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  1. Dimanche 11 Mai 2008 La ville qui perd ses enfants [/url]Si vous vous trouvez dans un party à Vancouver et que la soirée ne décolle pas, il suffit de parler des prix des logements qui explosent. La conversation va s’animer d’un seul coup comme un BBQ aspergé d’essence à briquettes. L’immobilier, c’est le sujet qui réunit tous les Vancouverois, peu importe leur origine ethnique ou leurs revenus, notait Raphaël Perdriau, directeur du journal L’Express du Pacifique, tandis qu’il sirotait une bière sur une terrasse de Granville Island, vendredi soir. Le tabloïd The Province a publié aujourd’hui un grand dossier sur les prix démentiels qui font fuir les salariés, même riches, vers les banlieues. «Certains craignent que Vancouver devienne la cité des PDG (executive city)» écrit le journal à la une. Mais, à bien des égards, cela semble déjà le cas. Le prix d’une maison typique dans la région de Vancouver s’établissait à 764 616$ en mars, d’après le Greater Vancouver Real Estate Board. À ce prix là (mettez 20 000$ de plus), vous obtiendrez un appartement bien ordinaire de 1700 pieds carrés avec deux chambres, au rez-de-chaussée d’un quadruplex à Kitsilano, un chouette quartier de Vancouver. Pour une maison de trois chambres dans Westside, il faut compter autour de 1,3 million de dollars. Même avec une mise de fonds de 400 000$ à 500 000$, cela signifie des paiements mensuels de 3500$ à 4000$. Les couples de professionnels établis devront donc se serrer la ceinture pour boucler leurs fins de mois. Aubaine : ce petit bungalow qui ne paie pas de mine dans le secteur Granville South est à vendre pour 1 038 000$! Comment les Vancouverois font-ils pour s’offrir une maison, un rêve presque inaccessible à moins d’hériter d’une fortune ? Si la plupart des familles quittent la ville pour la lointaine banlieue, des parents font le deuil d’une cour et élèvent leurs enfants en condo. D’autres hypothèquent leur maison pendant 40 ans. D’après l’agence Remax, 65% (!) des premiers acheteurs ont recours à pareille hypothèque. Malgré cela, les acheteurs de maison doivent souvent louer leur sous-sol à 1500$ par mois. D’autres encore se dénichent un deuxième emploi. Carlos Hinkson, un vendeur de machinerie lourde de 30 ans, a déjà travaillé dans une boîte de nuit du centre-ville pour amasser plus de sous. Son épouse, une spécialiste des systèmes d’information géographique à l’emploi de BC Hydro, gagne pourtant bien sa vie. Le couple songe à vendre sa maison dans la banlieue de Langley pour se rapprocher du centre. Tout ce qu’il pourrait s’offrir, c’est une maison à retaper dans l’est de la ville. Et encore, Carlos Hinkson croit que ses parents devront peut-être emménager avec eux pour partager les charges. Cohabiteriez-vous avec vos parents pour vous offrir une maison ? Disons que cela met les difficultés du marché montréalais en perspective. http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/cousineau/?p=187
  2. Dans mes rêves, j'habite cette tour...elle est vraiment vraiment belle. Le projet prévoit l'ajout d'un 9e étage sur le dessus, qui sera le penthouse. Il y a présentement une grue sur le site. La construction est donc commencée. ---------------------------------------------------------- Projet : Europa Secteur : Vieux-Montréal Adresse : 750 Places d'Armes Prix : Plus que 3 unités... #31, 1942 pc., 799 000$ #81, 1920 pc., 799 000$ #90, 4000 pc., 2 000 000$ Nombre d'unité : 22 Chambre : 2 Salle de bains : 1+1 Garage : disponible Agent : Mickaël Chaput, agent immobilier affilié Montréal Téléphone : 514.502.7519 Site Web : www.projeteuropa.com ----------------------------------------------------------
  3. Immobilier: la revente s’essouffle à Montréal 3 avril 2008 - 11h03 LaPresseAffaires.com Jean-François Cloutier Après une année 2007 marquée par une croissance dans les deux chiffres, le marché de la revente dans le Grand Montréal a ralenti au cours des trois premiers mois de l’année. Avec 12 138 propriétés vendues au premier trimestre, le recul est de l’ordre de 4%, une baisse que le directeur de la Chambre immobilière du Grand Montréal, Michel Beauséjour, met tout de même en contexte dans le cadre d’un bilan général jugé positif. «La région métropolitaine tire son épingle du jeu, considérant la performance des autres grandes villes canadiennes, comme Calgary et Toronto, qui ont enregistré de plus fortes baisses d’activités depuis le début de l’année», affirme-t-il. Le déséquilibre est prononcé dans les ventes selon le type de résidences. Les condos ont continué d’avoir la cote avec une hausse de 7% du nombre d’unités vendues, pendant que le nombre de maisons unifamiliales chutait inversement de 7%. La vigueur du marché a aussi varié selon la géographie. Dans le secteur Vaudreuil-Soulanges, les ventes sont demeurées stables, alors qu’on enregistrait sur la Rive-Sud et l’île de Montréal des baisses de 2 et 3%. La banlieue nord a fermé la marche avec de plus fortes baisses de 6% pour Laval et de 8% pour la Rive-Nord. Encore un marché de vendeur Au même moment, le prix médian des propriétés a continué de grimper, preuve que Montréal reste encore un marché de vendeur. La hausse est de l’ordre de 8%, à 220 000$, pour les maisons unifamiliales, de 6%, à 330 000$, pour les «plex» (2 à 5 logements) et de 4%, à 177 9000$, pour les condos. À noter que la chute du nombre de ventes a été particulièrement prononcée en mars, où elle a été de 7% par rapport à mars 2007. Malgré ce dernier mois difficile et la crise bancaire qui a assombri les perspectives économiques au cours du trimestre, Michel Beauséjour demeure cependant optimiste pour le reste de l’année. «La baisse des taux d’intérêt et le marché de l’emploi solide devraient avoir une incidence positive sur les résultats au cours des prochains mois», prédit-il. source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080403/LAINFORMER/80403219/5891/LAINFORMER01
  4. Petite Italie: une autre usine transformée en lofts L'ancienne usine de meubles est de taille modeste. Son apparence massive, son revêtement de brique et sa structure d'acier sont caractéristiques de l'architecture industrielle. Photo François Roy, La Presse Le vendredi 7 mars 2008 Sophie Ouimet-Lamothe La Presse L'Imperia est un nouveau projet de reconversion d'usine en lofts dans l'ancien secteur industriel Marconi-Alexandra, à l'ouest de la Petite Italie. Promoteur : Construction Concept Imperia. Architecte : Colin Fraser de GCA Groupe Conseil Architectural. Nombre d'habitations : 27 lofts (55% sont vendus). Superficie : de 500 à 1100 pieds carrés. Prix : de 125 000$ à 295 000$ (plus taxes); stationnement souterrain optionnel, 20 000$ (plus taxes). Arrondissement : Rosemont-La Petite-Patrie. >> Visitez un loft-témoin du projet L'Imperia en photos. Description : Dans ce bâtiment construit en 1946, tout a été remis à neuf, sauf la structure, les murs extérieurs et le plafond. Les lofts ont tout de même gardé certaines caractéristiques de l'architecture industrielle : plafonds de 11 pieds, fenêtres larges, murs de brique. Certains logements sont sur deux niveaux ou équipés d'une mezzanine. Un ascenseur dessert les trois étages de l'immeuble. Tous les lofts sont climatisés. Livraison : au printemps. À cinq minutes : la station de métro De Castelneau, le marché Jean-Talon et les cafés, épiceries fines et restaurants italiens du boulevard Saint-Laurent. Clientèle cible : les premiers acheteurs, les jeunes professionnels, les couples. On aime : les qualités spatiales intéressantes héritées de l'architecture industrielle (plafonds hauts, grandes ouvertures, matériaux bruts). On aime moins : le projet aurait gagné à conserver davantage du cachet d'origine. Adresse et site internet : 6820, rue Saint-Urbain, entre Beaumont et Saint-Zotique Tél. : 514-293-9088 www.conceptimperia.com http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/7247-Petite-Italie-une-autre-usine-transformee-en-lofts.html
  5. Nouveaux-riches-sur-la-Rive «Avant, les gens gagnaient 300 000$ et s'achetaient une maison de 400 000$. Aujourd'hui, avec le même revenu, ils s'achètent une maison à 1 million», explique Martine Deschesnes, agente immobilière. Photo Bernard Brault, La Presse Louise Leduc La Presse Qui sont ces nouveaux riches qui poussent dans les champs et les bois du Québec, à grands coups de manoirs? Qui a les moyens d'acheter des villas et d'embaucher deux ou trois gouvernantes ? Qui vit, par exemple, dans le Beverly Hills de la Rive-Sud? L'appellation est de Martine Deschesnes, agente immobilière chez Remax, qui évoque ainsi le secteur boisé de Boucherville. Contrairement aux idées reçues, dit-elle, les résidants de ces quartiers hypercossus ne sont pas que des baby-boomers. «Le Québec compte aujourd'hui beaucoup de nouveaux riches, dit-elle. Allez vous promener dans ces quartiers de manoirs, et vous verrez plein de femmes enceintes et de poussettes! Dans ma clientèle, il y a de nombreux jeunes professionnels.» Jean Houde, lui, construit des mégamaisons de 500 000$ à 5 millions. Il a de ces clients qui, «à la dernière minute, peuvent très bien réclamer que le plafond de la pièce où se trouve la piscine intérieure puisse être descendu au-dessus de la piscine pour en faire une piste de danse». Sa clientèle typique? «Essentiellement des gens qui font l'objet d'articles dans les journaux...» Vincent Lacroix? Des mafiosi ? «Il m'est arrivé quelques rares fois de refuser un client qui avait l'air louche mais, en général, ce sont des gens qui ont fait un bon coup en affaires, qui jouent au hockey, qui ont réussi dans les arts. Sur le fond, ce sont des gens humbles.» Pardon? «Sans blague, au début, le but n'est pas de flasher. Seulement, il y a emballement. Ils finissent par vouloir des chambres supplémentaires. Et plus grandes que prévu. Ils songent ensuite qu'une salle de cinéma et une salle d'exercice, ce serait bien. Et un ascenseur... Pour eux, c'est de l'argent de poche, poursuit M. Houde. Ils sont nombreux à payer leur maison comptant.» «Ce que je constate, dit pour sa part M me Deschesnes, c'est qu'avant, les gens gagnaient 300 000$ et s'achetaient une maison de 400 000$. Aujourd'hui, avec le même revenu, ils s'achètent une maison à 1 million.» Ses clients contractent donc pour la plupart un prêt hypothécaire, dit-elle, mais tout de même avec une bonne mise de fonds. «Si les taux d'intérêt s'emballaient comme aux États-Unis, certains pourraient vivre des heures difficiles, avance Tony Modafferi, agent immobilier. Pour l'instant, cependant, selon les données de la Chambre immobilière de Montréal, il n'y a aucune reprise de possession à Laval et dans la couronne nord; il y en a seulement 37 à Montréal et 39 sur la Rive-Sud.» Chose certaine, ceux qui pensent s'acheter une grosse maison, la revendre peu après et toucher le magot sont mieux d'y penser deux fois. «Même s'il y a plus de riches qu'avant, le bassin de personnes qui ont les moyens d'acheter un manoir est quand même plus l imité que ceux qui peuvent acheter un condo. Revendre une grosse maison, c'est donc plus difficile», note Astrid Joseph, analyste à la Société canadienne d'hypothèques et de logement. Plus difficile, et pas seulement si quelques voisins autour mettent une pancarte à la porte. «Pour ces maisonslà, le concurrent principal, ce n'est pas le voisin. C'est toujours la maison neuve, dit Mme Deschesnes. Si tu as 1 million, tu as souvent le goût de bâtir ta maison toi-même, à ton goût, à moins d'être trop occupé pour superviser une construction.» Et c'est ainsi que les manoirs poussent et se multiplient, toujours plus gros, toujours neufs, mais risquent ensuite d'être revendus à perte. Le constructeur Jean Houde ne le nie pas. «Mais bon, quand tu vaux 100 millions ou 200 millions, tu t'en fous un peu si ta maison ne se vend pas après.» Gourmand, le manoir de banlieue Maison type: située dans le quartier le Blainvillier, à Blainville. Construite en 2002. Habitée par un couple avec deux enfants. Évaluation municipale: 354 000$. Valeur d'achat: 450 000$ Terrain de 16 300 pieds carrés. Espace habitable de 3500 pieds carrés. Neuf pièces, deux salles de bains, une salle d'eau, trois chambres. Trois étages, y compris un sous-sol aménagé. Chauffage électrique par thermopompe. Hypothèque: 2307$ par mois (en supposant une mise de fonds de 150 000$, un taux d'intérêt de 7% et une période d'amortissement de 20 ans). Soit 27 684$ par an. Frais annuels Taxes: 4600$ par an. Électricité: 2600$ par an. Assurances: 700$ par an. Entretien de la piscine: 700$ par an. Déneigement: 700$ par an. Aménagement paysager annuel: 1000$. Total: 37 284$, soit 3107$ par mois.
  6. Le Coloniale: là où la ville ne dort jamais Taille du texteImprimerEnvoyer Agrandir L'une des façades du complexe Le Coloniale donne sur la rue Prince-Arthur. Le promoteur promet de ne pas louer à un bar ou à un restaurant le local commercial donnant sur la rue piétonnière. Photo Bernard Brault, La Presse Simon Diotte (collaboration spéciale) La Presse Le complexe immobilier Le Coloniale se trouve au coeur d'un des endroits les plus chauds en ville, à un jet de pierre du boulevard Saint-Laurent. >> Visitez le Le Coloniale en photos. Projet: Le Coloniale, un complexe d'habitation situé au coin des rues Prince-Arthur et Coloniale Promoteur: Projet Le Coloniale Nombre d'habitations: 12 condos. Deux autres unités avec accès direct sur la rue Coloniale peuvent être occupées comme bureau ou appartement, selon les désirs de l'acheteur. Il reste encore quatre logements à vendre. Superficie: de 643 à 1400 pieds carrés. Prix: de 195 000$ à 410 000$ (taxes incluses) Arrondissement: Plateau Mont-Royal Description: Si vous désirez habiter dans un coin super tranquille, Le Coloniale n'est pas pour vous. Ce complexe immobilier se trouve au coeur d'un des endroits les plus chauds en ville, au coin de la rue Prince-Arthur et Coloniale, à un jet de pierre du boulevard Saint-Laurent. Les fins de semaine, ça grouille de monde jusqu'aux petites heures du matin et en été, les terrasses débordent de touristes. Les résidants profitent à la fois du caractère résidentiel de la rue Coloniale et du côté commercial de Prince-Arthur, la seule rue piétonnière à Montréal. Trois appartements possèdent une terrasse privée et l'ensemble des résidants ont accès à une terrasse commune sur le toit. Le bâtiment, qui possède une structure en acier et béton, est équipé d'un ascenseur et d'un système de gicleur. La bâtisse est classée incombustible, ce qui réduit les frais d'assurance. À 5 cinq minutes: cinéma Ex-Centris, carré Saint-Louis, métro Sherbrooke, bars et restaurants à profusion Clientèle cible: les acheteurs sont essentiellement de jeunes professionnels urbains, dont certains étrangers, dit-on. On aime: vivre à proximité de tout On n'aime moins: le bruit de la rue Prince-Arthur Adresse et site internet: 3558, rue Coloniale (coin Prince Arthur), www.lecoloniale.com
  7. 18 septembre 2007 Le mur du Plateau sera végétalisé au printemps 2008. Le verdissement, originalement prévu au montant de 175 225$, coûtera trois fois plus cher, soit 400 000$. Le mur de béton, qui sépare les arrondissements Plateau-Mont-Royal et Rosemont-La Petite-Patrie, a été érigé afin de réduire le bruit des trains pour les résidants du Plateau-Mont-Royal. Tout en réduisant le bruit au sud, ce mur crée aussi un effet de réverbération pour les résidants de la Petite-Patrie, au nord des voies ferrées. Ces derniers se plaignaient de la nuisance acoustique. En pleine campagne électorale, en 2005, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, promettait de «stopper» la construction du mur. L'année suivante, le promoteur en achevait la construction sur près d'un kilomètre et d'une hauteur de 4,5 mètres. Au mois de juin 2006, les deux maires des arrondissements, André Lavallée et Helen Fotopulos, annonçaient la végétalisation du mur acoustique. Le couvert végétal embellirait le mur de béton. De plus, des tiges de saule, doublées de vigne, plantées au pied du mur, rendraient impossible l'accès au mur pour les graffiteurs. «La population de l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie a maintes fois décrié la laideur de la vue du côté de la voie ferrée», précise le sommaire décisionnel. Coût Le coût de 400 000$ sera réparti en trois. Le budget proviendra du Programme triennal d'immobilisation selon la répartition suivante: 50% pour la ville centrale, 25% pour l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie et 25% pour l'arrondissement Plateau-Mont-Royal. Les travaux seront réalisés par l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, au printemps 2008. «Les travaux de plantation doivent absolument être effectués d'ici au 15 mai 2008, sinon le succès du projet est compromis», peut-on lire dans le sommaire décisionnel.
  8. à partir de 125 000$ taxes incluses (quoique la plupart des unités oscillent autour de 200 000$) http://www.7225durocher.com
  9. Le MBA de HEC Montréal remarqué par Forbes 27 août 2007 - 12h11 LaPresseAffaires.com Jean-François Cloutier Agrandir Photo HEC Grossir caractèreImprimerEnvoyer Pour la troisième fois consécutive, HEC Montréal figure dans le palmarès biennal des meilleurs MBA hors États-Unis du magazine financier Forbes à paraître cette semaine. var nsteinWords;nsteinWords = unescape('');L’école de commerce montréalaise arrive dernière, au 11e rang sur 11, dans une liste des meilleurs MBA d’un an qui inclut des écoles prestigieuses comme Cambridge, Oxford et l’Insead. Avec HEC Montréal, l’Université Queen’s de Kingston est la seule école canadienne à figurer au classement, une place plus haut que HEC à la 10e place. Le classement de Forbes est basé sur le retour sur investissement obtenu par un étudiant après avoir complété son MBA. Sur la base de questionnaires envoyés à des finissants de la promotion 2002, le magazine a calculé qu’en moyenne l’étudiant inscrit aux HEC faisait 34 000$ par année avant de commencer son programme, et 86 000$ trois ans après l’avoir complété. C’est l’IMD, de Lausanne en Suisse, qui se situe au premier rang. Forbes a calculé que le salaire d’un étudiant «pré-MBA» s’élevait à 70 000$ et passait à 183 000$ deux ans après avoir eu son diplôme. 18 500 diplômés en 2002 de 102 établissements à travers le monde ont été sondés par la revue. Le directeur du MBA pour cadres de l’UQAM, Benoît Bazoge, se défend d’offrir un moins bon MBA qu’HEC. Il explique l’absence de son établissement du classement par le fait que le programme offert est exclusivement en français et est sensiblement différent. L’UQAM offre un MBA dit «executive» qui s’adresse à une clientèle plus âgée qui effectue le programme à temps partiel. Récemment, HEC Montréal s’était aussi classée dans une liste des meilleurs MBA établie par Business Week, où l’école arrivait cette fois au 20e rang sur 20 des meilleures écoles hors États-Unis. Âgé en moyenne de 30 ans, le candidat au MBA chez HEC est généralement issu des filières de l’administration, du génie ou des sciences, et possède une expérience de six ans sur le marché du travail. Kathleen Grant, directrice des communications et du recrutement chez HEC, fait valoir que le retour sur investissement est encore plus grand pour un étudiant québécois. S’il en coûte 21 000$ par année pour un étudiant étranger pour s’inscrire au MBA, les droits de scolarité ne s’élèvent qu’à 5000$ environ pour celui-ci. Le programme de MBA de HEC est offert en français, en anglais ou dans les deux langues. >>> Voyez le classement de Forbes.
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