affaires du Québec ont tenté de poursuivre la Banque Nationale en 2008, alléguant le conflit d'intérêts. La Banque, qui refuse d'accorder une entrevue à la télévision de Radio-Canada, avait alors rejeté leurs allégations dans un communiqué. Hy Bloom, lui, persiste. Il a reçu la visite d'enquêteurs de l'AMF, mais n'a toujours pas retrouvé son argent. « Moi, j'ai 74 ans. Moi, je vais vivre avec ou sans. Mais pour mes enfants et mes petits enfants, qui demeurent ici, la loi doit être la loi », dit-il.
  20. Publié le 11 mai 2009 à 06h39 | Mis à jour à 06h42 Surfait, le Plateau-Mont-Royal? Lise Leduc La Presse Ceux qui commencent à trouver qu'il faudrait en revenir, du Plateau-Mont-Royal, n'ont sans doute pas tort de trouver que ce quartier de Montréal est un peu, beaucoup idéalisé dans les journaux. Pour tout dire, autour du Plateau, il y a carrément «sublimation médiatique», à en croire une professeure de l'Université d'Ottawa qui vient de produire une étude sur le «processus de consécration du Plateau-Mont-Royal». Michel Tremblay a écrit son Albertine en cinq temps; Kenza Benali, elle, a étudié le Plateau en trois temps en examinant des centaines d'articles publiés ici. Elle présentera ses conclusions cette semaine dans le cadre du Congrès de l'Association francophone pour le savoir (ACFAS). Dans les années 70, le Plateau est déstabilisé par la poussée de la ville. «Dans un contexte marqué par le populisme et le traditionalisme, le Plateau est alors investi d'un discours médiatique qui l'érige comme le symbole de la «ville traditionnelle» par opposition à la «ville moderne» projetée par les autorités municipales», écrit Mme Benali. Le Plateau est alors présenté comme un espace de «cohabitation pacifique entre différentes classes et ethnies», poursuit-elle. Comme le dernier rempart contre la ville tentaculaire, quoi. C'est l'époque de la «bohème artistique et intellectuelle» et le Plateau se présente alors comme «le ghetto de la contre-culture québécoise», «la capitale du macramé». Les artistes célèbrent le Plateau, s'y installent et entraînent la première phase d'embourgeoisement. Arrivent les années 80. Il y a revitalisation commerciale, rénovation domiciliaire, création de parcs. Le quartier se met à incarner le renouveau urbain, mais il perd au passage sa réputation de quartier populaire pour s'embourgeoiser. On le dépeint désormais comme un quartier convoité, cher. «Si plusieurs acteurs sociaux (journalistes, résidants, militants, etc.) ont apprécié cette métamorphose urbaine, d'autres l'ont vivement contestée», peut-on lire dans l'étude de Mme Benali. Plus positif Les années 90 voient réapparaître dans la presse un ton résolument plus positif, «même que le quartier connaît une sublimation médiatique sans précédent», avance Mme Benali. Il devient l'un des quartiers les plus branchés en Amérique du Nord et «avec la notoriété internationale de Michel Tremblay et de son oeuvre, il acquiert ses lettres de noblesse». La presse lui pardonne son embourgeoisement et avance que sa mixité lui permet de retrouver l'équilibre d'antan au plan de la diversité sociale. Les médias l'opposent à des quartiers comme Outremont, le Vieux-Montréal et le Centre-Sud, «comme si ces derniers étaient les rivaux potentiels du Plateau». Dans ce discours, Outremont est «catalogué comme un ghetto bourgeois sclérosé», le Vieux-Montréal comme un «musée figé» et le Centre-Sud comme un quartier «dont la stigmatisation négative freine la relance». Le Plateau devient la petite ville dans la grande ville, le quartier par excellence où l'on a su réconcilier la ville et la nature. Bernard Lamizet, professeur à l'Institut d'études politiques de Lyon, avait bien raison, conclut Mme Benali au sujet du Plateau, quand il a écrit que la ville imaginée et la ville réelle «participent toutes deux au dynamisme de la vie urbaine». La ville, comme le disait Lamizet, «n'est pas seulement le lieu où nous vivons et où nous mettons en oeuvre nos stratégies de sociabilité: elle est aussi le lieu que nous investissons de notre imaginaire, de nos désirs, de nos utopies».
  21. Publié le 08 mai 2009 à 07h50 | Mis à jour à 07h50 Réparer Montréal Nathalie Collard La Presse On dit que Montréal est ingouvernable. Que c'est une ville difficile à gérer parce qu'elle est dirigée par 19 maires. Que les arrondissements ont trop de pouvoirs. Ce sont des récriminations qu'on entend depuis plusieurs années déjà et qui expliqueraient l'immobilisme actuel de la métropole. Le temps est venu d'analyser la situation et de poser un diagnostic objectif sur les structures de gouvernance de Montréal. Dans les années récentes, plusieurs suggestions ont été émises. Du côté de Vision Montréal par exemple, Benoit Labonté propose entre autres de centraliser les services d'urbanisme et de déneigement et de retirer aux arrondissements le pouvoir d'imposer une surtaxe. Le maire de l'arrondissement Ville-Marie souhaite également rétablir l'équité entre les arrondissements. À Projet Montréal, on est plus radical. Dans un mémoire déposé dans le cadre du projet de loi 22, en novembre 2007, le parti dirigé par Richard Bergeron proposait l'abolition du conseil d'agglomération (qui serait remplacé par un conseil municipal élargi) ainsi que la disparition pure et simple du comité exécutif (qu'on remplacerait par des commissions comme dans certaines villes canadiennes). Certains, comme le conseiller Cosmo Maciocia ou le pdg de Juste pour rire, Gilbert Rozon, proposent de réduire le nombre d'arrondissements (M. Rozon est également adepte de la centralisation) alors que d'autres fantasment et rêvent de revenir à l'époque d'avant les fusions. On le voit, les solutions vont dans tous les sens. D'où l'urgence de mettre sur pied un groupe de travail qui étudierait la situation actuelle. Il n'est pas question de tout effacer et de recommencer à zéro, mais bien de proposer des modifications qui permettraient une meilleure gestion de la Ville ainsi qu'une meilleure prise de décision. Avant d'arriver à l'étape des solutions, il faut d'abord brosser un tableau clair de l'administration municipale. Qui comprend vraiment le fonctionnement de Montréal aujourd'hui? On ne sait plus qui est responsable et imputable au sein de cette administration. On entend souvent dire que personne n'a envie de se lancer dans un débat de structures, que les Montréalais n'ont pas envie d'entendre parler de gouvernance. Cette attitude est non seulement réductrice, elle est dommageable pour Montréal. S'il est vrai que les problèmes de gouvernance expliquent l'inertie actuelle, alors la métropole ne peut plus se payer le luxe de remettre ce débat à plus tard. Si l'absence de leadership montréalais est due, en partie, aux problèmes de structures, alors réglons-les. Pour pouvoir réparer Montréal, il faut que la ministre des Affaires municipales nomme rapidement un groupe de travail à qui on confierait le mandat d'examiner en profondeur la gouvernance de la Ville de Montréal et d'émettre une série de recommandations objectives et non-partisanes. La gouvernance doit également figurer au nombre des enjeux qui seront débattus durant la campagne électorale qui s'amorce. Les partis doivent s'engager à améliorer le fonctionnement de la Ville. L'équipe choisie pour diriger Montréal le 1er novembre prochain pourra s'appuyer sur les conclusions du groupe de travail pour apporter des changements. Louise Harel disait récemment qu'elle avait «mal à sa ville». Elle n'est pas la seule. Bon nombre de Montréalais ont l'impression de ne plus comprendre leur ville. Il est temps de se mettre à la tâche. nathalie.collard@lapresse.ca
  22. Ottawa 4,2 M$ octroyés à 12 organismes artistiques montréalais La Presse Canadienne Lia Lévesque 24/04/2009 12h56 Le gouvernement fédéral, qui avait fait des compressions de 45 millions $ dans divers programmes culturels, juste avant l'élection, vient d'annoncer l'octroi de 4,2 millions $ à 12 organismes artistiques de la région de Montréal. Le ministre du Patrimoine canadien James Moore s'est déplacé à Montréal, aujourd'hui, pour en faire l'annonce, devant plusieurs représentants des groupes visés. Cette somme est versée par Ottawa en proportion des dons reçus de la part des entreprises privées par ces mêmes organismes. Ainsi, pour chaque dollar recueilli de la part des entreprises privées par ces organismes, Ottawa verse 72 cents, a précisé le ministre Moore. Au cours d'une rencontre avec la presse, le ministre Moore a précisé qu'il s'agissait-là d'une amélioration par rapport à l'an dernier, alors que son ministère avait attribué 52 cents pour chaque dollar recueilli du privé. Parmi les 12 organismes ainsi soutenus, on note les Grands Ballets canadiens, l'Orchestre symphonique de Montréal, l'Ecole nationale de théâtre, l'Ecole nationale du cirque, le Festival international de Lanaudière, l'Orchestre de chambre I Musici, la Compagnie Jean Duceppe et les Jeunesses musicales du Canada. Interrogé à savoir si cet appui financier devait permettre de compenser en partie les compressions de 45 millions $ dans les programmes culturels, notamment ceux comme Routes commerciales qui soutiennent les tournées à l'étranger, le ministre Moore a nié que son gouvernement ait réduit les sommes affectées à la culture. «C'est vrai qu'il y avait des programmes inefficaces, par exemple Routes commerciales, qui a coûté 5 millions $ pour livrer 2 millions $ de bénéfices. Alors c'était un programme qui était franchement irresponsable de continuer. Alors on n'a pas continué le programme, mais on a continué avec nos investissements sans précédent pour aider nos artistes, ici au Canada et à l'étranger», a commenté le ministre Moore. Des organismes présents à la conférence du ministre se sont toutefois montrés plus critiques.
  23. Commerce de détail - Les Québécois perdent confiance La Presse canadienne Édition du mardi 07 avril 2009 Pour traverser la crise, les détaillants réduisent leurs marges La récession a un impact clair sur la confiance et le comportement des consommateurs québécois, et le secteur du commerce de détail doit sacrifier une portion de ses marges de profit pour se maintenir. Le Conseil québécois du commerce de détail a présenté hier les résultats d'un vaste sondage qui démontre que la confiance des consommateurs québécois est à son plus bas niveau depuis 2004, soit depuis que le Conseil mesure cet indice. Celui-ci a chuté de 23 points depuis le sommet de l'automne 2007 pour se situer à 81,4, glissant en deçà de son creux précédent de 86,6, atteint au lendemain de l'ouragan Katrina à l'automne 2005, alors que les prix du pétrole étaient en forte hausse. De plus, près des deux tiers des répondants (62 %) croient que la situation économique du Québec se détériorera au cours des 12 prochains mois, comparativement à 37 % il y a un an. Quant à leur propre situation financière, 63 % des ménages affirment qu'elle n'a pas changé, une proportion identique à l'année précédente, mais seulement un sur dix (11 %) dit constater une amélioration, comparativement à un sur cinq (21 %) l'an dernier, alors que 26 % affirment que leur situation s'est détériorée, soit 10 % de plus qu'en 2008. Fait à noter, parmi les ménages dont la situation s'est détériorée, une proportion de 18 % imputent cette situation à la diminution de la valeur de leurs placements, ce qui reflète directement la crise financière. «Dans le sondage précédent, l'année dernière, seulement 3 % identifiaient cette cause comme un des éléments principaux ayant causé la détérioration de leur situation financière», a précisé en conférence de presse le président du Conseil québécois du commerce de détail, Gaston Lafleur. Conséquemment, les consommateurs québécois ajustent leurs habitudes. Alors que 18 % disent n'avoir aucunement modifié leur comportement, d'importantes majorités disent rechercher davantage les rabais (69 %), fréquenter les mêmes magasins, mais acheter moins (62 %) ou encore fréquenter davantage les magasins moins chers (59 %). Deux consommateurs sur cinq (39 %) adoptent ces trois comportements. M. Lafleur a souligné que les détaillants parviennent à tirer leur épingle du jeu en se tournant notamment vers les soldes, réduisant de ce fait leur marge bénéficiaire. «Si on regarde par exemple le secteur du vêtement, plusieurs de nos détaillants ont quand même connu des ventes intéressantes, mais c'était au détriment des marges, parce qu'on a dû solder davantage. [...] Les ventes sont toujours présentes, mais par contre la marge bénéficiaire en prend pour son rhume», a-t-il dit. Les intentions d'achat des Québécois sont d'ailleurs révélatrices: ils anticipent réduire leurs dépenses dans toutes les catégories de biens courants, les baisses les plus fortes étant prévues dans les appareils audio et vidéo (-40 %), les meubles et électroménagers (-36 %), le matériel informatique (-31 %), les restaurants (-29 %) et les articles de sport (-28 %). Curieusement, toutefois, un ménage sur quatre prévoit malgré tout réaliser un achat important au cours de l'année, qu'il s'agisse d'une maison, d'un véhicule ou d'appareils électroménagers, une proportion qui se maintient d'une année à l'autre. «Je ne pense pas que les consommateurs québécois soient en situation de panique, mais ils seront probablement plus judicieux dans leurs sélections et leurs choix», a dit M. Lafleur. Le sondage a été réalisé par la firme AltusGéocom entre le 25 février et le 12 mars auprès de 1007 répondants. Sa marge d'erreur est de plus ou moins 3,2 %, 19 fois sur 20.
  24. Alors que la majorité de ses concurrents licencient à coups de milliers, le fabricant canadien du BlackBerry annonce qu'il recrutera 3000 employés pour faire face à la demande pour ses produits. Pour en lire plus...
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