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  1. (Vieux-Montréal) BanK Ce projet remplace l'ancien projet Royal Hôtel http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/989 BanK 221, rue Saint-Jacques Ouest BANK. Demeures urbaines sur Saint-Jacques Projet de 43 condos au cœur du Vieux-Montréal. Adjacent au Quartier international et au Centre de commerce mondial. À proximité des stations de métro Place-d’Armes et Square-Victoria. Design contemporain personnalisé pour chaque unité, inspiré des vestiges prestigieux du premier siège social de la Banque Royale. Éléments distinctifs de l’architecture originale magistralement intégrés à l’œuvre des architectes et des designers. Une utilisation inventive de l’éclairage et de parois en verre met en relief les composantes plus que centenaires de l’immeuble. Des matériaux de finition et des aménagements de qualité, ainsi que de nombreuses options de luxe donnent un caractère unique à cet ensemble de marque. http://www.mcgillimmobilier.com/lang/fr/bank-condo-project-for-sale-old-montreal-projet-condo-bank-a-vendre-vieux-montreal/ Occupation printemps 2013. Studios : à partir de 240 000$ jusqu’à 295 000$ pour une superficie de 481 à 591 pi2 Condos de 1 chambre (en majorité sur 2 étages) : À partir de 300 000$ jusqu’à 395 000$ pour une superficie de 749 à 880 pi2 Condos de 2 chambres : À partir de 360 000$ jusqu’à 600 000$ pour une superficie de 907 à 1154 pi2 Condos de 2 + 1 chambres : À partir de 460 000$ jusqu’à 700 000$ pour une superficie de 1147 à 1652 pi2 Condos de 3 chambres : À partir de 700 000$ jusqu’à 730 000$ pour une superficie de 1535 à 1576 pi2 Stationnement intérieur 75 000$ http://www.mcgillimmobilier.com/lang/fr/bank-condo-project-for-sale-old-montreal-projet-condo-bank-a-vendre-vieux-montreal/
  2. Description Projet de 78 condos dans deux immeubles de 10 étages avec une magnifique vue sur le Golf Ste-Rose à Laval. Les unités comptent de 1 à 3 chambres pour une surface habitable de 683 pi2 à 2042 pi2. Les planchers sont en bois franc exotique (bambou), la structure en béton. Il y a ascenseurs et air climatisé. Des stationnements sont disponibles à l'intérieur et à l'extérieur. Les prix varient de 185 000$ à 250 000$ + taxes. Garantie Abritat / Maître Bâtisseur. Le projet se situe à proximité d'axes routiers majeurs, d'une piste cyclable, de lignes d'autobus, d'espaces verts et des services. Livraison prévue au printemps 2013. http://www.rosanova.ca/
  3. mtlurb

    Le Richardson

    Je browsais sur le site de Guide Habitation et suis tombée sur ce projet au sud du canal Sur le site du promoteur Struktur : http://www.struktur.ca/112-developpement-immobilier-le-richardson.html Info via Guide Habitation : Description Prix * [TABLE=class: table table-bordered, width: 100%] [TR] [TD]1 chambre[/TD] [TD]à partir de 182 000$[/TD] [/TR] [TR] [TD]2 chambres[/TD] [TD]à partir de 197 000$[/TD] [/TR] [/TABLE] * Prix avant taxes. Valeur indicative seulement, prix sujets à changements sans préavis. Des unités avec autres caractéristiques, tailles, nombre de chambres et prix peuvent être disponibles.Avis légal. Dernière mise à jour :2014-12-03 Le Richardson est un projet de 22 unités d'une ou deux chambres, allant de 697 à 1163 pi2 à Griffintown. Caractéristiques: Plusieurs unités sur deux étages Balcon avant et arrière ou cour anglaise avec chaque unité Planchers de bois franc Chauffage électrique Système d'intercom Stationnement extérieur Localisation: Métro Charlevoix Marché Atwater Canal Lachine Présentement en prévente. Livraison prévue pour le printemps 2015. C'est un projet de Struktur Développement Immobilier. Bureau des ventes 2016 rue Richardson, Montréal
  4. Not much info on this one - saw a sign posted today at 2204 Sainte-Catherine West, right opposite of the now completed Seville project. The sign said something along the lines of stay tuned - new project on the way. Will try and get more info tomorrow!
  5. Une nouvelle tour de onze étages à la Place Charles-LeMoyne Rive-Sud Express Diane Lapointe VIEUX-LONGUEUIL –Une nouvelle tour de onze étages s’élèvera bientôt dans le ciel de la Place Charles-LeMoyne, dans l’arr. du Vieux-Longueuil. Le Ville de Longueuil, propriétaire du terrain situé sur la rue Saint-Charles Ouest, entre l’Université de Sherbrooke et l’entrée des autobus, a accepté l’offre d’achat des Habitations Trigone pour un montant de 1 763 929$. L’entreprise projette de réaliser un édifice de condominiums de luxe évalué à plus de 47 M$. Il comportera 170 unités de condo d’une valeur moyenne de 275 000 $, un stationnement souterrain de deux étages et des espaces commerciaux au rez-de-chaussée La Ville de Longueuil prévoit percevoir des revenus de taxes de mutation sur la portion résidentielle de 515 000$, et des revenus annuels de 536 000$ en taxation résidentielle et de 26 000$ pour la portion commerciale.
  6. Projet annulé et remplacé par celui-ci : http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/18992 *************************************** Tour St-Jacques Développement de condominiums TYPE:Nouvelle construction CLIENT: OVE Investments Inc. SUPERFICIE:10 161 m2 (109 370 pi. ca.) COÛT DE CONSTRUCTION:42 000 000$ CAD DATE D’ACHÈVEMENT: N/A ENDROIT:Montréal, Québec
  7. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/972831/cure-de-jeunesse-pour-des-parcs-du-sud-ouest/ 01/06/2016 Mise à jour : 1 juin 2016 | 17:17 Cure de jeunesse pour des parcs du Sud-Ouest Par André Desroches TC Media Photo: TC Media - André Desroches Baptisé temporairement Parc 3 Nord, le nouveau parc aménagé sur le site des Bassins du Nouveau-Havre, dans Griffintown, est accessible à la population depuis le 26 mai. Une enveloppe de 4 M$ sera consacrée à la réalisation d’une dizaine de projets de réfection et d’aménagement dans des parcs du Sud-Ouest au cours des prochains mois. La part du lion, soit une somme de 1 M$, sera dédiée au projet de legs de l’arrondissement pour le 375e anniversaire de Montréal, qui sera célébré l’an prochain. Tout ce qu’on sait pour le moment c’est qu’il y aura illumination de deux ponts et d’une passerelle enjambant le canal de Lachine avec des projections sur l’eau. Les détails doivent être présentés prochainement. «Ça va être gros, beau, magnifique. Nous avons été chercher des artistes de renommée internationale», lance le maire de l’arrondissement, Benoit Dorais, qui se garde d’en dire davantage. Nouveaux jeux pour enfants Le remplacement de modules de jeu pour enfants qui ne répondent plus aux normes se poursuit. Une somme de 250 000$ permettra d’en installer de nouveaux aux parcs Le Ber, Ignace-Bourget, Campbell-Ouest et Victor-Rousselot. Les travaux dureront une bonne partie de l’été. Dans la Petite-Bourgogne, l’aménagement au coût 650 000$ d’un terrain de soccer au parc Oscar-Peterson doit être complété à la fin du mois d’août. Toujours dans ce quartier, une somme de 325 000$ permettra d’ajouter cet été 500 mètres au parcours piétonnier de plus d’un kilomètre du Sentier de la Bourgogne. Il s’étendra du métro Lionel-Groulx au parc Jessie-Maxwell-Smith, à proximité de la rue Guy. Du côté de Pointe-Saint-Charles, l’aménagement au coût de 900 000$ du Square Saint-Patrick, situé au coin des rues Wellington et Saint-Patrick, en bordure du canal de Lachine, touche à sa fin. «Les travaux avancent rapidement. On devrait être capable de l’ouvrir en juillet», indique Benoit Dorais. Les travaux vont également bon train en ce qui concerne l’aménagement au coût de 425 000$ du parc Madeleine-Parent situé entre la rue Saint-Patrick et le canal de Lachine, près du marché Atwater. Ils devraient être terminés cet été. L’arrondissement souhaite pouvoir l’inaugurer durant la fin de semaine de la Fête du travail.
  8. L’entreprise DevMcGill est heureuse de vous proposer un projet remarquable situé au cœur de Montréal. Le bâtiment à être converti en condominium se trouve à la jonction de trois zones historiques comportant des monuments d’époque et jouxtant plusieurs édifices de qualité. Il a été construit en 1894 et était à l'époque la Brasserie Ekers. Depuis peu il a été classé « édifice à valeur patrimoniale exceptionnelle». Bientôt celui-ci sera la demeure d’une cinquantaine de propriétaires privilégiés. Mais attention, pour vous assurer d'acquérir un des condominiums, vous devez vous manifester d'ici le 30 septembre : vous pourrez ainsi devenir un VIP des Condominiums St.Dominique. (les explications se trouvent à la fin de ce message). EMPLACEMENT Le St-Dominique est situé dans le secteur du Plateau Mont-royal et du Centre-ville, soit aux portes des quartiers animés de Montréal : le Quartier des spectacles, le Quartier Latin, la rue St-Denis et la rue St-Laurent. L’immeuble, localisé à quelques pas de l'intersection des rues Saint-Laurent et Sherbrooke, n’est qu’à quatre minutes à pied du métro Saint-Laurent. La façade de l’ancienne Brasserie Ekers donne sur la rue St-Laurent. Elle a comme voisin immédiat l’élégant Hôtel OPUS. La façade qui donne sur la rue St-Dominique s’ouvre pour sa part sur les bâtiments historiques du monastère du Bon-Pasteur. L’IMMEUBLE L’immeuble sera entièrement rénové à l’extérieur comme à l’intérieur. Il conservera son cachet historique. Des sections seront ajoutées à l’édifice actuel et les facades des rues St-Laurent et St-Dominique feront l’objet d’une attention particulère. L’ENTRÉE DES RÉSIDENTS La façade sur la rue St-Laurent aura une entrée particulère menant aux commerces du rez-de-chaussée. La porte d’entrée principale menant aux appartements, se trouvera cependant sur la paisible rue St-Dominique, directement en face d’un des plus beaux bâtiments historiques de Montréal, le Monastère du Bon-Pasteur. Cette magnifique rue est à sens unique vers le sud et est accessible par la prestigieuse rue Sherbrooke. LES APPARTEMENTS Le St. Dominique n'habritera qu'une cinquantaine d'appartements offrant ainsi un style de vie intime à ses propriétaires. Plusieurs des condominiums auront des balcons ou de grandes terrasses. Certains condos comporteront une mezzanine en deuxième niveau, les Mezza-lofts. D'autres seront aménagés sur un seul niveau, les plain-pied. LES FINITIONS INTÉRIEURES Le design des intérieurs n’est pas encore terminé. Cependant il sera semblable à celui du projet M9 Phase 3 dans le Vieux-Montréal. Vous êtes donc invités à l’Espace Vente et Visite M9 pour voir et toucher la gamme des finis intérieurs. Vous pourrez aussi visiter un appartement témoin. Les finis intérieurs comprendront des comptoirs de quartz, des armoires laminées au design contemporain, des planchers en bois d’ingénierie, de la céramique dans les salles de bain, et bien plus encore. Plusieurs ensembles de finition aux teintes variées seront disponibles. APERÇU DE LA LISTE DE PRIX Les prix incluent les taxes mais non les stationnements intérieurs, sujet à changements TYPE DÉTAILS DIMENSION DESCRIPTION PRIX APPROX. MEZZA-LOFT A 700 pica 1er niveau : 500 pica, plafond de 7’ sous la mezzanine et 15’ dans le salon et salle à diner. Mezzanine: 200 pica, plafond de 6’4’’ 1 chambre, 1 salle de bain. Balcon de 4'X5'. 250 000$ MEZZA-LOFT B 700 pica 1er niveau : 500 pica, plafond de 7’ sous la mezzanine et 15’ dans le salon et salle à diner. Mezzanine : 200 pica, plafond de 7’ 1 chambre, 1 salle de bain. Balcon de 4’ X 5’ 280 000$ MEZZA-LOFT C 850 pica 1er niveau : 700 pica, plafond de 7’ sous la mezzanine et 15’ dans le salon et salle à diner. Mezzanine : 250 pica, plafond de 8' 2 chambres, 1 salle de bain. Balcon de 4’ X 5’ 340 000$ MEZZA-LOFT D 1000 pica 1er niveau : 720 pica, plafond de 7’ sous la mezzanine et 15’ dans le salon et salle à diner. Mezzanine : 280 pica, plafond de 8' 2 chambres, 2 salles de bain. Balcon de 4’ X 5’ 400 000$ PLAIN-PIED E 500 pica 1 niveau, plafond de 9' 6' 1 chambre, 1 salle de bain. Balcon de 4'X5' 195 000$ PLAIN-PIED F 600 pica 1 niveau, plafond de 9' 6'' 1 chambres, bureau, 1 salle de bain. Balcon de 4’ X 5’ 240 000$ PLAIN-PIED G 900 pica 1 niveau, plafond de 9' 6'' 2 chambres, bureau, 2 salles de bain. Balcon de 4’ X 5’ 360 000$ PLAIN PIED H 1500 pica 1 niveau, plafond de 11' 2 chambres, bureau, 2 salles de bain. Terrasse de 20' X 10'. 680 000$ LES STATIONNEMENTS INTÉRIEURS Les places de stationnement intérieurs sont très en demande dans le quartier. Le St-Dominique a la chance de pouvoir offrir des places de stationnement intérieur traditionnel au coût de 45 000$ taxes incluses; des places tandem (espace pour deux véhicules, un derrière l’autre) au coût de 66 000$ seront disponibles. Il y aura également des espaces de stationnement intérieur superposés, disponibles à un coût de 39 000$ taxes incluses (l’image ci-dessous). LA VIE DE QUARTIER Au St.Dominique, les espaces communs sont les attraits du quartier. En effet, grâce à une localisation idéale, les propriétaires auront accès à de multiples services et événements hors du commun. - Les scènes extérieures et intérieures du Quartier des spectacles - De multiples restaurants et cafés sur les rues Saint-Laurent, Saint-Denis, Sherbrooke et Sainte-Catherine - Le cinéma Quartier Latin, les salles de théâtre et de concert - L’Université du Québec à Montréal, le futur CHUM, l’hôtel Opus (pour les invités) et le Village - Le festival International de Jazz - Le festival Juste pour rire - Le festival des Francofolies de Montréal - Le festival de la Main - Le festival Divers/Cité - Le festival International Nuits d’Afrique LES AIRES COMMUNES ET LES FRAIS DE CONDOS Compte-tenu de la taille intime du projet, le St.Dominique n’aura pas d’aires communes telles une piscine ou une salle communautaire. L’investissement mensuel en frais de copropriété sera donc réduit, soit environ 22 cents le pied carré. Les propriétaires pourront profiter de la situation idéale; ils pourront avoir accès à pied à de nombreux services. LA DATE D’OCCUPATION La rénovation majeure du St.Dominique sera complétée à l’automne 2012. Les résidents pourront prendre possession de leur condominium à cette date. COMMENT DEVENIR PROPRIÉTAIRE? La première étape dans le processus d’achat d’un appartement des Condominiums St.Dominique est d’acquérir un certificat VIP. Ce dernier donne un privilège exclusif, avant l’ouverture au grand public, de faire un choix prioritaire. Cela permet de bien choisir l’emplacement, la vue et de profiter d’une réduction du prix d’achat. Le premier arrivé sera le premier servi. Les appartements (condominiums) seront ultérieurement vendus aux VIP en fonction de l’ordre chronologique dans lequel les certificats auront été acquis. C’est donc dire que le premier VIP aura le premier choix, le second le deuxième et ainsi de suite. Nous communiquerons avec tous les détenteurs d’un certificat au mois d’octobre pour donner plus de renseignements sur la pré-vente exclusive. COMMENT ACQUÉRIR UN CERTIFICAT VIP DES CONDOMINIUMS ST.DOMINIQUE? Pour acquérir un Certificat VIP, vous devez vous rendre à l’Espace vente et visite M9, au 800 rue Wellington, dans le Vieux-Montréal, entre samedi le 25 septembre et jeudi le 30 septembre à 16h. Les heures d’ouverture de l’Espace vente et visite M9-3 sont du samedi au dimanche, de 12h à 17h, et du lundi au jeudi, de 13h à 19h. Vous devrez déposer un chèque de 1000$, remboursable en tout temps pour toute raison, au nom du notaire Millowitz, Hodes, Bergeron, Ce bureau gardera ce montant en fidéicommis. À l’Espace vente et visite M9, un certificat VIP vous sera remis afin de confirmer que vous avez effectué un dépôt remboursable en tout temps par le notaire, à votre demande. Vos coordonnées ainsi que les Plans Types qui vous intéressent seront annotés sur le Certificat alors faites vos choix selon la liste de prix partielle ci-haut et venez nous rencontrer! À PROPOS DU PROMOTEUR DevMcGill poursuit une mission claire depuis plus de 10 ans : bâtir aujourd’hui les espaces de demain. Maintes fois primé, le design des projets de DevMcGill séduit l’imaginaire. Espaces lofts, appartements-boutiques, pied-à-terre ou condominiums, ils offrent une multitude d’espaces vivants et intelligents qui, chaque fois, respectent leur vision : mieux comprendre, pour mieux construire et ainsi mieux vivre. DevMcGill est passé maître dans l’art de créer des espaces de vie urbains, contemporains et repensés comme en témoignent le COUVENT OUTREMONT sur les flancs du Mont-Royal ou le CAVERHILL, le 777 et ORLÉANS dans le Vieux-Montréal. En 2005, DevMcGill poursuit son ascension et signe les condominiums M9 dans le secteur du Vieux-Montréal. Hommage au technicolor et à la transparence. À la vie urbaine. Tél.: 514 400-7900
  9. Le Masson propose 4 condominiums de 2 chambres sur 2 étages, de 984 et 1390 pi2, à 300m du Parc Maisonneuve et à 5 minutes de marche de la promenade Masson, dans Rosemont. Caractéristiques: Chambre principale avec walk-in Mezzanine avec terrasse privée Balcons pour chaque unité Stationnement disponible (en option) Salle de bain et salle d'eau Choix de finitions Situé à proximité des transports en commun et d'une multitude de services et commodités, le projet offre un excellent rapport qualité / prix idéal pour un premier investissement. Garantie Abritat et garantie des maisons neuves de 5 ans 3 condominiums disponibles pour occupation immédiate: En vente: App 101 et App 102: 265 000$ + taxes App 204: 290 000$ + taxes Ou en location: App 101 et App 102 - 1300$ par mois App 204 - 1500$ par mois Plus d'information à la page: http://www.pierreviens.com
  10. Opus Condominiums Illustration fournie par Les Développements Dubelle >7000, rue Allard >234 appartements en copropriété, construits en trois phases >Promoteur et constructeur: Les Développements Dubelle Dorel Friedman Architecte >Prix: de 110 000$ à 325 000$ (taxes incluses) >Superficie: de 450 à 1250 pieds carrés >Le bureau des ventes ouvrira en décembre. >La construction devrait débuter au printemps. Un immeuble en forme de T, de six étages, sera construit sur le terrain encore occupé par le fabricant Greif Bros, qui quittera en janvier. La section la plus longue sera bâtie en premier et deux ailes s'ajouteront par la suite, de chaque côté. La première phase, qui comptera 114 unités, comprendra un hall d'entrée de deux étages de hauteur, quatre ascenseurs, une salle d'exercice, une salle de réception et une terrasse sur le toit. Les premiers copropriétaires emménageront au printemps 2012. Le promoteur veut encourager les locataires du secteur à accéder à la propriété. Comme au Portail du canal, dans le Sud-Ouest, il offre son propre programme de crédit d'achat, dont les conditions de financement diffèrent de celles du programme Accès Condos de la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM). Le promoteur réduit le prix de vente des unités de 10% et cette réduction est remboursable à la revente de l'appartement dans un maximum de 10 ans. Les copropriétaires doivent alors aussi verser 10% du gain de capital obtenu à la revente. Ils peuvent rembourser la réduction de 10% à l'intérieur de trois ans, sans aucune obligation future. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
  11. Québec avance 1,2 million au studio Cinesite Publié le 15 janvier 2014 à 11h07 | Mis à jour à 11h07 Québec prête 1,2 million de dollars à la société de Grande-Bretagne Cinesite pour qu'elle implante un studio de production d'effets visuels et d'animation à Montréal. Le prêt est octroyé par le bras investisseur du gouvernement provincial, la société Investissement Québec. La venue du studio qui créera autour de 200 emplois a été rendue publique par La Presse ce matin. La nouvelle devrait être confirmée lors du passage de la première ministre Pauline Marois à Londres la semaine prochaine. On doit à Cinesite les effets spéciaux de la série de films Harry Potter. Il s'agit du second studio britannique à choisir Montréal en un an. À peu près à la même date l'an dernier, Framestore avait annoncé l'ouverture de nouvelles installations à Montréal. L'entreprise avait pu bénéficier d'un prêt sans intérêt de 900 000$ étalé sur 5 ans, ce qui coûte environ 35 000$ par année au gouvernement. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201401/15/01-4728925-quebec-avance-12-million-au-studio-cinesite.php
  12. Condos sur le boulevard Laird, de 700k à 2 750 000$. Toutes les photos proviennent de là: http://mansourrealties.com/canora_fr.html Projet: Ce qu'il y avait auparavant:
  13. SHERBROOKE/DES ÉRABLES Réalisation de Mario Di Palma Adresse : 2151-2165, rue Sherbrooke Est, Montréal (Qc) Livraison : 2009 Nombre d'unités : 8 Fourchette de prix : 129 000$ à 289 000$ http://www.jutrascourtage.com/2-Sherbrooke_des_Erables/album_photos.html
  14. (Montréal) Avec l'arrivée du printemps, les coureurs ont repris leur entraînement en vue du Marathon de Montréal, en septembre prochain. Pour la première fois, celui-ci sera organisé par une société californienne appartenant à des financiers de New York, dont l'objectif est de maximiser le profit de ses sociétés en portefeuille. Cela n'empêchera pas l'organisation de faire appel à 1500 bénévoles, ni de recevoir des centaines de milliers de dollars en aide publique. En septembre dernier, Bernard Arsenault a vendu la société Gesport, organisatrice du Marathon de Montréal, à Competitor Group, de San Diego. Depuis cette date, le Marathon de Montréal est présidé par Peter Englehart, associé de Falconhead Capital, une firme de capitaux privés de New York qui détient 100% de Competitor Group. «Competitor détient 100% de Marathon de Montréal», a confirmé Dana Allen, première vice-présidente, dans un entretien. Le communiqué publié à l'époque par M. Arsenault a annoncé l'association entre l'épreuve montréalaise et la série de marathons Rock'N'Roll, qui a attiré 390 000 participants en 2011, mais il ne faisait pas mention d'un transfert de propriété. Par la suite, des articles parus sur le sujet ont parlé d'une «vente partielle» de l'épreuve montréalaise, sans en préciser les détails. Les parties refusent de dévoiler le prix de la transaction. Un OSBL «En fait, le Marathon est encore un organisme sans but lucratif, précise Dominique Arsenault, fille de Bernard et responsable des communications de Marathon de Montréal. C'est la société qui gère le Marathon [qui a été vendue]. C'est probablement une des meilleures façons d'amener l'événement à un autre niveau, poursuit-elle. Les capitaux que nous n'aurions pas pu nécessairement aller chercher, les gens de Competitor Group les ont. C'est déjà une grosse machine bien implantée», explique-t-elle. L'an dernier, la course montréalaise a attiré près de 24 000 participants; 27 000 sont attendus en 2012. «On veut augmenter la participation, surtout en provenance des États-Unis», a dit Dana Allen. La société pour laquelle elle travaille vaut au moins 115 millions US (voir autre texte). «Notre but est d'amener plus de touristes à Montréal en faisant la promotion de l'événement dans nos magazines et auprès des coureurs inscrits dans notre banque de données.» Les marathons Rock'N'Roll sont des événements festifs, où les coureurs ont la possibilité de voir des performances musicales tous les deux kilomètres le long du parcours. Un concert est aussi prévu au fil d'arrivée. Les subventions sont-elles nécessaires? Comme bien des épreuves du genre en Amérique, le Marathon de Montréal fait appel aux bénévoles et à l'argent des contribuables pour la tenue de la course. Qu'une société à but lucratif valant plus d'une centaine de millions fasse appel à des bénévoles et à l'argent des contribuables pour tenir une épreuve de course à pied a soulevé la controverse ailleurs, à San Diego notamment, où Competitor Group a dû rembourser des subventions de 344 000$ aux autorités locales (voir autre texte). Au Québec, les bailleurs de fonds publics acceptent volontiers de subventionner des événements populaires comme les grands festivals qui sont gérés par des sociétés commerciales, du moment que les retombées économiques et les touristes sont au rendez-vous. Dana Allen ne craint pas pour ses subventions, malgré le statut à but lucratif du nouveau propriétaire du Marathon. «Dans les discussions que nous avons eues avec la Ville et les responsables de l'industrie touristique, nous avons senti beaucoup d'enthousiasme. Ils nous appuient et sont persuadés que ce sera bon pour la ville parce que nous allons faire venir à Montréal plus de coureurs de l'extérieur», dit-elle. L'an dernier, Québec a versé 177 000$ au Marathon de Montréal. De son côté, la Ville de Montréal offre gratuitement les services policiers et d'autres services publics, comme elle le fait d'ailleurs pour le Tour de l'île ou les festivals. La valeur des services atteint 425 000$ pour la course de 2012 (321 000$ en 2011). Tourisme Montréal, qui gère la taxe d'hébergement de 3% du revenu de location des chambres d'hôtel, finance également l'événement depuis trois ans, mais l'organisme refuse de divulguer publiquement sa contribution. Des critiques Un ancien organisateur du Marathon se montre critique. «Idéalement, l'organisation d'un événement comme ça devrait être donnée à un groupe local», soumet Alain Bordeleau, qui en a été le responsable de 1992 à 1996. Il est aussi détenteur du record québécois au marathon avec un temps de 2 heures 14 minutes et 19 secondes, réalisé en 1984 à Ottawa. «L'idée que le Marathon puisse réinvestir ses profits dans le milieu pour soutenir le développement des athlètes ou l'offre de services est une avenue intéressante», croit l'ancien olympien, qui gagne sa vie dans l'import-export. C'est le cas à la Coupe Rogers, organisée par Tennis Canada. Les profits de l'événement vont au développement des joueurs, confirme Valérie Tétreault, coordonnatrice des communications de Tennis Canada. «Si ce sont des intérêts américains qui organisent le Marathon, les profits vont aller du côté des États-Unis», s'inquiète Alain Bordeleau. Johanne Turbide, professeure de comptabilité à HEC Montréal et spécialiste en gestion financière des OSBL, ne partage pas les mêmes craintes. Elle souligne que les OSBL doivent démontrer aux autorités que sans l'appui public, l'activité ne peut pas faire ses frais. «Les bailleurs de fonds publics font le travail de vérification», soutient-elle. L'universitaire reconnaît néanmoins que les OSBL manquent de transparence. Au Québec, ceux-ci n'ont de compte à rendre qu'à leurs membres (au minimum trois personnes) et, à l'occasion, aux bailleurs de fonds. Competitor a refusé de divulguer les chiffres de Marathon de Montréal. Un précédent Outre la question de la transparence, la vente du Marathon à des intérêts étrangers soulève des interrogations quant au transfert de propriété des grandes manifestations populaires comme les festivals. «Avec le Marathon, on est en présence d'une forme de précédent», estime Martin Roy, directeur général du Regroupement des événements majeurs internationaux (REMI), lequel ne compte pas le Marathon de Montréal parmi ses 22 membres. «Au REMI, on est là pour travailler à la pérennité d'un secteur qui a été formé par des visionnaires qui, un jour, passeront la main. On espère que ça va se faire au profit de la collectivité et des Québécois», a-t-il indiqué. ---------------- La manifestation sportive en un coup d'oeil Date 23 septembre 2012 Épreuves > marathon > demi-marathon > 10 km > 5 km > 1 km Participants en 2011 24 000 ---------------- Qui est le nouveau propriétaire du Marathon de Montréal? Competitor Group Création : 2007 Propriétaire : Falconhead Capital (100%) Président et chef de la direction : Scott Dickey Principaux actifs > 58 événements, dont 27 Marathons Rock'N'Roll > Base de données de plus de 7 millions de coureurs et de triathlètes > 4 magazines spécialisés: tirage mensuel de 600 000 copies > Plateformes numériques (Competitor.com et Raceit.com) ----------------- MARATHONS LES PLUS POPULAIRE EN 2011 NEW YORK 47 133 FINISSANTS CHICAGO 35 755 FINISSANTS LONDRES 35 126 FINISSANTS BERLIN 32 816 FINISSANTS TOKYO 32 395 FINISSANTS Source : Rapport annuel, Running USA http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201204/23/01-4518267-le-marathon-de-montreal-entre-les-mains-de-financiers-new-yorkais.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS8
  15. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/savoir-immobilier/201203/31/01-4511354-les-quartiers-a-surveiller-region-de-montreal.php Martine Letarte, collaboration spéciale LA PRESSE Région métropolitaine de Montréal Secteurs qui connaissent la plus forte croissance des ventes résidentielles (au moins 50 transactions) - 2011 1- Montréal-Ouest (île de Montréal) 31% 2- Les Coteaux (Vaudreuil-Soulanges) 29% 3- Saint-Zotique (Vaudreuil-Soulanges) 24% 4- Laval-des-Rapides (Laval) 19% 5- Mirabel (Rive-Nord) ex aequo Lorraine (Rive-Nord) 14% 6- Dorval (île de Montréal) 13% 7- Beaconsfield (île de Montréal) 12% 8- Sainte-Anne-des-Plaines (Rive-Nord) 12% 9- Les Cèdres (Vaudreuil-Soulanges) ex aequo Bois-des-Filion (Rive-Nord) 11% 10- Lavaltrie (Rive-Nord) 10% Secteurs ayant affiché la plus forte croissance du prix médian - unifamiliale (au moins 50 transactions et au moins 30 de maisons unifamiliales) 1- Ville-Marie (île de Montréal) 45% (797 000$) 2- Saint-Philippe (Rive-Sud) 22% (219 000$) 3- Saint-Laurent (île de Montréal) 19% (470 000$) 4- Baie-d'Urfé (île de Montréal) 18% (520 000$) 5- Mont-Royal (île de Montréal) 17% (881 000$) 6- Kirkland (île de Montréal) 14% (445 000$) 7- Westmount (île de Montréal) 14% (1 197 500$) 8- L'Île-Perrot (île de Montréal) (241 000$) 9- Hampstead (île de Montréal) 12% (985 000$) 10- Pont-Viau (Laval) 12% (265 750$) Secteurs ayant affiché la plus forte croissance du prix médian - copropriétés (au moins 50 transactions et au moins 30 de copropriétés) 1-Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension (île de Montréal) 16% (248 000$) 2- LaSalle (île de Montréal) 15% (258 374$) 3- Saint-Lambert (Rive-Sud) 14% (239 000$) 4- Verdun (île de Montréal) 13% (242 500$) 5- Charlemagne (Rive-Nord) 11% (175 000$) 6- Auteuil (Laval) 11% (202 500$) 7- Montréal-Nord (île de Montréal) 11% (220 000$) 8- Chambly (Rive-Sud) 10% (179 500$) 9- Beloeil (Rive-Sud) 10% (188 167$) 10- Saint-Eustache 10% (175 000$) Source: FCIQ par Centris Top 10 des secteurs qui comprennent le plus grand nombre de mises en chantier - 2011 Copropriétés 1- Montréal - arrondissement Ville-Marie (1109 unités) 2- Laval - Chomedey (929 unités) 3- Longueuil (limite de 2006) (747 unités) 4- Montréal - arrondissement Saint-Laurent (646 unités) 5- Montréal - arrondissement Côte-des-Neiges/Notre-Dame-de-Grâce (605 unités) 6- Montréal - arrondissement Ahuntsic/Cartierville (584 unités) 7- Brossard - (576 unités) 8- Montréal - arrondissement Sud-Ouest (442 unités) 9- Mascouche - (406 unités) 10- Nouvelle Ville de Terrebonne (298 unités) Top 10 des secteurs qui comportent le plus de mises en chantier - 2011 Propriétaire-occupant 1- Mirabel (456 unités) 2- Nouvelle Ville de Terrebonne (422 unités) 3- Longueuil (limite de 2006) (369 unités) 4- Nouvelle Ville de Saint-Jérôme (333 unités) 5- Brossard (279 unités) 6- Vaudreuil-Dorion (275 unités) 7- Nouvelle Ville de Repentigny (269 unités) 8- Blainville (242 unités) 9- Chambly (214 unités) 10- Mascouche (211 unités) Quelques faits marquants - région métropolitaine de Montréal - Sur l'île de Montréal, l'arrondissement Saint-Laurent se démarque pour la construction d'habitations pour propriétaire-occupant avec 162 unités. - Dans Vaudreuil-Soulanges, Vaudreuil-Dorion se démarque pour la construction de copropriétés avec 244 unités. - Il y a eu 12 681 mises en chantier de copropriétés dans la région métropolitaine en 2011. C'est un record qui représente près du double des mises en chantier d'habitations pour propriétaires-occupants (7223). Source: Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL)
  16. Deux projets face à face, boulevard Saint-Laurent Quartier St-Laurent, à l'intersection du boulevard Saint-Laurent et de la rue Beaubien Est (du côté nord), comptera 30 appartements en copropriété. Illustration fournie par le Groupe Cholette Danielle Bonneau La Presse Le boulevard Saint-Laurent, à l'intersection de la rue Beaubien Est, changera complètement de mine avec la construction de deux immeubles en copropriété: Quartier St-Laurent et Le Santini sur St-Laurent. Adieu ancien commerce de voitures usagées et magasin de meubles abandonné. Ils seront remplacés par de nouveaux bâtiments à l'architecture contemporaine, qui auront tous deux des espaces commerciaux au rez-de-chaussée. Pour le plus grand bien des deux artères commerciales. «C'est intéressant que les deux projets se fassent presque en même temps, estime Sophie Charlebois, architecte à l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie. Ce sera structurant pour le secteur, car les deux bâtiments auront de bons gabarits. Les commerces au rez-de-chaussée créeront une nouvelle animation sur les deux rues et contribueront à donner une nouvelle image à cette partie du boulevard Saint-Laurent, qui est un peu enclavée et n'est pas suffisamment peuplée.» Les deux projets, situés de part et d'autre de la rue Beaubien Est, à deux pas de La Petite Italie, se font face. En construction depuis la fin de l'hiver, Le Santini sur St-Laurent, du Groupe Cartierville, se trouve du côté sud de la rue Beaubien. L'immeuble de cinq étages comptera 20 logements, qui sont presque tous vendus. Seulement deux d'entre eux n'ont pas encore trouvé preneur... et ce ne sont pas les plus chers! Situés au deuxième et troisième étages, ils coûtent 280 000$ et 290 000$ (taxes incluses) pour des superficies d'environ 930 pieds carrés. Le Santini sur St-Laurent, à l'intersection du boulevard Saint-Laurent et de la rue Beaubien Est (du côté sud), est en construction. Le bâtiment de cinq étages comprendra 20 appartements. Illustration fournie par Geiger Huot Architectes «Les quatre appartements dotés d'une mezzanine et d'une terrasse privée sur le toit se sont envolés les premiers», révèle Sam Scalia, président du Groupe Cartierville. «Avec les mezzanines, en retrait, les futurs copropriétaires auront une vue superbe sur le mont Royal et pourront profiter du coucher du soleil», précise l'architecte Éric Huot, de la firme Geiger Huot Architectes. La construction du projet va bon train. Les premiers copropriétaires devraient emménager en novembre. Quartier Saint-Laurent Quartier St-Laurent, le premier projet vraiment urbain du Groupe Cholette, qui est très actif en banlieue, se trouve quant à lui du côté nord de la rue Beaubien. Le bureau des ventes vient tout juste d'ouvrir ses portes, cette semaine. L'immeuble de quatre étages comptera 30 appartements en copropriété, aménagés aux trois étages supérieurs. L'entrée des futurs copropriétaires donnera sur le boulevard Saint-Laurent. «Ils auront ainsi une adresse prestigieuse», fait remarquer Louis-Paul Lemieux, architecte à l'Atelier VAP. L'édifice, doté de larges fenêtres, sera construit en bordure du trottoir. Comme les appartements ne peuvent avoir des balcons qui se projetteraient vers l'avant, ils seront plutôt dotés de vastes terrasses en alcôve. «D'une superficie moyenne de 9 mètres carrés, soit presque 100 pieds carrés, les loggias seront presque aussi grandes qu'une chambre, précise M. Lemieux. C'est intéressant pour des personnes qui aiment vivre en milieu urbain et profiter de l'animation tout autour.» Les appartements, dont les cuisines comprendront des plans de travail en quartz et une hotte en inox, se vendent entre 238 000$ et 360 000$. Les superficies, quant à elles, varient de 760 à 1085 pieds carrés. La construction devrait débuter à l'automne.
  17. Publié le 08 juin 2011 à 11h09 | Mis à jour le 09 juin 2011 à 06h23 (Montréal) Les grues dressées aux quatre coins de Montréal ne mentent pas: la construction de condos se porte bien dans la métropole, au point où un nouveau record a été franchi le mois dernier. Au total, 1211 appartements ont été mis en chantier en mai, comparativement à 795 un an plus tôt, révèlent les données publiées hier par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Du jamais vu, selon David L'Heureux, analyste principal de marché à la SCHL, qui fait toutefois une mise en garde pour la suite des choses. «Étant donné que les copropriétés commencées en 2010 n'ont pas encore toutes été achevées, nous prévoyons une augmentation des stocks et un ralentissement du rythme des mises en chantier d'ici la fin de l'année», a-t-il averti. Ce boom du condo neuf apparaît bien collé à la réalité du marché montréalais, où ce type de propriété est en forte demande. Selon un rapport diffusé hier par la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM), la revente d'appartements a progressé de 4% le mois dernier par rapport à mai 2010, alors que le nombre total de transactions a fléchi de 4%. La copropriété séduit en masse les premiers acheteurs, très actifs sur le marché à cette période-ci de l'année. Ils continuent de privilégier les quartiers en périphérie du centre-ville de Montréal. Les ventes de condos ont ainsi explosé de 29% dans l'arrondissement de Rosemont-Villeray le mois dernier, de 21% dans le Plateau-Mont-Royal et de 16% dans le sud-ouest de l'île, indique la CIGM. Sur un an, le prix médian des copropriétés a grimpé de 7% dans la région métropolitaine, à 220 739$, et de 9% dans l'île de Montréal, à 255 000$. Laval fait figure d'exception, avec une hausse salée de 15% (à 205 000$). Comment expliquer l'envolée lavalloise? «On a pas mal de volatilité du côté du prix des condos à Laval: en avril on était à " 2%, en mars à " 3%, en février à " 11% et en janvier à -3%, a souligné Paul Cardinal, directeur de l'analyse du marché à la CIGM. Mieux vaut regarder le cumulatif depuis les cinq premiers mois de l'année ("5%).» À deux ponts de là, la Rive-Sud a encaissé une baisse de 5% du prix de ses condos en mai, à 180 000$. Ce recul est concentré à Brossard, Saint-Lambert, Candiac et La Prairie. Le prix médian a malgré tout grimpé de 3% pendant les cinq premiers mois de 2011, si on compare à la même période l'an dernier. Équilibre La revente de maisons unifamiliales a baissé de 8% dans le Grand Montréal le mois dernier, mais leur prix médian a progressé de 4%, à 266 500$. Les ventes de «plex» de deux à cinq logements ont reculé de 9%, tandis que leur prix est demeuré stable à 390 000$. Dans l'île, les ventes de maisons individuelles ont fléchi de 16% et celles de plex, de 12%. Les prix ont respectivement progressé de 8% et 3%, à 363 500$ et 420 000$. Paul Cardinal voit d'un bon oeil le recul global de 4% du nombre de transactions le mois dernier, moins brutal que les replis des mois précédents, dont 18% seulement en avril. «C'est la 13e baisse consécutive, sauf que c'est la plus faible depuis le mois de mai 2010, donc c'est encourageant», a-t-il dit à La Presse Affaires. Le marché demeure «de façon générale» à l'avantage des vendeurs, excepté dans le segment de la maison unifamiliale à Vaudreuil-Soulanges et en banlieue nord et, dans celui du condo, à Vaudreuil, Laval et en banlieue nord, a précisé M. Cardinal. Le nombre de propriétés inscrites par des vendeurs continue de gonfler de mois en mois, donnant toujours plus de pouvoir de négociation aux acheteurs. Le nombre d'inscriptions en vigueur a grimpé de 19% par rapport à mai 2010, avec 25 829 propriétés en vente dans la région métropolitaine. Par ailleurs, dans son rapport publié hier, la SCHL indique que les mises en chantier de maisons individuelles ont reculé de 21% en mai dans le Grand Montréal, alors que celles de jumelées ont fléchi de 21%. La forte construction de condos a néanmoins contribué à une hausse globale de 10% des mises en chantier, avec 2121 logements entamés. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201106/08/01-4407244-construction-de-condos-sommet-historique-a-montreal.php
  18. AlainS

    Le trou de beigne

    Le trou de beigne Publié le 07 décembre 2010 à 06h18 | Mis à jour le 07 décembre 2010 à 06h18 Claude Piché LA PRESSE (Montréal) À en juger d'après les nombreuses lettres reçues à La Presse, le budget déposé par l'administration du maire Tremblay a mis les Montréalais en colère. Le budget annonce de fortes hausses d'impôt foncier pour la deuxième année consécutive, en plus d'imposer une nouvelle taxe aux automobilistes montréalais. «La grogne est généralisée, c'est presque l'unanimité, constate Jean-Pascal Beaupré, responsable des pages Forum. Les Montréalais n'acceptent pas que ce soient eux, et pas les banlieusards, qui doivent supporter le fardeau.» Dans ce climat de mécontentement populaire, on comprend que plusieurs Montréalais sont tentés de se réfugier en banlieue. Ils ne sont pas les seuls. Depuis des années, Montréal est victime de l'effet de beigne, qui voit la banlieue s'étendre continuellement au détriment de la ville-centre. Dans l'ensemble, on connaît assez bien le phénomène. On sait que ce sont surtout les jeunes ménages à revenus moyens qui désertent la ville pour la banlieue. On sait aussi que les ménages à faibles revenus restent en ville, souvent parce qu'ils n'ont pas le choix: la vie en banlieue est indissociable de l'automobile. Or, tout cela est basé davantage sur des enquêtes sommaires et des observations sur le terrain que sur une recherche rigoureuse. Assez curieusement, même si les migrations entre la ville centre et la banlieue peuvent avoir des conséquences énormes, il n'existe à peu près pas de renseignements détaillés sur les ménages en cause. Cette lacune vient d'être comblée par deux chercheurs de Statistique Canada, Martin Turcotte et Mireille Vézina. Les auteurs ont mesuré avec précision l'effet de beigne dans les trois grandes villes canadiennes, Toronto, Montréal et Vancouver. Ils ont tracé le portrait socio-économique des ménages avec beaucoup de rigueur. Les résultats de leurs travaux viennent de paraître dans Tendances sociales canadiennes (1), une publication spécialisée de l'agence. À ma connaissance, c'est ce qu'il s'est fait de mieux sur le sujet. Et il se trouve que ces résultats sont proprement stupéfiants. Bien sûr, la recherche confirme que Montréal perd surtout des jeunes ménages à revenus moyens et élevés, ce dont tout le monde se doute déjà, mais elle nous montre aussi clairement à quel point la saignée est importante. D'abord, un premier constat. L'effet de beigne ne sévit pas seulement à Montréal. Toronto et Vancouver sont aussi touchés. À Montréal, entre 2001 et 2006 (l'étude est basée sur les résultats du questionnaire long du recensement de 2006, et même si les chiffres datent de quatre ans, ce sont les plus récents), 14% des ménages montréalais ont quitté la ville pour s'installer en banlieue; pendant ce temps, seulement 5% des banlieusards faisaient le trajet en sens inverse. Les proportions sont exactement les mêmes à Toronto, et reflètent aussi la situation à Vancouver à quelques poussières près. C'est en regardant de plus près le profil socio-économique de ceux qui quittent Montréal que l'on peut mieux mesurer l'ampleur de l'exode: En cinq ans, la ville centre a perdu 19% de ses résidents âgées de 30 à 34 ans (une personne sur cinq, tout de même), pendant que seulement 6% des banlieusards de cette tranche d'âge Montréal quittaient la périphérie pour s'installer à Montréal. On compte aussi 14% de départs chez les jeunes de 25 à 29 ans, 15% chez les 35-39 ans, mais la proportion de départs tombe à 3% chez les 65 ans et plus. L'exode des jeunes, c'est vrai. Sur les couples avec enfants, la banlieue agit comme un véritable aimant et Montréal, comme un repoussoir. Ainsi, toujours au cours de la même période, la ville centre a perdu au profit de la banlieue, tenez-vous bien, 34% de ses jeunes ménages ayant au moins un enfant! Pendant ce temps, seulement 2% de ces jeunes ménages ont quitté la banlieue pour Montréal. L'exode des jeunes familles, c'est vrai. Au chapitre des revenus, c'est vraiment la classe moyenne qui est concernée. Ainsi, 25% des ménages ayant un revenu familial (après impôts) entre 70 000$ et 80 000$ ont quitté Montréal. Cette proportion varie de 20 à 23% pour les tranches de revenus situés entre 60 000$ et 150 000$. Pendant ce temps, rares sont les banlieusards à revenus moyens (entre 2 et 3%) qui choisissent de déménager à Montréal. L'exode de la classe moyenne, c'est vrai. Pour les ménages à faibles revenus, c'est le contraire. C'est ainsi que 12% des banlieusards gagnant un revenu familial inférieur à 20 000$ ont quitté leur banlieue pour s'établir à Montréal, qui perdait de son côté 5% de ses ménages à faibles revenus. Enfin, on peut obtenir des résultats ahurissants en combinant plusieurs caractéristiques. Ainsi, pas moins de 42% de tous les nouveaux parents ayant un revenu entre 50 000$ et 100 000$ ont quitté Montréal en cinq ans. C'est une perte énorme pour la ville centre quand on sait à quel point toutes les municipalités font des pieds et des mains pour attirer une population de jeunes ménages à revenus moyens. (1) On peut télécharger gratuitement la revue à partir de la page d'accueil de Statistique Canada: http://www.statcan.gc.ca L'EFFET DE BEIGNE EN QUELQUES CHIFFRES En cinq ans, 14% des Montréalais ont quitté la ville pour s'installer en banlieue, tandis que seulement 5% des banlieusards faisaient le trajet en sens contraire. 34% des jeunes ménages ayant deux enfants ou plus se sont exilés en banlieue. 25% des ménages gagnant entre 70 000$ et 80 000$ ont déménagé en banlieue ; en revanche, 12% des banlieusards à faibles revenus (moins de 20 000$ de revenu familial) sont venus s'établir à Montréal Par tranche d'âge, ce sont les Montréalais âgés de 30 à 34 ans qui sont les plus nombreux à fuir la ville centre.
  19. 1000$ de moins par ménage en 2011 Publié le 31 décembre 2010 à 05h00 | Mis à jour le 31 décembre 2010 à 05h00 André Dubuc LA PRESSE Préparez-vous à en sortir davantage de vos poches. Une nouvelle année marque bien souvent le signal de nouvelles hausses de taxes et de tarifs, et 2011 ne fera pas exception. Nous avons calculé qu'il en coûtera 1000$ de plus à une famille de quatre personnes. Survol des mauvaises nouvelles qui nous attendent au lendemain du réveillon de la Saint-Sylvestre. Pour estimer l'impact, nous avons considéré un ménage de quatre personnes. Les deux adultes, des salariés gagnant respectivement 60 000$ et 40 000$, ont deux enfants, dont un fréquente l'université à temps plein. La famille habite Montréal et possède deux automobiles. Les enfants voyagent en transport en commun. À noter que l'alourdissement du fardeau financier est moins important pour les ménages de banlieue ou pour les locataires montréalais à faible revenu, qui n'ont ni automobile ni enfant à l'université. La taxe de vente provinciale grimpe d'un point de 7,5 à 8,5% demain. La hausse sera pratiquement imperceptible lors des achats au quotidien, elle déplaira par contre aux acheteurs de véhicules ou de maisons neuves. Facture pour nos contribuables: 400$ pour des dépenses taxables de 40 000$ par année. C'est en fait un peu plus, parce que la TVQ est calculée sur la somme des achats incluant la TPS. Cette estimation repose sur les données de l'enquête annuelle sur les dépenses des ménages de Statistique Canada. Environ 50% des dépenses sont consacrés aux impôts, à l'alimentation et au logement, où la TVQ ne s'applique pas, ou seulement à quelques composantes de la catégorie. Par exemple, un ménage paie de la TVQ sur l'électricité qu'il consomme, mais pas sur son loyer. Le gouvernement du Québec ne se contente pas d'augmenter la TVQ, il introduit également la taxe santé. Pour la première année, c'est 25$ par adulte, payable à la production de la déclaration de revenus. En 2012, ce sera 100$ par personne majeure. Restons dans la santé. La prime 2010 du régime public d'assurance-médicament a augmenté de 15$ par adulte. Elle est payable à la prochaine déclaration de revenu au printemps. 2011 est aussi la première année de l'indexation automatique d'une foule de tarifs gelés depuis des années - ça va du permis de pêche au certificat de naissance. Le taux d'indexation a été fixé à 1,27%. Comme d'habitude, les salariés sont mis à contribution. Assurance-parentale, assurance-emploi, régime des rentes coûteront plus cher pour tous les salariés gagnant le salaire maximum assurable ou plus. Les cotisations au régime québécois d'assurance parentale passent de 0,506% à 0,537% du salaire assurable. Le salaire maximum assurable avance de 62 500$ à 64 000$. Pour un salarié gagnant 60 000$ par année, la contribution augmente de 18,60$. Autre hausse annoncée, le taux de cotisation de l'assurance-emploi se déplace de 1,36$ à 1,41$ du 100$ assurable. La cotisation maximum, qui s'applique à tous les salariés gagnant plus de 44 200$, avance de 35,70$, à 623,22$. Le gouvernement a gelé les cotisations au régime des rentes du Québec en 2011, en dépit de la situation financière du régime qui appelle à un redressement. Le taux reste à 9,9%, partagé entre l'employeur et l'employé. Le salaire maximum assurable est toutefois augmenté de 47 200$ à 48 300$. La cotisation maximale du salarié passe de 2163,15$ à 2217,60$, une différence de 54,45$. Notre ménage a un enfant à temps plein à l'université. Il lui en coûtera 50$ de plus à la session d'hiver 2011 et 50$ additionnels à l'automne 2011, pour un total de 150$ par rapport au prix payé à l'automne 2010. Comme bien des ménages avec enfants, notre famille ne peut se passer de l'auto. En fait, elle a deux véhicules pour vaquer à ses multiples occupations. Indexée, l'immatriculation augmente de 2,05$ pour un véhicule de promenade, à 263,05$. Le prix du permis de conduire, pour celui qui n'a pas de point d'inaptitude, grimpe de 1,25$, à 87,25$. Rouler coûte cher? L'essence se vendra 1 cent de plus à compter du 1er avril 2011, date à laquelle la taxe provinciale passera de 16,2 à 17,2 cents le litre. Selon le calculateur éco choix du CAA, un véhicule de taille compacte 2010 roulant un total de 20 000 kilomètres par année consomme entre 1600 et 1700 litres d'essence par année. Les automobilistes insulaires devront payer une surtaxe de 45$ sur les droits d'immatriculation par véhicule situé sur l'île de Montréal. Les adeptes du transport en commun sont tout autant mis à contribution. Les tarifs progressent de 3,9% à la Société de transport de Montréal. Les Lavallois et Longueillois s'en tirent avec des augmentations de 1,3% et de 1,9%, respectivement. Les titres métropolitains, ceux qui permettent de voyager avec plus d'une société de transport, augmentent quant à eux de 1,5%. Les gouvernements municipaux se montrent particulièrement gourmands. Les taxes municipales grimpent de 4,3% en moyenne à Montréal. Pour une résidence type, on parle d'une hausse de 125$ par an. À Longueuil et Laval, les hausses moyennes sont de 4,9% et de 1% respectivement. À Longueuil, la différence à payer est évaluée à une centaine de dollars pour la plupart des contribuables résidentiels. À Laval, on parle d'une trentaine de dollars. Tout ne monte pas heureusement. Les tarifs d'Hydro-Québec ne bronchent pas en 2011. Ce n'est certes pas le cas des aliments et boissons. Par exemple, le litre de lait augmente de 0,04$ le 31 janvier a décrété la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec. Le lait 2% se vendra 1,69$ à Montréal et ses environs.
  20. Yves Boisvert le 8 novembre 2010 La Presse En écoutant le dernier épisode d'Enquête, on pourrait être absolument découragé du délabrement de la démocratie municipale au Québec. Il y a de quoi. Mais réjouissons-nous tout de même: la pourriture municipale est exposée. On a des noms, des dates, des faits. Ce qui ressort de cette série déprimante de portraits municipaux, c'est l'insignifiance des institutions de contrôle. Le Directeur général des élections manque toujours de preuve, le ministère des Affaires municipales est mou et tout continue comme avant. «Tout le monde» sait comment ça fonctionne... rien n'arrive. Comment se fait-il qu'encore une fois, ce sont des journalistes qui font le travail? On a vu, à visage découvert, l'entrepreneur Jean-Guy Ouellet dire à la caméra de Radio-Canada que le maire de Mascouche, Richard Marcotte, lui a demandé une maison gratuitement en échange d'un droit de construire. Rien que ça! On a vu le député péquiste de Masson, Guillaume Tremblay, dire qu'il a été intimidé par l'entrepreneur Normand Trudel, proche du maire de Mascouche. On n'a pas eu la version de MM. Marcotte et Trudel, qui ont refusé de répondre aux questions. En attendant, le reportage nous apprend que le maire de Mascouche a acquis pour 100 000$ deux copropriétés dans un nouveau complexe, copropriétés qu'il a revendues assez rapidement avec des profits de 35 000$ et 45 000$. Il a du flair, le maire. Se plaçait-il en conflit d'intérêts en achetant des copropriétés autorisées par son administration municipale? Ah, ça, on le saura quand la loi 109 aura été adoptée et un Code d'éthique des municipalités mis en vigueur, n'est-ce pas... Un code, c'est bien. Un sens de l'éthique, c'est mieux. *** La femme du maire de Sainte-Julienne, Marcel Jetté, travaille pour le cabinet d'avocats Dunton Rainville. Ce même cabinet a obtenu des contrats de la Ville. Ce n'est pas un crime, mais on aurait aimé voir le maire au moins reconnaître le début d'une apparence de conflit d'intérêts. C'était trop demander. Dunton Rainville, d'ailleurs, est un joueur majeur dans le monde municipal dans la grande région de Montréal. Dans plusieurs municipalités, le cabinet a des contrats de gestion des relations de travail et des mandats en droit municipal. Bien plus troublant encore, on voit que le monde municipal a conçu des stratégies pour soustraire au regard du public un certain nombre de projets. À Laval, où le monarque Gilles Vaillancourt règne depuis 21 ans, il n'y a aucun conseiller municipal de l'opposition. Zéro. Et le conseil municipal n'aime pas trop la contestation. La Ville a confié à un organisme à but non lucratif le projet d'une «Cité de la culture et des sports», évalué à près de 100 millions. Même s'il est dirigé par des hauts fonctionnaires de la Ville, l'organisme fonctionne hors du champ d'examen public. Enquête nous dit également que son conseil est composé de fonctionnaires municipaux. Son porte-parole est un avocat de Dunton Rainville payé par la Ville. S'il est vrai que les fonds injectés dans le projet sont publics à 80%, au nom de quoi permettrait-on que cet organisme ne soit pas public? *** Il y a 1104 municipalités au Québec. La moitié des maires y sont réélus par acclamation. Ils ne doivent pas être si mauvais. Mais là où il y a des élections, moins de la moitié des électeurs inscrits vont voter. L'intérêt et la surveillance des citoyens n'y sont tout simplement pas. On ne sera donc étonné qu'à moitié de voir la mollesse du ministère des Affaires municipales et du Directeur général des élections du Québec. Le meilleur exemple étant les élections clés en main?: comment des firmes de professionnels organisent des élections dans la région de Montréal en échange de contrats. Tout le monde le sait, on connaît les noms, on a les photos... un rapport a été fait là-dessus il y a bientôt 10 ans... mais personne n'a jamais été accusé. Manque de preuve hors de tout doute. Les projets de loi présentement à l'étude à Québec vont resserrer les règles. De nouveaux vérificateurs sont déjà à l'oeuvre pour enquêter sur les contrats municipaux. Mais ce n'est pas assez. Il faut centraliser dans un seul organisme la surveillance de la démocratie municipale, manifestement malade, et envoyer un signal clair. Tout comme les informations sur les contrats et appels d'offres - en ce moment disponibles ville par ville. Pourquoi un trottoir coûterait plus cher à Montréal qu'à Brossard? Les prix, les noms, les contrats doivent être connus de tous et facilement comparables. Voyez comment les prix des travaux municipaux ont chuté à Montréal. Pourquoi? Parce que les magouilleurs se sentent surveillés. À défaut de restaurer la vie démocratique municipale, qu'au moins on restaure la concurrence honnête. Ce sera déjà ça.
  21. Le marché des résidences de luxe est en pleine explosion à Montréal. Le nombre de propriétés vendues plus de 500 000$ a doublé depuis un an, et bondi de presque 200% dans certains secteurs de l'île. «Les maisons affichées à juste prix partent très rapidement: je viens d'en vendre une de 3 millions en trois jours à Westmount», dit Marie-Yvonne Paint, agente immobilière spécialisée dans le haut de gamme. > Suivez Maxime Bergeron sur Twitter Selon les données obtenues par La Presse Affaires, les transactions ont grimpé de 97% au premier trimestre pour les maisons de plus d'un demi-million. Pendant la même période, l'ensemble des ventes a progressé de 37% dans l'île de Montréal. La demande pour les appartements en copropriété de luxe a aussi explosé. Le nombre de reventes a augmenté de 100% au premier trimestre, contre 50% pour le secteur du condo en général, révèlent des statistiques fournies par la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). Le segment des maisons très haut de gamme - vendues à plus de 1 million - connaît également une «effervescence», souligne Marie-Yvonne Paint. Dans les quartiers les plus chic de la métropole, 64 maisons de plus de 1 million ont changé de main pendant les trois premiers mois de l'année, contre seulement 27 à la même période de 2009. Le prix moyen de ces transactions se situe à 1,5 million, par rapport à 1,3 million l'an dernier. La confiance de retour La raison de cette explosion n'a rien à voir avec la faiblesse historique des taux hypothécaires. La plupart des acheteurs de cette gamme de prix paient comptant, dit Mme Paint. L'explication se résume plutôt en un mot: confiance. «Beaucoup de gens ont été réticents à acheter à cause de la crise en 2009, par prudence, mais cette année, cette rétention s'est défoulée», avance l'agente rencontrée dans une somptueuse résidence de 8000 pi2 de Westmount, mise en vente pour 7,3 millions. Michel Beauséjour, chef de la direction de la CIGM, partage ce point de vue. «L'économie québécoise va bien, la création d'emplois va bien, donc la confiance à long terme est bonne. Cela veut dire que les gens qui ont des moyens sont maintenant sur le marché pour faire des transactions.» Aussi, le recul observé l'an dernier n'est pas le seul responsable de la hausse impressionnante du pourcentage de transactions cette année. En fait, les ventes sont en forte progression par rapport à 2008 - donc avant la crise financière. Il s'est vendu 304 maisons de plus de 500 000$ dans l'île de Montréal pendant les trois premiers de 2010 (19% des transactions), contre 202 il y a deux ans (14% du total). Dans le condominium, le nombre de transactions de plus d'un demi-million s'est établi à 114 au premier trimestre (5% du total), comparativement à 67 en 2008 (3% du total). Les propriétés chères se retrouvent surtout dans les quartiers centraux de l'île. La majorité des condos ont été vendus dans le Vieux-Montréal, Westmount, Outremont, Mont-Royal, Hampstead et L'Île-des-Soeurs. Les maisons de plus de 500 000$ - un prix de moins en moins rare - sont plus dispersées géographiquement. Sur les 407 vendues au premier trimestre dans le Grand Montréal, 304 se trouvaient dans l'île, 101 sur la Rive-Sud et 70 à Laval et dans la couronne nord. La hausse la plus marquée du nombre de transactions - 193% - a été observée dans le secteur de Saint-Laurent-Ahunstic. Et qui sont les acheteurs de ces maisons cossues? D'après Marie-Yvonne Paint, ils sont à 95% des «locaux» de Montréal et de sa périphérie, chefs d'entreprise, médecins ou avocats. Le segment du luxe va très bien mais demeure accessible à une infime minorité, en somme. «Pour acheter un condo à 500 000$, il faut au moins que tu fasses 150 000$ ou 200 000$ de revenus par année, et 200 000$, c'est 1% de la population, dit Michel Beauséjour, de la CIGM. On parle d'une niche très, très sélective.» Premier trimestre de 2010 QUANTITÉ VENDUE / VAR. SUR UN AN Maisons de plus de 500 000$ / 304 / 97% Ensemble du marché des maisons / 1581 / 37% Condominiums de plus de 500 000$ / 118 / 100% Ensemble du marché du condo / 2282 / 50% Source: Chambre immobilière du Grand Montr http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201004/14/01-4270200-immobilier-le-haut-de-gamme-explose-a-montreal.php
  22. Cette nouvelle ne me surprend pas du tout. Disons qu'un endroit où ils se sont toujours refuser à offrir le paiement direct et le crédit comme mode de paiement, et s'entête à ne pas moderniser les caisses, il y avait de fortes chances qu'une partie des revenus ne soit pas déclarée. Je me demande pourquoi le fisc n'a pas enquêté avant?
  23. De l'exode en douce? Publié le 31 décembre 2009 à 06h08 | Mis à jour le 31 décembre 2009 à 06h10 Michel Girard La Presse (Montréal) Avez-vous une idée du nombre de hauts salariés qui déménagent en Ontario afin de réduire l'impact fiscal de la voracité de Revenu Québec? me demande Jean-Claude. «Un de mes amis vient tout juste de voter avec ses pieds et demeure maintenant à Ottawa. Lui et son épouse gagnent ensemble environ 300 000$ par année. Juste en impôt économisé, ils remboursent leur hypothèque.» Avis aux contribuables mécontents de la lourdeur fiscale québécoise. Avant de passer à l'acte et d'appeler le déménageur, je vous invite à bien peser le pour et le contre d'un tel déménagement. Oui, la facture fiscale ontarienne est moins élevée. Et l'écart se creuse dès le palier d'un revenu imposable d'à peine 18 000$. Pour comparer des pommes avec des pommes, mieux vaut se baser sur la note totale des impôts fédéral et provincial à payer. Comme l'impôt fédéral est identique d'une province à l'autre, l'écart ci-après vous permettra d'évaluer à sa juste mesure le poids de la facture de l'impôt québécois. Les données fiscales proviennent de la firme Raymond Chabot Grant Thornton. Elles tiennent compte des crédits personnels de base, du taux d'indexation, de l'abattement provincial de l'impôt fédéral. Pour divers paliers de revenu imposable, voici les écarts constatés pour l'année fiscale 2009. À la lumière du tableau, on constate que le Québécois paye un onéreux supplément d'impôt par rapport à l'Ontarien. Mince consolation: la situation était nettement pire avant l'arrivée au pouvoir de Jean Charest. Depuis son entrée à l'Assemblée nationale en 2003, le gouvernement Charest a allégé la fiscalité des Québécois de quelque 5,4 milliards. Les grandes initiatives fiscales se résument comme suit: réduction générale des impôts de 950 millions, indexation des tables d'impôt et des mesures fiscales (1,9 milliard), déduction pour les travailleurs (588 millions), soutien aux enfants (547 millions), prime au travail (304 millions), et autres mesures fiscales pour personnes âgées. Malgré cet allègement global de 5,4 milliards, les contribuables québécois payent collectivement encore quelque 2,7 milliards de plus d'impôt provincial que les Ontariens. C'est ce qu'affirmait le gouvernement Charest lors de la présentation de son dernier budget. En plus d'appliquer une structure de taxation comparable, l'évaluation du fardeau fiscale entre le Québec et l'Ontario tenait compte des «contributions-santé» et des mesures d'aide aux familles, de l'abattement fédéral, etc. Maintenant, lorsqu'on gagne un revenu élevé, est-ce une raison suffisante de déménager ses pénates en Ontario pour une simple question de fardeau fiscal? Tiens, revenons à notre couple de Québécois qui a déménagé à Ottawa. Il gagne un revenu de 300 000$. Supposons que ce revenu est divisé en parts égales de 150 000$, cela signifie qu'ils économiseront en 2009 quelque 11 230$ d'impôt provincial par rapport au Québec. Le prix moyen des propriétés étant plus élevé à Ottawa, il en coûte plus cher de s'y loger. Ce qui grugera le portefeuille de 1500$ à 4000$, selon le type d'habitation choisi. Habiter Toronto coûte encore plus cher... Et c'est pire à Vancouver. Quoi qu'il en soit, si on a de l'attachement pour le Québec et sa culture unique en Amérique du Nord, il me semble que ça vaut bien les quelques milliers de dollars de plus d'impôt! BONNE ANNÉE 2010!
  24. De 260 000$ à 290 000$ taxes incluses - 2 chambres et terrasse avec vue spectaculaire!!! PROMOTION PREVENTE: ELECTROS EN INOX INCLUS POUR UN TEMPS LIMITE! VISITEZ NOTRE UNITÉ MODÈLE. PORTES OUVERTES 27 et 28 JUIN 12H A 17H BIENVENUE A TOUS! Offrant des condominiums uniques et urbains dans l'environnement charmeur de la Petite Italie/Mile-End. Les amoureux de saveurs, de couleurs, artisans, professionnels et créateurs vous trouverez au SANTINI SUR ST-LAURENT un milieu de vie propre à votre style et vos ambitions. Une construction de béton incluant: 2 chambres et terrasses avec vue spectaculaire, air climatisé central, chauffage central, gaz naturel pour cuisinère & BBQ, ascenceur, espace pour vélos à l'intérieur, rangement, terrasse commune sur le toit avec vue sur le Mt-Royal et le centre ville, stationnements intérieurs disponibles (option). LE SANTINI SUR ST-LAURENT est une réalisation du Groupe Cartierville, détenteur de la Palme Platine de l'APCHQ, une distinction remise au grands constructeurs pour leur excellence! Au plaisir de vous revoir! From 260 000$ to 290 000$ taxes included - 2 bedrooms and terrace with spectacular views!!! PROMOTION: STAINLESS APPLIANCES INCLUDED FOR A LIMITED TIME ONLY! VISIT OUR MODEL UNIT. OPEN HOUSE JUNE 27 and 28 12PM TO 5PM WELCOME! Featuring unique and urban condominiums in the charming setting of Montreal's Little Italy/Mile-End. Lovers of flavors and colors, artisans, professionals and creators, you will find at THE SANTINI ON ST-LAURENT a milieu that fits your style and your ambitions. Concrete Building including: 2 bedrooms and terrace with spectacular views, central air conditioning, central heat, natural gaz for kitchen and BBQ, elevator, interior bike racks, lockers, common rooftop terrace with views of the Mt-Royal and downtown, interior parking (optional). THE SANTINI ON ST-LAURENT is a realization of the Cartierville Group, an APCHQ Platinum Builder, a symbol of excellence in the construction industry. We look forward to seeing you! http://www.cartiervilleconstructions.com
  25. No shit ! C'est pas une surprise pour nous, mais ça va peut-être rassurer ceux qui s'y connaissent moins. ------------------ Louis-Pierre Côté Argent Un important joueur du secteur immobilier, la firme Thibault, Messier, Savard et Associés, se joint au concert d’experts du secteur qui affirment que la grande région de Montréal n’a pas subi de bulle immobilière au cours des dernières années. André Desbiens De passage à Argent pour parler du projet Les Tours du boisé à Longueuil, André Desbiens, vice-président, acquisitions et développement, de la société montréalaise a affirmé qu’à son avis, Montréal n’avait pas connu de bulle immobilière, « par rapport à l’Ontario, l’Ouest du Canada et les Etats-Unis. Il n’y a pas eu de spéculation. » Le groupe à laquelle est associée l’ex-joueur du Canadien Serge Savard est bien assis dans le secteur avec plus de 25 projets immobiliers à son actif, dont Les Tours du boisé qui accueille ses premiers résidents. Ce projet de 30M$ repose sur un terrain de quatre millions de pieds carrés adjacent au Parc régional dans le quartier Longueuil sur le Parc. Il comprend deux tours de 53 et 49 condos sur six étages, dont les prix varient d’environ 200 000$ à 430 000$. La première phase, qui est maintenant complétée, est celles de 53 unités. La deuxième phase n’est pas encore en chantier et M. Desbiens n’a pas voulu s’avancer sur son début.
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