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  1. Source: Cyberpresse Pour satisfaire son nouveau PDG montréalais, la plus prestigieuse série de tournois de poker au monde, la World Series of Poker, déménage son siège social à Montréal. Selon ce qu'a appris La Presse, Mitch Garber, un avocat mont¬réalais de 44 ans qui a fait fortune dans l'industrie du pari et du jeu en ligne en Europe, a en effet été nommé, le 22 mai dernier, président et chef de la direction de Harrah's Interactive Entertainment. Cette firme américaine est une filiale de Harrah's Entertainment Inc, un géant du jeu qui possède une cinquantaine de casinos, dont le célèbre Caesars Palace à Las Vegas, et emploie 85 000 personnes. Le volet interactif dont hérite M. Garber se spécialise dans le pari en ligne, et contrôle les droits des prestigieux tournois de poker qui remettent annuellement plus de 180 millions en bourses. Les René Angélil, Isabelle Mercier, Patrick Bruel et Guy Laliberté sont des habitués de ces tournois dont les droits de participation coûtent jusqu'à 50 000$. La compétition est féroce: un gros joueur comme René Angélil n'a jamais réussi mieux qu'une 49e place - c'était en juillet 2006. Du groupe, Isabelle Mercier et Patrick Bruel sont les seuls à avoir percé l'élite mondiale. La Québécoise a obtenu une cinquième place en 2006, qui lui a valu une bourse de 175 404$, tandis que le joueur français a remporté un tournoi et 224 000$ en 1998, avant l'explosion de popularité du poker. La condition de M. Garber pour accepter la direction de l'entreprise: que les activités administratives de l'entreprise soient déménagées à Montréal, sa ville natale qu'il a quittée en 2006 pour l'Europe. C'est là qu'il a fait sa marque en tant que PDG de PartyGaming, la plus grande entreprise de jeu en ligne inscrite à la Bourse de Londres. Aux côtés de personnalités comme Richard Branson et Michael Dell, il a notamment été un des 150 chefs d'entreprise interviewés dans le best-seller The Secrets of CEOs, publié en 2008. «J'ai eu des offres très sérieuses à Londres et à Las Vegas, et j'ai fait savoir dès le début que ma condition primordiale était de choisir où j'allais demeurer, et mon choix était Montréal, a expliqué en entrevue M. Garber. Harrah's a accepté ce choix.» Provenant d'une vieille famille anglophone de Montréal - il parle cependant un français impeccable -, M. Garber tenait à ce que ses deux jeunes fils soient élevés ici. «Mes enfants adorent Montréal. Je suis content qu'ils aient eu l'expérience de vivre en Europe, de voir d'autres choses, mais Montréal, c'est chez nous. Ma famille est à Montréal depuis plus de 100 ans, j'ai des racines, des amis, un amour pour la ville.» Internet et nouvelles villes L'accord des dirigeants de Harrah's ne reposait cependant pas que sur des raisons sentimentales, reconnaît l'avocat. L'un des rôles cruciaux du siège social de Montréal sera de nouer des liens sur le plan international avec des gouvernements ou des partenaires privés. L'entreprise a deux grands objectifs: d'abord, courtiser les consommateurs européens dans les pays où le pari en ligne est légal, comme la Grande-Bretagne et l'Italie, contrairement à l'Amérique du Nord. L'autre projet, c'est d'organiser des tournois de poker dans de nouvelles villes. L'an dernier, 55 des 59 tournois ont eu lieu à Las Vegas, les autres se tenant à Londres. «Mon projet, mon premier voeu, c'est d'élargir le territoire des tournois: il y a une faim pour le poker partout dans le monde. Il n'y a pas de raison pour laquelle on n'aurait pas un tournoi à Moscou, au Canada, partout. Je pense qu'il faut que les tournois croissent à l'extérieur des États-Unis.» Montréal, estime M. Garber, a toutes les qualités pour permettre à son entreprise de relever ces deux défis. «Je leur ai expliqué (aux dirigeants de Harrah's) que Montréal était une ville très internationale, que je serais capable de trouver des dirigeants avec de l'expérience en entreprise internationale, et sur l'internet. Il faut un esprit international pour négocier avec les gouvernements français ou anglais, en Allemagne, en Suède, en Finlande, au Canada. Les Montréalais, culturellement, sont bons là-dedans.» Une dizaine de collaborateurs ont déjà été embauchés et ont emménagé dans les bureaux, angle Peel et Sainte-Catherine. Des rencontres «avec des gouvernements en Europe et ailleurs» seraient déjà organisées. «Je ne veux pas lancer de chiffres, mais ça va continuer à grandir, assure M. Garber. Je prévois une croissance intéressante.» Est-ce qu'un tournoi de poker mondial pourrait avoir lieu à Montréal? L'idée plaît de toute évidence au PDG, qui reconnaît cependant que la décision finale ne lui revient pas. «Au Canada, on ne peut le faire qu'en partenariat ou avec une licence du gouvernement provincial. Loto-Québec, c'est une des meilleures sociétés de loterie au monde, j'ai beaucoup de respect pour eux. C'est sûr que c'est une des sociétés qu'on aimerait rencontrer.»
  2. Louise Harel songe à la mairie Radiocanada.ca Louise Harel a admis pour la première fois qu'elle réfléchit sérieusement à la possibilité de se présenter à la mairie de Montréal. Elle a fait cette déclaration lors de son passage hier à l'émission Bons baisers de France, à la télévision de Radio-Canada. Mme Harel avoué qu'elle s'en faisait énormément parler. « J'y réfléchis en sachant qu'il y a un compte à rebours », a-t-elle déclaré. L'ancienne ministre et députée péquiste a ajouté qu'elle devait se questionner sur la faisabilité de la chose. Dans un sondage Angus Reid publié dans Le Presse le 11 mai dernier, on demandait aux Montréalais pour qui ils voteraient parmi les candidats suivants: Martin Cauchon, Denis Coderre, Jacques Duchesneau, Liza Frulla, Louise Harel, Pierre Marc Johnson, Robert Laramée et Gilbert Rozon. Mme Harel était arrivée en tête, avec 17 % des intentions de vote. Elle était suivie de Pierre Marc Johnson, avec 11 % des suffrages, Liza Frulla (9 %) et Denis Coderre (9 %). Le sondage d'Angus Reid a été mené les 6 et 7 mai auprès de 805 personnes vivant sur l'île de Montréal. La marge d'erreur est de 3,5 points.
  3. Le rôle de la Banque Nationale Mise à jour le lundi 11 mai 2009 à 17 h 17 Exclusif Le Québec, plus que toutes les provinces, a investi de façon importante dans le papier commercial adossé à des actifs non bancaires (PCAA). À elle seule, la Caisse de dépôt et placement du Québec en détenait 13,2 milliards de dollars, mais plusieurs entreprises du Québec ont englouti leurs économies dans cette aventure. La Banque Nationale du Canada a été un important acteur dans ce marché de 32 milliards de dollars. Avec ses filiales de courtage, elle avait des tentacules dans environ 65 % du marché. Hy Bloom, un Montréalais, poursuit la Banque Nationale qui lui a vendu pour près 12 millions en PCAA, dont la presque totalité était sans garantie de liquidité. « La chose qui me choque le plus, mettant l'argent à part, c'est la confiance que j'ai eue dans ma banque », dit-il. Il affirme avoir demandé des placements sûrs pour son entreprise familiale. « Et ce qui est intéressant, c'est que la Banque nous a raconté qu'ils ne savaient pas eux-mêmes ce que c'était dedans. Alors, de quelle manière ils ont pu nous vendre cela? » s'interroge-t-il. L'Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM), qui supervise les courtiers, croit avoir une partie de la réponse. « Je pense qu'on peut dire que probablement celui qui le vendait ne le comprenait pas et celui qui l'achetait ne le comprenait pas non plus », explique Carmen Crépin, de l'OCRCVM. L'Autorité des marchés financiers (AMF) se demande s'il y a un conflit d'intérêts. « Un courtier pourrait-il être incité à vendre un produit parce que sa maison-mère, essentiellement, en est le commanditaire? » se demande Louis Morrisset, surintendant des marchés de valeurs à l'AMF. Auquel cas, la règle est claire: il faut avertir le client. « On ne savait pas. En tout cas, nous, ils ne nous ont jamais dit: "nous, on est les promoteurs de cela" », souligne Hy Bloom. Vendeur et promoteur La Banque Nationale, avec ses filiales, était présente durant toutes les étapes: à la fois comme vendeur et promoteur de papiers commerciaux. Colin Kilgour, un « Bay Street boy », créait lui aussi un papier commercial. À l'été 2007, il était en contact direct avec la Banque Nationale. Selon lui, l'institution financière avait des informations non publiques sur la contamination de titres, mais a continué à les vendre. Prenons un des titres crées par La Financière Banque Nationale: Ironstone Trust, le plus contaminé par les subprimes américains. Dès la fin juin, des feux rouges s'allument, mais la Banque Nationale et sa filiale La Financière continuent à le vendre à des clients: à Hy Bloom, le 7 et 8 août 2008, et au constructeur Pomerleau (20 millions), les 9 et 10 août. Pomerleau et d'autres gens d'affaires du Québec ont tenté de poursuivre la Banque Nationale en 2008, alléguant le conflit d'intérêts. La Banque, qui refuse d'accorder une entrevue à la télévision de Radio-Canada, avait alors rejeté leurs allégations dans un communiqué. Hy Bloom, lui, persiste. Il a reçu la visite d'enquêteurs de l'AMF, mais n'a toujours pas retrouvé son argent. « Moi, j'ai 74 ans. Moi, je vais vivre avec ou sans. Mais pour mes enfants et mes petits enfants, qui demeurent ici, la loi doit être la loi », dit-il.
  4. Bon je sais que ce n'est pas une grande tour ou quelque chose de révolutionnaire. Mais ce condo est relativement important dans ma propre histoire personnelle. Voyez-vous, ce condo sera construit simplement parce que mon père prend sa retraite bien mérité à 74 ans. C'est assez simple. Mon père travaillais dans le garage à l'arrière plan dans la photo. Depuis maintenant 51 ans, le garage était très occupé avec des contrats de Puro, FedEx, la plupart des taxis du sud-ouest et des clients fidèles, mais puisque son "foreman" prend sa retraite et le propriétaire actuel ne veut tout simplement plus s'en occuper, il a vendu le terrain qui était en demande depuis plus de 10ans. Mon père sera la dernière personne à mettre la clé dans le garage. Le lendemain, il sera mis à terre grâce à quelques coup de pelles bien placé. J'ai effectivement grandi dans ce garage, été voir mon père depuis 34 ans y travailler et faire vivre ma famille depuis toujours. C'est sentimental en effet et je dois dire que je suis un brin nostalgique. La bonne nouvelle dans tous ça, mon père peut finalement se reposer, travailler un peu moins à temps partiel pour d'autres garages qui lui demande de venir les aider de temps à autres. Un homme qui veut vous dire que votre véhicule n'est pas enligner et vous dire de combien de degrés juste en regardant les roues à oeil nu, c'est en demande, même à 74 ans . On dirait que la brique à changé de couleur selon le rendu du site web et celui de l'affiche. http://www.stemarguerite.ca/
  5. Publié le 14 mars 2009 à 07h38 | Mis à jour à 09h12 Un viaduc démoli sans appel d'offres Bruno Bisson La Presse Le ministère des Transports du Québec (MTQ) a fait démolir un viaduc, le mois dernier, sans passer par le processus normal d'appel d'offres. Il a invoqué l'urgence de faire disparaître cette structure usée qui surplombait l'autoroute 10, à Brossard, sur la Rive-Sud. Dans la nuit du 7 au 8 février, la firme Excavation René Saint-Pierre, de Sherbrooke, a procédé à la démolition du pont d'étagement de la montée Gobeil - boulevard des Prairies, au-dessus de l'autoroute 10. L'ouvrage était déjà fermé à la circulation depuis plus d'un mois. La firme a touché un total de 258 354$, selon le Ministère. Ces honoraires incluaient le travail de démolition comme tel, qui a pris moins de 10 heures, ainsi que la préparation du chantier, la construction d'un chemin temporaire et la gestion de la circulation. En raison de l'emplacement du viaduc, l'A-10 a été fermée toute la nuit, à partir de l'intersection de l'autoroute 30. Le viaduc surplombait l'A-10 à quelques centaines de mètres seulement du carrefour des autoroutes 10 et 30. Il était assez peu fréquenté. À peine 200 véhicules l'utilisaient chaque jour, en moyenne. Le pont se raccordait, à l'est, à la montée Gobeil qui mène vers la Grande-Allée, à la limite de l'arrondissement de Saint-Hubert. À l'ouest, le boulevard des Prairies traversait un rare secteur non loti de Brossard jusqu'à la municipalité voisine de La Prairie. Construit en 1963, ce pont de béton a fait l'objet de plusieurs inspections au cours des dernières années. Dès 2006, le MTQ a constaté la détérioration de son tablier, qui s'est confirmée un an plus tard à l'occasion d'une nouvelle inspection. En 2008, le MTQ a demandé à une firme externe d'évaluer la capacité portante du viaduc. Le 19 décembre 2008, un rapport préliminaire a recommandé sa fermeture. Le temps de préparer un chemin de déviation et d'informer la municipalité de l'état de la structure, la circulation y a été interdite dès le 23 décembre. Le pont n'a jamais été rouvert. Un mois plus tard, le 22 janvier, le rapport d'inspection des consultants du MTQ a recommandé que l'ouvrage soit démoli dans les plus brefs délais. À cette étape, le MTQ aurait normalement dû faire un appel d'offres pour accorder le contrat de démolition à la compagnie qui aurait proposé le meilleur coût, parmi les soumissions conformes reçues. Pour éviter des délais de plusieurs semaines, le MTQ peut aussi, à l'occasion, inviter trois entreprises à soumissionner dans le cadre d'un appel d'offres sur invitation, ce qui raccourcit le délai d'intervention mais exige quand même un certain temps. Selon un porte-parole du MTQ, Paul-Jean Charest, le Ministère a plutôt décidé de confier directement le contrat à Excavation René Saint-Pierre sans solliciter d'autres offres, en invoquant une exception à la Loi sur l'attribution des contrats gouvernementaux qui met en cause «la sécurité des personnes et des biens». M. Charest demeure toutefois assez vague sur la nature de cette urgence. Il souligne seulement que les appareils sur lesquels s'appuyait le tablier du viaduc étaient en très mauvais état. Quant au choix de la firme, Excavation René Saint-Pierre a été choisie tout simplement parce qu'elle était libre et que l'équipement nécessaire à la démolition du viaduc était tout près, a expliqué M. Charest. La compagnie procédait, durant cette période, à la démolition d'un autre pont d'étagement du MTQ dans la municipalité de Mont-Saint-Hilaire, à 30 km du viaduc de la montée Gobeil. «Ils ont terminé le contrat de Mont-Saint-Hilaire le 1er février, a expliqué Paul-Jean Charest. Le lendemain, leur personnel était sur la montée Gobeil pour préparer la démolition du viaduc de Brossard. La machinerie nécessaire était déjà rendue, ou presque. Une intervention aussi rapide était impossible en suivant la procédure normale. Même avec un appel d'offres sur invitation, il aurait fallu une ou deux semaines de plus pour attribuer le contrat, sans parler de la préparation du chantier.» Le porte-parole a tenu à préciser que la pratique courante dans ce type de dossier consiste à fermer la structure affaiblie, à préparer le projet de remplacement et à confier le mandat d'une nouvelle construction. La compagnie qui obtient le mandat de reconstruction doit alors démolir le vieil ouvrage ou confie cette tâche à un sous-traitant. C'est ce qui s'est produit avec plusieurs des ponts d'étagement au-dessus de l'A-10 au cours des trois dernières années. À Saint-Alphonse-de-Granby et à Magog, en Estrie, des ouvrages désaffectés, interdits à toute circulation, sont restés en place durant des mois avant leur démolition.
  6. Finances : le Québec heurté par la crise * Olivier Schmouker, Lesaffaires.com * 11:14 Le Québec est la province canadienne qui enregistre le plus de licenciements dans l’industrie des services financiers. En octobre dernier, l’emploi salarié dans l’industrie des services financiers a en effet diminué de 0,4% au Québec. En Ontario, on n’enregistrait aucune variation, selon l’Institut de la statistique du Québec. Pendant la même période, le nombre d’emplois salariés – toutes industries confondues – augmentait en moyenne de 0,2% au Canada, tout comme au Québec. Une particularité typiquement québécoise Le nombre d’employés a diminué de 1,6% au Québec dans le secteur de l’intermédiation financière. En Ontario, la baisse était de 0,8% ; à l’échelle du Canada, de 0,9%. Dans le secteur de l’assurance, la diminution du nombre d’employés a été de 0,3% au Québec. En revanche, la progression était de 0,6% en Ontario, et la moyenne canadienne, de 0,4%. Quant au secteur des valeurs mobilières et de l’investissement, la contraction du nombre d’emplois salariés a été de 1% en octobre au Québec. À l’inverse, la progression moyenne était de 1,4% au Canada. Et si l’on regarde les 12 derniers mois, la chute se chiffre à 4,4% au Québec, alors que la hausse est de 10,8% en Ontario, et de 9,7% à l’échelle du Canada. Enfin, le secteur du crédit-bail a vu le nombre d’employés se contracter de 0,6% en octobre au Québec. Cette fois-ci, le Québec se situe pile dans la moyenne du Canada (-0,6%). La baisse s’établit à 1,3% au Québec sur les 12 derniers mois (-1,9% en moyenne au Canada).[
  7. L'économie québécoise était au neutre en octobre 23 janvier 2009 - 11h58 Presse Canadienne Le produit intérieur brut (PIB) du Québec est resté inchangé en octobre dernier par rapport au mois précédent, selon les chiffres publiés vendredi par l'Institut de la statistique du Québec. En septembre, il avait augmenté de 0,6% et en août, il avait reculé de 0,4%. En octobre, les industries productrices de biens ont généré une hausse de 0,7%, alors que les industries productrices de services ont vu leur production reculer de 0,3%. Dans l'ensemble, neuf industries sur 19, ce qui représente près de 50% du PIB québécois, ont montré des pertes dans leur production en octobre par rapport à septembre. Pour en lire plus...
  8. Le taux annuel d'inflation a baissé de façon importante en décembre au Canada. Il était estimé à 1,2% par Statistique Canada, comparativement à 2% en novembre. Pour en lire plus...
  9. L'économiste qui a contribué à faire élire George W. Bush en 2000 cache mal son amertume huit ans plus tard. Pour en lire plus...
  10. Bank of America était sur le point jeudi soir de parvenir à un accord avec les autorités américaines aux termes duquel elle recevrait entre 15 et 20 milliards $ supplémentaires. Pour en lire plus...
  11. Le revenu disponible moyen des femmes était alors de 22 840$, comparativement à 30 244$ pour les hommes, selon l'Institut de la statistique du Québec. Pour en lire plus...
  12. Bernard Madoff et son épouse ont envoyé à leurs proches des bijoux précieux et des montres de marque, violant l'interdiction qui leur était faite de se départir de leurs objets de valeur. Pour en lire plus...
  13. Le projet ambitieux annoncé il y seulement deux semaines était dès le départ semé d'embûches. Pour en lire plus...
  14. Le huard était en hausse de 1,69 cent à 81,61 cents US lundi en matinée face à un billet vert en perte de vitesse. Celui-ci se trouvait à son plus bas en deux mois face aux autres devises. Pour en lire plus...
  15. Le président américain a reconnu vendredi pour la première fois publiquement que l'économie américaine était en récession et que les mauvais chiffres du chômage en étaient le reflet. Pour en lire plus...
  16. Le tourisme québécois était déjà en perte de vitesse avant la présente tempête économique, et il faut accélérer les investissements pour lui redonner rapidement son erre d'aller, affirment des représentants de l'industrie touristique. Pour en lire plus...
  17. L'accès au crédit n'est plus ce qu'il était 28 novembre 2008 - 06h50 La Presse Il y a toujours eu un certain nombre de PME qui trouvaient que l'accès au crédit n'était plus ce qu'il était. La différence, c'est que cette proportion est maintenant trois fois plus élevée. C'est ce qui ressort d'un sondage effectué par la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI) auprès de ses membres. Le directeur des affaires législatives de la section québécoise de la FCEI, Simon Prévost, indique que la fédération a décidé de procéder à ce sondage après avoir reçu des appels de membres qui se plaignaient de conditions plus contraignantes imposées par les institutions financières. «Habituellement, ces préoccupations ne se rendent pas à nos oreilles, affirme-t-il. Ça montre que c'est problématique.» Click here to find out more! La FCEI a demandé à ses membres comment avait évolué leur accès au crédit au cours des trois derniers mois. À l'échelle nationale, 27% des membres sondés ont indiqué qu'ils avaient vu une détérioration alors que 3% ont affirmé qu'il y avait eu amélioration. «Ça laisse 70% de membres qui ne voient pas de différence, observe M. Prévost. Mais, historiquement, quand l'économie va bien, on voit une détérioration de l'accès au crédit pour 7 à 8% des membres sondés. On peut donc dire que la préoccupation est trois fois plus importante.» Les petites entreprises qui ont vu une détérioration ont indiqué que leur banque avait voulu rappeler des prêts, ou encore qu'il leur était plus difficile d'avoir une ligne de crédit. Ou encore, qu'elle avait augmenté l'écart entre le taux préférentiel et le taux accordé à leur client. M. Prévost note toutefois que la situation semble un peu moins préoccupante au Québec que dans d'autres provinces. Seulement 21% des membres sondés par la FCEI au Québec faisaient état d'une détérioration de l'accès au crédit, alors que cette proportion atteint 28% en Ontario, en Alberta et en Colombie-Britannique. «Il n'y a pas de grosses différences entre le Québec et les autres provinces au niveau des autres indicateurs économiques, indique M. Prévost. Peut-être que le marché du crédit est différent au Québec en raison de la présence d'un fort joueur, Desjardins. C'est quand même 50% du marché de la PME dans la province.»
  18. Semaine de rebond sur les marchés. En incluant vendredi de la semaine passée, le Dow Jones a cumulé cinq séances de hausse d'affilée, ce qui ne lui était plus arrivé depuis juillet 2007. Pour en lire plus...
  19. Il y a toujours eu un certain nombre de PME qui trouvaient que l'accès au crédit n'était plus ce qu'il était. Cette proportion est maintenant trois fois plus élevée. Pour en lire plus...
  20. La Banque Royale a procédé hier à une baisse des taux hypothécaires qui était attendue sur le marché. Pour en lire plus...
  21. Déficit américain - Bombe à retardement Serge Truffaut Édition du lundi 24 novembre 2008 La somme des promesses qu'a déclinées Barack Obama pendant la campagne électorale avoisine les 2000 milliards de dollars. À moins d'être irresponsable en matière budgétaire, le président élu ne pourra pas respecter tous ses engagements. Loin de là. Car après la crise immobilière à laquelle se sont greffées depuis lors la crispation bancaire et la déchéance de l'industrie automobile, on va observer l'addition d'une crise tout aussi majeure: l'état lamentable des finances publiques. Bien avant que n'éclate la bulle immobilière, la dette américaine était le sujet fréquent de commentaires signés par des personnes, dont nombre d'experts, qualifiant celle-ci de bombe à retardement. En substance, ces derniers avançaient que la frivolité des Américains en général et de l'État en particulier sur le front du crédit s'avérerait tôt ou tard catastrophique. Ce qui était conjugué au futur lointain risque fort d'être composé au présent dès 2009. Chose certaine, les chiffres afférents traduisent une réalité brutale. Tout d'abord, on retiendra que la dette des États-Unis a doublé depuis l'installation de Bush à la Maison-Blanche. Ensuite? L'exercice financier 2008 s'est conclu par un déficit lui aussi deux fois supérieur à celui enregistré lors de l'exercice antérieur. En ce qui a trait à l'année fiscale 2009, on prévoit un déficit de 1000 milliards, là encore le double de celui de 2008. Bref, dire que le rythme imprimé sur les comptes du pays est insoutenable relève de la lapalissade. Dans cette histoire, il y a certainement des mauvais calculs et des revers de fortune, des faux bonds et des détournements inopinés. Mais il y a aussi une bonne dose d'égoïsme national crânement affirmé par le deuxième personnage de l'État, soit le vice-président Dick Cheney. On se souviendra qu'alors qu'il était interrogé à ce propos, ce triste sire, ce maître ès calamités, avait affirmé que Ronald Reagan avait fait la preuve que le déficit n'était pas un problème politique. En résumant sur un ton badin un sujet d'autant plus délicat qu'il est lourd de conséquences, ce chasseur fervent devant l'éternel faisait le pari que les banques centrales étrangères d'Asie et d'Europe continueraient à acheter la dette américaine pour la bonne et simple raison qu'aucune nation du monde ne pouvait se permettre de laisser tomber l'économie américaine. Problème? Si ce théorème autant économique que politique prévalait avant la chute du Mur, soit sous Reagan, ce n'est plus du tout le cas. Aujourd'hui, c'est à retenir, parmi les quatre principaux créanciers des États-Unis d'Amérique, on compte désormais deux concurrents à côté d'alliés: la Chine, qui a dépassé le Japon comme premier financier de Washington, et la Russie. Parions qu'à l'inverse du Japon et de l'Allemagne, Pékin et Moscou refuseront d'avaler les couleuvres. Pour s'en convaincre, il suffit de poser un regard sur la politique monétaire chinoise qui joue le yuan à la baisse pour favoriser indûment les exportations malgré les requêtes justifiées de Clinton et Bush pour un alignement du yuan sur sa valeur réelle. Pour l'année fiscale 2009, on calcule que le financement des opérations courantes va s'élever à 1400 milliards de dollars. Tout logiquement, on peut se demander qui va payer, qui va accepter d'acheter des bons du Trésor? La Chine? La Russie? L'Allemagne et le Japon officiellement en récession depuis la semaine dernière? C'est évidemment le quid du sujet. En attendant, on tient à partager un fait qui en dit long sur la santé économique de la planète. Voilà, l'indice Baltic Dry a ceci de riche en enseignements qu'il n'y a pas mieux pour suivre l'évolution de l'industrie maritime. Il faut surtout savoir que 95 % du transport des marchandises du «monde mondial» se fait par la mer. Et alors? L'indice Baltic Dry a été divisé par quatorze au cours du dernier semestre. Cela étant, sur un plan intérieur, il faut rappeler que, quand tous les baby-boomers américains seront à la retraite, les obligations du gouvernement à leur égard équivaudront à 20 % du PIB. Lorsque l'on additionne le service de la dette, on se retrouve avec un pays insolvable, dixit David Walker qui fut... contrôleur général des États-Unis sous Clinton et Bush. Les économistes ayant sonné l'alarme -- on pense notamment à Nouriel Roubini, premier à avoir prévu la crise et son énormité -- avaient été traités de pessimistes outranciers et autres par les Cheney du monde. Quand on y songe, ces derniers correspondent fort bien à cette définition de l'optimisme formulée par on ne sait plus qui. À savoir? Ce dernier est «l'alibi sournois des égoïstes.»
  22. Mike Duke remplacera Lee Scott le 1er février, qui était à la barre depuis l'an 2000. Pour en lire plus...
  23. Steve Ballmer, PDG de Microsoft, exclut un rachat malgré le départ du PDG Jerry Yang, qui y était hostile. Pour en lire plus...
  24. Le marché interbancaire était en baisse mardi, le Libor se détendant après trois jours de hausse consécutifs, signe que les banques se prêtent entre elles à des conditions plus favorables. Pour en lire plus...
  25. La pharmaceutique de Québec a ainsi vu sa situation empirer lors de ce trimestre alors que la perte a atteint 13,9 M$ alors qu’elle était de 8,7 M$ l’an passé. Pour en lire plus...
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