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  1. Le jeudi 17 janvier 2008 Legault a refusé de présenter un match de la NFL à Montréal Les Patriots à Montréal? Cela n'est pas impossible. Réjean Tremblay La Presse Les rêves des fans de la NFL de voir du football de la Ligue nationale à Montréal ne sont pas si utopiques qu’on pourrait le croire. En fait, même si les nids-de-poule et les menaces des cols bleus font partie du quotidien des citoyens de la ville et font le désespoir de plusieurs, des entrepreneurs dignes de confiance sont souvent pressentis dans le but de réaliser des événements d’envergure dans la métropole à Gérald. Ainsi, en février dernier, la NFL a offert à Normand Legault d’organiser en octobre un match au Stade olympique. Il a refusé pour diverses raisons. Mais si M. Legault change d’idée, s’il décide finalement d’aller de l’avant, « la porte est encore ouverte », a-t-il expliqué hier lors d’une entrevue. La lettre que la NFL a fait parvenir à Legault est très précise. On parle de deux matchs de la saison régulière. Encore bien plus, le 2 février, vers midi, Legault a discuté des différents aspects du projet avec Jay Sweeney, vice-président de NFL-Canada. C’est là qu’il a appris qu’on pourrait s’entendre sur une visite des Colts d’Indianapolis « ou d’une équipe de l’Est des États-Unis » qui n’excluait pas les Patriots de la Nouvelle-Angleterre. Normand Legault a étudié le volumineux et très détaillé cahier des charges fourni par la NFL et avait jusqu’au 30 avril pour donner sa réponse. Il a préféré décliner l’offre de la NFL. IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Mais pourquoi refuser un match du circuit professionnel le plus prestigieux en Amérique du Nord ? « Plusieurs raisons ont motivé ma décision, a expliqué M. Legault. Il faut savoir, que je reçois de nombreuses offres d’affaires dans une année. Il n’y a que 24 heures dans une journée et on ne peut pas tout faire. Et l’offre de la NFL était une très grosse affaire à organiser. Le cahier de charges est énorme. C’est une grosse production à monter, une très grosse promotion que de juste répondre aux exigences de la NFL sur le plan organisationnel. Un match régulier de la NFL, juste pour accueillir les gens des diverses divisions de la ligue, pour préparer les vestiaires et les quartiers pour les joueurs, pour recevoir et fournir les services requis aux télévisions impliquées et aux médias qui suivent le gros cirque, c’est beaucoup, beaucoup de travail », a dit M. Legault. Évidemment qu’un match des Colts ou des Patriots un lundi soir au Monday Night Football (on parlait de la semaine de l’Action de grâces) comme en parlait Jay Sweenay lors de ses discussions avec Legault, c’est très bon pour une ville et une province. « Je n’ai pas sondé ni la Ville ni la RIO. Dans ce genre d’affaires, le simple fait d’en parler pour obtenir des informations aurait fini par faire les manchettes. J’aurais été plus tenté de m’embarquer à fond dans le projet si quelqu’un ou une institution avait partagé le risque financier. « La NFL ne précise pas dans son cahier de charges combien de millions elle exige pour un match de saison régulière. C’est très habile : si elle a 4 millions en tête et que le promoteur offre 5 millions, elle rafle un million de plus au passage. Et s’il offre en offre trois, elle se contente de dire non merci, ce n’est pas assez. Il faut savoir que les équipes visiteuses reçoivent 40 % des recettes d’un match. C’est un exemple seulement mais je présume que les Colts doivent toucher 2 millions pour un match et le club visiteur quelque chose comme 1,5 million. Plus les résultats des ventes faites dans le stade. Ça donne une idée de ce que j’aurais dû payer pour aller plus loin. » IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Il y a d’autres raisons à ce refus. Normand Legault n’est pas un ami personnel de Bob Wetenhall, le propriétaire des Alouettes, mais il le connaît suffisamment pour éviter de jouer dans ses platebandes. « Je pense que j’aurais pu vendre les 60 000 billets pour le match. Quant aux commanditaires intéressés à s’afficher dans un match vu par une quinzaine de millions de téléspectateurs, que ce soit le Canada ou le Québec par exemple, on aurait pu leur offrir un plan intéressant. Mais je présume qu’on serait allé dans le réservoir des entreprises intéressées à s’associer au football, donc aux Alouettes. Je respecte assez M. Wetenhall et j’aime assez Larry Smith pour éviter d’envahir leur marché pour un seul match. » Il y a encore plus. Dans le fond, ce que la NFL faisait en sondant Legault, c’était se payer une étude de marché faite par un promoteur expérimenté. Il ne faut pas se leurrer, si le match avait été un succès colossal tant pour Montréal, pour le promoteur et pour la NFL, ce n’est pas Normand Legault qui aurait eu la possibilité de faire des démarches pour obtenir une concession. C’est une affaire pour les milliardaires qui se payent des jouets à profits. La NFL ne veut pas de groupes ou de consortiums. Et puis, dernier point, il est évident que Normand Legault en a déjà plein les baskets de ses éternelles négociations avec les politiciens et les fonctionnaires de l’hôtel de ville. S’embarquer dans une promotion aussi complexe et dispendieuse dans le contexte actuel, c’était trop. Quand même, on ferme les yeux, le Stade olympique rempli, Peyton Manning à la ligne de mêlée… En attendant, les Bills de Buffalo vont disputer un match à Toronto l’an prochain… J'écoutais CKAC Sports ce matin, et Réjean Tremblay était un des invités. Ils parlaitent justement de cet article de Tremblay. Apparament que le communauté d'affaire de Montréal ne s'est pas lancée dans ce projet. La reception était plutôt tiède. Autre point décevant, c'est vrai que Legault doit être écoeurer d'être obliger de négocier avec la ville qui plus que souvent, reste intransigeante ou difficile lors de négociations. Tout ça pour nous prouver encore une fois comment que nous sommes une belle gang de colonisé qui ne peuvent pas penser en grand. Réalisez vous? LA NFL NOUS A APPROCHÉ POUR PRÉSENTER PAS UN, MAIS DEUX MATCHES DE LA NFL!!! Pi on a dit NON!!! Belle bande de cave! Pendant se temps là, Toronto SAUTE sur la chance de présenter 2 matches des Bills(qui sont poches) tandis que nous refusons la chance de voir Tom Brady ou Peyton Manning! Calisse qu'on est poche! :banghead:
  2. Pour les amis de M. Bumbaru, pour ceux qui militent en faveur de la conservation du BENS a lire dans La Presse d'aujourd'hui: http://www.cyberpresse.ca/apps/pbcs.dll/article?AID=/20080603/CPACTUEL/806030792/5159/CPACTUALITES A lire aussi les articles suggeres a la fin. Je dois admettre qu'il y a certains points souleves qui meritent attention exemple le restaurant du 9e etage de chez Eaton etait (est toujours) une copie de la salle a manger a bord du paquebot de luxe" Ile de France" si je ne m'abuse decore dans le plus pur style Art-deco. N' y aurait-il pas un de ces chefs de genie qui pourrait faire renaitre un tel etablissement malgre l'emplacement?
  3. Ce recours était survenu à la suite d'une fuite de trioxyde de soufre survenue dans la raffinerie de zinc de Salaberry-de-Valleyfield. Pour en lire plus...
  4. Montréal: une plus grande part du budget pour se loger 4 juin 2008 - 11h09 Presse Canadienne Le ménage moyen de la région de Montréal a dépensé 18,6% de ses revenus pour les coûts d'habitation et de logement en 2006. Les Canadiens payent davantage pour l'épicerie et l'essence ces jours-ci, et dans la région de Montréal il y a d'autres mauvaises nouvelles pour le compte en banque. En fait, les paiements de loyer ou d'hypothèque des Montréalais accaparent une plus large part du budget familial qu'au début de la décennie, révèle une nouvelle analyse des données du recensement sur les coûts d'habitation. Le coût médian d'habitation la région de Montréal était de 8 208 $ par année - ou 683 $ par mois - en 2006, a rapporté mercredi Statistique Canada dans un nouveau rapport sur les coûts de logement à travers le pays. Ces données indiquent aussi que le ménage moyen la région de Montréal a dépensé 18,6% de ses revenus pour les coûts d'habitation et de logement en 2006. Pour les propriétaires, ceci inclut les paiements hypothécaires, les taxes foncières, les frais de condo et les services publics; pour les locataires, les coûts tiennent compte des paiements de loyer et les services publics. Les données du précédent sondage de 2001 indiquaient que les ménages dans la région métropolitaine de Montréal avaient dépensé 18,1% de leur revenu pour les coûts d'habitation. Les locataires dans la région de Montréal en général dépensent proportionnellement plus de leurs revenus pour les coûts d'habitation que les propriétaires qui paient encore une hypothèque. Le locataire moyen doit engager 7 360 $ par année - ou 23,8% du revenu du ménage - pour les coûts d'habitation. Les propriétaires avec une hypothèque dans la région de Montréal ont dépensé un médian de 13 969 $ par année ou 18,9 pour cent de leur revenu pour l'habitation. Pour les propriétaires sans hypothèque, la proportion était beaucoup moindre - 8,5% pour un coût annuel de 5 198 $. Un total de 53,3% des ménages dans la région de Montréal sont propriétaires. Ceci est une augmentation par rapport à il y a cinq ans, alors qu'il était de 50,3%. Les propriétaires sans hypothèque représentent 20,3% des ménages dans la communauté. À travers le Canada, le coût médian de logement pour les propriétaires en 2006 était de 10 056 $ par année et pour les locataires, il était de 8 057 $. Au Québec, les propriétaires ont dépensé 8 619 $ et les locataires ont payé 6 788 $. Le ménage canadien moyen a dépensé 18,1% de son revenu annuel en habitation - ce qui signifie que les gens dans la région de Montréal ont environ les mêmes coûts de logement que le reste du pays. L'analyse publiée mercredi par Statistique Canada est basée sur les données du recensement recueillies il y a plus de deux ans. Le prochain resencement aura lieu en 2011. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080604/LAINFORMER/80604120/5891/LAINFORMER01
  5. Teachers a moins bien fait que la Caisse en 2007 1 avril 2008 - 14h15 LaPresseAffaires.com Michel Munger Ayant atteint la maturité, le régime de retraite des enseignants ontariens surnommé Teachers affiche un rendement moins important que la Caisse de dépôt et placement du Québec pour une deuxième année de suite en 2007. Ainsi, ce régime ontarien qui tente de privatiser BCE pour 52 G$ déclare un rendement annuel de 4,5% pour la période qui s'est terminée le 31 décembre. L'indice de référence a donné un rendement de 2,3%. La Caisse, elle, a affiché un gain de 5,6%. En 2006, les rendements respectifs de la Caisse étaient de 14,6% et 13,2% Click here to find out more! Teachers explique qu'elle a atteint la maturité, ayant 1,6 participant actif pour chaque participant retraité. Cela fait en sorte que ceux qui cotisent sont moins nombreux qu'auparavant pour garder le bateau à flot. Cela la force aussi Teachers à prendre moins de risques. Si le portefeuille total était composé à 65% d'actions de sociétés ouvertes et fermées en 1995, la proportion était de 47% en 2007. Environ 36% de l'actif de 108,5 G$ était composé de placements sensibles à l'inflation alors que ceux à revenu fixe représentaient 17% du total. Justement, les actions ont procuré un rendement négatif de 0,1%, contre -1,6% pour l'indice de référence. Le rendement de Teachers dans ce secteur sur quatre ans est de 12,8% par année. La valeur du portefeuille d'actions s'élevait à 50 G$ au 31 décembre. Les placements sensibles à l'inflation ont entraîné un rendement de 7%, étant évalués à 39,3 G$ à la fin de 2007. L'indice de référence a généré une hausse de 2,9%. Sur quatre ans, le régime ontarien affiche des gains de 11,8% par année. Du côté du revenu fixe et du rendement absolu, Teachers rapporte un rendement de 5,4% avec un actif de 18,7 G$. L'indice de référence générait 9,6% pendant la même période. Sur quatre ans, le régime a eu un rendement annuel de 10%. C'est sans oublier les défis présentés par la conjoncture actuelle aux niveaux économique et boursier, comme l'explique Bob Bertram, vice-président directeur aux Placements chez Teachers. «L'incidence défavorable de la hausse du dollar canadien sur les placements étrangers, les répercussions négatives sur les marchés du crédit de la crise des prêts hypothécaires à risque élevé aux États-Unis et l'effondrement du marché canadien du papier commercial [...] n'ont pas empêché la caisse d'enregistrer un gain sur douze mois de 4,7 G$.»" La maturité ayant été atteinte, Teachers rapporte qu'en date du 1er janvier 2008, elle montrait une insuffisance de capitalisation de 12,7 G$. «C'est là le défi perpétuel que pose la question d'un régime à maturité», conclut Jim Leech, PDG de Teachers. source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080401/LAINFORMER/80401151/5891/LAINFORMER01
  6. «Québec» était peut-être... un pont de glace! Promenade sur le fleuve l'hiver au siècle dernier. Archives Le Soleil Yves Hébert, historien Lévis En langue amérindienne, le mot Québec signifierait pont de glace. Cette affirmation est peut-être surprenante, mais, à y regarder de plus près, elle pourrait s'avérer tout à fait vraisemblable. Selon le Dictionnaire des noms et lieux du Québec, Kebec veut dire, dans la grande famille algonquienne, «là où c'est bouché». En langue micmaque, Kepe:k fait référence à l'expression «là où c'est fermé», bloqué, obstrué. On a souvent écrit que ce toponyme se traduit par «là où c'est étroit». On a ainsi souligné que les eaux du fleuve à proximité de Québec forment un détroit. Cela est tout aussi vraisemblable. Or, l'idée que les Amérindiens ont voulu signifier la présence de ce pont de glace par l'utilisation du mot Kebec est à explorer sérieusement. La plus ancienne mention écrite de l'existence de cette étendue de glace et de neige est celle du père Paul Lejeune en 1633. Celui-ci observe et comprend bien déjà la dynamique des glaces. Celles-ci se forment, dit-il, le long des rives, se libèrent durant un redoux pour ensuite constituer un solide pont de glace lors d'une période de froid relativement longue. Une dizaine d'années plus tard, Marie de l'Incarnation note que le fleuve sert de pont aux Amérindiens. «Ils y marchaient, dit-elle, comme sur une belle plaine». Lorsque l'on examine l'histoire de la ville de Québec et de Lévis, on s'aperçoit que le pont de glace entre ces deux villes a eu une importance avant 1900 et qu'il a marqué l'imaginaire. Il ne s'est peut-être pas formé tous les ans, mais quand il prenait, la fébrilité des habitants des deux rives était sans doute palpable. Au début de l'hiver, la question se posait : «Aura-t-on un pont?» L'hiver que nous vivons actuellement est tout à fait semblable à ceux que nos ancêtres ont connus avant l'apparition des brise-glaces. À la vérité, il préoccupe grandement la Garde côtière en raison des risques d'embâcles. Au XIXe siècle, il aurait favorisé la formation d'un pont de glace entre Cap-Rouge et la pointe d'Argentenay à l'ile d'Orléans. Le pont de glace entre Lévis et Québec Ce pont de glace entre Québec et Lévis a marqué l'imaginaire et on lui a accordé une importance commerciale majeure au XIXe siècle, tant et si bien que les autorités de la ville de Québec pouvaient faire stopper le service des traversiers pour le faire prendre au début de l'hiver. La Ville pouvait même poursuivre ceux qui s'aventuraient à tenter de le briser. Une amende de 800$ ou l'emprisonnement durant trois mois attendaient les coupables. Lorsque le pont de glace se formait, généralement en janvier, certains canotiers perdaient leur emploi, de même que de nombreux débardeurs de Québec, souvent des immigrants. Les débrouillards troquaient leurs embarcations pour des traîneaux à caisse. Ainsi, le prix des denrées baissait automatiquement dans les marchés publics de Québec. Les agriculteurs, de Lévis à Saint-Michel, pouvaient acheminer leurs produits et la viande de boucherie congelée au marché Finlay. L'importance commerciale du pont de glace a été reconnue par l'Assemblée législative de la Province du Canada. Une commission d'enquête était même créée en 1852 et 1853 pour examiner la manière de le faire prendre. On examina la mise en place de certaines infrastructures telles que jetées, quais et bômes pour faciliter l'englacement. Certains, comme l'ingénieur John Lambly, considéraient ces efforts comme inutiles suggérant toutefois la construction de quais à Pointe Levy. Des sentiers balisés aussi... Au XIXe siècle, le pont de glace favorisait les rencontres sociales. Il comprenait quelques sentiers balisés par des têtes de sapins, un, entre autres, entre Saint-Romuald et Sillery. Le principal, d'une trentaine de pieds de largeur, était aménagé par les cultivateurs de la Côte-du-Sud et se situait entre la traverse de Lévis et le marché Finlay. Il était bordé par de petites cabanes pour se réchauffer, des tavernes minuscules à la vérité. Les gens de Québec et de Lévis se côtoyaient alors dans la cordialité. Si le temps le permettait, des plaques de glace fines étaient aménagées ou préparées pour le patin. Avant le départ de la garnison de Québec en 1871, les officiers de l'armée britannique allaient agiter leurs bras comme les palmes d'un moulin à vent, nous dit Frances Elizabeth Owen Monck dans un récit de voyage de 1864-1865. Au moment opportun, on assistait aussi aux courses en raquettes, aux courses de chevaux et aux randonnées en traineaux à patins et à voile sur la glace fine. Le pont de glace et son chemin entre Lévis et Québec a marqué l'imaginaire. Plusieurs peintres et photographes ont laissé des œuvres remarquables et significatives, témoignant ainsi de la vie sociale et de la perception que l'on avait de l'hiver québécois à certaines époques. Mentionnons les œuvres de James Pattison Cockburn, de Conelius Krieghoff et de Clarence Gagnon. L'évocation de l'histoire étonnante de ce pont de glace nous invite à réfléchir sur la signification du toponyme Québec dans le passé. Mais, surtout, elle nous rappelle l'importance des liens économiques et culturels qui se sont tissés entre Québec et Lévis depuis plus de quatre siècles. Dans le cadre du 400e de Québec, je pense qu'il est opportun de rappeler l'histoire de ces relations entre Québécois et Lévisiens. http://www.cyberpresse.ca/article/20080309/CPSOLEIL/80305117/5026/CPDMINUTE
  7. Montréal, ville verte par excellence La Presse canadienne Édition du mercredi 05 mars 2008 Mots clés : Automobile, environnement, recensement, Canada (Pays) Ottawa -- La voiture est toujours reine lorsqu'il s'agit de se déplacer entre le domicile et le travail dans la région de Montréal puisque trois fois plus de personnes utilisent un véhicule pour aller travailler plutôt que les transports en commun. Mais si l'on se fie aux nouvelles données du recensement, la métropole mérite cette fois-ci le titre de ville la plus verte du pays en matière de transport. Statistique Canada a publié hier d'autres informations à partir du recensement de 2006, entre autres sur l'endroit où travaillent les Canadiens, la façon dont ils s'y rendent et la longueur du trajet qu'ils effectuent. Le recensement indique que, dans la région métropolitaine de recensement de Montréal, 1,7 million de personnes se déplacent pour se rendre au travail. Parmi elles, 70,4 % le font en voiture, comme conducteur ou comme passager, 21,4 % utilisent les transports en commun, 5,7 % marchent et 1,6 % utilisent leur vélo. Le recensement démontre toutefois que les gens qui se déplacent dans la région de Montréal ont réduit leur dépendance envers la voiture pour se rendre au travail depuis le dernier recensement de 2001. Il y a cinq ans, Statistique Canada rapportait que 70,6 % des personnes qui se rendent au travail utilisaient la voiture, soit comme conducteur, soit comme passager. La distance médiane de déplacement en 2006 était de 8,1 kilomètres. Il y a cinq ans, elle était de 8,0 kilomètres. La région métropolitaine au Canada ayant la plus longue distance médiane de déplacement est Oshawa, en Ontario, avec 11,0 kilomètres, tandis que la plus courte est Regina, avec moins de 4,6 kilomètres. La région ayant la plus forte dépendance envers la voiture était Abbotsford, en Colombie-Britannique, où 93,2 % des gens utilisaient un véhicule pour se rendre au travail, comme conducteur ou comme passager. Montréal peut prétendre être la ville où vivent les personnes les plus conscientes de la protection de l'environnement dans leur déplacement pour se rendre au travail: la région comprend la plus forte proportion de personnes (28,8 %) utilisant les transports en commun, le vélo ou leurs jambes pour aller travailler. http://www.ledevoir.com/2008/03/05/178982.html (05/03/2008 8H10)
  8. Les meilleurs emprunteurs du Canada se trouvent à Québec, dit Equifax Il y a 4 heures TORONTO - C'est à Québec qu'on retrouve les meilleurs emprunteurs du Canada, affirme l'agence de notation Equifax. Le taux de défaillance à Québec était de seulement 0,67 pour cent en décembre, le plus bas au pays. Equifax considère qu'un compte est "défaillant" si le paiement se fait attendre depuis plus de 90 jours. Règle générale, dit Equifax, les Canadiens acquittent leurs factures de manière de plus en plus assidue, en dépit d'un taux d'endettement non hypothécaire de plus en plus élevé. L'agence a révélé jeudi que le taux de défaillance au Canada a chuté à 1,2 pour cent à la fin de 2007, alors qu'il était de 1,6 pour cent vers le milieu de 2005. Le vice-président d'Equifax, Nadim Abdo, explique qu'une économie robuste combinée à un taux de chômage faible permet aux consommateurs de rembourser leurs dettes à temps, même s'ils sont de plus en plus endettés. Equifax évaluer le taux national de délinquance tous les six mois. L'amélioration des 18 derniers mois découle en grande partie d'une hausse des paiements sur les cartes de crédit, les prêts à terme et la marges de crédit personnelles. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5gn5cBBtPBF3kIZ5bC9tobxLcKa2A
  9. Source: Spacing Montreal http://spacingmontreal.ca/?p=414#comment-1412 Cédric Sam Le 16 décembre, la succursale des grandes arches jaunes au coin de Parc et Mont-Royal ferma ses portes à tout jamais, à la grande surprise de beaucoup de gens dans le quartier. C’est sûrement un peu étrange que de parler de la fermeture d’un McDo dans un magazine en ligne traitant d’espaces publics. Pourtant, dans le quartier, c’était une version cheap des cafés qui pullulent sur Laurier, lieux où on y flânera des heures après avoir acheté sa consommation. J’y apercevais souvent un monsieur prenant toute une table pour quatre à lui tout seul, crayons étalés, bouquins ouvert, en train, on dirait, de faire fonctionner son entreprise sans adresse fixe. L’hiver venu, le McDo en question était aussi un abri d’autobus chauffé (et vendant de la bouffe à rabais) pour ceux qui attendaient la 80 Du Parc, la 97 Mont-Royal, la 11 Montage, ou encore la 129 Côte-Ste-Catherine. Et durant la saison estivale, quoi de mieux après une promenade aux tams-tams qu’un sundae au chocolat pour moins de 2$? Comme je commente sur le blogue, Pour moi c'est une bonne nouvelle. Le McDo ne voyais pas l'endroit comme un privilège. Pour ceux qui veulent de bon restaurants. voici l'endroit où je le verrai. Un "pied de cochon $$$$" ou tout simplement un "Frite alors $" serait parfait ici.
  10. Nouvelle alliance économique Plus d'info Sept provinces canadiennes - le Québec et six autres provinces du Manitoba à l'Atlantique - ont décidé de former une alliance formelle avec six États du Sud-Est américain. Il s'agit de l'Alliance des États du Sud-Est des États-Unis et des provinces du Centre et de l'Est du Canada, un forum économique voué à la promotion du commerce, des exportations et del'investissement entre les partenaires. L'Alliance a été scellée au cours d'une conférence à Montréal, coprésidée par le premier ministre du Québec, Jean Charest, et le gouverneur de la Georgie, Sonny Purdie. Des dirigeants d'entreprises ont aussi participé aux échanges, puisque ce nouveau forum a pour but de développer le commerce et les investissements entre les deux régions. Selon M. Charest, il était temps de renforcer les liens économiques entre ces deux blocs régionaux au moment où le Canada perd des parts de marché au profit de la Chine. Surtout que le Québec a un excédent commercial de 4,4 milliards de dollars avec ces États, et que 13,5 % des exportations du Québec se font dans cette région des États-Unis. Jean Charest et Raymond Bachand « Comme tous les autres pays, on est très préoccupé par l'émergence de la Chine et de l'Inde. [...] L'expérience nous apprend qu'on a tendance à négliger ce qu'on a dans notre propre cour. Et que nous avons encore beaucoup d'opportunités, beaucoup de travail à faire pour relever encore davantage d'occasions d'affaires entre le Canada et les États-Unis », a déclaré M. Charest. Les secteurs économiques du Québec qui devraient profiter le plus de cette nouvelle alliance sont les secteurs forestiers, de l'aérospatial, de la biotechnologie et des énergies alternatives. En Ontario, on mise beaucoup sur l'industrie automobile. La question du passeport était également à l'ordre du jour, et tous ont convenu que les mesures de sécurité ne devaient pas nuire au commerce transfrontalier. La nouvelle alliance devrait être « dirigée » par l'entreprise privée, et les gens d'affaires se réuniront en juin prochain, à Savannah, en Georgie. L'Alliance L'Alliance réunit six États du Sud-Est des États-Unis - Géorgie, Caroline du Sud, Caroline du Nord, Tennessee, Mississippi et Alabama - et sept provinces canadiennes - Québec, Ontario, Nouvelle-Écosse, Nouveau-Brunswick, Manitoba,Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve-et-Labrador.
  11. Le huard : un sommet en 130 ans 31 octobre 2007 - 16h46 Le dollar canadien a atteint, mercredi, son plus haut niveau en près de 130 ans face au billet vert américain, après la baisse du taux directeur américain. Le huard est monté jusqu'à 1,0617$ US pendant la séance atteignant son taux le plus élévé qui était auparavant de 1,0614$ US. Le huard a toutefois terminé sa journée à 1,0585$ US. Un sommet pour un cours de clôture depuis 1957. La Réserve fédérale américaine (Fed) a abaissé, mercredi, d'un quart de point à 4,50% son principal taux directeur, comme les marchés le tenaient pour acquis depuis plusieurs jours, propulsant le dollar canadien. Le taux directeur américain est désormais au même niveau que le taux directeur canadien. Le dollar canadien, qui a atteint la parité avec le dollar américain en septembre, pour la première fois en trente ans, était également dopé mercredi par un nouveau record du pétrole, dont le Canada est un exportateur net.
  12. Presse Canadienne (PC) Jocelyne Richer 09/10/2007 17h38 - Mise à jour 09/10/2007 18h12 Au Québec, la liberté religieuse sera bientôt subordonnée à l'égalité entre les hommes et les femmes. Pour transformer ce principe en réalité, le gouvernement Charest fera en sorte d'amender la Charte québécoise des droits de la personne, et ce, aussitôt que possible. C'est ce qu'a indiqué le premier ministre Jean Charest, mardi, en disant vouloir procéder rapidement, dès cet automne, avant même le dépôt du rapport de la commission Bouchard-Taylor sur les accommodements raisonnables. M. Charest a dit juger que l'égalité entre les sexes était un principe «tellement important dans notre société» qu'il ne devait souffrir aucune équivoque. En agissant de la sorte, Québec veut donc envoyer un message clair sur ses priorités et endosser sans réserve l'avis émis récemment sur le sujet par le Conseil du statut de la femme. «C'est une recommandation que nous pensons être très intéressante. Nous nous penchons actuellement là-dessus», a déclaré M. Charest, en conférence de presse, en marge d'une réunion du caucus des députés de sa formation politique. «On n'aura pas besoin d'attendre les recommandations de la commission Bouchard-Taylor», a-t-il tranché, ajoutant que, dans ce dossier, son gouvernement était «très intéressé à bouger». Les propositions d'amendement à la Charte des droits présentées par son gouvernement risquent de constituer une des pièces majeures de la nouvelle session parlementaire, qui débutera le 16 octobre. Reste à savoir comment réagiront les deux partis d'opposition. En choisissant de donner préséance à l'égalité entre les sexes sur la liberté religieuse, Québec s'alignera sur la Charte canadienne des droits qui comporte également une disposition en ce sens. Dans son avis, le Conseil du statut de la femme demande notamment que les représentants de l'Etat, comme les enseignants, les fonctionnaires et les policiers, ne puissent porter de signes religieux ostentatoires dans l'exercice de leurs fonctions. Ainsi, les professeurs ne pourraient pas porter le voile islamique. De même, un client d'un organisme gouvernemental ne pourrait exiger d'être servi par un homme plutôt qu'une femme pour des raisons religieuses.
  13. Saint-Constant: un maire dépensier et destitué La Cour supérieure annule les résultats de l'élection municipale dans la petite ville de Saint-Constant, sur la Rive-Sud. Elle destitue le maire Gilles Pépin et ses cinq conseillers municipaux. La raison: des dépenses électorales dépassant de 42% la limite permise. Jamais un jugement n'avait été aussi sévère. Dans sa décision, rendue le 21 septembre, le juge Gilles Mercure décrit «un système mis en place au quotidien, dont la principale caractéristique était l'absence totale du contrôle des dépenses». Le 5 novembre 2005, Gilles Pépin défait par plus de 1000 votes le candidat sortant, Daniel Ashby. Il prend ainsi le contrôle de la mairie. Six de ses huit candidats aux postes de conseillers municipaux sont également élus. Mais dans son rapport de dépenses déposé peu après les élections, l'agent officiel de l'Équipe Gilles Pépin, Robert Perron, dévoile des dépenses de 53 204,38$ pendant la campagne électorale. Le maximum de dépenses autorisé était de 37 506,72$. Un dépassement de presque 16 000$. En mars 2006, six citoyens de Saint-Constant intentent une poursuite, accusant le maire de pratiques électorales frauduleuses. La Cour leur donne maintenant raison sur toute la ligne. Le juge écrit que «le défendeur Pépin ne pouvait ignorer le dépassement et que c'est donc à son su et avec son assentiment que la manoeuvre électorale frauduleuse a été pratiquée». «C'est une excellente nouvelle», s'est réjoui Normand Besner, candidat défait au poste de conseiller municipal, et l'un des citoyens qui se sont adressés au tribunal. «On se demandait pourquoi, tout au long de la campagne, on voyait que l'équipe adverse avait beaucoup plus d'enseignes et de dépliants, surtout dans la dernière semaine», a-t-il poursuivi. Tutelle Le maire et ses cinq conseillers ont 30 jours pour faire appel du jugement, mais qu'importe: la décision est effective immédiatement. La ville de 25 000 habitants sera donc mise en tutelle par le gouvernement. «La Commission municipale du Québec devra s'occuper de l'administration de la ville le temps que la situation se régularise», explique le porte-parole de la ministre des Affaires municipales, Jonathan Trudeau. Gilles Pépin se dit surpris du jugement, mais a préféré ne pas le commenter avant d'avoir consulté ses avocats. Mais les procédures judiciaires, qui durent depuis un an et demi, le laissent amer. D'autant plus que l'un des plaignants, M. Besner, était candidat pour l'ancien maire Daniel Ashby. «Cette saga judiciaire, c'est de la politique, a-t-il indiqué lors d'un entretien téléphonique. Il y a un parti politique qui était là depuis 12 ans et qui n'a pas accepté sa défaite.» André Sauvé, l'un des conseillers destitués, abonde dans son sens. «Si ça m'a coûté 1000$ de pancartes, pourquoi est-ce que ça n'a coûté que 74$ à l'autre parti pour le même nombre de pancartes?» Conseillers Les candidats de l'Équipe Pépin, pour la plupart inexpérimentés en politique, ignoraient tout des dépenses illégales. Ils ont été «victimes des agissements de l'agent officiel Perron, du maire Pépin et du directeur de campagne (Pierre) Arcouette», écrit le juge. Mais leur élection est annulée néanmoins. Camionneur de profession, André Sauvé a perdu des milliers de dollars en revenus pour occuper ses fonctions. «J'ai manqué une vingtaine de voyages de transport dans la dernière année, dit-il. Ça m'a coûté 14 000$ pour faire 12 000$ comme conseiller municipal et j'aurais fraudé pour ça? Il faudrait que je sois fou!» Jean-François Ouellet, qui a été élu sous la bannière de l'Équipe Pépin, a remarqué des irrégularités pendant la campagne. L'avocat a depuis quitté la formation politique. Il siège aujourd'hui comme conseiller indépendant. «J'ai demandé à de nombreuses reprises quelles sont les dépenses, a-t-il indiqué. On me répondait: «Fais ton porte-à-porte, ne t'occupe pas de ça.» » Jurisprudence Le Directeur général des élections (DGE) a déjà intenté des poursuites contre Robert Perron. L'affaire est toujours devant les tribunaux. «Cette affaire-là démontre que lorsqu'il y a contravention à la loi, les sanctions prévues peuvent être appliquées», a indiqué le porte-parole du DGE, Denis Dion. Avocat spécialisé en droit municipal, Louis Beauregard estime que la décision pourrait bien faire jurisprudence si elle est maintenue. «Les gens vont faire attention après, estime-t-il. Le dépassement d'une limite de dépenses prévue par la loi, ce n'est pas une mince affaire.» Municipalité de Saint-Constant Date de fondation: 1725 Superficie (km2): 56,58 Population: 24 679 Région administrative: Montérégie Avec la construction des chemins de fer du CN et du CP dans le dernier quart du XIXe siècle, Saint-Constant entre dans la modernité. Depuis les années 50, l'essor de la construction résidentielle a permis à Saint-Constant d'obtenir le statut de ville en 1973. Au cours des dernières années, la ville a accueilli plusieurs grandes surfaces du commerce de détail et de centres de magasinage ainsi que diverses usines, notamment la Cimenterie Lafarge. Le conseil municipal Maire : Gilles Pépin Conseillers > Yves-André Ferland (Regroupement des citoyens et citoyennes de Saint-Constant) > Raymond Létourneau (Regroupement des citoyens et citoyennes de Saint-Constant) > Jean-François Ouellet (indépendant) > Yvan Riendeau (Équipe Pépin) > France Hébert (Équipe Pépin) > André Sauvé (Équipe Pépin) > Christine Pelletier (Équipe Pépin) > Mario Arsenault (Équipe Pépin) (Mario Arsenault a été nommé maire suppléant pour la période du 15 novembre 2005 au 1 er août 2006.)
  14. Je cite d'une discussion sur SCP, dans le thread Montreal Projets: Alors voilà, je sais qu'elle était peut-être supposé être à côté du 400, du moins, qu'est-ce qui arrive avec? Peut-être je suis dans le champ, que le nom a changé, et qu'il est déjà approuvé, mais bon. Pour voir le fil de la discussion, c'est à partir du post #53: http://forum.skyscraperpage.com/showthread.php?t=123340&page=3
  15. Si vos dollars parlent français, on va vous respecter Vendredi dernier, au Complexe Desjardins, à Montréal, il m'est arrivé une expérience désagréable : je suis tombé sur un vendeur qui ne parlait ni ne comprenait un seul mot de français. Il représentait une marque fétiche pour les joueurs de golf : Talylor Made. Je le souligne, ça se passait au Complexe Desjardins, un des haut-lieux de l'économie québécoise. Or, le type en question était manifestement ennnuyé quand je me suis adressé en lui en français. Il était là pour veiller sur des dizaines de bâtons Taylor Made -la marque avec laquelle jouait Tiger Woods au début de sa carrière. Les gens pouvaient utiliser les bâtons dans des cages d'exercice, encadrés par des filets, pour pratiquer leur élan. Il m'a tout simplement répondu : « I am not from here ». Je ne suis pas d'ici. Et c'est tout. Les insconscients à la direction de l'entreprise n'ont pas su, ou ont négligé, le fait qu'au Complexe Desjardins, comme dans l'ensemble du Québec des années 2000, les affaires se font en français. Là-dessus, trois choses essentielles. Un, je me demande comment les gestionnaires du Complexe Desjardins peuvent accepter pareille dérive. Deux, la marque Taylor Made fait preuve de mépris envers ses clients francophones, Heureusement, les options sont nombreuses, Callaway, Ping, Nike, King Cobra et bien d'autres. Et trois, la seule façon de les obliger à nous servir comme il faut, c'est de les snobber, comme ils nous snobbent. Au début des années 60, il a fallu sortir dans les rues pour changer le cours de l'Histoire. C'était du temps où on ne pouvait se faire servir en français chez Eaton. Eaton a disparu pour manque de vision globale. Il serait dommage de revenir à cette période de soumission. Votez avec votre portefeuille ! Et chaque fois que vous aurez affaire à un magasin, ou une marque, qui ne vous respecte pas, faites-lui payer le prix : allez ailleurs. Posté le 18 mai 2007 à 20:49 PM
  16. Presse Canadienne 04/07/2007 Le coût moyen des logements a augmenté d'un peu plus de 4 pour cent à Montréal et Québec. Le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec a sondé des locataires et constate que les locataires de Montréal ont reçu de leur propriétaire des demandes moyennes d'augmentation de loyer de 4,4 pour cent lors de la dernière période de renouvellement des baux. Dans la grande majorité des cas de l'échantillon étudié, le chauffage était aux frais des locataires et les logements n'avaient pas subi de réparations majeures. L'indice d'ajustement des loyers de la Régie du logement était de 0,8 pour cent. Selon les cas recensés à Québec, les hausses de loyer moyennes en 2007 sont de 4,2 pour cent. Citant la Société canadienne d'hypothèque et de logement, le regroupement rappelle que de 2000 à 2006, le coût des logements a augmenté de 25 pour cent dans la région de Montréal et de 23 pour cent dans la région de Québec. Selon le porte-parole du regroupement, André Trépanier, il ne fait pas de doute que l'actuelle intervention de la Régie du logement ne protège pas adéquatement les locataires contre les hausses de loyer.
  17. La Presse 18 mai 2007 Depuis le 5 mai dernier, Barcelone est relié à Montréal par un vol direct d'Air Transat, deux fois par semaine. Avec 7,1 millions de touristes internationaux, la capitale de la Catlogne est une des principales destinations urbaines d'Europe. «Nous comptons sur ce vol pour stimuler la demande, observe Jorge Rubio, directeur de l'office de tourisme d'Espagne. Jusqu'à présent, les touristes canadiens étaient surtout intéressés par le produit plage et soleil. La Costa del Sol est d'ailleurs la région qu'ils fréquentent le plus. La Costa Brava arrive en seconde position. Mais nous concentrerons nos efforts de promotion sur les destinations urbaines, avec Barcelone et Madrid en tête, et sur les régions de l'arrière-pays.» Maria Couturier, directrice des produits Europe chez Vacances Transat, observait, elle aussi, cette tendance des Canadiens à concentrer leurs demandes de séjours dans les destinations balnéaires. «La Costa Brava et les Baléares marchent très bien. Mais, en Catalogne, nous avons peu de demandes pour les circuits de l'intérieur, dit-elle. Ainsi, notre chemin du pèlerin, entre Barcelone et Saint-Jacques de Compostelle se vend plutôt mal, alors qu'il s'agit d'un circuit extraordinaire.» Une délégation d'une trentaine de fournisseurs catalans - hôteliers, agences réceptives, représentants d'offices de tourisme - était de passage à Montréal, au début mai, pour souligner le lancement du vol inaugural vers Barcelone. L'accent était mis sur la gastronomie. «Nous sommes la région la plus touristique d'Espagne, avec 15 millions de touristes étrangers, mais aussi la plus étoilée hors de France par le guide Michelin», remarquait Ignasi de Delàs, directeur de Tourisme Catalogne. «On retrouve chez nous 13 restaurants qui cumulent un total de 41 étoiles au Michelin. Et le New York Times a identifié le chef du restaurant El Bulli, Feran Adria, comme un des cuisiniers les plus influents du monde.» Outre sa gastronomie, Barcelone est une des villes d'Europe les plus marquantes sur le plan artistique. Son caractère architectural a été fortement imprégné par le chef de file du modernismo - le courant local de l'Art nouveau - Antonio Gaudi, à qui on doit des complexes comme le palais Guell (inscrit sur la liste du Patrimoine de l'UNESCO), la Casa Milà et, surtout, la monumentale cathédrale de la Sagrada Familia. «Notre ville abrite le quartier médiéval le mieux conservé d'Espagne et elle a donné quelques-uns des plus grands architectes de monde», dit Josep Anton Rojas, directeur de la promotion de Barcelone Tourisme.
  18. Alors comme le titre l'annonce voici quelque photos de Montreal vue de la belle tour de la Bourse! Elles sont toutes prises par moi toutes fraiches de ce dimanche et c'est la premiere fois que je prend des photos alors soyer pas trop rude svp. J'espere que ça apporte un point de vue différent du skyline En route vers le Downtown
  19. Le déficit commercial s'est aggravé en 2006 au Québec, frôlant la somme de 10G $, du jamais vu. Il faut remonter à la récession économique de 1991 pour constater un déficit presque aussi grave; il était alors de 8,6G$. L'Institut de la statistique du Québec fait état d'exportations internationales de 70,5G$ sur une base douanière pour 2006, soit une mince amélioration de 0,5% par rapport à l'année précédente. Cependant, les importations ont bondi de 4,7% pour atteindre 80,4G$, rapporte la Presse Canadienne. Ce déficit s'est manifesté pendant que l'économie américaine a progressé de 3,3%. De plus, l'économie mondiale était en plein essor contrairement à 1991. Et voilà que l'économie américaine devrait ralentir en 2007, ce qui laisse craindre un déficit futur grandissant. Or, la semaine dernière, le budget du ministre québécois des Finances, Michel Audet, reposait sur des prévisions plus optimistes que ce qu'indiquent les prévisions du Mouvement Desjardins. Cependant, Statistique Canada apporte une note encourageante: la croissance des investissements privés au Québec devrait atteindre 6,8% comparativement à 2,1% pour la moyenne canadienne, en excluant le secteur du logement. Plus récemment, c'est depuis 2004 que le surplus commercial a cédé le pas au déficit au Québec.
  20. 1 Avenue du Port Architectes: Panzini Architectes Fin de la construction:2008 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Vieux-Port, Montréal ? mètres - 13 étages Description: - Le projet est la deuxième phase d'un projet déjà complété qui était la rénovation d'un ancien hangar du Vieux-port.
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