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  1. Montreal company on the offensive! http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201605/02/01-4977110-bce-achete-manitoba-telecom-pour-39-miliards.php (Winnipeg) Le géant canadien des télécommunications BCE a annoncé lundi l'acquisition de Manitoba Telecom Services (MTS) pour 3,9 milliards de dollars. BCE acquerra l'ensemble des actions ordinaires émises et en circulation de MTS moyennant la somme approximative de 3,1 milliards et assumera l'encours de la dette nette d'environ 800 millions. Les actionnaires de MTS pourront choisir de recevoir 40$ en espèces ou 0,6756 par action ordinaire de BCE pour chaque action ordinaire de MTS, selon la proportion de la contrepartie totale, qui sera composée à 45% en espèces et à 55% en actions ordinaires de BCE. Le conseil d'administration de MTS a approuvé la transaction et recommande aux actionnaires de MTS de voter en faveur de celle-ci. La clôture de la transaction est prévue pour la fin de 2016 ou le début de 2017.
  2. FRANCIS VAILLES La Presse Serge Godin n'a pas l'habitude de commenter les grands enjeux économiques ou de se mêler de politique. Cette fois, le proprio du Groupe CGI sort de sa réserve concernant la fuite de nos sièges sociaux, qu'il juge très préoccupante. En particulier, il affirme que la fiscalité canadienne incite nos entrepreneurs à vendre leur entreprise au plus offrant plutôt que la léguer à leurs enfants. Cette problématique accentuera grandement nos pertes de sièges sociaux au cours des prochaines années, soutient le président exécutif du conseil de la multinationale informatique. « Le problème est extrêmement sérieux. On essaie de protéger nos sièges sociaux, mais le système fiscal fait exactement le contraire », dit Serge Godin, dont l'entreprise de Montréal fait travailler 65 000 employés dans 40 pays. Selon l'homme d'affaires, ce sujet est la grande inquiétude de l'heure des entrepreneurs du baby-boom. Cette préoccupation est confirmée par le fiscaliste Jean-François Thuot, de Raymond Chabot Grant Thornton. De nombreux hommes d'affaires de Québec inc. sont rendus à un âge avancé. Qu'on pense à Jean Coutu, aux frères Lemaire, à Alain Bouchard ou à Rémi Marcoux. Pour eux, la question de la succession devient cruciale même si certains ont fait des arrangements. « Quand un siège social est à Montréal, c'est ici que se prennent les décisions, ce qui favorise nécessairement la communauté, les avocats, les comptables, etc. Il y a tout un écosystème autour d'un siège social et des emplois bien rémunérés », détaille Serge Godin. Or « la fiscalité est un incitatif à vendre nos entreprises, ce qui contribue à la fuite des sièges sociaux. Tous les entrepreneurs sont pris avec ce problème-là », dit Serge Godin, 66 ans, dont la fille Julie est l'une des vice-présidentes de CGI. Deux raisons expliquent la situation : le manque de liquidités de la succession pour acquitter les impôts lors de l'héritage, d'une part, et les pertes importantes qu'engendrerait le legs de l'entreprise plutôt que sa vente pure et simple, d'autre part. Lorsque le propriétaire d'une entreprise décède, faut-il savoir, le fisc exige des héritiers le paiement immédiat des impôts sur le gain en capital. Essentiellement, ce prélèvement représente 26,7 % de la valeur des actions du fondateur au Québec (fédéral-provincial combiné). Or la succession - souvent les enfants - n'a pas les fonds nécessaires pour payer les impôts et doit donc vendre une portion importante des actions de l'entreprise, ce qui en met le contrôle à risque. Prenons l'exemple d'une firme dont les actions du fondateur en Bourse valent 100 millions de dollars et représentent 55 % des droits de vote. À son décès, les héritiers devront payer 26,7 millions en impôts, essentiellement. N'ayant pas les fonds, ils devront vendre 26,7 % de leurs actions de l'entreprise, faisant ainsi passer la position de la famille de 55 % à 40 % environ, ce qui leur fait perdre le contrôle. La situation est plus dramatique lorsqu'il s'agit d'actions à vote multiple, par exemple des actions qui donnent droit à 10 votes. Ces actions procurent le même gain qu'une action ordinaire lorsqu'elles sont vendues en Bourse, mais leur cession fait perdre à la famille 10 droits de vote pour chacune. La position de contrôle peut alors fondre très rapidement avec le paiement des impôts. Autre élément néfaste, selon Serge Godin : la mécanique fiscale fait en sorte que les héritiers empochent davantage si l'entrepreneur vend au plus offrant avant de mourir que s'il transfère les actions à son décès. Par exemple, un entrepreneur qui vend son entreprise en Bourse à un concurrent obtient une prime qui peut atteindre 40 %. Dit autrement, les actions qui valaient 100 millions peuvent gonfler à 140 millions lors d'une offre d'achat. Après l'impôt de 26,7 %, il reste environ 103 millions net pour les héritiers éventuels. Au contraire, au décès, les héritiers reçoivent une valeur nette de 73 millions après paiement de l'impôt de 26,7 millions, soit beaucoup moins que si le père avait vendu son entreprise avant son décès, dit-il. Cette problématique est semblable dans les autres provinces canadiennes, mais elle est moins aiguë aux États-Unis. Serge Godin croit qu'il faut carrément changer les dispositions fiscales lors du legs à la famille d'actions d'entreprise. Il imposerait seulement le gain à la vente des actions. L'homme d'affaires affirme qu'il ne cherche absolument pas à vendre son entreprise, ni à éviter de payer ses impôts. Il est conscient que ses suggestions seront impopulaires et difficiles à vendre sur le plan politique. « Mais si on veut garder nos sièges sociaux et ne pas redevenir une économie de succursales, il faut agir », affirme-t-il. Après la sortie d'Alain Bouchard sur les actions à droit de vote multiple, voilà un autre débat connexe lancé sur nos sièges sociaux par un homme d'affaires d'envergure... GROUPE CGI EN BREF Employés : 65 000 Étendue : 400 bureaux dans 40 pays Revenus annualisés : environ 11 milliards Capitalisation boursière : 20 milliards http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201604/21/01-4973867-sieges-sociaux-en-peril-le-cri-du-coeur-de-serge-godin.php
  3. EXCELLENTE NOUVELLE ET UN SIEGE SOCIAL QUI RESTE A MONTREAL Publié le 02 avril 2014 à 10h17 | Mis à jour à 12h33 Osisko (T.OSK), qui fait l'objet d'une offre d'achat hostile du géant Goldcorp (T.G), a finalement trouvé son chevalier blanc. Avec l'aide de la Caisse de dépôt et placement du Québec et de l'Office d'investissement du Régime de pensions du Canada (OIRPC), l'entreprise torontoise Yamana Gold (T.YRI) propose d'acheter la moitié de la société aurifère québécoise pour 1,37 milliard. Si la proposition est acceptée, les actionnaires d'Osisko recevront l'équivalent de 7,60 $ par action (2,19 $ en argent comptant, 2,06 $ sous forme d'une participation dans Yamana et 3,35 $ sous la forme d'une action du nouvel Osisko). C'est environ 10 % de plus que le cours de clôture des actions d'Osisko hier et 22 % de plus que l'offre de Goldcorp, dont la valeur était de 6,21 $ hier soir. En fin d'avant-midi, mercredi, l'action d'Osisko s'échangeait à 7,45 $ à la Bourse de Toronto, une possible indication que tous les investisseurs ne sont pas convaincus que la transaction avec Yamana ira de l'avant. Dans le cadre de l'entente, la Caisse de dépôt et l'OIRPC injecteront chacun 275 millions dans Osisko. La Caisse investira dans un «contrat de fourniture d'or» alors que l'OIRPC accroîtra la facilité de crédit d'Osisko. De plus, la Caisse et Investissement Québec convertiront en actions leurs débentures d'Osiko, dont la valeur totalise 75 millions (partagé à parts égales). Selon Osisko, la transaction permettra de distribuer 1 milliard en tout aux actionnaires de l'entreprise. «L'annonce d'aujourd'hui procure une valeur beaucoup plus importante à nos actionnaires, a déclaré le PDG d'Osisko, Sean Roosen. Elle offre aussi aux actionnaires la certitude de pouvoir continuer à participer au potentiel de croissance futur de notre mine Canadian Malartic, qui génère des flux de trésorerie disponibles très solides, ainsi que la capacité de continuer à bénéficier de nos futurs travaux d'exploration et de développement.» «Cette transaction nous permet d'entrer dans une nouvelle juridiction nord-américaine de calibre mondial, a quant à lui commenté le grand patron de Yamana, Peter Marrone. Elle amène une augmentation immédiate de notre production et une amélioration de notre structure de coûts déjà avantageuse.» La transaction devra être approuvée par les actionnaires lors d'une assemblée qui aura lieu d'ici le 20 mai. Jusqu'ici, Goldcorp a assuré ne pas avoir l'intention de bonifier son offre pour Osisko, mais le géant vancouvérois a encore le temps de changer d'avis.
  4. http://sports.yahoo.com/nhl/blog/puck_daddy/post/GQ-ranks-Montreal-Canadiens-fans-among-worst-in-?urn=nhl-wp643&utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter
  5. Tiens, quelque chose de bien va se faire avec ce truc moche..... http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=98,71749570&_dad=portal&_schema=PORTAL
  6. Worldcolor: curieuse transaction François Pouliot / Général, 782 mots Après deux tentatives avortées de R.R. Donneley, c’est finalement Quad/Graphics qui met la main sur Worldcolor. Cette transaction est-elle vraiment équitable pour les actionnaires de Worldcolor? Et quel avenir pour les 1 500 salariés des imprimeries québécoises? En mai, Donneley avait d’abord offert 1,4 G$ pour Worldcolor (autour de 9,50$ par action). En août, l’offre avait été majorée à 1,6 G$ (11$ par action). Il est actuellement difficile de dire combien offre Quad/Graphics. L’acquisition est payée en actions. Au terme de la transaction, on parle d’actionnaires ordinaires qui auront 40% de Quad/Graphics, mais on ne sait pas trop combien vaudront ces actions puisque Quad n’est pas encore cotée. Moins bon que l’offre de Donnelley? Reuters et le Wall Street Journal citent des sources et parlent d’un prix attendu de 1,3-1,4 G$. C’est moins que ce qu’offrait Donnelley. Attention cependant. La transaction avec Quad/Graphics offrira des synergies de 225 M$ sur un BAIIA actuel combiné de 647 M$. Ca semble à première vue assez intéressant pour les actionnaires en terme de création de valeur future. On ne sait si Donnelley, qui ne payait qu’un tiers en actions (le reste comptant) pouvait offrir de telles synergies. Conséquemment, on ne peut trop dire si le levier de création de valeur à long terme aurait été aussi intéressant avec Donnelley. Mais il est aussi possible que les synergies promises par Quad soient en partie mangées par un marché de l’imprimerie en recul dans les prochains trimestres. Si tel doit être le cas, la portion au comptant de l’offre de Donnelley aurait été plus intéressante. Là où vraiment la transaction est curieuse Cette transaction est cependant surtout curieuse dans ceci : le BAIIA de Worldcolor est à peu près le même que celui de Quad (315 M c. 332 M$), mais les actionnaires de World ne reçoivent que 40% de la nouvelle compagnie. Au plan mathématique, quelque chose cloche. La proportion devrait plutôt être autour de 50-50, ce qui donnerait plus d’argent aux actionnaires de World. À noter que les prévisions de croissance du BAIIA de World pour l’an prochain par les deux maisons qui suivent le titre (RBC et TD) étaient assez importantes (352 et 380 M$ attendus). De trois choses l’une. Ou bien la rentabilité de Wolrd était sur le point de fortement diminuer (et la crédibilité de la direction est en jeu). Ou bien celle de Quad est sur le point d’exploser. Ou bien encore, c’est un peu des deux. Mais on peut se demander pourquoi plus de précisions n’ont pas été apportées à la conférence téléphonique. En attendant, on se gratte l’occiput. La fin du siège social Le siège social montréalais disparaîtra et la question est maintenant de savoir combien des 200 emplois qui y sont rattachés seront maintenus dans ce qu’on pourrait qualifier d’unité régionale administrative. La réponse est : pas beaucoup. Et l’on peut se demander si la véritable unité régionale ne sera pas plutôt basée à Toronto. Déjà Worldcolor avait annoncé il y a quelques jours son intention de consolider ses activités dans la région de Toronto. Il est douteux que l’on consolide ses activités dans une région et que l’on laisse sa principale place d’affaires dans une autre. Des usines sont elles à risque de fermer au Québec? Après celle de Bromont il y a quelques jours, d’autres usines sont-elles à risque de fermeture au Québec? Il en reste cinq au Québec, qui emploient 1500 salariés. Il faut ici dire que l’on est un peu estomaqué par la différence de marges bénéficiaires (BAIIA) entre les deux sociétés : 17,6% chez Quad, 9,7% chez World. Difficile de ne pas avoir une petite inquiétude. Si des imprimeries doivent fermer pour générer les synergies (et l’on serait étonné que ce ne soit pas dans le plan de match), ce n’est à première vue pas celles de Quad. On ne connaît pas la situation individuelle de chacune des imprimeries. On sait cependant que Quad a 11 usines aux États-Unis, et n’en a aucune au Canada. Le Canada et le Québec sont des marchés qui ne peuvent être exclusivement desservis par l’Oncle Sam. On serait donc plus inquiet pour les 35 usines de World aux États-Unis que pour les québécoises. Ce qui ne veut néanmoins pas dire qu’il y a absence totale de danger.
  7. BCE se retire des Maple Leafs de Toronto Publié le 21 août 2009 à 06h21 | Mis à jour le 21 août 2009 à 06h25 Vincent Brousseau-Pouliot La Presse BCE n'aura pas de conflits d'allégeance l'hiver prochain lors des matchs épiques entre le Canadien de Montréal et les Maple Leafs de Toronto. Nouvel actionnaire minoritaire du Canadien, BCE s'est départie de ses derniers intérêts dans le club de hockey torontois. CTVglobemedia, une société détenue à 15% par BCE, a vendu hier son bloc de 7,7% des actions de Maple Leafs Sports&Entertainment (MLSE) au Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l'Ontario (Teachers'). Le montant de la transaction atteindrait 92 millions de dollars. En juin dernier, BCE a acquis une participation minoritaire dans le Canadien de Montréal au coût de 50 millions de dollars. BCE jurait alors ne pas être en conflit d'intérêts malgré sa participation financière dans les deux équipes. Le géant des télécommunications n'aura finalement pas à tester sa théorie. «La transaction avec les Maple Leafs permet à CTVglobemedia de réduire sa dette, ce qui est une bonne chose de notre point de vue d'actionnaire, dit Julie Smithers, porte-parole de BCE. Quant au Canadien, nous avons décidé d'investir parce que nous y voyions une belle opportunité d'affaires, notamment pour la téléphonie sans-fil.» À la suite de la transaction annoncée hier, Teachers' voit ses parts dans l'équipe de hockey torontoise passer de 58% à 66%. Les deux autres actionnaires des Maple Leafs sont le magnat de l'immobilier Larry Tanenbaum (20%) et la Banque TD (14%). En décembre dernier, CTVglobemedia avait vendu un autre bloc de 7,7% des actions de MLSE à Larry Tanenbaum. CTVglobemedia et Teachers' n'ont pas dévoilé le montant de la transaction d'hier. Teachers aurait payé environ 92 millions de dollars selon les estimations de La Presse Affaires, qui sont basées sur la transaction conclue en décembre dernier entre CTVglobemedia et Larry Tanenbaum. La valeur totale de MLSE - qui inclut les Maple Leafs, son club-école des Marlies, les Raptors (NBA), l'équipe de soccer Toronto FC, le Air Canada Center, le BMO Field, Leafs TV et Raptors NBA-TV - a alors été évaluée à 1,2 milliard de dollars. Teachers' est propriétaire des Maple Leafs depuis 1994. Il s'agit de l'un des meilleurs investissements de l'histoire de la caisse de retraite. Le rendement annuel composé sur ses premières actions achetées en 1994 est de 18%, selon les calculs de La Presse Affaires. «MLSE s'est avéré être un excellent placement au fil des ans, a dit hier Erol Uzumeri, vice-président de Teachers' Private Capital, par voie de communiqué. L'augmentation de notre participation dans MLSE reflète la confiance que nous avons dans sa prospérité à long terme, tant sur le terrain qu'en dehors de celui-ci.»
  8. Mardi 9 Juin 2009 à 14h55 Valeurs Mobilières Desjardins perd son stratège Sophie Cousineau, LaPresseAffaires Le courtier du Mouvement Desjardins a perdu son stratège en chef. Peter Gibson vient de faire le saut à la banque CIBC, où il occupera une fonction semblable. C’est le président de Valeurs Mobilières Desjardins (VMD), Germain Carrière, qui a annoncé le «départ» du chef du groupe stratégie de portefeuille et analyse technique, dans une note de service transmise aujourd’hui aux employés. «Nous lui souhaitons le meilleur des succès dans ses futurs projets», écrit Germain Carrière, sans lui annoncer de successeur. Spécialiste de l’analyse quantitative, Peter Gibson s’est joint à VMD en mai 2004. Sa nomination avait créé une certaine commotion dans le milieu financier de Montréal. D’une part, VMD avait retiré la fonction de stratège à Vincent Delisle pour l’attribuer à Peter Gibson. D’ailleurs, Vincent Delisle n’avait pas eu à attendre longtemps pour retrouver un poste similaire. Une semaine plus tard, le courtier de la Banque Scotia, Scotia Capital, le recrutait à titre de stratège financier, poste qu’il occupe toujours. D’autre part, la nomination d’un Torontois par le courtier de la plus grande institution financière du Québec avait paru consacrer le glissement de Desjardins vers la Ville-Reine. Ce glissement s’était cristallisé avec l’affaire Canagex, qui avait fait grand bruit. En 1996, rappelons-le, Desjardins avait transféré à Toronto l’équipe des gestionnaires en actions canadiennes de sa filiale Canagex. En 2000, toutefois, Desjardins avait rapatrié à Montréal cette fonction après que les gestionnaires en poste à Toronto eurent connu des résultats décevants. Est-ce que Desjardins en profitera pour ramener à Montréal toute l’équipe qui dresse le plan de match de son courtier pour ses investissements en actions et en obligations ? L’occasion est bonne.
  9. Quartiers huppés de Montréal - Des promoteurs contourneraient le moratoire sur les condominiums Le Devoir Bahador Zabihiyan Édition du mardi 19 mai 2009 Mots clés : Moratoire, Condominums, Comité Logement Centre-Sud, Montréal Certains promoteurs optent pour des copropriétés par actions, ce qui permet de chasser plus facilement les locataires Une trentaine de locataires du complexe du Club Sommet, un immeuble d'environ 300 logements, situé dans le Golden Square Mile, contestent leur éviction. Des failles existeraient dans le moratoire sur les condominiums permettant aux propriétaires de se débarrasser des locataires et de mettre leurs logements rénovés sur le marché à des prix beaucoup plus élevés, notamment dans les secteurs huppés du centre-ville, d'après Éric Michaud, du Comité Logement Centre-Sud. Les règles pour construire des condominiums étant trop sévères, certains promoteurs optent pour des copropriétés par actions. Or, les locataires sont moins bien protégés lorsque leur immeuble devient une copropriété de ce type. «Quand on convertit un immeuble en condos, on ne peut plus faire d'agrandissements, on ne peut plus faire de travaux majeurs, il y a des garde-fous. Or, comme ce type de conversion-là [copropriété par actions] n'est pas encadré, les propriétaires peuvent faire tout ce qu'ils veulent», affirme M. Michaud. Ce dernier décrit le procédé comme une conversion en condominium «déguisée». «C'est un danger pour la protection du parc locatif», rajoute-t-il. Selon lui, environ 500 logements, principalement situés au centre-ville, seraient aujourd'hui concernés par des conversions en copropriété par actions. Une trentaine de locataires du complexe du Club Sommet, un immeuble d'environ 300 logements, situé dans le Golden Square Mile au 3475, rue de la Montagne, ont même engagé un avocat afin de porter l'affaire devant la Régie du logement, après avoir contacté sans succès la Ville de Montréal et le ministère des Affaires municipales et du Logement. Les locataires étaient au tribunal de la Régie du logement la semaine dernière. Ils demandaient notamment au propriétaire de mieux les dédommager pour leur éviction. Ils souhaitent aussi que ce dernier leur verse des dommages et intérêts pour les nuisances engendrées par les travaux importants entrepris dans l'immeuble depuis deux ans. En effet, le propriétaire, Casperdiny IFB Realty Inc., a décidé d'y effectuer des travaux majeurs notamment en combinant des petits appartements afin d'en faire des plus grands logements, qui sont par la suite vendus entre 137 000 $ et 575 000 $ environ, ou loués pour des loyers situés entre 1100 $ et 2000 $ par mois, d'après le site Web de la compagnie et les publicités publiées dans plusieurs quotidiens montréalais. Or, le propriétaire n'aurait pas pu entreprendre des travaux, ni se débarrasser des locataires aussi facilement si le projet était un condominium et non une copropriété par actions. Joanne Dolan habite au Club Sommet depuis une vingtaine d'années et refuse de quitter son logement. Elle estime qu'il devrait y avoir un moratoire sur les copropriétés par actions. «Si on avait une conversion en condominium, les locataires et leurs baux seraient protégés par la Régie du logement contre les évictions et les travaux dans l'immeuble, jusqu'à ce qu'ils décident de partir. On devrait avoir le même type de moratoire pour les copropriétés», constate Mme Dolan, avant de retourner dans la salle devant le juge pour défendre sa cause et répondre aux questions de l'avocat du propriétaire. Un procédé bien connu La copropriété par actions est un procédé bien connu de l'Association des courtiers et agents immobiliers du Québec (ACAIQ) qui le présente, sur leur site Internet, comme un bon moyen de contourner le moratoire sur la construction des condominiums mis en place en 2001. «Ce mode d'acquisition immobilière, surtout présent dans les grandes villes, a notamment été développé pour contourner les difficultés liées aux restrictions à la conversion d'immeubles locatifs en propriété divise [condominium]. La détention d'action avec droit d'usage d'un appartement peut, en pratique, présenter des similarités avec la copropriété divise d'un immeuble», peut-on lire sur le site de l'ACAIQ. Les investisseurs n'achètent pas un appartement, mais des actions dans la société qui possèdent l'immeuble. Ces actions leur donnent ensuite droit à un logement. Lors de la conversion d'un immeuble en condominium, les locataires déjà présents peuvent continuer à occuper leur logement et renouveler leurs baux autant de fois qu'ils le veulent. De plus, le propriétaire ne peut y effectuer des travaux majeurs jusqu'à ce que les locataires quittent les lieux. Thomas Robert Reiner, dont la compagnie Asta Corporation Inc. gère le projet au nom de Casperdiny, ne cache pas qu'il aurait «sauté sur l'occasion» si la Ville l'avait laissé construire des condominiums au Club Sommet. Il estime que l'immeuble, «composé aux trois quarts de petites unités de types, logements étudiants», n'est pas financièrement viable. «Dans ce riche quartier du Golden Square Mile, il faut faire des unités de 800, 900, 1000, 1100 pieds carrés pas 400», remarque-t-il. De plus, il affirme qu'il n'a «aucun retour sur investissement» à l'heure actuelle, car les loyers du Club Sommet sont trop faibles. Enfin, d'après M. Reiner, il est plus facile de financer un projet de condominium qu'un projet de copropriété par actions. C'est donc par défaut qu'il a opté pour un projet de copropriété par actions. Mais il estime avoir tout fait pour aider les locataires à trouver un nouveau logement, notamment en leur payant des mois de loyer gratuit et des frais de déménagement. «D'ailleurs, la grande majorité ont accepté de partir», constate-t-il. La Régie devrait rendre sa décision vers la fin de l'année. Mais d'autres projets de conversion en copropriété par actions sont en cours. Ted Pearson était présent à l'audience à la Régie du logement, jeudi dernier. Lui n'habite pas au Club Sommet, mais dans les appartements d'Embassy Row, avenue du Docteur-Penfield. Mais M. Pearson estime qu'il risque fort de se faire chasser de son logement. «Il y a une conversion en copropriété [par actions] là-bas aussi», dit-il, avant que l'audience ne reprenne. http://www.ledevoir.com/2009/05/19/251067.html (19/5/2009 18H14)
  10. R.R. Donnelley veut acheter Quebecor World Publié le 13 mai 2009 à 08h07 | Mis à jour à 08h10 La Presse Canadienne Chicago L'imprimeur américain R.R. Donnelley & Sons (RRD) veut acquérir son concurrent québécois en difficulté Quebecor World (T.IQW) pour un montant global de 1,35 milliard de dollars US en espèces et en actions. Dans un communiqué de presse émis mardi, l'entreprise, dont le siège est à Chicago, dans l'État de l'Illinois, a rendu publique une lettre d'intention qu'elle a fait parvenir cette semaine aux dirigeants de Quebecor World. R.R. Donnelley y explique qu'elle estime, après étude du dossier, que son offre est plus intéressante pour les créanciers et les prêteurs de Quebecor World que les plans et déclaration d'information modifiés soumis récemment dans le cadre de sa restructuration, tant aux États-Unis qu'au Canada. Quebecor World s'est placée sous la protection des tribunaux en janvier 2008, alors que ses dettes étaient supérieures à 1 milliard de dollars US. Le tribunal américain de la faillite doit évaluer vendredi les nouveaux documents devant servir de base aux fins du vote éventuel des créanciers de Quebecor World aux États-Unis, alors qu'au Canada, la Cour supérieure du Québec devrait entendre jeudi la motion de l'entreprise visant à obtenir l'autorisation de tenir une assemblée de ses créanciers canadiens. Quebecor World estime que, si tout se passe comme prévu, elle pourrait se libérer de la protection contre ses créanciers avec un bilan solide d'ici la mi-juillet. Dans ce contexte, R.R. Donnelley, qui s'était déjà montrée intéressée en avril 2008 à acquérir Quebecor World, dit être prête à réaliser la transaction qu'elle propose le plus rapidement possible. Elle assure que sa proposition ne nécessite aucune condition de financement et qu'elle n'est pas non plus conditionnelle à un vote d'actionnaires. La proposition de Donnelley comprend une partie en espèces d'environ 700 millions de dollars US, plus un montant de 257 millions de dollars US correspondant aux liquidités estimées de Quebecor World au 30 juin prochain, plus 30 millions d'actions de R.R. Donnelley représentant environ 15 pour cent des actions émises et en circulation de la compagnie et ayant une valeur d'environ 394,2 millions de dollars US sur la base du cours du titre à la clôture des marchés le 11 mai dernier, soit lundi.
  11. Un urgent besoin de liquidités pourrait inciter AbitibiBowater à vendre ses actions dans la centrale McCormick de Baie-Comeau au géant de l'aluminium Alcoa. Pour en lire plus...
  12. La société McKesson Canada offre d'acheter l'ensemble des actions du groupe québécois Uniprix, propriétaire des chaînes de pharmacies Uniprix, Unipharm et Uniclinique. Pour en lire plus...
  13. La Bourse de Toronto a suspendu le processus d'examen qu'elle avait mis en place mercredi sur les actions ordinaires et privilégiées de Nortel Networks. Pour en lire plus...
  14. Le marché boursier torontois a clôturé en forte hausse mardi, après que les actions du secteur de l'énergie eurent connu un regain de vie. Pour en lire plus...
  15. Assoiffées de capital, les banques canadiennes sollicitent ces jours-ci les investisseurs particuliers par des émissions d'actions privilégiées aux dividendes plus qu'alléchants. Pour en lire plus...
  16. La demande pour les actions privilégiées de la banque semble forte et cette dernière en profite pour se financer davantage. Pour en lire plus...
  17. La filiale de la banque va acquérir Thinkorswim Group aux États-Unis pour environ 606 M$ US comptant et en actions. Pour en lire plus...
  18. La Bourse de Toronto approuve l'offre publique de la maison mère de Bell de racheter une partie de ses actions afin de retourner de la valeur à ses actionnaires, dans la foulée de l'échec de sa vente. Pour en lire plus...
  19. La société pharmaceutique de Laval a annoncé avoir l'intention de retirer volontairement l'inscription de ses actions ordinaires sur le marché américain du NASDAQ en raison de l'instabilité économique. Pour en lire plus...
  20. Nortel bousculée par une rumeur de faillite 11 décembre 2008 - 06h00 La Presse Martin Vallières Nortel (NT) envisagerait de se mettre sous la protection de la faillite afin de poursuivre se restructuration, selon la presse financière new-yorkaise. Fausse rumeur, a répliqué Nortel. L'entreprise affirme plutôt qu'elle ne fait que solliciter des avis professionnels pour améliorer sa restructuration, «sans projet imminent de protection de faillite». «Rumeur encore prématurée», ont tempéré pour leur part des analystes qui connaissent bien l'équipementier des télécommunications. Et ce, malgré leur constat de complications évidentes pour Nortel des suites de la crise financière et de la récession. En Bourse, les investisseurs déjà inquiets de la viabilité de Nortel ont fait la sourde oreille à ces messages de l'entreprise et des analystes. En fait, ils ont encore largué en masse les actions de Nortel, qui ont basculé de 23%, à seulement 49 cents chacune, en clôture à la Bourse de Toronto. Elles ont même descendu jusqu'à 46 cents en cours de séance, ce qui constituait un nouveau prix plancher en Bourse pour Nortel. D'ailleurs, la valeur boursière totale de Nortel cote maintenant sous les 250 millions, une pitance par rapport à sa dette à long terme de 4,8 milliards US au 30 septembre dernier. Pas étonnant que certains analystes aient récemment accordé un prix cible de «zéro» aux actions de Nortel, un symbole de l'incertitude encore considérable à propos de son plan de relance. Le mois dernier, Nortel a annoncé une perte trimestrielle de 3,4 milliards US, gonflée par d'autres frais de restructuration. Elle a aussi abaissé ses résultats cibles pour 2009 et annoncé la suppression additionnelle d'au moins 1300 postes, ou 5% de son effectif récent. Par ailleurs, si les actions de Nortel devaient se maintenir longtemps sous 1$ chacune, l'entreprise risque l'expulsion de la Bourse de New York pour contravention à ses normes de valeur minimale. Pour remédier à ce problème, Nortel pourrait devoir effectuer une autre fusion d'actions comme elle l'a fait il y a deux ans, selon l'analyste Kris Thompson, de la Financière Banque Nationale (FBN) à Toronto. En décembre 2006, Nortel avait fusionné ses actions à raison de 10 pour une afin d'en rehausser la valeur. Mais deux ans plus tard, cette tactique boursière s'avère encore nécessaire face aux doutes des investisseurs envers les chances de survie de Nortel. D'où leur sensibilité extrême à toute rumeur d'insolvabilité imminente, d'autant qu'il s'agirait d'un processus où les actionnaires de Nortel seraient les plus grands perdants. En contrepartie, les détenteurs d'obligations de Nortel, eux, pourraient y trouver un moyen de limiter leurs pertes, de même que les créanciers d'affaires de l'entreprise. «Les détenteurs d'obligations pourraient même avoir intérêt à une déclaration d'insolvabilité et de protection de faillite par Nortel parce qu'ils se retrouveraient en tête de liste pour l'accès aux actifs», a commenté Robert McWhirter, gestionnaire de placements chez Selective Asset Management, à Toronto. N'empêche, selon l'analyste Kris Thompson, de la FBN, un processus de protection de faillite de Nortel demeure "prématuré" avant que l'entreprise ait pu délester certains actifs. Dans un avis envoyé hier à ses clients-investisseurs, M. Thompson souligne que Nortel, à son rythme d'affaires actuel, dispose encore d'une bonne réserve de liquidités. Cette réserve serait encore à hauteur d'environ 1,4 milliard US dans un an, considérant une utilisation de fonds (burn-rate) prévue autour de 900 millions d'ici là. Quant aux actifs à revendre par Nortel, sa division des équipements de télécoms de type CDMA est présumée première candidate par des analystes comme Mark Sue, chez Marchés des capitaux RBC. Toutefois, dans un avis récent, l'analyste souligne que la valeur potentielle d'une telle cession demeure très incertaine pour Nortel parce que la technologie CDMA vieillit dans le secteur des télécommunications.
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