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  1. Teachers a moins bien fait que la Caisse en 2007 1 avril 2008 - 14h15 LaPresseAffaires.com Michel Munger Ayant atteint la maturité, le régime de retraite des enseignants ontariens surnommé Teachers affiche un rendement moins important que la Caisse de dépôt et placement du Québec pour une deuxième année de suite en 2007. Ainsi, ce régime ontarien qui tente de privatiser BCE pour 52 G$ déclare un rendement annuel de 4,5% pour la période qui s'est terminée le 31 décembre. L'indice de référence a donné un rendement de 2,3%. La Caisse, elle, a affiché un gain de 5,6%. En 2006, les rendements respectifs de la Caisse étaient de 14,6% et 13,2% Click here to find out more! Teachers explique qu'elle a atteint la maturité, ayant 1,6 participant actif pour chaque participant retraité. Cela fait en sorte que ceux qui cotisent sont moins nombreux qu'auparavant pour garder le bateau à flot. Cela la force aussi Teachers à prendre moins de risques. Si le portefeuille total était composé à 65% d'actions de sociétés ouvertes et fermées en 1995, la proportion était de 47% en 2007. Environ 36% de l'actif de 108,5 G$ était composé de placements sensibles à l'inflation alors que ceux à revenu fixe représentaient 17% du total. Justement, les actions ont procuré un rendement négatif de 0,1%, contre -1,6% pour l'indice de référence. Le rendement de Teachers dans ce secteur sur quatre ans est de 12,8% par année. La valeur du portefeuille d'actions s'élevait à 50 G$ au 31 décembre. Les placements sensibles à l'inflation ont entraîné un rendement de 7%, étant évalués à 39,3 G$ à la fin de 2007. L'indice de référence a généré une hausse de 2,9%. Sur quatre ans, le régime ontarien affiche des gains de 11,8% par année. Du côté du revenu fixe et du rendement absolu, Teachers rapporte un rendement de 5,4% avec un actif de 18,7 G$. L'indice de référence générait 9,6% pendant la même période. Sur quatre ans, le régime a eu un rendement annuel de 10%. C'est sans oublier les défis présentés par la conjoncture actuelle aux niveaux économique et boursier, comme l'explique Bob Bertram, vice-président directeur aux Placements chez Teachers. «L'incidence défavorable de la hausse du dollar canadien sur les placements étrangers, les répercussions négatives sur les marchés du crédit de la crise des prêts hypothécaires à risque élevé aux États-Unis et l'effondrement du marché canadien du papier commercial [...] n'ont pas empêché la caisse d'enregistrer un gain sur douze mois de 4,7 G$.»" La maturité ayant été atteinte, Teachers rapporte qu'en date du 1er janvier 2008, elle montrait une insuffisance de capitalisation de 12,7 G$. «C'est là le défi perpétuel que pose la question d'un régime à maturité», conclut Jim Leech, PDG de Teachers. source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080401/LAINFORMER/80401151/5891/LAINFORMER01
  2. Montréal, ville verte par excellence La Presse canadienne Édition du mercredi 05 mars 2008 Mots clés : Automobile, environnement, recensement, Canada (Pays) Ottawa -- La voiture est toujours reine lorsqu'il s'agit de se déplacer entre le domicile et le travail dans la région de Montréal puisque trois fois plus de personnes utilisent un véhicule pour aller travailler plutôt que les transports en commun. Mais si l'on se fie aux nouvelles données du recensement, la métropole mérite cette fois-ci le titre de ville la plus verte du pays en matière de transport. Statistique Canada a publié hier d'autres informations à partir du recensement de 2006, entre autres sur l'endroit où travaillent les Canadiens, la façon dont ils s'y rendent et la longueur du trajet qu'ils effectuent. Le recensement indique que, dans la région métropolitaine de recensement de Montréal, 1,7 million de personnes se déplacent pour se rendre au travail. Parmi elles, 70,4 % le font en voiture, comme conducteur ou comme passager, 21,4 % utilisent les transports en commun, 5,7 % marchent et 1,6 % utilisent leur vélo. Le recensement démontre toutefois que les gens qui se déplacent dans la région de Montréal ont réduit leur dépendance envers la voiture pour se rendre au travail depuis le dernier recensement de 2001. Il y a cinq ans, Statistique Canada rapportait que 70,6 % des personnes qui se rendent au travail utilisaient la voiture, soit comme conducteur, soit comme passager. La distance médiane de déplacement en 2006 était de 8,1 kilomètres. Il y a cinq ans, elle était de 8,0 kilomètres. La région métropolitaine au Canada ayant la plus longue distance médiane de déplacement est Oshawa, en Ontario, avec 11,0 kilomètres, tandis que la plus courte est Regina, avec moins de 4,6 kilomètres. La région ayant la plus forte dépendance envers la voiture était Abbotsford, en Colombie-Britannique, où 93,2 % des gens utilisaient un véhicule pour se rendre au travail, comme conducteur ou comme passager. Montréal peut prétendre être la ville où vivent les personnes les plus conscientes de la protection de l'environnement dans leur déplacement pour se rendre au travail: la région comprend la plus forte proportion de personnes (28,8 %) utilisant les transports en commun, le vélo ou leurs jambes pour aller travailler. http://www.ledevoir.com/2008/03/05/178982.html (05/03/2008 8H10)
  3. Le jeudi 17 janvier 2008 Legault a refusé de présenter un match de la NFL à Montréal Les Patriots à Montréal? Cela n'est pas impossible. Réjean Tremblay La Presse Les rêves des fans de la NFL de voir du football de la Ligue nationale à Montréal ne sont pas si utopiques qu’on pourrait le croire. En fait, même si les nids-de-poule et les menaces des cols bleus font partie du quotidien des citoyens de la ville et font le désespoir de plusieurs, des entrepreneurs dignes de confiance sont souvent pressentis dans le but de réaliser des événements d’envergure dans la métropole à Gérald. Ainsi, en février dernier, la NFL a offert à Normand Legault d’organiser en octobre un match au Stade olympique. Il a refusé pour diverses raisons. Mais si M. Legault change d’idée, s’il décide finalement d’aller de l’avant, « la porte est encore ouverte », a-t-il expliqué hier lors d’une entrevue. La lettre que la NFL a fait parvenir à Legault est très précise. On parle de deux matchs de la saison régulière. Encore bien plus, le 2 février, vers midi, Legault a discuté des différents aspects du projet avec Jay Sweeney, vice-président de NFL-Canada. C’est là qu’il a appris qu’on pourrait s’entendre sur une visite des Colts d’Indianapolis « ou d’une équipe de l’Est des États-Unis » qui n’excluait pas les Patriots de la Nouvelle-Angleterre. Normand Legault a étudié le volumineux et très détaillé cahier des charges fourni par la NFL et avait jusqu’au 30 avril pour donner sa réponse. Il a préféré décliner l’offre de la NFL. IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Mais pourquoi refuser un match du circuit professionnel le plus prestigieux en Amérique du Nord ? « Plusieurs raisons ont motivé ma décision, a expliqué M. Legault. Il faut savoir, que je reçois de nombreuses offres d’affaires dans une année. Il n’y a que 24 heures dans une journée et on ne peut pas tout faire. Et l’offre de la NFL était une très grosse affaire à organiser. Le cahier de charges est énorme. C’est une grosse production à monter, une très grosse promotion que de juste répondre aux exigences de la NFL sur le plan organisationnel. Un match régulier de la NFL, juste pour accueillir les gens des diverses divisions de la ligue, pour préparer les vestiaires et les quartiers pour les joueurs, pour recevoir et fournir les services requis aux télévisions impliquées et aux médias qui suivent le gros cirque, c’est beaucoup, beaucoup de travail », a dit M. Legault. Évidemment qu’un match des Colts ou des Patriots un lundi soir au Monday Night Football (on parlait de la semaine de l’Action de grâces) comme en parlait Jay Sweenay lors de ses discussions avec Legault, c’est très bon pour une ville et une province. « Je n’ai pas sondé ni la Ville ni la RIO. Dans ce genre d’affaires, le simple fait d’en parler pour obtenir des informations aurait fini par faire les manchettes. J’aurais été plus tenté de m’embarquer à fond dans le projet si quelqu’un ou une institution avait partagé le risque financier. « La NFL ne précise pas dans son cahier de charges combien de millions elle exige pour un match de saison régulière. C’est très habile : si elle a 4 millions en tête et que le promoteur offre 5 millions, elle rafle un million de plus au passage. Et s’il offre en offre trois, elle se contente de dire non merci, ce n’est pas assez. Il faut savoir que les équipes visiteuses reçoivent 40 % des recettes d’un match. C’est un exemple seulement mais je présume que les Colts doivent toucher 2 millions pour un match et le club visiteur quelque chose comme 1,5 million. Plus les résultats des ventes faites dans le stade. Ça donne une idée de ce que j’aurais dû payer pour aller plus loin. » IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Il y a d’autres raisons à ce refus. Normand Legault n’est pas un ami personnel de Bob Wetenhall, le propriétaire des Alouettes, mais il le connaît suffisamment pour éviter de jouer dans ses platebandes. « Je pense que j’aurais pu vendre les 60 000 billets pour le match. Quant aux commanditaires intéressés à s’afficher dans un match vu par une quinzaine de millions de téléspectateurs, que ce soit le Canada ou le Québec par exemple, on aurait pu leur offrir un plan intéressant. Mais je présume qu’on serait allé dans le réservoir des entreprises intéressées à s’associer au football, donc aux Alouettes. Je respecte assez M. Wetenhall et j’aime assez Larry Smith pour éviter d’envahir leur marché pour un seul match. » Il y a encore plus. Dans le fond, ce que la NFL faisait en sondant Legault, c’était se payer une étude de marché faite par un promoteur expérimenté. Il ne faut pas se leurrer, si le match avait été un succès colossal tant pour Montréal, pour le promoteur et pour la NFL, ce n’est pas Normand Legault qui aurait eu la possibilité de faire des démarches pour obtenir une concession. C’est une affaire pour les milliardaires qui se payent des jouets à profits. La NFL ne veut pas de groupes ou de consortiums. Et puis, dernier point, il est évident que Normand Legault en a déjà plein les baskets de ses éternelles négociations avec les politiciens et les fonctionnaires de l’hôtel de ville. S’embarquer dans une promotion aussi complexe et dispendieuse dans le contexte actuel, c’était trop. Quand même, on ferme les yeux, le Stade olympique rempli, Peyton Manning à la ligne de mêlée… En attendant, les Bills de Buffalo vont disputer un match à Toronto l’an prochain… J'écoutais CKAC Sports ce matin, et Réjean Tremblay était un des invités. Ils parlaitent justement de cet article de Tremblay. Apparament que le communauté d'affaire de Montréal ne s'est pas lancée dans ce projet. La reception était plutôt tiède. Autre point décevant, c'est vrai que Legault doit être écoeurer d'être obliger de négocier avec la ville qui plus que souvent, reste intransigeante ou difficile lors de négociations. Tout ça pour nous prouver encore une fois comment que nous sommes une belle gang de colonisé qui ne peuvent pas penser en grand. Réalisez vous? LA NFL NOUS A APPROCHÉ POUR PRÉSENTER PAS UN, MAIS DEUX MATCHES DE LA NFL!!! Pi on a dit NON!!! Belle bande de cave! Pendant se temps là, Toronto SAUTE sur la chance de présenter 2 matches des Bills(qui sont poches) tandis que nous refusons la chance de voir Tom Brady ou Peyton Manning! Calisse qu'on est poche! :banghead:
  4. Source: Spacing Montreal http://spacingmontreal.ca/?p=414#comment-1412 Cédric Sam Le 16 décembre, la succursale des grandes arches jaunes au coin de Parc et Mont-Royal ferma ses portes à tout jamais, à la grande surprise de beaucoup de gens dans le quartier. C’est sûrement un peu étrange que de parler de la fermeture d’un McDo dans un magazine en ligne traitant d’espaces publics. Pourtant, dans le quartier, c’était une version cheap des cafés qui pullulent sur Laurier, lieux où on y flânera des heures après avoir acheté sa consommation. J’y apercevais souvent un monsieur prenant toute une table pour quatre à lui tout seul, crayons étalés, bouquins ouvert, en train, on dirait, de faire fonctionner son entreprise sans adresse fixe. L’hiver venu, le McDo en question était aussi un abri d’autobus chauffé (et vendant de la bouffe à rabais) pour ceux qui attendaient la 80 Du Parc, la 97 Mont-Royal, la 11 Montage, ou encore la 129 Côte-Ste-Catherine. Et durant la saison estivale, quoi de mieux après une promenade aux tams-tams qu’un sundae au chocolat pour moins de 2$? Comme je commente sur le blogue, Pour moi c'est une bonne nouvelle. Le McDo ne voyais pas l'endroit comme un privilège. Pour ceux qui veulent de bon restaurants. voici l'endroit où je le verrai. Un "pied de cochon $$$$" ou tout simplement un "Frite alors $" serait parfait ici.
  5. Nouvelle alliance économique Plus d'info Sept provinces canadiennes - le Québec et six autres provinces du Manitoba à l'Atlantique - ont décidé de former une alliance formelle avec six États du Sud-Est américain. Il s'agit de l'Alliance des États du Sud-Est des États-Unis et des provinces du Centre et de l'Est du Canada, un forum économique voué à la promotion du commerce, des exportations et del'investissement entre les partenaires. L'Alliance a été scellée au cours d'une conférence à Montréal, coprésidée par le premier ministre du Québec, Jean Charest, et le gouverneur de la Georgie, Sonny Purdie. Des dirigeants d'entreprises ont aussi participé aux échanges, puisque ce nouveau forum a pour but de développer le commerce et les investissements entre les deux régions. Selon M. Charest, il était temps de renforcer les liens économiques entre ces deux blocs régionaux au moment où le Canada perd des parts de marché au profit de la Chine. Surtout que le Québec a un excédent commercial de 4,4 milliards de dollars avec ces États, et que 13,5 % des exportations du Québec se font dans cette région des États-Unis. Jean Charest et Raymond Bachand « Comme tous les autres pays, on est très préoccupé par l'émergence de la Chine et de l'Inde. [...] L'expérience nous apprend qu'on a tendance à négliger ce qu'on a dans notre propre cour. Et que nous avons encore beaucoup d'opportunités, beaucoup de travail à faire pour relever encore davantage d'occasions d'affaires entre le Canada et les États-Unis », a déclaré M. Charest. Les secteurs économiques du Québec qui devraient profiter le plus de cette nouvelle alliance sont les secteurs forestiers, de l'aérospatial, de la biotechnologie et des énergies alternatives. En Ontario, on mise beaucoup sur l'industrie automobile. La question du passeport était également à l'ordre du jour, et tous ont convenu que les mesures de sécurité ne devaient pas nuire au commerce transfrontalier. La nouvelle alliance devrait être « dirigée » par l'entreprise privée, et les gens d'affaires se réuniront en juin prochain, à Savannah, en Georgie. L'Alliance L'Alliance réunit six États du Sud-Est des États-Unis - Géorgie, Caroline du Sud, Caroline du Nord, Tennessee, Mississippi et Alabama - et sept provinces canadiennes - Québec, Ontario, Nouvelle-Écosse, Nouveau-Brunswick, Manitoba,Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve-et-Labrador.
  6. Presse Canadienne Le jeudi 15 novembre 2007 Montréal L'éditeur Michel Brûlé a dévoilé une statue en hommage au général Charles de Gaulle devant le bureau des Éditions des Intouchables, à Montréal. L'ex-premier ministre Bernard Landry était présent à ce dévoilement. Pour Michel Brûlé, il était important de commémorer le «Vive le Québec libre» de Charles de Gaulle, un événement marquant dans l'histoire du Québec à ses yeux. Il a déclaré que l'ex-maire Pierre Bourque a refusé cet honneur tandis que le maire actuel de la Ville, Gérald Tremblay, était d'accord en autant que la statue «demeure cachée», selon ses dires. Pour M. Landry, le général de Gaulle a une «importance planétaire». Selon lui, de Gaulle a fait connaître la cause du Québec à travers le monde. M. Landry a déclaré qu'au moment où le général a fait sa célèbre déclaration, des analystes de toutes les villes du monde se sont tournés vers la Belle Province et ont tenté d'étudier et de comprendre la question québécoise.Bernard Landry, l'éditeur Michel Brûlé et Aslan, créateur du buste, posent devant la statue du général Charles de Gaulle.
  7. Pas de train haute vitesse entre Montréal et New York 12 octobre 2007 - 07h09 Presse Canadienne Au moment où il lance un grand chantier de renouvellement des infrastructures, le gouvernement du Québec renonce au projet de train rapide entre Montréal et New York, un méga-projet d'au moins 4 milliards $. Cliquez pour en savoir plus : Transport ferroviaire | Chef de l'état | Jean Charest | Eliot Spitzer | Québec-New York Le projet, qui flotte dans l'air depuis des années, n'est plus dans les cartons du gouvernement et ne fera pas partie des échanges tenus vendredi, à New York, entre le premier ministre Jean Charest et le gouverneur de l'État de New York, Eliot Spitzer. Pourtant, en octobre 2005, à Albany, lors du dernier sommet Québec-New York, le gouverneur de l'époque, George Pataki, et le premier ministre Charest avaient clairement dit que l'idée d'un lien ferroviaire haute vitesse entre l'État de New York et le Québec était hissée au rang de «projet» à réaliser à court terme. Les deux hommes s'étaient engagés à tout mettre en oeuvre pour que le projet se réalise. Aux yeux de M. Charest, ce projet constituait un «symbole fort et puissant» des liens qui unissent les deux voisins, et un moyen de plus de réduire les émissions de gaz à effet de serre, par la promotion du transport en commun. Or, deux ans plus tard, le dossier n'a pas bougé. Dorénavant, au ministère des Transports, plus modestement, on mise plutôt sur l'amélioration des infrastructures actuelles, ont indiqué plusieurs sources gouvernementales au cours des derniers jours à La Presse Canadienne. Si ce projet était devenu réalité, les passagers auraient pu faire le trajet Montréal-New York en quatre heures à peine, au lieu de 10 actuellement. Certaines évaluations fixaient à 500 000, voire 700 000, le nombre additionnel de voyageurs intéressés à faire la navette entre les deux villes, si un tel train à haute vitesse avait vu le jour. En 2004, une étude de préfaisabilité, menée par le New York State Department of Transportation et Transports Québec, avait fixé à 4 milliards $ US le coût de réalisation du projet, uniquement pour la construction des voies ferrées sur 613 kilomètres, dont seulement 77 au Québec. Les Américains auraient donc dû assumer la plus grande partie de la facture, soit au moins 4 milliards $, sans compter les wagons et locomotives. Le train de passagers, qui aurait roulé à 240 km/h, nécessitait la construction de plusieurs ponts et tunnels dans les Adirondacks, d'où un coût élevé. Pour Québec, la facture des voies ferrées était évaluée à 110 M$. À l'époque, en 2005, le ministre fédéral des Transports, Jean Lapierre, s'était montré prêt à envisager un financement d'Ottawa pour la portion canadienne du trajet. Mais à l'automne 2006, Ottawa avait refroidi les ardeurs de Québec, alors que le ministre Lawrence Cannon jugeait que le projet n'était pas rentable. Électricité à vendre Vendredi, à New York, après avoir prononcé une allocution devant 400 gens d'affaires, le premier ministre Charest rencontrera pour la première fois le nouveau gouverneur de l'État, Eliot Spitzer. Au cours des derniers mois, M. Spitzer a rendu publiques ses priorités en matière de transport, mais le train rapide New York-Montréal n'en fait pas partie. Même si plusieurs sujets sont à l'ordre du jour de la rencontre, il est clair que la vente d'hydroélectricité au voisin du sud arrive au premier rang des priorités du Québec dans ses relations avec New York. «Nous, on peut faire de l'argent et en même temps on aide l'environnement», a résumé le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, lors d'un entretien téléphonique jeudi. Québec plaidera aussi pour assurer la fluidité du corridor de commerce entre les deux États. Les dossiers d'environnement et de sécurité seront aussi à l'agenda, de même que la tenue souhaitée d'un quatrième sommet Québec-New York. Les trois premiers ont eu lieu en 2002, 2004 et 2005. L'État de New York est le principal partenaire commercial du Québec aux États-Unis. En 2006, la valeur totale des échanges commerciaux a atteint 10,2 milliards $. Un sommet avait été atteint en 2000, avec 14,1 milliards $ d'échanges.
  8. Saint-Constant: un maire dépensier et destitué La Cour supérieure annule les résultats de l'élection municipale dans la petite ville de Saint-Constant, sur la Rive-Sud. Elle destitue le maire Gilles Pépin et ses cinq conseillers municipaux. La raison: des dépenses électorales dépassant de 42% la limite permise. Jamais un jugement n'avait été aussi sévère. Dans sa décision, rendue le 21 septembre, le juge Gilles Mercure décrit «un système mis en place au quotidien, dont la principale caractéristique était l'absence totale du contrôle des dépenses». Le 5 novembre 2005, Gilles Pépin défait par plus de 1000 votes le candidat sortant, Daniel Ashby. Il prend ainsi le contrôle de la mairie. Six de ses huit candidats aux postes de conseillers municipaux sont également élus. Mais dans son rapport de dépenses déposé peu après les élections, l'agent officiel de l'Équipe Gilles Pépin, Robert Perron, dévoile des dépenses de 53 204,38$ pendant la campagne électorale. Le maximum de dépenses autorisé était de 37 506,72$. Un dépassement de presque 16 000$. En mars 2006, six citoyens de Saint-Constant intentent une poursuite, accusant le maire de pratiques électorales frauduleuses. La Cour leur donne maintenant raison sur toute la ligne. Le juge écrit que «le défendeur Pépin ne pouvait ignorer le dépassement et que c'est donc à son su et avec son assentiment que la manoeuvre électorale frauduleuse a été pratiquée». «C'est une excellente nouvelle», s'est réjoui Normand Besner, candidat défait au poste de conseiller municipal, et l'un des citoyens qui se sont adressés au tribunal. «On se demandait pourquoi, tout au long de la campagne, on voyait que l'équipe adverse avait beaucoup plus d'enseignes et de dépliants, surtout dans la dernière semaine», a-t-il poursuivi. Tutelle Le maire et ses cinq conseillers ont 30 jours pour faire appel du jugement, mais qu'importe: la décision est effective immédiatement. La ville de 25 000 habitants sera donc mise en tutelle par le gouvernement. «La Commission municipale du Québec devra s'occuper de l'administration de la ville le temps que la situation se régularise», explique le porte-parole de la ministre des Affaires municipales, Jonathan Trudeau. Gilles Pépin se dit surpris du jugement, mais a préféré ne pas le commenter avant d'avoir consulté ses avocats. Mais les procédures judiciaires, qui durent depuis un an et demi, le laissent amer. D'autant plus que l'un des plaignants, M. Besner, était candidat pour l'ancien maire Daniel Ashby. «Cette saga judiciaire, c'est de la politique, a-t-il indiqué lors d'un entretien téléphonique. Il y a un parti politique qui était là depuis 12 ans et qui n'a pas accepté sa défaite.» André Sauvé, l'un des conseillers destitués, abonde dans son sens. «Si ça m'a coûté 1000$ de pancartes, pourquoi est-ce que ça n'a coûté que 74$ à l'autre parti pour le même nombre de pancartes?» Conseillers Les candidats de l'Équipe Pépin, pour la plupart inexpérimentés en politique, ignoraient tout des dépenses illégales. Ils ont été «victimes des agissements de l'agent officiel Perron, du maire Pépin et du directeur de campagne (Pierre) Arcouette», écrit le juge. Mais leur élection est annulée néanmoins. Camionneur de profession, André Sauvé a perdu des milliers de dollars en revenus pour occuper ses fonctions. «J'ai manqué une vingtaine de voyages de transport dans la dernière année, dit-il. Ça m'a coûté 14 000$ pour faire 12 000$ comme conseiller municipal et j'aurais fraudé pour ça? Il faudrait que je sois fou!» Jean-François Ouellet, qui a été élu sous la bannière de l'Équipe Pépin, a remarqué des irrégularités pendant la campagne. L'avocat a depuis quitté la formation politique. Il siège aujourd'hui comme conseiller indépendant. «J'ai demandé à de nombreuses reprises quelles sont les dépenses, a-t-il indiqué. On me répondait: «Fais ton porte-à-porte, ne t'occupe pas de ça.» » Jurisprudence Le Directeur général des élections (DGE) a déjà intenté des poursuites contre Robert Perron. L'affaire est toujours devant les tribunaux. «Cette affaire-là démontre que lorsqu'il y a contravention à la loi, les sanctions prévues peuvent être appliquées», a indiqué le porte-parole du DGE, Denis Dion. Avocat spécialisé en droit municipal, Louis Beauregard estime que la décision pourrait bien faire jurisprudence si elle est maintenue. «Les gens vont faire attention après, estime-t-il. Le dépassement d'une limite de dépenses prévue par la loi, ce n'est pas une mince affaire.» Municipalité de Saint-Constant Date de fondation: 1725 Superficie (km2): 56,58 Population: 24 679 Région administrative: Montérégie Avec la construction des chemins de fer du CN et du CP dans le dernier quart du XIXe siècle, Saint-Constant entre dans la modernité. Depuis les années 50, l'essor de la construction résidentielle a permis à Saint-Constant d'obtenir le statut de ville en 1973. Au cours des dernières années, la ville a accueilli plusieurs grandes surfaces du commerce de détail et de centres de magasinage ainsi que diverses usines, notamment la Cimenterie Lafarge. Le conseil municipal Maire : Gilles Pépin Conseillers > Yves-André Ferland (Regroupement des citoyens et citoyennes de Saint-Constant) > Raymond Létourneau (Regroupement des citoyens et citoyennes de Saint-Constant) > Jean-François Ouellet (indépendant) > Yvan Riendeau (Équipe Pépin) > France Hébert (Équipe Pépin) > André Sauvé (Équipe Pépin) > Christine Pelletier (Équipe Pépin) > Mario Arsenault (Équipe Pépin) (Mario Arsenault a été nommé maire suppléant pour la période du 15 novembre 2005 au 1 er août 2006.)
  9. Bonne nouvelle, en passant sur la 720 ce matin, j'ai remarqué que Bell est en train de retirer les panneaux de tôle sur le building qui longe la 720 (moitié pierre/moitié tôle). Le revêtement est maintenant en pierre et brique, ce qui est déja mieux.. Pas un gros projet, mais j'ai toujours trouvé que ce building faisait dure et qu'il était justement très mal situé pour faire dure....
  10. La Presse 18 mai 2007 Depuis le 5 mai dernier, Barcelone est relié à Montréal par un vol direct d'Air Transat, deux fois par semaine. Avec 7,1 millions de touristes internationaux, la capitale de la Catlogne est une des principales destinations urbaines d'Europe. «Nous comptons sur ce vol pour stimuler la demande, observe Jorge Rubio, directeur de l'office de tourisme d'Espagne. Jusqu'à présent, les touristes canadiens étaient surtout intéressés par le produit plage et soleil. La Costa del Sol est d'ailleurs la région qu'ils fréquentent le plus. La Costa Brava arrive en seconde position. Mais nous concentrerons nos efforts de promotion sur les destinations urbaines, avec Barcelone et Madrid en tête, et sur les régions de l'arrière-pays.» Maria Couturier, directrice des produits Europe chez Vacances Transat, observait, elle aussi, cette tendance des Canadiens à concentrer leurs demandes de séjours dans les destinations balnéaires. «La Costa Brava et les Baléares marchent très bien. Mais, en Catalogne, nous avons peu de demandes pour les circuits de l'intérieur, dit-elle. Ainsi, notre chemin du pèlerin, entre Barcelone et Saint-Jacques de Compostelle se vend plutôt mal, alors qu'il s'agit d'un circuit extraordinaire.» Une délégation d'une trentaine de fournisseurs catalans - hôteliers, agences réceptives, représentants d'offices de tourisme - était de passage à Montréal, au début mai, pour souligner le lancement du vol inaugural vers Barcelone. L'accent était mis sur la gastronomie. «Nous sommes la région la plus touristique d'Espagne, avec 15 millions de touristes étrangers, mais aussi la plus étoilée hors de France par le guide Michelin», remarquait Ignasi de Delàs, directeur de Tourisme Catalogne. «On retrouve chez nous 13 restaurants qui cumulent un total de 41 étoiles au Michelin. Et le New York Times a identifié le chef du restaurant El Bulli, Feran Adria, comme un des cuisiniers les plus influents du monde.» Outre sa gastronomie, Barcelone est une des villes d'Europe les plus marquantes sur le plan artistique. Son caractère architectural a été fortement imprégné par le chef de file du modernismo - le courant local de l'Art nouveau - Antonio Gaudi, à qui on doit des complexes comme le palais Guell (inscrit sur la liste du Patrimoine de l'UNESCO), la Casa Milà et, surtout, la monumentale cathédrale de la Sagrada Familia. «Notre ville abrite le quartier médiéval le mieux conservé d'Espagne et elle a donné quelques-uns des plus grands architectes de monde», dit Josep Anton Rojas, directeur de la promotion de Barcelone Tourisme.
  11. (13/04/2007) Les Montréalais pourraient bientôt aller magasiner sous le viaduc du boulevard Notre-Dame. Le maire de Montréal a laissé échapper cette information hier, lors de sa conférence de presse sur la démolition de l'autoroute Bonaventure. Gérald Tremblay commentait alors le projet de transformer le viaduc du CN en galerie marchande et s'est permis un parallèle avec celui de Notre-Dame. Le viaduc Notre-Dame a été conçu pour accueillir des commerces sous sa structure. Mis à part les trois arches de métal qui délimitent les rues qui se rendront au fleuve, le reste de l'ouvrage est en béton et peut facilement s'adapter à une vocation commerciale. La construction de nombreuses unités d'habitation tout autour du viaduc amène la Ville à soutenir l'implantation de commerces de quartier à cet endroit. «Il y a un promoteur qui s'appelle Télémédia qui a acheté la gare Viger pour neuf millions de dollars. Il y a un financement international très important et, dans les plus brefs délais, on va annoncer un projet. Et vous allez voir, ce qui était prévu il y a un certain nombre d'années va se réaliser», a laissé entendre le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Développement Télémédia s'est refusé à tout commentaire, prétextant que l'annonce était prématurée et qu'une conférence de presse sera convoquée en mai sur cette question. La compagnie qui souhaite développer ce quartier s'est associée à deux autres investisseurs européens. Déjà, on sait qu'elle veut transformer l'ex-gare Viger en hôtel de luxe et construire des tours d'habitation dans le stationnement de l'ex-gare. Dans les années 90, l'ex-maire Jean Doré avait proposé un projet semblable, mais rien n'avait été fait.
  12. (D'après PC) - Le cinéma Le Parisien, qui faisait partie du paysage du centre-ville de Montréal depuis des années, ferme ses portes. Le propriétaire de l'entreprise, Les Cinémas Fortune, a vendu la salle mercredi et a mis la clé sous la porte dans le même souffle. Aucune autre information n'a été fournie par le propriétaire qui s'est limité à annoncer la vente et la fermeture dans un communiqué. Jeudi, le cinéma était placardé et des déménageurs étaient à l'oeuvre. Les raisons de la vente ainsi que le nom du nouveau propriétaire de l'immeuble ne sont pas encore connus. Le Parisien avait longtemps été l'épicentre du Festival des films du monde, mais son heure de gloire était passée depuis quelques années. Il était toutefois encore le seul cinéma à diffuser des films en français rue Sainte-Catherine. Famous Players a déjà été propriétaire des lieux. Les Cinémas Fortune est également propriétaire du cinéma Angrignon, dans l'arrondissement montréalais de LaSalle, et de salles à Gatineau (arrondissement de Hull) et à Québec (arrondissement de Sainte-Foy).
  13. Hydro Quebec 1986 annonce l'agrandissement de son siège social sur le quadrilatère au complet. - Le projet inclus un jardin exotique tropical sous un dome de verre (immédiatement derrière le bâtiment) - et la rénovation de tout les bâtiments sur le Boul. St-Laurent incluant le Monument National et le TNM. Créant ainsi un centre de la culture. - La ruelle derrière le boul. St-Laurent sera aussi couverte d'un toit vitré - on peu voir l'entrée a coté du bâtiment. - et sur Ste-Cath un bloc en verre (le verre était a la mode!) pour y loger un centre commercial. Le projet était supposé d'ouvrir en 1989. La récession a pris - le gouvernements a changé - les proprios des taudis sur le Boul. St-Laurent on crier qu'il voulait BEAUCOUP d'argent - ou bien qu'il ne voulait pas se départir de leurs immeubles. 3 images.
  14. Le déficit commercial s'est aggravé en 2006 au Québec, frôlant la somme de 10G $, du jamais vu. Il faut remonter à la récession économique de 1991 pour constater un déficit presque aussi grave; il était alors de 8,6G$. L'Institut de la statistique du Québec fait état d'exportations internationales de 70,5G$ sur une base douanière pour 2006, soit une mince amélioration de 0,5% par rapport à l'année précédente. Cependant, les importations ont bondi de 4,7% pour atteindre 80,4G$, rapporte la Presse Canadienne. Ce déficit s'est manifesté pendant que l'économie américaine a progressé de 3,3%. De plus, l'économie mondiale était en plein essor contrairement à 1991. Et voilà que l'économie américaine devrait ralentir en 2007, ce qui laisse craindre un déficit futur grandissant. Or, la semaine dernière, le budget du ministre québécois des Finances, Michel Audet, reposait sur des prévisions plus optimistes que ce qu'indiquent les prévisions du Mouvement Desjardins. Cependant, Statistique Canada apporte une note encourageante: la croissance des investissements privés au Québec devrait atteindre 6,8% comparativement à 2,1% pour la moyenne canadienne, en excluant le secteur du logement. Plus récemment, c'est depuis 2004 que le surplus commercial a cédé le pas au déficit au Québec.
  15. Alors comme le titre l'annonce voici quelque photos de Montreal vue de la belle tour de la Bourse! Elles sont toutes prises par moi toutes fraiches de ce dimanche et c'est la premiere fois que je prend des photos alors soyer pas trop rude svp. J'espere que ça apporte un point de vue différent du skyline En route vers le Downtown
  16. 1 Avenue du Port Architectes: Panzini Architectes Fin de la construction:2008 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Vieux-Port, Montréal ? mètres - 13 étages Description: - Le projet est la deuxième phase d'un projet déjà complété qui était la rénovation d'un ancien hangar du Vieux-port.
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