Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'afin'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Le détaillant de lingerie et de maillots québécois créera une coentreprise avec la firme hongkongaise Retail CHINA afin d'implanter des boutiques en Chine. Pour en lire plus...
  2. Contrat fédéral de 600 M$ à CAE Le mandat serait confié à CAE dès le mois prochain. Photo: Bloomberg La montréalaise CAE est sur le point de décrocher un contrat de 600 millions de dollars du gouvernement fédéral pour la formation de pilotes d'avions et d'hélicoptères de la Défense nationale. En 2006, le gouvernement s'apprêtait à confier la formation à deux entreprises américaines, Lockheed-Martin et Boeing. Cependant, tôt en 2007, Ottawa annonçait que le contrat de formation dans le cadre de l'achat pour 10 milliards $ de nouveaux appareils pour la Défense ne serait octroyé qu'à une seule entreprise, rapporte le Globe and Mail. Le mandat serait confié à CAE dès le mois prochain, d'écrire le journal, afin d'enseigner aux pilotes des nouveaux avions Hercules et des nouveaux hélicoptères Chinook. CAE, qui célèbre son 60e anniversaire cette année, est connue pour son travail dans le domaine des technologies de simulation et de modélisation et dans celui des solutions intégrées de formation destinées à l'aviation civile et aux forces de défense. Environ 6000 personnes travaillent dins ses 75 installations réparties dans 20 pays. L'an dernier, une porte-parole de CAE, Nathalie Bourque, avait nié que l'entreprise avait appliqué un intense lobby afin que le contrat de formation ne soit accordé qu'à une seule entreprise plutôt qu'à deux. Toutefois, le Globe and Mail dit avoir obtenu des documents en vertu de la Loi d'accès à l'information qui démontreraient que CAE a soumis par écrit au gouvernement, en deuxième moitié d'année 2006, une propositio~ en ce sens. La multinationale montréalaise aurait promis qu'un regroupement de la formation serait plus efficace et moins dispendieux. CAE prétendait aussi que les militaires canadiens seraient ainsi formés au Canada par des Canadiens et que l'expertise de formation acquise par l'entreprise pourrait ultérieurement être exportée. http://www.lesaffaires.com/article/0/aeronautique-et-aerospatial/2008-04-09/475602/contrat-federal-de-600-mdollars-a-cae.fr.html
  3. Le fédéral réplique aux gouvernements du Québec et de l'Ontario Il y a 13 heures OTTAWA - Le gouvernement fédéral a répliqué aux premiers ministres du Québec et de l'Ontario, qui ont laissé entendre qu'Ottawa n'avait pas fait "sa part" afin de venir en aide aux fabricants en difficulté, affirmant que leurs impôts des sociétés, élevés, étaient partiellement à blâmer. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, a affirmé mardi que les propos tenus par les premiers ministres ontarien et québécois Dalton McGuinty et Jean Charest laissaient croire que les deux dirigeants n'avaient pas été mis au courant de ce que le fédéral a déjà accompli afin de soutenir l'industrie, en partie le secteur manufacturier. De plus, M. Flaherty et le ministre fédéral de l'Industrie, Jim Prentice, ont accusé les deux plus importantes provinces de maintenir en place un régime fiscal décourageant les investissements chez elles et de pénaliser les industries qu'elles disent vouloir aider. "L'Ontario et le Québec sont deux des juridictions qui ont encore des impôts sur le capital qui sont dissuasifs, et (ces impôts) découragent les décisions d'investissement nécessaires de la part des entreprises afin de créer des emplois", a déclaré M. Prentice. M. Flaherty a également estimé dissuasive la taxe de vente au détail de l'Ontario, qui augmente les coûts de production des fabricants et rend ces derniers moins concurrentiels. Il a ajouté que le gouvernement fédéral tentait de convaincre la province des bénéfices d'une harmonisation de sa taxe avec la TPS fédérale. M. Flaherty, qui a paru quelque peu perturbé par les accusations provinciales, a énuméré une liste de mesures fiscales et incitatives déjà adoptées ou annoncées, incluant l'élimination de l'impôt sur le capital. Ces derniers mois, plusieurs frabricants de pièces ont procédé à des mises à pied ou à la fermeture d'usines en raison de la restructuration entreprise par les trois grands constructeurs automobiles nord-américains, General Motors, Ford et Chrysler.
  4. Que pensez vous de ce pont à enroulement ?Situé sur les rives du Paddington Bassin à Londre, le fonctionnement de ce petit pont piétonnier est très particulier. Conçu par la firme londonnienne Heatherwick studio, la structure du pont s'enroule sur elle-même afin de laisser libre le passage aux bateaux qui empruntent le canal. védios illustrant le mécanisme de fonctionnement du pont http://www.heatherwick.com/index.php?option=com_content&task=view&id=19&Itemid=48&limit=1&limitstart=1
  5. 09/11/2007 Le classement 2007 du Times Higher Education Supplement publié aujourd’hui consacre la place de l’Université de Montréal dans le groupe des 100 meilleures universités au monde. L’UdeM arrive au 93e rang de ce classement établi par l’hebdomadaire britannique à partir de données transmises par les universités et les réponses obtenues à un sondage auprès de milliers de personnes travaillant dans le milieu universitaire. Au 93e rang de ce classement mondial, l’UdeM est la première université de la Francophonie. Cette excellente performance de l’UdeM représente un bond important en comparaison avec le 181e rang obtenu l’an dernier et s’explique, entre autres, grâce aux efforts soutenus de l’UdeM pour accroître son rayonnement national et international. De plus, le Times a apporté certaines modifications à sa méthodologie afin de mieux reconnaître les contributions scientifiques en d’autres langues que l’anglais. Le classement du Times, tout comme celui produit par l’Université de Shanghai où l’UdeM figure parmi les 200 meilleurs, évalue l’excellence de la recherche universitaire à l’échelle mondiale. Ce sont les classements les plus représentatifs de l’environnement dans lequel évolue l’UdeM.
  6. PLUS DE 3 MILLIARDS D'INVESTISSEMENTS DANS LA CONSTRUCTION AU CENTRE-VILLE DE MONTRÉAL Montréal, le 25 octobre 2007 - « Tous projets confondus – privé et public –, l'arrondissement de Ville-Marie bénéficie, aujourd'hui, de plus de trois milliards de dollars d'investissements dans la construction d'immeubles, a annoncé aujourd'hui Benoit Labonté lors de son discours devant les membres de BOMA (Building Owners and Managers Association). » Monsieur Labonté a notamment fait état des changements majeurs qui se sont opérés, depuis un an dans l'arrondissement de Ville-Marie, quant à la lutte à la bureaucratie qui caractérisait les démarches pour l'obtention de permis pour les développeurs. Ainsi, aujourd'hui, dans Ville-Marie, les demandes de permis de construire émanant du secteur privé et qui ne nécessitent pas de dérogations majeurs au plan d'urbanisme sont traités, en moyenne, dans des délais inférieurs à 100 jours plutôt que 400 jours auparavant. « L'instauration dans Ville-Marie d'un fast-track, a expliqué M. Labonté, donne des résultats éloquents puisqu'à l'heure actuelle, en excluant les projets du CHUM et de la Gare Viger,la valeur des travaux de construction des projets d'importance se situe à 700 millions de dollars. Nous avons déjà diminué de près de 50% le temps de traitement des projets qui nécessitent une décision du conseil d'arrondissement, et de plus de 70%, le temps requis pour les projets qui ne nécessitent qu'une décision administrative. » Monsieur Labonté a également annoncé qu'il donnait le signal de départ de la révision complète de toute la réglementation relative à l'urbanisme dans Ville-Marie.« Au cours des prochaines semaines, a-t-il déclaré, nous reverrons en profondeur nos manières de faire, afin d'améliorer la réglementation en matière d'urbanisme en vigueur dans l'arrondissement. Nous ferons du benchmarking avec des villes comme Barcelone, Boston, Berlin et Buenos Aires. Nous allons nous comparer aux leaders et nous inspirer des meilleures pratiques. » De plus, en 2008, des mesures réglementaires, administratives et financières novatrices seront implantées dans Ville-Marie, afin d'encourager, d'une façon très concrète, les développeurs qui accepteront de prendre, avec nous, l'important virage de la mise en valeur du patrimoine, du design, ainsi que du développement durable. L'arrondissement de Ville-Marie sera toujours un partenaire de choix, un facilitateur, pour ceux qui auront le flair et le courage d'investir strictement dans la qualité et la beauté, en s'assurant qu'ils puissent en bénéficier à long terme, tel un investissement immobilier judicieux et réfléchi.
  7. Tout en gagnant votre vie de celle ci, quelle serait-elle? Quel serait votre projet afin de gagner votre vie et aider votre ville. Dans mon cas, ce serait un immense projet de reinsertion sociale/integration des assistés sociaux dans le milieu du travail par le biais de la création d'une entreprise de services (grande echelle, je viserais a terme le 10000 employés), qui serait jumelé a un developpement de logements qui serait fournis aux employés du programme afin que ceux-ci y voient un avantage a rester, travailler et gagner leur revenu plutot que de rester sur le bras du gouvernement.
  8. Pratt & Whitney recrute en urgence à Longueuil 22 août 2007 - 12h00 Presse Canadienne Pratt & Whitney Canada va tenir cette semaine un salon de l'emploi à Longueuil afin de trouver une centaine d'employés. Le constructeur aéronautique cherche à embaucher immédiatement 100 travailleurs qualifiés pour ses activités de fabrication à son usine de Longueuil. Ce spécialiste de la fabrication de moteurs d'avion et d'hélicoptère est dans une des périodes de croissance les plus rapides qu'il a connues, étant donné la forte demande pour ses produits et ses services dans tous ses marchés. La filiale du groupe américain United Technologies (UTX) a décidé d'organiser un salon de l'emploi à son établissement de Longueuil, sur la rive sud de Montréal, les 24 et 25 août afin de combler 100 postes permanents en fabrication, à temps plein. Parmi les postes offerts figurent ceux de machinistes (opérateurs de machines-outils polyvalents), assembleurs de moteur, tôliers et inspecteurs des opérations.
  9. La Presse Le dimanche 22 juillet 2007 Souhaitant à la fois bien connaître, protéger et mettre en valeur les sites archéologiques de l'Île de Montréal, la Ville vient de lancer un appel d'offres pour étudier le potentiel de son sous-sol à 16 endroits différents. L'appel d'offres émane du Service de la mise en valeur du territoire et du patrimoine. Il vise à trouver une firme spécialisée en archéologie qui réalisera, au coût de 200 000$, des études dans l'île, sauf dans l'arrondissement historique du Vieux-Montréal, déjà très étudié. Une équipe de recherche multidisciplinaire sera mise sur pied par la firme retenue afin de rassembler pour chaque site des données dans les spécialités suivantes: l'histoire, la géomorphologie, l'archéologie préhistorique et l'archéologie historique. Seize sites sont visés par ces recherches. Parmi eux, le fort DesRoches, construit près du ruisseau DesRoches, dans l'est de l'île. Il a été utilisé à la fin du XVIIe siècle comme avant-poste défensif de Ville-Marie. On sait que cette redoute a été érigée en 1691, qu'elle était construite en bois et que ses murs faisaient 17 pieds de haut. «On va dans un premier temps, à partir de documents et de cartes anciennes, documenter d'un point de vue historique la localisation du fort DesRoches et trouver des données qui peuvent le caractériser», explique François Bélanger, archéologue à la Ville de Montréal. Autres sites à étudier, le fort de la rivière des Prairies et l'ancien village de Rivière-des-Prairies, où les sulpiciens avaient entrepris la construction d'une église en 1687. La construction fut interrompue et reprise plus tard, plus à l'est, sur le site de l'église actuelle. Le village de Longue-Pointe fera aussi l'objet d'une cartographie historique. Ce village s'élevait jadis dans la partie la plus au sud du quartier Mercier-Est. Les autres sites qui seront étudiés sont le faubourg Sainte-Marie (dans Ville-Marie), le fort Lorette et le village de Sault-au-Récollet, les berges et les îles de Verdun, Dorval, Senneville et LaSalle, les forts Cuillerier (du marchand René Cuillerier), Rémy et Rolland, à Lachine, les villages de Pointe-Claire, de l'île Bizard, de Saint-Laurent et de Sainte-Geneviève, le fief Beaurepaire ainsi que la pointe à Quenet et la Mission de Saint-Louis-du-Haut-de-l'île, dans la région de Baie-d'Urfé. L'étude du potentiel archéologique de l'île vise à assurer que la Ville respecte bien ses obligations légales en ce qui a trait à la protection du patrimoine archéologique, notamment vis-à-vis de projets immobiliers privés ou publics qui pourraient nuire à ces sites. À long terme, certains sites pourraient être aménagés afin de faire connaître leur existence. Ces recherches seront menées dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal 2005-2008, signée par la Ville et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec.
  10. Bernard Lord se joint à l'Institut économique de Montréal à 11h56, le 17 juin Équipe rédactionnelle - Jminforme.ca nouvelle@jminforme.ca L’ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick vient de se joindre à L’institut économique de Montréal (IEDM), un institut de recherche et d’éducation indépendant, sans but lucratif, à titre de membre du conseil. M. Lord, qui est depuis le mois de mai, le premier professeur en résidence de l’Institut d’analyse stratégique et d’innovation du Centre universitaire de santé McGill, travaillera à l’élaboration d’études stratégiques sur les politiques de santé, axées sur la responsabilisation des citoyens envers la gestion de leur santé. «Il est important de rechercher des solutions nouvelles qui nous permettront de relever le défi démographique et d'aider les gens à vivre en santé plus longtemps», affirme Bernard Lord. L’IEDM propose des solutions afin de susciter l'élaboration de politiques publiques optimales en s'inspirant, notamment, de réformes appliquées avec succès ailleurs dans le monde. L’institut étudie aussi le fonctionnement des marchés dans le but d'identifier les mécanismes et institutions susceptibles de favoriser une prospérité et un bien-être accrus et durables.
  11. 27 avril 2007 Près d’une soixantaine de peupliers seront plantés de manière à ceinturer le Champ-de-Mars, le parc adjacent à l’hôtel de ville de Montréal. Le président du conseil municipal, Marcel Parent, dit vouloir redonner au Champ-de-Mars son cachet d’antan tout en mettant en valeur l’hôtel de ville et, par extension, le Vieux-Montréal. Le parc revampé constituera un « pont » entre l’histoire et la modernité de la métropole. Rappelons que le Champ-de-Mars a perdu sa vocation originale lorsqu’il a été transformé en terrain de stationnement au début du 20e siècle. L’aménagement du parc, tel qu’on le connaît aujourd’hui, s’est fait en 1992 à l’occasion du 350e anniversaire de Montréal. La Ville de Montréal a alors voulu recréer le Champ-de-Mars conformément au plan d’aménagement d’origine. Montréal avait procédé, il y a 15 ans, à la plantation de chênes pyramidaux anglais. Cependant, ces arbres ont dépéri en raison de leur exposition aux grands vents et au froid, croit-on. Le faîte des arbres ayant gelé, il a fallu retirer ces arbres au début de 2006. «Je me réjouis de la tenue des travaux de plantation d’arbres qui ont cours au Champ-de-Mars. Par cette action, la Ville de Montréal contribue à mettre en valeur ce site d’une grande importance patrimoniale et historique », a déclaré Marcel Parent. Perspective historique Afin de remplacer les chênes anglais, la Ville a choisi une essence plus robuste, mais qui a des caractéristiques semblables. Ce sont donc 56 peupliers fastigiés qui prendront la relève afin de redonner à ce parc ses allures d’antan. Les peupliers ont comme particularité de projeter leurs ramures de façon très étroite. En fait, ils respectent le design que la Ville a voulu donner à ce parc à l’époque. De par sa forme élancée, le peuplier fastigié sert à faire des alignements d’arbres.
  12. Le premier pas vers la matérialisation du rêve d'un Petit Maghreb sur la rue Jean-Talon vient d'être franchi. Nacer Boudi, propriétaire d'Atlas Net, Youcef Handi, co propriétaire du restaurant Walima, et le conseiller publicitaire du Journal de St-Michel, Claude Boulet, ont enfin réglé les questions de paperasse afin de créer l'association de commerçants de cette artère. «Présentement, cette direction n'est que temporaire, en attendant la première assemblée générale. Nous trois, nous sommes impliqués pour piloter le projet jusqu'à l'élection officielle du premier conseil d'administration», explique Nacer Boudi, visiblement fier de voir qu'enfin le Petit Maghreb devient de plus en plus réalité. Lors de cette assemblée, dont la date est encore à déterminer, les marchands pourront se prononcer sur leur accord avec le projet d'association, de développement de l'artère, sur le nom «Petit Maghreb» et enfin élire le premier conseil d'administration de l'association. Claude Boulet et lui tiennent à insister sur le côté rassembleur du projet. Un projet qui aura d'heureuses répercussions sur ce tronçon de la rue Jean-Talon, compris entre les boulevards St-Michel et Pie-IX. «L'association jouera plusieurs rôles dont ceux de défendre les droits des marchands, de promouvoir le Petit Maghreb en lui donnant un aspect maghrébin avec la coopération de la ville, comme ils l'ont fait avec la Petit Italie ou Chinatown, poursuit Monsieur Boudi. L'association permettra de travailler ensemble afin de revitaliser et d'embellir la rue Jean-Talon et de faire du Petit Maghreb un pôle attractif ce qui fera augmenter l'achalandage chez tous les commerçants.» La création d'un quartier Petit Maghreb est, semble-t-il, une première en Amérique du Nord, ce qui fera de lui un endroit unique à visiter pour tous les Maghrébins nostalgiques de leur pays. Un endroit de référence pour chaque Maghrébin ou simple voyageur de passage à Montréal. «On doit pouvoir arriver à faire de l'endroit quelque chose de reconnu. Que quelqu'un qui prend un taxi de l'aéroport pourra dire au chauffeur "Petit Maghreb!" et qu'il sache exactement où aller», ajoute Nacer Boudi. Un Petit Maghreb qui contribuera à l'enrichissement de la culture de la Métropole et même du Québec dans sa diversité. Le développement de cette artère aura certes un effet bénéfique sur l'achalandage des commerces situés sur celle-ci. Au-delà de l'aspect commercial La création d'un Petit Maghreb n'est pas tout pour Nacer Boudi. Il espère que la Ville s'impliquera activement dans ce processus afin de développer cette artère, de la transformer physiquement mais aussi pour mettre au point, avec d'autres associations de cette communauté, un genre de semaine de festivités maghrébines qui pourraient se dérouler dans le parc François-Perrault tout juste à l'arrière de la rue Jean-Talon. «Pour présenter la culture, les coutumes, les traditions, la cuisine du Maghreb, parce que c'est ça les vrais accommodements… apprendre à connaître et à respecter les valeurs de l'autre», souligne-t-il. Marchands de ce tronçon de la rue Jean-Talon, compris entre St-Michel et Pie-IX, et maintenant mieux connu sous le nom de Petit Maghreb, vous êtes invités à vous joindre en grand nombre à l'association à naître pour faire ce rêve une réalité, un endroit unique à travers toute l'Amérique du Nord
  13. 20 avril 2007 Les initiatives reliées au développement durable sont nombreuses sur le Plateau-Mont-Royal. L'arrondissement a adopté des mesures s'inscrivant dans cette volonté en cherchant à préserver l'environnement. Le budget participatif du Plateau-Mont-Royal fait place à un volet dédié au développement durable et à la qualité de vie. Quelques centaines de milliers de dollars du Programme triennal d'immobilisation seront allouées à des projets liés au développement durable. «Les gens du Plateau sont vraiment concernés par l'environnement. Il suffit de faire un peu de porte-à-porte pour connaître leur intérêt. Une dame, qui réside dans un logement au troisième étage, nous a fait part de son désir de composter. Ce qui n'est pas évident pour cette locataire. C'est pourquoi, il faut être à l'écoute pour mettre des projets de l'avant», mentionne la mairesse de l'arrondissement Helen Fotopulos. La conseillère municipale Josée Duplessis, responsable du dossier de l'environnement, souligne que l'arrondissement consacre des ressources financières supplémentaires aux initiatives locales. «Il faut toutefois que les résidants réalisent que l'arrondissement ne peut assumer seul le financement de toutes les initiatives», met en garde Mme Duplessis. Les ruelles vertes, qui poussent comme des champignons à l'échelle du Plateau, sont un exemple de partenariat pour assurer la pérennité des projets de verdissement. On ne compte plus les initiatives de verdissement menées par les éco-quartier. En plus de la contribution financière de l'arrondissement, des commanditaires et des partenaires gouvernementaux supportent ces initiatives. Plusieurs initiatives La Commissions de l’aménagement urbain et du développement durable (CAUDD) déposera prochainement son rapport sur la gestion des matières résiduelles. Les conclusions feront partie du plan d'action de l'arrondissement à l'automne prochain. Le Plan de déplacement urbain, actuellement en préparation, prévoit plusieurs actions afin de réduire les gaz à effet de serre, de diminuer la vitesse de la circulation automobile, l'espace réservé à l'automobile et la circulation de transit, améliorer les voies cyclables, etc. Toutes ces suggestions s'inscrivent dans la volonté de doter l'arrondissement d'un développement durable. Cette année, l'arrondissement a modifié sa réglementation afin de réduire le nombre d'espace de stationnement pour les automobiles lors de nouvelles constructions. En contrepartie, les promoteurs doivent prévoir des espaces réservés pour ranger les vélos
  14. (10 avril 2007 -LaPresseAffaires)La Banque TD lance un message clair: le Québec peut s'enrichir largement s'il ose aller de l'avant avec une hausse des frais de scolarité, des tarifs d'Hydro-Québec et avec l'abolition des subventions aux entreprises. Selon un rapport que les Services économiques TD publient mardi matin, une nouvelle philosophie en matière de prospérité permettrait de combler un écart de 8000 $ par année entre le revenu disponible du ménage moyen québécois et celui dans le reste du Canada. Selon les économistes de la banque, l'enrichissement n'est pas une question de travailler de plus longues heures, comme le suggérait déjà l'ancien premier ministre Lucien Bouchard. Les Services économiques TD privilégient davantage l'investissement dans l'éducation et l'infrastructure, la réduction du fardeau réglementaire, une baisse des impôts tant des particuliers que des entreprises ainsi qu'une meilleure intégration des travailleurs provenant de l'étranger. Le rapport souligne que le Québec n'a pas fait que de mauvais choix, rappelant la lutte au déficit et au chômage dans une province à l'économie diversifiée jouissant d'une qualité de vie élevée. Par contre, la TD propose un «plan pour la prospérité» qui se résume aux points suivants: - Augmenter les frais de scolarité et concentrer l'aide financière vers ceux qui en ont le plus besoin. Cela permettrait d'offrir un enseignement et des services de recherche de calibre mondial. - S'éloigner des subventions versées aux entreprises, redirigeant les fonds publics vers des secteurs qui enrichissent davantage la société québécoise.- Réaligner le coût des services publics, comme l'électricité, les eaux usées et la collecte des déchets vers «le prix du marché» afin qu'ils soient gérés plus efficacement. Sachant qu'elle risque de susciter la controverse avec les tarifs d'Hydro-Québec, la TD estime qu'un financement axé sur une taxe à la consommation engendrerait un système plus efficace et équitable. Ceux qui consomment moins cesseraient de partager la facture des plus grands utilisateurs d'énergie. Selon le rapport, un système d'utilisateur-payeur équivaudrait à réduire le lourd fardeau fiscal du Québec afin de faciliter l'emploi, l'épargne et l'investissement. Don Drummond, économiste en chef du Groupe Financier Banque TD, croit dur comme fer que faire de tels choix serait payant. «Une économie qui investit davantage de ses ressources dans les biens d'investissement, l'éducation et l'infrastructure a tendance avoir plus de facilité à convertir chaque heure travaillée dans la productions de biens et de services, dit l'économiste. Comme tel, bon nombre des défis résident au niveau de la société plutôt qu'au niveau individuel des travailleurs.» À son avis, un fardeau fiscal allégé et une productivité accrue enrichiront tout le monde. «Ce faisant, dit-il, une augmentation des revenus qui généreront d'une part des revenus disponibles pour que le gouvernement renforce les services sociaux et qui par ailleurs permettront aux entreprises d'augmenter les salaires et les avantages de leurs employés.» Le rapport de la TD rappelle toutefois que des défis imposants attendent le Québec. La population vieillit et dès 2013, le bassin de travailleurs déclinera. Le financement de la santé en sera affecté. Par ailleurs, la concurrence des économies émergentes sera de plus en plus forte. Don Drummond invite les Québécois à ne pas réagir à ces menaces avec les réflexes de l'État interventionniste. «L'idée que les gouvernements sont en mesure d'offrir de grandes subventions doit être remplacé par celle d'une aide dirigée vers ceux qui en ont le plus besoin, dit l'économiste en chef. En bout de ligne, le gouvernement doit choisir avec minutie où et comment il dépense les impôts des contribuables et ce afin de s'assurer que la valeur de tous ses programmes et services soit la meilleure, considérant les montants investis
  15. Le mardi 27 mars 2007 ( La Presse) Montréal Deux ans après l’adoption du premier plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise, Montréal et 76 partenaires économiques et sociaux annoncent un certain nombre d’initiatives en faveur d’une qualité de vie plus agréable sur l’île mais la Ville refuse de se prononcer sur des irritants environnementaux comme l’agrandissement de l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau. Lors de la première phase du plan, Montréal a pris des initiatives pour réduire les émissions des gaz à effet de serre. La deuxième phase se poursuit jusqu’en 2009 avec 19 actions en faveur de l’environnement. La Ville s’est engagée ce lundi à encourager les produits équitables, l’achat local, l’économie sociale et le verdissement. Elle a annoncé qu’une collecte des résidus verts et de table pour en faire du compost s’en vient. Mais il n’y a pas d’échéance pour ce projet. Parmi les partenaires de la Ville figure Communauto, qui multiplie les projets d’autopartage et se bat depuis des années pour obtenir du gouvernement Charest une reconnaissance afin de diminuer le nombre de véhicules en circulation à Montréal. Mais Alan DeSousa, responsable du développement durable à Montréal, ne s’est pas engagé à aider leur cause. Selon le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, depuis que Gérald Tremblay est devenu maire, le parc automobile de l’île croît au rythme de 10 700 véhicules par an, pour un total de 42 800 véhicules durant son premier mandat. « Sous le maire Jean Doré, au tournant des années 1990, des efforts réels de promotion du transport collectif avaient permis de limiter cette croissance à 1 050 véhicules par année, soit dix fois moins qu’aujourd’hui », dit M. Bergeron. De plus, M. DeSousa n'a pas voulu dire si l’agrandissement de l’aéroport de Dorval, qui fera disparaître des espaces verts et contribuera à augmenter la fréquentation de l’aéroport, annulera une partie des actions prises afin d'améliorer la qualité de vie des Montréalais.
  16. Le quadrilatere forme de Wellington, Peel, de la commune, et l'actuelle autoroute bonaventure Un complexe composé de condos, bureaux, commerces ramener l'autoroute bonaveture au niveau du sol, tunnel sous le bassin peel qui sortirait au coeur de ce complexe une rue principale au centre, entourée de buildings entre 10 et 20 étages, avec podium au niveau de la rue d'un maximum de 5 étages, afin que la lumiere puisse se rendre Sur la rue de la commune, trottoir large afin d'attirer cafés et restaurants et de l'espace pour des terrasses. 2 rues secondaires qui serviraient d'acces au parkings des tours ainsi que pour les livraisons, avec un code d'entretien strict afin que ca ne tourne pas en ruelles insalubres Les bureaux seraient plus du coté nord du chemin de fer (en brun et rouge) afin de faire le lien avec ce qui se trouve actuellement dans griffintown. *Je sais pas si ca devait venir dans cette section, alors malek soit libre de le deplacer si ca devrait aller ailleurs
×
×
  • Créer...